Les trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant une
aptitude particulière au trot découlant en particulier de l'angle de leur
épaule. Par sélections successives on a obtenu ces chevaux qui, tout en
restant capable de galoper, affectionnent le trot très rapide.
Ensuite, et c'est là ou la nature est contrecarrée, on leur interdit le
galop, car en course, c'est la disqualification.
Le problème, c'est qu'ils galopent mal.
Il faut donc les rééduquer
Quand ils sont rééduqués, mais c'est long, c'est pour eux une nouvelle
joie car le cheval est galopeur par excellence et y prend un très grand
plaisir.
Les trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant une
aptitude particulière au trot découlant en particulier de l'angle de leur
épaule. Par sélections successives on a obtenu ces chevaux qui, tout en
restant capable de galoper, affectionnent le trot très rapide.
Ensuite, et c'est là ou la nature est contrecarrée, on leur interdit le
galop, car en course, c'est la disqualification.
Le problème, c'est qu'ils galopent mal.
Il faut donc les rééduquer
Quand ils sont rééduqués, mais c'est long, c'est pour eux une nouvelle
joie car le cheval est galopeur par excellence et y prend un très grand
plaisir.
Les trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant une
aptitude particulière au trot découlant en particulier de l'angle de leur
épaule. Par sélections successives on a obtenu ces chevaux qui, tout en
restant capable de galoper, affectionnent le trot très rapide.
Ensuite, et c'est là ou la nature est contrecarrée, on leur interdit le
galop, car en course, c'est la disqualification.
Le problème, c'est qu'ils galopent mal.
Il faut donc les rééduquer
Quand ils sont rééduqués, mais c'est long, c'est pour eux une nouvelle
joie car le cheval est galopeur par excellence et y prend un très grand
plaisir.
Les trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant une
aptitude particulière au trot découlant en particulier de l'angle de
leur
épaule. Par sélections successives on a obtenu ces chevaux qui, tout en
restant capable de galoper, affectionnent le trot très rapide.
Ils sont capables de galoper, mais leur nature leur font aimer le trot.
Je note.
Les trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant une
aptitude particulière au trot découlant en particulier de l'angle de
leur
épaule. Par sélections successives on a obtenu ces chevaux qui, tout en
restant capable de galoper, affectionnent le trot très rapide.
Ils sont capables de galoper, mais leur nature leur font aimer le trot.
Je note.
Les trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant une
aptitude particulière au trot découlant en particulier de l'angle de
leur
épaule. Par sélections successives on a obtenu ces chevaux qui, tout en
restant capable de galoper, affectionnent le trot très rapide.
Ils sont capables de galoper, mais leur nature leur font aimer le trot.
Je note.
plutôt que de citer des cas où l'humain impose ses règles à
laTerreEntière, cites nous un seul cas où il ne le fait pas.
plutôt que de citer des cas où l'humain impose ses règles à
laTerreEntière, cites nous un seul cas où il ne le fait pas.
plutôt que de citer des cas où l'humain impose ses règles à
laTerreEntière, cites nous un seul cas où il ne le fait pas.
Ghost Rider a écrit
( news:491f66df$0$897$ )Les trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant
une aptitude particulière au trot découlant en particulier de
l'angle de leur épaule. Par sélections successives on a obtenu ces
chevaux qui, tout en restant capable de galoper, affectionnent le
trot très rapide.
Ils sont capables de galoper, mais leur nature leur font aimer le
trot. Je note.Ensuite, et c'est là ou la nature est contrecarrée, on leur interdit
le galop, car en course, c'est la disqualification.
Elle n'est pas contrecarrée puisque par construction leur nature est
d'aimer le trot.Le problème, c'est qu'ils galopent mal.
Pour qui, le problème ? Plus pour eux en tout cas.Il faut donc les rééduquer
Tiens donc.Quand ils sont rééduqués, mais c'est long, c'est pour eux une
nouvelle joie car le cheval est galopeur par excellence et y prend
un très grand plaisir.
Si je comprends bien leur nature c'est de trotter, ce qu'ils
finissent par faire fort bien, et pour satisfaire ensuite ceux qui
les ont achetés, leur nature devient d'aimer le galop.
Cela s'appelle la nature à géométrie variable, et c'est presqu'aussi
beau que l'amour du cheval moi je trouve.
Ghost Rider a écrit
( news:491f66df$0$897$ba4acef3@news.orange.fr )
Les trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant
une aptitude particulière au trot découlant en particulier de
l'angle de leur épaule. Par sélections successives on a obtenu ces
chevaux qui, tout en restant capable de galoper, affectionnent le
trot très rapide.
Ils sont capables de galoper, mais leur nature leur font aimer le
trot. Je note.
Ensuite, et c'est là ou la nature est contrecarrée, on leur interdit
le galop, car en course, c'est la disqualification.
Elle n'est pas contrecarrée puisque par construction leur nature est
d'aimer le trot.
Le problème, c'est qu'ils galopent mal.
Pour qui, le problème ? Plus pour eux en tout cas.
Il faut donc les rééduquer
Tiens donc.
Quand ils sont rééduqués, mais c'est long, c'est pour eux une
nouvelle joie car le cheval est galopeur par excellence et y prend
un très grand plaisir.
Si je comprends bien leur nature c'est de trotter, ce qu'ils
finissent par faire fort bien, et pour satisfaire ensuite ceux qui
les ont achetés, leur nature devient d'aimer le galop.
Cela s'appelle la nature à géométrie variable, et c'est presqu'aussi
beau que l'amour du cheval moi je trouve.
Ghost Rider a écrit
( news:491f66df$0$897$ )Les trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant
une aptitude particulière au trot découlant en particulier de
l'angle de leur épaule. Par sélections successives on a obtenu ces
chevaux qui, tout en restant capable de galoper, affectionnent le
trot très rapide.
Ils sont capables de galoper, mais leur nature leur font aimer le
trot. Je note.Ensuite, et c'est là ou la nature est contrecarrée, on leur interdit
le galop, car en course, c'est la disqualification.
Elle n'est pas contrecarrée puisque par construction leur nature est
d'aimer le trot.Le problème, c'est qu'ils galopent mal.
Pour qui, le problème ? Plus pour eux en tout cas.Il faut donc les rééduquer
Tiens donc.Quand ils sont rééduqués, mais c'est long, c'est pour eux une
nouvelle joie car le cheval est galopeur par excellence et y prend
un très grand plaisir.
Si je comprends bien leur nature c'est de trotter, ce qu'ils
finissent par faire fort bien, et pour satisfaire ensuite ceux qui
les ont achetés, leur nature devient d'aimer le galop.
Cela s'appelle la nature à géométrie variable, et c'est presqu'aussi
beau que l'amour du cheval moi je trouve.
Eric_O a écritbon, pour ce qui est l'autre moitié de la vie des trotteurs, je ne crois
pas qu'on les force mais justement on les rééduque, non ?
Mettre quatre ans pour réussir à faire galoper un cheval sur place, tu
parles d'une rééducation.
Un peu comme si on décidait de forcer un gaucher contrarié, une fois
adulte,
à écrire de la main gauche justement parce que dans sa jeunesse on l'avait
contraint à utiliser sa main droite.
Par respect pour la nature bien sûr. Au départ pour celle de l'écriture
occidentale, ensuite pour celle de l'individu.
(c'est ça qui est pratique avec la nature, elle a bon dos)
Eric_O a écrit
bon, pour ce qui est l'autre moitié de la vie des trotteurs, je ne crois
pas qu'on les force mais justement on les rééduque, non ?
Mettre quatre ans pour réussir à faire galoper un cheval sur place, tu
parles d'une rééducation.
Un peu comme si on décidait de forcer un gaucher contrarié, une fois
adulte,
à écrire de la main gauche justement parce que dans sa jeunesse on l'avait
contraint à utiliser sa main droite.
Par respect pour la nature bien sûr. Au départ pour celle de l'écriture
occidentale, ensuite pour celle de l'individu.
(c'est ça qui est pratique avec la nature, elle a bon dos)
Eric_O a écritbon, pour ce qui est l'autre moitié de la vie des trotteurs, je ne crois
pas qu'on les force mais justement on les rééduque, non ?
Mettre quatre ans pour réussir à faire galoper un cheval sur place, tu
parles d'une rééducation.
Un peu comme si on décidait de forcer un gaucher contrarié, une fois
adulte,
à écrire de la main gauche justement parce que dans sa jeunesse on l'avait
contraint à utiliser sa main droite.
Par respect pour la nature bien sûr. Au départ pour celle de l'écriture
occidentale, ensuite pour celle de l'individu.
(c'est ça qui est pratique avec la nature, elle a bon dos)
Ghost Rider a écritLes trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant une
aptitude particulière au trot découlant en particulier de l'angle de
leur épaule. Par sélections successives on a obtenu ces chevaux qui, tout en
restant capable de galoper, affectionnent le trot très rapide.
Ils sont capables de galoper, mais leur nature leur font aimer le trot.
Je note.
Ensuite, et c'est là ou la nature est contrecarrée, on leur interdit le
galop, car en course, c'est la disqualification.
Elle n'est pas contrecarrée puisque par construction leur nature est
d'aimer le trot.
Le problème, c'est qu'ils galopent mal.
Pour qui, le problème ? Plus pour eux en tout cas.
Il faut donc les rééduquer
Tiens donc.
Quand ils sont rééduqués, mais c'est long, c'est pour eux une nouvelle
joie car le cheval est galopeur par excellence et y prend un très grand
plaisir.
Si je comprends bien leur nature c'est de trotter, ce qu'ils finissent par
faire fort bien, et pour satisfaire ensuite ceux qui les ont achetés, leur
nature devient d'aimer le galop.
Cela s'appelle la nature à géométrie variable, et c'est presqu'aussi beau
que l'amour du cheval moi je trouve.
Ghost Rider a écrit
Les trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant une
aptitude particulière au trot découlant en particulier de l'angle de
leur épaule. Par sélections successives on a obtenu ces chevaux qui, tout en
restant capable de galoper, affectionnent le trot très rapide.
Ils sont capables de galoper, mais leur nature leur font aimer le trot.
Je note.
Ensuite, et c'est là ou la nature est contrecarrée, on leur interdit le
galop, car en course, c'est la disqualification.
Elle n'est pas contrecarrée puisque par construction leur nature est
d'aimer le trot.
Le problème, c'est qu'ils galopent mal.
Pour qui, le problème ? Plus pour eux en tout cas.
Il faut donc les rééduquer
Tiens donc.
Quand ils sont rééduqués, mais c'est long, c'est pour eux une nouvelle
joie car le cheval est galopeur par excellence et y prend un très grand
plaisir.
Si je comprends bien leur nature c'est de trotter, ce qu'ils finissent par
faire fort bien, et pour satisfaire ensuite ceux qui les ont achetés, leur
nature devient d'aimer le galop.
Cela s'appelle la nature à géométrie variable, et c'est presqu'aussi beau
que l'amour du cheval moi je trouve.
Ghost Rider a écritLes trotteurs français sont une race créée à partir de chevaux ayant une
aptitude particulière au trot découlant en particulier de l'angle de
leur épaule. Par sélections successives on a obtenu ces chevaux qui, tout en
restant capable de galoper, affectionnent le trot très rapide.
Ils sont capables de galoper, mais leur nature leur font aimer le trot.
Je note.
Ensuite, et c'est là ou la nature est contrecarrée, on leur interdit le
galop, car en course, c'est la disqualification.
Elle n'est pas contrecarrée puisque par construction leur nature est
d'aimer le trot.
Le problème, c'est qu'ils galopent mal.
Pour qui, le problème ? Plus pour eux en tout cas.
Il faut donc les rééduquer
Tiens donc.
Quand ils sont rééduqués, mais c'est long, c'est pour eux une nouvelle
joie car le cheval est galopeur par excellence et y prend un très grand
plaisir.
Si je comprends bien leur nature c'est de trotter, ce qu'ils finissent par
faire fort bien, et pour satisfaire ensuite ceux qui les ont achetés, leur
nature devient d'aimer le galop.
Cela s'appelle la nature à géométrie variable, et c'est presqu'aussi beau
que l'amour du cheval moi je trouve.
Tu pourais pas parler photo ?
Tu pourais pas parler photo ?
Tu pourais pas parler photo ?
[...]
Si l'homme n'avait pas "conquis" le cheval, celui-ci n'existerait plus,
pourchassé par les prédateurs, dont l'homme, pour sa viande.
[...]
Si l'homme n'avait pas "conquis" le cheval, celui-ci n'existerait plus,
pourchassé par les prédateurs, dont l'homme, pour sa viande.
[...]
Si l'homme n'avait pas "conquis" le cheval, celui-ci n'existerait plus,
pourchassé par les prédateurs, dont l'homme, pour sa viande.
Ghost Rider a écrit :[...]
Si l'homme n'avait pas "conquis" le cheval, celui-ci n'existerait plus,
pourchassé par les prédateurs, dont l'homme, pour sa viande.
là non, l'anthropomorphisme est déplacé.
l'homme n'aurait pas conquis le cheval si l'homme n'avait pas
existé (ou suivi une toute autre évolution, ce qui serait une
spéculation plus hasardeuse encore), donc l'homme ne les aurait
pas tous bouffé, pas plus que d'autres prédateurs, à tout le
moins rien n'autorise cette spéculation - il existe encore des
zèbres malgré les lions, exemple déjà donné.
Ghost Rider a écrit :
[...]
Si l'homme n'avait pas "conquis" le cheval, celui-ci n'existerait plus,
pourchassé par les prédateurs, dont l'homme, pour sa viande.
là non, l'anthropomorphisme est déplacé.
l'homme n'aurait pas conquis le cheval si l'homme n'avait pas
existé (ou suivi une toute autre évolution, ce qui serait une
spéculation plus hasardeuse encore), donc l'homme ne les aurait
pas tous bouffé, pas plus que d'autres prédateurs, à tout le
moins rien n'autorise cette spéculation - il existe encore des
zèbres malgré les lions, exemple déjà donné.
Ghost Rider a écrit :[...]
Si l'homme n'avait pas "conquis" le cheval, celui-ci n'existerait plus,
pourchassé par les prédateurs, dont l'homme, pour sa viande.
là non, l'anthropomorphisme est déplacé.
l'homme n'aurait pas conquis le cheval si l'homme n'avait pas
existé (ou suivi une toute autre évolution, ce qui serait une
spéculation plus hasardeuse encore), donc l'homme ne les aurait
pas tous bouffé, pas plus que d'autres prédateurs, à tout le
moins rien n'autorise cette spéculation - il existe encore des
zèbres malgré les lions, exemple déjà donné.
Si l'homme n'avait pas "conquis" le cheval, celui-ci n'existerait plus,
pourchassé par les prédateurs, dont l'homme, pour sa viande.
là non, l'anthropomorphisme est déplacé.
l'homme n'aurait pas conquis le cheval si l'homme n'avait pas
existé (ou suivi une toute autre évolution, ce qui serait une
spéculation plus hasardeuse encore), donc l'homme ne les aurait
pas tous bouffé, pas plus que d'autres prédateurs, à tout le
moins rien n'autorise cette spéculation - il existe encore des
zèbres malgré les lions, exemple déjà donné.
Alors, je rajoute "probablement", car d'autres animaux moins corvéables
et plus vulnérable, donc moins chanceux, ont disparu dans les estomacs
humains, les dodos, les bisons, les aurochs, et ne parlons pas des
baleines, massacrées au 19ème siècle et ça continue, jusqu'à quand ?
Mais heureusement, le cheval moderne, quasi création de l'homme, comme
le chien, l'âne, le chameau ou le boeuf, peut travailler dur, c'est ce
qui le sauve.
Si l'homme n'avait pas "conquis" le cheval, celui-ci n'existerait plus,
pourchassé par les prédateurs, dont l'homme, pour sa viande.
là non, l'anthropomorphisme est déplacé.
l'homme n'aurait pas conquis le cheval si l'homme n'avait pas
existé (ou suivi une toute autre évolution, ce qui serait une
spéculation plus hasardeuse encore), donc l'homme ne les aurait
pas tous bouffé, pas plus que d'autres prédateurs, à tout le
moins rien n'autorise cette spéculation - il existe encore des
zèbres malgré les lions, exemple déjà donné.
Alors, je rajoute "probablement", car d'autres animaux moins corvéables
et plus vulnérable, donc moins chanceux, ont disparu dans les estomacs
humains, les dodos, les bisons, les aurochs, et ne parlons pas des
baleines, massacrées au 19ème siècle et ça continue, jusqu'à quand ?
Mais heureusement, le cheval moderne, quasi création de l'homme, comme
le chien, l'âne, le chameau ou le boeuf, peut travailler dur, c'est ce
qui le sauve.
Si l'homme n'avait pas "conquis" le cheval, celui-ci n'existerait plus,
pourchassé par les prédateurs, dont l'homme, pour sa viande.
là non, l'anthropomorphisme est déplacé.
l'homme n'aurait pas conquis le cheval si l'homme n'avait pas
existé (ou suivi une toute autre évolution, ce qui serait une
spéculation plus hasardeuse encore), donc l'homme ne les aurait
pas tous bouffé, pas plus que d'autres prédateurs, à tout le
moins rien n'autorise cette spéculation - il existe encore des
zèbres malgré les lions, exemple déjà donné.
Alors, je rajoute "probablement", car d'autres animaux moins corvéables
et plus vulnérable, donc moins chanceux, ont disparu dans les estomacs
humains, les dodos, les bisons, les aurochs, et ne parlons pas des
baleines, massacrées au 19ème siècle et ça continue, jusqu'à quand ?
Mais heureusement, le cheval moderne, quasi création de l'homme, comme
le chien, l'âne, le chameau ou le boeuf, peut travailler dur, c'est ce
qui le sauve.