Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte
de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de
couleur, j'ai fait un petit exercice.
Le sujet : une palette Color Master
L'éclairage : halogènes
Prise de vue : RAW + JPEG ambiance ciel nuageux. Mode manuel ISO 3200
À gauche l'image RAW, au centre la différence entre la jpeg et la raw, à
droite cette même différence mais en augmentant le niveau entre les deux
(c'est à dire qu'un noir pur devient gris très très clair).
Commentaires :
1. Ce qu'on voit tout de suite entre la gauche et le centre c'est la
correction de la distorsion de l'objectif qui est appliquée au JPEG
généré avec le RAW.
2. On ne voit pas de différence ailleurs sauf à se balader avec une
pipette pour se rendre compte que cet aplat noir (pas de différence)
n'est pas plat du tout.
3. Quand on pousse à fond le niveau de différence (ce qui était vraiment
noir/identique devient blanc) il apparaît des zones colorées bien
définies et qui montrent la différence de couleur entre le RAW et la
jpeg.
Si vous le souhaitez, je vous mets tous les fichiers à disposition :
- Le raw
- Le jpg
- Le tif 16 bits avec les deux photos et le masque de réglage.
Interro demain, alors retenez la lesson ;)
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Bonjour, Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de couleur, j'ai fait un petit exercice. Le sujet : une palette Color Master L'éclairage : halogènes Prise de vue : RAW + JPEG ambiance ciel nuageux. Mode manuel ISO 3200 Résultat : <https://www.cjoint.com/doc/18_12/HLAtAhRDd7v_Comparaison.jpg> À gauche l'image RAW, au centre la différence entre la jpeg et la raw, à droite cette même différence mais en augmentant le niveau entre les deux (c'est à dire qu'un noir pur devient gris très très clair). Commentaires : 1. Ce qu'on voit tout de suite entre la gauche et le centre c'est la correction de la distorsion de l'objectif qui est appliquée au JPEG généré avec le RAW.
C'est là qu'on arrête de lire. -- Pierre Maurette
Benoit :
Bonjour,
Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte
de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de
couleur, j'ai fait un petit exercice.
Le sujet : une palette Color Master
L'éclairage : halogènes
Prise de vue : RAW + JPEG ambiance ciel nuageux. Mode manuel ISO 3200
À gauche l'image RAW, au centre la différence entre la jpeg et la raw, à
droite cette même différence mais en augmentant le niveau entre les deux
(c'est à dire qu'un noir pur devient gris très très clair).
Commentaires :
1. Ce qu'on voit tout de suite entre la gauche et le centre c'est la
correction de la distorsion de l'objectif qui est appliquée au JPEG
généré avec le RAW.
Bonjour, Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de couleur, j'ai fait un petit exercice. Le sujet : une palette Color Master L'éclairage : halogènes Prise de vue : RAW + JPEG ambiance ciel nuageux. Mode manuel ISO 3200 Résultat : <https://www.cjoint.com/doc/18_12/HLAtAhRDd7v_Comparaison.jpg> À gauche l'image RAW, au centre la différence entre la jpeg et la raw, à droite cette même différence mais en augmentant le niveau entre les deux (c'est à dire qu'un noir pur devient gris très très clair). Commentaires : 1. Ce qu'on voit tout de suite entre la gauche et le centre c'est la correction de la distorsion de l'objectif qui est appliquée au JPEG généré avec le RAW.
C'est là qu'on arrête de lire. -- Pierre Maurette
Nul
Le mercredi 26 décembre 2018 20:43:12 UTC+1, Benoit a écrit :
Bonjour, Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tien t compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la températ ure de couleur, j'ai fait un petit exercice.
là on vois clairement que soit : tu ne sais pas lire tu ne comprends pas ça te dépasses Le dire encore autrement, le RAW est traduit suivant les choix de l'utilisateur ou par défaut du boîtier. Le RAW reste le RAW et restera toujours inchangé. Tu ne sais pas afficher un RAW, ce que tu vois c'est une traduction de ton lecteur de RAW. tu es vraiment très obnubilé par tes propres errances.
Le mercredi 26 décembre 2018 20:43:12 UTC+1, Benoit a écrit :
Bonjour,
Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tien t compte
de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la températ ure de
couleur, j'ai fait un petit exercice.
là on vois clairement que soit :
tu ne sais pas lire
tu ne comprends pas
ça te dépasses
Le dire encore autrement,
le RAW est traduit suivant les choix de l'utilisateur ou par défaut du boîtier.
Le RAW reste le RAW et restera toujours inchangé.
Tu ne sais pas afficher un RAW, ce que tu vois c'est une traduction de ton lecteur de RAW.
tu es vraiment très obnubilé par tes propres errances.
Le mercredi 26 décembre 2018 20:43:12 UTC+1, Benoit a écrit :
Bonjour, Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tien t compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la températ ure de couleur, j'ai fait un petit exercice.
là on vois clairement que soit : tu ne sais pas lire tu ne comprends pas ça te dépasses Le dire encore autrement, le RAW est traduit suivant les choix de l'utilisateur ou par défaut du boîtier. Le RAW reste le RAW et restera toujours inchangé. Tu ne sais pas afficher un RAW, ce que tu vois c'est une traduction de ton lecteur de RAW. tu es vraiment très obnubilé par tes propres errances.
Stephane Legras-Decussy
Le 26/12/2018 à 20:43, Benoit a écrit :
Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de couleur,
bien sur que non. le raw ne tient compte de rien, point barre. pour afficher le raw, il faut choisir une T° de couleur. là manisfestement la mire de gauche a été photographié en halogène et derawtisée en choisissant une T° ciel nuageux... oui et ? il suffit de cliquer sur T° de couleur halogène pour qu'elle soit bien. les images centre et droite n'ont aucun interet.
Le 26/12/2018 à 20:43, Benoit a écrit :
Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte
de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de
couleur,
bien sur que non.
le raw ne tient compte de rien, point barre.
pour afficher le raw, il faut choisir une T° de couleur.
là manisfestement la mire de gauche a été photographié en halogène et
derawtisée en choisissant une T° ciel nuageux... oui et ?
il suffit de cliquer sur T° de couleur halogène pour qu'elle soit bien.
Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de couleur,
bien sur que non. le raw ne tient compte de rien, point barre. pour afficher le raw, il faut choisir une T° de couleur. là manisfestement la mire de gauche a été photographié en halogène et derawtisée en choisissant une T° ciel nuageux... oui et ? il suffit de cliquer sur T° de couleur halogène pour qu'elle soit bien. les images centre et droite n'ont aucun interet.
Thierry Houx
Le 26/12/2018 à 20:43, Benoit a écrit :
Bonjour, Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de couleur, j'ai fait un petit exercice. Le sujet : une palette Color Master L'éclairage : halogènes Prise de vue : RAW + JPEG ambiance ciel nuageux. Mode manuel ISO 3200 Résultat : <https://www.cjoint.com/doc/18_12/HLAtAhRDd7v_Comparaison.jpg> À gauche l'image RAW, au centre la différence entre la jpeg et la raw, à droite cette même différence mais en augmentant le niveau entre les deux (c'est à dire qu'un noir pur devient gris très très clair). Commentaires : 1. Ce qu'on voit tout de suite entre la gauche et le centre c'est la correction de la distorsion de l'objectif qui est appliquée au JPEG généré avec le RAW. 2. On ne voit pas de différence ailleurs sauf à se balader avec une pipette pour se rendre compte que cet aplat noir (pas de différence) n'est pas plat du tout. 3. Quand on pousse à fond le niveau de différence (ce qui était vraiment noir/identique devient blanc) il apparaît des zones colorées bien définies et qui montrent la différence de couleur entre le RAW et la jpeg. Si vous le souhaitez, je vous mets tous les fichiers à disposition : - Le raw - Le jpg - Le tif 16 bits avec les deux photos et le masque de réglage. Interro demain, alors retenez la lesson ;)
Ce comparatif n'a aucun sens: - Le RAW est un fichier de données brutes, non compressées. Pour afficher son contenu de façon intelligible, il faut un "derawtiser", un outil qui peut interpréter le contenu pour l'afficher afin d'y réaliser des traitements (algorithmes mathématiques). Le derawtiser, au terme des traitements réalisés sortira un JPG, TIFF, ou autre. Le RAW n'aura pas été modifié, mais un fichier de données de traitement l'accompagnant est produit par le dérawtiser. - Le JPG est un fichier traduit automatiquement à partir de choix prédéfinis s'il sort du boitier; de plus c'est un format compressé. "in fine", cela revient à comparer choux et carottes, et n'amène rien.
Le 26/12/2018 à 20:43, Benoit a écrit :
Bonjour,
Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte
de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de
couleur, j'ai fait un petit exercice.
Le sujet : une palette Color Master
L'éclairage : halogènes
Prise de vue : RAW + JPEG ambiance ciel nuageux. Mode manuel ISO 3200
À gauche l'image RAW, au centre la différence entre la jpeg et la raw, à
droite cette même différence mais en augmentant le niveau entre les deux
(c'est à dire qu'un noir pur devient gris très très clair).
Commentaires :
1. Ce qu'on voit tout de suite entre la gauche et le centre c'est la
correction de la distorsion de l'objectif qui est appliquée au JPEG
généré avec le RAW.
2. On ne voit pas de différence ailleurs sauf à se balader avec une
pipette pour se rendre compte que cet aplat noir (pas de différence)
n'est pas plat du tout.
3. Quand on pousse à fond le niveau de différence (ce qui était vraiment
noir/identique devient blanc) il apparaît des zones colorées bien
définies et qui montrent la différence de couleur entre le RAW et la
jpeg.
Si vous le souhaitez, je vous mets tous les fichiers à disposition :
- Le raw
- Le jpg
- Le tif 16 bits avec les deux photos et le masque de réglage.
Interro demain, alors retenez la lesson ;)
Ce comparatif n'a aucun sens:
- Le RAW est un fichier de données brutes, non compressées. Pour
afficher son contenu de façon intelligible, il faut un "derawtiser", un
outil qui peut interpréter le contenu pour l'afficher afin d'y réaliser
des traitements (algorithmes mathématiques). Le derawtiser, au terme des
traitements réalisés sortira un JPG, TIFF, ou autre. Le RAW n'aura pas
été modifié, mais un fichier de données de traitement l'accompagnant est
produit par le dérawtiser.
- Le JPG est un fichier traduit automatiquement à partir de choix
prédéfinis s'il sort du boitier; de plus c'est un format compressé.
"in fine", cela revient à comparer choux et carottes, et n'amène rien.
Bonjour, Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de couleur, j'ai fait un petit exercice. Le sujet : une palette Color Master L'éclairage : halogènes Prise de vue : RAW + JPEG ambiance ciel nuageux. Mode manuel ISO 3200 Résultat : <https://www.cjoint.com/doc/18_12/HLAtAhRDd7v_Comparaison.jpg> À gauche l'image RAW, au centre la différence entre la jpeg et la raw, à droite cette même différence mais en augmentant le niveau entre les deux (c'est à dire qu'un noir pur devient gris très très clair). Commentaires : 1. Ce qu'on voit tout de suite entre la gauche et le centre c'est la correction de la distorsion de l'objectif qui est appliquée au JPEG généré avec le RAW. 2. On ne voit pas de différence ailleurs sauf à se balader avec une pipette pour se rendre compte que cet aplat noir (pas de différence) n'est pas plat du tout. 3. Quand on pousse à fond le niveau de différence (ce qui était vraiment noir/identique devient blanc) il apparaît des zones colorées bien définies et qui montrent la différence de couleur entre le RAW et la jpeg. Si vous le souhaitez, je vous mets tous les fichiers à disposition : - Le raw - Le jpg - Le tif 16 bits avec les deux photos et le masque de réglage. Interro demain, alors retenez la lesson ;)
Ce comparatif n'a aucun sens: - Le RAW est un fichier de données brutes, non compressées. Pour afficher son contenu de façon intelligible, il faut un "derawtiser", un outil qui peut interpréter le contenu pour l'afficher afin d'y réaliser des traitements (algorithmes mathématiques). Le derawtiser, au terme des traitements réalisés sortira un JPG, TIFF, ou autre. Le RAW n'aura pas été modifié, mais un fichier de données de traitement l'accompagnant est produit par le dérawtiser. - Le JPG est un fichier traduit automatiquement à partir de choix prédéfinis s'il sort du boitier; de plus c'est un format compressé. "in fine", cela revient à comparer choux et carottes, et n'amène rien.
benoit
Thierry Houx wrote:
Le 26/12/2018 à 20:43, Benoit a écrit :
3. Quand on pousse à fond le niveau de différence (ce qui était vraiment noir/identique devient blanc) il apparaît des zones colorées bien définies et qui montrent la différence de couleur entre le RAW et la jpeg.
Ce comparatif n'a aucun sens: - Le RAW est un fichier de données brutes, non compressées. Pour afficher son contenu de façon intelligible, il faut un "derawtiser", un outil qui peut interpréter le contenu pour l'afficher afin d'y réaliser des traitements (algorithmes mathématiques). Le derawtiser, au terme des traitements réalisés sortira un JPG, TIFF, ou autre. Le RAW n'aura pas été modifié, mais un fichier de données de traitement l'accompagnant est produit par le dérawtiser.
On le sait.
- Le JPG est un fichier traduit automatiquement à partir de choix prédéfinis s'il sort du boitier; de plus c'est un format compressé.
On le sait
"in fine", cela revient à comparer choux et carottes, et n'amène rien.
Mais c'est justement ça, vous avez eu une grosse discussion sur le fait que le RAW tenait compte du choix de l'utilisateur sur la balance des blancs & Co, qu'il n'y avait aucune différence entre la raw et la jpeg. Il y avait besoin de motrer que la discussion comparait des choux et des carottes. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Le 26/12/2018 à 20:43, Benoit a écrit :
> 3. Quand on pousse à fond le niveau de différence (ce qui était vraiment
> noir/identique devient blanc) il apparaît des zones colorées bien
> définies et qui montrent la différence de couleur entre le RAW et la
> jpeg.
>
Ce comparatif n'a aucun sens:
- Le RAW est un fichier de données brutes, non compressées. Pour
afficher son contenu de façon intelligible, il faut un "derawtiser", un
outil qui peut interpréter le contenu pour l'afficher afin d'y réaliser
des traitements (algorithmes mathématiques). Le derawtiser, au terme des
traitements réalisés sortira un JPG, TIFF, ou autre. Le RAW n'aura pas
été modifié, mais un fichier de données de traitement l'accompagnant est
produit par le dérawtiser.
On le sait.
- Le JPG est un fichier traduit automatiquement à partir de choix
prédéfinis s'il sort du boitier; de plus c'est un format compressé.
On le sait
"in fine", cela revient à comparer choux et carottes, et n'amène rien.
Mais c'est justement ça, vous avez eu une grosse discussion sur le fait
que le RAW tenait compte du choix de l'utilisateur sur la balance des
blancs & Co, qu'il n'y avait aucune différence entre la raw et la jpeg.
Il y avait besoin de motrer que la discussion comparait des choux et des
carottes.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
3. Quand on pousse à fond le niveau de différence (ce qui était vraiment noir/identique devient blanc) il apparaît des zones colorées bien définies et qui montrent la différence de couleur entre le RAW et la jpeg.
Ce comparatif n'a aucun sens: - Le RAW est un fichier de données brutes, non compressées. Pour afficher son contenu de façon intelligible, il faut un "derawtiser", un outil qui peut interpréter le contenu pour l'afficher afin d'y réaliser des traitements (algorithmes mathématiques). Le derawtiser, au terme des traitements réalisés sortira un JPG, TIFF, ou autre. Le RAW n'aura pas été modifié, mais un fichier de données de traitement l'accompagnant est produit par le dérawtiser.
On le sait.
- Le JPG est un fichier traduit automatiquement à partir de choix prédéfinis s'il sort du boitier; de plus c'est un format compressé.
On le sait
"in fine", cela revient à comparer choux et carottes, et n'amène rien.
Mais c'est justement ça, vous avez eu une grosse discussion sur le fait que le RAW tenait compte du choix de l'utilisateur sur la balance des blancs & Co, qu'il n'y avait aucune différence entre la raw et la jpeg. Il y avait besoin de motrer que la discussion comparait des choux et des carottes. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
benoit
René wrote:
Le mercredi 26 décembre 2018 14:43:12 UTC-5, Benoit a écrit :
Bonjour, Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de couleur, j'ai fait un petit exercice. Le sujet : une palette Color Master L'éclairage : halogènes Prise de vue : RAW + JPEG ambiance ciel nuageux. Mode manuel ISO 3200 Résultat : <https://www.cjoint.com/doc/18_12/HLAtAhRDd7v_Comparaison.jpg> À gauche l'image RAW, au centre la différence entre la jpeg et la raw, à droite cette même différence mais en augmentant le niveau entre les deux (c'est à dire qu'un noir pur devient gris très très clair). Commentaires : 1. Ce qu'on voit tout de suite entre la gauche et le centre c'est la correction de la distorsion de l'objectif qui est appliquée au JPEG généré avec le RAW. 2. On ne voit pas de différence ailleurs sauf à se balader avec une pipette pour se rendre compte que cet aplat noir (pas de différence) n'est pas plat du tout. 3. Quand on pousse à fond le niveau de différence (ce qui était vraiment noir/identique devient blanc) il apparaît des zones colorées bien définies et qui montrent la différence de couleur entre le RAW et la jpeg. Si vous le souhaitez, je vous mets tous les fichiers à disposition : - Le raw - Le jpg - Le tif 16 bits avec les deux photos et le masque de réglage. Interro demain, alors retenez la lesson ;)
En général pour un test il faut travailler dans les normes de sujet, ici la photographie numérique faite dans une cadre défini et bien exposé. La qualité des image montées enlève toute crédibilité au test.
J'aimerai que tu m'expliques ce que tu appelles « cadre défini et bien exposé ». Parce que, même s'il y a du grain, on voit la différence de couleur. Ce qui était le but. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
René <jeanpasse@hotmail.com> wrote:
Le mercredi 26 décembre 2018 14:43:12 UTC-5, Benoit a écrit :
> Bonjour,
>
>
> Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte
> de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de
> couleur, j'ai fait un petit exercice.
>
> Le sujet : une palette Color Master
> L'éclairage : halogènes
> Prise de vue : RAW + JPEG ambiance ciel nuageux. Mode manuel ISO 3200
>
> Résultat :
>
> <https://www.cjoint.com/doc/18_12/HLAtAhRDd7v_Comparaison.jpg>
>
> À gauche l'image RAW, au centre la différence entre la jpeg et la raw, à
> droite cette même différence mais en augmentant le niveau entre les deux
> (c'est à dire qu'un noir pur devient gris très très clair).
>
> Commentaires :
>
> 1. Ce qu'on voit tout de suite entre la gauche et le centre c'est la
> correction de la distorsion de l'objectif qui est appliquée au JPEG
> généré avec le RAW.
> 2. On ne voit pas de différence ailleurs sauf à se balader avec une
> pipette pour se rendre compte que cet aplat noir (pas de différence)
> n'est pas plat du tout.
> 3. Quand on pousse à fond le niveau de différence (ce qui était vraiment
> noir/identique devient blanc) il apparaît des zones colorées bien
> définies et qui montrent la différence de couleur entre le RAW et la
> jpeg.
>
> Si vous le souhaitez, je vous mets tous les fichiers à disposition :
> - Le raw
> - Le jpg
> - Le tif 16 bits avec les deux photos et le masque de réglage.
>
> Interro demain, alors retenez la lesson ;)
>
En général pour un test il faut travailler dans les normes de sujet, ici
la photographie numérique faite dans une cadre défini et bien exposé. La
qualité des image montées enlève toute crédibilité au test.
J'aimerai que tu m'expliques ce que tu appelles « cadre défini et bien
exposé ». Parce que, même s'il y a du grain, on voit la différence de
couleur. Ce qui était le but.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Le mercredi 26 décembre 2018 14:43:12 UTC-5, Benoit a écrit :
Bonjour, Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de couleur, j'ai fait un petit exercice. Le sujet : une palette Color Master L'éclairage : halogènes Prise de vue : RAW + JPEG ambiance ciel nuageux. Mode manuel ISO 3200 Résultat : <https://www.cjoint.com/doc/18_12/HLAtAhRDd7v_Comparaison.jpg> À gauche l'image RAW, au centre la différence entre la jpeg et la raw, à droite cette même différence mais en augmentant le niveau entre les deux (c'est à dire qu'un noir pur devient gris très très clair). Commentaires : 1. Ce qu'on voit tout de suite entre la gauche et le centre c'est la correction de la distorsion de l'objectif qui est appliquée au JPEG généré avec le RAW. 2. On ne voit pas de différence ailleurs sauf à se balader avec une pipette pour se rendre compte que cet aplat noir (pas de différence) n'est pas plat du tout. 3. Quand on pousse à fond le niveau de différence (ce qui était vraiment noir/identique devient blanc) il apparaît des zones colorées bien définies et qui montrent la différence de couleur entre le RAW et la jpeg. Si vous le souhaitez, je vous mets tous les fichiers à disposition : - Le raw - Le jpg - Le tif 16 bits avec les deux photos et le masque de réglage. Interro demain, alors retenez la lesson ;)
En général pour un test il faut travailler dans les normes de sujet, ici la photographie numérique faite dans une cadre défini et bien exposé. La qualité des image montées enlève toute crédibilité au test.
J'aimerai que tu m'expliques ce que tu appelles « cadre défini et bien exposé ». Parce que, même s'il y a du grain, on voit la différence de couleur. Ce qui était le but. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
benoit
Stephane Legras-Decussy wrote:
Le 26/12/2018 à 20:43, Benoit a écrit :
Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de couleur,
bien sur que non. le raw ne tient compte de rien, point barre.
Ça je le sais, je l'ai répété et c'est justement ce que je veux démontrer.
pour afficher le raw, il faut choisir une T° de couleur.
Non, pas du tout. Tu peux afficher le raw « tel quel » comme le dit LightRoom. Maintenant ce que LR va faire pour avoir ce résultat est basé sur sa façon de calculer les données contenues dans le RAW, calculer la quantité de R, V, B pour chaque pixel, et estimer les espaces de couleur que chaque capteur (r, v ou b). Si LR a le modèle de calcul des RAW pour le fabriquant (Pentax entre autres, de mémoire) il n'y a pas de problème. S'il ne l'a pas il est assez simple, ce qui ne veut pas dire facile, de l'estimer précisément : tu éclaires le capteur directement avec de la lumière dont tu connais la ou les fréquences et à partir de là tu en déduis la façon dont c'est codé dans le fichier, et les particularités du type de capteur.
là manisfestement la mire de gauche a été photographié en halogène et derawtisée en choisissant une T° ciel nuageux... oui et ?
Je n'ai rien choisi comme T° de couleur pour la dérawtisation, j'ai demandé qu'il m'affiche le raw tel quel, tel que lui il calcule les données raw. Il ne tient compte de rien. On lui donne un fichier et il applique son code de traduction. Si le raw a été pris avec des néons froids, il ne le sait pas, il sort une image de ce raw telle que sont les données, pas telles que ce qu'à choisi l'utilisateur. D'ailleurs la T° de couleur de la RAW et celle de la jpeg ne sont pas identiques.
il suffit de cliquer sur T° de couleur halogène pour qu'elle soit bien. les images centre et droite n'ont aucun interet.
Alors tu n'as pas compris que l'image de droite montre la différence entre la raw et la jpeg générée par l'appareil avec correction** de la balance des blancs. Ce ne sont pas les mêmes images. ** Correction faite par l'appareil pour une balance « auto » ou par l'utilisateur qui en a choisi une. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Stephane Legras-Decussy <screwU@dtc.eu> wrote:
Le 26/12/2018 à 20:43, Benoit a écrit :
> Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte
> de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de
> couleur,
bien sur que non.
le raw ne tient compte de rien, point barre.
Ça je le sais, je l'ai répété et c'est justement ce que je veux
démontrer.
pour afficher le raw, il faut choisir une T° de couleur.
Non, pas du tout. Tu peux afficher le raw « tel quel » comme le dit
LightRoom. Maintenant ce que LR va faire pour avoir ce résultat est basé
sur sa façon de calculer les données contenues dans le RAW, calculer la
quantité de R, V, B pour chaque pixel, et estimer les espaces de couleur
que chaque capteur (r, v ou b).
Si LR a le modèle de calcul des RAW pour le fabriquant (Pentax entre
autres, de mémoire) il n'y a pas de problème. S'il ne l'a pas il est
assez simple, ce qui ne veut pas dire facile, de l'estimer précisément :
tu éclaires le capteur directement avec de la lumière dont tu connais la
ou les fréquences et à partir de là tu en déduis la façon dont c'est
codé dans le fichier, et les particularités du type de capteur.
là manisfestement la mire de gauche a été photographié en halogène et
derawtisée en choisissant une T° ciel nuageux... oui et ?
Je n'ai rien choisi comme T° de couleur pour la dérawtisation, j'ai
demandé qu'il m'affiche le raw tel quel, tel que lui il calcule les
données raw. Il ne tient compte de rien. On lui donne un fichier et il
applique son code de traduction. Si le raw a été pris avec des néons
froids, il ne le sait pas, il sort une image de ce raw telle que sont
les données, pas telles que ce qu'à choisi l'utilisateur.
D'ailleurs la T° de couleur de la RAW et celle de la jpeg ne sont pas
identiques.
il suffit de cliquer sur T° de couleur halogène pour qu'elle soit bien.
les images centre et droite n'ont aucun interet.
Alors tu n'as pas compris que l'image de droite montre la différence
entre la raw et la jpeg générée par l'appareil avec correction** de la
balance des blancs. Ce ne sont pas les mêmes images.
** Correction faite par l'appareil pour une balance « auto » ou par
l'utilisateur qui en a choisi une.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Les discussions étant sans fin à propos du fait que le RAW tient compte de choix de l'utilisateur à propos, entre autre, de la température de couleur,
bien sur que non. le raw ne tient compte de rien, point barre.
Ça je le sais, je l'ai répété et c'est justement ce que je veux démontrer.
pour afficher le raw, il faut choisir une T° de couleur.
Non, pas du tout. Tu peux afficher le raw « tel quel » comme le dit LightRoom. Maintenant ce que LR va faire pour avoir ce résultat est basé sur sa façon de calculer les données contenues dans le RAW, calculer la quantité de R, V, B pour chaque pixel, et estimer les espaces de couleur que chaque capteur (r, v ou b). Si LR a le modèle de calcul des RAW pour le fabriquant (Pentax entre autres, de mémoire) il n'y a pas de problème. S'il ne l'a pas il est assez simple, ce qui ne veut pas dire facile, de l'estimer précisément : tu éclaires le capteur directement avec de la lumière dont tu connais la ou les fréquences et à partir de là tu en déduis la façon dont c'est codé dans le fichier, et les particularités du type de capteur.
là manisfestement la mire de gauche a été photographié en halogène et derawtisée en choisissant une T° ciel nuageux... oui et ?
Je n'ai rien choisi comme T° de couleur pour la dérawtisation, j'ai demandé qu'il m'affiche le raw tel quel, tel que lui il calcule les données raw. Il ne tient compte de rien. On lui donne un fichier et il applique son code de traduction. Si le raw a été pris avec des néons froids, il ne le sait pas, il sort une image de ce raw telle que sont les données, pas telles que ce qu'à choisi l'utilisateur. D'ailleurs la T° de couleur de la RAW et celle de la jpeg ne sont pas identiques.
il suffit de cliquer sur T° de couleur halogène pour qu'elle soit bien. les images centre et droite n'ont aucun interet.
Alors tu n'as pas compris que l'image de droite montre la différence entre la raw et la jpeg générée par l'appareil avec correction** de la balance des blancs. Ce ne sont pas les mêmes images. ** Correction faite par l'appareil pour une balance « auto » ou par l'utilisateur qui en a choisi une. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Stephane Legras-Decussy
Le 27/12/2018 à 17:41, Benoit a écrit :
Non, pas du tout. Tu peux afficher le raw « tel quel » comme le dit LightRoom.
en fait il en applique une sans te le dire. C'est dans l'algo de deraw.
Alors tu n'as pas compris que l'image de droite montre la différence entre la raw et la jpeg générée
une image différence n'a aucun sens visuellement, ça sert à rien de l'afficher. une image différence c'est juste une étape de calcul dans un algo eventuellement...
Le 27/12/2018 à 17:41, Benoit a écrit :
Non, pas du tout. Tu peux afficher le raw « tel quel » comme le dit
LightRoom.
en fait il en applique une sans te le dire. C'est dans l'algo
de deraw.
Alors tu n'as pas compris que l'image de droite montre la différence
entre la raw et la jpeg générée
une image différence n'a aucun sens visuellement, ça sert à rien de
l'afficher.
une image différence c'est juste une étape de calcul dans un algo
eventuellement...
Non, pas du tout. Tu peux afficher le raw « tel quel » comme le dit LightRoom.
en fait il en applique une sans te le dire. C'est dans l'algo de deraw.
Alors tu n'as pas compris que l'image de droite montre la différence entre la raw et la jpeg générée
une image différence n'a aucun sens visuellement, ça sert à rien de l'afficher. une image différence c'est juste une étape de calcul dans un algo eventuellement...
benoit
René wrote:
Refais les tests avec ISO minimum, éclairage reproductible entre 5000 et 6000 Kelvin, exposition automatique ou calculée par un posemètre en sorte que l'image soit considérée sans défaut et parfaitement typique du capteur.
Ok, demain, s'il ne pleut pas, je reprends des photos. Maintenant, je t'ai demandé de mettre à disposition un couple de fichiers raw/jpeg que tu considères comme identique... et tu ne le fais pas. Ne me dis pas que tu crains le résultat. Et Toc ! -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
René <jeanpasse@hotmail.com> wrote:
Refais les tests avec ISO minimum, éclairage reproductible entre 5000 et
6000 Kelvin, exposition automatique ou calculée par un posemètre en sorte
que l'image soit considérée sans défaut et parfaitement typique du capteur.
Ok, demain, s'il ne pleut pas, je reprends des photos. Maintenant, je
t'ai demandé de mettre à disposition un couple de fichiers raw/jpeg que
tu considères comme identique... et tu ne le fais pas. Ne me dis pas que
tu crains le résultat.
Et Toc !
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Refais les tests avec ISO minimum, éclairage reproductible entre 5000 et 6000 Kelvin, exposition automatique ou calculée par un posemètre en sorte que l'image soit considérée sans défaut et parfaitement typique du capteur.
Ok, demain, s'il ne pleut pas, je reprends des photos. Maintenant, je t'ai demandé de mettre à disposition un couple de fichiers raw/jpeg que tu considères comme identique... et tu ne le fais pas. Ne me dis pas que tu crains le résultat. Et Toc ! -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Stephane Legras-Decussy
Le 27/12/2018 à 23:58, René a écrit :
J'ai déjà été surpris sur ce sujet. J'ai conclu que le capteur enregistre la lumière "comme il est prévu qu'il peut le faire"
oui, processus commun à tous : ouverture de l'obturateur, le capteur est reset, les photosites sont à zéro. un certain nombre de photons tombent dans chaque photosite, ce nombre est devenu une tension quand l'obturateur est refermé. on applique un multiplieur analogique constant à cette tension, c'est le gain ISO. la tension obtenue est numérisée en un nombre sur environ 14 bit. rien d'autre. on recopie le tout dans un tableau d'octets en ajoutant au début quelques exifs interessantes... on obtient un fichier raw.
et que la BB spécifiée sur l'APN est un paramètre utilisé par le logiciel de conversion de l'image après la prise de vue.
exactement
Si on travaille en JPG cette BB est appliquée aux valeurs du capteur. Point.
yep, au lieux d'écrire le fichier raw sur la carte, il reste en mémoire, et on applique dessus : l'algo de deraw avec la BB, ensuite l'anti-bruit, ensuite la correction d'objectif, ensuite l'anti-purple fringe, ensuite l'accentuation etc etc on a donc un joli bitmap RVB en mémoire et enfin on peut appliquer l'algo jpeg standard avec la compression désirée.
Si on travaille en RAW cette BB est appliquée à l'affichage du RAW mais il est possible de retrouver le rendu tel que perçu par le capteur en dehors de la BB. Evidemment le capteur voit quelque peu différemment de notre oeil d'ou l"utilité de la BB. J'étais intrigué par la manière dont la BB était utilisée. En somme elle ne l'est pas, le capteur fait ce qu'il a à faire, soit mesurer la lumière incidente qui arrive à lui, peut importe ce qu'elle est.
oui
Le 27/12/2018 à 23:58, René a écrit :
J'ai déjà été surpris sur ce sujet. J'ai conclu que le capteur enregistre la
lumière "comme il est prévu qu'il peut le faire"
oui, processus commun à tous :
ouverture de l'obturateur, le capteur est reset, les photosites sont à zéro.
un certain nombre de photons tombent dans chaque photosite, ce nombre
est devenu une tension quand l'obturateur est refermé.
on applique un multiplieur analogique constant à cette tension, c'est le
gain ISO.
la tension obtenue est numérisée en un nombre sur environ 14 bit.
rien d'autre.
on recopie le tout dans un tableau d'octets en ajoutant au début
quelques exifs interessantes... on obtient un fichier raw.
et que la BB spécifiée sur
l'APN est un paramètre utilisé par le logiciel de conversion de l'image après
la prise de vue.
exactement
Si on travaille en JPG cette BB est appliquée aux valeurs du capteur. Point.
yep, au lieux d'écrire le fichier raw sur la carte, il reste en mémoire,
et on applique dessus : l'algo de deraw avec la BB, ensuite
l'anti-bruit, ensuite la correction d'objectif, ensuite l'anti-purple
fringe, ensuite l'accentuation etc etc
on a donc un joli bitmap RVB en mémoire et enfin on peut
appliquer l'algo jpeg standard avec la compression désirée.
Si on travaille en RAW cette BB est appliquée à l'affichage du RAW mais il
est possible de retrouver le rendu tel que perçu par le capteur en dehors
de la BB. Evidemment le capteur voit quelque peu différemment de notre
oeil d'ou l"utilité de la BB.
J'étais intrigué par la manière dont la BB était utilisée. En somme elle ne
l'est pas, le capteur fait ce qu'il a à faire, soit mesurer la lumière
incidente qui arrive à lui, peut importe ce qu'elle est.
J'ai déjà été surpris sur ce sujet. J'ai conclu que le capteur enregistre la lumière "comme il est prévu qu'il peut le faire"
oui, processus commun à tous : ouverture de l'obturateur, le capteur est reset, les photosites sont à zéro. un certain nombre de photons tombent dans chaque photosite, ce nombre est devenu une tension quand l'obturateur est refermé. on applique un multiplieur analogique constant à cette tension, c'est le gain ISO. la tension obtenue est numérisée en un nombre sur environ 14 bit. rien d'autre. on recopie le tout dans un tableau d'octets en ajoutant au début quelques exifs interessantes... on obtient un fichier raw.
et que la BB spécifiée sur l'APN est un paramètre utilisé par le logiciel de conversion de l'image après la prise de vue.
exactement
Si on travaille en JPG cette BB est appliquée aux valeurs du capteur. Point.
yep, au lieux d'écrire le fichier raw sur la carte, il reste en mémoire, et on applique dessus : l'algo de deraw avec la BB, ensuite l'anti-bruit, ensuite la correction d'objectif, ensuite l'anti-purple fringe, ensuite l'accentuation etc etc on a donc un joli bitmap RVB en mémoire et enfin on peut appliquer l'algo jpeg standard avec la compression désirée.
Si on travaille en RAW cette BB est appliquée à l'affichage du RAW mais il est possible de retrouver le rendu tel que perçu par le capteur en dehors de la BB. Evidemment le capteur voit quelque peu différemment de notre oeil d'ou l"utilité de la BB. J'étais intrigué par la manière dont la BB était utilisée. En somme elle ne l'est pas, le capteur fait ce qu'il a à faire, soit mesurer la lumière incidente qui arrive à lui, peut importe ce qu'elle est.