A supposer qu'une entreprise veuille mettre son parc sous Linux.
Et qu'elle reçoive des documents venant d'Access, Excel,... peut-elle
les lire , les travailler et les renvoyer de manière que le
destinantaire sur produits Microsoft puisse les lire, etc...
?
Dans le cas qui nous intéresse, on a quelqu'un qui [...]
raconte un peu n'importe quoi quand on critique le C.
:-)
-- 1981 : Apple Computer signe un accord secret avec Apple Corps Limited (la maison de disques des Beatles) autorisant Apple Computer à utiliser ce nom à condition qu'ils ne vendent jamais d'équipements audio/vidéo dotés de capacités de lecture ou d'enregistrement audio ! http://histoire.info.online.fr/micro.html
Dans le cas qui nous intéresse, on a quelqu'un qui [...]
raconte un peu n'importe quoi quand on critique le C.
:-)
--
1981 : Apple Computer signe un accord secret avec Apple Corps Limited (la maison
de disques des Beatles) autorisant Apple Computer à utiliser ce nom à condition
qu'ils ne vendent jamais d'équipements audio/vidéo dotés de capacités de lecture
ou d'enregistrement audio ! http://histoire.info.online.fr/micro.html
Dans le cas qui nous intéresse, on a quelqu'un qui [...]
raconte un peu n'importe quoi quand on critique le C.
:-)
-- 1981 : Apple Computer signe un accord secret avec Apple Corps Limited (la maison de disques des Beatles) autorisant Apple Computer à utiliser ce nom à condition qu'ils ne vendent jamais d'équipements audio/vidéo dotés de capacités de lecture ou d'enregistrement audio ! http://histoire.info.online.fr/micro.html
george
JKB , dans le message , a écrit :
D'ailleurs, le père de la notation polonaise (la vraie, pas l'inversée) etait logicien pur et n'avait pas dans la tête de faire tourner sa logique sur un processeur dont il ne soupçonnait peut-être même pas l'existence.
Mais une des principales occupations des logiciens, c'est de coder une expression mathématique sous forme d'un nombre unique, de manière à traduire un énoncé sur une formule mathématique en énoncé arithmétique. Ils cherchent donc des grammaires inambigües au moindre coût possible. De ce point de vue, le RPN est très bon. Mais ça n'a rien à voir avec l'usage humain.
JKB , dans le message <slrnce2nb7.te.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
D'ailleurs, le père de la notation polonaise (la vraie, pas
l'inversée) etait logicien pur et n'avait pas dans la tête de faire
tourner sa logique sur un processeur dont il ne soupçonnait
peut-être même pas l'existence.
Mais une des principales occupations des logiciens, c'est de coder une
expression mathématique sous forme d'un nombre unique, de manière à
traduire un énoncé sur une formule mathématique en énoncé arithmétique.
Ils cherchent donc des grammaires inambigües au moindre coût possible.
De ce point de vue, le RPN est très bon. Mais ça n'a rien à voir avec
l'usage humain.
D'ailleurs, le père de la notation polonaise (la vraie, pas l'inversée) etait logicien pur et n'avait pas dans la tête de faire tourner sa logique sur un processeur dont il ne soupçonnait peut-être même pas l'existence.
Mais une des principales occupations des logiciens, c'est de coder une expression mathématique sous forme d'un nombre unique, de manière à traduire un énoncé sur une formule mathématique en énoncé arithmétique. Ils cherchent donc des grammaires inambigües au moindre coût possible. De ce point de vue, le RPN est très bon. Mais ça n'a rien à voir avec l'usage humain.
JKB
Le 29-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
j , dans le message , a écrit :
Dissonnance cognitive. Ouahou ! À défaut d'être compréhensible, ça en jette. je suppose que
c'est un argumentum ad jetatum scientatum a la figurum.
La dissonnance cognitive est le phénomène qui fait que l'esprit humain refuse de faire des efforts sans raisons, et va donc s'inventer des raisons s'il n'en trouve pas d'évidentes. Deux exemples classiques :
On demande à des étudiants, contre une rémunération dérisoire ou pas, de rédiger une apologie de l'armée. On les sondes sur leurs opinions à ce sujet avant l'expérience et après. Globalement, on voit une évolution de ces opinions liées à la réflexion ainsi causée. On remarque évidemment qu'il y a plus de gens qui ont accepté pour une forte rémunération que pour une faible. Mais le résultat intéressant, c'est que l'évolution des opinions est plus en faveur de l'armée dans le cas d'une faible rémunération que dans le cas d'une forte. Explication : l'esprit des cobayes bien payés accepte facilement de trahir ses opinions contre plein de fric, celui des cobayes peu payés a besoin de justifications.
On invite des convives à manger quelque chose de dégoûtant (des insectes), puis ont les interroge sur comment ils l'ont trouvé. La variable, ici, est l'amabilité de l'hôte. Dans le cas d'un hôte aimable, plus de gens ont accepté de manger, mais moins ont trouvé ça bon que dans le cas d'un hôte peu aimable. Parce que les premiers avaient déjà comme justification de faire plaisir à l'hôte.
Dans le cas qui nous intéresse, on a quelqu'un qui a fait l'effort considérable d'apprendre à lire et écrire efficacelement le RPN...
Non. On a quelqu'un qui a eu de gros problèmes à utiliser matlab pour des raisons de précision de calcul et qui a dû coder son propre langage lui permettant d'avoir une bonne précision. Lorsque ce quelqu'un s'est posé la question de savoir quel était le meilleur moyen d'avoir un interpréteur véloce, ce quelqu'un a regardé les différentes syntaxes et logiques et le RPN à pile dynamique banalisée d'impose de lui-même. La notation infixe ou algébrique est une horreur sans nom.
Le débat RPL/algébrique est du même tonneau que C++/Fortran. On prend l'outil le plus adapté à ce que l'on veut faire, et dans certains cas, c'est le RPN qui est adapté et non la notation algébrique.
JKB
Le 29-06-2004, à propos de
Re: Fichier Windows et matériel Linux,
Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
j , dans le message <20040629135041.23241ed5@osmonda.prive.jul>, a
écrit :
Dissonnance cognitive.
Ouahou ! À défaut d'être compréhensible, ça en jette. je suppose que
c'est un argumentum ad jetatum scientatum a la figurum.
La dissonnance cognitive est le phénomène qui fait que l'esprit humain
refuse de faire des efforts sans raisons, et va donc s'inventer des
raisons s'il n'en trouve pas d'évidentes. Deux exemples classiques :
On demande à des étudiants, contre une rémunération dérisoire ou pas, de
rédiger une apologie de l'armée. On les sondes sur leurs opinions à ce
sujet avant l'expérience et après. Globalement, on voit une évolution de
ces opinions liées à la réflexion ainsi causée. On remarque évidemment
qu'il y a plus de gens qui ont accepté pour une forte rémunération que
pour une faible. Mais le résultat intéressant, c'est que l'évolution des
opinions est plus en faveur de l'armée dans le cas d'une faible
rémunération que dans le cas d'une forte. Explication : l'esprit des
cobayes bien payés accepte facilement de trahir ses opinions contre
plein de fric, celui des cobayes peu payés a besoin de justifications.
On invite des convives à manger quelque chose de dégoûtant (des
insectes), puis ont les interroge sur comment ils l'ont trouvé. La
variable, ici, est l'amabilité de l'hôte. Dans le cas d'un hôte aimable,
plus de gens ont accepté de manger, mais moins ont trouvé ça bon que
dans le cas d'un hôte peu aimable. Parce que les premiers avaient déjà
comme justification de faire plaisir à l'hôte.
Dans le cas qui nous intéresse, on a quelqu'un qui a fait l'effort
considérable d'apprendre à lire et écrire efficacelement le RPN...
Non. On a quelqu'un qui a eu de gros problèmes à utiliser matlab pour
des raisons de précision de calcul et qui a dû coder son propre
langage lui permettant d'avoir une bonne précision. Lorsque ce
quelqu'un s'est posé la question de savoir quel était le meilleur
moyen d'avoir un interpréteur véloce, ce quelqu'un a regardé les
différentes syntaxes et logiques et le RPN à pile dynamique banalisée
d'impose de lui-même. La notation infixe ou algébrique est une
horreur sans nom.
Le débat RPL/algébrique est du même tonneau que C++/Fortran. On
prend l'outil le plus adapté à ce que l'on veut faire, et dans
certains cas, c'est le RPN qui est adapté et non la notation
algébrique.
Le 29-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
j , dans le message , a écrit :
Dissonnance cognitive. Ouahou ! À défaut d'être compréhensible, ça en jette. je suppose que
c'est un argumentum ad jetatum scientatum a la figurum.
La dissonnance cognitive est le phénomène qui fait que l'esprit humain refuse de faire des efforts sans raisons, et va donc s'inventer des raisons s'il n'en trouve pas d'évidentes. Deux exemples classiques :
On demande à des étudiants, contre une rémunération dérisoire ou pas, de rédiger une apologie de l'armée. On les sondes sur leurs opinions à ce sujet avant l'expérience et après. Globalement, on voit une évolution de ces opinions liées à la réflexion ainsi causée. On remarque évidemment qu'il y a plus de gens qui ont accepté pour une forte rémunération que pour une faible. Mais le résultat intéressant, c'est que l'évolution des opinions est plus en faveur de l'armée dans le cas d'une faible rémunération que dans le cas d'une forte. Explication : l'esprit des cobayes bien payés accepte facilement de trahir ses opinions contre plein de fric, celui des cobayes peu payés a besoin de justifications.
On invite des convives à manger quelque chose de dégoûtant (des insectes), puis ont les interroge sur comment ils l'ont trouvé. La variable, ici, est l'amabilité de l'hôte. Dans le cas d'un hôte aimable, plus de gens ont accepté de manger, mais moins ont trouvé ça bon que dans le cas d'un hôte peu aimable. Parce que les premiers avaient déjà comme justification de faire plaisir à l'hôte.
Dans le cas qui nous intéresse, on a quelqu'un qui a fait l'effort considérable d'apprendre à lire et écrire efficacelement le RPN...
Non. On a quelqu'un qui a eu de gros problèmes à utiliser matlab pour des raisons de précision de calcul et qui a dû coder son propre langage lui permettant d'avoir une bonne précision. Lorsque ce quelqu'un s'est posé la question de savoir quel était le meilleur moyen d'avoir un interpréteur véloce, ce quelqu'un a regardé les différentes syntaxes et logiques et le RPN à pile dynamique banalisée d'impose de lui-même. La notation infixe ou algébrique est une horreur sans nom.
Le débat RPL/algébrique est du même tonneau que C++/Fortran. On prend l'outil le plus adapté à ce que l'on veut faire, et dans certains cas, c'est le RPN qui est adapté et non la notation algébrique.
JKB
JKB
Le 29-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
D'ailleurs, le père de la notation polonaise (la vraie, pas l'inversée) etait logicien pur et n'avait pas dans la tête de faire tourner sa logique sur un processeur dont il ne soupçonnait peut-être même pas l'existence.
Mais une des principales occupations des logiciens, c'est de coder une expression mathématique sous forme d'un nombre unique, de manière à traduire un énoncé sur une formule mathématique en énoncé arithmétique. Ils cherchent donc des grammaires inambigües au moindre coût possible. De ce point de vue, le RPN est très bon. Mais ça n'a rien à voir avec l'usage humain.
Est-ce que le C a à voir avec le langage humain ? Le Fortran ? On parle de sémantique, de représentation et non de transposition du langage humain. Le concepteur de la notation polonaise cherchait simplement à rendre efficace l'interprétation dans le cas d'automates et son système est le plus logique et le moins ambigu qui soit car il supprime la notion de priorité intrinsèque des opérateurs.
JKB
Le 29-06-2004, à propos de
Re: Fichier Windows et matériel Linux,
Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message <slrnce2nb7.te.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
D'ailleurs, le père de la notation polonaise (la vraie, pas
l'inversée) etait logicien pur et n'avait pas dans la tête de faire
tourner sa logique sur un processeur dont il ne soupçonnait
peut-être même pas l'existence.
Mais une des principales occupations des logiciens, c'est de coder une
expression mathématique sous forme d'un nombre unique, de manière à
traduire un énoncé sur une formule mathématique en énoncé arithmétique.
Ils cherchent donc des grammaires inambigües au moindre coût possible.
De ce point de vue, le RPN est très bon. Mais ça n'a rien à voir avec
l'usage humain.
Est-ce que le C a à voir avec le langage humain ? Le Fortran ? On
parle de sémantique, de représentation et non de transposition du
langage humain. Le concepteur de la notation polonaise cherchait
simplement à rendre efficace l'interprétation dans le cas
d'automates et son système est le plus logique et le moins ambigu
qui soit car il supprime la notion de priorité intrinsèque des
opérateurs.
Le 29-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
D'ailleurs, le père de la notation polonaise (la vraie, pas l'inversée) etait logicien pur et n'avait pas dans la tête de faire tourner sa logique sur un processeur dont il ne soupçonnait peut-être même pas l'existence.
Mais une des principales occupations des logiciens, c'est de coder une expression mathématique sous forme d'un nombre unique, de manière à traduire un énoncé sur une formule mathématique en énoncé arithmétique. Ils cherchent donc des grammaires inambigües au moindre coût possible. De ce point de vue, le RPN est très bon. Mais ça n'a rien à voir avec l'usage humain.
Est-ce que le C a à voir avec le langage humain ? Le Fortran ? On parle de sémantique, de représentation et non de transposition du langage humain. Le concepteur de la notation polonaise cherchait simplement à rendre efficace l'interprétation dans le cas d'automates et son système est le plus logique et le moins ambigu qui soit car il supprime la notion de priorité intrinsèque des opérateurs.
JKB
Manuel Leclerc
Pure mauvaise fois. Comportement indéfini, concrètement ça veut dire par exemple écriture de n'importe quoi n'importe où dans la mémoire adressable et writable du process sans aucune segmentation fault, exécution de n'importe quel bout de code exécutable du process, etc...
3.4.3 1 *undefined behavior* behavior, upon use of a nonportable or erroneous program construct or of erroneous data for which this International Standard imposes no requirements
En clair et en français, un comportement indéfini veut juste dire que le Standard n'en a rien à battre des programmes erronés ou des programmes non portables.
Prends un peu de recul : ce que je critique dans le C, c'est la notion même de programme "erroné". Je ne vois quel point tu fais quand tu cites la norme.
Maintenant, si on écrit un programme correct, où est le problème ?
Le comportement indéfini n'est pas un problème quand il ne se produit pas. Sympa comme logique.
Non, la seule défense du C, c'est que c'est un assembleur portable, et il faut vivre avec les conséquences.
-- I first wrote it in PL/I, then started over in assembler language when the PL/I program was too big to fit in the computer. --Richard Stallman
Pure mauvaise fois. Comportement indéfini, concrètement
ça veut dire par exemple écriture de n'importe quoi
n'importe où dans la mémoire adressable et writable du
process sans aucune segmentation fault, exécution de
n'importe quel bout de code exécutable du process, etc...
3.4.3
1 *undefined behavior*
behavior, upon use of a nonportable or erroneous
program construct or of erroneous data for which
this International Standard imposes no requirements
En clair et en français, un comportement indéfini veut juste
dire que le Standard n'en a rien à battre des programmes
erronés ou des programmes non portables.
Prends un peu de recul : ce que je critique dans le C, c'est la
notion même de programme "erroné". Je ne vois quel point tu fais
quand tu cites la norme.
Maintenant, si on écrit un programme correct, où est le
problème ?
Le comportement indéfini n'est pas un problème quand il ne
se produit pas. Sympa comme logique.
Non, la seule défense du C, c'est que c'est un assembleur
portable, et il faut vivre avec les conséquences.
--
I first wrote it in PL/I, then started over in assembler language when
the PL/I program was too big to fit in the computer.
--Richard Stallman
Pure mauvaise fois. Comportement indéfini, concrètement ça veut dire par exemple écriture de n'importe quoi n'importe où dans la mémoire adressable et writable du process sans aucune segmentation fault, exécution de n'importe quel bout de code exécutable du process, etc...
3.4.3 1 *undefined behavior* behavior, upon use of a nonportable or erroneous program construct or of erroneous data for which this International Standard imposes no requirements
En clair et en français, un comportement indéfini veut juste dire que le Standard n'en a rien à battre des programmes erronés ou des programmes non portables.
Prends un peu de recul : ce que je critique dans le C, c'est la notion même de programme "erroné". Je ne vois quel point tu fais quand tu cites la norme.
Maintenant, si on écrit un programme correct, où est le problème ?
Le comportement indéfini n'est pas un problème quand il ne se produit pas. Sympa comme logique.
Non, la seule défense du C, c'est que c'est un assembleur portable, et il faut vivre avec les conséquences.
-- I first wrote it in PL/I, then started over in assembler language when the PL/I program was too big to fit in the computer. --Richard Stallman
george
JKB , dans le message , a écrit :
Non. On a quelqu'un qui a eu de gros problèmes à utiliser matlab pour des raisons de précision de calcul et qui a dû coder son propre langage lui permettant d'avoir une bonne précision.
Ah, donc tu as été conduit à minimiser l'effort du programmeur de l'analyseur syntaxique. Ça explique tout.
Lorsque ce quelqu'un s'est posé la question de savoir quel était le meilleur moyen d'avoir un interpréteur véloce, ce quelqu'un a regardé les différentes syntaxes et logiques et le RPN à pile dynamique banalisée d'impose de lui-même.
Non, ce qui s'impose pour l'efficacité, c'est de pré-compiler le truc.
JKB , dans le message <slrnce2o4d.te.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Non. On a quelqu'un qui a eu de gros problèmes à utiliser matlab pour
des raisons de précision de calcul et qui a dû coder son propre
langage lui permettant d'avoir une bonne précision.
Ah, donc tu as été conduit à minimiser l'effort du programmeur de
l'analyseur syntaxique. Ça explique tout.
Lorsque ce
quelqu'un s'est posé la question de savoir quel était le meilleur
moyen d'avoir un interpréteur véloce, ce quelqu'un a regardé les
différentes syntaxes et logiques et le RPN à pile dynamique banalisée
d'impose de lui-même.
Non, ce qui s'impose pour l'efficacité, c'est de pré-compiler le truc.
Non. On a quelqu'un qui a eu de gros problèmes à utiliser matlab pour des raisons de précision de calcul et qui a dû coder son propre langage lui permettant d'avoir une bonne précision.
Ah, donc tu as été conduit à minimiser l'effort du programmeur de l'analyseur syntaxique. Ça explique tout.
Lorsque ce quelqu'un s'est posé la question de savoir quel était le meilleur moyen d'avoir un interpréteur véloce, ce quelqu'un a regardé les différentes syntaxes et logiques et le RPN à pile dynamique banalisée d'impose de lui-même.
Non, ce qui s'impose pour l'efficacité, c'est de pré-compiler le truc.
george
JKB , dans le message , a écrit :
Est-ce que le C a à voir avec le langage humain ? Le Fortran ? On parle de sémantique, de représentation et non de transposition du langage humain.
On parlait de facilité à le lire et l'écrire, il me semble.
JKB , dans le message <slrnce2ogt.te.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Est-ce que le C a à voir avec le langage humain ? Le Fortran ? On
parle de sémantique, de représentation et non de transposition du
langage humain.
On parlait de facilité à le lire et l'écrire, il me semble.
Est-ce que le C a à voir avec le langage humain ? Le Fortran ? On parle de sémantique, de représentation et non de transposition du langage humain.
On parlait de facilité à le lire et l'écrire, il me semble.
JKB
Le 29-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
Non. On a quelqu'un qui a eu de gros problèmes à utiliser matlab pour des raisons de précision de calcul et qui a dû coder son propre langage lui permettant d'avoir une bonne précision.
Ah, donc tu as été conduit à minimiser l'effort du programmeur de l'analyseur syntaxique. Ça explique tout.
Non, pour avoir quelque chose de véloce sachant que le gain de vitesse a été utilisé pour combattre les dérives de précision (et que le langage lui-même comprend tout à fait la notation algébrique). Il n'est pas question d'effort mais d'efficacité, sinon ma paresse crasse m'aurait fait oublier la notation algébrique !
Lorsque ce quelqu'un s'est posé la question de savoir quel était le meilleur moyen d'avoir un interpréteur véloce, ce quelqu'un a regardé les différentes syntaxes et logiques et le RPN à pile dynamique banalisée d'impose de lui-même.
Non, ce qui s'impose pour l'efficacité, c'est de pré-compiler le truc.
C'est idiot comme argument lorsque l'on parle de langage interprété (donc représentable par une machine de Turing de base). Par ailleurs il existe des langages compilables et d'autres qui ne le sont pas (cf. Donald Knuth, je ne sais plus quel tome du Art of computing).
JKB
Le 29-06-2004, à propos de
Re: Fichier Windows et matériel Linux,
Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message <slrnce2o4d.te.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Non. On a quelqu'un qui a eu de gros problèmes à utiliser matlab pour
des raisons de précision de calcul et qui a dû coder son propre
langage lui permettant d'avoir une bonne précision.
Ah, donc tu as été conduit à minimiser l'effort du programmeur de
l'analyseur syntaxique. Ça explique tout.
Non, pour avoir quelque chose de véloce sachant que le gain de
vitesse a été utilisé pour combattre les dérives de précision (et
que le langage lui-même comprend tout à fait la notation
algébrique). Il n'est pas question d'effort mais d'efficacité, sinon
ma paresse crasse m'aurait fait oublier la notation algébrique !
Lorsque ce
quelqu'un s'est posé la question de savoir quel était le meilleur
moyen d'avoir un interpréteur véloce, ce quelqu'un a regardé les
différentes syntaxes et logiques et le RPN à pile dynamique banalisée
d'impose de lui-même.
Non, ce qui s'impose pour l'efficacité, c'est de pré-compiler le truc.
C'est idiot comme argument lorsque l'on parle de langage interprété
(donc représentable par une machine de Turing de base). Par ailleurs
il existe des langages compilables et d'autres qui ne le sont pas
(cf. Donald Knuth, je ne sais plus quel tome du Art of computing).
Le 29-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
Non. On a quelqu'un qui a eu de gros problèmes à utiliser matlab pour des raisons de précision de calcul et qui a dû coder son propre langage lui permettant d'avoir une bonne précision.
Ah, donc tu as été conduit à minimiser l'effort du programmeur de l'analyseur syntaxique. Ça explique tout.
Non, pour avoir quelque chose de véloce sachant que le gain de vitesse a été utilisé pour combattre les dérives de précision (et que le langage lui-même comprend tout à fait la notation algébrique). Il n'est pas question d'effort mais d'efficacité, sinon ma paresse crasse m'aurait fait oublier la notation algébrique !
Lorsque ce quelqu'un s'est posé la question de savoir quel était le meilleur moyen d'avoir un interpréteur véloce, ce quelqu'un a regardé les différentes syntaxes et logiques et le RPN à pile dynamique banalisée d'impose de lui-même.
Non, ce qui s'impose pour l'efficacité, c'est de pré-compiler le truc.
C'est idiot comme argument lorsque l'on parle de langage interprété (donc représentable par une machine de Turing de base). Par ailleurs il existe des langages compilables et d'autres qui ne le sont pas (cf. Donald Knuth, je ne sais plus quel tome du Art of computing).
JKB
JKB
Le 29-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
Est-ce que le C a à voir avec le langage humain ? Le Fortran ? On parle de sémantique, de représentation et non de transposition du langage humain.
On parlait de facilité à le lire et l'écrire, il me semble.
Ah ?!
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