J'ai actuellement un CANON A1 avec un 35-70 + macro et un 80-200. Je
photographie essentiellement des trains (en amateur) mais je suis allé
jusqu'en Mauritanie (sable, chaleur), pour cela. Je voudrais passer au
numérique. Je n'ai pas (trop) de problème de budget; je cherche un
appareil + objectif avant tout solide, fiable, doté d'une grande
autonomie et qui me dure aussi longtemps que le A1 (20 ans ...)
La FNAC me conseille un PENTAX D20 car il est tropicalisé. Il est lourd
mais pour moi c'est un avantage car j'utilise beaucoup le 200mm (on a
de moins en moins accès au domaine ferroviaire). Sur la doc, j'ai
découvert le bracketing : très interessant car les conditions
d'éclairage sont souvent très difficile.
Dans la gamme d'objectifs PENTAX, on trouve des zooms 'extraordinaires'
du style 18-250 : faut-il mieux un seul objectif de ce type ou une
combinaison 16-50 + 60-250 ?
Et si en plus ... ma femme est passionnée de fleurs, alors une
possibilité de macro serait intéressante.
J'espère que vous êtes patients, car j'aurai surement d'autres questions
à vous poser ....
Dans l'article <g3tgua$1lb4$, Jean-Pierre Roche disait :
Le principe des sidefiles n'est pas nouveau... Ce que peut faire Aperture aucune idée c'est du Mac et j'en ai pas.
Aperture stocke les modifications dans sa propre base uniquement.
Non puisque ce fichier modifié n'existe pas. Il n'est donc pas utilisable et n'a d'existence que virtuelle (à l'intérieur de Lightroom)
C'est un fichier virtuel soit. Et alors ?
Et donc la différence par rapport à n'importe quel logiciel où l'utilisateur prend la peine de sauvegarder son original est nulle...
Justement non, c'est faire fi de l'historique de ces modifications et du fait qu'on peut remonter dans cet historique à n'importe quel moment. Pour « émuler » cette fonctionnalité, il faudrait que l'utilisateur sauve manuellement dans un nouveau fichier chaque version, prenant à chaque fois la place disque nécessaire. Quel intérêt ?
Quel rapport entre métadonnées et traitement non destructif ?
Le fait que Lightroom utilise ce système pour stocker les modifications sous forme d'enregistrement XML... -- Ollivier ROBERT -=- K10D, 18-55 + 50-200, FA 50/f1.4, FA 35/f2, Vivitar 105/f2.5 Macro S1 M42 : Stak 135/f3.5, Helios 44-M 58/f2
Dans l'article <g3tgua$1lb4$1@talisker.lacave.net>,
Jean-Pierre Roche <jproche@sanspub.invalid> disait :
Le principe des sidefiles n'est pas nouveau...
Ce que peut faire Aperture aucune idée c'est du Mac et j'en
ai pas.
Aperture stocke les modifications dans sa propre base uniquement.
Non puisque ce fichier modifié n'existe pas. Il n'est donc
pas utilisable et n'a d'existence que virtuelle (à
l'intérieur de Lightroom)
C'est un fichier virtuel soit. Et alors ?
Et donc la différence par rapport à n'importe quel logiciel
où l'utilisateur prend la peine de sauvegarder son original
est nulle...
Justement non, c'est faire fi de l'historique de ces modifications et du fait
qu'on peut remonter dans cet historique à n'importe quel moment. Pour
« émuler » cette fonctionnalité, il faudrait que l'utilisateur sauve
manuellement dans un nouveau fichier chaque version, prenant à chaque fois la
place disque nécessaire. Quel intérêt ?
Quel rapport entre métadonnées et traitement non destructif ?
Le fait que Lightroom utilise ce système pour stocker les modifications sous
forme d'enregistrement XML...
--
Ollivier ROBERT -=-
K10D, 18-55 + 50-200, FA 50/f1.4, FA 35/f2, Vivitar 105/f2.5 Macro S1
M42 : Stak 135/f3.5, Helios 44-M 58/f2
Dans l'article <g3tgua$1lb4$, Jean-Pierre Roche disait :
Le principe des sidefiles n'est pas nouveau... Ce que peut faire Aperture aucune idée c'est du Mac et j'en ai pas.
Aperture stocke les modifications dans sa propre base uniquement.
Non puisque ce fichier modifié n'existe pas. Il n'est donc pas utilisable et n'a d'existence que virtuelle (à l'intérieur de Lightroom)
C'est un fichier virtuel soit. Et alors ?
Et donc la différence par rapport à n'importe quel logiciel où l'utilisateur prend la peine de sauvegarder son original est nulle...
Justement non, c'est faire fi de l'historique de ces modifications et du fait qu'on peut remonter dans cet historique à n'importe quel moment. Pour « émuler » cette fonctionnalité, il faudrait que l'utilisateur sauve manuellement dans un nouveau fichier chaque version, prenant à chaque fois la place disque nécessaire. Quel intérêt ?
Quel rapport entre métadonnées et traitement non destructif ?
Le fait que Lightroom utilise ce système pour stocker les modifications sous forme d'enregistrement XML... -- Ollivier ROBERT -=- K10D, 18-55 + 50-200, FA 50/f1.4, FA 35/f2, Vivitar 105/f2.5 Macro S1 M42 : Stak 135/f3.5, Helios 44-M 58/f2
Jean-Pierre Roche
Ollivier Robert a écrit :
C'est un fichier virtuel soit. Et alors ?
Alors il n'a aucune existence réelle... On ne peut pas l'utiliser.
Justement non, c'est faire fi de l'historique de ces modifications et du fait qu'on peut remonter dans cet historique à n'importe quel moment. Pour « émuler » cette fonctionnalité, il faudrait que l'utilisateur sauve manuellement dans un nouveau fichier chaque version, prenant à chaque fois la place disque nécessaire. Quel intérêt ?
Je ne dis pas que c'est sans intérêt mais que la différence est bien moindre qu'il n'y paraît et que ne le revendique Adobe. Nikon Capture NX offre des possibilités plus étendues sans les contraintes imposées par le système de Lightroom. Perso ce sont ces contraintes qui font que je l'utilise très peu bien que j'en dispose.
Le fait que Lightroom utilise ce système pour stocker les modifications sous forme d'enregistrement XML...
Evidemment c'est *son* système...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Ollivier Robert a écrit :
C'est un fichier virtuel soit. Et alors ?
Alors il n'a aucune existence réelle... On ne peut pas
l'utiliser.
Justement non, c'est faire fi de l'historique de ces modifications et du fait
qu'on peut remonter dans cet historique à n'importe quel moment. Pour
« émuler » cette fonctionnalité, il faudrait que l'utilisateur sauve
manuellement dans un nouveau fichier chaque version, prenant à chaque fois la
place disque nécessaire. Quel intérêt ?
Je ne dis pas que c'est sans intérêt mais que la différence
est bien moindre qu'il n'y paraît et que ne le revendique
Adobe. Nikon Capture NX offre des possibilités plus étendues
sans les contraintes imposées par le système de Lightroom.
Perso ce sont ces contraintes qui font que je l'utilise très
peu bien que j'en dispose.
Le fait que Lightroom utilise ce système pour stocker les modifications sous
forme d'enregistrement XML...
Evidemment c'est *son* système...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Alors il n'a aucune existence réelle... On ne peut pas l'utiliser.
Justement non, c'est faire fi de l'historique de ces modifications et du fait qu'on peut remonter dans cet historique à n'importe quel moment. Pour « émuler » cette fonctionnalité, il faudrait que l'utilisateur sauve manuellement dans un nouveau fichier chaque version, prenant à chaque fois la place disque nécessaire. Quel intérêt ?
Je ne dis pas que c'est sans intérêt mais que la différence est bien moindre qu'il n'y paraît et que ne le revendique Adobe. Nikon Capture NX offre des possibilités plus étendues sans les contraintes imposées par le système de Lightroom. Perso ce sont ces contraintes qui font que je l'utilise très peu bien que j'en dispose.
Le fait que Lightroom utilise ce système pour stocker les modifications sous forme d'enregistrement XML...