Que certains ici soient convaincus du contraire pour ce qui les
concerne... les regarde :-)
Heureusement que chacun peut avoir ces propres opinions *et* les
exprimer, il n'y a pas encore de licence pour interdire ça ;-)
Que certains ici soient convaincus du contraire pour ce qui les
concerne... les regarde :-)
Heureusement que chacun peut avoir ces propres opinions *et* les
exprimer, il n'y a pas encore de licence pour interdire ça ;-)
Que certains ici soient convaincus du contraire pour ce qui les
concerne... les regarde :-)
Heureusement que chacun peut avoir ces propres opinions *et* les
exprimer, il n'y a pas encore de licence pour interdire ça ;-)
>
>> Que certains ici soient convaincus du contraire pour ce qui les
>> concerne... les regarde :-)
>
> Heureusement que chacun peut avoir ces propres opinions *et* les
> exprimer, il n'y a pas encore de licence pour interdire ça ;-)
>
Si si, ça existe déjà.
Dans les conditions d'utilisation de FrontPage, il me semble qu'il y
avait une clause qui interdisait de s'en servir pour publier un site sur
lequel on disait du mal de MS (je dis ça de mémoire, il faudrait
vérifier précisément).
La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ?
Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé,
mais sur iOS ça l'est (grave).
>
>> Que certains ici soient convaincus du contraire pour ce qui les
>> concerne... les regarde :-)
>
> Heureusement que chacun peut avoir ces propres opinions *et* les
> exprimer, il n'y a pas encore de licence pour interdire ça ;-)
>
Si si, ça existe déjà.
Dans les conditions d'utilisation de FrontPage, il me semble qu'il y
avait une clause qui interdisait de s'en servir pour publier un site sur
lequel on disait du mal de MS (je dis ça de mémoire, il faudrait
vérifier précisément).
La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ?
Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé,
mais sur iOS ça l'est (grave).
>
>> Que certains ici soient convaincus du contraire pour ce qui les
>> concerne... les regarde :-)
>
> Heureusement que chacun peut avoir ces propres opinions *et* les
> exprimer, il n'y a pas encore de licence pour interdire ça ;-)
>
Si si, ça existe déjà.
Dans les conditions d'utilisation de FrontPage, il me semble qu'il y
avait une clause qui interdisait de s'en servir pour publier un site sur
lequel on disait du mal de MS (je dis ça de mémoire, il faudrait
vérifier précisément).
La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ?
Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé,
mais sur iOS ça l'est (grave).
La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
ça l'est (grave).
La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
ça l'est (grave).
La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
ça l'est (grave).
pehache wrote:La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
ça l'est (grave).
Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
Le problème de la surveillance par un système ou autre de ce qu'on fait
sur internet (en termes de consultations de pages, d'où on vient, où on
va, historiques, cookies...) n'est pas neuf. Le débat tourne clairement
autour du choix de laisser des infos à disposition contre le bénéfice
qu'on peut en retirer (une sorte d'automatisation ou de sélection
favorable...). À noter qu'à ce niveau, ce que certains autorisent les
réseaux sociaux à surveiller (qui va jusqu'au physique désormais) laisse
planer à terme le triomphe du postiche et de la burka pour s'en protéger
!
Il y a trente ans, quand certains calculs de Kodratoff laissaient
espérer un jour (aujourd'hui, raté !) des ordinateurs "intelligents
artificiellement", une partie de cette intelligence reposait sur
l'espionnage profond de tout ce qu'on faisait sur l'ordi, incluant les
hésitations et les temps de pause... La contrepartie était
l'anticipation des décisions probables de l'utilisateur...
Tout ça pour dire que je ne sais pas où se situe précisément la perte de
liberté, et qu'il serait dommage de se tromper de cible, des fois
qu'elle se situe bien avant les choix d'Apple dans *nos* comportements ?
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
ça l'est (grave).
Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
Le problème de la surveillance par un système ou autre de ce qu'on fait
sur internet (en termes de consultations de pages, d'où on vient, où on
va, historiques, cookies...) n'est pas neuf. Le débat tourne clairement
autour du choix de laisser des infos à disposition contre le bénéfice
qu'on peut en retirer (une sorte d'automatisation ou de sélection
favorable...). À noter qu'à ce niveau, ce que certains autorisent les
réseaux sociaux à surveiller (qui va jusqu'au physique désormais) laisse
planer à terme le triomphe du postiche et de la burka pour s'en protéger
!
Il y a trente ans, quand certains calculs de Kodratoff laissaient
espérer un jour (aujourd'hui, raté !) des ordinateurs "intelligents
artificiellement", une partie de cette intelligence reposait sur
l'espionnage profond de tout ce qu'on faisait sur l'ordi, incluant les
hésitations et les temps de pause... La contrepartie était
l'anticipation des décisions probables de l'utilisateur...
Tout ça pour dire que je ne sais pas où se situe précisément la perte de
liberté, et qu'il serait dommage de se tromper de cible, des fois
qu'elle se situe bien avant les choix d'Apple dans *nos* comportements ?
pehache wrote:La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
ça l'est (grave).
Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
Le problème de la surveillance par un système ou autre de ce qu'on fait
sur internet (en termes de consultations de pages, d'où on vient, où on
va, historiques, cookies...) n'est pas neuf. Le débat tourne clairement
autour du choix de laisser des infos à disposition contre le bénéfice
qu'on peut en retirer (une sorte d'automatisation ou de sélection
favorable...). À noter qu'à ce niveau, ce que certains autorisent les
réseaux sociaux à surveiller (qui va jusqu'au physique désormais) laisse
planer à terme le triomphe du postiche et de la burka pour s'en protéger
!
Il y a trente ans, quand certains calculs de Kodratoff laissaient
espérer un jour (aujourd'hui, raté !) des ordinateurs "intelligents
artificiellement", une partie de cette intelligence reposait sur
l'espionnage profond de tout ce qu'on faisait sur l'ordi, incluant les
hésitations et les temps de pause... La contrepartie était
l'anticipation des décisions probables de l'utilisateur...
Tout ça pour dire que je ne sais pas où se situe précisément la perte de
liberté, et qu'il serait dommage de se tromper de cible, des fois
qu'elle se situe bien avant les choix d'Apple dans *nos* comportements ?
pehache wrote:
> Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé,
"Pour le moment"... Car malheureusement si moi aussi j'ai défendu (ici
même) au départ que l'AppStore n'était pas un verrou mais un canal de
plus, la direction que prend Apple commence a m'inquiéter (xcode et 10.7
sont l'exemple le plus flagrant).
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
> Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé,
"Pour le moment"... Car malheureusement si moi aussi j'ai défendu (ici
même) au départ que l'AppStore n'était pas un verrou mais un canal de
plus, la direction que prend Apple commence a m'inquiéter (xcode et 10.7
sont l'exemple le plus flagrant).
pehache wrote:
> Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé,
"Pour le moment"... Car malheureusement si moi aussi j'ai défendu (ici
même) au départ que l'AppStore n'était pas un verrou mais un canal de
plus, la direction que prend Apple commence a m'inquiéter (xcode et 10.7
sont l'exemple le plus flagrant).
Pierre-Alain Dorange wrote:pehache wrote:
> Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé,
"Pour le moment"... Car malheureusement si moi aussi j'ai défendu (ici
même) au départ que l'AppStore n'était pas un verrou mais un canal de
plus, la direction que prend Apple commence a m'inquiéter (xcode et 10.7
sont l'exemple le plus flagrant).
C'est déjà le seul canal de distribution pour certains logiciels. En
tout cas si vous trouvez comment télécharger Lingon ailleurs que sur le
Mac App Store, je suis preneur.
Pierre-Alain Dorange <pdorange@pas-de-pub-merci.mac.com> wrote:
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
> Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé,
"Pour le moment"... Car malheureusement si moi aussi j'ai défendu (ici
même) au départ que l'AppStore n'était pas un verrou mais un canal de
plus, la direction que prend Apple commence a m'inquiéter (xcode et 10.7
sont l'exemple le plus flagrant).
C'est déjà le seul canal de distribution pour certains logiciels. En
tout cas si vous trouvez comment télécharger Lingon ailleurs que sur le
Mac App Store, je suis preneur.
Pierre-Alain Dorange wrote:pehache wrote:
> Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé,
"Pour le moment"... Car malheureusement si moi aussi j'ai défendu (ici
même) au départ que l'AppStore n'était pas un verrou mais un canal de
plus, la direction que prend Apple commence a m'inquiéter (xcode et 10.7
sont l'exemple le plus flagrant).
C'est déjà le seul canal de distribution pour certains logiciels. En
tout cas si vous trouvez comment télécharger Lingon ailleurs que sur le
Mac App Store, je suis preneur.
> La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
> autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
> liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
> nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
> bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
> ça l'est (grave).
Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
[...]
Tout ça pour dire que je ne sais pas où se situe précisément la perte de
liberté, et qu'il serait dommage de se tromper de cible, des fois
qu'elle se situe bien avant les choix d'Apple dans *nos* comportements ?
> La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
> autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
> liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
> nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
> bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
> ça l'est (grave).
Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
[...]
Tout ça pour dire que je ne sais pas où se situe précisément la perte de
liberté, et qu'il serait dommage de se tromper de cible, des fois
qu'elle se situe bien avant les choix d'Apple dans *nos* comportements ?
> La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
> autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
> liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
> nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
> bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
> ça l'est (grave).
Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
[...]
Tout ça pour dire que je ne sais pas où se situe précisément la perte de
liberté, et qu'il serait dommage de se tromper de cible, des fois
qu'elle se situe bien avant les choix d'Apple dans *nos* comportements ?
pehache wrote:La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
ça l'est (grave).
Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
pehache<pehache.7@gmail.com> wrote:
La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
ça l'est (grave).
Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
pehache wrote:La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
ça l'est (grave).
Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
Le 11/06/11 19:33, Gerald a écrit :
> pehache wrote:
>
>> La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
>> autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
>> liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
>> nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
>> bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
>> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
>> ça l'est (grave).
>
> Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
> spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
> sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
> de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
Sur BlackBerry ou sous Android rien n'oblige -en tous cas jusqu'à nouvel
ordre- à passer par les stores officiels pour installer des applications
(même si bien évidemment certaines applis ne sont disponibles que sur
ces stores). La politique éditoriale de RIM ou de Google sont donc -un
peu- moins un problème.
Le 11/06/11 19:33, Gerald a écrit :
> pehache<pehache.7@gmail.com> wrote:
>
>> La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
>> autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
>> liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
>> nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
>> bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
>> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
>> ça l'est (grave).
>
> Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
> spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
> sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
> de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
Sur BlackBerry ou sous Android rien n'oblige -en tous cas jusqu'à nouvel
ordre- à passer par les stores officiels pour installer des applications
(même si bien évidemment certaines applis ne sont disponibles que sur
ces stores). La politique éditoriale de RIM ou de Google sont donc -un
peu- moins un problème.
Le 11/06/11 19:33, Gerald a écrit :
> pehache wrote:
>
>> La sélection très stricte et parfois arbitraire par Apple des applis
>> autorisées sur leurs App Stores s'apparente à une restriction de la
>> liberté d'opinion. Aujourd'hui ils interdisent les applis qui montre des
>> nichons, demain celles qui permettent de lire des articles ou des
>> bouquins critiques envers Apple ? Sur Mac ce n'est encore pas trop grave
>> dans la mesure où l'App Store n'est pas un passage obligé, mais sur iOS
>> ça l'est (grave).
>
> Je suis d'accord avec vous deux que *c'est* un problème. Mais est-il
> spécifique ? Qu'il s'agisse d'un mode d'achat en ligne à contenu
> sélectif ou d'un système fermé, en quoi cela diffère-t-il, par exemple,
> de ce qu'on peut ou pas installer comme applications sur un BlackBerry ?
Sur BlackBerry ou sous Android rien n'oblige -en tous cas jusqu'à nouvel
ordre- à passer par les stores officiels pour installer des applications
(même si bien évidemment certaines applis ne sont disponibles que sur
ces stores). La politique éditoriale de RIM ou de Google sont donc -un
peu- moins un problème.
Sur BlackBerry ou sous Android rien n'oblige -en tous cas jusqu'à nouvel
ordre- à passer par les stores officiels pour installer des applications
(même si bien évidemment certaines applis ne sont disponibles que sur
ces stores). La politique éditoriale de RIM ou de Google sont donc -un
peu- moins un problème.
Je ne vois pas pourquoi : c'est exactement pareil avec Apple.
Sur BlackBerry ou sous Android rien n'oblige -en tous cas jusqu'à nouvel
ordre- à passer par les stores officiels pour installer des applications
(même si bien évidemment certaines applis ne sont disponibles que sur
ces stores). La politique éditoriale de RIM ou de Google sont donc -un
peu- moins un problème.
Je ne vois pas pourquoi : c'est exactement pareil avec Apple.
Sur BlackBerry ou sous Android rien n'oblige -en tous cas jusqu'à nouvel
ordre- à passer par les stores officiels pour installer des applications
(même si bien évidemment certaines applis ne sont disponibles que sur
ces stores). La politique éditoriale de RIM ou de Google sont donc -un
peu- moins un problème.
Je ne vois pas pourquoi : c'est exactement pareil avec Apple.