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Définition de la piraterie

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Kayak
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.

Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !

Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de disques
et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire). Pourquoi ?
Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse, après des
decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du P2P.

La piraterie, aurait donc changé de visage ?
Le développement d'une technologie, la création d'un concept, etc.
résultent toujours des travaux entrepris antérieurement par d'autres.
Dans le monde informatique comme ailleurs. Alors ?
C'est parce qu'il y a des sous à la clé que des procès pour copie ou
plagiat ont fleuris ces 10 dernières années aux USA, et que le monde
des avocat d'affaires ne cesse de croître.

Bref, le bizness et la morale sont 2 mondes séparés, mais
malheureusement à l'avantage du premier dans la plupart des cas ! Comme
disait le philosophe, dans notre monde, le droit commercial prime
toujours le droit humain, tout simplement. Le droit de savoir, le droit
de partager la connaissance, le droit à la culture sans considération
de statut, de compte en banque, ou de lieu.

--
Quand on ne sait pas vaut mieux rester silencieux et passer pour un
idiot que de parler et lever tous les doutes (Mark Twain)

10 réponses

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Marcus Olibrius
Kayak wrote:
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.

Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !

Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de
disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.

La piraterie, aurait donc changé de visage ?
Le développement d'une technologie, la création d'un concept, etc.
résultent toujours des travaux entrepris antérieurement par d'autres.
Dans le monde informatique comme ailleurs. Alors ?
C'est parce qu'il y a des sous à la clé que des procès pour copie ou
plagiat ont fleuris ces 10 dernières années aux USA, et que le monde
des avocat d'affaires ne cesse de croître.

Bref, le bizness et la morale sont 2 mondes séparés, mais
malheureusement à l'avantage du premier dans la plupart des cas !
Comme disait le philosophe, dans notre monde, le droit commercial
prime toujours le droit humain, tout simplement. Le droit de savoir,
le droit de partager la connaissance, le droit à la culture sans
considération de statut, de compte en banque, ou de lieu.
La seule question qu'il faut légitimement se poser est comment rémunérer les

auteurs, ceci indépendament du vecteur de diffusion.
Après les "majors" comme toutes les industries doivent s'adapter ou
disparaître, c'est la loi du marché.
Cette dernière peut parfois conduire à un appauvrissement des contenus,
confère les émissions prime time.
Bref, il faut peut être réflechir à l'aspect "moral" ou civique de nos modes
de consommations (préferer prendre les transports en commun plutôt que sa
voiture sauve des vies pour prendre un exemple trivial) et arrêter
d'autojustifier nos comportements infantiles de consommateurs gâtés en
jouant sur les règles du marché, lequel ne prend en compte que l'intérêt
immédiat de quelques uns, de lobbies, sans se soucier par exemple de
l'environnement..

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marc
Salut,

Kayak wrote:
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.

Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !


Dans le blabla comme tu dis il est question de reproduction. Rien ne
t'empêche de préter un cd à quelqu'un par contre il n'a pas le droit de le
copier.
Pour la presse c'est pareil, c'est la reproduction qui n'est pas autorisée.

Je ne réagis pas sur le fond mais il me semble que ton exemple est fort mal
choisi.

Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de
disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.

La piraterie, aurait donc changé de visage ?
Le développement d'une technologie, la création d'un concept, etc.
résultent toujours des travaux entrepris antérieurement par d'autres.
Dans le monde informatique comme ailleurs. Alors ?
C'est parce qu'il y a des sous à la clé que des procès pour copie ou
plagiat ont fleuris ces 10 dernières années aux USA, et que le monde
des avocat d'affaires ne cesse de croître.

Bref, le bizness et la morale sont 2 mondes séparés, mais
malheureusement à l'avantage du premier dans la plupart des cas !
Comme disait le philosophe, dans notre monde, le droit commercial
prime toujours le droit humain, tout simplement. Le droit de savoir,
le droit de partager la connaissance, le droit à la culture sans
considération de statut, de compte en banque, ou de lieu.

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idiot que de parler et lever tous les doutes (Mark Twain)


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Marc

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Patrick RoZ
"Kayak" a écrit dans le message de
news:
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.

Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !

Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de disques
et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire). Pourquoi ?
Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse, après des
decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du P2P.



Juste une remarque au passage :

Les médias nous ressassent que les budgets des ménages sont en baisse, que
tout çà c'est la faute à la récession (maisdepuis 2 ans çà va repartir dans
3 mois ;o) et à l'inflation liée au passage à l'euro ("et pourtant on vous
jure que rien n'a augmenté, c'est juste que vous en avez moins pour plus
cher"), que c'est pour çà que les voitures neuves se vendent moins, que les
hôteliers et restaurateurs ont des fréquentations en baisse et tout et
tout...

Mais bizarrement, les ventes de disques qui se tassent un peu, c'est pas du
tout lié à çà, c'est à cause du piratage...
(C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques. Alors quand on
se serre la ceinture, on ne réduit jamais le budget
loisirs/disques/livres/dvd, c'est bien connu)

Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité des
journaleux de tous poils. C'est pas nouveau, ils l'ont toujours fait, mais
j'y peux rien : Ca m'énerve.

P-RoZ

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Marcus Olibrius
Patrick RoZ wrote:
"Kayak" a écrit dans le message de
news:
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre
de ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.

Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !

Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement
de l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes,
le mot "piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors
de disques et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire).
Pourquoi ? Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse,
après des decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du
P2P.



Juste une remarque au passage :

Les médias nous ressassent que les budgets des ménages sont en
baisse, que tout çà c'est la faute à la récession (maisdepuis 2 ans
çà va repartir dans 3 mois ;o) et à l'inflation liée au passage à
l'euro ("et pourtant on vous jure que rien n'a augmenté, c'est juste
que vous en avez moins pour plus cher"), que c'est pour çà que les
voitures neuves se vendent moins, que les hôteliers et restaurateurs
ont des fréquentations en baisse et tout et tout...

Mais bizarrement, les ventes de disques qui se tassent un peu, c'est
pas du tout lié à çà, c'est à cause du piratage...
(C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques. Alors
quand on se serre la ceinture, on ne réduit jamais le budget
loisirs/disques/livres/dvd, c'est bien connu)
c'est vrai que les revenus stagnent depuis longtemps,

et sont loins de suivre l'inflation même si elle est modeste.
les loyers sont indexés sur l'indice insee (2,5% l'an), la csg augmente,
les cotisations sociales en général, c'est autant de moins à dépenser, et il
est évident que les budgets loisirs sont les premiers à trinquer. Je ne
parle pas non plus de l'insécurité liée au chômage.
Bref, une société de consommation ne marche que s'il y a une redistribution
des revenus, et je crains fort que ce raisonnement Keynesien élémentaire ait
été oublié par les entreprises et le gouvernement.


Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité
des journaleux de tous poils. C'est pas nouveau, ils l'ont toujours
fait, mais j'y peux rien : Ca m'énerve.



Avatar
La Mite Railleuse
Patrick RoZ a formulé ce vendredi :
"Kayak" a écrit dans le message de
news:
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre de
ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.

Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Pourtant ce terme n'était pas utilisé pour désigner ces 2
"sympathisants" ! C'était même une fierté. Or, il s'agissait, dans le
domaine de la presse écrite, de propriété intellectuelle (toute
reproduction, même partielle, ... blablabla, suivi des art. du Code
pénal) !

Dans le segment de la musique et de la vidéo, avec le développement de
l'informatique et de tous les moyens de reproductions modernes, le mot
"piraterie" est devenu à la mode sous l'impulsion des majors de disques
et du cinéma (essentiellement américains, va sans dire). Pourquoi ?
Histoire de gros sous : chiffre d'affaires en baisse, après des
decennies de profits honteux sur les artistes, du fait du P2P.



Juste une remarque au passage :

Les médias nous ressassent que les budgets des ménages sont en baisse, que
tout çà c'est la faute à la récession (maisdepuis 2 ans çà va repartir dans
3 mois ;o) et à l'inflation liée au passage à l'euro ("et pourtant on vous
jure que rien n'a augmenté, c'est juste que vous en avez moins pour plus
cher"), que c'est pour çà que les voitures neuves se vendent moins, que les
hôteliers et restaurateurs ont des fréquentations en baisse et tout et
tout...

Mais bizarrement, les ventes de disques qui se tassent un peu, c'est pas du
tout lié à çà, c'est à cause du piratage...
(C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques. Alors quand on
se serre la ceinture, on ne réduit jamais le budget
loisirs/disques/livres/dvd, c'est bien connu)

Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité des
journaleux de tous poils. C'est pas nouveau, ils l'ont toujours fait, mais
j'y peux rien : Ca m'énerve.

P-RoZ



Commentaire pessimiste:

Il faut hélas constater que la seule chose à l'avenir qui sera protégée
par les lois, ce sera le commerce!
On prend doucement le chemin de l'obligation d'achat périodique d'un
minimum de biens par le "citoyen" (dans quelques années, la différence
entre citoyen et consommateur sera abolie dans les lois, et il faudra
consommer, ou mourir!?!) >:|
C'est ce qui se profile actuellement, ou seule une partie des
"citoyens" votent. Croyez vous que ce soient les sans abris (donc ceux
qui ne consomment pas)qui se rendent régulièrement aux urnes ? :/

Amicalement,

--
Your still impressive, Gatling.


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Schwab Antoine
Salut,

Comme te le signale Marc, l'exemple choisi pour essayer de justifier
le piratage est faux puisqu'il est fondé sur un amalgame comparant des
lapins et des carottes.

En effet, un journaliste est payé à la pige, sur contrat précis, en
fonction du nombre des exemplaires diffusés et non en fonction d'un
nombre hypothétique de lecteurs. Un musicien ou un acteur touche des
droits d'auteur en fonction du nombre de diffusions de sa prestation.
--

Anti-spam. Au besoin, inverser en nom.prénom

"Kayak" a écrit dans le message de
news:
Un grand quotidien affirmait, il y a quelques années, que le nombre
de

ses lecteurs était de (un chiffre en centaine de milliers). Tout
simplement, parce qu'il multipliait par 3 le chiffre des ventes
(forcément inférieures au tirage), en s'appuyant sur le raisonnement
selon lequel 1 journal acheté était lu par 3 personnes.
Me vient à l'esprit la question suivante : les 2 autres lecteurs
étaient des pirates ?
Etc .............................................................


Avatar
Cyril
Patrick RoZ :

C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques.


Non. Seul l'abonnement ADSL est indispensable. Et le matériel
électronique qui va avec. Les contenus, c'est ringard. Moi,
je ne fréquente plus que des gens équipés ADSL 5 Mb/s + dalle
plasma 50'' + platine DivX. Pas des has been empilant des CD
tous moches de l'ère RTC.

Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité des
journaleux de tous poils.


Vi. Moi, je propose qu'on étende le principe à la distribution
dans son ensemble. Pillons les produits des grands trusts de
l'alimentaire et de l'électronique grand public qui rémunèrent
fort mal la main d'oeuvre asiatique. Tous au supermarché. Sony,
Nike, Danone ne passeront pas !

A+

--
Cyril, du Havre

Avatar
Christophe Franchini
Marcus Olibrius wrote:
Bref, une société de consommation ne marche que s'il y a une
redistribution des revenus, et je crains fort que ce raisonnement
Keynesien élémentaire ait été oublié par les entreprises et le
gouvernement.


Keynes ? Un dangereux gauchiste !!! ;-)

--
A+
--
Chris
Ma fille : http://floriane.koslowsky.free.fr

Avatar
Patrick RoZ
"Cyril" a écrit dans le message de
news:cevk23$nhs$
Patrick RoZ :

C'est vrai quoi, c'est indispensable d'acheter des disques.


Non. Seul l'abonnement ADSL est indispensable. Et le matériel
électronique qui va avec. Les contenus, c'est ringard. Moi,
je ne fréquente plus que des gens équipés ADSL 5 Mb/s + dalle
plasma 50'' + platine DivX. Pas des has been empilant des CD
tous moches de l'ère RTC.

Bref, les majors se foutent encore de notre gu**le avec la complicité
des


journaleux de tous poils.


Vi. Moi, je propose qu'on étende le principe à la distribution
dans son ensemble. Pillons les produits des grands trusts de
l'alimentaire et de l'électronique grand public qui rémunèrent
fort mal la main d'oeuvre asiatique. Tous au supermarché. Sony,
Nike, Danone ne passeront pas !

A+

--
Cyril, du Havre


Belle déformation de mes propos, dont vous n'avez bien entendu conservé que
d'infimes éléments sortis de leur contexte, ce qui vous permet d'en
distiller une interprétation à 100 lieues de l'idée de départ, qui, je le
rappelle, ne nie pas l'existence du piratage, mais met en évidence
l'incongruité du raccourci que font les médias, en occultant X raisons
pouvant elles aussi expliquer la baisse des ventes de CD.
Quant à vos idées révolutionnaires, je vous les laisse. (Vous ne m'en
voudrez pas d'avoir interprété vos propos au 1er degré, puisque je doute que
votre post soit volontairement ironique, attendu que vous n'avez visiblement
pas été en mesure de comprendre les miens sans les déformer)


Avatar
Fred
"marc" a écrit dans le message de
news:cevdlk$gpl$
Salut,

Dans le blabla comme tu dis il est question de reproduction. Rien ne
t'empêche de préter un cd à quelqu'un par contre il n'a pas le droit de le
copier.


Archi faux. Rien que le fait de preter un CD a un ami est totallement
illegal

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