Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de
disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.
La piraterie, aurait donc changé de visage ?
Le développement d'une technologie, la création d'un concept, etc.
résultent toujours des travaux entrepris antérieurement par d'autres.
Dans le monde informatique comme ailleurs. Alors ?
C'est parce qu'il y a des sous à la clé que des procès pour copie ou
plagiat ont fleuris ces 10 dernières années aux USA, et que le monde
des avocat d'affaires ne cesse de croître.
Bref, le bizness et la morale sont 2 mondes séparés, mais
malheureusement à l'avantage du premier dans la plupart des cas !
Comme disait le philosophe, dans notre monde, le droit commercial
prime toujours le droit humain, tout simplement. Le droit de savoir,
le droit de partager la connaissance, le droit à la culture sans
considération de statut, de compte en banque, ou de lieu.
La seule question qu'il faut légitimement se poser est comment rémunérer les
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de
disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.
La piraterie, aurait donc changé de visage ?
Le développement d'une technologie, la création d'un concept, etc.
résultent toujours des travaux entrepris antérieurement par d'autres.
Dans le monde informatique comme ailleurs. Alors ?
C'est parce qu'il y a des sous à la clé que des procès pour copie ou
plagiat ont fleuris ces 10 dernières années aux USA, et que le monde
des avocat d'affaires ne cesse de croître.
Bref, le bizness et la morale sont 2 mondes séparés, mais
malheureusement à l'avantage du premier dans la plupart des cas !
Comme disait le philosophe, dans notre monde, le droit commercial
prime toujours le droit humain, tout simplement. Le droit de savoir,
le droit de partager la connaissance, le droit à la culture sans
considération de statut, de compte en banque, ou de lieu.
La seule question qu'il faut légitimement se poser est comment rémunérer les
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de
disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.
La piraterie, aurait donc changé de visage ?
Le développement d'une technologie, la création d'un concept, etc.
résultent toujours des travaux entrepris antérieurement par d'autres.
Dans le monde informatique comme ailleurs. Alors ?
C'est parce qu'il y a des sous à la clé que des procès pour copie ou
plagiat ont fleuris ces 10 dernières années aux USA, et que le monde
des avocat d'affaires ne cesse de croître.
Bref, le bizness et la morale sont 2 mondes séparés, mais
malheureusement à l'avantage du premier dans la plupart des cas !
Comme disait le philosophe, dans notre monde, le droit commercial
prime toujours le droit humain, tout simplement. Le droit de savoir,
le droit de partager la connaissance, le droit à la culture sans
considération de statut, de compte en banque, ou de lieu.
La seule question qu'il faut légitimement se poser est comment rémunérer les
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de
disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.
La piraterie, aurait donc changé de visage ?
Le développement d'une technologie, la création d'un concept, etc.
résultent toujours des travaux entrepris antérieurement par d'autres.
Dans le monde informatique comme ailleurs. Alors ?
C'est parce qu'il y a des sous à la clé que des procès pour copie ou
plagiat ont fleuris ces 10 dernières années aux USA, et que le monde
des avocat d'affaires ne cesse de croître.
Bref, le bizness et la morale sont 2 mondes séparés, mais
malheureusement à l'avantage du premier dans la plupart des cas !
Comme disait le philosophe, dans notre monde, le droit commercial
prime toujours le droit humain, tout simplement. Le droit de savoir,
le droit de partager la connaissance, le droit à la culture sans
considération de statut, de compte en banque, ou de lieu.
--
Quand on ne sait pas vaut mieux rester silencieux et passer pour un
idiot que de parler et lever tous les doutes (Mark Twain)
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de
disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.
La piraterie, aurait donc changé de visage ?
Le développement d'une technologie, la création d'un concept, etc.
résultent toujours des travaux entrepris antérieurement par d'autres.
Dans le monde informatique comme ailleurs. Alors ?
C'est parce qu'il y a des sous à la clé que des procès pour copie ou
plagiat ont fleuris ces 10 dernières années aux USA, et que le monde
des avocat d'affaires ne cesse de croître.
Bref, le bizness et la morale sont 2 mondes séparés, mais
malheureusement à l'avantage du premier dans la plupart des cas !
Comme disait le philosophe, dans notre monde, le droit commercial
prime toujours le droit humain, tout simplement. Le droit de savoir,
le droit de partager la connaissance, le droit à la culture sans
considération de statut, de compte en banque, ou de lieu.
--
Quand on ne sait pas vaut mieux rester silencieux et passer pour un
idiot que de parler et lever tous les doutes (Mark Twain)
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de
disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.
La piraterie, aurait donc changé de visage ?
Le développement d'une technologie, la création d'un concept, etc.
résultent toujours des travaux entrepris antérieurement par d'autres.
Dans le monde informatique comme ailleurs. Alors ?
C'est parce qu'il y a des sous à la clé que des procès pour copie ou
plagiat ont fleuris ces 10 dernières années aux USA, et que le monde
des avocat d'affaires ne cesse de croître.
Bref, le bizness et la morale sont 2 mondes séparés, mais
malheureusement à l'avantage du premier dans la plupart des cas !
Comme disait le philosophe, dans notre monde, le droit commercial
prime toujours le droit humain, tout simplement. Le droit de savoir,
le droit de partager la connaissance, le droit à la culture sans
considération de statut, de compte en banque, ou de lieu.
--
Quand on ne sait pas vaut mieux rester silencieux et passer pour un
idiot que de parler et lever tous les doutes (Mark Twain)
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de disques
et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire). Pourquoi ?
Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse, après des
decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du P2P.
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de disques
et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire). Pourquoi ?
Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse, après des
decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du P2P.
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de disques
et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire). Pourquoi ?
Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse, après des
decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du P2P.
"Kayak" a écrit dans le message de
news:Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre
de ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement
de l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes,
le mot "piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors
de disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.
Juste une remarque au passage :
Les médias nous ressassent que les budgets des ménages sont en
baisse, que tout çà c'est la faute à la récession (maisdepuis 2 ans
çà va repartir dans 3 mois ;o) et à l'inflation liée au passage à
l'euro ("et pourtant on vous jure que rien n'a augmenté, c'est juste
que vous en avez moins pour plus cher"), que c'est pour çà que les
voitures neuves se vendent moins, que les hôteliers et restaurateurs
ont des fréquentations en baisse et tout et tout...
Mais bizarrement, les ventes de disques qui se tassent un peu, c'est
pas du tout lié à çà, c'est à cause du piratage...
(C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques. Alors
quand on se serre la ceinture, on ne réduit jamais le budget
loisirs/disques/livres/dvd, c'est bien connu)
c'est vrai que les revenus stagnent depuis longtemps,
Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité
des journaleux de tous poils. C'est pas nouveau, ils l'ont toujours
fait, mais j'y peux rien : Ca m'énerve.
"Kayak" <Kayak@NullePart.com> a écrit dans le message de
news:mn.2cc37d483153347d.7028@NullePart.com...
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre
de ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement
de l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes,
le mot "piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors
de disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.
Juste une remarque au passage :
Les médias nous ressassent que les budgets des ménages sont en
baisse, que tout çà c'est la faute à la récession (maisdepuis 2 ans
çà va repartir dans 3 mois ;o) et à l'inflation liée au passage à
l'euro ("et pourtant on vous jure que rien n'a augmenté, c'est juste
que vous en avez moins pour plus cher"), que c'est pour çà que les
voitures neuves se vendent moins, que les hôteliers et restaurateurs
ont des fréquentations en baisse et tout et tout...
Mais bizarrement, les ventes de disques qui se tassent un peu, c'est
pas du tout lié à çà, c'est à cause du piratage...
(C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques. Alors
quand on se serre la ceinture, on ne réduit jamais le budget
loisirs/disques/livres/dvd, c'est bien connu)
c'est vrai que les revenus stagnent depuis longtemps,
Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité
des journaleux de tous poils. C'est pas nouveau, ils l'ont toujours
fait, mais j'y peux rien : Ca m'énerve.
"Kayak" a écrit dans le message de
news:Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre
de ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement
de l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes,
le mot "piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors
de disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.
Juste une remarque au passage :
Les médias nous ressassent que les budgets des ménages sont en
baisse, que tout çà c'est la faute à la récession (maisdepuis 2 ans
çà va repartir dans 3 mois ;o) et à l'inflation liée au passage à
l'euro ("et pourtant on vous jure que rien n'a augmenté, c'est juste
que vous en avez moins pour plus cher"), que c'est pour çà que les
voitures neuves se vendent moins, que les hôteliers et restaurateurs
ont des fréquentations en baisse et tout et tout...
Mais bizarrement, les ventes de disques qui se tassent un peu, c'est
pas du tout lié à çà, c'est à cause du piratage...
(C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques. Alors
quand on se serre la ceinture, on ne réduit jamais le budget
loisirs/disques/livres/dvd, c'est bien connu)
c'est vrai que les revenus stagnent depuis longtemps,
Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité
des journaleux de tous poils. C'est pas nouveau, ils l'ont toujours
fait, mais j'y peux rien : Ca m'énerve.
"Kayak" a écrit dans le message de
news:Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de disques
et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire). Pourquoi ?
Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse, après des
decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du P2P.
Juste une remarque au passage :
Les médias nous ressassent que les budgets des ménages sont en baisse, que
tout çà c'est la faute à la récession (maisdepuis 2 ans çà va repartir dans
3 mois ;o) et à l'inflation liée au passage à l'euro ("et pourtant on vous
jure que rien n'a augmenté, c'est juste que vous en avez moins pour plus
cher"), que c'est pour çà que les voitures neuves se vendent moins, que les
hôteliers et restaurateurs ont des fréquentations en baisse et tout et
tout...
Mais bizarrement, les ventes de disques qui se tassent un peu, c'est pas du
tout lié à çà, c'est à cause du piratage...
(C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques. Alors quand on
se serre la ceinture, on ne réduit jamais le budget
loisirs/disques/livres/dvd, c'est bien connu)
Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité des
journaleux de tous poils. C'est pas nouveau, ils l'ont toujours fait, mais
j'y peux rien : Ca m'énerve.
P-RoZ
"Kayak" <Kayak@NullePart.com> a écrit dans le message de
news:mn.2cc37d483153347d.7028@NullePart.com...
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de disques
et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire). Pourquoi ?
Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse, après des
decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du P2P.
Juste une remarque au passage :
Les médias nous ressassent que les budgets des ménages sont en baisse, que
tout çà c'est la faute à la récession (maisdepuis 2 ans çà va repartir dans
3 mois ;o) et à l'inflation liée au passage à l'euro ("et pourtant on vous
jure que rien n'a augmenté, c'est juste que vous en avez moins pour plus
cher"), que c'est pour çà que les voitures neuves se vendent moins, que les
hôteliers et restaurateurs ont des fréquentations en baisse et tout et
tout...
Mais bizarrement, les ventes de disques qui se tassent un peu, c'est pas du
tout lié à çà, c'est à cause du piratage...
(C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques. Alors quand on
se serre la ceinture, on ne réduit jamais le budget
loisirs/disques/livres/dvd, c'est bien connu)
Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité des
journaleux de tous poils. C'est pas nouveau, ils l'ont toujours fait, mais
j'y peux rien : Ca m'énerve.
P-RoZ
"Kayak" a écrit dans le message de
news:Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !
Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de disques
et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire). Pourquoi ?
Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse, après des
decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du P2P.
Juste une remarque au passage :
Les médias nous ressassent que les budgets des ménages sont en baisse, que
tout çà c'est la faute à la récession (maisdepuis 2 ans çà va repartir dans
3 mois ;o) et à l'inflation liée au passage à l'euro ("et pourtant on vous
jure que rien n'a augmenté, c'est juste que vous en avez moins pour plus
cher"), que c'est pour çà que les voitures neuves se vendent moins, que les
hôteliers et restaurateurs ont des fréquentations en baisse et tout et
tout...
Mais bizarrement, les ventes de disques qui se tassent un peu, c'est pas du
tout lié à çà, c'est à cause du piratage...
(C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques. Alors quand on
se serre la ceinture, on ne réduit jamais le budget
loisirs/disques/livres/dvd, c'est bien connu)
Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité des
journaleux de tous poils. C'est pas nouveau, ils l'ont toujours fait, mais
j'y peux rien : Ca m'énerve.
P-RoZ
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre
de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Etc .............................................................
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre
de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Etc .............................................................
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre
de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Etc .............................................................
C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques.
Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité des
journaleux de tous poils.
C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques.
Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité des
journaleux de tous poils.
C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques.
Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité des
journaleux de tous poils.
Bref, une société de consommation ne marche que s'il y a une
redistribution des revenus, et je crains fort que ce raisonnement
Keynesien élémentaire ait été oublié par les entreprises et le
gouvernement.
Bref, une société de consommation ne marche que s'il y a une
redistribution des revenus, et je crains fort que ce raisonnement
Keynesien élémentaire ait été oublié par les entreprises et le
gouvernement.
Bref, une société de consommation ne marche que s'il y a une
redistribution des revenus, et je crains fort que ce raisonnement
Keynesien élémentaire ait été oublié par les entreprises et le
gouvernement.
Patrick RoZ :C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques.
Non. Seul l'abonnement ADSL est indispensable. Et le matériel
électronique qui va avec. Les contenus, c'est ringard. Moi,
je ne fréquente plus que des gens équipés ADSL 5 Mb/s + dalle
plasma 50'' + platine DivX. Pas des has been empilant des CD
tous moches de l'ère RTC.Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité
des
journaleux de tous poils.
Vi. Moi, je propose qu'on étende le principe à la distribution
dans son ensemble. Pillons les produits des grands trusts de
l'alimentaire et de l'électronique grand public qui rémunèrent
fort mal la main d'oeuvre asiatique. Tous au supermarché. Sony,
Nike, Danone ne passeront pas !
A+
--
Cyril, du Havre
Patrick RoZ :
C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques.
Non. Seul l'abonnement ADSL est indispensable. Et le matériel
électronique qui va avec. Les contenus, c'est ringard. Moi,
je ne fréquente plus que des gens équipés ADSL 5 Mb/s + dalle
plasma 50'' + platine DivX. Pas des has been empilant des CD
tous moches de l'ère RTC.
Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité
des
journaleux de tous poils.
Vi. Moi, je propose qu'on étende le principe à la distribution
dans son ensemble. Pillons les produits des grands trusts de
l'alimentaire et de l'électronique grand public qui rémunèrent
fort mal la main d'oeuvre asiatique. Tous au supermarché. Sony,
Nike, Danone ne passeront pas !
A+
--
Cyril, du Havre
Patrick RoZ :C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques.
Non. Seul l'abonnement ADSL est indispensable. Et le matériel
électronique qui va avec. Les contenus, c'est ringard. Moi,
je ne fréquente plus que des gens équipés ADSL 5 Mb/s + dalle
plasma 50'' + platine DivX. Pas des has been empilant des CD
tous moches de l'ère RTC.Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité
des
journaleux de tous poils.
Vi. Moi, je propose qu'on étende le principe à la distribution
dans son ensemble. Pillons les produits des grands trusts de
l'alimentaire et de l'électronique grand public qui rémunèrent
fort mal la main d'oeuvre asiatique. Tous au supermarché. Sony,
Nike, Danone ne passeront pas !
A+
--
Cyril, du Havre
Salut,
Dans le blabla comme tu dis il est question de reproduction. Rien ne
t'empêche de préter un cd à quelqu'un par contre il n'a pas le droit de le
copier.
Salut,
Dans le blabla comme tu dis il est question de reproduction. Rien ne
t'empêche de préter un cd à quelqu'un par contre il n'a pas le droit de le
copier.
Salut,
Dans le blabla comme tu dis il est question de reproduction. Rien ne
t'empêche de préter un cd à quelqu'un par contre il n'a pas le droit de le
copier.