Moi aussi, quand il a demandé des conseils pour numériser ses vinyles, je m'attendais bien à ce que quelqu'un lui propose de copier les cd. Je pensais même que quelqu'un allais lui dire d'acheter les cd ...
- OK pour *admettre* les avantages réels ou révés de l'analogique sur le numérique (personnellement, je parlerais plutôt de "charme"). Remarquons toutefois que l'analogique vinyle est quand même gratiné en termes de chaîne audio-mécanique. Et que le résultat sera dans les deux cas (numérisation du vinyle et duplication du CD) une galette numérique.
Euh ... C'est vrai que c'était pas évident, qu'il était vraiment nécessaire de le préciser : une fois numérisé, la musique du vinyle n'est plus analogique.
- OK pour admettre que les rééditions en CD, en particulier celles faites dans l'urgence pour saisir un marché juteux, ont souvent été traitées par dessus la jambe.
Oui, et bien souvent c'est de la bouillie. Et dans ces cas là, mieux vaut enregistrer le vinyle sur une cassette audio que d'écouter le cd. Pas plus tard que cette semaine, j'ai passé pas mal de temps à faire le tri dans les versions de "Crossroads" d'Eric Clapton, et je t'assure qu'on entend de tout, y compris des trucs infâmes ... (mais heureusement, on arrive de temps en temps à trouver un cd ramesterisé, assez récent dans le cas présent, qui égale les enregistrements originaux).
Mais l'amateur n'aura pas mieux, considérant le matériel que demande une prestation professionnelle et le fait qu'il ne dispose de rien d'autre que le vinyle, en l'état.
Un bon logiciel (Audition en ce qui me concerne), une petite carte audio style M-audio Transit, une Thorens achetée d'occas et retapée, un peu de savoir faire (il y a internet pour ça) et c'est une affaire qui roule.
L'avantage de la numérisation est éventuellement de retrouver les légers craquement du vinyle, et là je suis tout à fait sérieux. Comme le silence qui suit la musique est encore de la musique, le délicieux "silence vinyle" qui précède le morceau adoré, qu'on cannait par coeur, est un peu ce qu'est l'escalier dans l'amour furtif.
Un vinyle bien utilisé ne craque (presque) pas et ne s'use pas.
Pierre Maurette <maurettepierre@wanadoo.fr> a écrit :
ça ne sera pas forcément mieux.
;-))) Ça, je l'attendais.
Moi aussi, quand il a demandé des conseils pour numériser ses vinyles,
je m'attendais bien à ce que quelqu'un lui propose de copier les cd. Je
pensais même que quelqu'un allais lui dire d'acheter les cd ...
- OK pour *admettre* les avantages réels ou révés de l'analogique sur
le numérique (personnellement, je parlerais plutôt de "charme").
Remarquons toutefois que l'analogique vinyle est quand même gratiné
en termes de chaîne audio-mécanique. Et que le résultat sera dans les
deux cas (numérisation du vinyle et duplication du CD) une galette
numérique.
Euh ... C'est vrai que c'était pas évident, qu'il était vraiment
nécessaire de le préciser : une fois numérisé, la musique du vinyle
n'est plus analogique.
- OK pour admettre que les rééditions en CD, en particulier celles
faites dans l'urgence pour saisir un marché juteux, ont souvent été
traitées par dessus la jambe.
Oui, et bien souvent c'est de la bouillie. Et dans ces cas là, mieux
vaut enregistrer le vinyle sur une cassette audio que d'écouter le cd.
Pas plus tard que cette semaine, j'ai passé pas mal de temps à faire le
tri dans les versions de "Crossroads" d'Eric Clapton, et je t'assure
qu'on entend de tout, y compris des trucs infâmes ... (mais
heureusement, on arrive de temps en temps à trouver un cd ramesterisé,
assez récent dans le cas présent, qui égale les enregistrements
originaux).
Mais l'amateur n'aura pas mieux, considérant le matériel que demande
une prestation professionnelle et le fait qu'il ne dispose de rien
d'autre que le vinyle, en l'état.
Un bon logiciel (Audition en ce qui me concerne), une petite carte audio
style M-audio Transit, une Thorens achetée d'occas et retapée, un peu de
savoir faire (il y a internet pour ça) et c'est une affaire qui roule.
L'avantage de la numérisation est éventuellement de retrouver les
légers craquement du vinyle, et là je suis tout à fait sérieux. Comme
le silence qui suit la musique est encore de la musique, le délicieux
"silence vinyle" qui précède le morceau adoré, qu'on cannait par
coeur, est un peu ce qu'est l'escalier dans l'amour furtif.
Un vinyle bien utilisé ne craque (presque) pas et ne s'use pas.
Moi aussi, quand il a demandé des conseils pour numériser ses vinyles, je m'attendais bien à ce que quelqu'un lui propose de copier les cd. Je pensais même que quelqu'un allais lui dire d'acheter les cd ...
- OK pour *admettre* les avantages réels ou révés de l'analogique sur le numérique (personnellement, je parlerais plutôt de "charme"). Remarquons toutefois que l'analogique vinyle est quand même gratiné en termes de chaîne audio-mécanique. Et que le résultat sera dans les deux cas (numérisation du vinyle et duplication du CD) une galette numérique.
Euh ... C'est vrai que c'était pas évident, qu'il était vraiment nécessaire de le préciser : une fois numérisé, la musique du vinyle n'est plus analogique.
- OK pour admettre que les rééditions en CD, en particulier celles faites dans l'urgence pour saisir un marché juteux, ont souvent été traitées par dessus la jambe.
Oui, et bien souvent c'est de la bouillie. Et dans ces cas là, mieux vaut enregistrer le vinyle sur une cassette audio que d'écouter le cd. Pas plus tard que cette semaine, j'ai passé pas mal de temps à faire le tri dans les versions de "Crossroads" d'Eric Clapton, et je t'assure qu'on entend de tout, y compris des trucs infâmes ... (mais heureusement, on arrive de temps en temps à trouver un cd ramesterisé, assez récent dans le cas présent, qui égale les enregistrements originaux).
Mais l'amateur n'aura pas mieux, considérant le matériel que demande une prestation professionnelle et le fait qu'il ne dispose de rien d'autre que le vinyle, en l'état.
Un bon logiciel (Audition en ce qui me concerne), une petite carte audio style M-audio Transit, une Thorens achetée d'occas et retapée, un peu de savoir faire (il y a internet pour ça) et c'est une affaire qui roule.
L'avantage de la numérisation est éventuellement de retrouver les légers craquement du vinyle, et là je suis tout à fait sérieux. Comme le silence qui suit la musique est encore de la musique, le délicieux "silence vinyle" qui précède le morceau adoré, qu'on cannait par coeur, est un peu ce qu'est l'escalier dans l'amour furtif.
Un vinyle bien utilisé ne craque (presque) pas et ne s'use pas.
