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De l'utilité du CSA

33 réponses
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Helmut Prod
Dernier gros poisson alpagu=E9 par le Conseil sup=E9rieur de
l'audiovisuel :
Bernard Tapie. Ou plut=F4t le personnage qu'il joue sur TF1, le
commissaire
Valence, qui, en d=E9cembre, s'est fait pincer en flag' de passion
amoureuse
pour la derni=E8re Peugeot. La Une s'est juste fait tirer l'oreille,
mais, en
mati=E8re de pub clandestine, le CSA est g=E9n=E9ralement moins cl=E9ment:
de
l'avertissement =E0 la s=E9v=E8re mise en demeure, jusqu'=E0 la forte
amende (150
000 euros pour un Club Med trop voyant dans Loft Story), il ne se passe
pas
une semaine sans que les sages =E9pinglent les cha=EEnes de t=E9l=E9. Car
c'est bien
simple: hormis les =E9crans de pub, les marques n'ont pas droit de cit=E9
=E0 la
t=E9l=E9, au grand dam des cha=EEnes et des producteurs. Le CSA a
r=E9cemment
convoqu=E9 tout ce beau monde pour clarifier les r=E8gles.

Il est interdit de porter un T-shirt =ABPlayboy=BB

Et bing : mise en demeure pour Canal + o=F9 une animatrice a eu le bon
go=FBt,
fin 2003, d'arborer un T-shirt frapp=E9 du lapin =E9rotomane. M=EAme
chose, mais
logo diff=E9rent =AD celui du musculeux M. Propre =AD sur le T-shirt d'un
candidat
du Maillon faible de TF1 en mars 2004. La loi =AD un d=E9cret de 1992 =AD
est
limpide : =ABUne publicit=E9 est qualifi=E9e de clandestine lorsque sont
pr=E9sent=E9s
des biens, services ou autres marques en dehors des =E9crans
publicitaires.=BB
Et ce, pr=E9cise le texte, =ABdans un but publicitaire, c'est-=E0-dire
dans le but
non pas d'informer, mais de promouvoir=BB. C'est l=E0 toute la
difficult=E9
d'application. Quand le pr=E9pos=E9 aux gadgets de T=E9l=E9matin (France 2)
fait
l'article d'un nettoyeur de CD, informe-t-il ou promeut-il ? Pour se
conformer =E0 la l=E9gislation, la solution choisie dans l'=E9mission est
simple :
pas de marque =E0 l'antenne. Sur Canal +, dans la Matinale, on pr=E9f=E8re
citer
syst=E9matiquement plusieurs marques. Un bon point : le CSA rel=E8ve
justement
=ABl'absence de pluralisme dans la pr=E9sentation=BB comme un indice de
pub
clandestine. Du coup, pour =E9viter les foudres du CSA, les cha=EEnes
multiplient les astuces : floutage, flopage (l'image est invers=E9e pour
lire
ekiN au lieu de Nike), voire =AD une pratique n=E9e avec la
t=E9l=E9-r=E9alit=E9 =AD un
bon vieux bout de Scotch coll=E9 sur l'infamant logo.

Il est interdit de kiffer la Peugeot 407

Dans son Commissaire Valence r=E9cemment =E9pingl=E9, TF1 n'a rien cach=E9
du tout.
=ABC'=E9tait caract=E9ristique, raconte Elisabeth Fl=FCry-H=E9rard,
conseill=E8re au CSA
en charge du dossier de la publicit=E9, Bernard Tapie arrive et dit :
"Voil=E0
une belle voiture !" On lui r=E9pond: "Oui, c'est une Peugeot 407." Puis
il y
a un long gros plan sur le lion de Peugeot...=BB Sur Valence, TF1
reconna=EEt
une =ABmaladresse=BB, mais s'indigne de la rigidit=E9 du CSA : =ABA la
t=E9l=E9, on nous
oblige =E0 gommer la vie.=BB Ainsi dans les fictions trouve-t-on des
paquets de
c=E9r=E9ales aux noms fantaisistes, ou des titres de journaux invent=E9s.
La faute
=E0 qui ? Au CSA, r=E9pondent les cha=EEnes. Faux, r=E9torque
Fl=FCry-H=E9rard : =ABOn ne
demande pas la fabrication de faux v=E9hicules, mais de l=E0 =E0 ce qu'un
personnage fasse des mamours =E0 sa voiture...=BB Jacques Peskine, de
l'Uspa
(Union syndicale de la production audiovisuelle), rench=E9rit : =ABCe
sont les
cha=EEnes qui font du z=E8le.=BB Et de citer l'exemple de TF1 qui interdit
par
contrat, dans les fictions, toute apparition de marque, faute de quoi,
les
images litigieuses seront effac=E9es =E0 la charge des producteurs. Lors
de son
r=E9cent Yalta de la pub clandestine, le CSA a tent=E9 d'apaiser le
d=E9bat : =ABCe
qu'on a voulu dire aux cha=EEnes, souligne Elisabeth Fl=FCry-H=E9rard,
c'est:
"Calmons-nous." Dans une fiction, ce n'est pas grave, si, dans une
sc=E8ne =E0
la terrasse d'un caf=E9, on voit une bouteille de Coca-Cola.=BB

Il est interdit de manger chez McDo

Celle-l=E0, le CSA ne l'a pas vue. C'=E9tait Un gars du Queens, une
s=E9rie
am=E9ricaine diffus=E9e il y a peu sur la cha=EEne th=E9matique Com=E9die !.
On y
voyait Doug, le h=E9ros, en uniforme marron, livrer des colis =E0 bord
d'un
camion marron sigl=E9 IPS. On ne peut plus clair : c'est le transporteur
UPS
qui r=E9gale. En revanche, le CSA n'a pas loup=E9 la s=E9rie Ch=E9rie j'ai
r=E9tr=E9ci
les gosses diffus=E9e en 2002 sur M6, et son =E9pisode se d=E9roulant dans
un
McDonald's. D'ordinaire, c'est plus fin: la s=E9rie 24 Heures chrono a
ainsi
un accord avec Ford, mais les plans sur le logo des calandres sont
discrets.
N'importe : en France, cette pratique est totalement interdite, du
moins =E0
la t=E9l=E9. Le cin=E9ma est tr=E8s friand du placement de produits. Et
quand le
film passe =E0 la t=E9l=E9 avec sa grosse pub bien voyante (la semaine
derni=E8re
sur TF1, dans Just Married ou presque, on a vu Julia Roberts en robe de
mari=E9e monter dans un magnifique camion Fedex), le CSA n'y trouve rien
=E0
redire. Mais pour les productions t=E9l=E9, c'est niet. La raison ?
=ABNous
n'avons pas de contr=F4le sur les films, parce que les cha=EEnes
elles-m=EAmes
n'ont aucun contr=F4le, explique Elisabeth Fl=FCry-H=E9rard. En revanche,
quand
elles ach=E8tent des s=E9ries, il peut =EAtre pr=E9cis=E9 dans leur contrat
que les
cha=EEnes peuvent les couper, donc l=E0, la r=E8gle s'applique.=BB Au grand
regret
des cha=EEnes. Ainsi, =E0 M6, Michel Rey, directeur g=E9n=E9ral adjoint, se
dit
=ABfavorable =E0 un changement dans la r=E9glementation dans le but d'un
financement suppl=E9mentaire des fictions t=E9l=E9=BB.

Il est interdit de noyer le =ABChihuahua=BB dans le Coca-Cola

C'=E9tait durant l'=E9t=E9 2003. M=E9lomane averti, Patrick Le Lay avait
choisi
comme musique d'=E9t=E9 de TF1 Chihuahua, de DJ Bobo. Co=EFncidence :
entre
f=E9vrier et juin 2003, un certain breuvage gazeux avait lui aussi
choisi
Chihuahua pour accompagner ses pubs t=E9l=E9 : Coca-Cola... TF1 diffuse
le clip
de sa chanson de l'=E9t=E9 plus de 200 fois au cours de l'=E9t=E9 et le
fait
sponsoriser par... Coca-Cola ! Mieux, le breuvage est visuellement
pr=E9sent =E0
l'int=E9rieur du clip. Difficile de diff=E9rencier la vraie pub du clip
parrain=E9. Le CSA a jug=E9 que la programmation, en dehors des =E9crans
de pub,
=ABd'une chanson jusqu'alors identifi=E9e comme la signature de la
publicit=E9
d'une marque=BB =E9tait un cas flagrant de pub clandestine. Et encore...
C'=E9tait
un an avant que Le Lay avoue publiquement que son m=E9tier =E9tait de
vendre du
Coca-Cola.

10 réponses

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cinaelle
"ruby" a écrit dans le message de
news:
Helmut Prod wrote:


Ils ont vraiment rien a foutre au CSA.


Pas fatigué mais bien payé.......



> Dernier gros poisson alpagué par le Conseil supérieur de
> l'audiovisuel :
> Bernard Tapie. Ou plutôt le personnage qu'il joue sur TF1, le
> commissaire
> Valence, qui, en décembre, s'est fait pincer en flag' de passion
> amoureuse
> pour la dernière Peugeot. La Une s'est juste fait tirer l'oreille,
> mais, en
> matière de pub clandestine, le CSA est généralement moins clément:
> de
> l'avertissement à la sévère mise en demeure, jusqu'à la forte
> amende (150
> 000 euros pour un Club Med trop voyant dans Loft Story), il ne se passe
> pas
> une semaine sans que les sages épinglent les chaînes de télé. Car
> c'est bien
> simple: hormis les écrans de pub, les marques n'ont pas droit de cité
> à la
> télé, au grand dam des chaînes et des producteurs. Le CSA a
> récemment
> convoqué tout ce beau monde pour clarifier les règles.
>
> Il est interdit de porter un T-shirt «Playboy»
>
> Et bing : mise en demeure pour Canal + où une animatrice a eu le bon
> goût,
> fin 2003, d'arborer un T-shirt frappé du lapin érotomane. Même
> chose, mais
> logo différent ­ celui du musculeux M. Propre ­ sur le T-shirt d'un
> candidat
> du Maillon faible de TF1 en mars 2004. La loi ­ un décret de 1992 ­
> est
> limpide : «Une publicité est qualifiée de clandestine lorsque sont
> présentés
> des biens, services ou autres marques en dehors des écrans
> publicitaires.»
> Et ce, précise le texte, «dans un but publicitaire, c'est-à-dire
> dans le but
> non pas d'informer, mais de promouvoir». C'est là toute la
> difficulté
> d'application. Quand le préposé aux gadgets de Télématin (France 2)
> fait
> l'article d'un nettoyeur de CD, informe-t-il ou promeut-il ? Pour se
> conformer à la législation, la solution choisie dans l'émission est
> simple :
> pas de marque à l'antenne. Sur Canal +, dans la Matinale, on préfère
> citer
> systématiquement plusieurs marques. Un bon point : le CSA relève
> justement
> «l'absence de pluralisme dans la présentation» comme un indice de
> pub
> clandestine. Du coup, pour éviter les foudres du CSA, les chaînes
> multiplient les astuces : floutage, flopage (l'image est inversée pour
> lire
> ekiN au lieu de Nike), voire ­ une pratique née avec la
> télé-réalité ­ un
> bon vieux bout de Scotch collé sur l'infamant logo.
>
> Il est interdit de kiffer la Peugeot 407
>
> Dans son Commissaire Valence récemment épinglé, TF1 n'a rien caché
> du tout.
> «C'était caractéristique, raconte Elisabeth Flüry-Hérard,
> conseillère au CSA
> en charge du dossier de la publicité, Bernard Tapie arrive et dit :
> "Voilà
> une belle voiture !" On lui répond: "Oui, c'est une Peugeot 407." Puis
> il y
> a un long gros plan sur le lion de Peugeot...» Sur Valence, TF1
> reconnaît
> une «maladresse», mais s'indigne de la rigidité du CSA : «A la
> télé, on nous
> oblige à gommer la vie.» Ainsi dans les fictions trouve-t-on des
> paquets de
> céréales aux noms fantaisistes, ou des titres de journaux inventés.
> La faute
> à qui ? Au CSA, répondent les chaînes. Faux, rétorque
> Flüry-Hérard : «On ne
> demande pas la fabrication de faux véhicules, mais de là à ce qu'un
> personnage fasse des mamours à sa voiture...» Jacques Peskine, de
> l'Uspa
> (Union syndicale de la production audiovisuelle), renchérit : «Ce
> sont les
> chaînes qui font du zèle.» Et de citer l'exemple de TF1 qui interdit
> par
> contrat, dans les fictions, toute apparition de marque, faute de quoi,
> les
> images litigieuses seront effacées à la charge des producteurs. Lors
> de son
> récent Yalta de la pub clandestine, le CSA a tenté d'apaiser le
> débat : «Ce
> qu'on a voulu dire aux chaînes, souligne Elisabeth Flüry-Hérard,
> c'est:
> "Calmons-nous." Dans une fiction, ce n'est pas grave, si, dans une
> scène à
> la terrasse d'un café, on voit une bouteille de Coca-Cola.»
>
> Il est interdit de manger chez McDo
>
> Celle-là, le CSA ne l'a pas vue. C'était Un gars du Queens, une
> série
> américaine diffusée il y a peu sur la chaîne thématique Comédie !.
> On y
> voyait Doug, le héros, en uniforme marron, livrer des colis à bord
> d'un
> camion marron siglé IPS. On ne peut plus clair : c'est le transporteur
> UPS
> qui régale. En revanche, le CSA n'a pas loupé la série Chérie j'ai
> rétréci
> les gosses diffusée en 2002 sur M6, et son épisode se déroulant dans
> un
> McDonald's. D'ordinaire, c'est plus fin: la série 24 Heures chrono a
> ainsi
> un accord avec Ford, mais les plans sur le logo des calandres sont
> discrets.
> N'importe : en France, cette pratique est totalement interdite, du
> moins à
> la télé. Le cinéma est très friand du placement de produits. Et
> quand le
> film passe à la télé avec sa grosse pub bien voyante (la semaine
> dernière
> sur TF1, dans Just Married ou presque, on a vu Julia Roberts en robe de
> mariée monter dans un magnifique camion Fedex), le CSA n'y trouve rien
> à
> redire. Mais pour les productions télé, c'est niet. La raison ?
> «Nous
> n'avons pas de contrôle sur les films, parce que les chaînes
> elles-mêmes
> n'ont aucun contrôle, explique Elisabeth Flüry-Hérard. En revanche,
> quand
> elles achètent des séries, il peut être précisé dans leur contrat
> que les
> chaînes peuvent les couper, donc là, la règle s'applique.» Au grand
> regret
> des chaînes. Ainsi, à M6, Michel Rey, directeur général adjoint, se
> dit
> «favorable à un changement dans la réglementation dans le but d'un
> financement supplémentaire des fictions télé».
>
> Il est interdit de noyer le «Chihuahua» dans le Coca-Cola
>
> C'était durant l'été 2003. Mélomane averti, Patrick Le Lay avait
> choisi
> comme musique d'été de TF1 Chihuahua, de DJ Bobo. Coïncidence :
> entre
> février et juin 2003, un certain breuvage gazeux avait lui aussi
> choisi
> Chihuahua pour accompagner ses pubs télé : Coca-Cola... TF1 diffuse
> le clip
> de sa chanson de l'été plus de 200 fois au cours de l'été et le
> fait
> sponsoriser par... Coca-Cola ! Mieux, le breuvage est visuellement
> présent à
> l'intérieur du clip. Difficile de différencier la vraie pub du clip
> parrainé. Le CSA a jugé que la programmation, en dehors des écrans
> de pub,
> «d'une chanson jusqu'alors identifiée comme la signature de la
> publicité
> d'une marque» était un cas flagrant de pub clandestine. Et encore...
> C'était
> un an avant que Le Lay avoue publiquement que son métier était de
> vendre du
> Coca-Cola.
>


Avatar
ruby
cinaelle wrote:
"ruby" a écrit dans le message de
news:

Helmut Prod wrote:


Ils ont vraiment rien a foutre au CSA.



Pas fatigué mais bien payé.......



12,000 euros, 8h/semaine.
Avatar
Pierre Maurette
Thierry a écrit :
[...]
C'est le diffuseur qui emettrait ce signal et il n'a aucun interet de le
faire passer apres la pub (dans le cas du debut de l'enregistrement), ca
serait se tirer un balle dans le pied.


Oui. Encore qu'une chaîne par exemple du (vrai) service public peut
décider de le faire, pour des raisons d'image. Ses tarifs publicitaires
s'en trouveraient diminués dans la mesure de l'équipement des foyers en
système exploitant le signal (c'est à dire très peu).
Je participe à cette conversation par intérêt technique, mais je dois
dire que la pub telle qu'elle est assenée *actuellement*, même par TF1,
ne me traumatise pas. Par exemple de la pub avant, après et à la
mi-temps d'un match de rugby me va très bien: je peux aller pisser et
faire le plein de boissons fraîches sans rien perdre. Si je suis devant
la pub, c'est la répétition qui est lassante, mais pas plus que les
artistes en promotion. La pub doit être beaucoup plus regardée par les
"familles" de gens bien élevés, dans lesquelles on ne zappe pas souvent
au nez et à la barbe de la tribu.
--
Pierre
Avatar
ruby
Pierre Maurette wrote:
Thierry a écrit :
[...]

C'est le diffuseur qui emettrait ce signal et il n'a aucun interet de
le faire passer apres la pub (dans le cas du debut de
l'enregistrement), ca serait se tirer un balle dans le pied.



Oui. Encore qu'une chaîne par exemple du (vrai) service public peut
décider de le faire, pour des raisons d'image. Ses tarifs publicitaires
s'en trouveraient diminués dans la mesure de l'équipement des foyers en
système exploitant le signal (c'est à dire très peu).
Je participe à cette conversation par intérêt technique, mais je dois
dire que la pub telle qu'elle est assenée *actuellement*, même par TF1,
ne me traumatise pas. Par exemple de la pub avant, après et à la
mi-temps d'un match de rugby me va très bien: je peux aller pisser et
faire le plein de boissons fraîches sans rien perdre.



Le probleme c'est le tunnel d'une demi heure de pub sur le pseudo
service publique de 20h30 a 21h00


Si je suis devant
la pub, c'est la répétition qui est lassante, mais pas plus que les
artistes en promotion. La pub doit être beaucoup plus regardée par les
"familles" de gens bien élevés, dans lesquelles on ne zappe pas souvent
au nez et à la barbe de la tribu.


Avatar
Pierre Maurette
ruby a écrit :
[...]
Le probleme c'est le tunnel d'une demi heure de pub sur le pseudo
service publique de 20h30 a 21h00


Je parlais volontairement de *vrai* service public. Et puis pourquoi
exagérez-vous ? Il n'y a pas 30 minutes de pub à cette heure-là, mais un
ensemble de 15 à 20 minutes mélangeant pub, météo, promo antenne, flashs
de service. Si c'est un problème, c'est quand même véniel, non ? Quand
le journal se termine, vous savez que l'émission suivante commencera à
21h00 ou juste avant. Où est le problème ?
--
Pierre
Avatar
conceptpub-pas-de-pourriel-
Pierre Maurette wrote:

Et puis pourquoi
exagérez-vous ? Il n'y a pas 30 minutes de pub à cette heure-là, mais un
ensemble de 15 à 20 minutes mélangeant pub, météo, promo antenne, flashs
de service.



Si la pub est entrecoupé de pseudo émisions de 30 seconde genre "Les
plus belles maisons du monde" "infos santée" ou autre c'est que la loi
interdit plus d'un certain temps de publicité en continu. Donc, il y a
30 minutes de pub entrecoupé de spot de 30 seconde pour rester dans le
cadre de la loi :-(

--
Gwen
Avatar
ruby
Pierre Maurette wrote:
ruby a écrit :
[...]

Le probleme c'est le tunnel d'une demi heure de pub sur le pseudo
service publique de 20h30 a 21h00



Je parlais volontairement de *vrai* service public. Et puis pourquoi
exagérez-vous ? Il n'y a pas 30 minutes de pub à cette heure-là, mais un
ensemble de 15 à 20 minutes mélangeant pub, météo, promo antenne, flashs
de service.



Pub, meteo, pub, promo, pub, meteo, sponsor, pub = pub


Si c'est un problème, c'est quand même véniel, non ? Quand
le journal se termine, vous savez que l'émission suivante commencera à
21h00 ou juste avant. Où est le problème ?



La redevance.
Avatar
ruby
gwen. wrote:
Pierre Maurette wrote:


Et puis pourquoi
exagérez-vous ? Il n'y a pas 30 minutes de pub à cette heure-là, mais un
ensemble de 15 à 20 minutes mélangeant pub, météo, promo antenne, flashs
de service.




Si la pub est entrecoupé de pseudo émisions de 30 seconde genre "Les
plus belles maisons du monde" "infos santée" ou autre c'est que la loi
interdit plus d'un certain temps de publicité en continu. Donc, il y a
30 minutes de pub entrecoupé de spot de 30 seconde pour rester dans le
cadre de la loi :-(




Emisions elles même sponsorisées. C'est bien 30 minutes de pub
Avatar
cinaelle
"Pierre Maurette" a écrit dans le message de
news:
ruby a écrit :
[...]
> Le probleme c'est le tunnel d'une demi heure de pub sur le pseudo
> service publique de 20h30 a 21h00
Je parlais volontairement de *vrai* service public. Et puis pourquoi
exagérez-vous ? Il n'y a pas 30 minutes de pub à cette heure-là, mais un
ensemble de 15 à 20 minutes mélangeant pub, météo, promo antenne, flashs
de service. Si c'est un problème, c'est quand même véniel, non ? Quand
le journal se termine, vous savez que l'émission suivante commencera à
21h00 ou juste avant. Où est le problème ?
--
Pierre


Faudrait peut-etre choisir la pub ou la redevance non comme les autres
chaines
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xxxx
Le seul intérêt du CSA est de donner un job à des cas sociaux.
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