Stephane CARPENTIER wrote:*. -pipolin-. * a écrit:
> pendant que cette pauvre fille se tape du mac do payé le smic av ec son
> bac +5,
C'est trite pour elle, mais il n'y a rien de surprenant à ce qu'el le soit
au chômage. Ce qui est important n'est pas son bac +5 mais sa fili ère. Si
elle n'est pas capable d'être la meilleure des meilleures, avec so n
diplôme d'ingénieur, elle ne pourra malheureusement rien faire. Il
fallait qu'elle choisisse une autre voie.
Allons, tu veux rire,
La vérité est que la plupart des postes sont occupés par des ge ns
totalement incompétents,
On en a un bel exemple avec le brillant gouvernement qui
nous dirige,
mais la situation est similaire *partout*.
Ce qui compte,
c'est la chance d'être au bon endroit au bon moment, l'aptitude à taper
l'incruste et à la lèche, et le piston, rien d'autre.
La compètence
c'est le dernier des critères, en bout de liste, et encore même s ouvent
un élément négatif,
Stephane CARPENTIER <stef.carpentier@free.fr> wrote:
*. -pipolin-. * a écrit:
> pendant que cette pauvre fille se tape du mac do payé le smic av ec son
> bac +5,
C'est trite pour elle, mais il n'y a rien de surprenant à ce qu'el le soit
au chômage. Ce qui est important n'est pas son bac +5 mais sa fili ère. Si
elle n'est pas capable d'être la meilleure des meilleures, avec so n
diplôme d'ingénieur, elle ne pourra malheureusement rien faire. Il
fallait qu'elle choisisse une autre voie.
Allons, tu veux rire,
La vérité est que la plupart des postes sont occupés par des ge ns
totalement incompétents,
On en a un bel exemple avec le brillant gouvernement qui
nous dirige,
mais la situation est similaire *partout*.
Ce qui compte,
c'est la chance d'être au bon endroit au bon moment, l'aptitude à taper
l'incruste et à la lèche, et le piston, rien d'autre.
La compètence
c'est le dernier des critères, en bout de liste, et encore même s ouvent
un élément négatif,
Stephane CARPENTIER wrote:*. -pipolin-. * a écrit:
> pendant que cette pauvre fille se tape du mac do payé le smic av ec son
> bac +5,
C'est trite pour elle, mais il n'y a rien de surprenant à ce qu'el le soit
au chômage. Ce qui est important n'est pas son bac +5 mais sa fili ère. Si
elle n'est pas capable d'être la meilleure des meilleures, avec so n
diplôme d'ingénieur, elle ne pourra malheureusement rien faire. Il
fallait qu'elle choisisse une autre voie.
Allons, tu veux rire,
La vérité est que la plupart des postes sont occupés par des ge ns
totalement incompétents,
On en a un bel exemple avec le brillant gouvernement qui
nous dirige,
mais la situation est similaire *partout*.
Ce qui compte,
c'est la chance d'être au bon endroit au bon moment, l'aptitude à taper
l'incruste et à la lèche, et le piston, rien d'autre.
La compètence
c'est le dernier des critères, en bout de liste, et encore même s ouvent
un élément négatif,
La vérité, c'est que la biologie, c'est bouché depuis des années et que la
moitié de ceux qui font des études scientifiques foint des études de biolo.
Il n'y a pas de place, mais ils s'y engouffrent tous. Ça fait soit des
chômeurs, soit des gens qui se réorientent. Pour t'en sortir, en biologie,
tu peux essayer la recherche ou l'enseignement, mais ce n'est pas un diplôme
d'ingénieur qu'il faut.
La vérité, c'est que la biologie, c'est bouché depuis des années et que la
moitié de ceux qui font des études scientifiques foint des études de biolo.
Il n'y a pas de place, mais ils s'y engouffrent tous. Ça fait soit des
chômeurs, soit des gens qui se réorientent. Pour t'en sortir, en biologie,
tu peux essayer la recherche ou l'enseignement, mais ce n'est pas un diplôme
d'ingénieur qu'il faut.
La vérité, c'est que la biologie, c'est bouché depuis des années et que la
moitié de ceux qui font des études scientifiques foint des études de biolo.
Il n'y a pas de place, mais ils s'y engouffrent tous. Ça fait soit des
chômeurs, soit des gens qui se réorientent. Pour t'en sortir, en biologie,
tu peux essayer la recherche ou l'enseignement, mais ce n'est pas un diplôme
d'ingénieur qu'il faut.
Stephane CARPENTIER wrote:La vérité, c'est que la biologie, c'est bouché depuis des années et que la
moitié de ceux qui font des études scientifiques foint des études de biolo.
Il n'y a pas de place, mais ils s'y engouffrent tous. Ça fait soit des
chômeurs, soit des gens qui se réorientent. Pour t'en sortir, en biologie,
tu peux essayer la recherche ou l'enseignement, mais ce n'est pas un diplôme
d'ingénieur qu'il faut.
Et bien sur ce point je suis totalement d'accord avec toi. Les
ingénieurs agronomes sont connus pour leurs réorientation, par exemple
journalistes, écrivains (Houellebecq) etc. Ma fille s'est réorientée
très facilement en info.
Maintenant s'il y a tant d'étudiants en bio, c'est peut être en partie
à cause de ratages aux concours médecine ou veto. J'ai entendu dire que
la situation était à peu prés aussi mauvaise en chimie.
Stephane CARPENTIER <stef.carpentier@free.fr> wrote:
La vérité, c'est que la biologie, c'est bouché depuis des années et que la
moitié de ceux qui font des études scientifiques foint des études de biolo.
Il n'y a pas de place, mais ils s'y engouffrent tous. Ça fait soit des
chômeurs, soit des gens qui se réorientent. Pour t'en sortir, en biologie,
tu peux essayer la recherche ou l'enseignement, mais ce n'est pas un diplôme
d'ingénieur qu'il faut.
Et bien sur ce point je suis totalement d'accord avec toi. Les
ingénieurs agronomes sont connus pour leurs réorientation, par exemple
journalistes, écrivains (Houellebecq) etc. Ma fille s'est réorientée
très facilement en info.
Maintenant s'il y a tant d'étudiants en bio, c'est peut être en partie
à cause de ratages aux concours médecine ou veto. J'ai entendu dire que
la situation était à peu prés aussi mauvaise en chimie.
Stephane CARPENTIER wrote:La vérité, c'est que la biologie, c'est bouché depuis des années et que la
moitié de ceux qui font des études scientifiques foint des études de biolo.
Il n'y a pas de place, mais ils s'y engouffrent tous. Ça fait soit des
chômeurs, soit des gens qui se réorientent. Pour t'en sortir, en biologie,
tu peux essayer la recherche ou l'enseignement, mais ce n'est pas un diplôme
d'ingénieur qu'il faut.
Et bien sur ce point je suis totalement d'accord avec toi. Les
ingénieurs agronomes sont connus pour leurs réorientation, par exemple
journalistes, écrivains (Houellebecq) etc. Ma fille s'est réorientée
très facilement en info.
Maintenant s'il y a tant d'étudiants en bio, c'est peut être en partie
à cause de ratages aux concours médecine ou veto. J'ai entendu dire que
la situation était à peu prés aussi mauvaise en chimie.
Le Tue, 21 Sep 2010 20:19:07 +0000 (UTC),
Michel Talon écrivait :Stephane CARPENTIER wrote:La vérité, c'est que la biologie, c'est bouché depuis des années et
que la moitié de ceux qui font des études scientifiques foint des
études de biolo.
Il n'y a pas de place, mais ils s'y engouffrent tous. Ça fait soit
des chômeurs, soit des gens qui se réorientent. Pour t'en sortir,
en biologie, tu peux essayer la recherche ou l'enseignement, mais
ce n'est pas un diplôme d'ingénieur qu'il faut.
Et bien sur ce point je suis totalement d'accord avec toi. Les
ingénieurs agronomes sont connus pour leurs réorientation, par
exemple journalistes, écrivains (Houellebecq) etc. Ma fille s'est
réorientée très facilement en info.
Ah... C'est pour ça que les jeunes sortant tout frais émoulus d'une
école d'informatique sont aussi nuls !... Ça explique des choses...Maintenant s'il y a tant d'étudiants en bio, c'est peut être en
partie à cause de ratages aux concours médecine ou veto. J'ai
entendu dire que la situation était à peu prés aussi mauvaise en
chimie.
Franchement, je suis à la croisée des chemins entre l'informatique,
les télécoms et le calcul scientifique. J'ai l'impression que c'est
mauvais _partout_.
Le Tue, 21 Sep 2010 20:19:07 +0000 (UTC),
Michel Talon <talon@lpthe.jussieu.fr> écrivait :
Stephane CARPENTIER <stef.carpentier@free.fr> wrote:
La vérité, c'est que la biologie, c'est bouché depuis des années et
que la moitié de ceux qui font des études scientifiques foint des
études de biolo.
Il n'y a pas de place, mais ils s'y engouffrent tous. Ça fait soit
des chômeurs, soit des gens qui se réorientent. Pour t'en sortir,
en biologie, tu peux essayer la recherche ou l'enseignement, mais
ce n'est pas un diplôme d'ingénieur qu'il faut.
Et bien sur ce point je suis totalement d'accord avec toi. Les
ingénieurs agronomes sont connus pour leurs réorientation, par
exemple journalistes, écrivains (Houellebecq) etc. Ma fille s'est
réorientée très facilement en info.
Ah... C'est pour ça que les jeunes sortant tout frais émoulus d'une
école d'informatique sont aussi nuls !... Ça explique des choses...
Maintenant s'il y a tant d'étudiants en bio, c'est peut être en
partie à cause de ratages aux concours médecine ou veto. J'ai
entendu dire que la situation était à peu prés aussi mauvaise en
chimie.
Franchement, je suis à la croisée des chemins entre l'informatique,
les télécoms et le calcul scientifique. J'ai l'impression que c'est
mauvais _partout_.
Le Tue, 21 Sep 2010 20:19:07 +0000 (UTC),
Michel Talon écrivait :Stephane CARPENTIER wrote:La vérité, c'est que la biologie, c'est bouché depuis des années et
que la moitié de ceux qui font des études scientifiques foint des
études de biolo.
Il n'y a pas de place, mais ils s'y engouffrent tous. Ça fait soit
des chômeurs, soit des gens qui se réorientent. Pour t'en sortir,
en biologie, tu peux essayer la recherche ou l'enseignement, mais
ce n'est pas un diplôme d'ingénieur qu'il faut.
Et bien sur ce point je suis totalement d'accord avec toi. Les
ingénieurs agronomes sont connus pour leurs réorientation, par
exemple journalistes, écrivains (Houellebecq) etc. Ma fille s'est
réorientée très facilement en info.
Ah... C'est pour ça que les jeunes sortant tout frais émoulus d'une
école d'informatique sont aussi nuls !... Ça explique des choses...Maintenant s'il y a tant d'étudiants en bio, c'est peut être en
partie à cause de ratages aux concours médecine ou veto. J'ai
entendu dire que la situation était à peu prés aussi mauvaise en
chimie.
Franchement, je suis à la croisée des chemins entre l'informatique,
les télécoms et le calcul scientifique. J'ai l'impression que c'est
mauvais _partout_.
les compétences qui ne sont pas induites par un diplôme relèvent
du siècle dernier cela s'appelle la méritocracie, ce vilain mot
que respire le bon vieux temps n'est plus d'actualité
La méritocratie du "siècle dernier" c'était avant tout le copinage des
loges ou des églises. Ce qui a permis aux gens non pistonnés de
s'élever c'était les diplômes très difficiles et les grandes écoles
prestigieuses. Tout ce qui est systématiquement démoli au nom de
l'égalitarisme par ceux qui ont le plus grand intérêt à ce que les
pistonnés seuls aient une chance.
>
> Aucun. L'Europe de demain, c'est la Chine du XIXe siècle. Il
y a des > pays en voie de développement et des pays en voie de
> sous-développement.
>
Ce sous développement est peut être un développement différent, moins
industriel, plus artistique ou harmonieux. C'est la thèse de
Houellebecq.
les compétences qui ne sont pas induites par un diplôme relèvent
du siècle dernier cela s'appelle la méritocracie, ce vilain mot
que respire le bon vieux temps n'est plus d'actualité
La méritocratie du "siècle dernier" c'était avant tout le copinage des
loges ou des églises. Ce qui a permis aux gens non pistonnés de
s'élever c'était les diplômes très difficiles et les grandes écoles
prestigieuses. Tout ce qui est systématiquement démoli au nom de
l'égalitarisme par ceux qui ont le plus grand intérêt à ce que les
pistonnés seuls aient une chance.
>
> Aucun. L'Europe de demain, c'est la Chine du XIXe siècle. Il
y a des > pays en voie de développement et des pays en voie de
> sous-développement.
>
Ce sous développement est peut être un développement différent, moins
industriel, plus artistique ou harmonieux. C'est la thèse de
Houellebecq.
les compétences qui ne sont pas induites par un diplôme relèvent
du siècle dernier cela s'appelle la méritocracie, ce vilain mot
que respire le bon vieux temps n'est plus d'actualité
La méritocratie du "siècle dernier" c'était avant tout le copinage des
loges ou des églises. Ce qui a permis aux gens non pistonnés de
s'élever c'était les diplômes très difficiles et les grandes écoles
prestigieuses. Tout ce qui est systématiquement démoli au nom de
l'égalitarisme par ceux qui ont le plus grand intérêt à ce que les
pistonnés seuls aient une chance.
>
> Aucun. L'Europe de demain, c'est la Chine du XIXe siècle. Il
y a des > pays en voie de développement et des pays en voie de
> sous-développement.
>
Ce sous développement est peut être un développement différent, moins
industriel, plus artistique ou harmonieux. C'est la thèse de
Houellebecq.
Punaise, bonjour la bande de vieux schnocks qui croit être de la
dernière génération valable... Vous êtes vraiment pathétiques.
Punaise, bonjour la bande de vieux schnocks qui croit être de la
dernière génération valable... Vous êtes vraiment pathétiques.
Punaise, bonjour la bande de vieux schnocks qui croit être de la
dernière génération valable... Vous êtes vraiment pathétiques.
Le Tue, 21 Sep 2010 15:21:14 +0200,
remy écrivait :JKB a écrit :Déjà, il n'y a aucune relation de cause à effet...
bien sûr qu'il y a une relation de cause à effet
on est plus à l'époque où l'on faisait un transfert de technolo gie
on vit l'époque où se sont eux qui l'exploitent
et font ou créent les évolutions,
un exemple très significatif, tiens au hasard l'électronique le design
de circuit intégré
tu crois vraiment qu'ils achètent le circuit intégré en Europe et se
contentent de cabler un pcb qu'un client leur a fourni, que dalle
ton ingénieur en europe bien formé et compétent t'en fait quoi ?
ben il se contente de faire de l'assemblage de briques conçues aill eurs
Il n'y a plus d'ingénieurs compétent en électronique (puisqu e c'est
de ça que tu essaies de parler) en Europe. Dans les dix derniè res
années, j'en ai vu un seul.
Il n'y en a plus parce qu'on a tout délocalisé avec transfert de
technologie. Aujourd'hui, un jeune électronicien sortant d'une é cole
ou d'une fac européenne capable de me faire un ampli push/pull d e
classe AB sans _rien_ faire cramer et sans le faire au hasard, ç a
n'existe plus !
Et en informatique, c'est pareil. Pour faire du Java ou d'autres
conneries du même style, on trouve des tas de types. Pour faire du
calcul intensif, il n'y a plus personne.
Le problème est
la nullité en France comme en Chine. Je me tape des étudiant s
chinois (soi disant les meilleurs) et le niveau est calamiteux. Je
ne dis pas qu'il n'y en a pas des bons, mais la proportion de bo ns
n'est pas significativement différente en France et en Chine.
Le problème français, que tu le veuilles ou non, c'est
la nullité des étudiants et la Chine n'y est pour rien. Il n e
faut surtoutpas mettre sur le dos des chinois la nullité française, ils ne font
que profiter de notre faiblesse. J'ajouterais que si on est asse z
cons pour se laisser faire, ils ont parfaitement raison et on
de même, ne les blâmons pas ! Certaines écoles (ou certain es
universités, mais pour les universités, remonter le niveau e st
beaucoup plus difficile) se sont mis à remonter les niveaux pa rce
que c'était ça ou la disparition. Hier, j'ai donné un cour s
grande école (de type A) devant des étudiants qui ne pipaien t mot à
ce que je disais. Résultat des courses, pour qu'ils comprennen t
quelque chose, le cours s'est tranformé de magistral avec des tas
d'équations au tableau à un genre de conférence parce que je
au moins qu'en sortant, ils aient compris quelque chose. Il y a
quinze ans, lorsque je faisais le même cours, c'était un cou rs
magistral et tout le monde suivait.
un étudiant mauvais cela n'existe pas, il n'y a que des mauvais pro fs
Non. Il y a des mauvais profs, mais il y a aussi des étudiants
indécrottables. Comment expliques-tu qu'en examen de diplôme, je
colle à certains de mes étudiants des 2 ou 3/20 alors que d'au tres
s'en tirent avec 19/20 en ayant eu les _mêmes_ cours ? Comment
m'expliques-tu que ceux qui sont mauvais chez moi sont aussi mauva is
dans les autres matières ? Ton argument ne tient pas cinq minute s et
ne résiste pas à l'analyse. J'ajouterais même que c'est l'ar gument
principal des nuls.un prof qui n'est pas foutu de se faire comprendre est soit mauvais,
soit il considère comme acquis une lacune. après la lacune tu la places
ou tu veux ,programme , collègues ,voir induit par le système , et
pourquoi pas la société comme cela rien ne change
Mais oui...a induit un transfert de compétences et se sont ceux qui ont quel que
chose en plus de la compétence ,ou des diplômes qui sont servis en
premier c'est tout
Non. Non parce que tu assimiles un diplôme à une compétenc e. Non
parce que le poste occupé n'est que rarement couplé à un d iplôme.
les compétences qui ne sont pas induites par un diplôme relèven t
du siècle dernier cela s'appelle la méritocracie, ce vilain mot
que respire le bon vieux temps n'est plus d'actualité
déjà pour cela ,il faudrait pouvoir rester dans la même boite
et qu'il y est une politique de promotion interne ,
cela n'existe pas sauf chez les fonctionnaires et encore
avec un plafond de verre
tu bosses, tu te formes et si tu n'es pas content tu vas ailleurs
ce qui implique des choix avec les conséquences non négligables
40 balais ou même à 35 avec bobonne et les mouflets, tout cela quoi
Foutaises. Un employeur ne regarde pas que tes diplômes parce qu 'il
n'est pas dupe.
Le Tue, 21 Sep 2010 15:21:14 +0200,
remy <remy@fctpas.fr> écrivait :
JKB a écrit :
Déjà, il n'y a aucune relation de cause à effet...
bien sûr qu'il y a une relation de cause à effet
on est plus à l'époque où l'on faisait un transfert de technolo gie
on vit l'époque où se sont eux qui l'exploitent
et font ou créent les évolutions,
un exemple très significatif, tiens au hasard l'électronique le design
de circuit intégré
tu crois vraiment qu'ils achètent le circuit intégré en Europe et se
contentent de cabler un pcb qu'un client leur a fourni, que dalle
ton ingénieur en europe bien formé et compétent t'en fait quoi ?
ben il se contente de faire de l'assemblage de briques conçues aill eurs
Il n'y a plus d'ingénieurs compétent en électronique (puisqu e c'est
de ça que tu essaies de parler) en Europe. Dans les dix derniè res
années, j'en ai vu un seul.
Il n'y en a plus parce qu'on a tout délocalisé avec transfert de
technologie. Aujourd'hui, un jeune électronicien sortant d'une é cole
ou d'une fac européenne capable de me faire un ampli push/pull d e
classe AB sans _rien_ faire cramer et sans le faire au hasard, ç a
n'existe plus !
Et en informatique, c'est pareil. Pour faire du Java ou d'autres
conneries du même style, on trouve des tas de types. Pour faire du
calcul intensif, il n'y a plus personne.
Le problème est
la nullité en France comme en Chine. Je me tape des étudiant s
chinois (soi disant les meilleurs) et le niveau est calamiteux. Je
ne dis pas qu'il n'y en a pas des bons, mais la proportion de bo ns
n'est pas significativement différente en France et en Chine.
Le problème français, que tu le veuilles ou non, c'est
la nullité des étudiants et la Chine n'y est pour rien. Il n e
faut surtout
pas mettre sur le dos des chinois la nullité française, ils ne font
que profiter de notre faiblesse. J'ajouterais que si on est asse z
cons pour se laisser faire, ils ont parfaitement raison et on
de même, ne les blâmons pas ! Certaines écoles (ou certain es
universités, mais pour les universités, remonter le niveau e st
beaucoup plus difficile) se sont mis à remonter les niveaux pa rce
que c'était ça ou la disparition. Hier, j'ai donné un cour s
grande école (de type A) devant des étudiants qui ne pipaien t mot à
ce que je disais. Résultat des courses, pour qu'ils comprennen t
quelque chose, le cours s'est tranformé de magistral avec des tas
d'équations au tableau à un genre de conférence parce que je
au moins qu'en sortant, ils aient compris quelque chose. Il y a
quinze ans, lorsque je faisais le même cours, c'était un cou rs
magistral et tout le monde suivait.
un étudiant mauvais cela n'existe pas, il n'y a que des mauvais pro fs
Non. Il y a des mauvais profs, mais il y a aussi des étudiants
indécrottables. Comment expliques-tu qu'en examen de diplôme, je
colle à certains de mes étudiants des 2 ou 3/20 alors que d'au tres
s'en tirent avec 19/20 en ayant eu les _mêmes_ cours ? Comment
m'expliques-tu que ceux qui sont mauvais chez moi sont aussi mauva is
dans les autres matières ? Ton argument ne tient pas cinq minute s et
ne résiste pas à l'analyse. J'ajouterais même que c'est l'ar gument
principal des nuls.
un prof qui n'est pas foutu de se faire comprendre est soit mauvais,
soit il considère comme acquis une lacune. après la lacune tu la places
ou tu veux ,programme , collègues ,voir induit par le système , et
pourquoi pas la société comme cela rien ne change
Mais oui...
a induit un transfert de compétences et se sont ceux qui ont quel que
chose en plus de la compétence ,ou des diplômes qui sont servis en
premier c'est tout
Non. Non parce que tu assimiles un diplôme à une compétenc e. Non
parce que le poste occupé n'est que rarement couplé à un d iplôme.
les compétences qui ne sont pas induites par un diplôme relèven t
du siècle dernier cela s'appelle la méritocracie, ce vilain mot
que respire le bon vieux temps n'est plus d'actualité
déjà pour cela ,il faudrait pouvoir rester dans la même boite
et qu'il y est une politique de promotion interne ,
cela n'existe pas sauf chez les fonctionnaires et encore
avec un plafond de verre
tu bosses, tu te formes et si tu n'es pas content tu vas ailleurs
ce qui implique des choix avec les conséquences non négligables
40 balais ou même à 35 avec bobonne et les mouflets, tout cela quoi
Foutaises. Un employeur ne regarde pas que tes diplômes parce qu 'il
n'est pas dupe.
Le Tue, 21 Sep 2010 15:21:14 +0200,
remy écrivait :JKB a écrit :Déjà, il n'y a aucune relation de cause à effet...
bien sûr qu'il y a une relation de cause à effet
on est plus à l'époque où l'on faisait un transfert de technolo gie
on vit l'époque où se sont eux qui l'exploitent
et font ou créent les évolutions,
un exemple très significatif, tiens au hasard l'électronique le design
de circuit intégré
tu crois vraiment qu'ils achètent le circuit intégré en Europe et se
contentent de cabler un pcb qu'un client leur a fourni, que dalle
ton ingénieur en europe bien formé et compétent t'en fait quoi ?
ben il se contente de faire de l'assemblage de briques conçues aill eurs
Il n'y a plus d'ingénieurs compétent en électronique (puisqu e c'est
de ça que tu essaies de parler) en Europe. Dans les dix derniè res
années, j'en ai vu un seul.
Il n'y en a plus parce qu'on a tout délocalisé avec transfert de
technologie. Aujourd'hui, un jeune électronicien sortant d'une é cole
ou d'une fac européenne capable de me faire un ampli push/pull d e
classe AB sans _rien_ faire cramer et sans le faire au hasard, ç a
n'existe plus !
Et en informatique, c'est pareil. Pour faire du Java ou d'autres
conneries du même style, on trouve des tas de types. Pour faire du
calcul intensif, il n'y a plus personne.
Le problème est
la nullité en France comme en Chine. Je me tape des étudiant s
chinois (soi disant les meilleurs) et le niveau est calamiteux. Je
ne dis pas qu'il n'y en a pas des bons, mais la proportion de bo ns
n'est pas significativement différente en France et en Chine.
Le problème français, que tu le veuilles ou non, c'est
la nullité des étudiants et la Chine n'y est pour rien. Il n e
faut surtoutpas mettre sur le dos des chinois la nullité française, ils ne font
que profiter de notre faiblesse. J'ajouterais que si on est asse z
cons pour se laisser faire, ils ont parfaitement raison et on
de même, ne les blâmons pas ! Certaines écoles (ou certain es
universités, mais pour les universités, remonter le niveau e st
beaucoup plus difficile) se sont mis à remonter les niveaux pa rce
que c'était ça ou la disparition. Hier, j'ai donné un cour s
grande école (de type A) devant des étudiants qui ne pipaien t mot à
ce que je disais. Résultat des courses, pour qu'ils comprennen t
quelque chose, le cours s'est tranformé de magistral avec des tas
d'équations au tableau à un genre de conférence parce que je
au moins qu'en sortant, ils aient compris quelque chose. Il y a
quinze ans, lorsque je faisais le même cours, c'était un cou rs
magistral et tout le monde suivait.
un étudiant mauvais cela n'existe pas, il n'y a que des mauvais pro fs
Non. Il y a des mauvais profs, mais il y a aussi des étudiants
indécrottables. Comment expliques-tu qu'en examen de diplôme, je
colle à certains de mes étudiants des 2 ou 3/20 alors que d'au tres
s'en tirent avec 19/20 en ayant eu les _mêmes_ cours ? Comment
m'expliques-tu que ceux qui sont mauvais chez moi sont aussi mauva is
dans les autres matières ? Ton argument ne tient pas cinq minute s et
ne résiste pas à l'analyse. J'ajouterais même que c'est l'ar gument
principal des nuls.un prof qui n'est pas foutu de se faire comprendre est soit mauvais,
soit il considère comme acquis une lacune. après la lacune tu la places
ou tu veux ,programme , collègues ,voir induit par le système , et
pourquoi pas la société comme cela rien ne change
Mais oui...a induit un transfert de compétences et se sont ceux qui ont quel que
chose en plus de la compétence ,ou des diplômes qui sont servis en
premier c'est tout
Non. Non parce que tu assimiles un diplôme à une compétenc e. Non
parce que le poste occupé n'est que rarement couplé à un d iplôme.
les compétences qui ne sont pas induites par un diplôme relèven t
du siècle dernier cela s'appelle la méritocracie, ce vilain mot
que respire le bon vieux temps n'est plus d'actualité
déjà pour cela ,il faudrait pouvoir rester dans la même boite
et qu'il y est une politique de promotion interne ,
cela n'existe pas sauf chez les fonctionnaires et encore
avec un plafond de verre
tu bosses, tu te formes et si tu n'es pas content tu vas ailleurs
ce qui implique des choix avec les conséquences non négligables
40 balais ou même à 35 avec bobonne et les mouflets, tout cela quoi
Foutaises. Un employeur ne regarde pas que tes diplômes parce qu 'il
n'est pas dupe.
JKB a écrit :
> Le Tue, 21 Sep 2010 15:21:14 +0200,
> remy écrivait :
>> JKB a écrit :
>>> Déjà, il n'y a aucune relation de cause à effet...
>> bien sûr qu'il y a une relation de cause à effet
>> on est plus à l'époque où l'on faisait un transfert de technologie
>> on vit l'époque où se sont eux qui l'exploitent
>> et font ou créent les évolutions,
>> un exemple très significatif, tiens au hasard l'électronique le design
>> de circuit intégré
>> tu crois vraiment qu'ils achètent le circuit intégré en Europe et se
>> contentent de cabler un pcb qu'un client leur a fourni, que dalle
>>
>> ton ingénieur en europe bien formé et compétent t'en fait quoi ?
>> ben il se contente de faire de l'assemblage de briques conçues ailleurs
>
> Il n'y a plus d'ingénieurs compétent en électronique (puisque c'est
> de ça que tu essaies de parler) en Europe. Dans les dix dernières
> années, j'en ai vu un seul.
>
> Il n'y en a plus parce qu'on a tout délocalisé avec transfert de
> technologie. Aujourd'hui, un jeune électronicien sortant d'une école
> ou d'une fac européenne capable de me faire un ampli push/pull de
> classe AB sans _rien_ faire cramer et sans le faire au hasard, ça
> n'existe plus !
>
et pourquoi pas faire une alim à découplage avec des condos , des selfs
et une poignée de transistors calculée avec la règle
> Et en informatique, c'est pareil. Pour faire du Java ou d'autres
> conneries du même style, on trouve des tas de types. Pour faire du
> calcul intensif, il n'y a plus personne.
>
ben là je suis un peu d'accord et même encore plus pessimiste
ils ne veulent même plus se faire chier à coder quelque chose
de robuste ,actuellement la mode ,consiste à transférer la complexité du
traitement ,sur l'opérateur avec une jolie procédure iso
donc pour faire ce bidule tu fais ça,
puis cela et si tu as machin ,
tu vas dans bidule 2bis et tu fais le trucmuche
si cela merde c'est pas de la faute au codeur
mais à l'opérateur, lui il a juste coder le strict minimum
et il ne sera jamais dans la merde
c'est beau le progrès par l'iso
>>> Le problème est
>>> la nullité en France comme en Chine. Je me tape des étudiants
>>> chinois (soi disant les meilleurs) et le niveau est calamiteux. Je
>>> ne dis pas qu'il n'y en a pas des bons, mais la proportion de bons
>>> n'est pas significativement différente en France et en Chine.
>>>
>>> Le problème français, que tu le veuilles ou non, c'est
effectivement
>>> la nullité des étudiants et la Chine n'y est pour rien. Il ne
>> faut surtout
>>> pas mettre sur le dos des chinois la nullité française, ils ne font
>>> que profiter de notre faiblesse. J'ajouterais que si on est assez
>>> cons pour se laisser faire, ils ont parfaitement raison et on
ferait
>>> de même, ne les blâmons pas ! Certaines écoles (ou certaines
>>> universités, mais pour les universités, remonter le niveau est
>>> beaucoup plus difficile) se sont mis à remonter les niveaux parce
>>> que c'était ça ou la disparition. Hier, j'ai donné un cours
dans une
>>> grande école (de type A) devant des étudiants qui ne pipaient mot à
>>> ce que je disais. Résultat des courses, pour qu'ils comprennent
>>> quelque chose, le cours s'est tranformé de magistral avec des tas
>>> d'équations au tableau à un genre de conférence parce que je
voulais
>>> au moins qu'en sortant, ils aient compris quelque chose. Il y a
>>> quinze ans, lorsque je faisais le même cours, c'était un cours
>>> magistral et tout le monde suivait.
>>>
>>
>> un étudiant mauvais cela n'existe pas, il n'y a que des mauvais profs
>
> Non. Il y a des mauvais profs, mais il y a aussi des étudiants
> indécrottables. Comment expliques-tu qu'en examen de diplôme, je
> colle à certains de mes étudiants des 2 ou 3/20 alors que d'autres
> s'en tirent avec 19/20 en ayant eu les _mêmes_ cours ? Comment
> m'expliques-tu que ceux qui sont mauvais chez moi sont aussi mauvais
> dans les autres matières ? Ton argument ne tient pas cinq minutes et
> ne résiste pas à l'analyse. J'ajouterais même que c'est l'argument
> principal des nuls.
>
>> un prof qui n'est pas foutu de se faire comprendre est soit mauvais,
>> soit il considère comme acquis une lacune. après la lacune tu la places
>> ou tu veux ,programme , collègues ,voir induit par le système ,et
>> pourquoi pas la société comme cela rien ne change
>
> Mais oui...
>
>>>> a induit un transfert de compétences et se sont ceux qui ont quelque
>>>> chose en plus de la compétence ,ou des diplômes qui sont servis en
>>>> premier c'est tout
>>> Non. Non parce que tu assimiles un diplôme à une compétence. Non
>>> parce que le poste occupé n'est que rarement couplé à un diplôme.
>>>
>> les compétences qui ne sont pas induites par un diplôme relèvent
>> du siècle dernier cela s'appelle la méritocracie, ce vilain mot
>> que respire le bon vieux temps n'est plus d'actualité
>> déjà pour cela ,il faudrait pouvoir rester dans la même boite
>> et qu'il y est une politique de promotion interne ,
>> cela n'existe pas sauf chez les fonctionnaires et encore
>> avec un plafond de verre
>> tu bosses, tu te formes et si tu n'es pas content tu vas ailleurs
>> ce qui implique des choix avec les conséquences non négligables
>> 40 balais ou même à 35 avec bobonne et les mouflets, tout cela quoi
>
> Foutaises. Un employeur ne regarde pas que tes diplômes parce qu'il
> n'est pas dupe.
>
tu n'as qu'à essayer de changer de boite
entre un mec qui code avec un peu de passif et un petit con sorti de
l'école c'est toujours le petit con
la différence réside dans le fait que cela rassure le drh
JKB a écrit :
> Le Tue, 21 Sep 2010 15:21:14 +0200,
> remy <remy@fctpas.fr> écrivait :
>> JKB a écrit :
>>> Déjà, il n'y a aucune relation de cause à effet...
>> bien sûr qu'il y a une relation de cause à effet
>> on est plus à l'époque où l'on faisait un transfert de technologie
>> on vit l'époque où se sont eux qui l'exploitent
>> et font ou créent les évolutions,
>> un exemple très significatif, tiens au hasard l'électronique le design
>> de circuit intégré
>> tu crois vraiment qu'ils achètent le circuit intégré en Europe et se
>> contentent de cabler un pcb qu'un client leur a fourni, que dalle
>>
>> ton ingénieur en europe bien formé et compétent t'en fait quoi ?
>> ben il se contente de faire de l'assemblage de briques conçues ailleurs
>
> Il n'y a plus d'ingénieurs compétent en électronique (puisque c'est
> de ça que tu essaies de parler) en Europe. Dans les dix dernières
> années, j'en ai vu un seul.
>
> Il n'y en a plus parce qu'on a tout délocalisé avec transfert de
> technologie. Aujourd'hui, un jeune électronicien sortant d'une école
> ou d'une fac européenne capable de me faire un ampli push/pull de
> classe AB sans _rien_ faire cramer et sans le faire au hasard, ça
> n'existe plus !
>
et pourquoi pas faire une alim à découplage avec des condos , des selfs
et une poignée de transistors calculée avec la règle
> Et en informatique, c'est pareil. Pour faire du Java ou d'autres
> conneries du même style, on trouve des tas de types. Pour faire du
> calcul intensif, il n'y a plus personne.
>
ben là je suis un peu d'accord et même encore plus pessimiste
ils ne veulent même plus se faire chier à coder quelque chose
de robuste ,actuellement la mode ,consiste à transférer la complexité du
traitement ,sur l'opérateur avec une jolie procédure iso
donc pour faire ce bidule tu fais ça,
puis cela et si tu as machin ,
tu vas dans bidule 2bis et tu fais le trucmuche
si cela merde c'est pas de la faute au codeur
mais à l'opérateur, lui il a juste coder le strict minimum
et il ne sera jamais dans la merde
c'est beau le progrès par l'iso
>>> Le problème est
>>> la nullité en France comme en Chine. Je me tape des étudiants
>>> chinois (soi disant les meilleurs) et le niveau est calamiteux. Je
>>> ne dis pas qu'il n'y en a pas des bons, mais la proportion de bons
>>> n'est pas significativement différente en France et en Chine.
>>>
>>> Le problème français, que tu le veuilles ou non, c'est
effectivement
>>> la nullité des étudiants et la Chine n'y est pour rien. Il ne
>> faut surtout
>>> pas mettre sur le dos des chinois la nullité française, ils ne font
>>> que profiter de notre faiblesse. J'ajouterais que si on est assez
>>> cons pour se laisser faire, ils ont parfaitement raison et on
ferait
>>> de même, ne les blâmons pas ! Certaines écoles (ou certaines
>>> universités, mais pour les universités, remonter le niveau est
>>> beaucoup plus difficile) se sont mis à remonter les niveaux parce
>>> que c'était ça ou la disparition. Hier, j'ai donné un cours
dans une
>>> grande école (de type A) devant des étudiants qui ne pipaient mot à
>>> ce que je disais. Résultat des courses, pour qu'ils comprennent
>>> quelque chose, le cours s'est tranformé de magistral avec des tas
>>> d'équations au tableau à un genre de conférence parce que je
voulais
>>> au moins qu'en sortant, ils aient compris quelque chose. Il y a
>>> quinze ans, lorsque je faisais le même cours, c'était un cours
>>> magistral et tout le monde suivait.
>>>
>>
>> un étudiant mauvais cela n'existe pas, il n'y a que des mauvais profs
>
> Non. Il y a des mauvais profs, mais il y a aussi des étudiants
> indécrottables. Comment expliques-tu qu'en examen de diplôme, je
> colle à certains de mes étudiants des 2 ou 3/20 alors que d'autres
> s'en tirent avec 19/20 en ayant eu les _mêmes_ cours ? Comment
> m'expliques-tu que ceux qui sont mauvais chez moi sont aussi mauvais
> dans les autres matières ? Ton argument ne tient pas cinq minutes et
> ne résiste pas à l'analyse. J'ajouterais même que c'est l'argument
> principal des nuls.
>
>> un prof qui n'est pas foutu de se faire comprendre est soit mauvais,
>> soit il considère comme acquis une lacune. après la lacune tu la places
>> ou tu veux ,programme , collègues ,voir induit par le système ,et
>> pourquoi pas la société comme cela rien ne change
>
> Mais oui...
>
>>>> a induit un transfert de compétences et se sont ceux qui ont quelque
>>>> chose en plus de la compétence ,ou des diplômes qui sont servis en
>>>> premier c'est tout
>>> Non. Non parce que tu assimiles un diplôme à une compétence. Non
>>> parce que le poste occupé n'est que rarement couplé à un diplôme.
>>>
>> les compétences qui ne sont pas induites par un diplôme relèvent
>> du siècle dernier cela s'appelle la méritocracie, ce vilain mot
>> que respire le bon vieux temps n'est plus d'actualité
>> déjà pour cela ,il faudrait pouvoir rester dans la même boite
>> et qu'il y est une politique de promotion interne ,
>> cela n'existe pas sauf chez les fonctionnaires et encore
>> avec un plafond de verre
>> tu bosses, tu te formes et si tu n'es pas content tu vas ailleurs
>> ce qui implique des choix avec les conséquences non négligables
>> 40 balais ou même à 35 avec bobonne et les mouflets, tout cela quoi
>
> Foutaises. Un employeur ne regarde pas que tes diplômes parce qu'il
> n'est pas dupe.
>
tu n'as qu'à essayer de changer de boite
entre un mec qui code avec un peu de passif et un petit con sorti de
l'école c'est toujours le petit con
la différence réside dans le fait que cela rassure le drh
JKB a écrit :
> Le Tue, 21 Sep 2010 15:21:14 +0200,
> remy écrivait :
>> JKB a écrit :
>>> Déjà, il n'y a aucune relation de cause à effet...
>> bien sûr qu'il y a une relation de cause à effet
>> on est plus à l'époque où l'on faisait un transfert de technologie
>> on vit l'époque où se sont eux qui l'exploitent
>> et font ou créent les évolutions,
>> un exemple très significatif, tiens au hasard l'électronique le design
>> de circuit intégré
>> tu crois vraiment qu'ils achètent le circuit intégré en Europe et se
>> contentent de cabler un pcb qu'un client leur a fourni, que dalle
>>
>> ton ingénieur en europe bien formé et compétent t'en fait quoi ?
>> ben il se contente de faire de l'assemblage de briques conçues ailleurs
>
> Il n'y a plus d'ingénieurs compétent en électronique (puisque c'est
> de ça que tu essaies de parler) en Europe. Dans les dix dernières
> années, j'en ai vu un seul.
>
> Il n'y en a plus parce qu'on a tout délocalisé avec transfert de
> technologie. Aujourd'hui, un jeune électronicien sortant d'une école
> ou d'une fac européenne capable de me faire un ampli push/pull de
> classe AB sans _rien_ faire cramer et sans le faire au hasard, ça
> n'existe plus !
>
et pourquoi pas faire une alim à découplage avec des condos , des selfs
et une poignée de transistors calculée avec la règle
> Et en informatique, c'est pareil. Pour faire du Java ou d'autres
> conneries du même style, on trouve des tas de types. Pour faire du
> calcul intensif, il n'y a plus personne.
>
ben là je suis un peu d'accord et même encore plus pessimiste
ils ne veulent même plus se faire chier à coder quelque chose
de robuste ,actuellement la mode ,consiste à transférer la complexité du
traitement ,sur l'opérateur avec une jolie procédure iso
donc pour faire ce bidule tu fais ça,
puis cela et si tu as machin ,
tu vas dans bidule 2bis et tu fais le trucmuche
si cela merde c'est pas de la faute au codeur
mais à l'opérateur, lui il a juste coder le strict minimum
et il ne sera jamais dans la merde
c'est beau le progrès par l'iso
>>> Le problème est
>>> la nullité en France comme en Chine. Je me tape des étudiants
>>> chinois (soi disant les meilleurs) et le niveau est calamiteux. Je
>>> ne dis pas qu'il n'y en a pas des bons, mais la proportion de bons
>>> n'est pas significativement différente en France et en Chine.
>>>
>>> Le problème français, que tu le veuilles ou non, c'est
effectivement
>>> la nullité des étudiants et la Chine n'y est pour rien. Il ne
>> faut surtout
>>> pas mettre sur le dos des chinois la nullité française, ils ne font
>>> que profiter de notre faiblesse. J'ajouterais que si on est assez
>>> cons pour se laisser faire, ils ont parfaitement raison et on
ferait
>>> de même, ne les blâmons pas ! Certaines écoles (ou certaines
>>> universités, mais pour les universités, remonter le niveau est
>>> beaucoup plus difficile) se sont mis à remonter les niveaux parce
>>> que c'était ça ou la disparition. Hier, j'ai donné un cours
dans une
>>> grande école (de type A) devant des étudiants qui ne pipaient mot à
>>> ce que je disais. Résultat des courses, pour qu'ils comprennent
>>> quelque chose, le cours s'est tranformé de magistral avec des tas
>>> d'équations au tableau à un genre de conférence parce que je
voulais
>>> au moins qu'en sortant, ils aient compris quelque chose. Il y a
>>> quinze ans, lorsque je faisais le même cours, c'était un cours
>>> magistral et tout le monde suivait.
>>>
>>
>> un étudiant mauvais cela n'existe pas, il n'y a que des mauvais profs
>
> Non. Il y a des mauvais profs, mais il y a aussi des étudiants
> indécrottables. Comment expliques-tu qu'en examen de diplôme, je
> colle à certains de mes étudiants des 2 ou 3/20 alors que d'autres
> s'en tirent avec 19/20 en ayant eu les _mêmes_ cours ? Comment
> m'expliques-tu que ceux qui sont mauvais chez moi sont aussi mauvais
> dans les autres matières ? Ton argument ne tient pas cinq minutes et
> ne résiste pas à l'analyse. J'ajouterais même que c'est l'argument
> principal des nuls.
>
>> un prof qui n'est pas foutu de se faire comprendre est soit mauvais,
>> soit il considère comme acquis une lacune. après la lacune tu la places
>> ou tu veux ,programme , collègues ,voir induit par le système ,et
>> pourquoi pas la société comme cela rien ne change
>
> Mais oui...
>
>>>> a induit un transfert de compétences et se sont ceux qui ont quelque
>>>> chose en plus de la compétence ,ou des diplômes qui sont servis en
>>>> premier c'est tout
>>> Non. Non parce que tu assimiles un diplôme à une compétence. Non
>>> parce que le poste occupé n'est que rarement couplé à un diplôme.
>>>
>> les compétences qui ne sont pas induites par un diplôme relèvent
>> du siècle dernier cela s'appelle la méritocracie, ce vilain mot
>> que respire le bon vieux temps n'est plus d'actualité
>> déjà pour cela ,il faudrait pouvoir rester dans la même boite
>> et qu'il y est une politique de promotion interne ,
>> cela n'existe pas sauf chez les fonctionnaires et encore
>> avec un plafond de verre
>> tu bosses, tu te formes et si tu n'es pas content tu vas ailleurs
>> ce qui implique des choix avec les conséquences non négligables
>> 40 balais ou même à 35 avec bobonne et les mouflets, tout cela quoi
>
> Foutaises. Un employeur ne regarde pas que tes diplômes parce qu'il
> n'est pas dupe.
>
tu n'as qu'à essayer de changer de boite
entre un mec qui code avec un peu de passif et un petit con sorti de
l'école c'est toujours le petit con
la différence réside dans le fait que cela rassure le drh
Ce n'est pas toi qui fais du calcul avec Java ?
Ce n'est pas toi qui fais du calcul avec Java ?
Ce n'est pas toi qui fais du calcul avec Java ?
JKB a écrit :
Ce n'est pas toi qui fais du calcul avec Java ?
oui mais c'est pour vérifier la théorie "l'idée à la con",
et je l'ai aussi codé en C et tu le sais très bien
puisque ,si tu as lu le code java ,tu as pu aussi voir version en C :-)
JKB a écrit :
Ce n'est pas toi qui fais du calcul avec Java ?
oui mais c'est pour vérifier la théorie "l'idée à la con",
et je l'ai aussi codé en C et tu le sais très bien
puisque ,si tu as lu le code java ,tu as pu aussi voir version en C :-)
JKB a écrit :
Ce n'est pas toi qui fais du calcul avec Java ?
oui mais c'est pour vérifier la théorie "l'idée à la con",
et je l'ai aussi codé en C et tu le sais très bien
puisque ,si tu as lu le code java ,tu as pu aussi voir version en C :-)