Ils sont comme les autres, tu trouveras le type de film; la marque,
les numéros, aucun souci.
Et tu peux laisser ton scaneer en correction auto d'après néga
couleur, tu vas voir le scanner Nikon est remarquable de ce côté là,
c'est même surprenant.
J'ai un 5000 mais c'est pareil, ça va parfopis te chercher des images
ininterprétables sur le néga, ou la diapo, tu vas voir.
Ils sont comme les autres, tu trouveras le type de film; la marque,
les numéros, aucun souci.
Et tu peux laisser ton scaneer en correction auto d'après néga
couleur, tu vas voir le scanner Nikon est remarquable de ce côté là,
c'est même surprenant.
J'ai un 5000 mais c'est pareil, ça va parfopis te chercher des images
ininterprétables sur le néga, ou la diapo, tu vas voir.
Ils sont comme les autres, tu trouveras le type de film; la marque,
les numéros, aucun souci.
Et tu peux laisser ton scaneer en correction auto d'après néga
couleur, tu vas voir le scanner Nikon est remarquable de ce côté là,
c'est même surprenant.
J'ai un 5000 mais c'est pareil, ça va parfopis te chercher des images
ininterprétables sur le néga, ou la diapo, tu vas voir.
"delestaque" écrivait
news:4be55e1b$0$29769$:Ils sont comme les autres, tu trouveras le type de film; la marque,
les numéros, aucun souci.
Très bien !Et tu peux laisser ton scaneer en correction auto d'après néga
couleur, tu vas voir le scanner Nikon est remarquable de ce côté là,
c'est même surprenant.
J'ai un 5000 mais c'est pareil, ça va parfopis te chercher des images
ininterprétables sur le néga, ou la diapo, tu vas voir.
Oui, j'ai activé par défaut le mode ICE pour élimininer les
poussières de l'image résultante et l'option "Scan Image Enhancer"
(je suppose que c'est la correction auto dont tu parles).
Au début, j'avais aussi activé ROC (pour restaurer les couleurs
passées) et GEM (contre le grain) systématiquement. Mais il s'avère
que si l'on applique ROC sur un néga récent, l'algo "bousille" les
couleurs et le second me fait des aplats de couleur au lieu du grain
et je n'aime pas (le grain, c'est même un peu artistique).
Je choisis donc l'option ROC au cas par cas sur des photos vraiment
passées.
Effectivement, j'avais un néga surexposé et l'algo "Scan Image
Enhancer" a réussi à rééquilibrer la luminiosité de manière à ce que
toute la photo devienne "lisible" (si l'on peut dire ainsi). Je ne
sais pas comment ça marche mais je trouve ça génial.
PS: j'ai acheté mon scanner aux US donc tout est en Anglais dans les
logiciels Nikon.
"delestaque" <r.delestaque@free.fr> écrivait
news:4be55e1b$0$29769$426a34cc@news.free.fr:
Ils sont comme les autres, tu trouveras le type de film; la marque,
les numéros, aucun souci.
Très bien !
Et tu peux laisser ton scaneer en correction auto d'après néga
couleur, tu vas voir le scanner Nikon est remarquable de ce côté là,
c'est même surprenant.
J'ai un 5000 mais c'est pareil, ça va parfopis te chercher des images
ininterprétables sur le néga, ou la diapo, tu vas voir.
Oui, j'ai activé par défaut le mode ICE pour élimininer les
poussières de l'image résultante et l'option "Scan Image Enhancer"
(je suppose que c'est la correction auto dont tu parles).
Au début, j'avais aussi activé ROC (pour restaurer les couleurs
passées) et GEM (contre le grain) systématiquement. Mais il s'avère
que si l'on applique ROC sur un néga récent, l'algo "bousille" les
couleurs et le second me fait des aplats de couleur au lieu du grain
et je n'aime pas (le grain, c'est même un peu artistique).
Je choisis donc l'option ROC au cas par cas sur des photos vraiment
passées.
Effectivement, j'avais un néga surexposé et l'algo "Scan Image
Enhancer" a réussi à rééquilibrer la luminiosité de manière à ce que
toute la photo devienne "lisible" (si l'on peut dire ainsi). Je ne
sais pas comment ça marche mais je trouve ça génial.
PS: j'ai acheté mon scanner aux US donc tout est en Anglais dans les
logiciels Nikon.
"delestaque" écrivait
news:4be55e1b$0$29769$:Ils sont comme les autres, tu trouveras le type de film; la marque,
les numéros, aucun souci.
Très bien !Et tu peux laisser ton scaneer en correction auto d'après néga
couleur, tu vas voir le scanner Nikon est remarquable de ce côté là,
c'est même surprenant.
J'ai un 5000 mais c'est pareil, ça va parfopis te chercher des images
ininterprétables sur le néga, ou la diapo, tu vas voir.
Oui, j'ai activé par défaut le mode ICE pour élimininer les
poussières de l'image résultante et l'option "Scan Image Enhancer"
(je suppose que c'est la correction auto dont tu parles).
Au début, j'avais aussi activé ROC (pour restaurer les couleurs
passées) et GEM (contre le grain) systématiquement. Mais il s'avère
que si l'on applique ROC sur un néga récent, l'algo "bousille" les
couleurs et le second me fait des aplats de couleur au lieu du grain
et je n'aime pas (le grain, c'est même un peu artistique).
Je choisis donc l'option ROC au cas par cas sur des photos vraiment
passées.
Effectivement, j'avais un néga surexposé et l'algo "Scan Image
Enhancer" a réussi à rééquilibrer la luminiosité de manière à ce que
toute la photo devienne "lisible" (si l'on peut dire ainsi). Je ne
sais pas comment ça marche mais je trouve ça génial.
PS: j'ai acheté mon scanner aux US donc tout est en Anglais dans les
logiciels Nikon.
d'accord, en fait cumuler les corrections me semble parfois un peu "
hard " c'est vrai, mais les restaurations de couleurs sont épatantes,
je trouve ça également génial, sinon, il faut éviter de réappliquer
une correction déjà utilisée au scanning sous le logiciel de retouche
après coup, sinon effectivement ça devient désastreux,
pour le mode
d'emploi, essaye ce site " mode d'emploi " sur le net, il y a des tas
de choses, je ne sais plus où est le mien, sinon, je crois que les
fonctions sont les mêmes, il n'y a que la résolution qui change.
d'accord, en fait cumuler les corrections me semble parfois un peu "
hard " c'est vrai, mais les restaurations de couleurs sont épatantes,
je trouve ça également génial, sinon, il faut éviter de réappliquer
une correction déjà utilisée au scanning sous le logiciel de retouche
après coup, sinon effectivement ça devient désastreux,
pour le mode
d'emploi, essaye ce site " mode d'emploi " sur le net, il y a des tas
de choses, je ne sais plus où est le mien, sinon, je crois que les
fonctions sont les mêmes, il n'y a que la résolution qui change.
d'accord, en fait cumuler les corrections me semble parfois un peu "
hard " c'est vrai, mais les restaurations de couleurs sont épatantes,
je trouve ça également génial, sinon, il faut éviter de réappliquer
une correction déjà utilisée au scanning sous le logiciel de retouche
après coup, sinon effectivement ça devient désastreux,
pour le mode
d'emploi, essaye ce site " mode d'emploi " sur le net, il y a des tas
de choses, je ne sais plus où est le mien, sinon, je crois que les
fonctions sont les mêmes, il n'y a que la résolution qui change.
"delestaque" écrivait
news:4be6ec61$0$19311$:d'accord, en fait cumuler les corrections me semble parfois un peu "
hard " c'est vrai, mais les restaurations de couleurs sont épatantes,
je trouve ça également génial, sinon, il faut éviter de réappliquer
une correction déjà utilisée au scanning sous le logiciel de retouche
après coup, sinon effectivement ça devient désastreux,
Oui, sauf si les corrections sont faîtes "à la source" via un réglage
analogique au niveau du scanner ce qui est le cas du mode ICE puisque
je crois qu'il fait un 1er scan infrarouge pour détecter les
poussières et un 2ème normal après quoi l'algo anti-poussières est
appliqué.
Pour l'algo "Scan Image Enhancer", je pense que cela doit aussi se
faire en analogique puisque lorsque l'option est activée, mon image
contient beaucoup plus de couleurs uniques que sans l'option.
En effet, j'ai remarqué que l'application successives de corrections
détruit justement les couleurs ce qui n'est pas le cas ici.
Du coup, je pense la laisser toujours activée.pour le mode
d'emploi, essaye ce site " mode d'emploi " sur le net, il y a des tas
de choses, je ne sais plus où est le mien, sinon, je crois que les
fonctions sont les mêmes, il n'y a que la résolution qui change.
Pour le site, "mode d'emploi ", ce sont les mots-clés pour trouver le
site ?
Quand je fait ça, je tombe sur un site de notices en lignes.
Dis-moi si c'est bien ça car je cherche surtout des sites tutoriaux
pour les Coolscan. La notice papier intégrale, je l'ai déjà.
Bonne soirée.
"delestaque" <r.delestaque@free.fr> écrivait
news:4be6ec61$0$19311$426a74cc@news.free.fr:
d'accord, en fait cumuler les corrections me semble parfois un peu "
hard " c'est vrai, mais les restaurations de couleurs sont épatantes,
je trouve ça également génial, sinon, il faut éviter de réappliquer
une correction déjà utilisée au scanning sous le logiciel de retouche
après coup, sinon effectivement ça devient désastreux,
Oui, sauf si les corrections sont faîtes "à la source" via un réglage
analogique au niveau du scanner ce qui est le cas du mode ICE puisque
je crois qu'il fait un 1er scan infrarouge pour détecter les
poussières et un 2ème normal après quoi l'algo anti-poussières est
appliqué.
Pour l'algo "Scan Image Enhancer", je pense que cela doit aussi se
faire en analogique puisque lorsque l'option est activée, mon image
contient beaucoup plus de couleurs uniques que sans l'option.
En effet, j'ai remarqué que l'application successives de corrections
détruit justement les couleurs ce qui n'est pas le cas ici.
Du coup, je pense la laisser toujours activée.
pour le mode
d'emploi, essaye ce site " mode d'emploi " sur le net, il y a des tas
de choses, je ne sais plus où est le mien, sinon, je crois que les
fonctions sont les mêmes, il n'y a que la résolution qui change.
Pour le site, "mode d'emploi ", ce sont les mots-clés pour trouver le
site ?
Quand je fait ça, je tombe sur un site de notices en lignes.
Dis-moi si c'est bien ça car je cherche surtout des sites tutoriaux
pour les Coolscan. La notice papier intégrale, je l'ai déjà.
Bonne soirée.
"delestaque" écrivait
news:4be6ec61$0$19311$:d'accord, en fait cumuler les corrections me semble parfois un peu "
hard " c'est vrai, mais les restaurations de couleurs sont épatantes,
je trouve ça également génial, sinon, il faut éviter de réappliquer
une correction déjà utilisée au scanning sous le logiciel de retouche
après coup, sinon effectivement ça devient désastreux,
Oui, sauf si les corrections sont faîtes "à la source" via un réglage
analogique au niveau du scanner ce qui est le cas du mode ICE puisque
je crois qu'il fait un 1er scan infrarouge pour détecter les
poussières et un 2ème normal après quoi l'algo anti-poussières est
appliqué.
Pour l'algo "Scan Image Enhancer", je pense que cela doit aussi se
faire en analogique puisque lorsque l'option est activée, mon image
contient beaucoup plus de couleurs uniques que sans l'option.
En effet, j'ai remarqué que l'application successives de corrections
détruit justement les couleurs ce qui n'est pas le cas ici.
Du coup, je pense la laisser toujours activée.pour le mode
d'emploi, essaye ce site " mode d'emploi " sur le net, il y a des tas
de choses, je ne sais plus où est le mien, sinon, je crois que les
fonctions sont les mêmes, il n'y a que la résolution qui change.
Pour le site, "mode d'emploi ", ce sont les mots-clés pour trouver le
site ?
Quand je fait ça, je tombe sur un site de notices en lignes.
Dis-moi si c'est bien ça car je cherche surtout des sites tutoriaux
pour les Coolscan. La notice papier intégrale, je l'ai déjà.
Bonne soirée.
Et tu peux laisser ton scaneer en correction auto d'après néga couleu r, tu vas voir le scanner Nikon est remarquable de ce côté là, c'est même surprenant.
je ne connais pas du tutos pour ces matos ?
quant à " analogique " je ne vois pas ?
Encore moins pour " couleurs uniques "
J'ai, quant à moi obtenu des résultats remarquables avec mon 5000, au delà de ce que j'imaginais, en revanche pour les corrections sur les cor rections, je maintians , c'est desastreux
fais comme tu veux, mais la plupart du temps, il n'y avait vraiment pas g rand chose à corriger après le scanner,
Je ne saurais que t'encourager de te servir de cet appareil sans chercher comme certains amateurs à en demander plus avant d'avoir maîtrisé se ulement les fonctions intrinsèques.
C'est une tendance assez courante, je me suis d'ailleurs toujours demand é pourquoi.
Comme je te dis, je m'en servais pour le boulot, la qualité étant nic kel, seul inconvénient avec un matériel pas vraiment dédié " pro " la lenteur.
Et tu peux laisser ton scaneer en correction auto d'après néga couleu r, tu vas voir le scanner Nikon est remarquable de ce côté là, c'est même surprenant.
je ne connais pas du tutos pour ces matos ?
quant à " analogique " je ne vois pas ?
Encore moins pour " couleurs uniques "
J'ai, quant à moi obtenu des résultats remarquables avec mon 5000, au delà de ce que j'imaginais, en revanche pour les corrections sur les cor rections, je maintians , c'est desastreux
fais comme tu veux, mais la plupart du temps, il n'y avait vraiment pas g rand chose à corriger après le scanner,
Je ne saurais que t'encourager de te servir de cet appareil sans chercher comme certains amateurs à en demander plus avant d'avoir maîtrisé se ulement les fonctions intrinsèques.
C'est une tendance assez courante, je me suis d'ailleurs toujours demand é pourquoi.
Comme je te dis, je m'en servais pour le boulot, la qualité étant nic kel, seul inconvénient avec un matériel pas vraiment dédié " pro " la lenteur.
Et tu peux laisser ton scaneer en correction auto d'après néga couleu r, tu vas voir le scanner Nikon est remarquable de ce côté là, c'est même surprenant.
je ne connais pas du tutos pour ces matos ?
quant à " analogique " je ne vois pas ?
Encore moins pour " couleurs uniques "
J'ai, quant à moi obtenu des résultats remarquables avec mon 5000, au delà de ce que j'imaginais, en revanche pour les corrections sur les cor rections, je maintians , c'est desastreux
fais comme tu veux, mais la plupart du temps, il n'y avait vraiment pas g rand chose à corriger après le scanner,
Je ne saurais que t'encourager de te servir de cet appareil sans chercher comme certains amateurs à en demander plus avant d'avoir maîtrisé se ulement les fonctions intrinsèques.
C'est une tendance assez courante, je me suis d'ailleurs toujours demand é pourquoi.
Comme je te dis, je m'en servais pour le boulot, la qualité étant nic kel, seul inconvénient avec un matériel pas vraiment dédié " pro " la lenteur.
quant à " analogique " je ne vois pas ?
Quand je dis "analogique", je parle de traitement effectué à la source
avant même que l'image ne soit scannée sous forme numérique.
Le traitement analogique agit sur l'intensité électrique de la lampe
ou sur l'intensité des rouge/vert/bleu comme on faisait avec les
agrandisseuses d'autrefois.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc un
post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc dégrader à
chaque fois l'image originale.
C'est ce qui fait qu'à chaque fois qu'on applique un traitement, on
dégrade l'image et on perd des niveaux (on le voit très bien avec
l'histogramme qui finit par ressembler à un peigne).
En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité par
les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd pas sur
l'image numérisée.
Encore moins pour " couleurs uniques "
Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.
J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).
Par exemple, sans l'option "Scan Image Enhancer", l'une de mes images
contenait 1.7M de couleurs contre 2.1M avec l'option.J'ai, quant à moi obtenu des résultats remarquables avec mon 5000,
au delà de ce que j'imaginais, en revanche pour les corrections sur
les corrections, je maintians , c'est desastreux
Quand j'ai des images passées, la correction ROC donne d'excellents
résultats. Sinon, je ne l'active jamais ni l'option GEM d'ailleurs.fais comme tu veux, mais la plupart du temps, il n'y avait vraiment
pas grand chose à corriger après le scanner,
Sauf pour les poussières (ICE) et les images passées (ROC) comme je
disais juste avant.Je ne saurais que t'encourager de te servir de cet appareil sans
chercher comme certains amateurs à en demander plus avant d'avoir
maîtrisé seulement les fonctions intrinsèques. C'est une tendance
assez courante, je me suis d'ailleurs toujours demandé pourquoi.
Je reconnais que je suis comme ça. Lorsque j'ai un nouveau joujou, je
commence par explorer toutes ses possibilités car je trouve ça
passionnant.
Au final, je n'en utilise qu'1% voire aucune comme toi.
Et puis surtout, dans un cas vraiment critique, je sais ce que j'ai
dans ma boîte à outils.
Comme je te dis, je m'en servais pour le boulot, la qualité étant
nickel, seul inconvénient avec un matériel pas vraiment dédié " pro
" la lenteur.
Oui, je trouve le scanner lent et aussi un peu bruyant mais bon je
crois que tous les scanners le sont.
Sauf bien sûr si l'on est prêt à mettre quelques milliers d'euros en
plus !
Juste par curiosité, je présume que tu es photographe professionnel,
non ?
quant à " analogique " je ne vois pas ?
Quand je dis "analogique", je parle de traitement effectué à la source
avant même que l'image ne soit scannée sous forme numérique.
Le traitement analogique agit sur l'intensité électrique de la lampe
ou sur l'intensité des rouge/vert/bleu comme on faisait avec les
agrandisseuses d'autrefois.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc un
post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc dégrader à
chaque fois l'image originale.
C'est ce qui fait qu'à chaque fois qu'on applique un traitement, on
dégrade l'image et on perd des niveaux (on le voit très bien avec
l'histogramme qui finit par ressembler à un peigne).
En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité par
les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd pas sur
l'image numérisée.
Encore moins pour " couleurs uniques "
Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.
J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).
Par exemple, sans l'option "Scan Image Enhancer", l'une de mes images
contenait 1.7M de couleurs contre 2.1M avec l'option.
J'ai, quant à moi obtenu des résultats remarquables avec mon 5000,
au delà de ce que j'imaginais, en revanche pour les corrections sur
les corrections, je maintians , c'est desastreux
Quand j'ai des images passées, la correction ROC donne d'excellents
résultats. Sinon, je ne l'active jamais ni l'option GEM d'ailleurs.
fais comme tu veux, mais la plupart du temps, il n'y avait vraiment
pas grand chose à corriger après le scanner,
Sauf pour les poussières (ICE) et les images passées (ROC) comme je
disais juste avant.
Je ne saurais que t'encourager de te servir de cet appareil sans
chercher comme certains amateurs à en demander plus avant d'avoir
maîtrisé seulement les fonctions intrinsèques. C'est une tendance
assez courante, je me suis d'ailleurs toujours demandé pourquoi.
Je reconnais que je suis comme ça. Lorsque j'ai un nouveau joujou, je
commence par explorer toutes ses possibilités car je trouve ça
passionnant.
Au final, je n'en utilise qu'1% voire aucune comme toi.
Et puis surtout, dans un cas vraiment critique, je sais ce que j'ai
dans ma boîte à outils.
Comme je te dis, je m'en servais pour le boulot, la qualité étant
nickel, seul inconvénient avec un matériel pas vraiment dédié " pro
" la lenteur.
Oui, je trouve le scanner lent et aussi un peu bruyant mais bon je
crois que tous les scanners le sont.
Sauf bien sûr si l'on est prêt à mettre quelques milliers d'euros en
plus !
Juste par curiosité, je présume que tu es photographe professionnel,
non ?
quant à " analogique " je ne vois pas ?
Quand je dis "analogique", je parle de traitement effectué à la source
avant même que l'image ne soit scannée sous forme numérique.
Le traitement analogique agit sur l'intensité électrique de la lampe
ou sur l'intensité des rouge/vert/bleu comme on faisait avec les
agrandisseuses d'autrefois.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc un
post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc dégrader à
chaque fois l'image originale.
C'est ce qui fait qu'à chaque fois qu'on applique un traitement, on
dégrade l'image et on perd des niveaux (on le voit très bien avec
l'histogramme qui finit par ressembler à un peigne).
En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité par
les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd pas sur
l'image numérisée.
Encore moins pour " couleurs uniques "
Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.
J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).
Par exemple, sans l'option "Scan Image Enhancer", l'une de mes images
contenait 1.7M de couleurs contre 2.1M avec l'option.J'ai, quant à moi obtenu des résultats remarquables avec mon 5000,
au delà de ce que j'imaginais, en revanche pour les corrections sur
les corrections, je maintians , c'est desastreux
Quand j'ai des images passées, la correction ROC donne d'excellents
résultats. Sinon, je ne l'active jamais ni l'option GEM d'ailleurs.fais comme tu veux, mais la plupart du temps, il n'y avait vraiment
pas grand chose à corriger après le scanner,
Sauf pour les poussières (ICE) et les images passées (ROC) comme je
disais juste avant.Je ne saurais que t'encourager de te servir de cet appareil sans
chercher comme certains amateurs à en demander plus avant d'avoir
maîtrisé seulement les fonctions intrinsèques. C'est une tendance
assez courante, je me suis d'ailleurs toujours demandé pourquoi.
Je reconnais que je suis comme ça. Lorsque j'ai un nouveau joujou, je
commence par explorer toutes ses possibilités car je trouve ça
passionnant.
Au final, je n'en utilise qu'1% voire aucune comme toi.
Et puis surtout, dans un cas vraiment critique, je sais ce que j'ai
dans ma boîte à outils.
Comme je te dis, je m'en servais pour le boulot, la qualité étant
nickel, seul inconvénient avec un matériel pas vraiment dédié " pro
" la lenteur.
Oui, je trouve le scanner lent et aussi un peu bruyant mais bon je
crois que tous les scanners le sont.
Sauf bien sûr si l'on est prêt à mettre quelques milliers d'euros en
plus !
Juste par curiosité, je présume que tu es photographe professionnel,
non ?
à mon avis pas du tout, la source est stable, il n'y a pas de filtres.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discre t)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc un
post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc dégrader à
chaque fois l'image originale.
je ne sais pas où tu es allé chercher ça ?
En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité par
les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd pas sur
l'image numérisée.
tu fais erreur, on 'en est plus aux têtes couleur.
Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.
je ne vois toujours pas ce qu'on appelle " couleurs uniques "
J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).
tu as vraiment des conceptions étranges ?
Tu as raison d'explorer, mais non, 1 % c'est quand même peu !
j'étais, le numérique est passé nous ratiboiser la tronche :=)
à mon avis pas du tout, la source est stable, il n'y a pas de filtres.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discre t)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc un
post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc dégrader à
chaque fois l'image originale.
je ne sais pas où tu es allé chercher ça ?
En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité par
les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd pas sur
l'image numérisée.
tu fais erreur, on 'en est plus aux têtes couleur.
Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.
je ne vois toujours pas ce qu'on appelle " couleurs uniques "
J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).
tu as vraiment des conceptions étranges ?
Tu as raison d'explorer, mais non, 1 % c'est quand même peu !
j'étais, le numérique est passé nous ratiboiser la tronche :=)
à mon avis pas du tout, la source est stable, il n'y a pas de filtres.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discre t)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc un
post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc dégrader à
chaque fois l'image originale.
je ne sais pas où tu es allé chercher ça ?
En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité par
les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd pas sur
l'image numérisée.
tu fais erreur, on 'en est plus aux têtes couleur.
Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.
je ne vois toujours pas ce qu'on appelle " couleurs uniques "
J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).
tu as vraiment des conceptions étranges ?
Tu as raison d'explorer, mais non, 1 % c'est quand même peu !
j'étais, le numérique est passé nous ratiboiser la tronche :=)
On 10 mai, 14:07, "delestaque" wrote:à mon avis pas du tout, la source est stable, il n'y a pas de
filtres.
J'ai lu dans le manuel que l'on pouvait ajuster la quantité de lumière
rouge/vert/bleu à envoyer sur le négatif pour le scan.
Là, je suis au boulot mais dès que j'aurai la main sur le manuel, je
rapporterai ce que j'ai lu ici.En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc
un post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc
dégrader à chaque fois l'image originale.je ne sais pas où tu es allé chercher ça ?
Ben, ça vient de mes cours d'électroniques et d'informatique (à moins
bien sûr que nous ne parlions pas de la même chose ce qui est
possible).
En numérique, un pixel de l'image a une composante de rouge, de vert
et de bleu (RVB).
Donc un pixel codé sur 8 bits a 256 niveaux possibles pour une
composante, 16384 sur 14 bits, 65536 sur 16 bits.
Tout ça pour dire qu'avec 14 bits (par exemple), on ne représente que
16384 niveaux par rapport à l'infinité qui existe dans la lumière
(analogique).
Ceci explique les erreurs engendrées à chaque calcul/filtre.
En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité
par les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd
pas sur l'image numérisée.tu fais erreur, on 'en est plus aux têtes couleur.
L'agrandiseuse, c'était juste un exemple pour illustrer. Dans le
scanner, je crois que ce sont des LEDs.Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.je ne vois toujours pas ce qu'on appelle " couleurs uniques "
Effectivement, dans IrfanView, ils disent "couleurs uniques" mais on
pourrait dire couleur tout court.
C'est un abus de langage.J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).tu as vraiment des conceptions étranges ?
Un histogramme bien réparti, c'est bien la preuve d'une exposition
correcte, non ?Tu as raison d'explorer, mais non, 1 % c'est quand même peu !
Oui mais comme tu disais, la majorité des clichés ne nécessitent pas
de retouche.
Pour moi, le 1%, c'est le filtre à poussière ICE du Nikon.j'étais, le numérique est passé nous ratiboiser la tronche :=)
Ceci dit, j'ai lu que les derniers numériques offraient maintenant des
performances similaires aux argentiques.
On 10 mai, 14:07, "delestaque" <r.delesta...@free.fr> wrote:
à mon avis pas du tout, la source est stable, il n'y a pas de
filtres.
J'ai lu dans le manuel que l'on pouvait ajuster la quantité de lumière
rouge/vert/bleu à envoyer sur le négatif pour le scan.
Là, je suis au boulot mais dès que j'aurai la main sur le manuel, je
rapporterai ce que j'ai lu ici.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc
un post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc
dégrader à chaque fois l'image originale.
je ne sais pas où tu es allé chercher ça ?
Ben, ça vient de mes cours d'électroniques et d'informatique (à moins
bien sûr que nous ne parlions pas de la même chose ce qui est
possible).
En numérique, un pixel de l'image a une composante de rouge, de vert
et de bleu (RVB).
Donc un pixel codé sur 8 bits a 256 niveaux possibles pour une
composante, 16384 sur 14 bits, 65536 sur 16 bits.
Tout ça pour dire qu'avec 14 bits (par exemple), on ne représente que
16384 niveaux par rapport à l'infinité qui existe dans la lumière
(analogique).
Ceci explique les erreurs engendrées à chaque calcul/filtre.
En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité
par les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd
pas sur l'image numérisée.
tu fais erreur, on 'en est plus aux têtes couleur.
L'agrandiseuse, c'était juste un exemple pour illustrer. Dans le
scanner, je crois que ce sont des LEDs.
Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.
je ne vois toujours pas ce qu'on appelle " couleurs uniques "
Effectivement, dans IrfanView, ils disent "couleurs uniques" mais on
pourrait dire couleur tout court.
C'est un abus de langage.
J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).
tu as vraiment des conceptions étranges ?
Un histogramme bien réparti, c'est bien la preuve d'une exposition
correcte, non ?
Tu as raison d'explorer, mais non, 1 % c'est quand même peu !
Oui mais comme tu disais, la majorité des clichés ne nécessitent pas
de retouche.
Pour moi, le 1%, c'est le filtre à poussière ICE du Nikon.
j'étais, le numérique est passé nous ratiboiser la tronche :=)
Ceci dit, j'ai lu que les derniers numériques offraient maintenant des
performances similaires aux argentiques.
On 10 mai, 14:07, "delestaque" wrote:à mon avis pas du tout, la source est stable, il n'y a pas de
filtres.
J'ai lu dans le manuel que l'on pouvait ajuster la quantité de lumière
rouge/vert/bleu à envoyer sur le négatif pour le scan.
Là, je suis au boulot mais dès que j'aurai la main sur le manuel, je
rapporterai ce que j'ai lu ici.En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc
un post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc
dégrader à chaque fois l'image originale.je ne sais pas où tu es allé chercher ça ?
Ben, ça vient de mes cours d'électroniques et d'informatique (à moins
bien sûr que nous ne parlions pas de la même chose ce qui est
possible).
En numérique, un pixel de l'image a une composante de rouge, de vert
et de bleu (RVB).
Donc un pixel codé sur 8 bits a 256 niveaux possibles pour une
composante, 16384 sur 14 bits, 65536 sur 16 bits.
Tout ça pour dire qu'avec 14 bits (par exemple), on ne représente que
16384 niveaux par rapport à l'infinité qui existe dans la lumière
(analogique).
Ceci explique les erreurs engendrées à chaque calcul/filtre.
En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité
par les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd
pas sur l'image numérisée.tu fais erreur, on 'en est plus aux têtes couleur.
L'agrandiseuse, c'était juste un exemple pour illustrer. Dans le
scanner, je crois que ce sont des LEDs.Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.je ne vois toujours pas ce qu'on appelle " couleurs uniques "
Effectivement, dans IrfanView, ils disent "couleurs uniques" mais on
pourrait dire couleur tout court.
C'est un abus de langage.J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).tu as vraiment des conceptions étranges ?
Un histogramme bien réparti, c'est bien la preuve d'une exposition
correcte, non ?Tu as raison d'explorer, mais non, 1 % c'est quand même peu !
Oui mais comme tu disais, la majorité des clichés ne nécessitent pas
de retouche.
Pour moi, le 1%, c'est le filtre à poussière ICE du Nikon.j'étais, le numérique est passé nous ratiboiser la tronche :=)
Ceci dit, j'ai lu que les derniers numériques offraient maintenant des
performances similaires aux argentiques.
On 10 mai, 14:07, "delestaque" wrote:à mon avis pas du tout, la source est stable, il n'y a pas de
filtres.
J'ai lu dans le manuel que l'on pouvait ajuster la quantité de lumière
rouge/vert/bleu à envoyer sur le négatif pour le scan.
Là, je suis au boulot mais dès que j'aurai la main sur le manuel, je
rapporterai ce que j'ai lu ici.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc
un post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc
dégrader à chaque fois l'image originale.je ne sais pas où tu es allé chercher ça ?
Ben, ça vient de mes cours d'électroniques et d'informatique (à moins
bien sûr que nous ne parlions pas de la même chose ce qui est
possible).
En numérique, un pixel de l'image a une composante de rouge, de vert
et de bleu (RVB).
Donc un pixel codé sur 8 bits a 256 niveaux possibles pour une
composante, 16384 sur 14 bits, 65536 sur 16 bits.
Tout ça pour dire qu'avec 14 bits (par exemple), on ne représente que
16384 niveaux par rapport à l'infinité qui existe dans la lumière
(analogique).
Ceci explique les erreurs engendrées à chaque calcul/filtre.En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité
par les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd
pas sur l'image numérisée.tu fais erreur, on 'en est plus aux têtes couleur.
L'agrandiseuse, c'était juste un exemple pour illustrer. Dans le
scanner, je crois que ce sont des LEDs.
Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.je ne vois toujours pas ce qu'on appelle " couleurs uniques "
Effectivement, dans IrfanView, ils disent "couleurs uniques" mais on
pourrait dire couleur tout court.
C'est un abus de langage.
J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).tu as vraiment des conceptions étranges ?
Un histogramme bien réparti, c'est bien la preuve d'une exposition
correcte, non ?
Tu as raison d'explorer, mais non, 1 % c'est quand même peu !
Oui mais comme tu disais, la majorité des clichés ne nécessitent pas
de retouche.
Pour moi, le 1%, c'est le filtre à poussière ICE du Nikon.j'étais, le numérique est passé nous ratiboiser la tronche :=)
Ceci dit, j'ai lu que les derniers numériques offraient maintenant des
performances similaires aux argentiques.
On 10 mai, 14:07, "delestaque" <r.delesta...@free.fr> wrote:
à mon avis pas du tout, la source est stable, il n'y a pas de
filtres.
J'ai lu dans le manuel que l'on pouvait ajuster la quantité de lumière
rouge/vert/bleu à envoyer sur le négatif pour le scan.
Là, je suis au boulot mais dès que j'aurai la main sur le manuel, je
rapporterai ce que j'ai lu ici.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc
un post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc
dégrader à chaque fois l'image originale.
je ne sais pas où tu es allé chercher ça ?
Ben, ça vient de mes cours d'électroniques et d'informatique (à moins
bien sûr que nous ne parlions pas de la même chose ce qui est
possible).
En numérique, un pixel de l'image a une composante de rouge, de vert
et de bleu (RVB).
Donc un pixel codé sur 8 bits a 256 niveaux possibles pour une
composante, 16384 sur 14 bits, 65536 sur 16 bits.
Tout ça pour dire qu'avec 14 bits (par exemple), on ne représente que
16384 niveaux par rapport à l'infinité qui existe dans la lumière
(analogique).
Ceci explique les erreurs engendrées à chaque calcul/filtre.
En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité
par les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd
pas sur l'image numérisée.
tu fais erreur, on 'en est plus aux têtes couleur.
L'agrandiseuse, c'était juste un exemple pour illustrer. Dans le
scanner, je crois que ce sont des LEDs.
Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.
je ne vois toujours pas ce qu'on appelle " couleurs uniques "
Effectivement, dans IrfanView, ils disent "couleurs uniques" mais on
pourrait dire couleur tout court.
C'est un abus de langage.
J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).
tu as vraiment des conceptions étranges ?
Un histogramme bien réparti, c'est bien la preuve d'une exposition
correcte, non ?
Tu as raison d'explorer, mais non, 1 % c'est quand même peu !
Oui mais comme tu disais, la majorité des clichés ne nécessitent pas
de retouche.
Pour moi, le 1%, c'est le filtre à poussière ICE du Nikon.
j'étais, le numérique est passé nous ratiboiser la tronche :=)
Ceci dit, j'ai lu que les derniers numériques offraient maintenant des
performances similaires aux argentiques.
On 10 mai, 14:07, "delestaque" wrote:à mon avis pas du tout, la source est stable, il n'y a pas de
filtres.
J'ai lu dans le manuel que l'on pouvait ajuster la quantité de lumière
rouge/vert/bleu à envoyer sur le négatif pour le scan.
Là, je suis au boulot mais dès que j'aurai la main sur le manuel, je
rapporterai ce que j'ai lu ici.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc
un post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc
dégrader à chaque fois l'image originale.je ne sais pas où tu es allé chercher ça ?
Ben, ça vient de mes cours d'électroniques et d'informatique (à moins
bien sûr que nous ne parlions pas de la même chose ce qui est
possible).
En numérique, un pixel de l'image a une composante de rouge, de vert
et de bleu (RVB).
Donc un pixel codé sur 8 bits a 256 niveaux possibles pour une
composante, 16384 sur 14 bits, 65536 sur 16 bits.
Tout ça pour dire qu'avec 14 bits (par exemple), on ne représente que
16384 niveaux par rapport à l'infinité qui existe dans la lumière
(analogique).
Ceci explique les erreurs engendrées à chaque calcul/filtre.En analogique, le nombre de niveaux est illimité (ou plutôt limité
par les lois de la physique donc presque illimité) donc on ne perd
pas sur l'image numérisée.tu fais erreur, on 'en est plus aux têtes couleur.
L'agrandiseuse, c'était juste un exemple pour illustrer. Dans le
scanner, je crois que ce sont des LEDs.
Je me suis servi du terme utilisé par IrfanView avec lequel je fais
toutes mes previews. Le logiciel compte simplement le nombre de
couleurs uniques contenues dans l'image.je ne vois toujours pas ce qu'on appelle " couleurs uniques "
Effectivement, dans IrfanView, ils disent "couleurs uniques" mais on
pourrait dire couleur tout court.
C'est un abus de langage.
J'aurai tendance à dire que plus l'image contient de couleurs, plus
l'exposition est correcte (sinon on perdrait des couleurs par
saturation à gauche ou à droite de l'histogramme).tu as vraiment des conceptions étranges ?
Un histogramme bien réparti, c'est bien la preuve d'une exposition
correcte, non ?
Tu as raison d'explorer, mais non, 1 % c'est quand même peu !
Oui mais comme tu disais, la majorité des clichés ne nécessitent pas
de retouche.
Pour moi, le 1%, c'est le filtre à poussière ICE du Nikon.j'étais, le numérique est passé nous ratiboiser la tronche :=)
Ceci dit, j'ai lu que les derniers numériques offraient maintenant des
performances similaires aux argentiques.
J'ai lu dans le manuel que l'on pouvait ajuster la quantité de lumière
rouge/vert/bleu à envoyer sur le négatif pour le scan.
Là, je suis au boulot mais dès que j'aurai la main sur le manuel, je
rapporterai ce que j'ai lu ici.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc un
post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc dégrader à
chaque fois l'image originale.
Un histogramme bien réparti, c'est bien la preuve d'une exposition
correcte, non ?
Ceci dit, j'ai lu que les derniers numériques offraient maintenant des
performances similaires aux argentiques.
J'ai lu dans le manuel que l'on pouvait ajuster la quantité de lumière
rouge/vert/bleu à envoyer sur le négatif pour le scan.
Là, je suis au boulot mais dès que j'aurai la main sur le manuel, je
rapporterai ce que j'ai lu ici.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc un
post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc dégrader à
chaque fois l'image originale.
Un histogramme bien réparti, c'est bien la preuve d'une exposition
correcte, non ?
Ceci dit, j'ai lu que les derniers numériques offraient maintenant des
performances similaires aux argentiques.
J'ai lu dans le manuel que l'on pouvait ajuster la quantité de lumière
rouge/vert/bleu à envoyer sur le négatif pour le scan.
Là, je suis au boulot mais dès que j'aurai la main sur le manuel, je
rapporterai ce que j'ai lu ici.
En numérique, le nombre de niveaux de lumière est limité (~ discret)
par la taille du codage de chaque composante (8/14/16/32 bits) donc un
post-traitement numérique va engendrer une erreur et donc dégrader à
chaque fois l'image originale.
Un histogramme bien réparti, c'est bien la preuve d'une exposition
correcte, non ?
Ceci dit, j'ai lu que les derniers numériques offraient maintenant des
performances similaires aux argentiques.