Il est à noter que la plupart des engins dont on parle dans ce fil, ton message y compris, disposent d'un mode « rafale »... -- Pierre. Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier> La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com> Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
Hello, Gnolu a écrit dans <news:45edb988$0$27378$ba4acef3@news.orange.fr>
Quel calibre ? APS-C, full-frame, 24x36, etc ?
Il est à noter que la plupart des engins dont on parle dans ce fil, ton
message y compris, disposent d'un mode « rafale »...
--
Pierre.
Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier>
La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com>
Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
Il est à noter que la plupart des engins dont on parle dans ce fil, ton message y compris, disposent d'un mode « rafale »... -- Pierre. Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier> La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com> Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
Bour-Brown
Emma a écrit ( 45ed609a$0$27380$ )
Décrypter une image comme décrypter un discours
L'image ne fonctionne pas comme un discours.
sens de lecture d'une image
Ça non plus je n'y crois pas une seconde, ça dépend beaucoup trop du type d'image, et que la même image puisse être perçue de tant de façons différentes montre plutôt que chacun fonctionne avec ses propres mécanismes.
utilisation des couleurs quand elle est en couleur, lignes et positions de différents éléments
Tout ça c'est de l'analyse formelle, et il n'y a là pas plus de décryptage que dans n'importe quelle description. Dès qu'on prête du sens à des constituants, par exemple en disant que les horizontales seraient plutôt statiques et les diagonales dynamiques, on s'expose à de cuisantes déconvenues tout simplement parce que ce qui marche bien dans un cas (différence entre les images posées caméra sur pied par rapport aux images sur le vif caméra sur l'épaule par exemple) peut très bien être démenti l'image suivante (un filé horizontal peut très bien traduire une dynamique, et malgré les diagonales une architecture en contre-plongée traduire un statisme)
de même, utilisation du vocabulaire, sens cachés des mots, non-dits
Il y a tout un jargon «arts plastiques» qui préfère parler de champ pictural plutôt que de tableau peint, ça ne procède en rien à un décryptage, je vais presque dire bien au contraire. Souvent un carré rouge va se retrouver monochrome sans que ça ne change rien...
Emma a écrit
( 45ed609a$0$27380$ba4acef3@news.orange.fr )
Décrypter une image comme décrypter un discours
L'image ne fonctionne pas comme un discours.
sens de lecture d'une image
Ça non plus je n'y crois pas une seconde, ça dépend beaucoup trop du type
d'image, et que la même image puisse être perçue de tant de façons
différentes montre plutôt que chacun fonctionne avec ses propres mécanismes.
utilisation des couleurs quand elle est en couleur, lignes et positions de
différents éléments
Tout ça c'est de l'analyse formelle, et il n'y a là pas plus de décryptage
que dans n'importe quelle description. Dès qu'on prête du sens à des
constituants, par exemple en disant que les horizontales seraient plutôt
statiques et les diagonales dynamiques, on s'expose à de cuisantes
déconvenues tout simplement parce que ce qui marche bien dans un cas
(différence entre les images posées caméra sur pied par rapport aux images
sur le vif caméra sur l'épaule par exemple) peut très bien être démenti
l'image suivante (un filé horizontal peut très bien traduire une dynamique,
et malgré les diagonales une architecture en contre-plongée traduire un
statisme)
de même, utilisation du vocabulaire, sens cachés des mots, non-dits
Il y a tout un jargon «arts plastiques» qui préfère parler de champ pictural
plutôt que de tableau peint, ça ne procède en rien à un décryptage, je vais
presque dire bien au contraire. Souvent un carré rouge va se retrouver
monochrome sans que ça ne change rien...
Ça non plus je n'y crois pas une seconde, ça dépend beaucoup trop du type d'image, et que la même image puisse être perçue de tant de façons différentes montre plutôt que chacun fonctionne avec ses propres mécanismes.
utilisation des couleurs quand elle est en couleur, lignes et positions de différents éléments
Tout ça c'est de l'analyse formelle, et il n'y a là pas plus de décryptage que dans n'importe quelle description. Dès qu'on prête du sens à des constituants, par exemple en disant que les horizontales seraient plutôt statiques et les diagonales dynamiques, on s'expose à de cuisantes déconvenues tout simplement parce que ce qui marche bien dans un cas (différence entre les images posées caméra sur pied par rapport aux images sur le vif caméra sur l'épaule par exemple) peut très bien être démenti l'image suivante (un filé horizontal peut très bien traduire une dynamique, et malgré les diagonales une architecture en contre-plongée traduire un statisme)
de même, utilisation du vocabulaire, sens cachés des mots, non-dits
Il y a tout un jargon «arts plastiques» qui préfère parler de champ pictural plutôt que de tableau peint, ça ne procède en rien à un décryptage, je vais presque dire bien au contraire. Souvent un carré rouge va se retrouver monochrome sans que ça ne change rien...
Bour-Brown
Emma a écrit ( 45ed609a$0$27380$ )
Nous sommes dans une culture où l'image est importante : tableaux, dessins, photos, il y a un sens de lecture.
Tu y tiens, à ton sens de lecture.
Allez hop, une image que j'avais déjà présentée ici : http://www.artunframed.com/images/new_art3/The_Christian_Martyrs_Last_Prayer.jpg
Un truc intéressant, c'est la ronde des crucifiés. Ils sont enduits de bitume ou de poix, et un gus dans les gradins est en train de les allumer. Après ils s'enflamment doucement...
Je dis intéressant, parce qu'ici on a un problème de sens de lecture. Si on est tenant de la lecture gauche -> droite, ça ne marche pas très bien à moins de défendre l'idée d'un moyen plutôt original de nous faire remonter dans le temps puisqu'au fil de la lecture les flammes diminuent et on aboutit en quelque sorte sur des «ressuscités». Si on préfère partir de la droite ne serait-ce qu'à cause d'une accroche perspective liée à la taille, on va littéralement dérouler la séquence du martyre en remontant vers la gauche. On peut enfin partir de ceux qui prient - c'est le titre du tableau - puis découvrir les crucifiés et reconstruire le supplice à partir de là.
Voilà. Une fois de plus je me sers d'une peinture pour montrer la concomitance des démarches, ici ce développement d'une séquence en images successives bien sûr. Présenté en 1883, ce tableau coïncide parfaitement avec les recherches de Muybridge / Marey et je crois avoir lu que Jérôme tenait ce dernier en haute estime (de mémoire, il dut visiter l'atelier de Marey en 90). Bon, c'est sans garantie mais je serais enclin à voir ici une sérieuse influence de la peinture par la photographie.
Est-il vraiment nécessaire de présenter ce genre d'analyse comme étant des décryptages ? Je ne le pense pas, chez les auteurs il n'y a aucune volonté de dissimuler quoi que ce soit.
Quant au sens de lecture ici, pourquoi pas en boustrophédon ? Guidé par les colonnes sur l'émergence des fauves, on part d'eux pour s'arrêter sur le groupe qui prie, puis découverte du supplice, pour finir tout à la fin sur le Capitole...
Emma a écrit
( 45ed609a$0$27380$ba4acef3@news.orange.fr )
Nous sommes dans une culture où l'image est importante : tableaux,
dessins, photos, il y a un sens de lecture.
Tu y tiens, à ton sens de lecture.
Allez hop, une image que j'avais déjà présentée ici :
http://www.artunframed.com/images/new_art3/The_Christian_Martyrs_Last_Prayer.jpg
Un truc intéressant, c'est la ronde des crucifiés. Ils sont enduits de
bitume ou de poix, et un gus dans les gradins est en train de les allumer.
Après ils s'enflamment doucement...
Je dis intéressant, parce qu'ici on a un problème de sens de lecture. Si on
est tenant de la lecture gauche -> droite, ça ne marche pas très bien à
moins de défendre l'idée d'un moyen plutôt original de nous faire remonter
dans le temps puisqu'au fil de la lecture les flammes diminuent et on
aboutit en quelque sorte sur des «ressuscités». Si on préfère partir de la
droite ne serait-ce qu'à cause d'une accroche perspective liée à la taille,
on va littéralement dérouler la séquence du martyre en remontant vers la
gauche. On peut enfin partir de ceux qui prient - c'est le titre du
tableau - puis découvrir les crucifiés et reconstruire le supplice à partir
de là.
Voilà. Une fois de plus je me sers d'une peinture pour montrer la
concomitance des démarches, ici ce développement d'une séquence en images
successives bien sûr. Présenté en 1883, ce tableau coïncide parfaitement
avec les recherches de Muybridge / Marey et je crois avoir lu que Jérôme
tenait ce dernier en haute estime (de mémoire, il dut visiter l'atelier de
Marey en 90). Bon, c'est sans garantie mais je serais enclin à voir ici une
sérieuse influence de la peinture par la photographie.
Est-il vraiment nécessaire de présenter ce genre d'analyse comme étant des
décryptages ? Je ne le pense pas, chez les auteurs il n'y a aucune volonté
de dissimuler quoi que ce soit.
Quant au sens de lecture ici, pourquoi pas en boustrophédon ? Guidé par les
colonnes sur l'émergence des fauves, on part d'eux pour s'arrêter sur le
groupe qui prie, puis découverte du supplice, pour finir tout à la fin sur
le Capitole...
Nous sommes dans une culture où l'image est importante : tableaux, dessins, photos, il y a un sens de lecture.
Tu y tiens, à ton sens de lecture.
Allez hop, une image que j'avais déjà présentée ici : http://www.artunframed.com/images/new_art3/The_Christian_Martyrs_Last_Prayer.jpg
Un truc intéressant, c'est la ronde des crucifiés. Ils sont enduits de bitume ou de poix, et un gus dans les gradins est en train de les allumer. Après ils s'enflamment doucement...
Je dis intéressant, parce qu'ici on a un problème de sens de lecture. Si on est tenant de la lecture gauche -> droite, ça ne marche pas très bien à moins de défendre l'idée d'un moyen plutôt original de nous faire remonter dans le temps puisqu'au fil de la lecture les flammes diminuent et on aboutit en quelque sorte sur des «ressuscités». Si on préfère partir de la droite ne serait-ce qu'à cause d'une accroche perspective liée à la taille, on va littéralement dérouler la séquence du martyre en remontant vers la gauche. On peut enfin partir de ceux qui prient - c'est le titre du tableau - puis découvrir les crucifiés et reconstruire le supplice à partir de là.
Voilà. Une fois de plus je me sers d'une peinture pour montrer la concomitance des démarches, ici ce développement d'une séquence en images successives bien sûr. Présenté en 1883, ce tableau coïncide parfaitement avec les recherches de Muybridge / Marey et je crois avoir lu que Jérôme tenait ce dernier en haute estime (de mémoire, il dut visiter l'atelier de Marey en 90). Bon, c'est sans garantie mais je serais enclin à voir ici une sérieuse influence de la peinture par la photographie.
Est-il vraiment nécessaire de présenter ce genre d'analyse comme étant des décryptages ? Je ne le pense pas, chez les auteurs il n'y a aucune volonté de dissimuler quoi que ce soit.
Quant au sens de lecture ici, pourquoi pas en boustrophédon ? Guidé par les colonnes sur l'émergence des fauves, on part d'eux pour s'arrêter sur le groupe qui prie, puis découverte du supplice, pour finir tout à la fin sur le Capitole...
filh
Bour-Brown wrote:
que dans n'importe quelle description. Dès qu'on prête du sens à des constituants, par exemple en disant que les horizontales seraient plutôt statiques et les diagonales dynamiques, on s'expose à de cuisantes déconvenues tout simplement parce que ce qui marche bien dans un cas (différence entre les images posées caméra sur pied par rapport aux images sur le vif caméra sur l'épaule par exemple) peut très bien être démenti l'image suivante (un filé horizontal peut très bien traduire une dynamique, et malgré les diagonales une architecture en contre-plongée traduire un statisme)
Peut-être simplement que ton exemple est mauvais ou volontairement simpliste par rapport à ce que tu dis ensuite.
S'il s'agissait de codes aussi simples que ce que tu dis, il n'y aurait pas de pb.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <bour-brown@wnd.fr> wrote:
que dans n'importe quelle description. Dès qu'on prête du sens à des
constituants, par exemple en disant que les horizontales seraient plutôt
statiques et les diagonales dynamiques, on s'expose à de cuisantes
déconvenues tout simplement parce que ce qui marche bien dans un cas
(différence entre les images posées caméra sur pied par rapport aux images
sur le vif caméra sur l'épaule par exemple) peut très bien être démenti
l'image suivante (un filé horizontal peut très bien traduire une dynamique,
et malgré les diagonales une architecture en contre-plongée traduire un
statisme)
Peut-être simplement que ton exemple est mauvais ou volontairement
simpliste par rapport à ce que tu dis ensuite.
S'il s'agissait de codes aussi simples que ce que tu dis, il n'y aurait
pas de pb.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
que dans n'importe quelle description. Dès qu'on prête du sens à des constituants, par exemple en disant que les horizontales seraient plutôt statiques et les diagonales dynamiques, on s'expose à de cuisantes déconvenues tout simplement parce que ce qui marche bien dans un cas (différence entre les images posées caméra sur pied par rapport aux images sur le vif caméra sur l'épaule par exemple) peut très bien être démenti l'image suivante (un filé horizontal peut très bien traduire une dynamique, et malgré les diagonales une architecture en contre-plongée traduire un statisme)
Peut-être simplement que ton exemple est mauvais ou volontairement simpliste par rapport à ce que tu dis ensuite.
S'il s'agissait de codes aussi simples que ce que tu dis, il n'y aurait pas de pb.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown
Bour-Brown a écrit ( 45eddd1f$0$27415$ )
et je crois avoir lu que Jérôme...
Gérôme, nom d'une pipe ! Jean-Léon Gérôme, mort d'ailleurs la même année que Étienne-Jules Marey.
Bour-Brown a écrit
( 45eddd1f$0$27415$ba4acef3@news.orange.fr )
et je crois avoir lu que Jérôme...
Gérôme, nom d'une pipe ! Jean-Léon Gérôme, mort d'ailleurs la même année que
Étienne-Jules Marey.
Un truc intéressant, c'est la ronde des crucifiés. Ils sont enduits de bitume ou de poix, et un gus dans les gradins est en train de les allumer. Après ils s'enflamment doucement...
Je dis intéressant, parce qu'ici on a un problème de sens de lecture. Si on est tenant de la lecture gauche -> droite, ça ne marche pas très bien à moins de défendre l'idée d'un moyen plutôt original de nous faire remonter dans le temps puisqu'au fil de la lecture les flammes diminuent et on aboutit en quelque sorte sur des «ressuscités».
Hum... le fait qu'ils n'aient pas encore brûlés ne t'effleure pas ? Et qu'on a commencé à gauche pour finir à droite ?
Sinon... un exemple ne suffit pas. Il existe des constructions bizarres. Comme il existe plein de textes pas forcément écrit dans un super français.
D'un autre côté mis à part qu'ils brûle de droite à gauche tout est organisé ici pour lire de la gauche à la droite, les fauves entrant et ammenant à lire vers le groupe des martyre qui est le « centre » du tableau.
Bref, ton approche est un peu comment dire... orientée :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <bour-brown@wnd.fr> wrote:
Emma a écrit
( 45ed609a$0$27380$ba4acef3@news.orange.fr )
Nous sommes dans une culture où l'image est importante : tableaux,
dessins, photos, il y a un sens de lecture.
Tu y tiens, à ton sens de lecture.
Allez hop, une image que j'avais déjà présentée ici :
Un truc intéressant, c'est la ronde des crucifiés. Ils sont enduits de
bitume ou de poix, et un gus dans les gradins est en train de les allumer.
Après ils s'enflamment doucement...
Je dis intéressant, parce qu'ici on a un problème de sens de lecture. Si on
est tenant de la lecture gauche -> droite, ça ne marche pas très bien à
moins de défendre l'idée d'un moyen plutôt original de nous faire remonter
dans le temps puisqu'au fil de la lecture les flammes diminuent et on
aboutit en quelque sorte sur des «ressuscités».
Hum... le fait qu'ils n'aient pas encore brûlés ne t'effleure pas ? Et
qu'on a commencé à gauche pour finir à droite ?
Sinon... un exemple ne suffit pas. Il existe des constructions bizarres.
Comme il existe plein de textes pas forcément écrit dans un super
français.
D'un autre côté mis à part qu'ils brûle de droite à gauche tout est
organisé ici pour lire de la gauche à la droite, les fauves entrant et
ammenant à lire vers le groupe des martyre qui est le « centre » du
tableau.
Bref, ton approche est un peu comment dire... orientée :)
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Un truc intéressant, c'est la ronde des crucifiés. Ils sont enduits de bitume ou de poix, et un gus dans les gradins est en train de les allumer. Après ils s'enflamment doucement...
Je dis intéressant, parce qu'ici on a un problème de sens de lecture. Si on est tenant de la lecture gauche -> droite, ça ne marche pas très bien à moins de défendre l'idée d'un moyen plutôt original de nous faire remonter dans le temps puisqu'au fil de la lecture les flammes diminuent et on aboutit en quelque sorte sur des «ressuscités».
Hum... le fait qu'ils n'aient pas encore brûlés ne t'effleure pas ? Et qu'on a commencé à gauche pour finir à droite ?
Sinon... un exemple ne suffit pas. Il existe des constructions bizarres. Comme il existe plein de textes pas forcément écrit dans un super français.
D'un autre côté mis à part qu'ils brûle de droite à gauche tout est organisé ici pour lire de la gauche à la droite, les fauves entrant et ammenant à lire vers le groupe des martyre qui est le « centre » du tableau.
Bref, ton approche est un peu comment dire... orientée :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
mh durantet
Alf92 a écrit ( 45ed3d66$0$15547$ )
éduquer très tôt les enfants a savoir décrypter une image pour séparer le bon brain de l'ivraie.
Je crois que le soi-disant décryptage des images est un mythe absolu. Rien n'y est «codé». Les lectures que l'on va faire appartiennent entièrement à la culture des individus et des sociétés qu'ils connaissent.
Gasp ... La sémiologie serait-elle la science des clowns ?
Mhd
Alf92 a écrit
( 45ed3d66$0$15547$426a74cc@news.free.fr )
éduquer très tôt les enfants a savoir décrypter une image pour séparer
le bon brain de l'ivraie.
Je crois que le soi-disant décryptage des images est un mythe absolu. Rien
n'y est «codé». Les lectures que l'on va faire appartiennent entièrement à
la culture des individus et des sociétés qu'ils connaissent.
Gasp ...
La sémiologie serait-elle la science des clowns ?
éduquer très tôt les enfants a savoir décrypter une image pour séparer le bon brain de l'ivraie.
Je crois que le soi-disant décryptage des images est un mythe absolu. Rien n'y est «codé». Les lectures que l'on va faire appartiennent entièrement à la culture des individus et des sociétés qu'ils connaissent.
Gasp ... La sémiologie serait-elle la science des clowns ?
Mhd
Alf92
FiLH () a écrit dans news:1hukt8z.1avp3au13hl6k6N% :
Hum... le fait qu'ils n'aient pas encore brûlés ne t'effleure pas ? Et qu'on a commencé à gauche pour finir à droite ?
ça semble même une évidence. les flammes montent, elle ne descendent pas. elles sont hautes pour les suppliciés de gauche. d'autre part les crucifiés 1 et 3 en partant de la droites portent la tête haute. de plus on distingue parfaitement le bourreau habillé en rouge qui officie sur le n°4. il va donc de gauche à droite.
FiLH (filh@filh.orgie) a écrit
dans news:1hukt8z.1avp3au13hl6k6N%filh@filh.orgie :
Hum... le fait qu'ils n'aient pas encore brûlés ne t'effleure pas ? Et
qu'on a commencé à gauche pour finir à droite ?
ça semble même une évidence.
les flammes montent, elle ne descendent pas. elles sont hautes pour les
suppliciés de gauche.
d'autre part les crucifiés 1 et 3 en partant de la droites portent la
tête haute.
de plus on distingue parfaitement le bourreau habillé en rouge qui
officie sur le n°4.
il va donc de gauche à droite.
FiLH () a écrit dans news:1hukt8z.1avp3au13hl6k6N% :
Hum... le fait qu'ils n'aient pas encore brûlés ne t'effleure pas ? Et qu'on a commencé à gauche pour finir à droite ?
ça semble même une évidence. les flammes montent, elle ne descendent pas. elles sont hautes pour les suppliciés de gauche. d'autre part les crucifiés 1 et 3 en partant de la droites portent la tête haute. de plus on distingue parfaitement le bourreau habillé en rouge qui officie sur le n°4. il va donc de gauche à droite.