Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors que M. Guéan, directeur de
campagne du président-candidat d'origine hongroise était déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça
ose tout, c'est à ça qu'on les reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne mais en tant que _ministre de
l'intérieur_ qui a entre autre, autorité sur le la direction générale de la police nationale, la
direction générale de la gendarmerie nationale, la direction de la sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :
L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors que M. Guéan, directeur de
campagne du président-candidat d'origine hongroise était déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça
ose tout, c'est à ça qu'on les reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne mais en tant que _ministre de
l'intérieur_ qui a entre autre, autorité sur le la direction générale de la police nationale, la
direction générale de la gendarmerie nationale, la direction de la sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors que M. Guéan, directeur de
campagne du président-candidat d'origine hongroise était déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça
ose tout, c'est à ça qu'on les reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne mais en tant que _ministre de
l'intérieur_ qui a entre autre, autorité sur le la direction générale de la police nationale, la
direction générale de la gendarmerie nationale, la direction de la sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Colonial a formulé ce vendredi :Demeter avait soumis l'idée :Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.
Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !
Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.
La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place.
Quelles que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de
l'officier chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes
d'engagement, le préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une
volonté de couvrir de la manière la plus hermétique qui soit les détails
de l'opération?
Il semble que ça râlait chez les flics, de se retrouver avec Guéant dans
leurs pattes.
Colonial a formulé ce vendredi :
Demeter avait soumis l'idée :
Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.
Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !
Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.
La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place.
Quelles que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de
l'officier chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes
d'engagement, le préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une
volonté de couvrir de la manière la plus hermétique qui soit les détails
de l'opération?
Il semble que ça râlait chez les flics, de se retrouver avec Guéant dans
leurs pattes.
Colonial a formulé ce vendredi :Demeter avait soumis l'idée :Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.
Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !
Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.
La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place.
Quelles que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de
l'officier chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes
d'engagement, le préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une
volonté de couvrir de la manière la plus hermétique qui soit les détails
de l'opération?
Il semble que ça râlait chez les flics, de se retrouver avec Guéant dans
leurs pattes.
Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors
que M. Guéan, directeur de campagne du président-candidat d'origine
hongroise était déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça ose tout,
c'est à ça qu'on les reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne
mais en tant que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre,
autorité sur le la direction générale de la police nationale, la
direction générale de la gendarmerie nationale, la direction de la
sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :
L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors
que M. Guéan, directeur de campagne du président-candidat d'origine
hongroise était déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça ose tout,
c'est à ça qu'on les reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne
mais en tant que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre,
autorité sur le la direction générale de la police nationale, la
direction générale de la gendarmerie nationale, la direction de la
sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors
que M. Guéan, directeur de campagne du président-candidat d'origine
hongroise était déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça ose tout,
c'est à ça qu'on les reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne
mais en tant que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre,
autorité sur le la direction générale de la police nationale, la
direction générale de la gendarmerie nationale, la direction de la
sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:4f6c6f56$0$718$Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors
que M. Guéan, directeur de campagne du président-candidat
d'origine hongroise était déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça
ose tout, c'est à ça qu'on les reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne
mais en tant que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre,
autorité sur le la direction générale de la police nationale, la
direction générale de la gendarmerie nationale, la direction de la
sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Lors de la prise d'otage dans l'airbus en 1994 par des islamistes
du GIA, c'est le premier ministre Balladur qui avait tout supervisé
et personne n'avait rien trouvé à y redire.
"Marc-Antoine" <marcom@unknown.invalid> a écrit dans le message de
news:4f6c6f56$0$718$426a34cc@news.free.fr...
Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :
L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors
que M. Guéan, directeur de campagne du président-candidat
d'origine hongroise était déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça
ose tout, c'est à ça qu'on les reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne
mais en tant que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre,
autorité sur le la direction générale de la police nationale, la
direction générale de la gendarmerie nationale, la direction de la
sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Lors de la prise d'otage dans l'airbus en 1994 par des islamistes
du GIA, c'est le premier ministre Balladur qui avait tout supervisé
et personne n'avait rien trouvé à y redire.
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:4f6c6f56$0$718$Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors
que M. Guéan, directeur de campagne du président-candidat
d'origine hongroise était déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça
ose tout, c'est à ça qu'on les reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne
mais en tant que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre,
autorité sur le la direction générale de la police nationale, la
direction générale de la gendarmerie nationale, la direction de la
sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Lors de la prise d'otage dans l'airbus en 1994 par des islamistes
du GIA, c'est le premier ministre Balladur qui avait tout supervisé
et personne n'avait rien trouvé à y redire.
Le 23/03/2012 11:32, Colonial a écrit :Demeter avait soumis l'idée :Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.
Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !
Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.
La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place.
Quelles que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de
l'officier chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes
d'engagement, le préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une
volonté de couvrir de la manière la plus hermétique qui soit les détails de
l'opération?
... On est tout simplement en campagne électorale ... ;-)
Le 23/03/2012 11:32, Colonial a écrit :
Demeter avait soumis l'idée :
Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.
Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !
Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.
La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place.
Quelles que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de
l'officier chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes
d'engagement, le préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une
volonté de couvrir de la manière la plus hermétique qui soit les détails de
l'opération?
... On est tout simplement en campagne électorale ... ;-)
Le 23/03/2012 11:32, Colonial a écrit :Demeter avait soumis l'idée :Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.
Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !
Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.
La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place.
Quelles que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de
l'officier chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes
d'engagement, le préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une
volonté de couvrir de la manière la plus hermétique qui soit les détails de
l'opération?
... On est tout simplement en campagne électorale ... ;-)
"NB" a écrit dans le message de news:Colonial a formulé ce vendredi :Demeter avait soumis l'idée :Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.
Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !
Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.
La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place.
Quelles que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de
l'officier chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes
d'engagement, le préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une
volonté de couvrir de la manière la plus hermétique qui soit les détails
de l'opération?
Il semble que ça râlait chez les flics, de se retrouver avec Guéant dans
leurs pattes.
Là, je les comprend.
"NB" <nobody@nowhere.com> a écrit dans le message de news:
mn.bab97dc38f3c5e22.84911@nowhere.com...
Colonial a formulé ce vendredi :
Demeter avait soumis l'idée :
Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.
Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !
Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.
La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place.
Quelles que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de
l'officier chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes
d'engagement, le préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une
volonté de couvrir de la manière la plus hermétique qui soit les détails
de l'opération?
Il semble que ça râlait chez les flics, de se retrouver avec Guéant dans
leurs pattes.
Là, je les comprend.
"NB" a écrit dans le message de news:Colonial a formulé ce vendredi :Demeter avait soumis l'idée :Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.
Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !
Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.
La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place.
Quelles que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de
l'officier chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes
d'engagement, le préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une
volonté de couvrir de la manière la plus hermétique qui soit les détails
de l'opération?
Il semble que ça râlait chez les flics, de se retrouver avec Guéant dans
leurs pattes.
Là, je les comprend.
Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors que M.
Guéan, directeur de campagne du président-candidat d'origine hongroise était
déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça ose tout, c'est à ça qu'on les
reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne mais en tant
que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre, autorité sur le la direction
générale de la police nationale, la direction générale de la gendarmerie
nationale, la direction de la sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :
L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors que M.
Guéan, directeur de campagne du président-candidat d'origine hongroise était
déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça ose tout, c'est à ça qu'on les
reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne mais en tant
que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre, autorité sur le la direction
générale de la police nationale, la direction générale de la gendarmerie
nationale, la direction de la sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors que M.
Guéan, directeur de campagne du président-candidat d'origine hongroise était
déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça ose tout, c'est à ça qu'on les
reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne mais en tant
que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre, autorité sur le la direction
générale de la police nationale, la direction générale de la gendarmerie
nationale, la direction de la sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:4f6c6f56$0$718$Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors que M.
Guéan, directeur de campagne du président-candidat d'origine hongroise
était
déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça ose tout, c'est à ça qu'on les
reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne mais en
tant
que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre, autorité sur le la
direction
générale de la police nationale, la direction générale de la gendarmerie
nationale, la direction de la sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Tu en sais quoi s'il n'a pas agi aussi en tant que directeur de campagne?
Il va se gêner! Cette affaire est du pain béni pour eux,
et il y a de nombreuses zones d'ombre.
Sarkozy maire de Neuilly intervenant dans l'affaire Human Bomb, c'était pas
du tout avec des arrières pensées électoralistes? #AngélismeDeDroite.
"Marc-Antoine" <marcom@unknown.invalid> a écrit dans le message de
news:4f6c6f56$0$718$426a34cc@news.free.fr...
Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :
L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors que M.
Guéan, directeur de campagne du président-candidat d'origine hongroise
était
déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça ose tout, c'est à ça qu'on les
reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne mais en
tant
que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre, autorité sur le la
direction
générale de la police nationale, la direction générale de la gendarmerie
nationale, la direction de la sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Tu en sais quoi s'il n'a pas agi aussi en tant que directeur de campagne?
Il va se gêner! Cette affaire est du pain béni pour eux,
et il y a de nombreuses zones d'ombre.
Sarkozy maire de Neuilly intervenant dans l'affaire Human Bomb, c'était pas
du tout avec des arrières pensées électoralistes? #AngélismeDeDroite.
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:4f6c6f56$0$718$Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors que M.
Guéan, directeur de campagne du président-candidat d'origine hongroise
était
déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça ose tout, c'est à ça qu'on les
reconnait.
Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne mais en
tant
que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre, autorité sur le la
direction
générale de la police nationale, la direction générale de la gendarmerie
nationale, la direction de la sécurité civile ,etc..
Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?
Tu en sais quoi s'il n'a pas agi aussi en tant que directeur de campagne?
Il va se gêner! Cette affaire est du pain béni pour eux,
et il y a de nombreuses zones d'ombre.
Sarkozy maire de Neuilly intervenant dans l'affaire Human Bomb, c'était pas
du tout avec des arrières pensées électoralistes? #AngélismeDeDroite.
et il y a de nombreuses zones d'ombre.
Vous auriez un scoop à nous dévoiler ?
et il y a de nombreuses zones d'ombre.
Vous auriez un scoop à nous dévoiler ?
et il y a de nombreuses zones d'ombre.
Vous auriez un scoop à nous dévoiler ?
et il y a de nombreuses zones d'ombre.Vous auriez un scoop à nous dévoiler ?
Je pose simplement des questions, tu t'embrouilles là.
- Pourquoi a-t-il été localisé presqu'instantanément, alors que pour
l'assissinat des militaires on ne la pas retrouvé? Aurait-on laisser
faire?
- Pourquoi a-t-il été dit qu'il avait fait plusieurs voyages au Pakistan et
en Afghanistan alors qu'il n'y en a aucune trace?
- Pourquoi si l'on savait qu'il était si dangereux il n'a pas été surveillé
sérieusement?
Mais j'ai l'impression que tu as les réponses puisque pour toi ce ne sont
pas des zones d'ombre. Je t'écoute.
et il y a de nombreuses zones d'ombre.
Vous auriez un scoop à nous dévoiler ?
Je pose simplement des questions, tu t'embrouilles là.
- Pourquoi a-t-il été localisé presqu'instantanément, alors que pour
l'assissinat des militaires on ne la pas retrouvé? Aurait-on laisser
faire?
- Pourquoi a-t-il été dit qu'il avait fait plusieurs voyages au Pakistan et
en Afghanistan alors qu'il n'y en a aucune trace?
- Pourquoi si l'on savait qu'il était si dangereux il n'a pas été surveillé
sérieusement?
Mais j'ai l'impression que tu as les réponses puisque pour toi ce ne sont
pas des zones d'ombre. Je t'écoute.
et il y a de nombreuses zones d'ombre.Vous auriez un scoop à nous dévoiler ?
Je pose simplement des questions, tu t'embrouilles là.
- Pourquoi a-t-il été localisé presqu'instantanément, alors que pour
l'assissinat des militaires on ne la pas retrouvé? Aurait-on laisser
faire?
- Pourquoi a-t-il été dit qu'il avait fait plusieurs voyages au Pakistan et
en Afghanistan alors qu'il n'y en a aucune trace?
- Pourquoi si l'on savait qu'il était si dangereux il n'a pas été surveillé
sérieusement?
Mais j'ai l'impression que tu as les réponses puisque pour toi ce ne sont
pas des zones d'ombre. Je t'écoute.