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[Debian] un syst=c3=a8me de plus en plus lent

35 réponses
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docanski
Bonjour,

Je plante le décor : PC mû par un processeur Intel i5, soutenu par 4 Go
de RAM et 1 Go de swap. Debian Stretch xfce. Auparavant, et cela depuis
la version 6, je réinstallais systématiquement un système neuf chaque
fois que la nouvelle version sortait.
Depuis plusieurs semaines/mois, je constatais une lenteur de plus en
plus prononcée dans l'utilisation de mon PC et des applications les plus
courantes. L'affichage et donc l'ouverture d'applications telle que
LibreOffice ou Gimp et même des navigateurs Firefox et Chromium et
encore d'Icedove durait parfois jusqu'à 20 secondes alors qu'il en
fallait 5 fois moins auparavant. A l'allumage, je constatais jusqu'à une
minute d'activité du disque dur "soutenu en cela par les 4 coeurs du
processeur" qui tournaient jusqu'à 100 % de leur capacité ... si je puis
m'exprimer ainsi. Contrôlé par xosview.
En cause : probablement une mise à jour du système de la version 8 à la
version 9 plutôt qu'une réinstallation complète comme je le faisais par
le passé.
Oui mais pourquoi ? Cela me donnait l'impression d'être revenu à
Ouindo$e et à ses saturations de disques provoqués par la fragmentation.
Pourtant, m'a-t'on toujours dit, ces problèmes de fragmentation
n'existent pas avec Linux ...
Je me suis donc résolu à tenter la même chose qu'avec ce satané Ouindo$e
: réinstaller avec la dernière ISO 9.3.
En parallèle avec le système que j'utilisais jusqu'à présent. Pour
comparer si besoin était.
Et il n'y a pas photo : ça roule nickel, j'ai retrouvé la vélocité de
mon PC.
La question est donc : pourquoi ? sachant que les applications
installées sont les mêmes.

Cordialement,
--
docanski

Guide des champignons d'Europe : http://mycorance.free.fr/
La vallée de la Rance maritime : http://valderance.free.fr/
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Forum boursier : http://docanski.free.fr/boursomania/

5 réponses

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Nicolas George
docanski , dans le message <p73mv9$2epb$, a écrit :
<snip>
Tu ne te remets pas en cause.
Je ne me remets pas en cause.
Tu as des problèmes avec Linux.
Je n'en ai pas.
Je laisse ceux qui veulent conclure.
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Pascal Hambourg
Le 27/02/2018 à 07:59, Sergio a écrit :
Le 27/02/2018 à 00:12, Pascal Hambourg a écrit :
Qu'est-ce que c'est que cette nouvelle mode de confondre mémoire morte
et stockage de masse ? Tu es le second qui me fait le coup aujourd'hui
!

Surement depuis qu'on écrit les ROM des téléphones...

Ce n'est pas de la ROM. C'est de la mémoire flash.

La mémoire flash est une sorte de ROM un type d'EEPROM
((Electrically-erasable programmable read-only memory).

Technologiquement, la mémoire flash est bien une EEPROM. Mais l'EEPROM,
malgré son sigle, n'est pas une ROM puisqu'on peut écrire dedans. Vous
dites ? On n'écrit pas dans une EEPROM, on la "programme" ? Ouais, on
peut jouer sur les mots. N'empêche qu'enregistrer des données, c'est
écrire. Le "ROM" dans EEPROM est plus historique que technologique. Les
vraies ROM d'origine étaient fabriquées par masque, leur contenu étant
défini à la fabrication. Ensuite vinrent les PROM (ROM programmables à
fusibles) puis les EPROM, programmables électriquement et effaçables aux
UV. Toutes ces mémoires ne devenaient des ROM que dans le système où
elles étaient intégrées, qui était physiquement incapable de modifier
leur contenu.
Puis vinrent les EEPROM et leurs variantes comme la mémoire flash,
effaçables et programmables électriquement donc éventuellement dans le
système où elles sont intégrées. En fonctionnement normal la possibilité
d'écrire ou d'effacer était bloquée physiquement par inhibition des
signaux ou de la tension d'écriture et elles étaient utilisées comme des
ROM. Exemple : les anciens BIOS.
Mais ce n'est plus le cas avec les systèmes où elles servent de stockage
de masse (MTD, clé USB, carte mémoire, SSD...) : dans la façon dont
elles sont utilisée l'écriture est une opération presque aussi banale
que la lecture et non plus rare ou exceptionnelle. On ne peut vraiment
plus parler de ROM. En dehors du stockage de masse (firmware, données de
configuration...), le sigle qu'on voit de plus en plus pour désigner
génériquement ce type de mémoire est NVRAM (Non Volatile Random Access
Memory).
Me rappelle des cours de l'époque où des rigolos avaient introduits les
"WOM" (Write-only memory) ;-))

Et c'est très utile. Dans Linux, on l'appelle /dev/null.
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JKB
Le Tue, 27 Feb 2018 08:51:31 +0100,
Sergio écrivait :
Le 27/02/2018 à 08:48, Jo Engo a écrit :
Le Tue, 27 Feb 2018 07:59:44 +0100, Sergio a écrit :
"WOM" (Write-only memory) ;-))

Il est bon de préciser que c'est WORM (Write Once Read Many)

Non, non, on peut l'écrire, mais pas la lire !

Il y a un registre comme ça dans l'Alpha (et dans bon nombre de CPU
RISC).
JKB
--
Si votre demande me parvient sur carte perforée, je titiouaillerai très
volontiers une réponse...
=> http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr
=> http://loubardes.de-charybde-en-scylla.fr
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Eric Belhomme
Le Tue, 27 Feb 2018 00:12:40 +0100, Pascal Hambourg a écrit :
Surement depuis qu'on écrit les ROM des téléphones...

Ce n'est pas de la ROM. C'est de la mémoire flash.

Puisqu'on en est à sodomiser les drosophiles, la "ROM" des téléphones est
écrite principalement dans une mémoire de type emmc, la mémoire
"flash" (généralement accessible via un bus SPI) est quant à elle de
faible taille (quelques MB) et réservée à de la data non volatile (IMEI,
@MAC, et autres paramètre sensés être inaltérables)
--
Rico
Avatar
Pascal Hambourg
Le 02/03/2018 à 09:10, Eric Belhomme a écrit :
Le Tue, 27 Feb 2018 00:12:40 +0100, Pascal Hambourg a écrit :
Surement depuis qu'on écrit les ROM des téléphones...

Ce n'est pas de la ROM. C'est de la mémoire flash.

Puisqu'on en est à sodomiser les drosophiles,

Aucun animal n'a été maltraité dans ce fil de discussion.
la "ROM" des téléphones est
écrite principalement dans une mémoire de type emmc,

Et alors ? eMMC, c'est de la mémoire flash.
<https://fr.wikipedia.org/wiki/Carte_MMC#eMMC>
"La spécification eMMC décrit une architecture constituée d'une solution
d'enregistrement embarquée avec interface MMC (versions 4.1 et 4.2 ainsi
que MMCplus), *mémoire flash* et contrôleur, sous forme d'un composent
en boitier (BGA) a souder sur un circuit imprimé."
la mémoire
"flash" (généralement accessible via un bus SPI) est quant à elle de
faible taille (quelques MB) et réservée à de la data non volatile (IMEI,
@MAC, et autres paramètre sensés être inaltérables)

Tu fais une restriction abusive de la définition de mémoire flash. La
mémoire flash se décline en une grande variété de tailles, formats et
interfaces, SPI n'étant que l'une d'elles.
"Mémoire flash" désigne une technologie de stockage, indépendamment de
tout ce qu'il y a autour comme l'interface.
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