Bonjour,
Je viens de recevoir un mail... une mission ou je dois absolument utiliser
Eclipse. Qu'ai-je donc fait au ciel?
Bon aller: A quelle distribution Eclipse s'integre-t-il le mieux SVP?
(j'ai encore la chance de pouvoir choisir mon OS et ma distribution)
Merci pour vos avis.
Bonjour,
Je viens de recevoir un mail... une mission ou je dois absolument utiliser
Eclipse. Qu'ai-je donc fait au ciel?
Bon aller: A quelle distribution Eclipse s'integre-t-il le mieux SVP?
(j'ai encore la chance de pouvoir choisir mon OS et ma distribution)
Merci pour vos avis.
Bonjour,
Je viens de recevoir un mail... une mission ou je dois absolument utiliser
Eclipse. Qu'ai-je donc fait au ciel?
Bon aller: A quelle distribution Eclipse s'integre-t-il le mieux SVP?
(j'ai encore la chance de pouvoir choisir mon OS et ma distribution)
Merci pour vos avis.
Edit: je suis bien curieux de savoir ce que fait Eclipse que Vim ne fait
pas.
Edit: je suis bien curieux de savoir ce que fait Eclipse que Vim ne fait
pas.
Edit: je suis bien curieux de savoir ce que fait Eclipse que Vim ne fait
pas.
http://www.prumpleffer.de/
J'arrive po à acceder au site :-(
:O Mais ils mettent quoi dans ces bettes là (autrement dit, comment
marche un trollomètre) ?
http://www.prumpleffer.de/
J'arrive po à acceder au site :-(
:O Mais ils mettent quoi dans ces bettes là (autrement dit, comment
marche un trollomètre) ?
http://www.prumpleffer.de/
J'arrive po à acceder au site :-(
:O Mais ils mettent quoi dans ces bettes là (autrement dit, comment
marche un trollomètre) ?
http://www.prumpleffer.de/
J'arrive po à acceder au site :-(
Sans doute une défaillance technique temporaire. Ça arrive.
:O Mais ils mettent quoi dans ces bettes là (autrement dit, comment
marche un trollomètre) ?
C'est simple. Un trollomètre, grossièrement, c'est un système d'analyse
du contenu de messages, afin d'en déterminer le caractère trollogène.
Un peu comme un filtre à spam, en fin de compte, mais les bons trolls
sont nettement plus insidieux.
L'idée de génie d'Hans Prumpleffer, après avoir soutenu sa thèse dont le
sujet vole largement au-dessus de mes capacités intellectuelles, mais
est en relation avec les chaînes de Markov, est de rendre cette analyse
_totalement_ transparente.
Les premières versions des trollomètres Prumpleffer étaient purement
logicielles, et ne tournaient que sous Linux et FreeBSD, en tant que
filtre logiciel branché sur la couche TCP/IP du système d'exploitation.
Le logiciel était en deux parties : une partie «protocole» capable de
comprendre le sens des paquets IP (pour par exemple ignorer les
transferts ftp), et une partie «analyse» se basant sur les paquets
extraits par l'autre partie, sur laquelle une analyse stylistique et
linguistique, associée à une base de données de modèles de trolls,
permet de déterminer si le contenu est un troll, et de prendre les
actions adéquates : suppression, altération ou marquage du contenu (ce
qui n'est pas toujours si simple puisque nombre de protocoles indiquent
la taille du contenu avant de le transmettre, il faut donc retarder la
transmission de l'ensemble du «message» avant d'avoir terminé l'analyse.
En 1995, il rencontre Karl Rudolfsknecht (arrière petit-fils de Gunther
Rudolfsknecht dont les travaux en chimie organique avaient servi de base
aux premières études scientifiques sérieuses sur les trolls menées par
Jean-François Lecoeur), un électronicien de génie.
Ensemble, ils réalisent le connecteur Piggyback qui permet de concevoir un trollomètre
matériel comme un équipement de réseau passif : un petit boîtier que
l'on branche entre une machine et son câble réseau, alimentée uniquement
par le câble.
Les premiers modèles ont cependant des ratés et nécessitent une
alimentation externe, principalement parce que les mémoires flash
utilisées pour stocker le code consomment trop de courant par rapport à
ce qui est raisonnablement prélevable sur le lien.
[snip]
De plus, la concurrence s'avère enfin capable de fournir des
trollomètres matériels dont les performances s'approchent, voire
dépassent, celles des Prumpleffer (comme le Trollmaster de Genosys, ou
le Ace TrollSlayer 2000 de Plimfin).
Il faudra deux ans à Prumpleffer pour retrouver son leadership
technologique dans le domaine, grâce à la gamme Prumpleffer Gold (dont,
on peut le dire désormais, les premiers modèles ont été vendus à perte)
qui évoluent sur deux plans : d'une part, ces modèles ont de véritables
capacité de hub ou routeur réseau, ce qui permet d'utiliser un seul
trollomètre pour plusieurs liens (et d'utiliser, sans que cela soit
perçu comme une régression, une alimentation externe), et d'autre part,
il est possible de les faire travailler en parallèle avec une partie
logicielle fonctionnant sur l'ordinateur hôte, dont la puissance est
bien supérieure : c'est le système Buendelgerausch (ce nom désignant à
la fois le protocole de communication avec le trollomètre, et
l'application d'analyse).
[snip]
http://www.prumpleffer.de/
J'arrive po à acceder au site :-(
Sans doute une défaillance technique temporaire. Ça arrive.
:O Mais ils mettent quoi dans ces bettes là (autrement dit, comment
marche un trollomètre) ?
C'est simple. Un trollomètre, grossièrement, c'est un système d'analyse
du contenu de messages, afin d'en déterminer le caractère trollogène.
Un peu comme un filtre à spam, en fin de compte, mais les bons trolls
sont nettement plus insidieux.
L'idée de génie d'Hans Prumpleffer, après avoir soutenu sa thèse dont le
sujet vole largement au-dessus de mes capacités intellectuelles, mais
est en relation avec les chaînes de Markov, est de rendre cette analyse
_totalement_ transparente.
Les premières versions des trollomètres Prumpleffer étaient purement
logicielles, et ne tournaient que sous Linux et FreeBSD, en tant que
filtre logiciel branché sur la couche TCP/IP du système d'exploitation.
Le logiciel était en deux parties : une partie «protocole» capable de
comprendre le sens des paquets IP (pour par exemple ignorer les
transferts ftp), et une partie «analyse» se basant sur les paquets
extraits par l'autre partie, sur laquelle une analyse stylistique et
linguistique, associée à une base de données de modèles de trolls,
permet de déterminer si le contenu est un troll, et de prendre les
actions adéquates : suppression, altération ou marquage du contenu (ce
qui n'est pas toujours si simple puisque nombre de protocoles indiquent
la taille du contenu avant de le transmettre, il faut donc retarder la
transmission de l'ensemble du «message» avant d'avoir terminé l'analyse.
En 1995, il rencontre Karl Rudolfsknecht (arrière petit-fils de Gunther
Rudolfsknecht dont les travaux en chimie organique avaient servi de base
aux premières études scientifiques sérieuses sur les trolls menées par
Jean-François Lecoeur), un électronicien de génie.
Ensemble, ils réalisent le connecteur Piggyback qui permet de concevoir un trollomètre
matériel comme un équipement de réseau passif : un petit boîtier que
l'on branche entre une machine et son câble réseau, alimentée uniquement
par le câble.
Les premiers modèles ont cependant des ratés et nécessitent une
alimentation externe, principalement parce que les mémoires flash
utilisées pour stocker le code consomment trop de courant par rapport à
ce qui est raisonnablement prélevable sur le lien.
[snip]
De plus, la concurrence s'avère enfin capable de fournir des
trollomètres matériels dont les performances s'approchent, voire
dépassent, celles des Prumpleffer (comme le Trollmaster de Genosys, ou
le Ace TrollSlayer 2000 de Plimfin).
Il faudra deux ans à Prumpleffer pour retrouver son leadership
technologique dans le domaine, grâce à la gamme Prumpleffer Gold (dont,
on peut le dire désormais, les premiers modèles ont été vendus à perte)
qui évoluent sur deux plans : d'une part, ces modèles ont de véritables
capacité de hub ou routeur réseau, ce qui permet d'utiliser un seul
trollomètre pour plusieurs liens (et d'utiliser, sans que cela soit
perçu comme une régression, une alimentation externe), et d'autre part,
il est possible de les faire travailler en parallèle avec une partie
logicielle fonctionnant sur l'ordinateur hôte, dont la puissance est
bien supérieure : c'est le système Buendelgerausch (ce nom désignant à
la fois le protocole de communication avec le trollomètre, et
l'application d'analyse).
[snip]
http://www.prumpleffer.de/
J'arrive po à acceder au site :-(
Sans doute une défaillance technique temporaire. Ça arrive.
:O Mais ils mettent quoi dans ces bettes là (autrement dit, comment
marche un trollomètre) ?
C'est simple. Un trollomètre, grossièrement, c'est un système d'analyse
du contenu de messages, afin d'en déterminer le caractère trollogène.
Un peu comme un filtre à spam, en fin de compte, mais les bons trolls
sont nettement plus insidieux.
L'idée de génie d'Hans Prumpleffer, après avoir soutenu sa thèse dont le
sujet vole largement au-dessus de mes capacités intellectuelles, mais
est en relation avec les chaînes de Markov, est de rendre cette analyse
_totalement_ transparente.
Les premières versions des trollomètres Prumpleffer étaient purement
logicielles, et ne tournaient que sous Linux et FreeBSD, en tant que
filtre logiciel branché sur la couche TCP/IP du système d'exploitation.
Le logiciel était en deux parties : une partie «protocole» capable de
comprendre le sens des paquets IP (pour par exemple ignorer les
transferts ftp), et une partie «analyse» se basant sur les paquets
extraits par l'autre partie, sur laquelle une analyse stylistique et
linguistique, associée à une base de données de modèles de trolls,
permet de déterminer si le contenu est un troll, et de prendre les
actions adéquates : suppression, altération ou marquage du contenu (ce
qui n'est pas toujours si simple puisque nombre de protocoles indiquent
la taille du contenu avant de le transmettre, il faut donc retarder la
transmission de l'ensemble du «message» avant d'avoir terminé l'analyse.
En 1995, il rencontre Karl Rudolfsknecht (arrière petit-fils de Gunther
Rudolfsknecht dont les travaux en chimie organique avaient servi de base
aux premières études scientifiques sérieuses sur les trolls menées par
Jean-François Lecoeur), un électronicien de génie.
Ensemble, ils réalisent le connecteur Piggyback qui permet de concevoir un trollomètre
matériel comme un équipement de réseau passif : un petit boîtier que
l'on branche entre une machine et son câble réseau, alimentée uniquement
par le câble.
Les premiers modèles ont cependant des ratés et nécessitent une
alimentation externe, principalement parce que les mémoires flash
utilisées pour stocker le code consomment trop de courant par rapport à
ce qui est raisonnablement prélevable sur le lien.
[snip]
De plus, la concurrence s'avère enfin capable de fournir des
trollomètres matériels dont les performances s'approchent, voire
dépassent, celles des Prumpleffer (comme le Trollmaster de Genosys, ou
le Ace TrollSlayer 2000 de Plimfin).
Il faudra deux ans à Prumpleffer pour retrouver son leadership
technologique dans le domaine, grâce à la gamme Prumpleffer Gold (dont,
on peut le dire désormais, les premiers modèles ont été vendus à perte)
qui évoluent sur deux plans : d'une part, ces modèles ont de véritables
capacité de hub ou routeur réseau, ce qui permet d'utiliser un seul
trollomètre pour plusieurs liens (et d'utiliser, sans que cela soit
perçu comme une régression, une alimentation externe), et d'autre part,
il est possible de les faire travailler en parallèle avec une partie
logicielle fonctionnant sur l'ordinateur hôte, dont la puissance est
bien supérieure : c'est le système Buendelgerausch (ce nom désignant à
la fois le protocole de communication avec le trollomètre, et
l'application d'analyse).
[snip]
! Pas très pro ces Prumpleffer.
! Pas très pro ces Prumpleffer.
! Pas très pro ces Prumpleffer.
Quel interet ? C'est pas un peu s'emmerder pour rien ? Pourquoi ne pas
implémenter le Trollomètre une ou deux couches plus haut ?
Parce que plus tu couches, plus tu es incité à laisser
Quel interet ? C'est pas un peu s'emmerder pour rien ? Pourquoi ne pas
implémenter le Trollomètre une ou deux couches plus haut ?
Parce que plus tu couches, plus tu es incité à laisser
Quel interet ? C'est pas un peu s'emmerder pour rien ? Pourquoi ne pas
implémenter le Trollomètre une ou deux couches plus haut ?
Parce que plus tu couches, plus tu es incité à laisser
--{ Nanar Duff a plopé ceci: }--! Pas très pro ces Prumpleffer.
Bah, forcément. Les n00bs qui n'ont pas mis à jour tom-admin
dans les délais réglementaires sont filtrés.
--{ Nanar Duff a plopé ceci: }--
! Pas très pro ces Prumpleffer.
Bah, forcément. Les n00bs qui n'ont pas mis à jour tom-admin
dans les délais réglementaires sont filtrés.
--{ Nanar Duff a plopé ceci: }--! Pas très pro ces Prumpleffer.
Bah, forcément. Les n00bs qui n'ont pas mis à jour tom-admin
dans les délais réglementaires sont filtrés.
--{ Nanar Duff a plopé ceci: }--Quel interet ? C'est pas un peu s'emmerder pour rien ? Pourquoi ne pas
implémenter le Trollomètre une ou deux couches plus haut ?
Parce que plus tu couches, plus tu es incité à laisser
passer les trolls.
Un peu comme l'affaire OOXML, en quelque sorte.
--{ Nanar Duff a plopé ceci: }--
Quel interet ? C'est pas un peu s'emmerder pour rien ? Pourquoi ne pas
implémenter le Trollomètre une ou deux couches plus haut ?
Parce que plus tu couches, plus tu es incité à laisser
passer les trolls.
Un peu comme l'affaire OOXML, en quelque sorte.
--{ Nanar Duff a plopé ceci: }--Quel interet ? C'est pas un peu s'emmerder pour rien ? Pourquoi ne pas
implémenter le Trollomètre une ou deux couches plus haut ?
Parce que plus tu couches, plus tu es incité à laisser
passer les trolls.
Un peu comme l'affaire OOXML, en quelque sorte.
C'est toi le "fameux" M.V. :http://l.cligny.free.fr/prumpleffer.html?
Pour ne jamais m'être mangé, je ne sais pas si je suis fameux, mais je
sais qu'en tous cas cette page web est une farce.
C'est toi le "fameux" M.V. :http://l.cligny.free.fr/prumpleffer.html?
Pour ne jamais m'être mangé, je ne sais pas si je suis fameux, mais je
sais qu'en tous cas cette page web est une farce.
C'est toi le "fameux" M.V. :http://l.cligny.free.fr/prumpleffer.html?
Pour ne jamais m'être mangé, je ne sais pas si je suis fameux, mais je
sais qu'en tous cas cette page web est une farce.
On 28 août, 20:54, Miod Vallat wrote:C'est toi le "fameux" M.V. :http://l.cligny.free.fr/prumpleffer.html?
Pour ne jamais m'être mangé, je ne sais pas si je suis fameux, mais je
sais qu'en tous cas cette page web est une farce.
En fait, certaines rumeurs sur le Web parlent d'une vulgaire
contrefaçon venant de Chine, et destinée à la censure d'Internet sous
couvert d'appliance anti-troll.
--
Laurent C.
On 28 août, 20:54, Miod Vallat <m...@online.fr> wrote:
C'est toi le "fameux" M.V. :http://l.cligny.free.fr/prumpleffer.html?
Pour ne jamais m'être mangé, je ne sais pas si je suis fameux, mais je
sais qu'en tous cas cette page web est une farce.
En fait, certaines rumeurs sur le Web parlent d'une vulgaire
contrefaçon venant de Chine, et destinée à la censure d'Internet sous
couvert d'appliance anti-troll.
--
Laurent C.
On 28 août, 20:54, Miod Vallat wrote:C'est toi le "fameux" M.V. :http://l.cligny.free.fr/prumpleffer.html?
Pour ne jamais m'être mangé, je ne sais pas si je suis fameux, mais je
sais qu'en tous cas cette page web est une farce.
En fait, certaines rumeurs sur le Web parlent d'une vulgaire
contrefaçon venant de Chine, et destinée à la censure d'Internet sous
couvert d'appliance anti-troll.
--
Laurent C.