Bonsoir.
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas
la peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères,
des nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à
toi-même.
Exprime-toi, parle de toi !
Bonsoir. Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères, des nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à toi-même. Exprime-toi, parle de toi !
tout simplement dans mon sommeil
foo@foo.oof avait soumis l'idée :
Bonsoir.
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas
la peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères,
des nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à
toi-même.
Exprime-toi, parle de toi !
Bonsoir. Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères, des nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à toi-même. Exprime-toi, parle de toi !
tout simplement dans mon sommeil
voir_le_reply-to
wrote:
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la peine de me parler des autres
Je pense que SI, c'est la peine ! Principalement parce que plus personne, à part quelques profession bien spécifiques, n'a l'occasion d'en être le témoin. Il faut donc bien, désormais, témoigner quand on le peut.
Avant même que ça ne commence, j'aimerais donc parler non pas de la mort mais de ce qui la précède : L'AGONIE. Avant de s'autoriser à parler de la mort, même de la sienne fantasmée (forcément ! ce qui démontre les limites d'une telle question !), je pense qu'il faudrait avoir fait, une fois au moins, l'expérience d'accompagner l'agonie, parfois longue, de quelqu'un.
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse. Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de souffrir". Ce temps même objectivement court, mais démultiplié à l'infini par la circonstance (cf. "Les choses de la vie") ne me semble devoir être qu'infiniment douloureux, à l'aune de l'instinct de survie. Il n'y a pas de solution de continuïté entre ces quasi instantanés et des agonies de plusieurs jours et dont l'expression de la douleur est visible.
Partant de là, la SÉDATION PROFONDE constitue un réel espoir. Mais malheureusement *en aucun cas une certitude* !
Une suggestion sur un des plus beaux témoignages de désespoir face à la mort immanente : réécouter la Chanson de Craonne : <https://www.youtube.com/watch?v=wGrdG85mmL0> <http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Chanson_de_Craonne>
-- Gérald
<foo@foo.oof> wrote:
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas
la peine de me parler des autres
Je pense que SI, c'est la peine ! Principalement parce que plus
personne, à part quelques profession bien spécifiques, n'a l'occasion
d'en être le témoin. Il faut donc bien, désormais, témoigner quand on le
peut.
Avant même que ça ne commence, j'aimerais donc parler non pas de la mort
mais de ce qui la précède : L'AGONIE. Avant de s'autoriser à parler de
la mort, même de la sienne fantasmée (forcément ! ce qui démontre les
limites d'une telle question !), je pense qu'il faudrait avoir fait, une
fois au moins, l'expérience d'accompagner l'agonie, parfois longue, de
quelqu'un.
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue
durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR
énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse.
Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de
souffrir". Ce temps même objectivement court, mais démultiplié à
l'infini par la circonstance (cf. "Les choses de la vie") ne me semble
devoir être qu'infiniment douloureux, à l'aune de l'instinct de survie.
Il n'y a pas de solution de continuïté entre ces quasi instantanés et
des agonies de plusieurs jours et dont l'expression de la douleur est
visible.
Partant de là, la SÉDATION PROFONDE constitue un réel espoir. Mais
malheureusement *en aucun cas une certitude* !
Une suggestion sur un des plus beaux témoignages de désespoir face à la
mort immanente : réécouter la Chanson de Craonne :
<https://www.youtube.com/watch?v=wGrdG85mmL0>
<http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Chanson_de_Craonne>
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la peine de me parler des autres
Je pense que SI, c'est la peine ! Principalement parce que plus personne, à part quelques profession bien spécifiques, n'a l'occasion d'en être le témoin. Il faut donc bien, désormais, témoigner quand on le peut.
Avant même que ça ne commence, j'aimerais donc parler non pas de la mort mais de ce qui la précède : L'AGONIE. Avant de s'autoriser à parler de la mort, même de la sienne fantasmée (forcément ! ce qui démontre les limites d'une telle question !), je pense qu'il faudrait avoir fait, une fois au moins, l'expérience d'accompagner l'agonie, parfois longue, de quelqu'un.
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse. Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de souffrir". Ce temps même objectivement court, mais démultiplié à l'infini par la circonstance (cf. "Les choses de la vie") ne me semble devoir être qu'infiniment douloureux, à l'aune de l'instinct de survie. Il n'y a pas de solution de continuïté entre ces quasi instantanés et des agonies de plusieurs jours et dont l'expression de la douleur est visible.
Partant de là, la SÉDATION PROFONDE constitue un réel espoir. Mais malheureusement *en aucun cas une certitude* !
Une suggestion sur un des plus beaux témoignages de désespoir face à la mort immanente : réécouter la Chanson de Craonne : <https://www.youtube.com/watch?v=wGrdG85mmL0> <http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Chanson_de_Craonne>
-- Gérald
dmkgbt
Gerald wrote:
je pense qu'il faudrait avoir fait, une fois au moins, l'expérience d'accompagner l'agonie, parfois longue, de quelqu'un.
J'ai fait et c'est terrifiant. En même temps, c'est un soulagement et un apaisement quand ça s'arrête _enfin_
Je ne souhaite à personne d'accompagner ainsi l'agonie d'un proche. Parce qu'on est impuissant et qu'on ne peut pas "accompagner" : on regarde, on écoute mais l'agonisant est toujours seul devant sa propre mort.
Moi j'espère avoir le courage de partir avec une curiosité intacte :-)
je pense qu'il faudrait avoir fait, une fois au moins, l'expérience
d'accompagner l'agonie, parfois longue, de quelqu'un.
J'ai fait et c'est terrifiant.
En même temps, c'est un soulagement et un apaisement quand ça s'arrête
_enfin_
Je ne souhaite à personne d'accompagner ainsi l'agonie d'un proche.
Parce qu'on est impuissant et qu'on ne peut pas "accompagner" : on
regarde, on écoute mais l'agonisant est toujours seul devant sa propre
mort.
Moi j'espère avoir le courage de partir avec une curiosité intacte :-)
je pense qu'il faudrait avoir fait, une fois au moins, l'expérience d'accompagner l'agonie, parfois longue, de quelqu'un.
J'ai fait et c'est terrifiant. En même temps, c'est un soulagement et un apaisement quand ça s'arrête _enfin_
Je ne souhaite à personne d'accompagner ainsi l'agonie d'un proche. Parce qu'on est impuissant et qu'on ne peut pas "accompagner" : on regarde, on écoute mais l'agonisant est toujours seul devant sa propre mort.
Moi j'espère avoir le courage de partir avec une curiosité intacte :-)
-- Blanc-seing
foo
On Thu, 12 Mar 2015 19:53:20 +0100, Dominique G. wrote in Message-ID: <1m16s76.13w85hn4ta4zjN% :
Moi j'espère avoir le courage de partir avec une curiosité intacte :-)
Bernanos.
On Thu, 12 Mar 2015 19:53:20 +0100, Dominique G. <dmkgbt@free.invalid>
wrote in Message-ID: <1m16s76.13w85hn4ta4zjN%dmkgbt@free.invalid> :
Moi j'espère avoir le courage de partir avec une curiosité intacte :-)
On Thu, 12 Mar 2015 19:53:20 +0100, Dominique G. wrote in Message-ID: <1m16s76.13w85hn4ta4zjN% :
Moi j'espère avoir le courage de partir avec une curiosité intacte :-)
Bernanos.
Cl.Massé
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdsic5$43a$
Bonsoir. Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères, des nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à toi-même. Exprime-toi, parle de toi !
Quelle est la question de droit?
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdsic5$43a$1@dont-email.me...
Bonsoir.
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la
peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères, des
nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à toi-même.
Exprime-toi, parle de toi !
Quelle est la question de droit?
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdsic5$43a$
Bonsoir. Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères, des nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à toi-même. Exprime-toi, parle de toi !
Quelle est la question de droit?
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foo
On Thu, 12 Mar 2015 19:16:04 +0100, Gerald wrote in Message-ID: <1m16pum.gfg6ps1opr2ziN% :
wrote:
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la peine de me parler des autres
Je pensais "à l'agonie" et je ne l'ai pas écrit.
Je pense que SI, c'est la peine ! Principalement parce que plus personne, à part quelques profession bien spécifiques, n'a l'occasion d'en être le témoin. Il faut donc bien, désormais, témoigner quand on le peut.
Avant même que ça ne commence, j'aimerais donc parler non pas de la mort mais de ce qui la précède : L'AGONIE. Avant de s'autoriser à parler de la mort, même de la sienne fantasmée (forcément ! ce qui démontre les limites d'une telle question !), je pense qu'il faudrait avoir fait, une fois au moins, l'expérience d'accompagner l'agonie, parfois longue, de quelqu'un.
Justement, les agonies sont très différentes et les expériences qui s'y rapportent multiples et bine différentes : voir agoniser quelqu'un dans une maison de campagne ce n'est pas voir cette mourir cette personne à l'hôpital ou à domicile en ville, avec ou sans traitement palliatif.
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse. Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de souffrir". Ce temps même objectivement court, mais démultiplié à l'infini par la circonstance (cf. "Les choses de la vie") ne me semble devoir être qu'infiniment douloureux, à l'aune de l'instinct de survie.
C'est plus qu'un instinct, ce sont les organes qui se révoltent. C'est ce que j'ai chaque fois vu dans le dernier spasme, un choc et un soubresaut. Mais est-ce une souffrance ?
Il n'y a pas de solution de continuïté entre ces quasi instantanés et des agonies de plusieurs jours et dont l'expression de la douleur est visible. Partant de là, la SÉDATION PROFONDE constitue un réel espoir. Mais malheureusement *en aucun cas une certitude* !
Tout doit dépendre du cocktail. Là dessus c'est flou. Qu'utilisent les suisses ? Dans un film avec Vincent Lindon sa mère boit un "sirop" et dans un documentaire la personne qui va mourir "s'autoinjecte" quelque chose.
Une suggestion sur un des plus beaux témoignages de désespoir face à la mort immanente : réécouter la Chanson de Craonne : <https://www.youtube.com/watch?v=wGrdG85mmL0> <http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Chanson_de_Craonne>
Ça va bientôt recommencer.
On Thu, 12 Mar 2015 19:16:04 +0100, Gerald
<voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com> wrote in
Message-ID:
<1m16pum.gfg6ps1opr2ziN%voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com>
:
<foo@foo.oof> wrote:
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas
la peine de me parler des autres
Je pensais "à l'agonie" et je ne l'ai pas écrit.
Je pense que SI, c'est la peine ! Principalement parce que plus
personne, à part quelques profession bien spécifiques, n'a l'occasion
d'en être le témoin. Il faut donc bien, désormais, témoigner quand on le
peut.
Avant même que ça ne commence, j'aimerais donc parler non pas de la mort
mais de ce qui la précède : L'AGONIE. Avant de s'autoriser à parler de
la mort, même de la sienne fantasmée (forcément ! ce qui démontre les
limites d'une telle question !), je pense qu'il faudrait avoir fait, une
fois au moins, l'expérience d'accompagner l'agonie, parfois longue, de
quelqu'un.
Justement, les agonies sont très différentes et les expériences qui s'y
rapportent multiples et bine différentes : voir agoniser quelqu'un dans
une maison de campagne ce n'est pas voir cette mourir cette personne à
l'hôpital ou à domicile en ville, avec ou sans traitement palliatif.
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue
durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR
énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse.
Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de
souffrir". Ce temps même objectivement court, mais démultiplié à
l'infini par la circonstance (cf. "Les choses de la vie") ne me semble
devoir être qu'infiniment douloureux, à l'aune de l'instinct de survie.
C'est plus qu'un instinct, ce sont les organes qui se révoltent. C'est
ce que j'ai chaque fois vu dans le dernier spasme, un choc et un
soubresaut. Mais est-ce une souffrance ?
Il n'y a pas de solution de continuïté entre ces quasi instantanés et
des agonies de plusieurs jours et dont l'expression de la douleur est
visible.
Partant de là, la SÉDATION PROFONDE constitue un réel espoir. Mais
malheureusement *en aucun cas une certitude* !
Tout doit dépendre du cocktail. Là dessus c'est flou. Qu'utilisent les
suisses ? Dans un film avec Vincent Lindon sa mère boit un "sirop" et
dans un documentaire la personne qui va mourir "s'autoinjecte" quelque
chose.
Une suggestion sur un des plus beaux témoignages de désespoir face à la
mort immanente : réécouter la Chanson de Craonne :
<https://www.youtube.com/watch?v=wGrdG85mmL0>
<http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Chanson_de_Craonne>
On Thu, 12 Mar 2015 19:16:04 +0100, Gerald wrote in Message-ID: <1m16pum.gfg6ps1opr2ziN% :
wrote:
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la peine de me parler des autres
Je pensais "à l'agonie" et je ne l'ai pas écrit.
Je pense que SI, c'est la peine ! Principalement parce que plus personne, à part quelques profession bien spécifiques, n'a l'occasion d'en être le témoin. Il faut donc bien, désormais, témoigner quand on le peut.
Avant même que ça ne commence, j'aimerais donc parler non pas de la mort mais de ce qui la précède : L'AGONIE. Avant de s'autoriser à parler de la mort, même de la sienne fantasmée (forcément ! ce qui démontre les limites d'une telle question !), je pense qu'il faudrait avoir fait, une fois au moins, l'expérience d'accompagner l'agonie, parfois longue, de quelqu'un.
Justement, les agonies sont très différentes et les expériences qui s'y rapportent multiples et bine différentes : voir agoniser quelqu'un dans une maison de campagne ce n'est pas voir cette mourir cette personne à l'hôpital ou à domicile en ville, avec ou sans traitement palliatif.
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse. Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de souffrir". Ce temps même objectivement court, mais démultiplié à l'infini par la circonstance (cf. "Les choses de la vie") ne me semble devoir être qu'infiniment douloureux, à l'aune de l'instinct de survie.
C'est plus qu'un instinct, ce sont les organes qui se révoltent. C'est ce que j'ai chaque fois vu dans le dernier spasme, un choc et un soubresaut. Mais est-ce une souffrance ?
Il n'y a pas de solution de continuïté entre ces quasi instantanés et des agonies de plusieurs jours et dont l'expression de la douleur est visible. Partant de là, la SÉDATION PROFONDE constitue un réel espoir. Mais malheureusement *en aucun cas une certitude* !
Tout doit dépendre du cocktail. Là dessus c'est flou. Qu'utilisent les suisses ? Dans un film avec Vincent Lindon sa mère boit un "sirop" et dans un documentaire la personne qui va mourir "s'autoinjecte" quelque chose.
Une suggestion sur un des plus beaux témoignages de désespoir face à la mort immanente : réécouter la Chanson de Craonne : <https://www.youtube.com/watch?v=wGrdG85mmL0> <http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Chanson_de_Craonne>
Ça va bientôt recommencer.
.
Le 12/03/2015 19:16, Gerald a écrit :
wrote:
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse.
Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de souffrir".
Une 5.56 au milieu du front c'est loin d'être idiot et c'est relativement bref
V
Le 12/03/2015 19:16, Gerald a écrit :
<foo@foo.oof> wrote:
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue
durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR
énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse.
Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de
souffrir".
Une 5.56 au milieu du front c'est loin d'être idiot
et c'est relativement bref
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse.
Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de souffrir".
Une 5.56 au milieu du front c'est loin d'être idiot et c'est relativement bref
V
foo
On Thu, 12 Mar 2015 21:17:31 +0100, . <@+gmail.com> wrote in Message-ID: <5501f346$0$3319$ :
Le 12/03/2015 19:16, Gerald a écrit :
wrote:
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse.
Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de souffrir".
Une 5.56 au milieu du front c'est loin d'être idiot et c'est relativement bref
Mais c'est égoïste sauf bien sûr si personne ne va devoir t'identifier ou te ramasser et nettoyer derrière toi.
V
On Thu, 12 Mar 2015 21:17:31 +0100, . <@+gmail.com> wrote in Message-ID:
<5501f346$0$3319$426a34cc@news.free.fr> :
Le 12/03/2015 19:16, Gerald a écrit :
<foo@foo.oof> wrote:
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue
durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR
énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse.
Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de
souffrir".
Une 5.56 au milieu du front c'est loin d'être idiot
et c'est relativement bref
Mais c'est égoïste sauf bien sûr si personne ne va devoir t'identifier
ou te ramasser et nettoyer derrière toi.
On Thu, 12 Mar 2015 21:17:31 +0100, . <@+gmail.com> wrote in Message-ID: <5501f346$0$3319$ :
Le 12/03/2015 19:16, Gerald a écrit :
wrote:
Une idée quand même, sur la base d'une expérience multiple et de longue durée en la matière : quand j'imagine ma mort j'imagine une DOULEUR énorme. Et je pense qu'il n'existe pas de mort qui ne soit douloureuse.
Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de souffrir".
Une 5.56 au milieu du front c'est loin d'être idiot et c'est relativement bref
Mais c'est égoïste sauf bien sûr si personne ne va devoir t'identifier ou te ramasser et nettoyer derrière toi.
V
foo
On Thu, 12 Mar 2015 21:09:53 +0100, Cl.Massé wrote in Message-ID: <5501f946$1$2996$ :
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdsic5$43a$
Bonsoir. Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères, des nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à toi-même. Exprime-toi, parle de toi !
Quelle est la question de droit?
C'est une question d'actualité, comme à l'assemblée, qui te concerne *personnellement* *pour une fois*
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
On Thu, 12 Mar 2015 21:09:53 +0100, Cl.Massé <contact@nospam.invalid>
wrote in Message-ID: <5501f946$1$2996$426a74cc@news.free.fr> :
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdsic5$43a$1@dont-email.me...
Bonsoir.
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la
peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères, des
nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à toi-même.
Exprime-toi, parle de toi !
Quelle est la question de droit?
C'est une question d'actualité, comme à l'assemblée, qui te concerne
*personnellement* *pour une fois*
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
On Thu, 12 Mar 2015 21:09:53 +0100, Cl.Massé wrote in Message-ID: <5501f946$1$2996$ :
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdsic5$43a$
Bonsoir. Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères, des nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à toi-même. Exprime-toi, parle de toi !
Quelle est la question de droit?
C'est une question d'actualité, comme à l'assemblée, qui te concerne *personnellement* *pour une fois*
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
.
Le 12/03/2015 21:31, a écrit :
Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de souffrir".
Une 5.56 au milieu du front c'est loin d'être idiot et c'est relativement bref
Mais c'est égoïste sauf bien sûr si personne ne va devoir t'identifier ou te ramasser et nettoyer derrière toi.
V ..../....
L'usage de ce calibre en toute légalité suppose un environnement humain donc rien " d'égoïste " et d'idiot Mourir c'est implicitement faire preuve d'égoïsme... ce sera MA mort Comme nous ne maîtrisons pas les autres espaces temps personne ne peut affirmer que le manque d'activité des cellules dans notre dimension n'engendre pas le " réveil " d'un éventuel doublon dans une autre .... [ la double carnation ]..... A soumettre au législateur
Je me rends compte qu'en utilisant une voiture de petite cylindrée passée de mode et en respectant strictement les limitations de vitesse plutôt qu'en utilisant la berline récente aux mêmes limitations - je suis moins respecté sur mes priorités - les dépassements de mon véhicule sur ligne continue sont multiples J'émets donc des doutes sur la continuité de mon existence et une volonté d'autrui de m'imposer le passage de vie à fin de vie
[ le doute mortuaire ] à soumettre au législateur
la mort ou [ le droit d'être peinard ] à soumettre au législateur
Le + tard hein !, c'est juste pour faire avancer le schmilblick
V
Le 12/03/2015 21:31, foo@foo.oof a écrit :
Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de
souffrir".
Une 5.56 au milieu du front c'est loin d'être idiot
et c'est relativement bref
Mais c'est égoïste sauf bien sûr si personne ne va devoir t'identifier
ou te ramasser et nettoyer derrière toi.
V
..../....
L'usage de ce calibre en toute légalité suppose un environnement humain
donc rien " d'égoïste " et d'idiot
Mourir c'est implicitement faire preuve d'égoïsme...
ce sera MA mort
Comme nous ne maîtrisons pas les autres espaces temps
personne ne peut affirmer que le manque d'activité
des cellules dans notre dimension n'engendre pas le " réveil "
d'un éventuel doublon dans une autre ....
[ la double carnation ].....
A soumettre au législateur
Je me rends compte qu'en utilisant une voiture de petite cylindrée
passée de mode et en respectant strictement les limitations de vitesse
plutôt qu'en utilisant la berline récente
aux mêmes limitations
- je suis moins respecté sur mes priorités
- les dépassements de mon véhicule sur ligne continue sont multiples
J'émets donc des doutes sur la continuité de mon existence
et une volonté d'autrui de m'imposer le passage de vie à fin de vie
[ le doute mortuaire ]
à soumettre au législateur
la mort
ou
[ le droit d'être peinard ]
à soumettre au législateur
Le + tard hein !, c'est juste pour faire avancer le schmilblick
Il n'y a pas de phrase plus idiote que "il n'a pas eu le temps de souffrir".
Une 5.56 au milieu du front c'est loin d'être idiot et c'est relativement bref
Mais c'est égoïste sauf bien sûr si personne ne va devoir t'identifier ou te ramasser et nettoyer derrière toi.
V ..../....
L'usage de ce calibre en toute légalité suppose un environnement humain donc rien " d'égoïste " et d'idiot Mourir c'est implicitement faire preuve d'égoïsme... ce sera MA mort Comme nous ne maîtrisons pas les autres espaces temps personne ne peut affirmer que le manque d'activité des cellules dans notre dimension n'engendre pas le " réveil " d'un éventuel doublon dans une autre .... [ la double carnation ]..... A soumettre au législateur
Je me rends compte qu'en utilisant une voiture de petite cylindrée passée de mode et en respectant strictement les limitations de vitesse plutôt qu'en utilisant la berline récente aux mêmes limitations - je suis moins respecté sur mes priorités - les dépassements de mon véhicule sur ligne continue sont multiples J'émets donc des doutes sur la continuité de mon existence et une volonté d'autrui de m'imposer le passage de vie à fin de vie
[ le doute mortuaire ] à soumettre au législateur
la mort ou [ le droit d'être peinard ] à soumettre au législateur
Le + tard hein !, c'est juste pour faire avancer le schmilblick