> Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant , une
> personne prend le composant au hasard et si il répond à une s érie de
> tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
> Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 => "entreprises",
> et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ãa parait relativement crédible !
> on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là , euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", u n tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
ça peut être la même chaîne mais pas le même pro duit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40 °
Ãa m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des com posant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des officie rs.
> Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant , une
> personne prend le composant au hasard et si il répond à une s érie de
> tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
> Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 => "entreprises",
> et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ãa parait relativement crédible !
> on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là , euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", u n tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
ça peut être la même chaîne mais pas le même pro duit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40 °
Ãa m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des com posant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des officie rs.
> Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant , une
> personne prend le composant au hasard et si il répond à une s érie de
> tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
> Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 => "entreprises",
> et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ãa parait relativement crédible !
> on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là , euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", u n tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
ça peut être la même chaîne mais pas le même pro duit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40 °
Ãa m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des com posant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des officie rs.
On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 => "entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:
Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 => "entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !
on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.
Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.
ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...
Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 => "entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
Le 22/01/2014 18:14, a écrit :On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 =>
"entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max
supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
Bonjour,
Si je puis me permettre, la température de fusion de l'étain ne dépend
pas spécialement de la techno de composants (traversants ou non).
Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
Pour la parenthèse, les produits (je parle des cartes) militaires ne
sont pas forcement ROHS et peuvent encore aujourd'hui être fabriquées
avec du plomb. Ces produit peuvent avoir été développés très longtemps
avant l'apparition de la norme et ils seraient trop coûteux à re
développer aujourd'hui.
Le 22/01/2014 18:14, andre_debian@numericable.fr a écrit :
On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:
Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 =>
"entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !
on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.
Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.
ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max
supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...
Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
Bonjour,
Si je puis me permettre, la température de fusion de l'étain ne dépend
pas spécialement de la techno de composants (traversants ou non).
Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
Pour la parenthèse, les produits (je parle des cartes) militaires ne
sont pas forcement ROHS et peuvent encore aujourd'hui être fabriquées
avec du plomb. Ces produit peuvent avoir été développés très longtemps
avant l'apparition de la norme et ils seraient trop coûteux à re
développer aujourd'hui.
Le 22/01/2014 18:14, a écrit :On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 =>
"entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max
supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
Bonjour,
Si je puis me permettre, la température de fusion de l'étain ne dépend
pas spécialement de la techno de composants (traversants ou non).
Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
Pour la parenthèse, les produits (je parle des cartes) militaires ne
sont pas forcement ROHS et peuvent encore aujourd'hui être fabriquées
avec du plomb. Ces produit peuvent avoir été développés très longtemps
avant l'apparition de la norme et ils seraient trop coûteux à re
développer aujourd'hui.
Frédéric Micout a écrit :Le 22/01/2014 18:14, a écrit :On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 =>
"entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max
supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des
officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
Bonjour,
Si je puis me permettre, la température de fusion de l'étain ne dépend
pas spécialement de la techno de composants (traversants ou non).
Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
Pour la parenthèse, les produits (je parle des cartes) militaires ne
sont pas forcement ROHS et peuvent encore aujourd'hui être fabriquées
avec du plomb. Ces produit peuvent avoir été développés très longtemps
avant l'apparition de la norme et ils seraient trop coûteux à re
développer aujourd'hui.
Il y a aussi un gros problème de fiabilité des soudures sans
plomb. Voir par exemple les "moustaches" des alliages RoHS.
Cordialement,
JKB
Frédéric Micout a écrit :
Le 22/01/2014 18:14, andre_debian@numericable.fr a écrit :
On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:
Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 =>
"entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !
on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.
Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.
ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max
supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...
Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des
officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
Bonjour,
Si je puis me permettre, la température de fusion de l'étain ne dépend
pas spécialement de la techno de composants (traversants ou non).
Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
Pour la parenthèse, les produits (je parle des cartes) militaires ne
sont pas forcement ROHS et peuvent encore aujourd'hui être fabriquées
avec du plomb. Ces produit peuvent avoir été développés très longtemps
avant l'apparition de la norme et ils seraient trop coûteux à re
développer aujourd'hui.
Il y a aussi un gros problème de fiabilité des soudures sans
plomb. Voir par exemple les "moustaches" des alliages RoHS.
Cordialement,
JKB
Frédéric Micout a écrit :Le 22/01/2014 18:14, a écrit :On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 =>
"entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max
supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des
officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
Bonjour,
Si je puis me permettre, la température de fusion de l'étain ne dépend
pas spécialement de la techno de composants (traversants ou non).
Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
Pour la parenthèse, les produits (je parle des cartes) militaires ne
sont pas forcement ROHS et peuvent encore aujourd'hui être fabriquées
avec du plomb. Ces produit peuvent avoir été développés très longtemps
avant l'apparition de la norme et ils seraient trop coûteux à re
développer aujourd'hui.
Il y a aussi un gros problème de fiabilité des soudures sans
plomb. Voir par exemple les "moustaches" des alliages RoHS.
Cordialement,
JKB
maderios a écrit :On 01/22/2014 04:43 PM, BERTRAND Joël wrote:Une alimentation avec un rendement de 95%, ce n'est vraiment pas du
tout venant. Et cela ne l'empêche pas vraiment de fumer non plus.
Affirmation gratuite. La mienne est quasiment froide (FSP Xilenser)
Une bonne alimentation est une alimentation qui meurt correctement,
c'est à dire sans mettre le feu. Pour cela, le rendement ne sert à rien.
Personnellement, je préfère une alimentation de bonne facture, protégée
correctement avec un rendement de 80% à une alimentation avec un
rendement de 95% qui se fout en court-circuit au premier problème en
faisant dégager d'une part le circuit électrique côté secteur et d'autre
part tout ce qui est en aval.
maderios a écrit :
On 01/22/2014 04:43 PM, BERTRAND Joël wrote:
Une alimentation avec un rendement de 95%, ce n'est vraiment pas du
tout venant. Et cela ne l'empêche pas vraiment de fumer non plus.
Affirmation gratuite. La mienne est quasiment froide (FSP Xilenser)
Une bonne alimentation est une alimentation qui meurt correctement,
c'est à dire sans mettre le feu. Pour cela, le rendement ne sert à rien.
Personnellement, je préfère une alimentation de bonne facture, protégée
correctement avec un rendement de 80% à une alimentation avec un
rendement de 95% qui se fout en court-circuit au premier problème en
faisant dégager d'une part le circuit électrique côté secteur et d'autre
part tout ce qui est en aval.
maderios a écrit :On 01/22/2014 04:43 PM, BERTRAND Joël wrote:Une alimentation avec un rendement de 95%, ce n'est vraiment pas du
tout venant. Et cela ne l'empêche pas vraiment de fumer non plus.
Affirmation gratuite. La mienne est quasiment froide (FSP Xilenser)
Une bonne alimentation est une alimentation qui meurt correctement,
c'est à dire sans mettre le feu. Pour cela, le rendement ne sert à rien.
Personnellement, je préfère une alimentation de bonne facture, protégée
correctement avec un rendement de 80% à une alimentation avec un
rendement de 95% qui se fout en court-circuit au premier problème en
faisant dégager d'une part le circuit électrique côté secteur et d'autre
part tout ce qui est en aval.
Le 22/01/2014 20:43, BERTRAND Joël a écrit :Frédéric Micout a écrit :Le 22/01/2014 18:14, a écrit :On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 =>
"entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max
supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des
officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
Bonjour,
Si je puis me permettre, la température de fusion de l'étain ne dépend
pas spécialement de la techno de composants (traversants ou non).
Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
Il me semble qu'au niveau des profils de four, ça représente une
quinzaine de degrés de décalage. Au niveau des fers, c'est aussi plus
haut en T° (il faudrait d'ailleurs que je regarde de combien exactement)
et un peu plus difficile à réaliser.
Le 22/01/2014 20:43, BERTRAND Joël a écrit :
Frédéric Micout a écrit :
Le 22/01/2014 18:14, andre_debian@numericable.fr a écrit :
On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:
Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 =>
"entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !
on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.
Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.
ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max
supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...
Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des
officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
Bonjour,
Si je puis me permettre, la température de fusion de l'étain ne dépend
pas spécialement de la techno de composants (traversants ou non).
Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
Il me semble qu'au niveau des profils de four, ça représente une
quinzaine de degrés de décalage. Au niveau des fers, c'est aussi plus
haut en T° (il faudrait d'ailleurs que je regarde de combien exactement)
et un peu plus difficile à réaliser.
Le 22/01/2014 20:43, BERTRAND Joël a écrit :Frédéric Micout a écrit :Le 22/01/2014 18:14, a écrit :On Wednesday 22 January 2014 00:16:10 Gaël wrote:Lorsque le client désire une série "militaire" d'un composant, une
personne prend le composant au hasard et si il répond à une série de
tests avec une note supérieure à 8/10 => "militaire".
Si la note est supérieure ou = à 5 et inférieure à 8/10 =>
"entreprises",
et "inférieure à 5/10 =>"grand public".
Intéressant. Ça parait relativement crédible !on a une chance sur trois d'avoir un composant série "militaire".
Par contre là, euh, drôle de calcul : 1 chance sur 3 ?
Je veux bien comprendre comment le fait qu'il y ait 3 "qualités"
entraîne qu'il y ait un tiers des équipements "grand public", un tiers
"entreprise", et un tiers "militaire" !
C'est un calcul approximatif (3 séries => 1/3) suffisant,
l'affiner ne servirait pas à grand chose.Si ça se trouve, avant d'envoyer un truc en "militaire", ils testent
200 équipements ! Peut-être as-tu des chiffres !
Tout dépend du nombre de composants.ça peut être la même chaîne mais pas le même produit.
Un militaire demandera température -20+80° un tout public 0+40°
il y a bien d'autres critères que la température :
la sortance de charge, retards de propagation, écart de tension max
supportable,
les transitions des signaux, le produit vitesse-consommation,
l’immunité au bruit, la consommation... etc... etc...Ça m'étonnerait qu'un militaire accepte un produit avec des composant
grand public. Ou alors c'est pour la chaîne HiFi du mess des
officiers.
Série "militaire" = Airbus, Thalès, Sextant, Dassault...
Existent-ils des micro-processeurs spécifiques série "militaire" ?
(composés de millions de transistors)
À la moindre tension d'électricité statique, il casse.
Tous les composants sont prévus pour -60+80°C sans garantie.
Pour une gamme de température garantie, il existe peut-être
un robot spécifique...
Trois chaînes coûtent beaucoup plus cher qu'un test de qualité
à 3 niveaux..
Avant l'ultra-miniaturisation (anciennes cartes électronique),
le fer à souder dépassait les 150°C qui se transmettent dans
le composant, sans l'abîmer (si on insiste pas trop...).
Maintenant c'est le CMS (Composants Montés en Surface),
composants quasi invisibles à l'oeil nu,
avec une technique de soudure que je ne connais pas.
Les cartes électronique sont protégées par un film sensé
diminuer les écarts de température.
André
Bonjour,
Si je puis me permettre, la température de fusion de l'étain ne dépend
pas spécialement de la techno de composants (traversants ou non).
Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
Il me semble qu'au niveau des profils de four, ça représente une
quinzaine de degrés de décalage. Au niveau des fers, c'est aussi plus
haut en T° (il faudrait d'ailleurs que je regarde de combien exactement)
et un peu plus difficile à réaliser.
On 01/22/2014 05:16 PM, BERTRAND Joël wrote:maderios a écrit :On 01/22/2014 04:43 PM, BERTRAND Joël wrote:Une alimentation avec un rendement de 95%, ce n'est vraiment
pas du
tout venant. Et cela ne l'empêche pas vraiment de fumer non plus.
Affirmation gratuite. La mienne est quasiment froide (FSP Xilenser)
Une bonne alimentation est une alimentation qui meurt correctement,
c'est à dire sans mettre le feu. Pour cela, le rendement ne sert à rien.
Personnellement, je préfère une alimentation de bonne facture, protégée
correctement avec un rendement de 80% à une alimentation avec un
rendement de 95% qui se fout en court-circuit au premier problème en
faisant dégager d'une part le circuit électrique côté secteur et d'autre
part tout ce qui est en aval.
Tu parles de bas de gamme, je parlais de cela:
http://www.techpowerup.com/reviews/FSP/AURUM_Xilenser_500/2.html
http://www.tweaktown.com/reviews/4925/fsp_aurum_xilenser_500_watt_80_plus_gold_power_supply_review/index5.html
On 01/22/2014 05:16 PM, BERTRAND Joël wrote:
maderios a écrit :
On 01/22/2014 04:43 PM, BERTRAND Joël wrote:
Une alimentation avec un rendement de 95%, ce n'est vraiment
pas du
tout venant. Et cela ne l'empêche pas vraiment de fumer non plus.
Affirmation gratuite. La mienne est quasiment froide (FSP Xilenser)
Une bonne alimentation est une alimentation qui meurt correctement,
c'est à dire sans mettre le feu. Pour cela, le rendement ne sert à rien.
Personnellement, je préfère une alimentation de bonne facture, protégée
correctement avec un rendement de 80% à une alimentation avec un
rendement de 95% qui se fout en court-circuit au premier problème en
faisant dégager d'une part le circuit électrique côté secteur et d'autre
part tout ce qui est en aval.
Tu parles de bas de gamme, je parlais de cela:
http://www.techpowerup.com/reviews/FSP/AURUM_Xilenser_500/2.html
http://www.tweaktown.com/reviews/4925/fsp_aurum_xilenser_500_watt_80_plus_gold_power_supply_review/index5.html
On 01/22/2014 05:16 PM, BERTRAND Joël wrote:maderios a écrit :On 01/22/2014 04:43 PM, BERTRAND Joël wrote:Une alimentation avec un rendement de 95%, ce n'est vraiment
pas du
tout venant. Et cela ne l'empêche pas vraiment de fumer non plus.
Affirmation gratuite. La mienne est quasiment froide (FSP Xilenser)
Une bonne alimentation est une alimentation qui meurt correctement,
c'est à dire sans mettre le feu. Pour cela, le rendement ne sert à rien.
Personnellement, je préfère une alimentation de bonne facture, protégée
correctement avec un rendement de 80% à une alimentation avec un
rendement de 95% qui se fout en court-circuit au premier problème en
faisant dégager d'une part le circuit électrique côté secteur et d'autre
part tout ce qui est en aval.
Tu parles de bas de gamme, je parlais de cela:
http://www.techpowerup.com/reviews/FSP/AURUM_Xilenser_500/2.html
http://www.tweaktown.com/reviews/4925/fsp_aurum_xilenser_500_watt_80_plus_gold_power_supply_review/index5.html
maderios a écrit :
> Tu parles de bas de gamme, je parlais de cela:
> http://www.techpowerup.com/reviews/FSP/AURUM_Xilenser_500/2.html
Je ne parle pas de bas de gamme. Je pense à une alimentation
de serveur qui m'a coûté la bagatelle de 1200 € HT pour une machine
critique. Et je peux t'assurer que le rendement n'est _pas_ de 98 ou
99% comme tu l'annonçais plus haut, ne serait-ce que parce que pour
avoir un rendement pareil, il faut rogner sur les circuits de
protection.
Je te laisse continuer seul, visiblement, tu as besoin
d'avoir raison.
maderios a écrit :
> Tu parles de bas de gamme, je parlais de cela:
> http://www.techpowerup.com/reviews/FSP/AURUM_Xilenser_500/2.html
Je ne parle pas de bas de gamme. Je pense à une alimentation
de serveur qui m'a coûté la bagatelle de 1200 € HT pour une machine
critique. Et je peux t'assurer que le rendement n'est _pas_ de 98 ou
99% comme tu l'annonçais plus haut, ne serait-ce que parce que pour
avoir un rendement pareil, il faut rogner sur les circuits de
protection.
Je te laisse continuer seul, visiblement, tu as besoin
d'avoir raison.
maderios a écrit :
> Tu parles de bas de gamme, je parlais de cela:
> http://www.techpowerup.com/reviews/FSP/AURUM_Xilenser_500/2.html
Je ne parle pas de bas de gamme. Je pense à une alimentation
de serveur qui m'a coûté la bagatelle de 1200 € HT pour une machine
critique. Et je peux t'assurer que le rendement n'est _pas_ de 98 ou
99% comme tu l'annonçais plus haut, ne serait-ce que parce que pour
avoir un rendement pareil, il faut rogner sur les circuits de
protection.
Je te laisse continuer seul, visiblement, tu as besoin
d'avoir raison.
Frédéric Micout a écrit :Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. L es cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
Frédéric Micout a écrit :
Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. L es cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
Frédéric Micout a écrit :Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. L es cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
BERTRAND Joël writes:Frédéric Micout a écrit :Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
C'est comme le canon qui met un certain temps à refroidir !
BERTRAND Joël <joel.bertrand@systella.fr> writes:
Frédéric Micout a écrit :
Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
C'est comme le canon qui met un certain temps à refroidir !
BERTRAND Joël writes:Frédéric Micout a écrit :Par contre, depuis 2006 env, les produits grand public au moins doivent
respecter la norme ROHS, ce qui implique entre autre de ne plus utiliser
de plomb dans le mélange qui compose la crème à braser. Les cartes
fabriquées en sans plomb nécessitent d'utiliser des fers plus chaud de
quelques degrés que celles fabriquées avec du plomb.
J'aime assez votre notion du "quelques" ;-)
C'est comme le canon qui met un certain temps à refroidir !