Oulah ! :-)
La musique existe avec ou sans ça, comme il a été dit. Et que des gens
aiment la surcompression, ça ne se discute pas, c'est un goût comme un
autre. Ça n'empêche pas d'être amateur de certaines musiques.
Oulah ! :-)
La musique existe avec ou sans ça, comme il a été dit. Et que des gens
aiment la surcompression, ça ne se discute pas, c'est un goût comme un
autre. Ça n'empêche pas d'être amateur de certaines musiques.
Oulah ! :-)
La musique existe avec ou sans ça, comme il a été dit. Et que des gens
aiment la surcompression, ça ne se discute pas, c'est un goût comme un
autre. Ça n'empêche pas d'être amateur de certaines musiques.
(Gerald) wrote in news:1i38gw5.bqo4ev157tkfiN%
:l'émotion unique des doigts d'un Dinu Lipati [...] Albert
Schweitzer [...] Charlie Parker [...] Miles [...] Alain Danielou
...ou le son pourravement cru et excitant de "Metallic KO" ou "Raw Power"
des Stooges... Ce que je dis pour y ajouter, par pur souci d'équilibre, un
peu de musique non-bobo... :-)
Du reste, je suis d'accord avec Gérald (surprenant, non ? :-) )
(Et j'ai d'ailleurs l'impression que le posteur originel n'a pas connu
l'époque pré-CD. Ce qui n'est pas une tare, mais ne le dispense pas non
plus de relativiser son point de vue.)
Cornelia
Gerald@alussinan.org (Gerald) wrote in news:1i38gw5.bqo4ev157tkfiN%
Gerald@alussinan.org:
l'émotion unique des doigts d'un Dinu Lipati [...] Albert
Schweitzer [...] Charlie Parker [...] Miles [...] Alain Danielou
...ou le son pourravement cru et excitant de "Metallic KO" ou "Raw Power"
des Stooges... Ce que je dis pour y ajouter, par pur souci d'équilibre, un
peu de musique non-bobo... :-)
Du reste, je suis d'accord avec Gérald (surprenant, non ? :-) )
(Et j'ai d'ailleurs l'impression que le posteur originel n'a pas connu
l'époque pré-CD. Ce qui n'est pas une tare, mais ne le dispense pas non
plus de relativiser son point de vue.)
Cornelia
(Gerald) wrote in news:1i38gw5.bqo4ev157tkfiN%
:l'émotion unique des doigts d'un Dinu Lipati [...] Albert
Schweitzer [...] Charlie Parker [...] Miles [...] Alain Danielou
...ou le son pourravement cru et excitant de "Metallic KO" ou "Raw Power"
des Stooges... Ce que je dis pour y ajouter, par pur souci d'équilibre, un
peu de musique non-bobo... :-)
Du reste, je suis d'accord avec Gérald (surprenant, non ? :-) )
(Et j'ai d'ailleurs l'impression que le posteur originel n'a pas connu
l'époque pré-CD. Ce qui n'est pas une tare, mais ne le dispense pas non
plus de relativiser son point de vue.)
Cornelia
Comme Gérald dans des contributions antérieures, on peut se poser la
question de l'intérêt d'écouter de la musique en conditions hostiles,
sachant qu'on ne pourra pas y consacrer l'attention nécessaire pour
détecter toutes les subtilités du geste musical.
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au cinéma où
nous ne disposons malheureusement pas du bouton de volume. Nous en
prenons plein les oreilles alors que nous ne l'avons pas forcément
souhaité.
Pour conclure, je dirais que la musique surcompressée est destinée à
un marché différent de celui des amateurs de musique.
Comme Gérald dans des contributions antérieures, on peut se poser la
question de l'intérêt d'écouter de la musique en conditions hostiles,
sachant qu'on ne pourra pas y consacrer l'attention nécessaire pour
détecter toutes les subtilités du geste musical.
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au cinéma où
nous ne disposons malheureusement pas du bouton de volume. Nous en
prenons plein les oreilles alors que nous ne l'avons pas forcément
souhaité.
Pour conclure, je dirais que la musique surcompressée est destinée à
un marché différent de celui des amateurs de musique.
Comme Gérald dans des contributions antérieures, on peut se poser la
question de l'intérêt d'écouter de la musique en conditions hostiles,
sachant qu'on ne pourra pas y consacrer l'attention nécessaire pour
détecter toutes les subtilités du geste musical.
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au cinéma où
nous ne disposons malheureusement pas du bouton de volume. Nous en
prenons plein les oreilles alors que nous ne l'avons pas forcément
souhaité.
Pour conclure, je dirais que la musique surcompressée est destinée à
un marché différent de celui des amateurs de musique.
La musique existe avec ou sans ça, comme il a été dit.
La musique existe avec ou sans ça, comme il a été dit.
La musique existe avec ou sans ça, comme il a été dit.
Pour moi les points importants sont les suivants : la surcompression
possède l'avantage de pouvoir écouter un morceau dans des conditions
hostiles (train, avion, bus, jogging) sans être agacé par le fait que
certaines parties sont inaudibles. En revanche, la surcompression est
agaçante en conditions calmes (et même en conditions hostiles) parce
qu'elle occasionne de la fatigue auditive.
On peut comprimer la dynamique pour des usages en conditions hostiles...
Et la récupérer pour l'écoute normale. La fatigue n'est due qu'à un
niveau sonore trop élevé en permanence.
Pour moi les points importants sont les suivants : la surcompression
possède l'avantage de pouvoir écouter un morceau dans des conditions
hostiles (train, avion, bus, jogging) sans être agacé par le fait que
certaines parties sont inaudibles. En revanche, la surcompression est
agaçante en conditions calmes (et même en conditions hostiles) parce
qu'elle occasionne de la fatigue auditive.
On peut comprimer la dynamique pour des usages en conditions hostiles...
Et la récupérer pour l'écoute normale. La fatigue n'est due qu'à un
niveau sonore trop élevé en permanence.
Pour moi les points importants sont les suivants : la surcompression
possède l'avantage de pouvoir écouter un morceau dans des conditions
hostiles (train, avion, bus, jogging) sans être agacé par le fait que
certaines parties sont inaudibles. En revanche, la surcompression est
agaçante en conditions calmes (et même en conditions hostiles) parce
qu'elle occasionne de la fatigue auditive.
On peut comprimer la dynamique pour des usages en conditions hostiles...
Et la récupérer pour l'écoute normale. La fatigue n'est due qu'à un
niveau sonore trop élevé en permanence.
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au cinéma où
nous ne disposons malheureusement pas du bouton de volume. Nous en
prenons plein les oreilles alors que nous ne l'avons pas forcément
souhaité.
Ce n'est justement pas surcompressé : c'est juste un niveau trop
important et/ou une égalisation "à effets". Le tout associé à des
enceintes à haut rendement...
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au cinéma où
nous ne disposons malheureusement pas du bouton de volume. Nous en
prenons plein les oreilles alors que nous ne l'avons pas forcément
souhaité.
Ce n'est justement pas surcompressé : c'est juste un niveau trop
important et/ou une égalisation "à effets". Le tout associé à des
enceintes à haut rendement...
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au cinéma où
nous ne disposons malheureusement pas du bouton de volume. Nous en
prenons plein les oreilles alors que nous ne l'avons pas forcément
souhaité.
Ce n'est justement pas surcompressé : c'est juste un niveau trop
important et/ou une égalisation "à effets". Le tout associé à des
enceintes à haut rendement...
Je ne confonds pas niveau sonore et dynamique mais j'ai pris des
raccourcis qui ont pu prêter à confusion.
Comme il est indiqué dans
l'article auquel j'ai fait référence, on devrait parler de niveau moyen
sonore. La tendance étant de se rapprocher de 90 dB tout en écrasant la
dynamique par surcompression (les courbes des échantillons sonores dans
la première page de l'article sont significatives).
Cornélia, je ne vois pas pourquoi tu dis que je dois relaiviser mon
point de vue car je n'ai fait que relater des faits.
Je ne confonds pas niveau sonore et dynamique mais j'ai pris des
raccourcis qui ont pu prêter à confusion.
Comme il est indiqué dans
l'article auquel j'ai fait référence, on devrait parler de niveau moyen
sonore. La tendance étant de se rapprocher de 90 dB tout en écrasant la
dynamique par surcompression (les courbes des échantillons sonores dans
la première page de l'article sont significatives).
Cornélia, je ne vois pas pourquoi tu dis que je dois relaiviser mon
point de vue car je n'ai fait que relater des faits.
Je ne confonds pas niveau sonore et dynamique mais j'ai pris des
raccourcis qui ont pu prêter à confusion.
Comme il est indiqué dans
l'article auquel j'ai fait référence, on devrait parler de niveau moyen
sonore. La tendance étant de se rapprocher de 90 dB tout en écrasant la
dynamique par surcompression (les courbes des échantillons sonores dans
la première page de l'article sont significatives).
Cornélia, je ne vois pas pourquoi tu dis que je dois relaiviser mon
point de vue car je n'ai fait que relater des faits.
Wykaaa wrote in news:46cc3b8d$0$27394$ba4acef3
@news.orange.fr:Je ne confonds pas niveau sonore et dynamique mais j'ai pris des
raccourcis qui ont pu prêter à confusion.
Heu oui, pour dire le moins :-)Comme il est indiqué dans
l'article auquel j'ai fait référence, on devrait parler de niveau moyen
sonore. La tendance étant de se rapprocher de 90 dB tout en écrasant la
dynamique par surcompression (les courbes des échantillons sonores dans
la première page de l'article sont significatives).
Cornélia, je ne vois pas pourquoi tu dis que je dois relaiviser mon
point de vue car je n'ai fait que relater des faits.
Il serait déjà bien que tu démêles ce que tu confonds : Tu parlais
explicitement dans ton post de 144 dB, qui sont effectivement
destructeurs pour l'ouïe humaine - quand il s'agit de volume, de SPL !
Mais ça n'a aucun rapport avec la notion de dynamique : p.ex. les entrées
de ma table de mixage à la maison doivent avoir vers les 125 dB de
dynamique, et ça ne casse aucune oreille... c'est simplement l'écart de
volume maximal qu'elle est capable de supporter, et ça a un intérêt
surtout pour la suppression de tout bruit de fond, donc pour le S/N
ratio. A présent, tu parles de 90 dB de volume, donc SPL, continu. C'est
non seulement un raccourci, c'est carrément totalement autre chose. 90 dB
de SPL continu ne sont sûrement pas sains pur l'ouïe, mais que viennent
faire les 144 dB là-dedans ? Les dB sont une unité de mesure relative,
pas absolue, et qui peut mesurer plein de choses, selon des échelles
différentes.
Par ailleurs, la réaction saine de la plupart des personnes est de
baisser le volume d'un son débité à un volume quasi constant, donc avec
très peu de dynamique, ce qui réduit de le risque de dégâts. Et les
problèmes de l'ouïe cassée par les casques des walkmans existait déjà il
y a 25 ans, longtemps avant la généralisation des supports audio
numériques (donx à fort potentiel dynamique) et de la musique
surcompressée actuelle. Donc, quelles conclusions en tirer ?
Cornelia
Wykaaa <wykaaa@yahoo.fr> wrote in news:46cc3b8d$0$27394$ba4acef3
@news.orange.fr:
Je ne confonds pas niveau sonore et dynamique mais j'ai pris des
raccourcis qui ont pu prêter à confusion.
Heu oui, pour dire le moins :-)
Comme il est indiqué dans
l'article auquel j'ai fait référence, on devrait parler de niveau moyen
sonore. La tendance étant de se rapprocher de 90 dB tout en écrasant la
dynamique par surcompression (les courbes des échantillons sonores dans
la première page de l'article sont significatives).
Cornélia, je ne vois pas pourquoi tu dis que je dois relaiviser mon
point de vue car je n'ai fait que relater des faits.
Il serait déjà bien que tu démêles ce que tu confonds : Tu parlais
explicitement dans ton post de 144 dB, qui sont effectivement
destructeurs pour l'ouïe humaine - quand il s'agit de volume, de SPL !
Mais ça n'a aucun rapport avec la notion de dynamique : p.ex. les entrées
de ma table de mixage à la maison doivent avoir vers les 125 dB de
dynamique, et ça ne casse aucune oreille... c'est simplement l'écart de
volume maximal qu'elle est capable de supporter, et ça a un intérêt
surtout pour la suppression de tout bruit de fond, donc pour le S/N
ratio. A présent, tu parles de 90 dB de volume, donc SPL, continu. C'est
non seulement un raccourci, c'est carrément totalement autre chose. 90 dB
de SPL continu ne sont sûrement pas sains pur l'ouïe, mais que viennent
faire les 144 dB là-dedans ? Les dB sont une unité de mesure relative,
pas absolue, et qui peut mesurer plein de choses, selon des échelles
différentes.
Par ailleurs, la réaction saine de la plupart des personnes est de
baisser le volume d'un son débité à un volume quasi constant, donc avec
très peu de dynamique, ce qui réduit de le risque de dégâts. Et les
problèmes de l'ouïe cassée par les casques des walkmans existait déjà il
y a 25 ans, longtemps avant la généralisation des supports audio
numériques (donx à fort potentiel dynamique) et de la musique
surcompressée actuelle. Donc, quelles conclusions en tirer ?
Cornelia
Wykaaa wrote in news:46cc3b8d$0$27394$ba4acef3
@news.orange.fr:Je ne confonds pas niveau sonore et dynamique mais j'ai pris des
raccourcis qui ont pu prêter à confusion.
Heu oui, pour dire le moins :-)Comme il est indiqué dans
l'article auquel j'ai fait référence, on devrait parler de niveau moyen
sonore. La tendance étant de se rapprocher de 90 dB tout en écrasant la
dynamique par surcompression (les courbes des échantillons sonores dans
la première page de l'article sont significatives).
Cornélia, je ne vois pas pourquoi tu dis que je dois relaiviser mon
point de vue car je n'ai fait que relater des faits.
Il serait déjà bien que tu démêles ce que tu confonds : Tu parlais
explicitement dans ton post de 144 dB, qui sont effectivement
destructeurs pour l'ouïe humaine - quand il s'agit de volume, de SPL !
Mais ça n'a aucun rapport avec la notion de dynamique : p.ex. les entrées
de ma table de mixage à la maison doivent avoir vers les 125 dB de
dynamique, et ça ne casse aucune oreille... c'est simplement l'écart de
volume maximal qu'elle est capable de supporter, et ça a un intérêt
surtout pour la suppression de tout bruit de fond, donc pour le S/N
ratio. A présent, tu parles de 90 dB de volume, donc SPL, continu. C'est
non seulement un raccourci, c'est carrément totalement autre chose. 90 dB
de SPL continu ne sont sûrement pas sains pur l'ouïe, mais que viennent
faire les 144 dB là-dedans ? Les dB sont une unité de mesure relative,
pas absolue, et qui peut mesurer plein de choses, selon des échelles
différentes.
Par ailleurs, la réaction saine de la plupart des personnes est de
baisser le volume d'un son débité à un volume quasi constant, donc avec
très peu de dynamique, ce qui réduit de le risque de dégâts. Et les
problèmes de l'ouïe cassée par les casques des walkmans existait déjà il
y a 25 ans, longtemps avant la généralisation des supports audio
numériques (donx à fort potentiel dynamique) et de la musique
surcompressée actuelle. Donc, quelles conclusions en tirer ?
Cornelia
Il serait déjà bien que tu démêles ce que tu confonds : Tu parlais
explicitement dans ton post de 144 dB, qui sont effectivement
destructeurs pour l'ouïe humaine - quand il s'agit de volume, de SPL !
Il serait déjà bien que tu démêles ce que tu confonds : Tu parlais
explicitement dans ton post de 144 dB, qui sont effectivement
destructeurs pour l'ouïe humaine - quand il s'agit de volume, de SPL !
Il serait déjà bien que tu démêles ce que tu confonds : Tu parlais
explicitement dans ton post de 144 dB, qui sont effectivement
destructeurs pour l'ouïe humaine - quand il s'agit de volume, de SPL !
Bé oui, c'est pour ça que je disais SPL :-)
Bé oui, c'est pour ça que je disais SPL :-)
Bé oui, c'est pour ça que je disais SPL :-)