Celles et ceux qui ont regardé cette émission sur France 3 le lundi 25
avril à 20h55 ont eu l'occasion d'admirer un magistral cas d'école
en terme de manipulation médiatique, à destination des cerveaux
dans lesquels de la place avait été mise en disponibilité par TF1.
Ceci est une liste non exhaustive des artifices utilisés :
- Des trois plateaux province, Lille, Renne et Marseille, deux
étaient clairement affiliés au OUI, loin de la représentativité
exprimé par les sondages. Dès lors, interrogeons nous sur l'objectivité
de l'institut CSA quant à l'échantillon "représentatif".
- Les plans de coupe ont été outrageusement utilisé par le réalisateur,
au point qu'il s'agissait clairement d'une consigne. Un plan de coupe
dans ce cas, est un basculement de caméra bref,
vers une réaction visuelle à des propos tenus. A chaque intervention de
Besancenot ou Buffet (NON), nous avons pu voir à l'écran les mimiques
de réaction des tenants du OUI. Soit des mots prononcés silencieusement
mais parfaitement compréhensible ( "C'est pas vrai, elle ment" => Bayrou),
soit des mimiques amusés et/ou ironiques. Une telle pratique décrisibilise et limite
la porté des propos de l'orateur dans l'inconscient. Les plans de coupe sont interdits
lors des débats finals d'une présidentielle.
Nous aurons remarqué que le réalisateur choississait de laisser les plans en fixe
lorsqu'un tenant du OUI intervenait.
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point
que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
Au niveau technique, lors des essais, l'ingénieur du son effectue une balance
qui permet de régler le niveau des"noise gate", ainsi que celui des limiteurs en crète.
Le micro du fasciste était clairement en "roue libre", au point de faire assimiler
les tenants du NON pour des bateleurs braillards.
Son retour plateau était volontairement minimaliste, l'obligeant à faire répéter
toute les questions, alors que l'accoustique de cette salle extrèmement résonnante
a du obliger l'ingénieur retour à faire des réglages pour chaque place, afin de ne pas
avoir ce type de problème en direct. Aucun des autres intervenants n'a eu ce genre
de soucis. Quand bien même il serait dur d'oreille, un retour parfaitement réglé
évite ces inconvénients.
Jean-Maire Le Pen à clairement été utilisé en tant qu'épouvantail à la voie insupportable.
- L'assimilation des tenants du NON avec l'extrème droite était flagrante en regard
du placement des orateurs. Il eu été naturel que Besancenot et Buffet soit près
l'un de l'autre, hors Buffet était proche de Le Pen, et Besancenot proche de De Villier.
Bayrou se saisi de l'occasion, et souligna que le NON c'est celui de Le Pen, obligeant
les intervenants à clairement se démarquer des propos des deux leaders d'extrème droite.
Dans le cadre caméra, sur la tribune NON, le centre était occupé par Villier et Le Pen,
la ou l'oeil va se poser naturellement. Les deux autres étaient au dessus, la ou l'oeil n'ira
pas les chercher. L'inconscient assimilera le NON à Le Pen et à De Villier.
Celles et ceux qui ont regardé cette émission sur France 3 le lundi
25
avril à 20h55 ont eu l'occasion d'admirer un magistral cas d'école en terme de manipulation médiatique, à destination des cerveaux dans lesquels de la place avait été mise en disponibilité par TF1.
Ceci est une liste non exhaustive des artifices utilisés :
- Des trois plateaux province, Lille, Renne et Marseille, deux étaient clairement affiliés au OUI, loin de la représentativité exprimé par les sondages. Dès lors, interrogeons nous sur
l'objectivité
de l'institut CSA quant à l'échantillon "représentatif".
- Les plans de coupe ont été outrageusement utilisé par le
réalisateur,
au point qu'il s'agissait clairement d'une consigne. Un plan de coupe dans ce cas, est un basculement de caméra bref, vers une réaction visuelle à des propos tenus. A chaque
intervention de
Besancenot ou Buffet (NON), nous avons pu voir à l'écran les
mimiques
de réaction des tenants du OUI. Soit des mots prononcés
silencieusement
mais parfaitement compréhensible ( "C'est pas vrai, elle ment" =>
Bayrou),
soit des mimiques amusés et/ou ironiques. Une telle pratique
décrisibilise et limite
la porté des propos de l'orateur dans l'inconscient. Les plans de
coupe sont interdits
lors des débats finals d'une présidentielle. Nous aurons remarqué que le réalisateur choississait de laisser les
plans en fixe
lorsqu'un tenant du OUI intervenait.
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en
saturation, au point
que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble. Au niveau technique, lors des essais, l'ingénieur du son effectue
une balance
qui permet de régler le niveau des"noise gate", ainsi que celui des
limiteurs en crète.
Le micro du fasciste était clairement en "roue libre", au point de
faire assimiler
les tenants du NON pour des bateleurs braillards. Son retour plateau était volontairement minimaliste, l'obligeant à
faire répéter
toute les questions, alors que l'accoustique de cette salle
extrèmement résonnante
a du obliger l'ingénieur retour à faire des réglages pour chaque
place, afin de ne pas
avoir ce type de problème en direct. Aucun des autres intervenants
n'a eu ce genre
de soucis. Quand bien même il serait dur d'oreille, un retour
parfaitement réglé
évite ces inconvénients. Jean-Maire Le Pen à clairement été utilisé en tant
qu'épouvantail à la voie insupportable.
- L'assimilation des tenants du NON avec l'extrème droite était
flagrante en regard
du placement des orateurs. Il eu été naturel que Besancenot et
Buffet soit près
l'un de l'autre, hors Buffet était proche de Le Pen, et Besancenot
proche de De Villier.
Bayrou se saisi de l'occasion, et souligna que le NON c'est celui de
Le Pen, obligeant
les intervenants à clairement se démarquer des propos des deux
leaders d'extrème droite.
Dans le cadre caméra, sur la tribune NON, le centre était occupé
par Villier et Le Pen,
la ou l'oeil va se poser naturellement. Les deux autres étaient au
dessus, la ou l'oeil n'ira
pas les chercher. L'inconscient assimilera le NON à Le Pen et à De
Villier.
Et on n'est encore qu'à un mois du vote ! Qu'est ce que ça va être
dans la dernière ligne droite !
Celles et ceux qui ont regardé cette émission sur France 3 le lundi
25
avril à 20h55 ont eu l'occasion d'admirer un magistral cas d'école
en terme de manipulation médiatique, à destination des cerveaux
dans lesquels de la place avait été mise en disponibilité par TF1.
Ceci est une liste non exhaustive des artifices utilisés :
- Des trois plateaux province, Lille, Renne et Marseille, deux
étaient clairement affiliés au OUI, loin de la représentativité
exprimé par les sondages. Dès lors, interrogeons nous sur
l'objectivité
de l'institut CSA quant à l'échantillon "représentatif".
- Les plans de coupe ont été outrageusement utilisé par le
réalisateur,
au point qu'il s'agissait clairement d'une consigne. Un plan de coupe
dans ce cas, est un basculement de caméra bref,
vers une réaction visuelle à des propos tenus. A chaque
intervention de
Besancenot ou Buffet (NON), nous avons pu voir à l'écran les
mimiques
de réaction des tenants du OUI. Soit des mots prononcés
silencieusement
mais parfaitement compréhensible ( "C'est pas vrai, elle ment" =>
Bayrou),
soit des mimiques amusés et/ou ironiques. Une telle pratique
décrisibilise et limite
la porté des propos de l'orateur dans l'inconscient. Les plans de
coupe sont interdits
lors des débats finals d'une présidentielle.
Nous aurons remarqué que le réalisateur choississait de laisser les
plans en fixe
lorsqu'un tenant du OUI intervenait.
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en
saturation, au point
que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
Au niveau technique, lors des essais, l'ingénieur du son effectue
une balance
qui permet de régler le niveau des"noise gate", ainsi que celui des
limiteurs en crète.
Le micro du fasciste était clairement en "roue libre", au point de
faire assimiler
les tenants du NON pour des bateleurs braillards.
Son retour plateau était volontairement minimaliste, l'obligeant à
faire répéter
toute les questions, alors que l'accoustique de cette salle
extrèmement résonnante
a du obliger l'ingénieur retour à faire des réglages pour chaque
place, afin de ne pas
avoir ce type de problème en direct. Aucun des autres intervenants
n'a eu ce genre
de soucis. Quand bien même il serait dur d'oreille, un retour
parfaitement réglé
évite ces inconvénients.
Jean-Maire Le Pen à clairement été utilisé en tant
qu'épouvantail à la voie insupportable.
- L'assimilation des tenants du NON avec l'extrème droite était
flagrante en regard
du placement des orateurs. Il eu été naturel que Besancenot et
Buffet soit près
l'un de l'autre, hors Buffet était proche de Le Pen, et Besancenot
proche de De Villier.
Bayrou se saisi de l'occasion, et souligna que le NON c'est celui de
Le Pen, obligeant
les intervenants à clairement se démarquer des propos des deux
leaders d'extrème droite.
Dans le cadre caméra, sur la tribune NON, le centre était occupé
par Villier et Le Pen,
la ou l'oeil va se poser naturellement. Les deux autres étaient au
dessus, la ou l'oeil n'ira
pas les chercher. L'inconscient assimilera le NON à Le Pen et à De
Celles et ceux qui ont regardé cette émission sur France 3 le lundi
25
avril à 20h55 ont eu l'occasion d'admirer un magistral cas d'école en terme de manipulation médiatique, à destination des cerveaux dans lesquels de la place avait été mise en disponibilité par TF1.
Ceci est une liste non exhaustive des artifices utilisés :
- Des trois plateaux province, Lille, Renne et Marseille, deux étaient clairement affiliés au OUI, loin de la représentativité exprimé par les sondages. Dès lors, interrogeons nous sur
l'objectivité
de l'institut CSA quant à l'échantillon "représentatif".
- Les plans de coupe ont été outrageusement utilisé par le
réalisateur,
au point qu'il s'agissait clairement d'une consigne. Un plan de coupe dans ce cas, est un basculement de caméra bref, vers une réaction visuelle à des propos tenus. A chaque
intervention de
Besancenot ou Buffet (NON), nous avons pu voir à l'écran les
mimiques
de réaction des tenants du OUI. Soit des mots prononcés
silencieusement
mais parfaitement compréhensible ( "C'est pas vrai, elle ment" =>
Bayrou),
soit des mimiques amusés et/ou ironiques. Une telle pratique
décrisibilise et limite
la porté des propos de l'orateur dans l'inconscient. Les plans de
coupe sont interdits
lors des débats finals d'une présidentielle. Nous aurons remarqué que le réalisateur choississait de laisser les
plans en fixe
lorsqu'un tenant du OUI intervenait.
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en
saturation, au point
que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble. Au niveau technique, lors des essais, l'ingénieur du son effectue
une balance
qui permet de régler le niveau des"noise gate", ainsi que celui des
limiteurs en crète.
Le micro du fasciste était clairement en "roue libre", au point de
faire assimiler
les tenants du NON pour des bateleurs braillards. Son retour plateau était volontairement minimaliste, l'obligeant à
faire répéter
toute les questions, alors que l'accoustique de cette salle
extrèmement résonnante
a du obliger l'ingénieur retour à faire des réglages pour chaque
place, afin de ne pas
avoir ce type de problème en direct. Aucun des autres intervenants
n'a eu ce genre
de soucis. Quand bien même il serait dur d'oreille, un retour
parfaitement réglé
évite ces inconvénients. Jean-Maire Le Pen à clairement été utilisé en tant
qu'épouvantail à la voie insupportable.
- L'assimilation des tenants du NON avec l'extrème droite était
flagrante en regard
du placement des orateurs. Il eu été naturel que Besancenot et
Buffet soit près
l'un de l'autre, hors Buffet était proche de Le Pen, et Besancenot
proche de De Villier.
Bayrou se saisi de l'occasion, et souligna que le NON c'est celui de
Le Pen, obligeant
les intervenants à clairement se démarquer des propos des deux
leaders d'extrème droite.
Dans le cadre caméra, sur la tribune NON, le centre était occupé
par Villier et Le Pen,
la ou l'oeil va se poser naturellement. Les deux autres étaient au
dessus, la ou l'oeil n'ira
pas les chercher. L'inconscient assimilera le NON à Le Pen et à De
Villier.
Nicolaos
"Helmut Prod" écrivait news::
Et on n'est encore qu'à un mois du vote ! Qu'est ce que ça va être dans la dernière ligne droite !
Celles et ceux qui ont regardé cette émission sur France 3 le lundi
25
avril à 20h55 ont eu l'occasion d'admirer un magistral cas d'école en terme de manipulation médiatique, à destination des cerveaux dans lesquels de la place avait été mise en disponibilité par TF1.
Ceci est une liste non exhaustive des artifices utilisés :
- Des trois plateaux province, Lille, Renne et Marseille, deux étaient clairement affiliés au OUI, loin de la représentativité exprimé par les sondages. Dès lors, interrogeons nous sur
l'objectivité
de l'institut CSA quant à l'échantillon "représentatif".
- Les plans de coupe ont été outrageusement utilisé par le
réalisateur,
au point qu'il s'agissait clairement d'une consigne. Un plan de coupe dans ce cas, est un basculement de caméra bref, vers une réaction visuelle à des propos tenus. A chaque
intervention de
Besancenot ou Buffet (NON), nous avons pu voir à l'écran les
mimiques
de réaction des tenants du OUI. Soit des mots prononcés
silencieusement
mais parfaitement compréhensible ( "C'est pas vrai, elle ment" =>
Bayrou),
soit des mimiques amusés et/ou ironiques. Une telle pratique
décrisibilise et limite
la porté des propos de l'orateur dans l'inconscient. Les plans de
coupe sont interdits
lors des débats finals d'une présidentielle. Nous aurons remarqué que le réalisateur choississait de laisser les
plans en fixe
lorsqu'un tenant du OUI intervenait.
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en
saturation, au point
que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble. Au niveau technique, lors des essais, l'ingénieur du son effectue
une balance
qui permet de régler le niveau des"noise gate", ainsi que celui des
limiteurs en crète.
Le micro du fasciste était clairement en "roue libre", au point de
faire assimiler
les tenants du NON pour des bateleurs braillards. Son retour plateau était volontairement minimaliste, l'obligeant à
faire répéter
toute les questions, alors que l'accoustique de cette salle
extrèmement résonnante
a du obliger l'ingénieur retour à faire des réglages pour chaque
place, afin de ne pas
avoir ce type de problème en direct. Aucun des autres intervenants
n'a eu ce genre
de soucis. Quand bien même il serait dur d'oreille, un retour
parfaitement réglé
évite ces inconvénients. Jean-Maire Le Pen à clairement été utilisé en tant
qu'épouvantail à la voie insupportable.
- L'assimilation des tenants du NON avec l'extrème droite était
flagrante en regard
du placement des orateurs. Il eu été naturel que Besancenot et
Buffet soit près
l'un de l'autre, hors Buffet était proche de Le Pen, et Besancenot
proche de De Villier.
Bayrou se saisi de l'occasion, et souligna que le NON c'est celui de
Le Pen, obligeant
les intervenants à clairement se démarquer des propos des deux
leaders d'extrème droite.
Dans le cadre caméra, sur la tribune NON, le centre était occupé
par Villier et Le Pen,
la ou l'oeil va se poser naturellement. Les deux autres étaient au
dessus, la ou l'oeil n'ira
pas les chercher. L'inconscient assimilera le NON à Le Pen et à De
Celles et ceux qui ont regardé cette émission sur France 3 le lundi
25
avril à 20h55 ont eu l'occasion d'admirer un magistral cas d'école
en terme de manipulation médiatique, à destination des cerveaux
dans lesquels de la place avait été mise en disponibilité par TF1.
Ceci est une liste non exhaustive des artifices utilisés :
- Des trois plateaux province, Lille, Renne et Marseille, deux
étaient clairement affiliés au OUI, loin de la représentativité
exprimé par les sondages. Dès lors, interrogeons nous sur
l'objectivité
de l'institut CSA quant à l'échantillon "représentatif".
- Les plans de coupe ont été outrageusement utilisé par le
réalisateur,
au point qu'il s'agissait clairement d'une consigne. Un plan de coupe
dans ce cas, est un basculement de caméra bref,
vers une réaction visuelle à des propos tenus. A chaque
intervention de
Besancenot ou Buffet (NON), nous avons pu voir à l'écran les
mimiques
de réaction des tenants du OUI. Soit des mots prononcés
silencieusement
mais parfaitement compréhensible ( "C'est pas vrai, elle ment" =>
Bayrou),
soit des mimiques amusés et/ou ironiques. Une telle pratique
décrisibilise et limite
la porté des propos de l'orateur dans l'inconscient. Les plans de
coupe sont interdits
lors des débats finals d'une présidentielle.
Nous aurons remarqué que le réalisateur choississait de laisser les
plans en fixe
lorsqu'un tenant du OUI intervenait.
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en
saturation, au point
que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
Au niveau technique, lors des essais, l'ingénieur du son effectue
une balance
qui permet de régler le niveau des"noise gate", ainsi que celui des
limiteurs en crète.
Le micro du fasciste était clairement en "roue libre", au point de
faire assimiler
les tenants du NON pour des bateleurs braillards.
Son retour plateau était volontairement minimaliste, l'obligeant à
faire répéter
toute les questions, alors que l'accoustique de cette salle
extrèmement résonnante
a du obliger l'ingénieur retour à faire des réglages pour chaque
place, afin de ne pas
avoir ce type de problème en direct. Aucun des autres intervenants
n'a eu ce genre
de soucis. Quand bien même il serait dur d'oreille, un retour
parfaitement réglé
évite ces inconvénients.
Jean-Maire Le Pen à clairement été utilisé en tant
qu'épouvantail à la voie insupportable.
- L'assimilation des tenants du NON avec l'extrème droite était
flagrante en regard
du placement des orateurs. Il eu été naturel que Besancenot et
Buffet soit près
l'un de l'autre, hors Buffet était proche de Le Pen, et Besancenot
proche de De Villier.
Bayrou se saisi de l'occasion, et souligna que le NON c'est celui de
Le Pen, obligeant
les intervenants à clairement se démarquer des propos des deux
leaders d'extrème droite.
Dans le cadre caméra, sur la tribune NON, le centre était occupé
par Villier et Le Pen,
la ou l'oeil va se poser naturellement. Les deux autres étaient au
dessus, la ou l'oeil n'ira
pas les chercher. L'inconscient assimilera le NON à Le Pen et à De
Celles et ceux qui ont regardé cette émission sur France 3 le lundi
25
avril à 20h55 ont eu l'occasion d'admirer un magistral cas d'école en terme de manipulation médiatique, à destination des cerveaux dans lesquels de la place avait été mise en disponibilité par TF1.
Ceci est une liste non exhaustive des artifices utilisés :
- Des trois plateaux province, Lille, Renne et Marseille, deux étaient clairement affiliés au OUI, loin de la représentativité exprimé par les sondages. Dès lors, interrogeons nous sur
l'objectivité
de l'institut CSA quant à l'échantillon "représentatif".
- Les plans de coupe ont été outrageusement utilisé par le
réalisateur,
au point qu'il s'agissait clairement d'une consigne. Un plan de coupe dans ce cas, est un basculement de caméra bref, vers une réaction visuelle à des propos tenus. A chaque
intervention de
Besancenot ou Buffet (NON), nous avons pu voir à l'écran les
mimiques
de réaction des tenants du OUI. Soit des mots prononcés
silencieusement
mais parfaitement compréhensible ( "C'est pas vrai, elle ment" =>
Bayrou),
soit des mimiques amusés et/ou ironiques. Une telle pratique
décrisibilise et limite
la porté des propos de l'orateur dans l'inconscient. Les plans de
coupe sont interdits
lors des débats finals d'une présidentielle. Nous aurons remarqué que le réalisateur choississait de laisser les
plans en fixe
lorsqu'un tenant du OUI intervenait.
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en
saturation, au point
que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble. Au niveau technique, lors des essais, l'ingénieur du son effectue
une balance
qui permet de régler le niveau des"noise gate", ainsi que celui des
limiteurs en crète.
Le micro du fasciste était clairement en "roue libre", au point de
faire assimiler
les tenants du NON pour des bateleurs braillards. Son retour plateau était volontairement minimaliste, l'obligeant à
faire répéter
toute les questions, alors que l'accoustique de cette salle
extrèmement résonnante
a du obliger l'ingénieur retour à faire des réglages pour chaque
place, afin de ne pas
avoir ce type de problème en direct. Aucun des autres intervenants
n'a eu ce genre
de soucis. Quand bien même il serait dur d'oreille, un retour
parfaitement réglé
évite ces inconvénients. Jean-Maire Le Pen à clairement été utilisé en tant
qu'épouvantail à la voie insupportable.
- L'assimilation des tenants du NON avec l'extrème droite était
flagrante en regard
du placement des orateurs. Il eu été naturel que Besancenot et
Buffet soit près
l'un de l'autre, hors Buffet était proche de Le Pen, et Besancenot
proche de De Villier.
Bayrou se saisi de l'occasion, et souligna que le NON c'est celui de
Le Pen, obligeant
les intervenants à clairement se démarquer des propos des deux
leaders d'extrème droite.
Dans le cadre caméra, sur la tribune NON, le centre était occupé
par Villier et Le Pen,
la ou l'oeil va se poser naturellement. Les deux autres étaient au
dessus, la ou l'oeil n'ira
pas les chercher. L'inconscient assimilera le NON à Le Pen et à De
Villier.
darts
Dans le message d4l25o$dhh$, Fèv a dit:
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point que nous l'avons entendu crier en permanence
MOUAARFF !!!!
Dans le message d4l25o$dhh$1@news.tiscali.fr,
Fèv <invalid@tiscali.fr> a dit:
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en
saturation, au point que nous l'avons entendu crier
en permanence
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point que nous l'avons entendu crier en permanence
MOUAARFF !!!!
Fèv
"darts" a écrit dans le message de news:
Dans le message d4l25o$dhh$, Fèv a dit:
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point que nous l'avons entendu crier en permanence
MOUAARFF !!!!
Vous auriez quelques années de pratiques des techniques du son, vous auriez évité d'émettre une onomatopée qui vous ridiculise, à moins que ce ne soit un ultime argument du OUI.
"darts" <darts@freesurf.fr> a écrit dans le message de news: 3d6ov1F6qm1ohU1@individual.net...
Dans le message d4l25o$dhh$1@news.tiscali.fr,
Fèv <invalid@tiscali.fr> a dit:
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en
saturation, au point que nous l'avons entendu crier
en permanence
MOUAARFF !!!!
Vous auriez quelques années de pratiques des techniques du son, vous auriez évité
d'émettre une onomatopée qui vous ridiculise, à moins que ce ne soit
un ultime argument du OUI.
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point que nous l'avons entendu crier en permanence
MOUAARFF !!!!
Vous auriez quelques années de pratiques des techniques du son, vous auriez évité d'émettre une onomatopée qui vous ridiculise, à moins que ce ne soit un ultime argument du OUI.
Benjamin FRANCOIS
["Followup-To:" header set to fr.rec.tv.programmes.]
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça sature. S'il avait parlé normalement et calmement (il l'a fait un peu au début, et puis il s'est vite emporté) ça se serait p'tet mieux passé.
-- Il est aussi facile de créer un browser HTML puisque lui aussi est exécuté en language texte. Le format HTML est plus compliqué et beaucoup moins performant. -- Jayce - HTML, ça su><e --
["Followup-To:" header set to fr.rec.tv.programmes.]
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point
que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça sature.
S'il avait parlé normalement et calmement (il l'a fait un peu au début,
et puis il s'est vite emporté) ça se serait p'tet mieux passé.
--
Il est aussi facile de créer un browser HTML puisque lui aussi est exécuté en
language texte. Le format HTML est plus compliqué et beaucoup moins performant.
-- Jayce - HTML, ça su><e --
["Followup-To:" header set to fr.rec.tv.programmes.]
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça sature. S'il avait parlé normalement et calmement (il l'a fait un peu au début, et puis il s'est vite emporté) ça se serait p'tet mieux passé.
-- Il est aussi facile de créer un browser HTML puisque lui aussi est exécuté en language texte. Le format HTML est plus compliqué et beaucoup moins performant. -- Jayce - HTML, ça su><e --
Fèv
"Benjamin FRANCOIS" a écrit dans le message de news:
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça sature.
Non, il existe des limiteurs qui se règlent en limite haute et basse automatiquement, la saturation est impossible à moins que volontairement on pousse la limite haute vers le maximum admissible par l'entrée de la table de mélange.
"Benjamin FRANCOIS" <kwyxz@kwyxz.org> a écrit dans le message de news: slrnd6sc7j.nui.kwyxz@grumpf.kwyxz.org...
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point
que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça sature.
Non, il existe des limiteurs qui se règlent en limite haute et basse automatiquement,
la saturation est impossible à moins que volontairement on pousse la limite haute
vers le maximum admissible par l'entrée de la table de mélange.
"Benjamin FRANCOIS" a écrit dans le message de news:
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça sature.
Non, il existe des limiteurs qui se règlent en limite haute et basse automatiquement, la saturation est impossible à moins que volontairement on pousse la limite haute vers le maximum admissible par l'entrée de la table de mélange.
Celles et ceux qui ont regardé cette émission sur France 3 le lundi 25 avril à 20h55 ont eu l'occasion d'admirer un magistral cas d'école en terme de manipulation médiatique, à destination des cerveaux dans lesquels de la place avait été mise en disponibilité par TF1.
Et vous avez remarqué un truc : Le Pen était assis à côté de sa femme. Et Bayrou aussi. Mais pas Babeth, l'autre, la concubine. Ca fait bizarre, quand même de savoir qu'un mec qui vient de la démocratie chrétienne trompe sa femme, de qui je ferai d'ailleurs bien mon ordinaire, Babeth, si tu m'entends, avec la Sarnez. Elle n'est pourtaement pas top, hein...
Celles et ceux qui ont regardé cette émission sur France 3 le lundi 25
avril à 20h55 ont eu l'occasion d'admirer un magistral cas d'école
en terme de manipulation médiatique, à destination des cerveaux
dans lesquels de la place avait été mise en disponibilité par TF1.
Et vous avez remarqué un truc : Le Pen était assis à côté de sa femme.
Et Bayrou aussi. Mais pas Babeth, l'autre, la concubine. Ca fait
bizarre, quand même de savoir qu'un mec qui vient de la démocratie
chrétienne trompe sa femme, de qui je ferai d'ailleurs bien mon
ordinaire, Babeth, si tu m'entends, avec la Sarnez. Elle n'est
pourtaement pas top, hein...
Celles et ceux qui ont regardé cette émission sur France 3 le lundi 25 avril à 20h55 ont eu l'occasion d'admirer un magistral cas d'école en terme de manipulation médiatique, à destination des cerveaux dans lesquels de la place avait été mise en disponibilité par TF1.
Et vous avez remarqué un truc : Le Pen était assis à côté de sa femme. Et Bayrou aussi. Mais pas Babeth, l'autre, la concubine. Ca fait bizarre, quand même de savoir qu'un mec qui vient de la démocratie chrétienne trompe sa femme, de qui je ferai d'ailleurs bien mon ordinaire, Babeth, si tu m'entends, avec la Sarnez. Elle n'est pourtaement pas top, hein...
darts
Dans le message , Benjamin FRANCOIS a dit:
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça sature. S'il avait parlé normalement et calmement (il l'a fait un peu au début, et puis il s'est vite emporté) ça se serait p'tet mieux passé.
Oh la la... ça ne cadre pas avec le complot anti-nonniste ça !!!
Dans le message slrnd6sc7j.nui.kwyxz@grumpf.kwyxz.org,
Benjamin FRANCOIS <kwyxz@kwyxz.org> a dit:
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça
sature. S'il avait parlé normalement et calmement (il l'a fait un peu
au début, et puis il s'est vite emporté) ça se serait p'tet mieux
passé.
Oh la la... ça ne cadre pas avec le complot anti-nonniste ça !!!
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça sature. S'il avait parlé normalement et calmement (il l'a fait un peu au début, et puis il s'est vite emporté) ça se serait p'tet mieux passé.
Oh la la... ça ne cadre pas avec le complot anti-nonniste ça !!!
darts
Dans le message 426e447c$0$463$, Citoyen Européen a dit:
Et vous avez remarqué un truc : Le Pen était assis à côté de sa femme.
papy et mamie était de sortie
Dans le message 426e447c$0$463$79c14f64@nan-newsreader-07.noos.net,
Citoyen Européen <citoyen-europeen@NOSPAMnoos.fr> a dit:
Et vous avez remarqué un truc : Le Pen était assis à côté de sa femme.
Dans le message 426e447c$0$463$, Citoyen Européen a dit:
Et vous avez remarqué un truc : Le Pen était assis à côté de sa femme.
papy et mamie était de sortie
macros
"Fèv" a écrit dans le message de news: d4lbl7$t2b$
"Benjamin FRANCOIS" a écrit dans le message de news:
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça sature.
Non, il existe des limiteurs qui se règlent en limite haute et basse automatiquement, la saturation est impossible à moins que volontairement on pousse la limite haute vers le maximum admissible par l'entrée de la table de mélange.
Lors des balances, je doute qu'il ait crié...
"Fèv" <invalid@tiscali.fr> a écrit dans le message de news:
d4lbl7$t2b$1@news.tiscali.fr...
"Benjamin FRANCOIS" <kwyxz@kwyxz.org> a écrit dans le message de news:
slrnd6sc7j.nui.kwyxz@grumpf.kwyxz.org...
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en
saturation, au point
que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça sature.
Non, il existe des limiteurs qui se règlent en limite haute et basse
automatiquement,
la saturation est impossible à moins que volontairement on pousse la
limite haute
vers le maximum admissible par l'entrée de la table de mélange.
"Fèv" a écrit dans le message de news: d4lbl7$t2b$
"Benjamin FRANCOIS" a écrit dans le message de news:
- Le micro de Jean-Marie Le Pen était volontairement porté en saturation, au point que nous l'avons entendu crier en permanence, et couvrir l'ensemble.
En même temps, il a passé son temps à crier, alors forcément, ça sature.
Non, il existe des limiteurs qui se règlent en limite haute et basse automatiquement, la saturation est impossible à moins que volontairement on pousse la limite haute vers le maximum admissible par l'entrée de la table de mélange.