Et là, sous Unix, gros problème : contrairement au royaume de l'uniformité incarné par windows, il n'y a quasiment pas deux unix installés de manière identique, avec les mêmes programmes ; deux installations de la même version de linux packagées par le même distributeur peuvent être aussi différentes qu'il est imaginable si elles ont installées par deux personnes différentes.
C'est censé être un avantage, ça? En matière de sécurité peut-être, mais point de vue compatibilité et convivialité ça doit pas être formidable, si?
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un système anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une interface graphique quand je n'en ai pas besoin, qui ne me permet pas de choisir entre le click-to-focus et le focus-follow-mouse quand je le souhaite, etc. Unix, c'est très convivial : on fait exactement ce qu'on veut ; on se sent chez soi et pas à l'hôtel.
Compatibilité : sauf au niveau kernel, un Unix suit les règles POSIX, donc un programme peut être recompilé avec peu de changements sur toutes les architectures imaginables ; linux doit avoir quelque chose comme 15 processeurs disponibles ; windows en supporte 1 type (pentium), bientôt 2 avec l'ia64. Unix est donc _plus_ compatible que windows, de très, très loin.
Mais on déborde largement de la sécurité.
-- Manuel Viet * mailto:
manuel viet wrote:
Et là, sous Unix, gros problème : contrairement au royaume de
l'uniformité incarné par windows, il n'y a quasiment pas deux unix
installés de manière identique, avec les mêmes programmes ; deux
installations de la même version de linux packagées par le même
distributeur peuvent être aussi différentes qu'il est imaginable si
elles ont installées par deux personnes différentes.
C'est censé être un avantage, ça? En matière de sécurité peut-être, mais
point de vue compatibilité et convivialité ça doit pas être formidable, si?
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un système
anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une interface
graphique quand je n'en ai pas besoin, qui ne me permet pas de choisir
entre le click-to-focus et le focus-follow-mouse quand je le souhaite,
etc. Unix, c'est très convivial : on fait exactement ce qu'on veut ; on
se sent chez soi et pas à l'hôtel.
Compatibilité : sauf au niveau kernel, un Unix suit les règles POSIX,
donc un programme peut être recompilé avec peu de changements sur toutes
les architectures imaginables ; linux doit avoir quelque chose comme 15
processeurs disponibles ; windows en supporte 1 type (pentium), bientôt 2
avec l'ia64. Unix est donc _plus_ compatible que windows, de très, très
loin.
Et là, sous Unix, gros problème : contrairement au royaume de l'uniformité incarné par windows, il n'y a quasiment pas deux unix installés de manière identique, avec les mêmes programmes ; deux installations de la même version de linux packagées par le même distributeur peuvent être aussi différentes qu'il est imaginable si elles ont installées par deux personnes différentes.
C'est censé être un avantage, ça? En matière de sécurité peut-être, mais point de vue compatibilité et convivialité ça doit pas être formidable, si?
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un système anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une interface graphique quand je n'en ai pas besoin, qui ne me permet pas de choisir entre le click-to-focus et le focus-follow-mouse quand je le souhaite, etc. Unix, c'est très convivial : on fait exactement ce qu'on veut ; on se sent chez soi et pas à l'hôtel.
Compatibilité : sauf au niveau kernel, un Unix suit les règles POSIX, donc un programme peut être recompilé avec peu de changements sur toutes les architectures imaginables ; linux doit avoir quelque chose comme 15 processeurs disponibles ; windows en supporte 1 type (pentium), bientôt 2 avec l'ia64. Unix est donc _plus_ compatible que windows, de très, très loin.
Mais on déborde largement de la sécurité.
-- Manuel Viet * mailto:
Roland Garcia
Frederic Bonroy wrote:
manuel viet wrote:
Et là, sous Unix, gros problème : contrairement au royaume de l'uniformité incarné par windows, il n'y a quasiment pas deux unix installés de manière identique, avec les mêmes programmes ; deux installations de la même version de linux packagées par le même distributeur peuvent être aussi différentes qu'il est imaginable si elles ont installées par deux personnes différentes.
C'est censé être un avantage, ça? En matière de sécurité peut-être, mais point de vue compatibilité et convivialité ça doit pas être formidable, si?
C'est un obstacle à la diffusion de masse grand public (des virus et de l'OS).
Roland Garcia
Frederic Bonroy wrote:
manuel viet wrote:
Et là, sous Unix, gros problème : contrairement au royaume de
l'uniformité incarné par windows, il n'y a quasiment pas deux unix
installés de manière identique, avec les mêmes programmes ; deux
installations de la même version de linux packagées par le même
distributeur peuvent être aussi différentes qu'il est imaginable si
elles ont installées par deux personnes différentes.
C'est censé être un avantage, ça? En matière de sécurité peut-être, mais
point de vue compatibilité et convivialité ça doit pas être formidable, si?
C'est un obstacle à la diffusion de masse grand public (des virus et de
l'OS).
Et là, sous Unix, gros problème : contrairement au royaume de l'uniformité incarné par windows, il n'y a quasiment pas deux unix installés de manière identique, avec les mêmes programmes ; deux installations de la même version de linux packagées par le même distributeur peuvent être aussi différentes qu'il est imaginable si elles ont installées par deux personnes différentes.
C'est censé être un avantage, ça? En matière de sécurité peut-être, mais point de vue compatibilité et convivialité ça doit pas être formidable, si?
C'est un obstacle à la diffusion de masse grand public (des virus et de l'OS).
Roland Garcia
AMcD®
manuel viet wrote:
C'est surtout que ce sont des systèmes très peu distribués, n'en déplaise à leurs supporteurs.
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose encore sur un Unix quelconque,
Source ?
donc si Joe Hacker voulait frapper fort et que ça se voit, Unix serait une bonne cible ; malheureusement pour Joe Hacker, il y a un problème (voir ci-dessous).
Joe Hacker il s'en moque des serveurs Internet, il veux infiltrer la machine du quidam de base. Là, à 90% c'est du Windows, du souvent ancien, du souvent craqué, du souvent utilisé par des novices, etc.
C'est pas qu'il ne soit pas intéressé, c'est qu'un virus est en génral une astuce limitée dans ses cibles potentielles : cible processeur unique, hooks directs dans le système, forte dépendance aux composants installés.
Dis, t'as déjà écrit ou désassemblé (n'effrayons pas les puristes) des virus ? Rien n'empêche de faire des virus multi-plateformes, multi-OS, etc. Mais, bis-repetita, pourquoi s'enquiquiner quand une grosse base est afcilement accessible.
Donc un virus trouve rarement deux machines ayant les caractéristiques requises pour son implantation. Je parle bien de virus, pas d'attaques directes et ciblées sur un serveur connu pour utiliser un logiciel fragile.
Un bon virus, il se moque de tout se que tu décris. Il exploite une faille pour s'introduire et se reproduit. Sa survie est due au fait que la base installée lui procurera toujours une forte probabilité de pouvoir s'exécuter, en clair de trouver la faille visée. Le taux d'échec, parce que les OS testés ne correspondent pas/sont patchés, importent peu.
Cette dilution est la meilleure garantie de sécurité, c'est l'uniformité qui permet d'être certain de trouver la même faille à x millions d'exemplaires.
Mouarf, t'en as beaucoup des comme ça ?
-- AMcD® - Virus multipartite/multiboot
http://arnold.mcdonald.free.fr/
manuel viet wrote:
C'est surtout que ce sont des systèmes très peu distribués, n'en
déplaise à leurs supporteurs.
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose
encore sur un Unix quelconque,
Source ?
donc si Joe Hacker voulait frapper fort
et que ça se voit, Unix serait une bonne cible ; malheureusement pour
Joe Hacker, il y a un problème (voir ci-dessous).
Joe Hacker il s'en moque des serveurs Internet, il veux infiltrer la machine
du quidam de base. Là, à 90% c'est du Windows, du souvent ancien, du souvent
craqué, du souvent utilisé par des novices, etc.
C'est pas qu'il ne soit pas intéressé, c'est qu'un virus est en génral
une astuce limitée dans ses cibles potentielles : cible processeur
unique, hooks directs dans le système, forte dépendance aux composants
installés.
Dis, t'as déjà écrit ou désassemblé (n'effrayons pas les puristes) des virus
? Rien n'empêche de faire des virus multi-plateformes, multi-OS, etc. Mais,
bis-repetita, pourquoi s'enquiquiner quand une grosse base est afcilement
accessible.
Donc un virus trouve rarement deux
machines ayant les caractéristiques requises pour son implantation. Je
parle bien de virus, pas d'attaques directes et ciblées sur un serveur
connu pour utiliser un logiciel fragile.
Un bon virus, il se moque de tout se que tu décris. Il exploite une faille
pour s'introduire et se reproduit. Sa survie est due au fait que la base
installée lui procurera toujours une forte probabilité de pouvoir
s'exécuter, en clair de trouver la faille visée. Le taux d'échec, parce que
les OS testés ne correspondent pas/sont patchés, importent peu.
Cette dilution est la meilleure garantie de sécurité, c'est
l'uniformité qui permet d'être certain de trouver la même faille à x
millions d'exemplaires.
C'est surtout que ce sont des systèmes très peu distribués, n'en déplaise à leurs supporteurs.
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose encore sur un Unix quelconque,
Source ?
donc si Joe Hacker voulait frapper fort et que ça se voit, Unix serait une bonne cible ; malheureusement pour Joe Hacker, il y a un problème (voir ci-dessous).
Joe Hacker il s'en moque des serveurs Internet, il veux infiltrer la machine du quidam de base. Là, à 90% c'est du Windows, du souvent ancien, du souvent craqué, du souvent utilisé par des novices, etc.
C'est pas qu'il ne soit pas intéressé, c'est qu'un virus est en génral une astuce limitée dans ses cibles potentielles : cible processeur unique, hooks directs dans le système, forte dépendance aux composants installés.
Dis, t'as déjà écrit ou désassemblé (n'effrayons pas les puristes) des virus ? Rien n'empêche de faire des virus multi-plateformes, multi-OS, etc. Mais, bis-repetita, pourquoi s'enquiquiner quand une grosse base est afcilement accessible.
Donc un virus trouve rarement deux machines ayant les caractéristiques requises pour son implantation. Je parle bien de virus, pas d'attaques directes et ciblées sur un serveur connu pour utiliser un logiciel fragile.
Un bon virus, il se moque de tout se que tu décris. Il exploite une faille pour s'introduire et se reproduit. Sa survie est due au fait que la base installée lui procurera toujours une forte probabilité de pouvoir s'exécuter, en clair de trouver la faille visée. Le taux d'échec, parce que les OS testés ne correspondent pas/sont patchés, importent peu.
Cette dilution est la meilleure garantie de sécurité, c'est l'uniformité qui permet d'être certain de trouver la même faille à x millions d'exemplaires.
Mouarf, t'en as beaucoup des comme ça ?
-- AMcD® - Virus multipartite/multiboot
http://arnold.mcdonald.free.fr/
AMcD®
manuel viet wrote:
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un système anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une interface graphique quand je n'en ai pas besoin, qui ne me permet pas de choisir entre le click-to-focus et le focus-follow-mouse quand je le souhaite, etc. Unix, c'est très convivial : on fait exactement ce qu'on veut ; on se sent chez soi et pas à l'hôtel.
On ne t'oblige à rien. Et ce n'est pas parce que toi tu n'aimes pas que d'autres n'aiment pas. je fais personellement ce que je veux avec Windows.
linux doit avoir quelque chose comme 15 processeurs disponibles ; windows en supporte 1 type (pentium), bientôt 2 avec l'ia64. Unix est donc _plus_ compatible que windows, de très, très loin.
Jeune homme à la Debian toute neuve là, ce n'est pas un critère ça. Feu Windows NT était pour alpha, etc. Mais comme ils n'en vendaient pas, ils ont arrêté. Tu sais, il y a des lois de marché aussi...
-- AMcD®
http://arnold.mcdonald.free.fr/
manuel viet wrote:
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un
système anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une
interface graphique quand je n'en ai pas besoin, qui ne me permet pas
de choisir
entre le click-to-focus et le focus-follow-mouse quand je le souhaite,
etc. Unix, c'est très convivial : on fait exactement ce qu'on veut ;
on
se sent chez soi et pas à l'hôtel.
On ne t'oblige à rien. Et ce n'est pas parce que toi tu n'aimes pas que
d'autres n'aiment pas. je fais personellement ce que je veux avec Windows.
linux doit avoir quelque chose comme
15 processeurs disponibles ; windows en supporte 1 type (pentium),
bientôt 2 avec l'ia64. Unix est donc _plus_ compatible que windows,
de très, très loin.
Jeune homme à la Debian toute neuve là, ce n'est pas un critère ça. Feu
Windows NT était pour alpha, etc. Mais comme ils n'en vendaient pas, ils ont
arrêté. Tu sais, il y a des lois de marché aussi...
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un système anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une interface graphique quand je n'en ai pas besoin, qui ne me permet pas de choisir entre le click-to-focus et le focus-follow-mouse quand je le souhaite, etc. Unix, c'est très convivial : on fait exactement ce qu'on veut ; on se sent chez soi et pas à l'hôtel.
On ne t'oblige à rien. Et ce n'est pas parce que toi tu n'aimes pas que d'autres n'aiment pas. je fais personellement ce que je veux avec Windows.
linux doit avoir quelque chose comme 15 processeurs disponibles ; windows en supporte 1 type (pentium), bientôt 2 avec l'ia64. Unix est donc _plus_ compatible que windows, de très, très loin.
Jeune homme à la Debian toute neuve là, ce n'est pas un critère ça. Feu Windows NT était pour alpha, etc. Mais comme ils n'en vendaient pas, ils ont arrêté. Tu sais, il y a des lois de marché aussi...
-- AMcD®
http://arnold.mcdonald.free.fr/
Xavier Roche
AMcD® wrote:
manuel viet wrote:
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose encore sur un Unix quelconque, Source ?
Ca me parait en effet peu. J'aurais dit 90% en ce qui concerne les gros serveurs de l'architecture. Déja sur les ROOT-SERVERS.NET, il me semble que c'est 100% Unix et dérivés.
En fait, à part quelques serveurs web finaux et serveurs de mail, je vois pas où on pourrait mettre des Windows.
AMcD® wrote:
manuel viet wrote:
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose
encore sur un Unix quelconque,
Source ?
Ca me parait en effet peu. J'aurais dit 90% en ce qui concerne les
gros serveurs de l'architecture. Déja sur les ROOT-SERVERS.NET, il
me semble que c'est 100% Unix et dérivés.
En fait, à part quelques serveurs web finaux et serveurs de mail,
je vois pas où on pourrait mettre des Windows.
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose encore sur un Unix quelconque, Source ?
Ca me parait en effet peu. J'aurais dit 90% en ce qui concerne les gros serveurs de l'architecture. Déja sur les ROOT-SERVERS.NET, il me semble que c'est 100% Unix et dérivés.
En fait, à part quelques serveurs web finaux et serveurs de mail, je vois pas où on pourrait mettre des Windows.
Frederic Bonroy
manuel viet wrote:
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un système anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une interface graphique quand je n'en ai pas besoin,
Pour ça il y a la ligne de commande. Elle a beaucoup souffert entre 9x et les systèmes à base de NT, mais elle est toujours bien pratique.
Compatibilité : sauf au niveau kernel, un Unix suit les règles POSIX, donc un programme peut être recompilé avec peu de changements sur toutes les architectures imaginables ;
Je ne parle pas tellement de ça mais plutôt des phrases que l'on voir parfois par ci, par là, du genre "fonctionne avec telles ou telles distributions". Et parfois, les distributions avec lesquelles ça ne fonctionne pas ont des noms bien connus. ;-)
manuel viet wrote:
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un système
anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une interface
graphique quand je n'en ai pas besoin,
Pour ça il y a la ligne de commande. Elle a beaucoup souffert entre 9x
et les systèmes à base de NT, mais elle est toujours bien pratique.
Compatibilité : sauf au niveau kernel, un Unix suit les règles POSIX,
donc un programme peut être recompilé avec peu de changements sur toutes
les architectures imaginables ;
Je ne parle pas tellement de ça mais plutôt des phrases que l'on voir
parfois par ci, par là, du genre "fonctionne avec telles ou telles
distributions". Et parfois, les distributions avec lesquelles ça ne
fonctionne pas ont des noms bien connus. ;-)
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un système anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une interface graphique quand je n'en ai pas besoin,
Pour ça il y a la ligne de commande. Elle a beaucoup souffert entre 9x et les systèmes à base de NT, mais elle est toujours bien pratique.
Compatibilité : sauf au niveau kernel, un Unix suit les règles POSIX, donc un programme peut être recompilé avec peu de changements sur toutes les architectures imaginables ;
Je ne parle pas tellement de ça mais plutôt des phrases que l'on voir parfois par ci, par là, du genre "fonctionne avec telles ou telles distributions". Et parfois, les distributions avec lesquelles ça ne fonctionne pas ont des noms bien connus. ;-)
manuel viet
manuel viet wrote:
C'est surtout que ce sont des systèmes très peu distribués, n'en déplaise à leurs supporteurs.
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose encore sur un Unix quelconque,
Source ?
netcraft.com
C'est pas qu'il ne soit pas intéressé, c'est qu'un virus est en génral une astuce limitée dans ses cibles potentielles : cible processeur unique, hooks directs dans le système, forte dépendance aux composants installés.
Dis, t'as déjà écrit ou désassemblé (n'effrayons pas les puristes) des virus ? Rien n'empêche de faire des virus multi-plateformes, multi-OS, etc. Mais, bis-repetita, pourquoi s'enquiquiner quand une grosse base est afcilement accessible.
Facilement accessible, oui, c'est ce que j'écris ; unix a une grosse base, pas facile d'accès, donc plus sécurit. C'est tout ; je ne dis nulle part : impossible, ni même que ça n'a pas été fait, puisque je sais que c'est faux ; il y a eu un virus de démonstartion qui infectait à la fois windows 98 et redhat 6.0 ; mais la liste des prérequis sur la redhat pour qu'elle soit infectable était longue comme un jour sans pain.
Un bon virus, il se moque de tout se que tu décris. Il exploite une faille pour s'introduire et se reproduit.
Ce qui est bien ce que je dis : quand la faille n'est pas au même endroit le virus ne se reproduit pas et meurt dans l'indifférence générale, ce qui protège les systèmes de type unix, alors que les installations de windows reproduisent les mêmes trous de manière très constante.
-- Manuel Viet * mailto:
manuel viet wrote:
C'est surtout que ce sont des systèmes très peu distribués, n'en
déplaise à leurs supporteurs.
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose
encore sur un Unix quelconque,
Source ?
netcraft.com
C'est pas qu'il ne soit pas intéressé, c'est qu'un virus est en génral
une astuce limitée dans ses cibles potentielles : cible processeur
unique, hooks directs dans le système, forte dépendance aux composants
installés.
Dis, t'as déjà écrit ou désassemblé (n'effrayons pas les puristes) des virus
? Rien n'empêche de faire des virus multi-plateformes, multi-OS, etc. Mais,
bis-repetita, pourquoi s'enquiquiner quand une grosse base est afcilement
accessible.
Facilement accessible, oui, c'est ce que j'écris ; unix a une grosse
base, pas facile d'accès, donc plus sécurit. C'est tout ; je ne dis
nulle part : impossible, ni même que ça n'a pas été fait, puisque je
sais que c'est faux ; il y a eu un virus de démonstartion qui infectait
à la fois windows 98 et redhat 6.0 ; mais la liste des prérequis sur la
redhat pour qu'elle soit infectable était longue comme un jour sans
pain.
Un bon virus, il se moque de tout se que tu décris. Il exploite une faille
pour s'introduire et se reproduit.
Ce qui est bien ce que je dis : quand la faille n'est pas au même
endroit le virus ne se reproduit pas et meurt dans l'indifférence
générale, ce qui protège les systèmes de type unix, alors que les
installations de windows reproduisent les mêmes trous de manière très
constante.
C'est surtout que ce sont des systèmes très peu distribués, n'en déplaise à leurs supporteurs.
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose encore sur un Unix quelconque,
Source ?
netcraft.com
C'est pas qu'il ne soit pas intéressé, c'est qu'un virus est en génral une astuce limitée dans ses cibles potentielles : cible processeur unique, hooks directs dans le système, forte dépendance aux composants installés.
Dis, t'as déjà écrit ou désassemblé (n'effrayons pas les puristes) des virus ? Rien n'empêche de faire des virus multi-plateformes, multi-OS, etc. Mais, bis-repetita, pourquoi s'enquiquiner quand une grosse base est afcilement accessible.
Facilement accessible, oui, c'est ce que j'écris ; unix a une grosse base, pas facile d'accès, donc plus sécurit. C'est tout ; je ne dis nulle part : impossible, ni même que ça n'a pas été fait, puisque je sais que c'est faux ; il y a eu un virus de démonstartion qui infectait à la fois windows 98 et redhat 6.0 ; mais la liste des prérequis sur la redhat pour qu'elle soit infectable était longue comme un jour sans pain.
Un bon virus, il se moque de tout se que tu décris. Il exploite une faille pour s'introduire et se reproduit.
Ce qui est bien ce que je dis : quand la faille n'est pas au même endroit le virus ne se reproduit pas et meurt dans l'indifférence générale, ce qui protège les systèmes de type unix, alors que les installations de windows reproduisent les mêmes trous de manière très constante.
-- Manuel Viet * mailto:
manuel viet
AMcD® wrote:
manuel viet wrote:
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose encore sur un Unix quelconque, Source ?
Ca me parait en effet peu. J'aurais dit 90% en ce qui concerne les gros serveurs de l'architecture. Déja sur les ROOT-SERVERS.NET, il me semble que c'est 100% Unix et dérivés.
En fait, à part quelques serveurs web finaux et serveurs de mail, je vois pas où on pourrait mettre des Windows.
J'ai mis un chiffre minimal, pour ne pas être taxé d'exagération anti-microsoftienne primaire ; je pense aussi que c'est beaucoup, beaucoup, plus.
-- Manuel Viet * mailto:
AMcD® wrote:
manuel viet wrote:
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose
encore sur un Unix quelconque,
Source ?
Ca me parait en effet peu. J'aurais dit 90% en ce qui concerne les
gros serveurs de l'architecture. Déja sur les ROOT-SERVERS.NET, il
me semble que c'est 100% Unix et dérivés.
En fait, à part quelques serveurs web finaux et serveurs de mail,
je vois pas où on pourrait mettre des Windows.
J'ai mis un chiffre minimal, pour ne pas être taxé d'exagération
anti-microsoftienne primaire ; je pense aussi que c'est beaucoup,
beaucoup, plus.
Là, pas d'accord ; plus de 50% de l'architecture d'internet repose encore sur un Unix quelconque, Source ?
Ca me parait en effet peu. J'aurais dit 90% en ce qui concerne les gros serveurs de l'architecture. Déja sur les ROOT-SERVERS.NET, il me semble que c'est 100% Unix et dérivés.
En fait, à part quelques serveurs web finaux et serveurs de mail, je vois pas où on pourrait mettre des Windows.
J'ai mis un chiffre minimal, pour ne pas être taxé d'exagération anti-microsoftienne primaire ; je pense aussi que c'est beaucoup, beaucoup, plus.
-- Manuel Viet * mailto:
manuel viet
manuel viet wrote:
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un système anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une interface graphique quand je n'en ai pas besoin,
Pour ça il y a la ligne de commande. Elle a beaucoup souffert entre 9x et les systèmes à base de NT, mais elle est toujours bien pratique.
Faut pas être difficile, même en ayant été activer à la main l'historique et l'autocomplétion, pour appeler ça une ligne de commande.
Compatibilité : sauf au niveau kernel, un Unix suit les règles POSIX, donc un programme peut être recompilé avec peu de changements sur toutes les architectures imaginables ;
Je ne parle pas tellement de ça mais plutôt des phrases que l'on voir parfois par ci, par là, du genre "fonctionne avec telles ou telles distributions". Et parfois, les distributions avec lesquelles ça ne fonctionne pas ont des noms bien connus. ;-)
Les programmes distribués en binaire ne jouent pas le jeux de la compatibilité-source ; donc exclus, et tant pis, il y en a toujours un ou deux autres qui respectent le principe près à remplacer les mauvais élèves.
-- Manuel Viet * mailto:
manuel viet wrote:
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un système
anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une interface
graphique quand je n'en ai pas besoin,
Pour ça il y a la ligne de commande. Elle a beaucoup souffert entre 9x
et les systèmes à base de NT, mais elle est toujours bien pratique.
Faut pas être difficile, même en ayant été activer à la main
l'historique et l'autocomplétion, pour appeler ça une ligne de commande.
Compatibilité : sauf au niveau kernel, un Unix suit les règles POSIX,
donc un programme peut être recompilé avec peu de changements sur toutes
les architectures imaginables ;
Je ne parle pas tellement de ça mais plutôt des phrases que l'on voir
parfois par ci, par là, du genre "fonctionne avec telles ou telles
distributions". Et parfois, les distributions avec lesquelles ça ne
fonctionne pas ont des noms bien connus. ;-)
Les programmes distribués en binaire ne jouent pas le jeux de la
compatibilité-source ; donc exclus, et tant pis, il y en a toujours un
ou deux autres qui respectent le principe près à remplacer les mauvais
élèves.
Convivialité : je ne vois pas où est le problème ; pour moi, un système anti-convivial, c'est un système qui m'oblige à supporter une interface graphique quand je n'en ai pas besoin,
Pour ça il y a la ligne de commande. Elle a beaucoup souffert entre 9x et les systèmes à base de NT, mais elle est toujours bien pratique.
Faut pas être difficile, même en ayant été activer à la main l'historique et l'autocomplétion, pour appeler ça une ligne de commande.
Compatibilité : sauf au niveau kernel, un Unix suit les règles POSIX, donc un programme peut être recompilé avec peu de changements sur toutes les architectures imaginables ;
Je ne parle pas tellement de ça mais plutôt des phrases que l'on voir parfois par ci, par là, du genre "fonctionne avec telles ou telles distributions". Et parfois, les distributions avec lesquelles ça ne fonctionne pas ont des noms bien connus. ;-)
Les programmes distribués en binaire ne jouent pas le jeux de la compatibilité-source ; donc exclus, et tant pis, il y en a toujours un ou deux autres qui respectent le principe près à remplacer les mauvais élèves.
-- Manuel Viet * mailto:
manuel viet
manuel viet wrote:
On ne t'oblige à rien. Et ce n'est pas parce que toi tu n'aimes pas que d'autres n'aiment pas. je fais personellement ce que je veux avec Windows.
Tant mieux. Tu inverse le postulat, qui était qu'unix ne devait pas être convivial ; je répondais donc que si, avec quelques exemples soigneusement choisis. Je ne dis nulle part qu'il est interdit d'aimer l'ergonomie de windows. Mais entre un unix où on peut reproduire cette ergonomie, ou en adopter une autre et windows où on est enfermé dans cette ergonomie, la convivialité qui est la possibilité de choisir facilement me paraît aller à unix.
linux doit avoir quelque chose comme 15 processeurs disponibles ; windows en supporte 1 type (pentium), bientôt 2 avec l'ia64. Unix est donc _plus_ compatible que windows, de très, très loin.
Jeune homme à la Debian toute neuve là, ce n'est pas un critère ça. Feu Windows NT était pour alpha, etc. Mais comme ils n'en vendaient pas, ils ont arrêté. Tu sais, il y a des lois de marché aussi...
Windows a tourné dans sa vie sur 2 archis, c'est fabuleux ! J'en parlerais à mon NetBSD, sur la cafetière derrière... :-)
-- Manuel Viet * mailto:
manuel viet wrote:
On ne t'oblige à rien. Et ce n'est pas parce que toi tu n'aimes pas que
d'autres n'aiment pas. je fais personellement ce que je veux avec Windows.
Tant mieux. Tu inverse le postulat, qui était qu'unix ne devait pas être
convivial ; je répondais donc que si, avec quelques exemples
soigneusement choisis. Je ne dis nulle part qu'il est interdit d'aimer
l'ergonomie de windows. Mais entre un unix où on peut reproduire cette
ergonomie, ou en adopter une autre et windows où on est enfermé dans
cette ergonomie, la convivialité qui est la possibilité de choisir
facilement me paraît aller à unix.
linux doit avoir quelque chose comme
15 processeurs disponibles ; windows en supporte 1 type (pentium),
bientôt 2 avec l'ia64. Unix est donc _plus_ compatible que windows,
de très, très loin.
Jeune homme à la Debian toute neuve là, ce n'est pas un critère ça. Feu
Windows NT était pour alpha, etc. Mais comme ils n'en vendaient pas, ils ont
arrêté. Tu sais, il y a des lois de marché aussi...
Windows a tourné dans sa vie sur 2 archis, c'est fabuleux ! J'en
parlerais à mon NetBSD, sur la cafetière derrière... :-)
On ne t'oblige à rien. Et ce n'est pas parce que toi tu n'aimes pas que d'autres n'aiment pas. je fais personellement ce que je veux avec Windows.
Tant mieux. Tu inverse le postulat, qui était qu'unix ne devait pas être convivial ; je répondais donc que si, avec quelques exemples soigneusement choisis. Je ne dis nulle part qu'il est interdit d'aimer l'ergonomie de windows. Mais entre un unix où on peut reproduire cette ergonomie, ou en adopter une autre et windows où on est enfermé dans cette ergonomie, la convivialité qui est la possibilité de choisir facilement me paraît aller à unix.
linux doit avoir quelque chose comme 15 processeurs disponibles ; windows en supporte 1 type (pentium), bientôt 2 avec l'ia64. Unix est donc _plus_ compatible que windows, de très, très loin.
Jeune homme à la Debian toute neuve là, ce n'est pas un critère ça. Feu Windows NT était pour alpha, etc. Mais comme ils n'en vendaient pas, ils ont arrêté. Tu sais, il y a des lois de marché aussi...
Windows a tourné dans sa vie sur 2 archis, c'est fabuleux ! J'en parlerais à mon NetBSD, sur la cafetière derrière... :-)