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Débuts de l'informatique musicale

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voir_le_reply-to
En fait, le premier véritable ordinateur musical grand public a été le
CX5M Yamaha, sorti en 1984, qui tournait sous MSX (aahhh! Microsoft
Super Xtended ou MicroSoft eXtension selon les versions, mais Microsoft
quand même ! En fait c'était du DOS !)
<https://fr.wikipedia.org/wiki/MSX>
<https://en.wikipedia.org/wiki/Yamaha_CX5M>

Pourquoi dis-je le premier alors que la page wiki sur la MAO décrit des
solutions informatisées antérieures ?
<https://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_assistée_par_ordinateur>

- parce qu'il était doté de prises MIDI
- et d'un générateur de son multitimbral 8 voix totalement éditable (FM)
- ainsi que de logiciels musicaux, d'un clavier de piano dédié etc.

Le Mac est sorti la même année (deux mois plus tôt pour autant que je
sache), mais un accord signé avec Apple Records (des Beatles) au sujet
de la marque Apple Computer l'empêchait de disposer de fonctionnalités
musicales *par défaut*, et ça l'a handicapé fort longtemps !

Heureusement, assez rapidement, des interfaces MIDI externes (qui se
branchaient sur le port modem), et des logiciels de qualité ont assuré
l'affaire. Dans mon cas, faisant à l'époque de la gravure de partitions,
c'était un choix incontournable non seulement à cause de logiciels qui
n'existaient nulle par ailleurs mais surtout à cause du postscript
natif... Mais «je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne
peuvent pas connaître...» :-)

--
Gérald

10 réponses

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pehache
Le 27/10/2017 à 09:11, Gerald a écrit :
pehache wrote:
Ca compte Jean-Michel Jarre comme "musicien professionnel" ?

Non, absolument pas. Organisateur de spectacles professionnel et
businessman de haut vol, OUI, certainement. On peut y ajouter
"agrégateur de talents" émérite. Sauf que quand on évite de trop citer
les noms desdits talents et qu'on s'attribue la totalité de leurs
mérites...
1/ Dans certains de ses grands (gigantesques) concerts sur scène et en
particulier celui donné à Lyon pour le Pape, les instruments dont il
prétendait jouer en direct (piano à grandes touches lumineuses, harpe
"laser"...) étaient-ils (ou pas) branchés sur RIEN mais "joués" en
arrière-plan par Francis Rimbert, démonstrateur des claviers Roland à
l'époque, qui s'en faisait une fierté (à juste titre, c'était du
"play-back en direct", concept nouveau !) ?
--> alors : instrumentiste interprète ? (Imagine-t-on Michel Legrand
jouant sur scène en play-back ?)
2/ Le seul album *musicalement* intéressant que JMJ ait sorti sous son
nom, Zoolook (et qui pour cette raison a été un échec commercial dans
ton "grand public" !), était-il (ou pas) essentiellement le résultat des
travaux de Frédérick Rousseau (désormais travaillant à l'Ircam) ? JMJ
accepte de lui accorder, quand on le questionne à ce propos, une
"contribution essentielle", mais n'a pas jugé bon de le citer sur la
pochette comme co-auteur pour autant : "composé et produit par
Jean-Michel Jarre", point ! Frederick est juste cité comme "production
assistant" en petits caractères au dos du vinyle et est totalement
absent de la page wikipédia sur l'album.
--> alors : compositeur ?
3/ Ce "pape des synthétiseur" a-t-il (ou pas) toujours été incapable de
programmer le synthétiseur-phare des années 80, le DX7 de Yamaha, et
n'a-t-il pas, pour cette raison, influé (via Francis Dreyfus soi-même)
sur la direction de Yamaha Musique France pour obtenir gratuitement une
copie du travail *personnel* d'un de ses employés (plus de 1500 sons,
quatre ans de travail antérieurs à son embauche) ? Avec des promesses de
retours promotionnels qu'il savait ne pas pouvoir tenir, étant à
l'époque complètement lié à Roland, marque concurrente de Yamaha, via
les Guillard-brothers ?
--> alors : sound designer ?
Pour tes autres références de "musiciens professionnel" je prends
seulement date : pas la moindre COMPOSITION de leur part susceptible de
passer à la postérité même seulement d'un siècle ! Ah, c'est sûr que ce
ne sont pas des "petits Mozart" tes poulains ! ;-) Un grand nombre sont
déjà totalement oubliés, c'est dire ! :-)

Ton message est d'un ridicule achevé.
Que JMJ (ou les autres cités) fassent de la soupe qu'il n'écrivent même
pas eux-mêmes ou qu'ils soient des génies de la musique dont on parlera
encore dans 100.000 ans n'a strictement aucune importance dans le cadre
de cette discussion.
A part pour éviter de reconnaître que tu as tord sur le fond, bien
évidemment. On appelle ça comment, déjà ? Ah oui : de la malhonnêteté
intellectuelle.
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Marc_L
Le 27/10/2017 à 09:11, Gerald a écrit :
Se servir d'un séquenceur comme d'un enregistreur multipistes n'a jamais
été, pour moi, de "l'informatique musicale" mais une fonction sans

mais Gerald, que tu apprécies ou non l'utilisation d'un séquenceur
multipistes "wav", on s'en bat les cou-lles !
les autres ont aussi le droit d'exister en dehors de ta sainte pensée.
grande originalité qui pré-existait pour l'essentiel dans
l'enregistrement multipiste audio. Et le grand public ne s'est jeté
dessus QUE pour des raisons économiques, sa vision de la "musique" étant

heu ... ???? tu craches sur le grand public ?
également sans aucune référence historique (référence à l'Art Majeur que
décrivait Gainsbourg !).

Mais t'es vraiment un gros con qui a toujours raison.
Serge Gainsbourg considérait la musique comme un art "mineur", puisqu'il
le dominait.
N'étant pas un gros pédant comme ta personne, il considérait que ce
qu'il savait faire ne pouvait être que "facile".
Par contre, Serge ayant toujours voulu devenir peintre, il admirait
l'art pictural au même titre que la sculpture, des domaines artistiques
qu'il ne maitrisait pas.
Il considérait donc la peinture comme un art "majeur" et la musique
comme un art "mineur", ce qui est bien-sur totalement erronné, ces deux
arts se ressemblent et ont plein de points communs : tonalités,
couleurs, ambiances etc ...
Parmi les séquenceurs existant à l'époque, seuls Notator (pour Atari) et
Vision (pour Mac) offraient quelques fonctions "logiques" de
modification/extraction de données qui dépassaient la simple
quantification, fonction qui, elle, n'a été le plus souvent qu'une
catastrophe, ne servant en fait qu'à ceux qui n'étaient pas capables de
jouer "en place" !.
Ta référence ultime (dans les exemples que tu cites ailleurs) n'est pas
la musique ni l'art musical mais le music-business. C'est ton droit le
plus total. Et le mien tout autant de le dire et l'expliquer.
Mon opposition de fond et depuis ses tout-débuts, à Cubase s'est
focalisée sur le fait que ce logiciel a introduit (en informatique) la
notion d'une création "musicale" qui se ferait par aggrégation de
boucles dans un logique essais-erreurs (qui se poursuit aujourd'hui dans
les "musiques" technoïdes avec les samples et boucles audio). Cette
manière "d'écrire" la musique n'est même pas du niveau du jardin
d'enfants ! Et le fait que ça rapporte beaucoup de fric et assure
beaucoup de notoriété à ses "auteurs" est pour moi absolument hors de
propos.
Pour moi, l'informatique musicale commence, en fait, *exactement* là où
elle s'arrête pour toi.
Supprime les programmes de séquence et indique-moi ce que permettait
l'Atari en "informatique musicale" au milieu des années 80.
L'intérêt des séquenceurs est mort, très précisément, le jour où Miller
Puckette a inventé le *suivi de partition* (objet "follow") dans une des
premières versions de Max, en 1986. Et ce n'était pas sur Atari :-) (Je
peux encore décrire très exactement l'endroit où il travaillait et le
matériel qu'il utilisait : au deuxième étage de l'école St Merri, dans
le département de pédagogie de l'Ircam, la dernière pièce au bout du
couloir, sur un Mac Plus !)

bla bla bla 5 pages pour montrer que tu as raison.
just fuck you fucking arsehole
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Marc_L
Le 27/10/2017 à 09:11, Gerald a écrit :
Je le dis parce que c'est vrai *modulo* ce qu'on attribue à la notion
d'informatique musicale, comme expliqué par ailleurs. Le langage MIDI
(le connais-tu seulement ?) a créé une véritable rupture.

*modulo* mon cul.
tu le dis ou tu ne le dis pas, et tu assumes ce que tu dis.
ya pas de *modulo* mon cul qui tienne.
le langage midi "le connais-tu seulement" ... mais bien sur que non on
ne connait rien abruti !
Seuls *toi et ta connerie* avez la connaissance universelle, et celle du
langage MIDI.
Le MIDI n'a rien d'un bricolage de techniciens, mais au contraire est
une norme définie, un protocole d’échange de données musicales et de
controle (breath, modulation, pitch bind etc ...) et surtout la synchro
Ca ne laisse aucune chance aux supposés bricoleurs dont tu parles dans
ce post, puisqu'il s'agit d'un travail de professionnels, et
d'ingénieurs de haut niveau.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Musical_Instrument_Digital_Interface
et la charte d’implémentation
https://www.midi.org/forms/midi_chart-v2.pdf
Arrête de te faire mousser et toujours avoir raison sur tout, et même
envers et contre tout(s)
Avant lui, la création musicale qui tentait d'exploiter les ordinateurs,
et qui se mélangeait plus ou moins (au niveau du style) avec la musique
concrète, procédait par bidouilles et essais-erreurs.

blablabla , ca veut rien dire ce que tu dis.
Su tu te renseignais, le processus "essai-erreur-on recommence en
mettant de l'alea" est le processus de base de l'apprentissage humain et
même naturel.
C'est la base de l'intelligence artificielle.
C'est grâce à ca et des routines en assembleur, qu'un petit robot a 6 ou
8 pattes apprend à marcher en quelques dizaines de minutes.
Alors qu'il aura fallu des milliers d'années pour que la forme vivante
apprenne la même chose (et se transforme en conséquence).
Avec ce nouveau *langage* de "gestes", on disposait d'un outil
parfaitement superposable à l'écriture solfégique en premier abord, et

langage de gestes, outils solfégiques ... tu racontes n'importe quoi.
la dépassant largement en deuxième abord parce que doté d'une précision
(résolution) très supérieure (en particulier au niveau temporel qui,
d'ailleurs, ne faisait pas partie du standard 1.0) et surtout au niveau
des données d'interprétation.

... ?
En software, c'est MAX qui reste l'illustration la plus éclatante des
capacités de ce langage. En hardware c'est évidemment le MEP4 Yamaha
dont tu peux télécharger le manuel ici
<https://tinyurl.com/yccndz2v>
J'attire ton attention sur le fait que cet appareil n'a *aucune* entrée
ni sortie audio. Il est uniquement MIDI, et il *traite* cette
information MIDI.

tu mélanges tout, et tu racontes nawak une fois de plus.
Ce n'est que bien plus tard, avec l'iPod et iTunes, qu'ils ont innové
concernant la distribution dématérialisée de la musique. Mais ce serait
gonflé de classer ça dans l'informatique musicale au sens de ce groupe.

Ça n'a effectivement rien à voir.

Bon alors pourquoi tu parles ?
Avatar
Pascal J. Bourguignon
Marc_L writes:
Le MIDI n'a rien d'un bricolage de techniciens, mais au contraire est
une norme définie, un protocole d’échange de donné es musicales et de
controle (breath, modulation, pitch bind etc ...) et surtout la
synchro

LOL
--
__Pascal J. Bourguignon
http://www.informatimago.com
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pehache
Le 27/10/2017 à 09:11, Gerald a écrit :
pehache wrote:
Le "problème" est que tu écris un article "Débuts de l'informatique
musicale" en citant le Mac comme étant un précurseur alors que ce n'est
absolument pas le cas. Apple a été suiveur sur ce coup là et a pris le
train en marche, quelles que soient les raisons.

Je le dis parce que c'est vrai *modulo* ce qu'on attribue à la notion
d'informatique musicale,

Ah oui, effectivement si on redéfinit l'informatique musicale par "ce
qu'il a été possible de faire avec un Mac", alors tu as entièrement
raison, et le Mac a bien été un précurseur dans le domaine de l'usage
d'un Mac pour faire de la musique.
comme expliqué par ailleurs. Le langage MIDI
(le connais-tu seulement ?) a créé une véritable rupture.

Oh, et comme c'est étrange, sur l'Atari ST il y avait une interface MIDI
native. On se demande à quoi elle servait. Peut-être pour des usages
musicaux, va savoir...
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pehache
Le 27/10/2017 à 09:11, Gerald a écrit :
pehache wrote:
On s'en fout. Quelles qu'en soient les raisons, Apple n'a jamais
réellement poussé ces capacités dans le domaine musical, et ce n'est pas
par le Mac que l'informatique musicale a initialement percé dans le
"grand public".

Nous différons depuis longtemps sur cette appréciation double :
- ce qu'est ou pas l'informatique musicale,
- et ce qu'est ou pas sa version grand publi
Se servir d'un séquenceur comme d'un enregistreur multipistes n'a jamais
été, pour moi, de "l'informatique musicale" mais une fonction sans
grande originalité qui pré-existait pour l'essentiel dans
l'enregistrement multipiste audio. Et le grand public ne s'est jeté
dessus QUE pour des raisons économiques, sa vision de la "musique" étant
également sans aucune référence historique (référence à l'Art Majeur que
décrivait Gainsbourg !).

Putain, tous ces pauvres qui pouvaient faire pour pas trop cher ce qui
auparavant était réservé à une élite, fais chier... Manquerait plus que
Apple vende des iPhone pas cher et ce serait la totale.
Parmi les séquenceurs existant à l'époque, seuls Notator (pour Atari) et
Vision (pour Mac) offraient quelques fonctions "logiques" de
modification/extraction de données qui dépassaient la simple
quantification, fonction qui, elle, n'a été le plus souvent qu'une
catastrophe, ne servant en fait qu'à ceux qui n'étaient pas capables de
jouer "en place" !.
Ta référence ultime (dans les exemples que tu cites ailleurs) n'est pas
la musique ni l'art musical mais le music-business. C'est ton droit le
plus total. Et le mien tout autant de le dire et l'expliquer.

Tu délires complètement, tu es grave. Il était question de citer des
musiciens professionnels ayant utilisé des Atari, rien d'autre.
Mon opposition de fond et depuis ses tout-débuts, à Cubase s'est
focalisée sur le fait que ce logiciel a introduit (en informatique) la
notion d'une création "musicale" qui se ferait par aggrégation de
boucles dans un logique essais-erreurs (qui se poursuit aujourd'hui dans
les "musiques" technoïdes avec les samples et boucles audio). Cette
manière "d'écrire" la musique n'est même pas du niveau du jardin
d'enfants ! Et le fait que ça rapporte beaucoup de fric et assure
beaucoup de notoriété à ses "auteurs" est pour moi absolument hors de
propos.

Là franchement on commence à sentir le gars aigri.
Pour moi, l'informatique musicale commence, en fait, *exactement* là où
elle s'arrête pour toi.
Supprime les programmes de séquence et indique-moi ce que permettait
l'Atari en "informatique musicale" au milieu des années 80.
L'intérêt des séquenceurs est mort, très précisément, le jour où Miller
Puckette a inventé le *suivi de partition* (objet "follow") dans une des
premières versions de Max, en 1986. Et ce n'était pas sur Atari :-) (Je
peux encore décrire très exactement l'endroit où il travaillait et le
matériel qu'il utilisait : au deuxième étage de l'école St Merri, dans
le département de pédagogie de l'Ircam, la dernière pièce au bout du
couloir, sur un Mac Plus !)

Tu es d'un pédant....
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Marc_L
Le 27/10/2017 à 22:24, Pascal J. Bourguignon a écrit :
Marc_L writes:
Le MIDI n'a rien d'un bricolage de techniciens, mais au contraire est
une norme définie, un protocole d’échange de données musicales et de
controle (breath, modulation, pitch bind etc ...) et surtout la
synchro

LOL

pourquoi lol ?
MTC ne fait partie du protocole MIDI ?
https://en.wikipedia.org/wiki/MIDI_timecode
Moi je croyais, si je me trompe tu me le dis :)
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Marc_L
Le 28/10/2017 à 17:36, Pascal J. Bourguignon a écrit :
MIDI est exactement un bricolage de techniciens!
C'est même un bricolage fait à la va-vite!
Ça ne sort pas d'une théorie bien propre,
ni d'une conception claire.
https://www.youtube.com/watch?v=Jq6_vy4Pcwk

tu te fous de ma gueule ?
Dave Smith c'est pas un ingénieur ?
C'est quoi alors ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dave_Smith_(ing%C3%A9nieur)
extrait :
"Dave Smith est diplômé (master) en électronique et informatique de
l'université de Berkeley. Il a fondé la société Sequential Circuits et
en 1977 il a conçu le Prophet 5 qui était le premier synthétiseur
polyphonique programmable et qui est devenu une référence. Il a commencé
à développer l'idée du MIDI en 1981 et a procédé à la première
démonstration publique du système MIDI en 1983 en connectant un Prophet
600 et un Roland Jupiter-6."
Notez aussi que comme ça a été bricolé en 1982, au même moment que le
Macintosh, on peut comprendre que le Macintosh ne l'ait pas intégré.
L'Atari 520ST n'est sorti qu'un an et demi après le Macintosh, en juin
1985.

Gerald c'est ton coupaing ?
Avatar
Pascal J. Bourguignon
Marc_L writes:
Le 28/10/2017 à 17:36, Pascal J. Bourguignon a écrit :
MIDI est exactement un bricolage de techniciens!
C'est même un bricolage fait à la va-vite!
Ça ne sort pas d'une théorie bien propre,
ni d'une conception claire.
https://www.youtube.com/watch?v=Jq6_vy4Pcwk

tu te fous de ma gueule ?

Regarde la video, Dave l'explique lui-même que c'était un bricolage!
Dave Smith c'est pas un ingénieur ?
C'est quoi alors ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dave_Smith_(ing%C3%A9nieur)
extrait :
"Dave Smith est diplômé (master) en électronique et informatique de
l'université de Berkeley. Il a fondé la société Sequential Circuits et
en 1977 il a conçu le Prophet 5 qui était le premier synthétiseur
polyphonique programmable et qui est devenu une référence. Il a
commencé à développer l'idée du MIDI en 1981 et a procédé à la
première démonstration publique du système MIDI en 1983 en connectant
un Prophet 600 et un Roland Jupiter-6."
Notez aussi que comme ça a été bricolé en 1982, au même moment que le
Macintosh, on peut comprendre que le Macintosh ne l'ait pas intégré.
L'Atari 520ST n'est sorti qu'un an et demi après le Macintosh, en juin
1985.

Gerald c'est ton coupaing ?

--
__Pascal J. Bourguignon
http://www.informatimago.com
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voir_le_reply-to
pehache wrote:
Tu délires complètement, tu es grave[...]
Là franchement on commence à sentir le gars aigri. [...]
Tu es d'un pédant....

Pas l'ombre d'un argument technique ou historique, rien que de l'attaque
ad hominem.
Je pense franchement qu'en fait tu ne connais RIEN du sujet dont on
parle (JAPDC, c'est l'impression que donnent tes écrits) :
- rien du standard MIDI ni de ce à quoi ça peut servir (la partie
informatique de "l'informatique musicale"),
- rien de la musique, ni de sa théorie ni de son histoire (la partie
musique de "l'informatique musicale") incluant formes et genres,
- je doute que tu aies jamais été rétribué pour tes compétences dans
aucun de ces deux domaines (informatique-musique ou
musique-informatique), ni reconnu ni cité même gratuitement par qui que
ce soit, ni que tu puisses produire la moindre publication signée de ton
nom, de ton pseudo ou de tes initiales.
Dans ce contexte, chercher à me démolir, le plus souvent en m'attribuant
des propos ou des intentions que je n'ai pas (et dont tu te fous que je
les démente de manière sourcée et argumentée), n'est ni plus ni moins
que du troll de bas étage, qui ne mérite que plonkage, à quoi j'invite
toute personne venant ici dans une intention de partage d'informations
et de connaissances.
À partir d'un certain moment, le lecteur est bien forcé de constater,
parce qu'il peut le vérifier, la pertinence de ce que je raconte et le
vide de tes réponses. Ce lecteur a aussi le droit, en particulier s'il
ta plonké, de ne pas subir en retour la vision de tes posts à travers
mes réponses, raison pour laquelle il n'y en aura désormais plus nulle
part.
DON'T FEED THE TROLL ! beleng, beleng, beleng...
Reste alors une question, pour le lecteur : si ce que tu dis sur moi est
vrai, pourquoi ne me plonkes-tu pas et persistes-tu à vouloir déverser
ta bile sinon par esprit malsain ? Hein ? La preuve par neuf ?
--
Gérald
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