De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
Albert ARIBAUD a utilisé son clavier pour écrire :Oui, bonne année à vous aussi.
Excellente année à vous aussi !
Alors, parmi vos bonnes résolutions 2015, vous avez décidé
de vous inscrire en première année de droit ? :-)
Albert ARIBAUD a utilisé son clavier pour écrire :
Oui, bonne année à vous aussi.
Excellente année à vous aussi !
Alors, parmi vos bonnes résolutions 2015, vous avez décidé
de vous inscrire en première année de droit ? :-)
Albert ARIBAUD a utilisé son clavier pour écrire :Oui, bonne année à vous aussi.
Excellente année à vous aussi !
Alors, parmi vos bonnes résolutions 2015, vous avez décidé
de vous inscrire en première année de droit ? :-)
Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 09:05:33 GMT, jr a écrit :Albert ARIBAUD wrote:Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr a écrit :Albert ARIBAUD wrote:Bonjour ,
Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100,
a écrit :Bonjour
Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
adverse bien avant le procès !
Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
Le droit, lui, voit pourquoi.y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
droit (français en tout cas).
Si, au pénal.
JE serais intéressé par au moins un tel cas.
Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple. Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
affaires corses.
Je ne parlais pas de bouleversement du procès qui, oui, peuvent arriver,
mais de pièces apportées à la procédures /in extremis/ par une partie.De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
Tout à fait, mais ici, la question est : peut-il y arriver quelque
chose qui défie le principe du contradictoire ?
Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 09:05:33 GMT, jr <jqs@froc.net> a écrit :
Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr <jqs@froc.net> a écrit :
Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
Bonjour none@none.nowhere.xxx,
Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100, none@none.nowhere.xxx
<none@none.nowhere.xxx> a écrit :
Bonjour
Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
adverse bien avant le procès !
Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
Le droit, lui, voit pourquoi.
y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
droit (français en tout cas).
Si, au pénal.
JE serais intéressé par au moins un tel cas.
Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple. Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
affaires corses.
Je ne parlais pas de bouleversement du procès qui, oui, peuvent arriver,
mais de pièces apportées à la procédures /in extremis/ par une partie.
De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
Tout à fait, mais ici, la question est : peut-il y arriver quelque
chose qui défie le principe du contradictoire ?
Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 09:05:33 GMT, jr a écrit :Albert ARIBAUD wrote:Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr a écrit :Albert ARIBAUD wrote:Bonjour ,
Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100,
a écrit :Bonjour
Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
adverse bien avant le procès !
Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
Le droit, lui, voit pourquoi.y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
droit (français en tout cas).
Si, au pénal.
JE serais intéressé par au moins un tel cas.
Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple. Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
affaires corses.
Je ne parlais pas de bouleversement du procès qui, oui, peuvent arriver,
mais de pièces apportées à la procédures /in extremis/ par une partie.De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
Tout à fait, mais ici, la question est : peut-il y arriver quelque
chose qui défie le principe du contradictoire ?
Albert ARIBAUD wrote:
> Bonjour jr,
>
> Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr a écrit :
>
>> Albert ARIBAUD wrote:
>>> Bonjour ,
>>>
>>> Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100,
>>> a écrit :
>>>
>>>> Bonjour
>>>>
>>>> Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
>>>> rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
>>>> question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
>>>>
>>>> Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
>>>> adverse bien avant le procès !
>>>>
>>>> Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
>>>> l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
>>>
>>> Le droit, lui, voit pourquoi.
>>>
>>>> y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
>>>
>>> Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
>>> qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
>>> avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
>>> effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
>>> Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
>>> droit (français en tout cas).
>>
>> Si, au pénal.
>
> JE serais intéressé par au moins un tel cas.
Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple.
Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
affaires corses.
De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
> Bonjour jr,
>
> Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr <jqs@froc.net> a écrit :
>
>> Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
>>> Bonjour none@none.nowhere.xxx,
>>>
>>> Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100, none@none.nowhere.xxx
>>> <none@none.nowhere.xxx> a écrit :
>>>
>>>> Bonjour
>>>>
>>>> Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
>>>> rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
>>>> question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
>>>>
>>>> Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
>>>> adverse bien avant le procès !
>>>>
>>>> Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
>>>> l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
>>>
>>> Le droit, lui, voit pourquoi.
>>>
>>>> y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
>>>
>>> Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
>>> qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
>>> avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
>>> effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
>>> Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
>>> droit (français en tout cas).
>>
>> Si, au pénal.
>
> JE serais intéressé par au moins un tel cas.
Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple.
Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
affaires corses.
De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
Albert ARIBAUD wrote:
> Bonjour jr,
>
> Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr a écrit :
>
>> Albert ARIBAUD wrote:
>>> Bonjour ,
>>>
>>> Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100,
>>> a écrit :
>>>
>>>> Bonjour
>>>>
>>>> Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
>>>> rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
>>>> question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
>>>>
>>>> Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
>>>> adverse bien avant le procès !
>>>>
>>>> Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
>>>> l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
>>>
>>> Le droit, lui, voit pourquoi.
>>>
>>>> y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
>>>
>>> Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
>>> qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
>>> avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
>>> effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
>>> Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
>>> droit (français en tout cas).
>>
>> Si, au pénal.
>
> JE serais intéressé par au moins un tel cas.
Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple.
Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
affaires corses.
De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 09:05:33 GMT, jr a écrit :
> Albert ARIBAUD wrote:
> > Bonjour jr,
> >
> > Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr a écrit :
> >
> >> Albert ARIBAUD wrote:
> >>> Bonjour ,
> >>>
> >>> Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100,
> >>> a écrit :
> >>>
> >>>> Bonjour
> >>>>
> >>>> Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
> >>>> rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
> >>>> question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
> >>>>
> >>>> Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
> >>>> adverse bien avant le procès !
> >>>>
> >>>> Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
> >>>> l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
> >>>
> >>> Le droit, lui, voit pourquoi.
> >>>
> >>>> y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
> >>>
> >>> Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
> >>> qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
> >>> avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
> >>> effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
> >>> Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
> >>> droit (français en tout cas).
> >>
> >> Si, au pénal.
> >
> > JE serais intéressé par au moins un tel cas.
>
> Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
> exemple. Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
> Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
> affaires corses.
Je ne parlais pas de bouleversement du procès qui, oui, peuvent arriver,
mais de pièces apportées à la procédures /in extremis/ par une partie.
> De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
> les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
> d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
> peut arriver.
Tout à fait, mais ici, la question est : peut-il y arriver quelque
chose qui défie le principe du contradictoire ?
Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 09:05:33 GMT, jr <jqs@froc.net> a écrit :
> Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
> > Bonjour jr,
> >
> > Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr <jqs@froc.net> a écrit :
> >
> >> Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
> >>> Bonjour none@none.nowhere.xxx,
> >>>
> >>> Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100, none@none.nowhere.xxx
> >>> <none@none.nowhere.xxx> a écrit :
> >>>
> >>>> Bonjour
> >>>>
> >>>> Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
> >>>> rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
> >>>> question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
> >>>>
> >>>> Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
> >>>> adverse bien avant le procès !
> >>>>
> >>>> Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
> >>>> l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
> >>>
> >>> Le droit, lui, voit pourquoi.
> >>>
> >>>> y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
> >>>
> >>> Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
> >>> qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
> >>> avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
> >>> effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
> >>> Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
> >>> droit (français en tout cas).
> >>
> >> Si, au pénal.
> >
> > JE serais intéressé par au moins un tel cas.
>
> Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
> exemple. Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
> Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
> affaires corses.
Je ne parlais pas de bouleversement du procès qui, oui, peuvent arriver,
mais de pièces apportées à la procédures /in extremis/ par une partie.
> De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
> les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
> d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
> peut arriver.
Tout à fait, mais ici, la question est : peut-il y arriver quelque
chose qui défie le principe du contradictoire ?
Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 09:05:33 GMT, jr a écrit :
> Albert ARIBAUD wrote:
> > Bonjour jr,
> >
> > Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr a écrit :
> >
> >> Albert ARIBAUD wrote:
> >>> Bonjour ,
> >>>
> >>> Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100,
> >>> a écrit :
> >>>
> >>>> Bonjour
> >>>>
> >>>> Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
> >>>> rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
> >>>> question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
> >>>>
> >>>> Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
> >>>> adverse bien avant le procès !
> >>>>
> >>>> Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
> >>>> l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
> >>>
> >>> Le droit, lui, voit pourquoi.
> >>>
> >>>> y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
> >>>
> >>> Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
> >>> qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
> >>> avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
> >>> effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
> >>> Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
> >>> droit (français en tout cas).
> >>
> >> Si, au pénal.
> >
> > JE serais intéressé par au moins un tel cas.
>
> Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
> exemple. Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
> Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
> affaires corses.
Je ne parlais pas de bouleversement du procès qui, oui, peuvent arriver,
mais de pièces apportées à la procédures /in extremis/ par une partie.
> De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
> les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
> d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
> peut arriver.
Tout à fait, mais ici, la question est : peut-il y arriver quelque
chose qui défie le principe du contradictoire ?
Bonjour
Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire rembourser
une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la question) j'ai
rédigé un mémoire avec mon avocat
Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie adverse
bien avant le procès !
Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ? Est ce
un usage entre avocats qui se soutiennent mutuellement ? Ou encore mon propre
conseil est il simplement un grand naif ?
Merci
Bonjour
Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire rembourser
une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la question) j'ai
rédigé un mémoire avec mon avocat
Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie adverse
bien avant le procès !
Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ? Est ce
un usage entre avocats qui se soutiennent mutuellement ? Ou encore mon propre
conseil est il simplement un grand naif ?
Merci
Bonjour
Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire rembourser
une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la question) j'ai
rédigé un mémoire avec mon avocat
Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie adverse
bien avant le procès !
Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ? Est ce
un usage entre avocats qui se soutiennent mutuellement ? Ou encore mon propre
conseil est il simplement un grand naif ?
Merci
jr wrote:Albert ARIBAUD wrote:Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr a écrit :Albert ARIBAUD wrote:Bonjour ,
Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100,
a écrit :Bonjour
Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
adverse bien avant le procès !
Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
Le droit, lui, voit pourquoi.y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
droit (français en tout cas).
Si, au pénal.
JE serais intéressé par au moins un tel cas.
Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple.
Et le juge prononce alors le report du procès pour que puisse être
effectué un complément d'information.
Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
La mise en pièces d'un témoin ou d'un expert fait partie de la procédure
contradictoire.Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
affaires corses.
De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
Il paraît que c'est mieux, la justice exercée par un jury populaire "au
nom du peuple français".
jr <jqs@froc.net> wrote:
Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr <jqs@froc.net> a écrit :
Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
Bonjour none@none.nowhere.xxx,
Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100, none@none.nowhere.xxx
<none@none.nowhere.xxx> a écrit :
Bonjour
Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
adverse bien avant le procès !
Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
Le droit, lui, voit pourquoi.
y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
droit (français en tout cas).
Si, au pénal.
JE serais intéressé par au moins un tel cas.
Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple.
Et le juge prononce alors le report du procès pour que puisse être
effectué un complément d'information.
Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
La mise en pièces d'un témoin ou d'un expert fait partie de la procédure
contradictoire.
Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
affaires corses.
De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
Il paraît que c'est mieux, la justice exercée par un jury populaire "au
nom du peuple français".
jr wrote:Albert ARIBAUD wrote:Bonjour jr,
Le 02 Jan 2015 07:59:27 GMT, jr a écrit :Albert ARIBAUD wrote:Bonjour ,
Le Thu, 01 Jan 2015 23:00:55 +0100,
a écrit :Bonjour
Dans un proces au TGI (attaqué par mon locataire qui veut se faire
rembourser une connerie qu'il à faite - histoire sans rapport avec la
question) j'ai rédigé un mémoire avec mon avocat
Or celui ci veut absolument le communiquer à l'avocat de la partie
adverse bien avant le procès !
Je ne vois pas pourquoi nous donnerions nos arguments à l'attaquant à
l'avance pour qu'il prépare des réponses à nos argument.
Le droit, lui, voit pourquoi.y'a t'il un quelconque fondement juridique à cette manière de faire ?
Oui : ça s'appelle la procédure contradictoire, ce qui ne signifie pas
qu'elle soit illogique mais qu'elle impose que chaque partie puisse
avoir le même accès aux éléments du procès. Autrement dit, que les
effets du genre "preuve flagrante plaquée sous le nez du juge par Perry
Mason à la dernière minute" ne sont que ça : du Perry Mason, pas du
droit (français en tout cas).
Si, au pénal.
JE serais intéressé par au moins un tel cas.
Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple.
Et le juge prononce alors le report du procès pour que puisse être
effectué un complément d'information.
Ou la mise en pièces d'un témoin ou d'un expert, voyez Outreau.
La mise en pièces d'un témoin ou d'un expert fait partie de la procédure
contradictoire.Procès Muller l'année dernière. Une rétractation d'accusateur, voyez les
affaires corses.
De toutes façons la procédure est orale au point qu'on finit par détruire
les minutes. Le président a un pouvoir discrétionnaire y compris
d'instruction et la cour et le jury doivent siéger sans désemparer. Tout
peut arriver.
Il paraît que c'est mieux, la justice exercée par un jury populaire "au
nom du peuple français".
Dominique G. wrote:
> jr wrote:
>> Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
>> exemple.
>
> Et le juge prononce alors le report du procès pour que puisse être
> effectué un complément d'information.
Ou pas.
> Il paraît que c'est mieux, la justice exercée par un jury populaire "au
> nom du peuple français".
C'est légitime, c'est déjà bien.
Parce que la justice exercée par un gus
qui a pour toute légitimité d'avoir passé un petit concours d'accès (dans
une école tenue par des gens qui ont passé ce petit concours avant d'aller
à l'école où etc...) et d'avoir été nommé par des gens qui ont passé le
petit concours et qui ont été nommés etc... Je veux bien que cette justice
là soit techniquement meilleure mais quand il s'agit de mettre les gens en
taule, bof.
Dominique G. <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> jr <jqs@froc.net> wrote:
>> Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
>> exemple.
>
> Et le juge prononce alors le report du procès pour que puisse être
> effectué un complément d'information.
Ou pas.
> Il paraît que c'est mieux, la justice exercée par un jury populaire "au
> nom du peuple français".
C'est légitime, c'est déjà bien.
Parce que la justice exercée par un gus
qui a pour toute légitimité d'avoir passé un petit concours d'accès (dans
une école tenue par des gens qui ont passé ce petit concours avant d'aller
à l'école où etc...) et d'avoir été nommé par des gens qui ont passé le
petit concours et qui ont été nommés etc... Je veux bien que cette justice
là soit techniquement meilleure mais quand il s'agit de mettre les gens en
taule, bof.
Dominique G. wrote:
> jr wrote:
>> Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
>> exemple.
>
> Et le juge prononce alors le report du procès pour que puisse être
> effectué un complément d'information.
Ou pas.
> Il paraît que c'est mieux, la justice exercée par un jury populaire "au
> nom du peuple français".
C'est légitime, c'est déjà bien.
Parce que la justice exercée par un gus
qui a pour toute légitimité d'avoir passé un petit concours d'accès (dans
une école tenue par des gens qui ont passé ce petit concours avant d'aller
à l'école où etc...) et d'avoir été nommé par des gens qui ont passé le
petit concours et qui ont été nommés etc... Je veux bien que cette justice
là soit techniquement meilleure mais quand il s'agit de mettre les gens en
taule, bof.
jr wrote:Dominique G. wrote:jr wrote:Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple.
Et le juge prononce alors le report du procès pour que puisse être
effectué un complément d'information.
Ou pas.
Ou pas : tout dépend de la qualité de l'aveu.
Dans certains cas, l'aveu implique d'aller rechercher un ou deux
cadavres avant de continuer...
J'ai vu ça mardi, justement dans l'affaire Douliery :
<http://www.europe1.fr/cafe-crimes/l-affaire-douliery-193355<
(...)Il paraît que c'est mieux, la justice exercée par un jury populaire "au
nom du peuple français".
C'est légitime, c'est déjà bien.
Oui, enfin bon, c'est la moindre des choses , la légitimité, quand on
parle de juger :-)Parce que la justice exercée par un gus
qui a pour toute légitimité d'avoir passé un petit concours d'accès (dans
une école tenue par des gens qui ont passé ce petit concours avant d'aller
à l'école où etc...) et d'avoir été nommé par des gens qui ont passé le
petit concours et qui ont été nommés etc... Je veux bien que cette justice
là soit techniquement meilleure mais quand il s'agit de mettre les gens en
taule, bof.
C'est sûr qu'un petit tour dans un autre métier serait bienfaisant pour
l"aspect humain.
jr <jqs@froc.net> wrote:
Dominique G. <dmkgbt@free.invalid> wrote:
jr <jqs@froc.net> wrote:
Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple.
Et le juge prononce alors le report du procès pour que puisse être
effectué un complément d'information.
Ou pas.
Ou pas : tout dépend de la qualité de l'aveu.
Dans certains cas, l'aveu implique d'aller rechercher un ou deux
cadavres avant de continuer...
J'ai vu ça mardi, justement dans l'affaire Douliery :
<http://www.europe1.fr/cafe-crimes/l-affaire-douliery-193355<
(...)
Il paraît que c'est mieux, la justice exercée par un jury populaire "au
nom du peuple français".
C'est légitime, c'est déjà bien.
Oui, enfin bon, c'est la moindre des choses , la légitimité, quand on
parle de juger :-)
Parce que la justice exercée par un gus
qui a pour toute légitimité d'avoir passé un petit concours d'accès (dans
une école tenue par des gens qui ont passé ce petit concours avant d'aller
à l'école où etc...) et d'avoir été nommé par des gens qui ont passé le
petit concours et qui ont été nommés etc... Je veux bien que cette justice
là soit techniquement meilleure mais quand il s'agit de mettre les gens en
taule, bof.
C'est sûr qu'un petit tour dans un autre métier serait bienfaisant pour
l"aspect humain.
jr wrote:Dominique G. wrote:jr wrote:Un bouleversement du procès pendant l'audience? Ça arrive. Des aveux, par
exemple.
Et le juge prononce alors le report du procès pour que puisse être
effectué un complément d'information.
Ou pas.
Ou pas : tout dépend de la qualité de l'aveu.
Dans certains cas, l'aveu implique d'aller rechercher un ou deux
cadavres avant de continuer...
J'ai vu ça mardi, justement dans l'affaire Douliery :
<http://www.europe1.fr/cafe-crimes/l-affaire-douliery-193355<
(...)Il paraît que c'est mieux, la justice exercée par un jury populaire "au
nom du peuple français".
C'est légitime, c'est déjà bien.
Oui, enfin bon, c'est la moindre des choses , la légitimité, quand on
parle de juger :-)Parce que la justice exercée par un gus
qui a pour toute légitimité d'avoir passé un petit concours d'accès (dans
une école tenue par des gens qui ont passé ce petit concours avant d'aller
à l'école où etc...) et d'avoir été nommé par des gens qui ont passé le
petit concours et qui ont été nommés etc... Je veux bien que cette justice
là soit techniquement meilleure mais quand il s'agit de mettre les gens en
taule, bof.
C'est sûr qu'un petit tour dans un autre métier serait bienfaisant pour
l"aspect humain.
Dominique G. wrote:
> jr wrote:
>> Parce que la justice exercée par un gus
>> qui a pour toute légitimité d'avoir passé un petit concours d'accès (dans
>> une école tenue par des gens qui ont passé ce petit concours avant d'aller
>> à l'école où etc...) et d'avoir été nommé par des gens qui ont passé le
>> petit concours et qui ont été nommés etc... Je veux bien que cette justice
>> là soit techniquement meilleure mais quand il s'agit de mettre les gens en
>> taule, bof.
>
> C'est sûr qu'un petit tour dans un autre métier serait bienfaisant pour
> l"aspect humain.
Ce n'est pas tout. Dans le corps des magistrats il y a un aspect
incestueux, à la fois dans la formation et dans la promotion, qui est
inquiétant. S'ils étaient appelés à l'école par une lettre amenée par un
hibou, on ne verrait pas la différence.
Dominique G. <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> jr <jqs@froc.net> wrote:
>> Parce que la justice exercée par un gus
>> qui a pour toute légitimité d'avoir passé un petit concours d'accès (dans
>> une école tenue par des gens qui ont passé ce petit concours avant d'aller
>> à l'école où etc...) et d'avoir été nommé par des gens qui ont passé le
>> petit concours et qui ont été nommés etc... Je veux bien que cette justice
>> là soit techniquement meilleure mais quand il s'agit de mettre les gens en
>> taule, bof.
>
> C'est sûr qu'un petit tour dans un autre métier serait bienfaisant pour
> l"aspect humain.
Ce n'est pas tout. Dans le corps des magistrats il y a un aspect
incestueux, à la fois dans la formation et dans la promotion, qui est
inquiétant. S'ils étaient appelés à l'école par une lettre amenée par un
hibou, on ne verrait pas la différence.
Dominique G. wrote:
> jr wrote:
>> Parce que la justice exercée par un gus
>> qui a pour toute légitimité d'avoir passé un petit concours d'accès (dans
>> une école tenue par des gens qui ont passé ce petit concours avant d'aller
>> à l'école où etc...) et d'avoir été nommé par des gens qui ont passé le
>> petit concours et qui ont été nommés etc... Je veux bien que cette justice
>> là soit techniquement meilleure mais quand il s'agit de mettre les gens en
>> taule, bof.
>
> C'est sûr qu'un petit tour dans un autre métier serait bienfaisant pour
> l"aspect humain.
Ce n'est pas tout. Dans le corps des magistrats il y a un aspect
incestueux, à la fois dans la formation et dans la promotion, qui est
inquiétant. S'ils étaient appelés à l'école par une lettre amenée par un
hibou, on ne verrait pas la différence.