deux exemples - je pourrais en sortir une dizaine - de ce que j'adore dans
Lightroom
La premiere fois que je l'ai utilise, j'ai fait comme si j'etais dans une
application de gestion d'image, style picasa ou iphoto: j'ai lance
l'editeur externe (photoshop CS), j'ai mesure l'angle, fait quelques essais
de redressement, puis j'ai recadre et je suis ressorti. J'ai ete heureux de
voir que j'avais une "pile" contenant l'original et le fichier modifie.
J'avais rate l'essentiel: Lightroom fait les deux en meme temps, en temps
reel, de la facon la plus intuitive qui soit. On choisi la fonction
recadrer, on place le curseur sur l'image et puis on tourne comme on veut.
Le deuxieme exemple, c'est une mauvaise photo, prise a la va vite, en 1600
iso, avec une mauvaise balance des blancs et une mauvaise exposition qui se
corrige
en moins de dix secondes... apres lequelles je peux appliquer la recette a
toutes les images de la serie. La fonction "recovery" ne recupere que les
zones sureposees
Rien qui n'etait impossible auparavant, certes, mais des corrections qui
pouvaient demander des masques de zone, etc... Parfois difficiles, parfois
fastidieux...
On Tue, 20 Mar 2007 23:23:32 +0100, Ricco wrote (in article <etpn2m$imr$):
un diaph de plus par rapport a combien de diaph avant, je veut dire ex : un diaph de plus que deux auparavant soit trois maintenant
Quand on utilise recovery, généralement c'est qu'on a dépassé l'amplitude de dynamique du capteur. En moyenne un capteur restitue 7 diaph donc 1 de plus c'est 1/8 ou si tu préfère 12 % de l'amplitude totale.
Mais en disant 1 diaph, je me suis avancé peut-être un peu vite, il faudra que je vérifie de façon précise. Ça doit plutot tourner autour de 2/3 à 3/4 de diaph. (c-ad en % m'etonnerais qu'on dépasse les 10 %.
C'est une fonction qui crée de la matière là où y en a pas, c'est à dire là où c'est cramé à 100%. Un algorythme utilise d'abord les couches où il reste un peu de matière pour interpoler le résultats sur les autres couches et un autre qui prolonge statistiquement les répartitions des niveaux extrèmes où les pixels sont inexistants.
On Tue, 20 Mar 2007 23:23:32 +0100, Ricco wrote
(in article <etpn2m$imr$1@news.tiscali.fr>):
un diaph de plus par rapport a combien de diaph avant, je veut dire ex : un
diaph de plus que deux
auparavant soit trois maintenant
Quand on utilise recovery, généralement c'est qu'on a dépassé l'amplitude de
dynamique du capteur. En moyenne un capteur restitue 7 diaph donc 1 de plus
c'est 1/8 ou si tu préfère 12 % de l'amplitude totale.
Mais en disant 1 diaph, je me suis avancé peut-être un peu vite, il faudra
que je vérifie de façon précise. Ça doit plutot tourner autour de 2/3 à 3/4
de diaph. (c-ad en % m'etonnerais qu'on dépasse les 10 %.
C'est une fonction qui crée de la matière là où y en a pas, c'est à dire là
où c'est cramé à 100%. Un algorythme utilise d'abord les couches où il reste
un peu de matière pour interpoler le résultats sur les autres couches et un
autre qui prolonge statistiquement les répartitions des niveaux extrèmes où
les pixels sont inexistants.
On Tue, 20 Mar 2007 23:23:32 +0100, Ricco wrote (in article <etpn2m$imr$):
un diaph de plus par rapport a combien de diaph avant, je veut dire ex : un diaph de plus que deux auparavant soit trois maintenant
Quand on utilise recovery, généralement c'est qu'on a dépassé l'amplitude de dynamique du capteur. En moyenne un capteur restitue 7 diaph donc 1 de plus c'est 1/8 ou si tu préfère 12 % de l'amplitude totale.
Mais en disant 1 diaph, je me suis avancé peut-être un peu vite, il faudra que je vérifie de façon précise. Ça doit plutot tourner autour de 2/3 à 3/4 de diaph. (c-ad en % m'etonnerais qu'on dépasse les 10 %.
C'est une fonction qui crée de la matière là où y en a pas, c'est à dire là où c'est cramé à 100%. Un algorythme utilise d'abord les couches où il reste un peu de matière pour interpoler le résultats sur les autres couches et un autre qui prolonge statistiquement les répartitions des niveaux extrèmes où les pixels sont inexistants.
Bour-Brown
Daniel Metz a écrit ( )
C'est une fonction qui crée de la matière là où y en a pas, c'est à dire là où c'est cramé à 100%. Un algorithme utilise d'abord les couches où il reste un peu de matière pour interpoler le résultats sur les autres couches
Ça j'arrive assez bien à comprendre.
Si on prend l'exemple d'une peau et qu'on la considère comme localement monochrome, les trois couches sont étroitement corrélées. Il suffit d'avoir les infos de la plus basse pour en déduire celles des plus hautes, quand bien même elles auraient été écrêtées. Elles débordent certes, mais si on ramène ensuite le tout dans la fourchette des valeurs acceptables, on est bel et bien capable d'afficher des détails et des variations dans les zones précédemment cramées.
Ceci dit, n'importe quel logiciel ayant accès au raw devrait être capable de proposer ça...
Daniel Metz a écrit
( 0001HW.C227707A001C4DE6F0284530@news.nerim.net )
C'est une fonction qui crée de la matière là où y en a pas, c'est à dire
là où c'est cramé à 100%. Un algorithme utilise d'abord les couches où il
reste un peu de matière pour interpoler le résultats sur les autres
couches
Ça j'arrive assez bien à comprendre.
Si on prend l'exemple d'une peau et qu'on la considère comme localement
monochrome, les trois couches sont étroitement corrélées. Il suffit d'avoir
les infos de la plus basse pour en déduire celles des plus hautes, quand
bien même elles auraient été écrêtées. Elles débordent certes, mais si on
ramène ensuite le tout dans la fourchette des valeurs acceptables, on est
bel et bien capable d'afficher des détails et des variations dans les zones
précédemment cramées.
Ceci dit, n'importe quel logiciel ayant accès au raw devrait être capable de
proposer ça...
C'est une fonction qui crée de la matière là où y en a pas, c'est à dire là où c'est cramé à 100%. Un algorithme utilise d'abord les couches où il reste un peu de matière pour interpoler le résultats sur les autres couches
Ça j'arrive assez bien à comprendre.
Si on prend l'exemple d'une peau et qu'on la considère comme localement monochrome, les trois couches sont étroitement corrélées. Il suffit d'avoir les infos de la plus basse pour en déduire celles des plus hautes, quand bien même elles auraient été écrêtées. Elles débordent certes, mais si on ramène ensuite le tout dans la fourchette des valeurs acceptables, on est bel et bien capable d'afficher des détails et des variations dans les zones précédemment cramées.
Ceci dit, n'importe quel logiciel ayant accès au raw devrait être capable de proposer ça...