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eclipse...

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Mihamina (R12y) Rakotomandimby
Bonjour,
Je viens de recevoir un mail... une mission ou je dois absolument utiliser
Eclipse. Qu'ai-je donc fait au ciel?
Bon aller: A quelle distribution Eclipse s'integre-t-il le mieux SVP?
(j'ai encore la chance de pouvoir choisir mon OS et ma distribution)
Merci pour vos avis.

10 réponses

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ptilou
On 28 août, 18:34, "Mihamina (R12y) Rakotomandimby"
wrote:
Bonjour,
Je viens de recevoir un mail... une mission ou je dois absolument utiliser
Eclipse. Qu'ai-je donc fait au ciel?
Bon aller: A quelle distribution Eclipse s'integre-t-il le mieux SVP?
(j'ai encore la chance de pouvoir choisir mon OS et ma distribution)
Merci pour vos avis.


C'est sur la mission ne se transformera pas en CDI !

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william
On Tue, 28 Aug 2007 18:55:05 +0200, Nanar Duff wrote:

Edit: je suis bien curieux de savoir ce que fait Eclipse que Vim ne fait
pas.


http://eclim.sourceforge.net/

la meme chose que ca et vim

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Miod Vallat
http://www.prumpleffer.de/


J'arrive po à acceder au site :-(


Sans doute une défaillance technique temporaire. Ça arrive.

:O Mais ils mettent quoi dans ces bettes là (autrement dit, comment
marche un trollomètre) ?


C'est simple. Un trollomètre, grossièrement, c'est un système d'analyse
du contenu de messages, afin d'en déterminer le caractère trollogène.

Un peu comme un filtre à spam, en fin de compte, mais les bons trolls
sont nettement plus insidieux.

L'idée de génie d'Hans Prumpleffer, après avoir soutenu sa thèse dont le
sujet vole largement au-dessus de mes capacités intellectuelles, mais
est en relation avec les chaînes de Markov, est de rendre cette analyse
_totalement_ transparente.

Les premières versions des trollomètres Prumpleffer étaient purement
logicielles, et ne tournaient que sous Linux et FreeBSD, en tant que
filtre logiciel branché sur la couche TCP/IP du système d'exploitation.
Le logiciel était en deux parties : une partie «protocole» capable de
comprendre le sens des paquets IP (pour par exemple ignorer les
transferts ftp), et une partie «analyse» se basant sur les paquets
extraits par l'autre partie, sur laquelle une analyse stylistique et
linguistique, associée à une base de données de modèles de trolls,
permet de déterminer si le contenu est un troll, et de prendre les
actions adéquates : suppression, altération ou marquage du contenu (ce
qui n'est pas toujours si simple puisque nombre de protocoles indiquent
la taille du contenu avant de le transmettre, il faut donc retarder la
transmission de l'ensemble du «message» avant d'avoir terminé l'analyse.

En 1995, il rencontre Karl Rudolfsknecht (arrière petit-fils de Gunther
Rudolfsknecht dont les travaux en chimie organique avaient servi de base
aux premières études scientifiques sérieuses sur les trolls menées par
Jean-François Lecoeur), un électronicien de génie. Ensemble, ils
réalisent le connecteur Piggyback qui permet de concevoir un trollomètre
matériel comme un équipement de réseau passif : un petit boîtier que
l'on branche entre une machine et son câble réseau, alimentée uniquement
par le câble.

Les premiers modèles ont cependant des ratés et nécessitent une
alimentation externe, principalement parce que les mémoires flash
utilisées pour stocker le code consomment trop de courant par rapport à
ce qui est raisonnablement prélevable sur le lien.

Malgré tout, l'évolution de la technique, et surtout l'ajout d'une paire
de petits accumulateurs aidant, le connecteur Piggyback+ est un succès,
et le premier brevet de la toute frâiche société Prumpleffer Gmbh.

En 1998, Prumpleffer innove encore avec une nouvelle version de
l'interface Piggyback, avec un boîtier dont la forme, toute en rondeurs,
a pour la première fois été confiée à un styliste. Le trollomètre quant
à lui est un système minimal à base de processeur de type MIPS 5900, et
un système d'exploitation dédié à l'analyse du trafic réseau nommé TomOS
(dérivé de Yoctix, mais modifié en profondeur ne serait-ce qu'à cause du
choix du processeur) en ROM, et un connecteur compactflash pour stocker
les réglages et préférences utilisateurs. Le boîtier étant réalisé en
carbure de tungstène, cette gamme est tout naturellement baptisée
Wolframm, en en aôut 1999 Prumpleffer Gmbh fabrique son millionième
trollomètre.

Le succès des trollomètres Prumpleffer n'étant pas démenti, Cisco
engage des tractations en vue de racheter Prumpleffer à la fin de l'été
2001. Malheureusement, les événements aux USA provoquent d'une part le
gel instantané des pourparlers, d'une part, et une augmentation
phénoménale des trolls, d'autre part. Pour la première fois de son
histoire, Prumpleffer est pris de court : les solutions matérielles
atteignent leurs limites, et provoquent des latences désagréables. Le
modèle P42, sorti en août 2001, est rapidement remplacé par le 42XT en
janvier 2002, avec un processeur deux fois plus rapide, mais il ne
suffit pas à éviter un flop de cette série et une désaffection des
utilisateurs.

De plus, la concurrence s'avère enfin capable de fournir des
trollomètres matériels dont les performances s'approchent, voire
dépassent, celles des Prumpleffer (comme le Trollmaster de Genosys, ou
le Ace TrollSlayer 2000 de Plimfin).

Il faudra deux ans à Prumpleffer pour retrouver son leadership
technologique dans le domaine, grâce à la gamme Prumpleffer Gold (dont,
on peut le dire désormais, les premiers modèles ont été vendus à perte)
qui évoluent sur deux plans : d'une part, ces modèles ont de véritables
capacité de hub ou routeur réseau, ce qui permet d'utiliser un seul
trollomètre pour plusieurs liens (et d'utiliser, sans que cela soit
perçu comme une régression, une alimentation externe), et d'autre part,
il est possible de les faire travailler en parallèle avec une partie
logicielle fonctionnant sur l'ordinateur hôte, dont la puissance est
bien supérieure : c'est le système Buendelgerausch (ce nom désignant à
la fois le protocole de communication avec le trollomètre, et
l'application d'analyse).

Compte tenu de la puissance des machines actuelles, Buendelgerausch
permet d'atteindre des performances exceptionnelles dans l'analyse. De
plus, les fonctionnalités de routeur des trollomètres leur permettent de
se découvrir les uns les autres, et de fonctionner en cluster pour
l'analyse lorsque leur charge d'analyse augmente, tant que cela
n'impacte pas la charge réseau. Cette fonctionnalité étant bien
évidemment débrayable par l'utilisateur, s'il veut être certain de
maîtriser l'utilisation de ses ressources réseau.

Dans la foulée de la diffusion croissante de Buendelgerausch,
Prumpleffer entre en bourse à l'été 2003. En l'espace d'une semaine,
le cours de l'action triple.

La série «Stereotype», annoncé en septembre 2004 et commercialisée deux
mois plus tard, permet à Prumpleffer d'enregistrer sa cinq millionième
vente en avril 2005.

Malheureusement pour Prumpleffer Gmbh, Karl Rudolfsknecht quitte la
société (et se marie) à l'été 2005. Son génie et, reconnaissons-le, son
grain de folie, ne pourront pas être remplacés. En septembre de la même
année, c'est au tour de Jens-Joerg von der Ringe, architecte logiciel
depuis 1997 et auteur de l'essentiel du code de Buendelgerausch, de
partir. L'action voit son cours divisé par cinq en l'espace d'un
trimestre, et Cisco qui envisageait une OPA hostile sur Prumpleffer, se
contente d'acheter un peu plus de 40% des actions.

Malgré vents et marées, l'activité de Prumpleffer continue. Une rumeur
prétend que Hans Prumpleffer a découvert un nouvel algorithme d'analyse
de texte qui permettrait de prendre une décision fiable à plus de 90%
sur le caractère trollogène d'un texte en temps linéaire, à partir des
quelques premiers mots de chaque paragraphe, et qu'il est en train de
l'industrialiser. Ceci permettrait de se passer de Buendelgerausch, ou
de l'utiliser à d'autres fins. De plus, la technologie matérielle a
évolué, et là où un MIPS 5900 à 133Mhz avec une flash de 64MB pouvait
s'avérer insuffisante pour filtrer fufe, on peut de nos jours trouver
des processeurs six fois plus rapide, et utiliser des flash de 1GB, pour
la même consommation électrique et le même coût que par le passé...

La prochaine gamme de trollomètres Prumpleffer devrait, une fois de
plus, réinventer le genre et repousser les limites du procédé... reste à
savoir si Prumpleffer pourra la construire et la commercialiser en un
temps raisonnable.


Avatar
Nanar Duff
Tout d'abord, merci de ta réponse :-)

J'ai néanmoins quelques petites questions:


Miod Vallat a fantasmé:
http://www.prumpleffer.de/
J'arrive po à acceder au site :-(



Sans doute une défaillance technique temporaire. Ça arrive.


#######################################################################################
:~$ traceroute www.prumpleffer.de
traceroute to www.prumpleffer.de (80.65.224.82), 30 hops max, 40 byte
packets
1 192.168.0.254 (192.168.0.254) 1.796 ms 2.746 ms 3.718 ms
2 88.167.174.254 (88.167.174.254) 38.709 ms 39.661 ms 40.642 ms
3 213.228.20.254 (213.228.20.254) 44.626 ms 46.605 ms *
4 * lyon-6k-1-v804.intf.routers.proxad.net (212.27.50.102) 51.539 ms *
5 * * *
6 th1-6k-2-po21.intf.routers.proxad.net (212.27.57.214) 62.445 ms
50.832 ms *
7 th1-4k-1-v900.intf.routers.proxad.net (212.27.58.78) 51.727 ms
52.678 ms 53.653 ms
8 nerim.FreeIX.net (213.228.3.251) 54.629 ms 55.520 ms 56.496 ms
9 gi1-11-42-nb-voltaire-1.nerim.net (194.79.130.10) 57.479 ms
58.462 ms 59.415 ms
10 fa0-0-lns302-tip-voltaire.nerim.net (62.4.16.28) 51.824 ms 51.955
ms 51.957 ms
11 odyssee.gentiane.org (80.65.224.82) 84.952 ms 87.951 ms 89.949 ms
:~$ ping 80.65.224.82
PING 80.65.224.82 (80.65.224.82) 56(84) bytes of data.
64 bytes from 80.65.224.82: icmp_seq=1 ttlR time‰.2 ms
64 bytes from 80.65.224.82: icmp_seq=2 ttlR time‰.5 ms
64 bytes from 80.65.224.82: icmp_seq=3 ttlR time‰.3 ms
^X64 bytes from 80.65.224.82: icmp_seq=4 ttlR time‰.2 ms

--- 80.65.224.82 ping statistics ---
4 packets transmitted, 4 received, 0% packet loss, time 3000ms
rtt min/avg/max/mdev = 89.237/89.337/89.501/0.381 ms
:~$ wget http://80.65.224.82
--05:46:47-- http://80.65.224.82/
=> `index.html'
Connecting to 80.65.224.82:80...

[Ctrl-C]

:~$ nmap -sV -P0 80.65.224.82

Starting Nmap 4.20 ( http://insecure.org ) at 2007-08-30 05:48 CEST
Interesting ports on odyssee.gentiane.org (80.65.224.82):
Not shown: 1690 closed ports
PORT STATE SERVICE VERSION
21/tcp filtered ftp
23/tcp filtered telnet
25/tcp filtered smtp
80/tcp filtered http
254/tcp filtered unknown
255/tcp filtered unknown
1720/tcp filtered H.323/Q.931

Service detection performed. Please report any incorrect results at
http://insecure.org/nmap/submit/ .
Nmap finished: 1 IP address (1 host up) scanned in 8.181 seconds
:~$
#######################################################################################

Non. Le site web bloque les connections. De plus, on dirait qu'il est
utilisé par un particulier : http://apt.rikers.org/%23/20070114.html.gz
! Pas très pro ces Prumpleffer.


:O Mais ils mettent quoi dans ces bettes là (autrement dit, comment
marche un trollomètre) ?


C'est simple. Un trollomètre, grossièrement, c'est un système d'analyse
du contenu de messages, afin d'en déterminer le caractère trollogène.

Un peu comme un filtre à spam, en fin de compte, mais les bons trolls
sont nettement plus insidieux.

L'idée de génie d'Hans Prumpleffer, après avoir soutenu sa thèse dont le
sujet vole largement au-dessus de mes capacités intellectuelles, mais
est en relation avec les chaînes de Markov, est de rendre cette analyse
_totalement_ transparente.

Les premières versions des trollomètres Prumpleffer étaient purement
logicielles, et ne tournaient que sous Linux et FreeBSD, en tant que
filtre logiciel branché sur la couche TCP/IP du système d'exploitation.


Quel interet ? C'est pas un peu s'emmerder pour rien ? Pourquoi ne pas
implémenter le Trollomètre une ou deux couches plus haut ?

Le logiciel était en deux parties : une partie «protocole» capable de
comprendre le sens des paquets IP (pour par exemple ignorer les
transferts ftp), et une partie «analyse» se basant sur les paquets
extraits par l'autre partie, sur laquelle une analyse stylistique et
linguistique, associée à une base de données de modèles de trolls,
permet de déterminer si le contenu est un troll, et de prendre les
actions adéquates : suppression, altération ou marquage du contenu (ce
qui n'est pas toujours si simple puisque nombre de protocoles indiquent
la taille du contenu avant de le transmettre, il faut donc retarder la
transmission de l'ensemble du «message» avant d'avoir terminé l'analyse.


C'est bien ce que je dis !

De plus, moi ce qui m'interresse, c'est comment se passe la partie
analyse du bouzin. A partir de quoi Hans Prumpleffer dit qu'il s'agit
d'un troll ?



En 1995, il rencontre Karl Rudolfsknecht (arrière petit-fils de Gunther
Rudolfsknecht dont les travaux en chimie organique avaient servi de base
aux premières études scientifiques sérieuses sur les trolls menées par
Jean-François Lecoeur), un électronicien de génie.


http://www.google.fr/search?hl=fr&q=Karl+Rudolfsknecht&btnG=Rechercher&meta
?

Ensemble, ils réalisent le connecteur Piggyback qui permet de concevoir un trollomètre
matériel comme un équipement de réseau passif : un petit boîtier que
l'on branche entre une machine et son câble réseau, alimentée uniquement
par le câble.


Là encore, quel avantage d'un filtre hardware et pas d'un équipement
logiciel ?


Les premiers modèles ont cependant des ratés et nécessitent une
alimentation externe, principalement parce que les mémoires flash
utilisées pour stocker le code consomment trop de courant par rapport à
ce qui est raisonnablement prélevable sur le lien.




[snip]



De plus, la concurrence s'avère enfin capable de fournir des
trollomètres matériels dont les performances s'approchent, voire
dépassent, celles des Prumpleffer (comme le Trollmaster de Genosys, ou
le Ace TrollSlayer 2000 de Plimfin).


Ahhhh ça: http://www.troll-masterpro.com/ ?


Il faudra deux ans à Prumpleffer pour retrouver son leadership
technologique dans le domaine, grâce à la gamme Prumpleffer Gold (dont,
on peut le dire désormais, les premiers modèles ont été vendus à perte)
qui évoluent sur deux plans : d'une part, ces modèles ont de véritables
capacité de hub ou routeur réseau, ce qui permet d'utiliser un seul
trollomètre pour plusieurs liens (et d'utiliser, sans que cela soit
perçu comme une régression, une alimentation externe), et d'autre part,
il est possible de les faire travailler en parallèle avec une partie
logicielle fonctionnant sur l'ordinateur hôte, dont la puissance est
bien supérieure : c'est le système Buendelgerausch (ce nom désignant à
la fois le protocole de communication avec le trollomètre, et
l'application d'analyse).

[snip]




Avatar
Thierry B.
--{ Nanar Duff a plopé ceci: }--

! Pas très pro ces Prumpleffer.


Bah, forcément. Les n00bs qui n'ont pas mis à jour tom-admin
dans les délais réglementaires sont filtrés.

--
GNI is not Irix

Avatar
Thierry B.
--{ Nanar Duff a plopé ceci: }--

Quel interet ? C'est pas un peu s'emmerder pour rien ? Pourquoi ne pas
implémenter le Trollomètre une ou deux couches plus haut ?

Parce que plus tu couches, plus tu es incité à laisser

passer les trolls.

Un peu comme l'affaire OOXML, en quelque sorte.

--
Avec les trucs (assembleurs, compilateurs, interpréteur) j'ai eu parfois
l'impression de vouloir manipuler des billes avec des gants de boxe.
Mais on se fait vite au confort!
--{ fr.comp.ordinosaures }--

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Nanar Duff
Thierry B. wrote:
--{ Nanar Duff a plopé ceci: }--

! Pas très pro ces Prumpleffer.


Bah, forcément. Les n00bs qui n'ont pas mis à jour tom-admin
dans les délais réglementaires sont filtrés.




debian:/bt# aptitude search tom-admin
debian:/bt#


?


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Nanar Duff
Thierry B. wrote:
--{ Nanar Duff a plopé ceci: }--

Quel interet ? C'est pas un peu s'emmerder pour rien ? Pourquoi ne pas
implémenter le Trollomètre une ou deux couches plus haut ?

Parce que plus tu couches, plus tu es incité à laisser

passer les trolls.

Un peu comme l'affaire OOXML, en quelque sorte.




Gné ?


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Laurent
On 28 août, 20:54, Miod Vallat wrote:
C'est toi le "fameux" M.V. :http://l.cligny.free.fr/prumpleffer.html?


Pour ne jamais m'être mangé, je ne sais pas si je suis fameux, mais je
sais qu'en tous cas cette page web est une farce.


En fait, certaines rumeurs sur le Web parlent d'une vulgaire
contrefaçon venant de Chine, et destinée à la censure d'Internet sous
couvert d'appliance anti-troll.

--
Laurent C.


Avatar
Nanar Duff
Laurent wrote:
On 28 août, 20:54, Miod Vallat wrote:
C'est toi le "fameux" M.V. :http://l.cligny.free.fr/prumpleffer.html?
Pour ne jamais m'être mangé, je ne sais pas si je suis fameux, mais je

sais qu'en tous cas cette page web est une farce.


En fait, certaines rumeurs sur le Web parlent d'une vulgaire
contrefaçon venant de Chine, et destinée à la censure d'Internet sous
couvert d'appliance anti-troll.

--
Laurent C.




'foiré d'Chinois.



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