"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> a écrit dans le message de news: ft7iv9$g50$
Dans <news:,
"C'est comme si on voulait faire passer un camion sous un tunnel, alors qu' il est trop grand. Il faudrait en couper un bout. Je pense que c'est ce qui arrive à Roger Federer." *Pierre Barthes*
ce n'est qu'une question de bon sens
jpw
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> a écrit dans le message de news:
ft7iv9$g50$1@registered.motzarella.org...
Dans <news:uxmyoahyml.fsf@shadow.enseirb.fr>,
"C'est comme si on voulait faire passer un camion sous un tunnel, alors
qu' il est trop grand. Il faudrait en couper un bout. Je pense que c'est
ce qui arrive à Roger Federer."
*Pierre Barthes*
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> a écrit dans le message de news: ft7iv9$g50$
Dans <news:,
"C'est comme si on voulait faire passer un camion sous un tunnel, alors qu' il est trop grand. Il faudrait en couper un bout. Je pense que c'est ce qui arrive à Roger Federer." *Pierre Barthes*
ce n'est qu'une question de bon sens
jpw
Ghost Rider
Ou pour le dire autrement moi j'aime les photos que je ne suis pas capa ble de faire, eux aiment les photos qu'ils font.
Tu as donc une conception Cornélienne de la photo, là où ils préf èrent Racine. N'est-il pas ?
GR
Ou pour le dire autrement moi j'aime les photos que je ne suis pas capa ble
de faire, eux aiment les photos qu'ils font.
Tu as donc une conception Cornélienne de la photo, là où ils préf èrent
Racine. N'est-il pas ?
Ou pour le dire autrement moi j'aime les photos que je ne suis pas capa ble de faire, eux aiment les photos qu'ils font.
Tu as donc une conception Cornélienne de la photo, là où ils préf èrent Racine. N'est-il pas ?
GR
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Ou pour le dire autrement moi j'aime les photos que je ne suis pas capable de faire, eux aiment les photos qu'ils font.
Tu as donc une conception Cornélienne de la photo, là où ils préfèrent Racine. N'est-il pas ?
GR
Est-ce que ça me paraîtra aussi beau ce que tu dis là le jour où je
comprendrais ce que tu voulais dire ? Je me demande. Moi, eux, Corneille, Racine. Et Freud, dans tout ça ? Et la bataille d'Hernani, les pelures d'orange et les trognons de choux ?
Noëlle Adam.
Ou pour le dire autrement moi j'aime les photos que je ne suis pas
capable
de faire, eux aiment les photos qu'ils font.
Tu as donc une conception Cornélienne de la photo, là où ils préfèrent
Racine. N'est-il pas ?
GR
Est-ce que ça me paraîtra aussi beau ce que tu dis là le jour où je
comprendrais ce que tu voulais dire ? Je me demande.
Moi, eux, Corneille, Racine. Et Freud, dans tout ça ? Et la bataille
d'Hernani, les pelures d'orange et les trognons de choux ?
Ou pour le dire autrement moi j'aime les photos que je ne suis pas capable de faire, eux aiment les photos qu'ils font.
Tu as donc une conception Cornélienne de la photo, là où ils préfèrent Racine. N'est-il pas ?
GR
Est-ce que ça me paraîtra aussi beau ce que tu dis là le jour où je
comprendrais ce que tu voulais dire ? Je me demande. Moi, eux, Corneille, Racine. Et Freud, dans tout ça ? Et la bataille d'Hernani, les pelures d'orange et les trognons de choux ?
Noëlle Adam.
Ghost Rider
Ou pour le dire autrement moi j'aime les photos que je ne suis pas capable de faire, eux aiment les photos qu'ils font.
Tu as donc une conception Cornélienne de la photo, là où ils pré fèrent Racine. N'est-il pas ?
Est-ce que ça me paraîtra aussi beau ce que tu dis là le jour où je comprendrais ce que tu voulais dire ? Je me demande. Moi, eux, Corneille, Racine. Et Freud, dans tout ça ? Et la bataille d'Hernani, les pelures d'orange et les trognons de choux ?
Je fais appel à tes souvenirs de lycée: Corneille dépeint les homme s tels qu'ils devraient être, et Racine les décrit tels qu'ils sont... :-)
Ghost Reader
Ou pour le dire autrement moi j'aime les photos que je ne suis pas
capable
de faire, eux aiment les photos qu'ils font.
Tu as donc une conception Cornélienne de la photo, là où ils pré fèrent
Racine. N'est-il pas ?
Est-ce que ça me paraîtra aussi beau ce que tu dis là le jour où je
comprendrais ce que tu voulais dire ? Je me demande.
Moi, eux, Corneille, Racine. Et Freud, dans tout ça ? Et la bataille
d'Hernani, les pelures d'orange et les trognons de choux ?
Je fais appel à tes souvenirs de lycée: Corneille dépeint les homme s
tels qu'ils devraient être, et Racine les décrit tels qu'ils sont...
:-)
Ou pour le dire autrement moi j'aime les photos que je ne suis pas capable de faire, eux aiment les photos qu'ils font.
Tu as donc une conception Cornélienne de la photo, là où ils pré fèrent Racine. N'est-il pas ?
Est-ce que ça me paraîtra aussi beau ce que tu dis là le jour où je comprendrais ce que tu voulais dire ? Je me demande. Moi, eux, Corneille, Racine. Et Freud, dans tout ça ? Et la bataille d'Hernani, les pelures d'orange et les trognons de choux ?
Je fais appel à tes souvenirs de lycée: Corneille dépeint les homme s tels qu'ils devraient être, et Racine les décrit tels qu'ils sont... :-)
Ghost Reader
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Je fais appel à tes souvenirs de lycée: Corneille dépeint les hommes tels qu'ils devraient être, et Racine les décrit tels qu'ils sont... :-)
Ghost Reader
Ah ok. J'ai du zapper la formule, j'avais comme une tendance moi aussi à préférer un bon bouquin aux cours de littérature. Là je pensais plutôt au style et à la façon différente d'être théâtral. Quand j'étais ado, j'adorais les grandes phrases et les rugissements à la Corneille, mon truc préféré c'était de déclamer la tirade de Camille complétement hystérique. Racine me rasait. Et puis plus tard adulte j'ai découvert qu'en lisant Racine à voix haute, on était complétement porté, que tout coulait de source. Tout est inscrit dans la musique du texte, une vraie partition. J'ai vaguement senti qu'il y avait une déclaration d'idéalisme dans ce que disait Bour-brown, mais pas forcément les implications et applications.
Noëlle Adam.
Je fais appel à tes souvenirs de lycée: Corneille dépeint les hommes
tels qu'ils devraient être, et Racine les décrit tels qu'ils sont...
:-)
Ghost Reader
Ah ok. J'ai du zapper la formule, j'avais comme une tendance moi aussi à
préférer un bon bouquin aux cours de littérature. Là je pensais plutôt
au style et à la façon différente d'être théâtral. Quand j'étais ado,
j'adorais les grandes phrases et les rugissements à la Corneille, mon
truc préféré c'était de déclamer la tirade de Camille complétement
hystérique. Racine me rasait. Et puis plus tard adulte j'ai découvert
qu'en lisant Racine à voix haute, on était complétement porté, que tout
coulait de source. Tout est inscrit dans la musique du texte, une vraie
partition.
J'ai vaguement senti qu'il y avait une déclaration d'idéalisme dans ce
que disait Bour-brown, mais pas forcément les implications et applications.
Je fais appel à tes souvenirs de lycée: Corneille dépeint les hommes tels qu'ils devraient être, et Racine les décrit tels qu'ils sont... :-)
Ghost Reader
Ah ok. J'ai du zapper la formule, j'avais comme une tendance moi aussi à préférer un bon bouquin aux cours de littérature. Là je pensais plutôt au style et à la façon différente d'être théâtral. Quand j'étais ado, j'adorais les grandes phrases et les rugissements à la Corneille, mon truc préféré c'était de déclamer la tirade de Camille complétement hystérique. Racine me rasait. Et puis plus tard adulte j'ai découvert qu'en lisant Racine à voix haute, on était complétement porté, que tout coulait de source. Tout est inscrit dans la musique du texte, une vraie partition. J'ai vaguement senti qu'il y avait une déclaration d'idéalisme dans ce que disait Bour-brown, mais pas forcément les implications et applications.
J'ai vaguement senti qu'il y avait une déclaration d'idéalisme dans ce
C'est toujours facile, ça permet de prendre la pose à pas cher et de briller en société. Bon ça pisse pas loin en général...
que disait Bour-brown, mais pas forcément les implications et applications.
Sans blaaaagues :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
J'ai vaguement senti qu'il y avait une déclaration d'idéalisme dans ce
C'est toujours facile, ça permet de prendre la pose à pas cher et de
briller en société. Bon ça pisse pas loin en général...
que disait Bour-brown, mais pas forcément les implications et applications.
Sans blaaaagues :)
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
J'ai vaguement senti qu'il y avait une déclaration d'idéalisme dans ce
C'est toujours facile, ça permet de prendre la pose à pas cher et de briller en société. Bon ça pisse pas loin en général...
que disait Bour-brown, mais pas forcément les implications et applications.
Sans blaaaagues :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Bour-Brown wrote:
Dans la photo ils aiment l'émotion
Ils ? Qui donc ?
alors que moi c'est la construction.
Tu sais dans la vie tout n'est pas tout blanc ou tout noir... (c) Bour Brown.
Peut-être que si tu sortais de la carricature manichéenne...
mais bon...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <Bour-Brown@wnd.fr> wrote:
Dans la photo ils aiment l'émotion
Ils ? Qui donc ?
alors que moi c'est la construction.
Tu sais dans la vie tout n'est pas tout blanc ou tout noir... (c) Bour
Brown.
Peut-être que si tu sortais de la carricature manichéenne...
mais bon...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Tu sais dans la vie tout n'est pas tout blanc ou tout noir... (c) Bour Brown.
Peut-être que si tu sortais de la carricature manichéenne...
mais bon...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Bour-Brown wrote:
chose pour tout le monde, ce n'est pas noir d'un côté et blanc de l'autre. ...
le club des copains sympa / constructifs / de bonne humeur pour lesquels tout se vaut, aucun intérêt.
C'est intéressant de lire la carricature du dessous et la phrase du dessus.
Précher une chose pour pratiquer le contraire 10 lignes dessous, faut oser...
Effectivement nous n'avons pas la même conception du « débat ».
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <Bour-Brown@wnd.fr> wrote:
chose pour tout le monde, ce n'est pas noir d'un côté et blanc de l'autre.
...
le club des copains
sympa / constructifs / de bonne humeur pour lesquels tout se vaut, aucun
intérêt.
C'est intéressant de lire la carricature du dessous et la phrase du
dessus.
Précher une chose pour pratiquer le contraire 10 lignes dessous, faut
oser...
Effectivement nous n'avons pas la même conception du « débat ».
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
chose pour tout le monde, ce n'est pas noir d'un côté et blanc de l'autre. ...
le club des copains sympa / constructifs / de bonne humeur pour lesquels tout se vaut, aucun intérêt.
C'est intéressant de lire la carricature du dessous et la phrase du dessus.
Précher une chose pour pratiquer le contraire 10 lignes dessous, faut oser...
Effectivement nous n'avons pas la même conception du « débat ».
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
jpw
"FiLH" a écrit
Effectivement nous n'avons pas la même conception du « débat ».
FiLH
t'as aucune conception du débat mon filhou joli
t'es un crétin ordinaire qui foutait la merde sur frp
t'es plus rien aujourd'hui
jpw
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit
Effectivement nous n'avons pas la même conception du « débat ».
FiLH
t'as aucune conception du débat mon filhou joli
t'es un crétin ordinaire qui foutait la merde sur frp
Effectivement nous n'avons pas la même conception du « débat ».
FiLH
t'as aucune conception du débat mon filhou joli
t'es un crétin ordinaire qui foutait la merde sur frp
t'es plus rien aujourd'hui
jpw
Alf92
Dans <news:1iexs2r.e3ftgx38urktN%,
chose pour tout le monde, ce n'est pas noir d'un côté et blanc de l'autre. ...
le club des copains sympa / constructifs / de bonne humeur pour lesquels tout se vaut, aucun intérêt.
C'est intéressant de lire la carricature du dessous et la phrase du dessus.
Précher une chose pour pratiquer le contraire 10 lignes dessous, faut oser...
Effectivement nous n'avons pas la même conception du « débat ».
j'ai trouvé comment te qualifier : tu es un manipulateur maladroit.
Alf92 - "C'est comme si on voulait faire passer un camion sous un tunnel, alors qu' il est trop grand. Il faudrait en couper un bout. Je pense que c'est ce qui arrive à Roger Federer." *Pierre Barthes*
Dans <news:1iexs2r.e3ftgx38urktN%filh@filh.orgie>,
chose pour tout le monde, ce n'est pas noir d'un côté et blanc de
l'autre. ...
le club des copains
sympa / constructifs / de bonne humeur pour lesquels tout se vaut,
aucun intérêt.
C'est intéressant de lire la carricature du dessous et la phrase du
dessus.
Précher une chose pour pratiquer le contraire 10 lignes dessous, faut
oser...
Effectivement nous n'avons pas la même conception du « débat ».
j'ai trouvé comment te qualifier : tu es un manipulateur maladroit.
Alf92
-
"C'est comme si on voulait faire passer un camion sous un tunnel, alors
qu' il est trop grand. Il faudrait en couper un bout. Je pense que c'est
ce qui arrive à Roger Federer."
*Pierre Barthes*
chose pour tout le monde, ce n'est pas noir d'un côté et blanc de l'autre. ...
le club des copains sympa / constructifs / de bonne humeur pour lesquels tout se vaut, aucun intérêt.
C'est intéressant de lire la carricature du dessous et la phrase du dessus.
Précher une chose pour pratiquer le contraire 10 lignes dessous, faut oser...
Effectivement nous n'avons pas la même conception du « débat ».
j'ai trouvé comment te qualifier : tu es un manipulateur maladroit.
Alf92 - "C'est comme si on voulait faire passer un camion sous un tunnel, alors qu' il est trop grand. Il faudrait en couper un bout. Je pense que c'est ce qui arrive à Roger Federer." *Pierre Barthes*