On 2019-01-13 04:37:59 +0000, JPP said:In article <5c38c308$0$3554$,
Patrick wrote:Apple a beau clamer que APFS est sécurisé, il me semble que plus
l'espace partagé par les partitions est réduit et mieux Š
Je ne comprends pas bien pourquoi tu parles de partitions à propos de
APFS.
Dans ce système de fichiers, il n'y a plus de partitions sinon une seule.
De Utiliiare de disque/bouton Partitioner :
"Les volumes APFS partagent l¹espace de stockage dans un conteneur,
occupant une seule partition".
La notion d'espace partagé "réduit" n'a pas lieu.
Certes, avec APFS il n'y a plus qu'un « container » et les partitions
semblent avoir disparu
mais il y a à la place des « volumes » qui ont
une taille minimum qui leur est réservée et qui n'est jamais partagée
(taille de réserve dans Utilitaire de disque). Au delà de cette taille
minimum, le système peut aller piocher dynamiquement dans l'espace
commun, du moins ce qu'il en reste.
Apple parle de "Volume" mais c'est un terme générique, parce que
l'approche est théorique.
Derrière tout volume, il y a un disque, une
partition, un NAS
ou tout ce que tu voudras qui gère concrètement
l'espace physique.
Tu ne pourras jamais sur un disque de 1 Go créer un
container APFS qui contient trois volumes de 400 Mo. > L'avantage d'APFS est que tu pourras par contre créer trois volumes de
200 Mo qui pourront partager l'espace restant de 400 Mo sans qu'il soit
nécessaire de repartitionner le disque parce qu'il faudrait agrandir un
volume.
C'est promis, je ne parlerai plus de partition à l'avenir mais de volume
pour respecter les nouvelles règles du marketing ;-)
On 2019-01-13 04:37:59 +0000, JPP said:
In article <5c38c308$0$3554$426a74cc@news.free.fr>,
Patrick <patrick@nowhere.invalid> wrote:
Apple a beau clamer que APFS est sécurisé, il me semble que plus
l'espace partagé par les partitions est réduit et mieux Š
Je ne comprends pas bien pourquoi tu parles de partitions à propos de
APFS.
Dans ce système de fichiers, il n'y a plus de partitions sinon une seule.
De Utiliiare de disque/bouton Partitioner :
"Les volumes APFS partagent l¹espace de stockage dans un conteneur,
occupant une seule partition".
La notion d'espace partagé "réduit" n'a pas lieu.
Certes, avec APFS il n'y a plus qu'un « container » et les partitions
semblent avoir disparu
mais il y a à la place des « volumes » qui ont
une taille minimum qui leur est réservée et qui n'est jamais partagée
(taille de réserve dans Utilitaire de disque). Au delà de cette taille
minimum, le système peut aller piocher dynamiquement dans l'espace
commun, du moins ce qu'il en reste.
Apple parle de "Volume" mais c'est un terme générique, parce que
l'approche est théorique.
Derrière tout volume, il y a un disque, une
partition, un NAS
ou tout ce que tu voudras qui gère concrètement
l'espace physique.
Tu ne pourras jamais sur un disque de 1 Go créer un
container APFS qui contient trois volumes de 400 Mo. > L'avantage d'APFS est que tu pourras par contre créer trois volumes de
200 Mo qui pourront partager l'espace restant de 400 Mo sans qu'il soit
nécessaire de repartitionner le disque parce qu'il faudrait agrandir un
volume.
C'est promis, je ne parlerai plus de partition à l'avenir mais de volume
pour respecter les nouvelles règles du marketing ;-)
On 2019-01-13 04:37:59 +0000, JPP said:In article <5c38c308$0$3554$,
Patrick wrote:Apple a beau clamer que APFS est sécurisé, il me semble que plus
l'espace partagé par les partitions est réduit et mieux Š
Je ne comprends pas bien pourquoi tu parles de partitions à propos de
APFS.
Dans ce système de fichiers, il n'y a plus de partitions sinon une seule.
De Utiliiare de disque/bouton Partitioner :
"Les volumes APFS partagent l¹espace de stockage dans un conteneur,
occupant une seule partition".
La notion d'espace partagé "réduit" n'a pas lieu.
Certes, avec APFS il n'y a plus qu'un « container » et les partitions
semblent avoir disparu
mais il y a à la place des « volumes » qui ont
une taille minimum qui leur est réservée et qui n'est jamais partagée
(taille de réserve dans Utilitaire de disque). Au delà de cette taille
minimum, le système peut aller piocher dynamiquement dans l'espace
commun, du moins ce qu'il en reste.
Apple parle de "Volume" mais c'est un terme générique, parce que
l'approche est théorique.
Derrière tout volume, il y a un disque, une
partition, un NAS
ou tout ce que tu voudras qui gère concrètement
l'espace physique.
Tu ne pourras jamais sur un disque de 1 Go créer un
container APFS qui contient trois volumes de 400 Mo. > L'avantage d'APFS est que tu pourras par contre créer trois volumes de
200 Mo qui pourront partager l'espace restant de 400 Mo sans qu'il soit
nécessaire de repartitionner le disque parce qu'il faudrait agrandir un
volume.
C'est promis, je ne parlerai plus de partition à l'avenir mais de volume
pour respecter les nouvelles règles du marketing ;-)
In article <5c3b0ae5$0$20326$,
Patrick wrote:Certes, avec APFS il n'y a plus qu'un « container » et les partitions
semblent avoir disparu mais il y a à la place des « volumes » qui ont
une taille minimum qui leur est réservée et qui n'est jamais partagée
(taille de réserve dans Utilitaire de disque).
Ceci n'est qu'une option.
Par défaut, il n'y a aucune spécification de taille d'un volume.
"La taille de réserve FACULTATIVE permet de garantir un espace de
stockage minimum pour ce volume"
" la taille de quota FACULTATIVE limite quant à elle l'espace de
stockage pouvant être allouée par ce volume".
Le "par" est intéressant : on n'alloue pas un espace au volume, c'est
lui qui se l'alloue tout seul :-)
J'ai vérifié le texte original en anglais, et c'est bien une traduction
acceptable de "how much storage this volume can allocate".
Conclusion : avec APFS, il nous faut oublier tous nos concepts liés aux
systèmes de fichiers ancestraux conçus pour les disques à plateaux et ne
plus lier nos fichiers à une quelconque représentation/localisation
physique.
In article <5c3b0ae5$0$20326$426a34cc@news.free.fr>,
Patrick <patrick@nowhere.invalid> wrote:
Certes, avec APFS il n'y a plus qu'un « container » et les partitions
semblent avoir disparu mais il y a à la place des « volumes » qui ont
une taille minimum qui leur est réservée et qui n'est jamais partagée
(taille de réserve dans Utilitaire de disque).
Ceci n'est qu'une option.
Par défaut, il n'y a aucune spécification de taille d'un volume.
"La taille de réserve FACULTATIVE permet de garantir un espace de
stockage minimum pour ce volume"
" la taille de quota FACULTATIVE limite quant à elle l'espace de
stockage pouvant être allouée par ce volume".
Le "par" est intéressant : on n'alloue pas un espace au volume, c'est
lui qui se l'alloue tout seul :-)
J'ai vérifié le texte original en anglais, et c'est bien une traduction
acceptable de "how much storage this volume can allocate".
Conclusion : avec APFS, il nous faut oublier tous nos concepts liés aux
systèmes de fichiers ancestraux conçus pour les disques à plateaux et ne
plus lier nos fichiers à une quelconque représentation/localisation
physique.
In article <5c3b0ae5$0$20326$,
Patrick wrote:Certes, avec APFS il n'y a plus qu'un « container » et les partitions
semblent avoir disparu mais il y a à la place des « volumes » qui ont
une taille minimum qui leur est réservée et qui n'est jamais partagée
(taille de réserve dans Utilitaire de disque).
Ceci n'est qu'une option.
Par défaut, il n'y a aucune spécification de taille d'un volume.
"La taille de réserve FACULTATIVE permet de garantir un espace de
stockage minimum pour ce volume"
" la taille de quota FACULTATIVE limite quant à elle l'espace de
stockage pouvant être allouée par ce volume".
Le "par" est intéressant : on n'alloue pas un espace au volume, c'est
lui qui se l'alloue tout seul :-)
J'ai vérifié le texte original en anglais, et c'est bien une traduction
acceptable de "how much storage this volume can allocate".
Conclusion : avec APFS, il nous faut oublier tous nos concepts liés aux
systèmes de fichiers ancestraux conçus pour les disques à plateaux et ne
plus lier nos fichiers à une quelconque représentation/localisation
physique.
Le "par" est intéressant : on n'alloue pas un espace au volume, c'est
lui qui se l'alloue tout seul :-)
J'ai vérifié le texte original en anglais, et c'est bien une traduction
acceptable de "how much storage this volume can allocate".
Moui, mais ce n'est qu'une façon imagée de parler, un volume n'est une
entité qui peut entreprendre des actions. C'est le pilote APFS qui gère
tout ça en pratique et qui alloue l'espace.
Conclusion : avec APFS, il nous faut oublier tous nos concepts liés aux
systèmes de fichiers ancestraux conçus pour les disques à plateaux et ne
plus lier nos fichiers à une quelconque représentation/localisation
physique.
C'était en fait déjà vrai avec les SSD, même avec les systèmes de
fichiers classiques. En dessous du système de fichier tu as le
contrôleur du disque qui opère une indirection d'adresses, pour gérer le
wear-leveling (et les cellules mortes). Si le pilote du système de
fichiers dit "je veux écrire ça à l'adresse 1000", le contrôleur peut
l'écrire à n'importe quelle autre adresse physique (en conservant
l'association des deux adresses dans une table). Même sur les HDD ça
existe en fait, pour réallouer les secteurs défectueux.
>
> Le "par" est intéressant : on n'alloue pas un espace au volume, c'est
> lui qui se l'alloue tout seul :-)
> J'ai vérifié le texte original en anglais, et c'est bien une traduction
> acceptable de "how much storage this volume can allocate".
Moui, mais ce n'est qu'une façon imagée de parler, un volume n'est une
entité qui peut entreprendre des actions. C'est le pilote APFS qui gère
tout ça en pratique et qui alloue l'espace.
>
> Conclusion : avec APFS, il nous faut oublier tous nos concepts liés aux
> systèmes de fichiers ancestraux conçus pour les disques à plateaux et ne
> plus lier nos fichiers à une quelconque représentation/localisation
> physique.
C'était en fait déjà vrai avec les SSD, même avec les systèmes de
fichiers classiques. En dessous du système de fichier tu as le
contrôleur du disque qui opère une indirection d'adresses, pour gérer le
wear-leveling (et les cellules mortes). Si le pilote du système de
fichiers dit "je veux écrire ça à l'adresse 1000", le contrôleur peut
l'écrire à n'importe quelle autre adresse physique (en conservant
l'association des deux adresses dans une table). Même sur les HDD ça
existe en fait, pour réallouer les secteurs défectueux.
Le "par" est intéressant : on n'alloue pas un espace au volume, c'est
lui qui se l'alloue tout seul :-)
J'ai vérifié le texte original en anglais, et c'est bien une traduction
acceptable de "how much storage this volume can allocate".
Moui, mais ce n'est qu'une façon imagée de parler, un volume n'est une
entité qui peut entreprendre des actions. C'est le pilote APFS qui gère
tout ça en pratique et qui alloue l'espace.
Conclusion : avec APFS, il nous faut oublier tous nos concepts liés aux
systèmes de fichiers ancestraux conçus pour les disques à plateaux et ne
plus lier nos fichiers à une quelconque représentation/localisation
physique.
C'était en fait déjà vrai avec les SSD, même avec les systèmes de
fichiers classiques. En dessous du système de fichier tu as le
contrôleur du disque qui opère une indirection d'adresses, pour gérer le
wear-leveling (et les cellules mortes). Si le pilote du système de
fichiers dit "je veux écrire ça à l'adresse 1000", le contrôleur peut
l'écrire à n'importe quelle autre adresse physique (en conservant
l'association des deux adresses dans une table). Même sur les HDD ça
existe en fait, pour réallouer les secteurs défectueux.
Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
Elles n'ont pas disparu [...]
Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
Elles n'ont pas disparu [...]
Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
Elles n'ont pas disparu [...]
In article ,
pehache wrote:
Le "par" est intéressant : on n'alloue pas un espace au volume, c'esttraduction
lui qui se l'alloue tout seul :-)
J'ai vérifié le texte original en anglais, et c'est bien uneacceptable de "how much storage this volume can allocate".
Moui, mais ce n'est qu'une façon imagée de parler, un volume n'est une
entité qui peut entreprendre des actions. C'est le pilote APFS qui gère
tout ça en pratique et qui alloue l'espace.
Je ne sais pas si on peut parler de "pilote", mais bon, c'est pareil.
Ce filesystem est très civilisé, plein de courtoisie où chacun demande
la permission d'utiliser un bloc ou d'étendre son espace.
Derrière tout ça, j'ai répéré unSpace Manager qui s'occupe peut-être
de
tout cela avec un dénommé Reaper qui s'occupe de faire le ménage des
blocs "deleted".Conclusion : avec APFS, il nous faut oublier tous nos concepts liés auxne
systèmes de fichiers ancestraux conçus pour les disques à plateaux etplus lier nos fichiers à une quelconque représentation/localisation
physique.
C'était en fait déjà vrai avec les SSD, même avec les systèmes de
fichiers classiques. En dessous du système de fichier tu as le
contrôleur du disque qui opère une indirection d'adresses, pour gérer
le
wear-leveling (et les cellules mortes). Si le pilote du système de
fichiers dit "je veux écrire ça à l'adresse 1000", le contrôleur peut
l'écrire à n'importe quelle autre adresse physique (en conservant
l'association des deux adresses dans une table). Même sur les HDD ça
existe en fait, pour réallouer les secteurs défectueux.
Oui, mais je doute quand même qu'un contrôleur tienne à jour une table
d'indirection complète.
In article <ga188rFpo9fU1@mid.individual.net>,
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
>
> Le "par" est intéressant : on n'alloue pas un espace au volume, c'est
> lui qui se l'alloue tout seul :-)
> J'ai vérifié le texte original en anglais, et c'est bien une
traduction
> acceptable de "how much storage this volume can allocate".
Moui, mais ce n'est qu'une façon imagée de parler, un volume n'est une
entité qui peut entreprendre des actions. C'est le pilote APFS qui gère
tout ça en pratique et qui alloue l'espace.
Je ne sais pas si on peut parler de "pilote", mais bon, c'est pareil.
Ce filesystem est très civilisé, plein de courtoisie où chacun demande
la permission d'utiliser un bloc ou d'étendre son espace.
Derrière tout ça, j'ai répéré unSpace Manager qui s'occupe peut-être
de
tout cela avec un dénommé Reaper qui s'occupe de faire le ménage des
blocs "deleted".
>
> Conclusion : avec APFS, il nous faut oublier tous nos concepts liés aux
> systèmes de fichiers ancestraux conçus pour les disques à plateaux et
ne
> plus lier nos fichiers à une quelconque représentation/localisation
> physique.
C'était en fait déjà vrai avec les SSD, même avec les systèmes de
fichiers classiques. En dessous du système de fichier tu as le
contrôleur du disque qui opère une indirection d'adresses, pour gérer
le
wear-leveling (et les cellules mortes). Si le pilote du système de
fichiers dit "je veux écrire ça à l'adresse 1000", le contrôleur peut
l'écrire à n'importe quelle autre adresse physique (en conservant
l'association des deux adresses dans une table). Même sur les HDD ça
existe en fait, pour réallouer les secteurs défectueux.
Oui, mais je doute quand même qu'un contrôleur tienne à jour une table
d'indirection complète.
In article ,
pehache wrote:
Le "par" est intéressant : on n'alloue pas un espace au volume, c'esttraduction
lui qui se l'alloue tout seul :-)
J'ai vérifié le texte original en anglais, et c'est bien uneacceptable de "how much storage this volume can allocate".
Moui, mais ce n'est qu'une façon imagée de parler, un volume n'est une
entité qui peut entreprendre des actions. C'est le pilote APFS qui gère
tout ça en pratique et qui alloue l'espace.
Je ne sais pas si on peut parler de "pilote", mais bon, c'est pareil.
Ce filesystem est très civilisé, plein de courtoisie où chacun demande
la permission d'utiliser un bloc ou d'étendre son espace.
Derrière tout ça, j'ai répéré unSpace Manager qui s'occupe peut-être
de
tout cela avec un dénommé Reaper qui s'occupe de faire le ménage des
blocs "deleted".Conclusion : avec APFS, il nous faut oublier tous nos concepts liés auxne
systèmes de fichiers ancestraux conçus pour les disques à plateaux etplus lier nos fichiers à une quelconque représentation/localisation
physique.
C'était en fait déjà vrai avec les SSD, même avec les systèmes de
fichiers classiques. En dessous du système de fichier tu as le
contrôleur du disque qui opère une indirection d'adresses, pour gérer
le
wear-leveling (et les cellules mortes). Si le pilote du système de
fichiers dit "je veux écrire ça à l'adresse 1000", le contrôleur peut
l'écrire à n'importe quelle autre adresse physique (en conservant
l'association des deux adresses dans une table). Même sur les HDD ça
existe en fait, pour réallouer les secteurs défectueux.
Oui, mais je doute quand même qu'un contrôleur tienne à jour une table
d'indirection complète.
On 2019-01-13 16:32:08 +0000, pehache said:Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
Elles n'ont pas disparu [...]
Plonk !
On 2019-01-13 16:32:08 +0000, pehache said:
> Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
>
> Elles n'ont pas disparu [...]
Plonk !
On 2019-01-13 16:32:08 +0000, pehache said:Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
Elles n'ont pas disparu [...]
Plonk !
Patrick wrote:On 2019-01-13 16:32:08 +0000, pehache said:Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
Elles n'ont pas disparu [...]
Plonk !
Là tu te décridibilises ;-))
Si tu l'avais réellement plonké plus haut dans l'enfilade tu n'aurais
pas lu le message qui te fait le replonker :-)
Patrick <patrick@nowhere.invalid> wrote:
On 2019-01-13 16:32:08 +0000, pehache said:
Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
Elles n'ont pas disparu [...]
Plonk !
Là tu te décridibilises ;-))
Si tu l'avais réellement plonké plus haut dans l'enfilade tu n'aurais
pas lu le message qui te fait le replonker :-)
Patrick wrote:On 2019-01-13 16:32:08 +0000, pehache said:Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
Elles n'ont pas disparu [...]
Plonk !
Là tu te décridibilises ;-))
Si tu l'avais réellement plonké plus haut dans l'enfilade tu n'aurais
pas lu le message qui te fait le replonker :-)
On 2019-01-14 09:35:38 +0000, Gilbert OLIVIER said:Patrick wrote:On 2019-01-13 16:32:08 +0000, pehache said:Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
Elles n'ont pas disparu [...]
Plonk !
Là tu te décridibilises ;-))
Si tu l'avais réellement plonké plus haut dans l'enfilade tu n'aurais
pas lu le message qui te fait le replonker :-)
C'est ma boîteàcons qui envoie une réponse automatique ;-)
On 2019-01-14 09:35:38 +0000, Gilbert OLIVIER said:
> Patrick <patrick@nowhere.invalid> wrote:
>
>> On 2019-01-13 16:32:08 +0000, pehache said:
>>
>>> Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
>>>
>>> Elles n'ont pas disparu [...]
>>
>> Plonk !
>
> Là tu te décridibilises ;-))
>
> Si tu l'avais réellement plonké plus haut dans l'enfilade tu n'aurais
> pas lu le message qui te fait le replonker :-)
C'est ma boîteàcons qui envoie une réponse automatique ;-)
On 2019-01-14 09:35:38 +0000, Gilbert OLIVIER said:Patrick wrote:On 2019-01-13 16:32:08 +0000, pehache said:Le 13/01/2019 à 10:54, Patrick a écrit :
Elles n'ont pas disparu [...]
Plonk !
Là tu te décridibilises ;-))
Si tu l'avais réellement plonké plus haut dans l'enfilade tu n'aurais
pas lu le message qui te fait le replonker :-)
C'est ma boîteàcons qui envoie une réponse automatique ;-)
Et ma marmotte elle met le papier d'alu.... ;-)
Et ma marmotte elle met le papier d'alu.... ;-)
Et ma marmotte elle met le papier d'alu.... ;-)
Je ne sais pas si on peut parler de "pilote", mais bon, c'est pareil.
Bah, quoi d'autre ? Les systèmes de fichiers se présentent sous la forme
de pilotes en règle générale.Ce filesystem est très civilisé, plein de courtoisie où chacun demande
la permission d'utiliser un bloc ou d'étendre son espace.
C'est une vision très "romantique" :-)
Mais en pratique c'est sans doute beaucoup plus classique Š
> Je ne sais pas si on peut parler de "pilote", mais bon, c'est pareil.
Bah, quoi d'autre ? Les systèmes de fichiers se présentent sous la forme
de pilotes en règle générale.
> Ce filesystem est très civilisé, plein de courtoisie où chacun demande
> la permission d'utiliser un bloc ou d'étendre son espace.
C'est une vision très "romantique" :-)
Mais en pratique c'est sans doute beaucoup plus classique Š
Je ne sais pas si on peut parler de "pilote", mais bon, c'est pareil.
Bah, quoi d'autre ? Les systèmes de fichiers se présentent sous la forme
de pilotes en règle générale.Ce filesystem est très civilisé, plein de courtoisie où chacun demande
la permission d'utiliser un bloc ou d'étendre son espace.
C'est une vision très "romantique" :-)
Mais en pratique c'est sans doute beaucoup plus classique Š