En fait le texte (français) me gène, mais je n'arrive pas à le
reprendre pour en faire quelque chose qui me corresponde vraiment.
J'ai paradoxalement eu plus de facilité à le traduire (interpréter ?)
en anglais. Peut-être devrais-je le retraduire en français...
En fait le texte (français) me gène, mais je n'arrive pas à le
reprendre pour en faire quelque chose qui me corresponde vraiment.
J'ai paradoxalement eu plus de facilité à le traduire (interpréter ?)
en anglais. Peut-être devrais-je le retraduire en français...
En fait le texte (français) me gène, mais je n'arrive pas à le
reprendre pour en faire quelque chose qui me corresponde vraiment.
J'ai paradoxalement eu plus de facilité à le traduire (interpréter ?)
en anglais. Peut-être devrais-je le retraduire en français...
Ricco,
Dans tout échange entre adultes, un postulat est nécessaire : accepter
la sincérité et cohérence de l'autre (c'est à la base de l'analyse
transactionnelle, dont l'étude vous ferait le plus grand bien).
J'essaie, avec plus ou moins de réussite je l'avoue, d'appliquer ce
précepte, mais, en vous relisant, je pense avoir péché par naïveté à
votre endroit.
Vous me reprochez le terme de "polémique", que j'ai effectivement
employé, et me demandez "qui détient la vérité ?". Sachez que je ne la
détiens pas, ni personne d'ailleurs, et de quelle vérité parlez-vous ?
Mais c'est bien vous qui avez mis en cause ma sincérité, laissant
entendre que je payais les murs de la galerie pour exposer. Quand je
vous ai démenti, vous avez questionné le niveau des salaires du
personnel. Quels éléments concrets pouvez-vous avancer pour étayer vos
insinuations, hormis un poujadisme rétrograde et amer ?
Livrons-nous si vous le voulez bien, à un petit calcul : 2 personnes,
sur les cinq travaillant à la galerie, seront disponibles à l'accueil
durant les 3 semaines de l'exposition : comptons 3000 euros, charges
patronales comprises. Mes photographies sont présentées sur 200 m2
environ, les deux-tiers de la surface totale. Avec un prix moyen à la
location de 13 euros HT/m2/mois, cela va représenter près de 2000
euros. La fabrication des 16 tirages (tirages Lambda au format 100 x
135 cm sur Dibond 2 mm + Diasec 4 mm + chassis Nielsen) revient à
7200 euros, entièrement pris en charge par la galerie. Un buffet pour
150 personnes, les invitations (A5 quadri R°/V° + vernis en réserve),
les relations presse, ajoutons encore 2000 euros. Soit environ 14.000
euros. Je vois poindre les réfutations dans votre style habituel :
"travail au noir", "fournisseurs non payés", "collectionneurs bobo du
IIIème", je fais confiance à votre imagination.
Je pense que le galeriste croit en mon travail pour investir ainsi.
Vous dites ne pas me connaître : s'il vous plaît, oubliez-moi. Cette
galerie - que je n'ai pas démarchée - a fait son travail : je suis
finaliste de 2 Bourses du Talent Kodak, lauréat du prix Jen Bekman,
et actuellement sur la shortlist pour le prix de la Fondation HSBC
(avec la série sur les SDF justement).
Pour la technique : j'utilise du film Kodak Portra 160 et 400 NC (je
n'obtiens pas du tout le même rendu avec les films Fuji NPS). Les
films Kodak ont une latitude à la surexposition d'environ 6 diafs,
les courbes des 3 couches sont parallèles bien au-delà d'une densité
2.0 (ma technique me fait approcher une densité de 1.4 environ, ce
qui laisse une marge confortable pour le scan). Je tiens le process du
sous-développement d'un chef-opérateur, elle m'a été confirmée par
Central Color et Picto Bastille, il existe un fil assez long sur
apug.org qui la détaille, avec tests sensito à l'appui. J'ai fait des
essais en studio avec des sphères en plâtre blanc sous un éclairage
latéral, la différence - minime certes - existe cependant ; j'aime à
croire qu'elle se produit aussi en prise de vue "réelle". Mais
j'admets que de telles subtilités puissent vous échapper. Je
développe mes films dans une JOBO ATL, à 30° plutôt qu'à 38° pour une
plus meilleure homogénéité, en sous développant de +/- 60 sec selon
le sujet et la qualité de la lumière. Je scanne mes films chez moi
parce que je ne veux pas les confier à un tiers. En hiver, le
chauffage aidant, l'électricité statique augmente les risques de
poussière sur les films. L'Imacon a un défaut majeur : il "voit" plus
de poussières qu'un Eversmart ou un Nikon (je pense que cela est dû à
la disposition particulière et respective du film et de la mécanique,
j'aurais pu y réfléchir avant mais j'en fais mon affaire). Je scanne
en positif, 16 bits bien entendu.
J'ai pas mal participé à ce newsgroup quand j'étais disponible, j'ai
l'impression que depuis votre arrivée les participants jettent
l'éponge l'un après l'autre. Vous vous êtes fait un petit royaume sur
frp. Grand bien vous fasse ! Je crains cependant qu'un jour, enfin
seul, vous vous y ennuyiez.
Au plaisir de ne plus vous lire,
Patrick Smith
(plonk)
Ricco,
Dans tout échange entre adultes, un postulat est nécessaire : accepter
la sincérité et cohérence de l'autre (c'est à la base de l'analyse
transactionnelle, dont l'étude vous ferait le plus grand bien).
J'essaie, avec plus ou moins de réussite je l'avoue, d'appliquer ce
précepte, mais, en vous relisant, je pense avoir péché par naïveté à
votre endroit.
Vous me reprochez le terme de "polémique", que j'ai effectivement
employé, et me demandez "qui détient la vérité ?". Sachez que je ne la
détiens pas, ni personne d'ailleurs, et de quelle vérité parlez-vous ?
Mais c'est bien vous qui avez mis en cause ma sincérité, laissant
entendre que je payais les murs de la galerie pour exposer. Quand je
vous ai démenti, vous avez questionné le niveau des salaires du
personnel. Quels éléments concrets pouvez-vous avancer pour étayer vos
insinuations, hormis un poujadisme rétrograde et amer ?
Livrons-nous si vous le voulez bien, à un petit calcul : 2 personnes,
sur les cinq travaillant à la galerie, seront disponibles à l'accueil
durant les 3 semaines de l'exposition : comptons 3000 euros, charges
patronales comprises. Mes photographies sont présentées sur 200 m2
environ, les deux-tiers de la surface totale. Avec un prix moyen à la
location de 13 euros HT/m2/mois, cela va représenter près de 2000
euros. La fabrication des 16 tirages (tirages Lambda au format 100 x
135 cm sur Dibond 2 mm + Diasec 4 mm + chassis Nielsen) revient à
7200 euros, entièrement pris en charge par la galerie. Un buffet pour
150 personnes, les invitations (A5 quadri R°/V° + vernis en réserve),
les relations presse, ajoutons encore 2000 euros. Soit environ 14.000
euros. Je vois poindre les réfutations dans votre style habituel :
"travail au noir", "fournisseurs non payés", "collectionneurs bobo du
IIIème", je fais confiance à votre imagination.
Je pense que le galeriste croit en mon travail pour investir ainsi.
Vous dites ne pas me connaître : s'il vous plaît, oubliez-moi. Cette
galerie - que je n'ai pas démarchée - a fait son travail : je suis
finaliste de 2 Bourses du Talent Kodak, lauréat du prix Jen Bekman,
et actuellement sur la shortlist pour le prix de la Fondation HSBC
(avec la série sur les SDF justement).
Pour la technique : j'utilise du film Kodak Portra 160 et 400 NC (je
n'obtiens pas du tout le même rendu avec les films Fuji NPS). Les
films Kodak ont une latitude à la surexposition d'environ 6 diafs,
les courbes des 3 couches sont parallèles bien au-delà d'une densité
2.0 (ma technique me fait approcher une densité de 1.4 environ, ce
qui laisse une marge confortable pour le scan). Je tiens le process du
sous-développement d'un chef-opérateur, elle m'a été confirmée par
Central Color et Picto Bastille, il existe un fil assez long sur
apug.org qui la détaille, avec tests sensito à l'appui. J'ai fait des
essais en studio avec des sphères en plâtre blanc sous un éclairage
latéral, la différence - minime certes - existe cependant ; j'aime à
croire qu'elle se produit aussi en prise de vue "réelle". Mais
j'admets que de telles subtilités puissent vous échapper. Je
développe mes films dans une JOBO ATL, à 30° plutôt qu'à 38° pour une
plus meilleure homogénéité, en sous développant de +/- 60 sec selon
le sujet et la qualité de la lumière. Je scanne mes films chez moi
parce que je ne veux pas les confier à un tiers. En hiver, le
chauffage aidant, l'électricité statique augmente les risques de
poussière sur les films. L'Imacon a un défaut majeur : il "voit" plus
de poussières qu'un Eversmart ou un Nikon (je pense que cela est dû à
la disposition particulière et respective du film et de la mécanique,
j'aurais pu y réfléchir avant mais j'en fais mon affaire). Je scanne
en positif, 16 bits bien entendu.
J'ai pas mal participé à ce newsgroup quand j'étais disponible, j'ai
l'impression que depuis votre arrivée les participants jettent
l'éponge l'un après l'autre. Vous vous êtes fait un petit royaume sur
frp. Grand bien vous fasse ! Je crains cependant qu'un jour, enfin
seul, vous vous y ennuyiez.
Au plaisir de ne plus vous lire,
Patrick Smith
(plonk)
Ricco,
Dans tout échange entre adultes, un postulat est nécessaire : accepter
la sincérité et cohérence de l'autre (c'est à la base de l'analyse
transactionnelle, dont l'étude vous ferait le plus grand bien).
J'essaie, avec plus ou moins de réussite je l'avoue, d'appliquer ce
précepte, mais, en vous relisant, je pense avoir péché par naïveté à
votre endroit.
Vous me reprochez le terme de "polémique", que j'ai effectivement
employé, et me demandez "qui détient la vérité ?". Sachez que je ne la
détiens pas, ni personne d'ailleurs, et de quelle vérité parlez-vous ?
Mais c'est bien vous qui avez mis en cause ma sincérité, laissant
entendre que je payais les murs de la galerie pour exposer. Quand je
vous ai démenti, vous avez questionné le niveau des salaires du
personnel. Quels éléments concrets pouvez-vous avancer pour étayer vos
insinuations, hormis un poujadisme rétrograde et amer ?
Livrons-nous si vous le voulez bien, à un petit calcul : 2 personnes,
sur les cinq travaillant à la galerie, seront disponibles à l'accueil
durant les 3 semaines de l'exposition : comptons 3000 euros, charges
patronales comprises. Mes photographies sont présentées sur 200 m2
environ, les deux-tiers de la surface totale. Avec un prix moyen à la
location de 13 euros HT/m2/mois, cela va représenter près de 2000
euros. La fabrication des 16 tirages (tirages Lambda au format 100 x
135 cm sur Dibond 2 mm + Diasec 4 mm + chassis Nielsen) revient à
7200 euros, entièrement pris en charge par la galerie. Un buffet pour
150 personnes, les invitations (A5 quadri R°/V° + vernis en réserve),
les relations presse, ajoutons encore 2000 euros. Soit environ 14.000
euros. Je vois poindre les réfutations dans votre style habituel :
"travail au noir", "fournisseurs non payés", "collectionneurs bobo du
IIIème", je fais confiance à votre imagination.
Je pense que le galeriste croit en mon travail pour investir ainsi.
Vous dites ne pas me connaître : s'il vous plaît, oubliez-moi. Cette
galerie - que je n'ai pas démarchée - a fait son travail : je suis
finaliste de 2 Bourses du Talent Kodak, lauréat du prix Jen Bekman,
et actuellement sur la shortlist pour le prix de la Fondation HSBC
(avec la série sur les SDF justement).
Pour la technique : j'utilise du film Kodak Portra 160 et 400 NC (je
n'obtiens pas du tout le même rendu avec les films Fuji NPS). Les
films Kodak ont une latitude à la surexposition d'environ 6 diafs,
les courbes des 3 couches sont parallèles bien au-delà d'une densité
2.0 (ma technique me fait approcher une densité de 1.4 environ, ce
qui laisse une marge confortable pour le scan). Je tiens le process du
sous-développement d'un chef-opérateur, elle m'a été confirmée par
Central Color et Picto Bastille, il existe un fil assez long sur
apug.org qui la détaille, avec tests sensito à l'appui. J'ai fait des
essais en studio avec des sphères en plâtre blanc sous un éclairage
latéral, la différence - minime certes - existe cependant ; j'aime à
croire qu'elle se produit aussi en prise de vue "réelle". Mais
j'admets que de telles subtilités puissent vous échapper. Je
développe mes films dans une JOBO ATL, à 30° plutôt qu'à 38° pour une
plus meilleure homogénéité, en sous développant de +/- 60 sec selon
le sujet et la qualité de la lumière. Je scanne mes films chez moi
parce que je ne veux pas les confier à un tiers. En hiver, le
chauffage aidant, l'électricité statique augmente les risques de
poussière sur les films. L'Imacon a un défaut majeur : il "voit" plus
de poussières qu'un Eversmart ou un Nikon (je pense que cela est dû à
la disposition particulière et respective du film et de la mécanique,
j'aurais pu y réfléchir avant mais j'en fais mon affaire). Je scanne
en positif, 16 bits bien entendu.
J'ai pas mal participé à ce newsgroup quand j'étais disponible, j'ai
l'impression que depuis votre arrivée les participants jettent
l'éponge l'un après l'autre. Vous vous êtes fait un petit royaume sur
frp. Grand bien vous fasse ! Je crains cependant qu'un jour, enfin
seul, vous vous y ennuyiez.
Au plaisir de ne plus vous lire,
Patrick Smith
(plonk)
Ricco,
Dans tout échange entre adultes, un postulat est nécessaire : accepter
la sincérité et cohérence de l'autre (c'est à la base de l'analyse
transactionnelle, dont l'étude vous ferait le plus grand bien).
J'essaie, avec plus ou moins de réussite je l'avoue, d'appliquer ce
précepte, mais, en vous relisant, je pense avoir péché par naïveté à
votre endroit.
Vous me reprochez le terme de "polémique", que j'ai effectivement
employé, et me demandez "qui détient la vérité ?".
détiens pas, ni personne d'ailleurs, et de quelle vérité parlez-vous ?
Mais c'est bien vous qui avez mis en cause ma sincérité, laissant
entendre que je payais les murs de la galerie pour exposer.
vous ai démenti, vous avez questionné le niveau des salaires du
personnel. Quels éléments concrets pouvez-vous avancer pour étayer vos
insinuations, hormis un poujadisme rétrograde et amer ?
Livrons-nous si vous le voulez bien, à un petit calcul : 2 personnes,
sur les cinq travaillant à la galerie, seront disponibles à l'accueil
durant les 3 semaines de l'exposition : comptons 3000 euros, charges
patronales comprises.
environ, les deux-tiers de la surface totale. Avec un prix moyen à la
location de 13 euros HT/m2/mois, cela va représenter près de 2000
euros.
135 cm sur Dibond 2 mm + Diasec 4 mm + chassis Nielsen) revient à
7200 euros, entièrement pris en charge par la galerie.
150 personnes, les invitations (A5 quadri R°/V° + vernis en réserve),
les relations presse, ajoutons encore 2000 euros. Soit environ 14.000
euros. Je vois poindre les réfutations dans votre style habituel :
"travail au noir", "fournisseurs non payés", "collectionneurs bobo du
IIIème", je fais confiance à votre imagination.
Je pense que le galeriste croit en mon travail pour investir ainsi.
Vous dites ne pas me connaître : s'il vous plaît, oubliez-moi.
galerie - que je n'ai pas démarchée - a fait son travail : je suis
finaliste de 2 Bourses du Talent Kodak, lauréat du prix Jen Bekman,
et actuellement sur la shortlist pour le prix de la Fondation HSBC
(avec la série sur les SDF justement).
Pour la technique : j'utilise du film Kodak Portra 160 et 400 NC (je
n'obtiens pas du tout le même rendu avec les films Fuji NPS). Les
films Kodak ont une latitude à la surexposition d'environ 6 diafs,
les courbes des 3 couches sont parallèles bien au-delà d'une densité
2.0
qui laisse une marge confortable pour le scan).
sous-développement d'un chef-opérateur, elle m'a été confirmée par
Central Color et Picto Bastille, il existe un fil assez long sur
apug.org qui la détaille, avec tests sensito à l'appui. J'ai fait des
essais en studio avec des sphères en plâtre blanc sous un éclairage
latéral, la différence - minime certes - existe cependant ; j'aime à
croire qu'elle se produit aussi en prise de vue "réelle". Mais
j'admets que de telles subtilités puissent vous échapper.
développe mes films dans une JOBO ATL, à 30° plutôt qu'à 38° pour une
plus meilleure homogénéité,
le sujet et la qualité de la lumière.
parce que je ne veux pas les confier à un tiers. En hiver, le
chauffage aidant, l'électricité statique augmente les risques de
poussière sur les films.
de poussières qu'un Eversmart ou un Nikon
la disposition particulière et respective du film et de la mécanique,
j'aurais pu y réfléchir avant mais j'en fais mon affaire). Je scanne
en positif, 16 bits bien entendu.
J'ai pas mal participé à ce newsgroup quand j'étais disponible, j'ai
l'impression que depuis votre arrivée les participants jettent
l'éponge l'un après l'autre.
frp.
seul, vous vous y ennuyiez.
Au plaisir de ne plus vous lire,
Ricco,
Dans tout échange entre adultes, un postulat est nécessaire : accepter
la sincérité et cohérence de l'autre (c'est à la base de l'analyse
transactionnelle, dont l'étude vous ferait le plus grand bien).
J'essaie, avec plus ou moins de réussite je l'avoue, d'appliquer ce
précepte, mais, en vous relisant, je pense avoir péché par naïveté à
votre endroit.
Vous me reprochez le terme de "polémique", que j'ai effectivement
employé, et me demandez "qui détient la vérité ?".
détiens pas, ni personne d'ailleurs, et de quelle vérité parlez-vous ?
Mais c'est bien vous qui avez mis en cause ma sincérité, laissant
entendre que je payais les murs de la galerie pour exposer.
vous ai démenti, vous avez questionné le niveau des salaires du
personnel. Quels éléments concrets pouvez-vous avancer pour étayer vos
insinuations, hormis un poujadisme rétrograde et amer ?
Livrons-nous si vous le voulez bien, à un petit calcul : 2 personnes,
sur les cinq travaillant à la galerie, seront disponibles à l'accueil
durant les 3 semaines de l'exposition : comptons 3000 euros, charges
patronales comprises.
environ, les deux-tiers de la surface totale. Avec un prix moyen à la
location de 13 euros HT/m2/mois, cela va représenter près de 2000
euros.
135 cm sur Dibond 2 mm + Diasec 4 mm + chassis Nielsen) revient à
7200 euros, entièrement pris en charge par la galerie.
150 personnes, les invitations (A5 quadri R°/V° + vernis en réserve),
les relations presse, ajoutons encore 2000 euros. Soit environ 14.000
euros. Je vois poindre les réfutations dans votre style habituel :
"travail au noir", "fournisseurs non payés", "collectionneurs bobo du
IIIème", je fais confiance à votre imagination.
Je pense que le galeriste croit en mon travail pour investir ainsi.
Vous dites ne pas me connaître : s'il vous plaît, oubliez-moi.
galerie - que je n'ai pas démarchée - a fait son travail : je suis
finaliste de 2 Bourses du Talent Kodak, lauréat du prix Jen Bekman,
et actuellement sur la shortlist pour le prix de la Fondation HSBC
(avec la série sur les SDF justement).
Pour la technique : j'utilise du film Kodak Portra 160 et 400 NC (je
n'obtiens pas du tout le même rendu avec les films Fuji NPS). Les
films Kodak ont une latitude à la surexposition d'environ 6 diafs,
les courbes des 3 couches sont parallèles bien au-delà d'une densité
2.0
qui laisse une marge confortable pour le scan).
sous-développement d'un chef-opérateur, elle m'a été confirmée par
Central Color et Picto Bastille, il existe un fil assez long sur
apug.org qui la détaille, avec tests sensito à l'appui. J'ai fait des
essais en studio avec des sphères en plâtre blanc sous un éclairage
latéral, la différence - minime certes - existe cependant ; j'aime à
croire qu'elle se produit aussi en prise de vue "réelle". Mais
j'admets que de telles subtilités puissent vous échapper.
développe mes films dans une JOBO ATL, à 30° plutôt qu'à 38° pour une
plus meilleure homogénéité,
le sujet et la qualité de la lumière.
parce que je ne veux pas les confier à un tiers. En hiver, le
chauffage aidant, l'électricité statique augmente les risques de
poussière sur les films.
de poussières qu'un Eversmart ou un Nikon
la disposition particulière et respective du film et de la mécanique,
j'aurais pu y réfléchir avant mais j'en fais mon affaire). Je scanne
en positif, 16 bits bien entendu.
J'ai pas mal participé à ce newsgroup quand j'étais disponible, j'ai
l'impression que depuis votre arrivée les participants jettent
l'éponge l'un après l'autre.
frp.
seul, vous vous y ennuyiez.
Au plaisir de ne plus vous lire,
Ricco,
Dans tout échange entre adultes, un postulat est nécessaire : accepter
la sincérité et cohérence de l'autre (c'est à la base de l'analyse
transactionnelle, dont l'étude vous ferait le plus grand bien).
J'essaie, avec plus ou moins de réussite je l'avoue, d'appliquer ce
précepte, mais, en vous relisant, je pense avoir péché par naïveté à
votre endroit.
Vous me reprochez le terme de "polémique", que j'ai effectivement
employé, et me demandez "qui détient la vérité ?".
détiens pas, ni personne d'ailleurs, et de quelle vérité parlez-vous ?
Mais c'est bien vous qui avez mis en cause ma sincérité, laissant
entendre que je payais les murs de la galerie pour exposer.
vous ai démenti, vous avez questionné le niveau des salaires du
personnel. Quels éléments concrets pouvez-vous avancer pour étayer vos
insinuations, hormis un poujadisme rétrograde et amer ?
Livrons-nous si vous le voulez bien, à un petit calcul : 2 personnes,
sur les cinq travaillant à la galerie, seront disponibles à l'accueil
durant les 3 semaines de l'exposition : comptons 3000 euros, charges
patronales comprises.
environ, les deux-tiers de la surface totale. Avec un prix moyen à la
location de 13 euros HT/m2/mois, cela va représenter près de 2000
euros.
135 cm sur Dibond 2 mm + Diasec 4 mm + chassis Nielsen) revient à
7200 euros, entièrement pris en charge par la galerie.
150 personnes, les invitations (A5 quadri R°/V° + vernis en réserve),
les relations presse, ajoutons encore 2000 euros. Soit environ 14.000
euros. Je vois poindre les réfutations dans votre style habituel :
"travail au noir", "fournisseurs non payés", "collectionneurs bobo du
IIIème", je fais confiance à votre imagination.
Je pense que le galeriste croit en mon travail pour investir ainsi.
Vous dites ne pas me connaître : s'il vous plaît, oubliez-moi.
galerie - que je n'ai pas démarchée - a fait son travail : je suis
finaliste de 2 Bourses du Talent Kodak, lauréat du prix Jen Bekman,
et actuellement sur la shortlist pour le prix de la Fondation HSBC
(avec la série sur les SDF justement).
Pour la technique : j'utilise du film Kodak Portra 160 et 400 NC (je
n'obtiens pas du tout le même rendu avec les films Fuji NPS). Les
films Kodak ont une latitude à la surexposition d'environ 6 diafs,
les courbes des 3 couches sont parallèles bien au-delà d'une densité
2.0
qui laisse une marge confortable pour le scan).
sous-développement d'un chef-opérateur, elle m'a été confirmée par
Central Color et Picto Bastille, il existe un fil assez long sur
apug.org qui la détaille, avec tests sensito à l'appui. J'ai fait des
essais en studio avec des sphères en plâtre blanc sous un éclairage
latéral, la différence - minime certes - existe cependant ; j'aime à
croire qu'elle se produit aussi en prise de vue "réelle". Mais
j'admets que de telles subtilités puissent vous échapper.
développe mes films dans une JOBO ATL, à 30° plutôt qu'à 38° pour une
plus meilleure homogénéité,
le sujet et la qualité de la lumière.
parce que je ne veux pas les confier à un tiers. En hiver, le
chauffage aidant, l'électricité statique augmente les risques de
poussière sur les films.
de poussières qu'un Eversmart ou un Nikon
la disposition particulière et respective du film et de la mécanique,
j'aurais pu y réfléchir avant mais j'en fais mon affaire). Je scanne
en positif, 16 bits bien entendu.
J'ai pas mal participé à ce newsgroup quand j'étais disponible, j'ai
l'impression que depuis votre arrivée les participants jettent
l'éponge l'un après l'autre.
frp.
seul, vous vous y ennuyiez.
Au plaisir de ne plus vous lire,
(...) personne ne peux t'en empecher, tu dis ce que tu veux, c'est tout
(...) personne ne peux t'en empecher, tu dis ce que tu veux, c'est tout
(...) personne ne peux t'en empecher, tu dis ce que tu veux, c'est tout
Ricco wrote:(...) personne ne peux t'en empecher, tu dis ce que tu veux, c'est
tout
Ca on a remarque... C'est même la seule chose que l'on remarque.
Ricco wrote:
(...) personne ne peux t'en empecher, tu dis ce que tu veux, c'est
tout
Ca on a remarque... C'est même la seule chose que l'on remarque.
Ricco wrote:(...) personne ne peux t'en empecher, tu dis ce que tu veux, c'est
tout
Ca on a remarque... C'est même la seule chose que l'on remarque.
Ricco wrote:(...) personne ne peux t'en empecher, tu dis ce que tu veux, c'est
tout
Ca on a remarque... C'est même la seule chose que l'on remarque.
Ricco wrote:
(...) personne ne peux t'en empecher, tu dis ce que tu veux, c'est
tout
Ca on a remarque... C'est même la seule chose que l'on remarque.
Ricco wrote:(...) personne ne peux t'en empecher, tu dis ce que tu veux, c'est
tout
Ca on a remarque... C'est même la seule chose que l'on remarque.