Pour quelqu'un qui semble s'occuper ds'un site traitant pricipalement de
noms de domaine, laissez moi
vous dire que vos propos semblent reellement legers, j'ose esperer que ceux
envers vos clients sont differents.
Peut etre, a noter que meme le CEO du 1er bureau ICANN emet des reserves,
Probablement parce qu'il n'a pas pu vendre autant qu'il aurait souhaité...
C'est bien pour cela que je parle d'hypocrisie.
La j'en doute.
Il y a un quota au nombre maximum de bureau d'enregistrement pour une
région du monde, et en particulier le Delaware ?
Naif ?
Vous ne répondez pas à la question. Gêné ?
Non pas du tout, le fait que 45% des bureaux soit dans le Delaware ne pose
pas de probleme légal en soi,
meme si le .eu s'adressant a des europeens on peut se questionner sur le
bienfondé de cette localisation,
le reel probleme
qui se pose c'est que toutes ces societes ont la meme adresse et que part
mon travail j'ai pu avoir confirmation qu'il s'agissait
de simple boite postale.
Comment expliquer que cela ne soit pas arrivé avec l'AFNIC ou tout autres
bureaux d'enregistrement national ?
C'est bien vous qui me taxez de comparaisons foireuses ?
Non parce que franchement, comparer l'EURid et l'AFNIC, là j'en ai pour
le week-end (prolongé) à me remettre du fou rire...
je passe mon tour trop dur a vous faire comprendre.
car il ne pas confondre "fantomes" et "sans activités".
Ah... Et ceux pour l'EURid sont dans quelle catégorie ?
des fantomes avec une reelle activité.
Cela dit si vous etes satisfait de votre accréditation EURid et que vous
avez reussi a satisfaire les demandes de vos clients, tant mieux.
Le problème ne se pose même pas en ces termes, preuve que vous prenez le
problème sous le mauvais angle, ainsi que vos interlocuteurs. Dommage.
Satisfaire vos clients n'est a priori pas une priorité au moins votre
echange aura permis d'apprende une chose.
Pour quelqu'un qui semble s'occuper ds'un site traitant pricipalement de
noms de domaine, laissez moi
vous dire que vos propos semblent reellement legers, j'ose esperer que ceux
envers vos clients sont differents.
Peut etre, a noter que meme le CEO du 1er bureau ICANN emet des reserves,
Probablement parce qu'il n'a pas pu vendre autant qu'il aurait souhaité...
C'est bien pour cela que je parle d'hypocrisie.
La j'en doute.
Il y a un quota au nombre maximum de bureau d'enregistrement pour une
région du monde, et en particulier le Delaware ?
Naif ?
Vous ne répondez pas à la question. Gêné ?
Non pas du tout, le fait que 45% des bureaux soit dans le Delaware ne pose
pas de probleme légal en soi,
meme si le .eu s'adressant a des europeens on peut se questionner sur le
bienfondé de cette localisation,
le reel probleme
qui se pose c'est que toutes ces societes ont la meme adresse et que part
mon travail j'ai pu avoir confirmation qu'il s'agissait
de simple boite postale.
Comment expliquer que cela ne soit pas arrivé avec l'AFNIC ou tout autres
bureaux d'enregistrement national ?
C'est bien vous qui me taxez de comparaisons foireuses ?
Non parce que franchement, comparer l'EURid et l'AFNIC, là j'en ai pour
le week-end (prolongé) à me remettre du fou rire...
je passe mon tour trop dur a vous faire comprendre.
car il ne pas confondre "fantomes" et "sans activités".
Ah... Et ceux pour l'EURid sont dans quelle catégorie ?
des fantomes avec une reelle activité.
Cela dit si vous etes satisfait de votre accréditation EURid et que vous
avez reussi a satisfaire les demandes de vos clients, tant mieux.
Le problème ne se pose même pas en ces termes, preuve que vous prenez le
problème sous le mauvais angle, ainsi que vos interlocuteurs. Dommage.
Satisfaire vos clients n'est a priori pas une priorité au moins votre
echange aura permis d'apprende une chose.
Pour quelqu'un qui semble s'occuper ds'un site traitant pricipalement de
noms de domaine, laissez moi
vous dire que vos propos semblent reellement legers, j'ose esperer que ceux
envers vos clients sont differents.
Peut etre, a noter que meme le CEO du 1er bureau ICANN emet des reserves,
Probablement parce qu'il n'a pas pu vendre autant qu'il aurait souhaité...
C'est bien pour cela que je parle d'hypocrisie.
La j'en doute.
Il y a un quota au nombre maximum de bureau d'enregistrement pour une
région du monde, et en particulier le Delaware ?
Naif ?
Vous ne répondez pas à la question. Gêné ?
Non pas du tout, le fait que 45% des bureaux soit dans le Delaware ne pose
pas de probleme légal en soi,
meme si le .eu s'adressant a des europeens on peut se questionner sur le
bienfondé de cette localisation,
le reel probleme
qui se pose c'est que toutes ces societes ont la meme adresse et que part
mon travail j'ai pu avoir confirmation qu'il s'agissait
de simple boite postale.
Comment expliquer que cela ne soit pas arrivé avec l'AFNIC ou tout autres
bureaux d'enregistrement national ?
C'est bien vous qui me taxez de comparaisons foireuses ?
Non parce que franchement, comparer l'EURid et l'AFNIC, là j'en ai pour
le week-end (prolongé) à me remettre du fou rire...
je passe mon tour trop dur a vous faire comprendre.
car il ne pas confondre "fantomes" et "sans activités".
Ah... Et ceux pour l'EURid sont dans quelle catégorie ?
des fantomes avec une reelle activité.
Cela dit si vous etes satisfait de votre accréditation EURid et que vous
avez reussi a satisfaire les demandes de vos clients, tant mieux.
Le problème ne se pose même pas en ces termes, preuve que vous prenez le
problème sous le mauvais angle, ainsi que vos interlocuteurs. Dommage.
Satisfaire vos clients n'est a priori pas une priorité au moins votre
echange aura permis d'apprende une chose.
Personnellement, je trouve que 10 000 euros, c'est beaucoup trop. Le .fr
était ouvert a toute société disposant de 450 euros, et ça a permis a
beaucoup de petits de gagner un peu d'argent. Les artisanants du web ont
dut laisser leur place au plus gros...
Le bilan semble plutot contreversé ,
- certain comme le CEO de la 1er société vendant du DotCom, denonce le
cybersquatting qui a été mis en place par ces etranges sociétés,
Oui, mais c'est pas la première fois. Par contre, la phase 1 à permis a
tous ceux qui avait une marque déposé de faire valoir leurs droits, ce
que je trouve très positif.
J'ai moi-même une société enregistré au Delaware, je vie a Shanghai,
On peut donc clairment s'interroger sur l'esperance de vie du .eu et
s'il survivra,
Moi je me fait pas de souci pour eux, avec presque 1 million de nom de
domaine enregistré, ça doit faire un beau pactole. Surtout quand on
voit a quel point ils ont pas investi dans l'infrastructure s'est
révélée pas du tout adéquate (serveur whois s'écroulant sous la
charge, serveur web en panne car trop de visites, etc...):
ils doivent
plus savoir quoi faire de leurs tunes, et je pense qu'il serait urgent
d'investir dans un serveur whois digne de ce nom, ainsi que de
techniciens compétent.
surtout sur leur taux d'enregistrement ayant réussi.
Ca c'est super intéressant c'est sur. Moi aussi j'aimerais bien avoir
des chiffres.
Personnellement, je trouve que 10 000 euros, c'est beaucoup trop. Le .fr
était ouvert a toute société disposant de 450 euros, et ça a permis a
beaucoup de petits de gagner un peu d'argent. Les artisanants du web ont
dut laisser leur place au plus gros...
Le bilan semble plutot contreversé ,
- certain comme le CEO de la 1er société vendant du DotCom, denonce le
cybersquatting qui a été mis en place par ces etranges sociétés,
Oui, mais c'est pas la première fois. Par contre, la phase 1 à permis a
tous ceux qui avait une marque déposé de faire valoir leurs droits, ce
que je trouve très positif.
J'ai moi-même une société enregistré au Delaware, je vie a Shanghai,
On peut donc clairment s'interroger sur l'esperance de vie du .eu et
s'il survivra,
Moi je me fait pas de souci pour eux, avec presque 1 million de nom de
domaine enregistré, ça doit faire un beau pactole. Surtout quand on
voit a quel point ils ont pas investi dans l'infrastructure s'est
révélée pas du tout adéquate (serveur whois s'écroulant sous la
charge, serveur web en panne car trop de visites, etc...):
ils doivent
plus savoir quoi faire de leurs tunes, et je pense qu'il serait urgent
d'investir dans un serveur whois digne de ce nom, ainsi que de
techniciens compétent.
surtout sur leur taux d'enregistrement ayant réussi.
Ca c'est super intéressant c'est sur. Moi aussi j'aimerais bien avoir
des chiffres.
Personnellement, je trouve que 10 000 euros, c'est beaucoup trop. Le .fr
était ouvert a toute société disposant de 450 euros, et ça a permis a
beaucoup de petits de gagner un peu d'argent. Les artisanants du web ont
dut laisser leur place au plus gros...
Le bilan semble plutot contreversé ,
- certain comme le CEO de la 1er société vendant du DotCom, denonce le
cybersquatting qui a été mis en place par ces etranges sociétés,
Oui, mais c'est pas la première fois. Par contre, la phase 1 à permis a
tous ceux qui avait une marque déposé de faire valoir leurs droits, ce
que je trouve très positif.
J'ai moi-même une société enregistré au Delaware, je vie a Shanghai,
On peut donc clairment s'interroger sur l'esperance de vie du .eu et
s'il survivra,
Moi je me fait pas de souci pour eux, avec presque 1 million de nom de
domaine enregistré, ça doit faire un beau pactole. Surtout quand on
voit a quel point ils ont pas investi dans l'infrastructure s'est
révélée pas du tout adéquate (serveur whois s'écroulant sous la
charge, serveur web en panne car trop de visites, etc...):
ils doivent
plus savoir quoi faire de leurs tunes, et je pense qu'il serait urgent
d'investir dans un serveur whois digne de ce nom, ainsi que de
techniciens compétent.
surtout sur leur taux d'enregistrement ayant réussi.
Ca c'est super intéressant c'est sur. Moi aussi j'aimerais bien avoir
des chiffres.
Oui, mais c'est pas la première fois. Par contre, la phase 1 à permis a
tous ceux qui avait une marque déposé de faire valoir leurs droits, ce
que je trouve très positif.
A ceci près que la communication sur la facon de justifier de ses droits
de ce coté la a, a mon avis, été lamentable.
Certains de mes clients se
sont vus refuser la sunrise (sans explications, biensur)
et le domaine
retombera dans le domaine public a grand renfort de listes toutes pretes
pour nos amis cybersquatteurs.
Oui, mais c'est pas la première fois. Par contre, la phase 1 à permis a
tous ceux qui avait une marque déposé de faire valoir leurs droits, ce
que je trouve très positif.
A ceci près que la communication sur la facon de justifier de ses droits
de ce coté la a, a mon avis, été lamentable.
Certains de mes clients se
sont vus refuser la sunrise (sans explications, biensur)
et le domaine
retombera dans le domaine public a grand renfort de listes toutes pretes
pour nos amis cybersquatteurs.
Oui, mais c'est pas la première fois. Par contre, la phase 1 à permis a
tous ceux qui avait une marque déposé de faire valoir leurs droits, ce
que je trouve très positif.
A ceci près que la communication sur la facon de justifier de ses droits
de ce coté la a, a mon avis, été lamentable.
Certains de mes clients se
sont vus refuser la sunrise (sans explications, biensur)
et le domaine
retombera dans le domaine public a grand renfort de listes toutes pretes
pour nos amis cybersquatteurs.
Peut etre, a noter que meme le CEO du 1er bureau ICANN emet des reserves,
Peut etre, a noter que meme le CEO du 1er bureau ICANN emet des reserves,
Peut etre, a noter que meme le CEO du 1er bureau ICANN emet des reserves,
Il y a plus de 600 bureaux ICANN dont 400 (estimation
personnelle) qui ne sont que des coquilles vides, et ce n'est pas récent.
Il y a plus de 600 bureaux ICANN dont 400 (estimation
personnelle) qui ne sont que des coquilles vides, et ce n'est pas récent.
Il y a plus de 600 bureaux ICANN dont 400 (estimation
personnelle) qui ne sont que des coquilles vides, et ce n'est pas récent.
Au passage, l'ICANN a, de nouveau, signalé que cette fois, ca y est, pour
de vrai, ils allaient se mettre à surveiller plus attentivement ce que
font les bureaux accrédités, conduire des enquêtes, voire même
sanctionner les méchants bureaux
Au passage, l'ICANN a, de nouveau, signalé que cette fois, ca y est, pour
de vrai, ils allaient se mettre à surveiller plus attentivement ce que
font les bureaux accrédités, conduire des enquêtes, voire même
sanctionner les méchants bureaux
Au passage, l'ICANN a, de nouveau, signalé que cette fois, ca y est, pour
de vrai, ils allaient se mettre à surveiller plus attentivement ce que
font les bureaux accrédités, conduire des enquêtes, voire même
sanctionner les méchants bureaux
Au passage, l'ICANN a, de nouveau, signalé que cette fois, ca y est, pour
de vrai, ils allaient se mettre à surveiller plus attentivement ce que
font les bureaux accrédités, conduire des enquêtes, voire même
sanctionner les méchants bureaux
Oulah, tout le monde tremble. Si c'est comme pour le cybersquatting de
masse organisé par des registrars véreux (voir
<http://www.sigint.fr/news/polemiques/l-icann-face-au-cybersquatting.html>,
qui contient quelques erreurs au passage) et passé sous silence par
L'enquête, ca sera un an de recherche, pour finalement déclarer "on a
vérifié les bureaux accrédités, et tout va bien"
Au passage, l'ICANN a, de nouveau, signalé que cette fois, ca y est, pour
de vrai, ils allaient se mettre à surveiller plus attentivement ce que
font les bureaux accrédités, conduire des enquêtes, voire même
sanctionner les méchants bureaux
Oulah, tout le monde tremble. Si c'est comme pour le cybersquatting de
masse organisé par des registrars véreux (voir
<http://www.sigint.fr/news/polemiques/l-icann-face-au-cybersquatting.html>,
qui contient quelques erreurs au passage) et passé sous silence par
L'enquête, ca sera un an de recherche, pour finalement déclarer "on a
vérifié les bureaux accrédités, et tout va bien"
Au passage, l'ICANN a, de nouveau, signalé que cette fois, ca y est, pour
de vrai, ils allaient se mettre à surveiller plus attentivement ce que
font les bureaux accrédités, conduire des enquêtes, voire même
sanctionner les méchants bureaux
Oulah, tout le monde tremble. Si c'est comme pour le cybersquatting de
masse organisé par des registrars véreux (voir
<http://www.sigint.fr/news/polemiques/l-icann-face-au-cybersquatting.html>,
qui contient quelques erreurs au passage) et passé sous silence par
L'enquête, ca sera un an de recherche, pour finalement déclarer "on a
vérifié les bureaux accrédités, et tout va bien"
Y a-t-il réellement des exemples
de noms de domaines indisponibles parce que acheté et détruit sans
cesse tous les 5 jours ? Je n'en connais pas, mais je reste ouvert à
recevoir des exemples en la matière.
La suppression «gratuite» dans les 5 jours est prévue dans les
contrats, sans réelles limitations ou aménagements, donc ceux qui s'en
servent sont dans leurs droits. Le débât pourrait presque s'arrêter
là.
[...] Donc
en bref, à part essayer de protéger son activité, en présentant son
business model comme le seul et unique bon (tiens cela rappelle un
certain code de bonne conduite...), et donc tous les autres comme
mauvais, et chercher donc comment on pourrait, au mieux
contractuellement, empêcher ces mauvais business models, bref faire
tourner le capitalisme à plein régime, bref à part tout ca, c'est
plutôt «circulez, y a rien à voir», non ?
Il me paraît aussi intéressant de voir combien il y a de bureaux qui
participent aux activités de l'ICANN via leur assemblée dédiée.
Peut-être 50 sur 700...
Ce n'est certes pas mieux en .FR, avec 15 présents sur 100 inscrits
parmi 1000...
Il ne faut cependant pas en conclure que seuls les gentils participent,
et que les méchants non. C'est plus mélange que çà :-)
Y a-t-il réellement des exemples
de noms de domaines indisponibles parce que acheté et détruit sans
cesse tous les 5 jours ? Je n'en connais pas, mais je reste ouvert à
recevoir des exemples en la matière.
La suppression «gratuite» dans les 5 jours est prévue dans les
contrats, sans réelles limitations ou aménagements, donc ceux qui s'en
servent sont dans leurs droits. Le débât pourrait presque s'arrêter
là.
[...] Donc
en bref, à part essayer de protéger son activité, en présentant son
business model comme le seul et unique bon (tiens cela rappelle un
certain code de bonne conduite...), et donc tous les autres comme
mauvais, et chercher donc comment on pourrait, au mieux
contractuellement, empêcher ces mauvais business models, bref faire
tourner le capitalisme à plein régime, bref à part tout ca, c'est
plutôt «circulez, y a rien à voir», non ?
Il me paraît aussi intéressant de voir combien il y a de bureaux qui
participent aux activités de l'ICANN via leur assemblée dédiée.
Peut-être 50 sur 700...
Ce n'est certes pas mieux en .FR, avec 15 présents sur 100 inscrits
parmi 1000...
Il ne faut cependant pas en conclure que seuls les gentils participent,
et que les méchants non. C'est plus mélange que çà :-)
Y a-t-il réellement des exemples
de noms de domaines indisponibles parce que acheté et détruit sans
cesse tous les 5 jours ? Je n'en connais pas, mais je reste ouvert à
recevoir des exemples en la matière.
La suppression «gratuite» dans les 5 jours est prévue dans les
contrats, sans réelles limitations ou aménagements, donc ceux qui s'en
servent sont dans leurs droits. Le débât pourrait presque s'arrêter
là.
[...] Donc
en bref, à part essayer de protéger son activité, en présentant son
business model comme le seul et unique bon (tiens cela rappelle un
certain code de bonne conduite...), et donc tous les autres comme
mauvais, et chercher donc comment on pourrait, au mieux
contractuellement, empêcher ces mauvais business models, bref faire
tourner le capitalisme à plein régime, bref à part tout ca, c'est
plutôt «circulez, y a rien à voir», non ?
Il me paraît aussi intéressant de voir combien il y a de bureaux qui
participent aux activités de l'ICANN via leur assemblée dédiée.
Peut-être 50 sur 700...
Ce n'est certes pas mieux en .FR, avec 15 présents sur 100 inscrits
parmi 1000...
Il ne faut cependant pas en conclure que seuls les gentils participent,
et que les méchants non. C'est plus mélange que çà :-)
Y a-t-il réellement des exemples
de noms de domaines indisponibles parce que acheté et détruit sans
cesse tous les 5 jours ? Je n'en connais pas, mais je reste ouvert à
recevoir des exemples en la matière.
Il suffit de suivre (pas juste regarder/sanctionner) l'adresse abuse
d'une société active *et* d'une certaine taille dans l'Internet. J'ai pu
apprecié moultes exemples de noms de domaine plus ou moins aléatoires.
La suppression «gratuite» dans les 5 jours est prévue dans les
contrats, sans réelles limitations ou aménagements, donc ceux qui
s'en servent sont dans leurs droits. Le débât pourrait presque
s'arrêter là.
Mouais, je loue un paintball à l'année, je dégueulasse partout et je
la rends au bout de 5 jours, c'est prévu dans le contrat.
[...] Donc
en bref, à part essayer de protéger son activité, en présentant son
business model comme le seul et unique bon (tiens cela rappelle un
certain code de bonne conduite...), et donc tous les autres comme
mauvais, et chercher donc comment on pourrait, au mieux
contractuellement, empêcher ces mauvais business models, bref faire
tourner le capitalisme à plein régime, bref à part tout ca, c'est
plutôt «circulez, y a rien à voir», non ?
Bof, autant je partage souvent tes analyses sur les noms de domaines,
autant tes analyses économiques me semble un peu simplistes.
Voir dans
ce post tes analyses sur les noms de domaines semblent légèrement
empreintes de désillusion.
Il me paraît aussi intéressant de voir combien il y a de bureaux qui
participent aux activités de l'ICANN via leur assemblée dédiée.
Peut-être 50 sur 700...
Ce n'est certes pas mieux en .FR, avec 15 présents sur 100 inscrits
parmi 1000...
Il ne faut cependant pas en conclure que seuls les gentils participent,
et que les méchants non. C'est plus mélange que çà :-)
C'est comme dans toute assocation hein pour avoir l'expérience de
quelques unes. L'activité est faite par un nombre réduit de membres,
quelques autres suivent en silence et réagissent bruyament et
occasionnellement quand ça leur déplait, le reste qui ne se manifeste
jamais, rien de nouveau sous ce soleil :-)
Y a-t-il réellement des exemples
de noms de domaines indisponibles parce que acheté et détruit sans
cesse tous les 5 jours ? Je n'en connais pas, mais je reste ouvert à
recevoir des exemples en la matière.
Il suffit de suivre (pas juste regarder/sanctionner) l'adresse abuse
d'une société active *et* d'une certaine taille dans l'Internet. J'ai pu
apprecié moultes exemples de noms de domaine plus ou moins aléatoires.
La suppression «gratuite» dans les 5 jours est prévue dans les
contrats, sans réelles limitations ou aménagements, donc ceux qui
s'en servent sont dans leurs droits. Le débât pourrait presque
s'arrêter là.
Mouais, je loue un paintball à l'année, je dégueulasse partout et je
la rends au bout de 5 jours, c'est prévu dans le contrat.
[...] Donc
en bref, à part essayer de protéger son activité, en présentant son
business model comme le seul et unique bon (tiens cela rappelle un
certain code de bonne conduite...), et donc tous les autres comme
mauvais, et chercher donc comment on pourrait, au mieux
contractuellement, empêcher ces mauvais business models, bref faire
tourner le capitalisme à plein régime, bref à part tout ca, c'est
plutôt «circulez, y a rien à voir», non ?
Bof, autant je partage souvent tes analyses sur les noms de domaines,
autant tes analyses économiques me semble un peu simplistes.
Voir dans
ce post tes analyses sur les noms de domaines semblent légèrement
empreintes de désillusion.
Il me paraît aussi intéressant de voir combien il y a de bureaux qui
participent aux activités de l'ICANN via leur assemblée dédiée.
Peut-être 50 sur 700...
Ce n'est certes pas mieux en .FR, avec 15 présents sur 100 inscrits
parmi 1000...
Il ne faut cependant pas en conclure que seuls les gentils participent,
et que les méchants non. C'est plus mélange que çà :-)
C'est comme dans toute assocation hein pour avoir l'expérience de
quelques unes. L'activité est faite par un nombre réduit de membres,
quelques autres suivent en silence et réagissent bruyament et
occasionnellement quand ça leur déplait, le reste qui ne se manifeste
jamais, rien de nouveau sous ce soleil :-)
Y a-t-il réellement des exemples
de noms de domaines indisponibles parce que acheté et détruit sans
cesse tous les 5 jours ? Je n'en connais pas, mais je reste ouvert à
recevoir des exemples en la matière.
Il suffit de suivre (pas juste regarder/sanctionner) l'adresse abuse
d'une société active *et* d'une certaine taille dans l'Internet. J'ai pu
apprecié moultes exemples de noms de domaine plus ou moins aléatoires.
La suppression «gratuite» dans les 5 jours est prévue dans les
contrats, sans réelles limitations ou aménagements, donc ceux qui
s'en servent sont dans leurs droits. Le débât pourrait presque
s'arrêter là.
Mouais, je loue un paintball à l'année, je dégueulasse partout et je
la rends au bout de 5 jours, c'est prévu dans le contrat.
[...] Donc
en bref, à part essayer de protéger son activité, en présentant son
business model comme le seul et unique bon (tiens cela rappelle un
certain code de bonne conduite...), et donc tous les autres comme
mauvais, et chercher donc comment on pourrait, au mieux
contractuellement, empêcher ces mauvais business models, bref faire
tourner le capitalisme à plein régime, bref à part tout ca, c'est
plutôt «circulez, y a rien à voir», non ?
Bof, autant je partage souvent tes analyses sur les noms de domaines,
autant tes analyses économiques me semble un peu simplistes.
Voir dans
ce post tes analyses sur les noms de domaines semblent légèrement
empreintes de désillusion.
Il me paraît aussi intéressant de voir combien il y a de bureaux qui
participent aux activités de l'ICANN via leur assemblée dédiée.
Peut-être 50 sur 700...
Ce n'est certes pas mieux en .FR, avec 15 présents sur 100 inscrits
parmi 1000...
Il ne faut cependant pas en conclure que seuls les gentils participent,
et que les méchants non. C'est plus mélange que çà :-)
C'est comme dans toute assocation hein pour avoir l'expérience de
quelques unes. L'activité est faite par un nombre réduit de membres,
quelques autres suivent en silence et réagissent bruyament et
occasionnellement quand ça leur déplait, le reste qui ne se manifeste
jamais, rien de nouveau sous ce soleil :-)
Y a-t-il réellement des exemples
de noms de domaines indisponibles parce que acheté et détruit sans
cesse tous les 5 jours ? Je n'en connais pas, mais je reste ouvert à
recevoir des exemples en la matière.
Il suffit de suivre (pas juste regarder/sanctionner) l'adresse abuse
d'une société active *et* d'une certaine taille dans l'Internet. J'ai
pu apprecié moultes exemples de noms de domaine plus ou moins
aléatoires.
Ce qui ne donne pas d'exemples concrets... Avec des dommages
chiffrables, des détails sur les procédures engagées, etc...
La suppression «gratuite» dans les 5 jours est prévue dans les
contrats, sans réelles limitations ou aménagements, donc ceux qui
s'en servent sont dans leurs droits. Le débât pourrait presque
s'arrêter là.
Mouais, je loue un paintball à l'année, je dégueulasse partout et je
la rends au bout de 5 jours, c'est prévu dans le contrat.
Là clairement il y aurait des victimes et dégueulasser un bien c'est
une dégradation, donc condamnable.
Déposer et détruire un domaine que ce soit 2 secondes après, 5 jours
après, un mois après, il n'y a pas de victimes (cf mon propos plus
haut, tous les articles véhéments sur ce sujet ne donne *aucun*
exemple concret), donc rien de condamnable.
Après que moralement/éthiquement on ne trouve ca pas bien, certes.
Mais je ne pourrais m'empêcher de penser que c'est un peu comme le .EU
: ceux qui crient le plus sont tout simplement ceux qui aimeraient faire
la même chose mais ne le peuvent pas.
C'est aussi comme je disais précédemment se tromper de cible : si tout
ceci existe ce n'est que la conséquence de la montée en puissance des
moteurs de recherche, et de la publicité sur Internet via achat de
mots-clefs. BTW, Realnames «renaît».
Bof, autant je partage souvent tes analyses sur les noms de domaines,
autant tes analyses économiques me semble un peu simplistes.
Je ne suis pas économiste.
M'enfin à titre de comparaison pertinente dans le monde des noms de
domaine je rappelle que WLS est né *uniquement* parce que VeriSign
croulait sous la charge (motivation économique donc...). Enfin en
première lecture, parce qu'après les problèmes de charge ont
subitement disparu, mais c'est une autre affaire.
Voir dans ce post tes analyses sur les noms de domaines semblent
légèrement empreintes de désillusion.
Désillusion quant à la possibilité que ce genre de pratiques cessent
? Oui, très certainement, pour les raisons que j'ai évoqué (le
portefeuille parle). En tout cas elles cesseront quand elles ne seront
plus rentables.
Après, sur les ~300 vrais bureaux, et la petite proportion que je
connais plus en détail pour utiliser fréquemment ou être en contact
avec certaines personnes, il n'y en a aucun que je trouve clean à 100%,
Donc si on critique X parce que moralement on estime que ses pratiques
de dépôt-annulation sont objectionnables, personnellement je pourrais
bien critiquer Y ou Z (qui critiquaient X) sur d'autres points.
Je n'ai pas dit que c'était différent ailleurs. J'ai aussi travaillé
dans le monde associatif, je sais *exactement* comment cela s'y passe.
Cependant, je suis étonné (peut-être mon côté simpliste) qu'une
«confrérie», comme celle des bureaux d'enregistrement, quand elle
observe un problème en son sein, ne commence pas par réunir ses
membres autour d'une table pour en discuter (traduction Internet : je
vous mets un petit canal IRC ?). Peut-être que certains ne veulent pas
discuter, c'est clair. Ou peut-être que cela ne sert à rien. Mais
crier au loup/à sa maman pour dire : eh regardez untel il est méchant,
il fait X, pour le coup c'est moi qui trouve ca simpliste...
en tous cas dès qu'on voit à travers le jeu et qu'on ne se fait pas
manipuler par toutes les annonces, souvent sentimentalistes, qui
pullulent.
Y a-t-il réellement des exemples
de noms de domaines indisponibles parce que acheté et détruit sans
cesse tous les 5 jours ? Je n'en connais pas, mais je reste ouvert à
recevoir des exemples en la matière.
Il suffit de suivre (pas juste regarder/sanctionner) l'adresse abuse
d'une société active *et* d'une certaine taille dans l'Internet. J'ai
pu apprecié moultes exemples de noms de domaine plus ou moins
aléatoires.
Ce qui ne donne pas d'exemples concrets... Avec des dommages
chiffrables, des détails sur les procédures engagées, etc...
La suppression «gratuite» dans les 5 jours est prévue dans les
contrats, sans réelles limitations ou aménagements, donc ceux qui
s'en servent sont dans leurs droits. Le débât pourrait presque
s'arrêter là.
Mouais, je loue un paintball à l'année, je dégueulasse partout et je
la rends au bout de 5 jours, c'est prévu dans le contrat.
Là clairement il y aurait des victimes et dégueulasser un bien c'est
une dégradation, donc condamnable.
Déposer et détruire un domaine que ce soit 2 secondes après, 5 jours
après, un mois après, il n'y a pas de victimes (cf mon propos plus
haut, tous les articles véhéments sur ce sujet ne donne *aucun*
exemple concret), donc rien de condamnable.
Après que moralement/éthiquement on ne trouve ca pas bien, certes.
Mais je ne pourrais m'empêcher de penser que c'est un peu comme le .EU
: ceux qui crient le plus sont tout simplement ceux qui aimeraient faire
la même chose mais ne le peuvent pas.
C'est aussi comme je disais précédemment se tromper de cible : si tout
ceci existe ce n'est que la conséquence de la montée en puissance des
moteurs de recherche, et de la publicité sur Internet via achat de
mots-clefs. BTW, Realnames «renaît».
Bof, autant je partage souvent tes analyses sur les noms de domaines,
autant tes analyses économiques me semble un peu simplistes.
Je ne suis pas économiste.
M'enfin à titre de comparaison pertinente dans le monde des noms de
domaine je rappelle que WLS est né *uniquement* parce que VeriSign
croulait sous la charge (motivation économique donc...). Enfin en
première lecture, parce qu'après les problèmes de charge ont
subitement disparu, mais c'est une autre affaire.
Voir dans ce post tes analyses sur les noms de domaines semblent
légèrement empreintes de désillusion.
Désillusion quant à la possibilité que ce genre de pratiques cessent
? Oui, très certainement, pour les raisons que j'ai évoqué (le
portefeuille parle). En tout cas elles cesseront quand elles ne seront
plus rentables.
Après, sur les ~300 vrais bureaux, et la petite proportion que je
connais plus en détail pour utiliser fréquemment ou être en contact
avec certaines personnes, il n'y en a aucun que je trouve clean à 100%,
Donc si on critique X parce que moralement on estime que ses pratiques
de dépôt-annulation sont objectionnables, personnellement je pourrais
bien critiquer Y ou Z (qui critiquaient X) sur d'autres points.
Je n'ai pas dit que c'était différent ailleurs. J'ai aussi travaillé
dans le monde associatif, je sais *exactement* comment cela s'y passe.
Cependant, je suis étonné (peut-être mon côté simpliste) qu'une
«confrérie», comme celle des bureaux d'enregistrement, quand elle
observe un problème en son sein, ne commence pas par réunir ses
membres autour d'une table pour en discuter (traduction Internet : je
vous mets un petit canal IRC ?). Peut-être que certains ne veulent pas
discuter, c'est clair. Ou peut-être que cela ne sert à rien. Mais
crier au loup/à sa maman pour dire : eh regardez untel il est méchant,
il fait X, pour le coup c'est moi qui trouve ca simpliste...
en tous cas dès qu'on voit à travers le jeu et qu'on ne se fait pas
manipuler par toutes les annonces, souvent sentimentalistes, qui
pullulent.
Y a-t-il réellement des exemples
de noms de domaines indisponibles parce que acheté et détruit sans
cesse tous les 5 jours ? Je n'en connais pas, mais je reste ouvert à
recevoir des exemples en la matière.
Il suffit de suivre (pas juste regarder/sanctionner) l'adresse abuse
d'une société active *et* d'une certaine taille dans l'Internet. J'ai
pu apprecié moultes exemples de noms de domaine plus ou moins
aléatoires.
Ce qui ne donne pas d'exemples concrets... Avec des dommages
chiffrables, des détails sur les procédures engagées, etc...
La suppression «gratuite» dans les 5 jours est prévue dans les
contrats, sans réelles limitations ou aménagements, donc ceux qui
s'en servent sont dans leurs droits. Le débât pourrait presque
s'arrêter là.
Mouais, je loue un paintball à l'année, je dégueulasse partout et je
la rends au bout de 5 jours, c'est prévu dans le contrat.
Là clairement il y aurait des victimes et dégueulasser un bien c'est
une dégradation, donc condamnable.
Déposer et détruire un domaine que ce soit 2 secondes après, 5 jours
après, un mois après, il n'y a pas de victimes (cf mon propos plus
haut, tous les articles véhéments sur ce sujet ne donne *aucun*
exemple concret), donc rien de condamnable.
Après que moralement/éthiquement on ne trouve ca pas bien, certes.
Mais je ne pourrais m'empêcher de penser que c'est un peu comme le .EU
: ceux qui crient le plus sont tout simplement ceux qui aimeraient faire
la même chose mais ne le peuvent pas.
C'est aussi comme je disais précédemment se tromper de cible : si tout
ceci existe ce n'est que la conséquence de la montée en puissance des
moteurs de recherche, et de la publicité sur Internet via achat de
mots-clefs. BTW, Realnames «renaît».
Bof, autant je partage souvent tes analyses sur les noms de domaines,
autant tes analyses économiques me semble un peu simplistes.
Je ne suis pas économiste.
M'enfin à titre de comparaison pertinente dans le monde des noms de
domaine je rappelle que WLS est né *uniquement* parce que VeriSign
croulait sous la charge (motivation économique donc...). Enfin en
première lecture, parce qu'après les problèmes de charge ont
subitement disparu, mais c'est une autre affaire.
Voir dans ce post tes analyses sur les noms de domaines semblent
légèrement empreintes de désillusion.
Désillusion quant à la possibilité que ce genre de pratiques cessent
? Oui, très certainement, pour les raisons que j'ai évoqué (le
portefeuille parle). En tout cas elles cesseront quand elles ne seront
plus rentables.
Après, sur les ~300 vrais bureaux, et la petite proportion que je
connais plus en détail pour utiliser fréquemment ou être en contact
avec certaines personnes, il n'y en a aucun que je trouve clean à 100%,
Donc si on critique X parce que moralement on estime que ses pratiques
de dépôt-annulation sont objectionnables, personnellement je pourrais
bien critiquer Y ou Z (qui critiquaient X) sur d'autres points.
Je n'ai pas dit que c'était différent ailleurs. J'ai aussi travaillé
dans le monde associatif, je sais *exactement* comment cela s'y passe.
Cependant, je suis étonné (peut-être mon côté simpliste) qu'une
«confrérie», comme celle des bureaux d'enregistrement, quand elle
observe un problème en son sein, ne commence pas par réunir ses
membres autour d'une table pour en discuter (traduction Internet : je
vous mets un petit canal IRC ?). Peut-être que certains ne veulent pas
discuter, c'est clair. Ou peut-être que cela ne sert à rien. Mais
crier au loup/à sa maman pour dire : eh regardez untel il est méchant,
il fait X, pour le coup c'est moi qui trouve ca simpliste...
en tous cas dès qu'on voit à travers le jeu et qu'on ne se fait pas
manipuler par toutes les annonces, souvent sentimentalistes, qui
pullulent.