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Délit de compression

39 réponses
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Jean-Louis Matrat
Une petite démo toute simple (mais en Anglais) qui illustre parfaitement
les méfaits de la compression de dynamique dans les enregistrements.

http://www.youtube.com/watch?v=3Gmex_4hreQ

Cela conforte aussi mes assertions quant à la puissance nécessaire des
amplis, d'ailleurs.

JLM

10 réponses

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Jean-Pierre Roche
claude adonel a écrit :

Votre copain et son entourage était il donc sourds ou bien? J'ai
actuellement un ampli de 2*7 Watts que je n'ai jamais poussé à fond même
avec dse Floating technologie qui sont réputées pour leurs faibles
rendements.



Comme beaucoup d'amateurs vous devez confondre puissance
délivrée et course du potentiomètre... Votre ampli doit
écrêter et/ou compresser copieusement !

--
Jean-Pierre Roche

enlever sanspub pour m'écrire...

http://jpierreroche.free.fr/
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Alain Brillant
"Jean-Pierre Roche" a écrit

Comme beaucoup d'amateurs vous devez confondre puissance délivrée et
course du potentiomètre... Votre ampli doit écrêter et/ou compresser
copieusement !



Comment sait on la puissance délivrée en fonction de la position du bouton
de volume ?
Est une progression linéaire du genre 1/4 de puissance à 1/4 de position,
1/2 de puissance à mi-course etc... ou plus de puissance en début de course
et moins de puissance en allant plus en avant ce qu'il me semble à
l'oreille. Est ce identique sur tous les appareils ?

Comment savoir à quel moment l'ampli écrête ou compresse ?
Il me semble qu'écrêtage et compression n'ont aucun rapport. La compression
n'est elle pas censée empêchée l'écrétage ? avec ma basse j'ai une pédale
limiteur/compresseur/expanseur qui empêche justement de saturer l'ampli.
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Jean-Pierre Roche
Alain Brillant a écrit :

Comment sait on la puissance délivrée en fonction de la position du
bouton de volume ?



Sur du matériel grand public, on ne sait pas car ce n'est
pas calibré...

Est une progression linéaire du genre 1/4 de puissance à 1/4 de
position, 1/2 de puissance à mi-course etc... ou plus de puissance en
début de course et moins de puissance en allant plus en avant ce qu'il
me semble à l'oreille. Est ce identique sur tous les appareils ?



Ca dépend à la fois de l'appareil, de la source et de
l'enregistrement original... Donc pas de règle claire.

Comment savoir à quel moment l'ampli écrête ou compresse ?



A l'écoute ou avec des appareils de mesure si on veut
quelque chose de précis...

Il me semble qu'écrêtage et compression n'ont aucun rapport. La
compression n'est elle pas censée empêchée l'écrétage ? avec ma basse
j'ai une pédale limiteur/compresseur/expanseur qui empêche justement de
saturer l'ampli.



Le compresseur/limiteur des équipements pour musiciens
empêche l'écrêtage mais les amplis hifi en sont dépourvus...
Il existe simplement des systèmes "d'ecrêtage doux" et un
ampli à tubes se comporte un peu de cette manière.

--
Jean-Pierre Roche

enlever sanspub pour m'écrire...

http://jpierreroche.free.fr/
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Nono Le Rouje/RBC
François Yves Le Gal a écrit dans
news::

On a un potar log audio. Sur la plupart des appareils grand-public 12
heures corerspond plus ou moins à -20 dB.




Et avec les amplis où le potard est en fait une roue codeuse? (alpli
homecinema utilisés en hifi, pour en revenir au sujet central du groupe :-)
)

--
Nono Le Rouje/RBC
ICQ: 52647517
MSN: nonolerouje at free.fr (regrouper/remplacer at par @)
`All those moments will be lost in time like tears in rain. Time to die.'
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Jean-Louis Matrat
en ce 30/04/2007 14:06, Nono Le Rouje/RBC nous disait:

Et avec les amplis où le potard est en fait une roue codeuse? (alpli
homecinema utilisés en hifi, pour en revenir au sujet central du groupe :-)



Pas de différence fondamentale. Le chip de contrôle de volume assure une
variation à peu près logarithmique.

JLM
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Jean-Louis Matrat
en ce 28/04/2007 15:13, luc nous disait:
On Fri, 27 Apr 2007 23:51:17 +0200, Jean-Louis Matrat
wrote:


J'ai dit ça, moi?



oui :
je copie : "C'est pour ça que j'insiste en premier lieu sur la
puissance des amplis.
Sachant aussi que si elle est insuffisante, on entendra la saturation,
l'écrêtage, le "soft clipping", et on en déduira que les amplis
"sonnent" différemment, alors que, principalement, c'est leur façon de
saturer qui diffère."

Luc




Je vous ai déjà répondu, mais il semble qu'il y ait eu un bug dans la
diffusion de mon message.
En résumé et pour faire bref: votre façon de déformer ce que j'écris,
c'est par bêtise, ou par méchanceté?

JLM
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claude adonel
"MELMOTH" a écrit dans le message de news:

Ce cher mammifère du nom de claude adonel nous susurrait, le dimanche
29/04/2007, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand
même, et dans le message
<4634ce19$0$21143$, les doux mélismes
suivants :

> que je n'ai jamais poussé à fond même
> avec dse Floating technologie qui sont réputées pour leurs faibles
> rendements.

Tu écris : "réputées pour leurs faibles
rendements"...
Et après ça, tu viens nous seriner que tes enceintes ont une efficacité
de 98 dB !...Faudrait savoir, hein...




Je n'ai pas dit que j'utilise chez moi des Floating technologie .
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Andre Bustico
Jean-Pierre Roche a écrit :
.................................................... Il existe
simplement des systèmes "d'écrêtage doux" et un ampli à tubes se
comporte un peu de cette manière.




Bonjour à tous.

Pour moi, pas de polémique, j'essaie seulement d'apporter la même eau à
tous les moulins. Comme mon post semble confirmer la notion d'écrêtage
doux, j'ai répondu sur le post de JPR.
Cdlmt
André

http://cjoint.com/?fbi706HzMm
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Jean-Louis Matrat
en ce 01/05/2007 09:00, Andre Bustico nous disait:

http://cjoint.com/?fbi706HzMm



Salut André,

Très intéressant.
Dans ce genre de simul, quelles sont les hypothèses côté alim?
Serait-il possible de simuler ce qui se passe dans les quelques dizaines
de ms qui suivent une crête de modulation, en fonction du facteur de
régul du transfo et des capacités de filtrage? (pour du transistor en
classe AB)

JLM
Avatar
Andre Bustico
Jean-Louis Matrat a écrit :
en ce 01/05/2007 09:00, Andre Bustico nous disait:

http://cjoint.com/?fbi706HzMm



Salut André,



Slt J.Louis.

Très intéressant.
Dans ce genre de simul, quelles sont les hypothèses côté alim?



Sur les simus, les alim sont idéales et comme à l'époque pour l'ampli à
transistors , l'alim DC se faisait par alim stabilisée, gros chimiques (
mais rien à voir avec les valeurs actuelles) et transfos bobinés par nos
soins( large),on peut considérer qu'on était très prés de l'idéal.
En ce qui concerne l'ampli à tubes, je viens à peine de finir de la
reconstituer "simulesquement" (l'alim).( Et crois moi: 'reconstituer'un
transfo alim proche à + de 90% de la réalité,n'est pas chose facile.
Heureusement que c'est moi qui les ai mis au point,à l'époque,comme ça
je vois tout de suite si la simu colle ou passe à coté.
je vais donc, en simu, connecter alim et ampli et voir si je peux faire
ce que tu demandes pour l'A/B à tubes
Car l'ampli à transistors c'était du B à la polar prés.Mais je vais voir
aussi pour lui en reconstituant,en simu, bien sur, un Tone-burst.
A l'époque les mesures en tone-burst donnaient une meilleures récup,
après surcharge, sur l'ampli à transistors. Normal: pas de transfo de
sortie et couplage en continu tout le long, quoique l'utilisation du
boot-strap apportait une grande nuisance dans le bas et le trés bas du
spectre; nuisance qui a disparu par le remplacement du BS par un
transistor dit de'charge active'.
A+
André
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