:> Et bien nous sommes d'accord !
:Houlà! pas si vite.
: Nous sommes d'accord à propos de la tutelle, mais c'est une évidence.
:Mais l'état actuel des choses arrange pas mal de monde. Plus de possibilité de sanction,
:on peut faire n'importe quoi sur les bandes sans risque de sanction.
: On aussi faire du
:"third-party" entre le packet et internet sans risque, du moins pour l'instant.
:> Elles peuvent être vendues au privé au bon vouloir de
:> l'ART, et l'on peut se faire virer à tout moment.
:> Voilà une raison de plus de sortir de cet imbroglio et de réclamer une
:> tutelle ministérielle.
:tu réclames maintenant de conserver des bandes que nous
:n'utilisons pas. Si nous nous les faisons "piquer" ce sera bien de notre faute.
:Hormis 400 ou 500 illuminés qui construisent encore pour trafiquer sur ces bandes, la
:grande majorité des "OM's" new-radioamateurs se concentrent sur le déca, la culture d'une
:autre activité radio antérieure étant tenace, ou la motivation et/ou les compétences
:insuffisantes.
:Alors ne faisons pas les pucelles effarouchées: on ne peut pas faire du recrutement "de
:masse" dans un vivier qui n'a qu'un lointain rapport avec l'activité radioamateur d'une
:part, et, d'autre part, se plaindre que l'on nous chasse de bandes que nous n'utilisons
:pas, celles qui ne sont pas PPP (Pay, Plug and Play).
:Je préférerais voir les associations s'occuper de ce problème et promouvoir les bandes
:hautes que, pour des questions de principes abscons, demander l'autorisation de pratique
:de la CW par ceux qui ne la connaissent pas :-(
:Malheureusement, j'ai constaté que certains dirigeants d'association ne sont pas capables
:d'effectuer une telle démarche :-)
:> Et bien nous sommes d'accord !
:Houlà! pas si vite.
: Nous sommes d'accord à propos de la tutelle, mais c'est une évidence.
:Mais l'état actuel des choses arrange pas mal de monde. Plus de possibilité de sanction,
:on peut faire n'importe quoi sur les bandes sans risque de sanction.
: On aussi faire du
:"third-party" entre le packet et internet sans risque, du moins pour l'instant.
:> Elles peuvent être vendues au privé au bon vouloir de
:> l'ART, et l'on peut se faire virer à tout moment.
:> Voilà une raison de plus de sortir de cet imbroglio et de réclamer une
:> tutelle ministérielle.
:tu réclames maintenant de conserver des bandes que nous
:n'utilisons pas. Si nous nous les faisons "piquer" ce sera bien de notre faute.
:Hormis 400 ou 500 illuminés qui construisent encore pour trafiquer sur ces bandes, la
:grande majorité des "OM's" new-radioamateurs se concentrent sur le déca, la culture d'une
:autre activité radio antérieure étant tenace, ou la motivation et/ou les compétences
:insuffisantes.
:Alors ne faisons pas les pucelles effarouchées: on ne peut pas faire du recrutement "de
:masse" dans un vivier qui n'a qu'un lointain rapport avec l'activité radioamateur d'une
:part, et, d'autre part, se plaindre que l'on nous chasse de bandes que nous n'utilisons
:pas, celles qui ne sont pas PPP (Pay, Plug and Play).
:Je préférerais voir les associations s'occuper de ce problème et promouvoir les bandes
:hautes que, pour des questions de principes abscons, demander l'autorisation de pratique
:de la CW par ceux qui ne la connaissent pas :-(
:Malheureusement, j'ai constaté que certains dirigeants d'association ne sont pas capables
:d'effectuer une telle démarche :-)
:> Et bien nous sommes d'accord !
:Houlà! pas si vite.
: Nous sommes d'accord à propos de la tutelle, mais c'est une évidence.
:Mais l'état actuel des choses arrange pas mal de monde. Plus de possibilité de sanction,
:on peut faire n'importe quoi sur les bandes sans risque de sanction.
: On aussi faire du
:"third-party" entre le packet et internet sans risque, du moins pour l'instant.
:> Elles peuvent être vendues au privé au bon vouloir de
:> l'ART, et l'on peut se faire virer à tout moment.
:> Voilà une raison de plus de sortir de cet imbroglio et de réclamer une
:> tutelle ministérielle.
:tu réclames maintenant de conserver des bandes que nous
:n'utilisons pas. Si nous nous les faisons "piquer" ce sera bien de notre faute.
:Hormis 400 ou 500 illuminés qui construisent encore pour trafiquer sur ces bandes, la
:grande majorité des "OM's" new-radioamateurs se concentrent sur le déca, la culture d'une
:autre activité radio antérieure étant tenace, ou la motivation et/ou les compétences
:insuffisantes.
:Alors ne faisons pas les pucelles effarouchées: on ne peut pas faire du recrutement "de
:masse" dans un vivier qui n'a qu'un lointain rapport avec l'activité radioamateur d'une
:part, et, d'autre part, se plaindre que l'on nous chasse de bandes que nous n'utilisons
:pas, celles qui ne sont pas PPP (Pay, Plug and Play).
:Je préférerais voir les associations s'occuper de ce problème et promouvoir les bandes
:hautes que, pour des questions de principes abscons, demander l'autorisation de pratique
:de la CW par ceux qui ne la connaissent pas :-(
:Malheureusement, j'ai constaté que certains dirigeants d'association ne sont pas capables
:d'effectuer une telle démarche :-)
:Qui est à l'origine des FA1 : Le REF !
:Ne me dis pas le contraire, j'ai encore en ma possession les documents
:que la DTRE m'a remis à l'époque en 1982 en avant première de cette
:connerie.
:Moi, je ne suis pas aussi catégorique que toi !
:Il y a dans ce vivier des recrues de qualité même si, au passage on a
:pu "collecter" certains ""mal formés.""
:Mais à qui la faute ? Lorsque ces ""new-radioamateurs"" comme tu dis
:se présentent dans un radio-club et qu'ils se font jeter comme des
:malpropres ...
: alors qu'au contraire il faudrait les prendre en main et
:les former,
:Des le début de la C.B. une majorité de ""vedettes"" ont méprisé ces
:nouveaux venus en les traitant comme des moins que rien,
: faut pas
:pleurer ensuite...
: ... s'ils se sont formé, souvent mal, tout seul.
:Les radio-clubs ne remplissent plus leur rôle.
: Il suffit pour s'en
:convaincre de regarder sur le site de l'ANFR le nombre de nouveaux
:indicatifs sur 3 mois :
:
:http://iis5.domicile.fr/anfr/Amat_annuaire/index.htm
:Les SHF exigent une formation et des connaissances que tu n'acquières
:pas tout seul sauf à être un professionnel. Autrefois, les anciens
:transmettaient leur savoir aux nouveaux par des cours dispensés dans
:les radio-clubs, ce n'est, sauf exception, plus le cas aujourd'hui.
:Tu parles de recrutement de masse, tu dois être mal informé ! Moins de
:17.000 indicativés aujourd'hui en France contre 70.000 en G.B. et
:100.000 en D.L.
:L'AIR qui était un excellent centre de formation,
: ...a du cesser ses
:activités à cause des conneries de l'ART et du REF.
:Qui est fautif dans tout ça ? Ceux qui veulent pérenniser le
:radioamateurisme au travers d'une réglementation et d'un affectataire
:qui tiennent la route ou ceux qui, pour des raisons d'hégémonie,
:ont tout fait et font encore pour nous faire classer en radio de
:loisir.
:Regarde les attendus d'un commissaire du gouvernement au Conseil
:d'Etat, elle nous mettait dans la même catégorie que les cabines
:téléphoniques !
:Conséquence inattendue mais bien réelle de la réglementation bâtarde
:soutenue par le REF !!!
:Qui est à l'origine des FA1 : Le REF !
:Ne me dis pas le contraire, j'ai encore en ma possession les documents
:que la DTRE m'a remis à l'époque en 1982 en avant première de cette
:connerie.
:Moi, je ne suis pas aussi catégorique que toi !
:Il y a dans ce vivier des recrues de qualité même si, au passage on a
:pu "collecter" certains ""mal formés.""
:Mais à qui la faute ? Lorsque ces ""new-radioamateurs"" comme tu dis
:se présentent dans un radio-club et qu'ils se font jeter comme des
:malpropres ...
: alors qu'au contraire il faudrait les prendre en main et
:les former,
:Des le début de la C.B. une majorité de ""vedettes"" ont méprisé ces
:nouveaux venus en les traitant comme des moins que rien,
: faut pas
:pleurer ensuite...
: ... s'ils se sont formé, souvent mal, tout seul.
:Les radio-clubs ne remplissent plus leur rôle.
: Il suffit pour s'en
:convaincre de regarder sur le site de l'ANFR le nombre de nouveaux
:indicatifs sur 3 mois :
:
:http://iis5.domicile.fr/anfr/Amat_annuaire/index.htm
:Les SHF exigent une formation et des connaissances que tu n'acquières
:pas tout seul sauf à être un professionnel. Autrefois, les anciens
:transmettaient leur savoir aux nouveaux par des cours dispensés dans
:les radio-clubs, ce n'est, sauf exception, plus le cas aujourd'hui.
:Tu parles de recrutement de masse, tu dois être mal informé ! Moins de
:17.000 indicativés aujourd'hui en France contre 70.000 en G.B. et
:100.000 en D.L.
:L'AIR qui était un excellent centre de formation,
: ...a du cesser ses
:activités à cause des conneries de l'ART et du REF.
:Qui est fautif dans tout ça ? Ceux qui veulent pérenniser le
:radioamateurisme au travers d'une réglementation et d'un affectataire
:qui tiennent la route ou ceux qui, pour des raisons d'hégémonie,
:ont tout fait et font encore pour nous faire classer en radio de
:loisir.
:Regarde les attendus d'un commissaire du gouvernement au Conseil
:d'Etat, elle nous mettait dans la même catégorie que les cabines
:téléphoniques !
:Conséquence inattendue mais bien réelle de la réglementation bâtarde
:soutenue par le REF !!!
:Qui est à l'origine des FA1 : Le REF !
:Ne me dis pas le contraire, j'ai encore en ma possession les documents
:que la DTRE m'a remis à l'époque en 1982 en avant première de cette
:connerie.
:Moi, je ne suis pas aussi catégorique que toi !
:Il y a dans ce vivier des recrues de qualité même si, au passage on a
:pu "collecter" certains ""mal formés.""
:Mais à qui la faute ? Lorsque ces ""new-radioamateurs"" comme tu dis
:se présentent dans un radio-club et qu'ils se font jeter comme des
:malpropres ...
: alors qu'au contraire il faudrait les prendre en main et
:les former,
:Des le début de la C.B. une majorité de ""vedettes"" ont méprisé ces
:nouveaux venus en les traitant comme des moins que rien,
: faut pas
:pleurer ensuite...
: ... s'ils se sont formé, souvent mal, tout seul.
:Les radio-clubs ne remplissent plus leur rôle.
: Il suffit pour s'en
:convaincre de regarder sur le site de l'ANFR le nombre de nouveaux
:indicatifs sur 3 mois :
:
:http://iis5.domicile.fr/anfr/Amat_annuaire/index.htm
:Les SHF exigent une formation et des connaissances que tu n'acquières
:pas tout seul sauf à être un professionnel. Autrefois, les anciens
:transmettaient leur savoir aux nouveaux par des cours dispensés dans
:les radio-clubs, ce n'est, sauf exception, plus le cas aujourd'hui.
:Tu parles de recrutement de masse, tu dois être mal informé ! Moins de
:17.000 indicativés aujourd'hui en France contre 70.000 en G.B. et
:100.000 en D.L.
:L'AIR qui était un excellent centre de formation,
: ...a du cesser ses
:activités à cause des conneries de l'ART et du REF.
:Qui est fautif dans tout ça ? Ceux qui veulent pérenniser le
:radioamateurisme au travers d'une réglementation et d'un affectataire
:qui tiennent la route ou ceux qui, pour des raisons d'hégémonie,
:ont tout fait et font encore pour nous faire classer en radio de
:loisir.
:Regarde les attendus d'un commissaire du gouvernement au Conseil
:d'Etat, elle nous mettait dans la même catégorie que les cabines
:téléphoniques !
:Conséquence inattendue mais bien réelle de la réglementation bâtarde
:soutenue par le REF !!!
....une bonne analyse de la situation. ;-)
Félicitations pour le "background" !
:Mais l'état actuel des choses arrange pas mal de monde. Plus de possibilité de sanction,
:on peut faire n'importe quoi sur les bandes sans risque de sanction.
En fait, non. On ne peut pas faire n'importe quoi.
Si l'ART ne peut pas sanctionner "d'elle-même", la justice "ordinaire"
peut agir et se substituer aux lacunes administratives.
pour qu'elle agisse, il faut qu'elle soit saisie et pour cela il faut
qu'une personne physique ou morale (une association, par exemple)
s'adresse à la juridiction compétente, civile ou pénale. Par exemple,
et récemment, un individu a été condamné pour émissions non autorisées
sur la fréquence d'entrée d'un relais amateur, après une plainte d'une
association départementale.
: On aussi faire du
:"third-party" entre le packet et internet sans risque, du moins pour l'instant.
Il y a des degrés dans les excès : l'illégalité devient pénible
lorsqu'elle est manifestement visible, durable et perturbatrice. La
connexion amateur-réseau externe a la plupart du temps été tolérée,
semble-t-il, lorsqu'il s'agissait de permettre d'établir de manière
discrète, exceptionnelle et responsable un lien sans lequel le système
ne marcherait pas, un tuyau quasiment indispensable.
Mais du jour où
cette pratique se généralise et/ou que le système mis en place sert à
tout et n'importe quoi en ce qui concerne le contenu, qui doit
normalement respecter les obligations propres au service amateur,
l'illégalité revient sur le devant de la scène.
Communication au SIRCOM de 1994, Ministère de l'industrie.
«
[...]
Compte tenu de la situation de rareté de la ressource hertzienne [...]
il faut réfléchir à une nouvelle organisation plus moderne, plus
efficace et plus prospective. [...] Enfin se pose le problème
économique du coût d'utilisation des fréquences.
[...]
Introduire une logique économique dans la gestion du spectre :
Les fréquences sont une ressource rare. L'usage de cette ressource,
qui fait partie du domaine public de l'Etat, a un coût pour la
collectivité. Elle devrait donc avoir un prix pour celui qui en
bénéficie.
»
Conclusion :
Lorsqu'une ressource n'est plus inépuisable, la logique (et la
responsabilité ) veut qu'on organise sa gestion.
Les services amateurs se voient concéder des bandes mais il dépend
d'abord des radioamateurs de démontrer qu'ils en ont besoin et en font
bon usage, dans le respect des objectifs et des règles qui sont fixés
pour cette utilisation.
Les bandes amateurs n'ont jamais été attribuées pour jouer au
cibiste, même "à la radioamateur". 40 canaux ont été attibués
officiellement à cette dernière activité et c'est tout.
Comme dans d'autres domaines, un faible pourcentage d'excès ou
dérapages est tolérable, mais évoluer vers une constance de ces excès
ne peut que conduire à une remise en cause du statut.
Comment faire pour que les radioamateurs français actuels ne
confondent pas les genres ?
N'est-ce pas d'abord un problème
d'éducation individuelle ?
Pendant ce temps là, les "amateurs-radio" formés au radioamateurisme
par des stages intensifs de huit jours payants dans les années 80
n'ont retenu qu'un morceau de phrase : "Il faut occuper les bandes
!", mais ils ont oublié l'essentiel : il ne s'agissait pas d'aller
s'agglutiner dans les bandes décamétriques en SSB ou en SSTV, en
diffusant des contenus inappropriés.
:Hormis 400 ou 500 illuminés qui construisent encore pour trafiquer sur ces bandes, la
Tant que çà ? Excellent !
Et suffisant pour transmettre le virus du radioamateurisme.
:-))
Nous disons donc 500 ...
Ajoutons 500 pour les bricoleurs en HF, et je suis généreux, soit un
total de 1000...
------------
Allez, on résume : 15% justifient le radioamateurisme et 85% sèment le
brin dans la salle de jeu. Je savais bien que la règle générale des
20/80 n'était pas loin ! :-))
:Alors ne faisons pas les pucelles effarouchées: on ne peut pas faire du recrutement "de
:masse" dans un vivier qui n'a qu'un lointain rapport avec l'activité radioamateur d'une
:part, et, d'autre part, se plaindre que l'on nous chasse de bandes que nous n'utilisons
:pas, celles qui ne sont pas PPP (Pay, Plug and Play).
En fait, le problème ne se pose plus. Le soi-disant vivier n'existe
plus. Mais le recrutement de ces dernières 20 années a fait - et fait
encore - des dégats, tant dans la pratique du radioamateurisme que
dans la gestion des associations. C'est une époque révolue et les
excès se réguleront progressivement avec le temps.
Le problème actuel, c'est de ne pas faire la même erreur deux fois. La
qualité de l'homme a plus d'importance que son vernis d'utilisateur
immédiatement visible. Etre "passionné par" la radio n'est aucunement
un label de garantie pour la pratique du radioamateurisme.
:Malheureusement, j'ai constaté que certains dirigeants d'association ne sont pas capables
:d'effectuer une telle démarche :-)
Difficile de promouvoir la technique lorsque le seul livre de chevet
est le petit livre rouge de ... Dalloz. ;-)
....une bonne analyse de la situation. ;-)
Félicitations pour le "background" !
:Mais l'état actuel des choses arrange pas mal de monde. Plus de possibilité de sanction,
:on peut faire n'importe quoi sur les bandes sans risque de sanction.
En fait, non. On ne peut pas faire n'importe quoi.
Si l'ART ne peut pas sanctionner "d'elle-même", la justice "ordinaire"
peut agir et se substituer aux lacunes administratives.
pour qu'elle agisse, il faut qu'elle soit saisie et pour cela il faut
qu'une personne physique ou morale (une association, par exemple)
s'adresse à la juridiction compétente, civile ou pénale. Par exemple,
et récemment, un individu a été condamné pour émissions non autorisées
sur la fréquence d'entrée d'un relais amateur, après une plainte d'une
association départementale.
: On aussi faire du
:"third-party" entre le packet et internet sans risque, du moins pour l'instant.
Il y a des degrés dans les excès : l'illégalité devient pénible
lorsqu'elle est manifestement visible, durable et perturbatrice. La
connexion amateur-réseau externe a la plupart du temps été tolérée,
semble-t-il, lorsqu'il s'agissait de permettre d'établir de manière
discrète, exceptionnelle et responsable un lien sans lequel le système
ne marcherait pas, un tuyau quasiment indispensable.
Mais du jour où
cette pratique se généralise et/ou que le système mis en place sert à
tout et n'importe quoi en ce qui concerne le contenu, qui doit
normalement respecter les obligations propres au service amateur,
l'illégalité revient sur le devant de la scène.
Communication au SIRCOM de 1994, Ministère de l'industrie.
«
[...]
Compte tenu de la situation de rareté de la ressource hertzienne [...]
il faut réfléchir à une nouvelle organisation plus moderne, plus
efficace et plus prospective. [...] Enfin se pose le problème
économique du coût d'utilisation des fréquences.
[...]
Introduire une logique économique dans la gestion du spectre :
Les fréquences sont une ressource rare. L'usage de cette ressource,
qui fait partie du domaine public de l'Etat, a un coût pour la
collectivité. Elle devrait donc avoir un prix pour celui qui en
bénéficie.
»
Conclusion :
Lorsqu'une ressource n'est plus inépuisable, la logique (et la
responsabilité ) veut qu'on organise sa gestion.
Les services amateurs se voient concéder des bandes mais il dépend
d'abord des radioamateurs de démontrer qu'ils en ont besoin et en font
bon usage, dans le respect des objectifs et des règles qui sont fixés
pour cette utilisation.
Les bandes amateurs n'ont jamais été attribuées pour jouer au
cibiste, même "à la radioamateur". 40 canaux ont été attibués
officiellement à cette dernière activité et c'est tout.
Comme dans d'autres domaines, un faible pourcentage d'excès ou
dérapages est tolérable, mais évoluer vers une constance de ces excès
ne peut que conduire à une remise en cause du statut.
Comment faire pour que les radioamateurs français actuels ne
confondent pas les genres ?
N'est-ce pas d'abord un problème
d'éducation individuelle ?
Pendant ce temps là, les "amateurs-radio" formés au radioamateurisme
par des stages intensifs de huit jours payants dans les années 80
n'ont retenu qu'un morceau de phrase : "Il faut occuper les bandes
!", mais ils ont oublié l'essentiel : il ne s'agissait pas d'aller
s'agglutiner dans les bandes décamétriques en SSB ou en SSTV, en
diffusant des contenus inappropriés.
:Hormis 400 ou 500 illuminés qui construisent encore pour trafiquer sur ces bandes, la
Tant que çà ? Excellent !
Et suffisant pour transmettre le virus du radioamateurisme.
:-))
Nous disons donc 500 ...
Ajoutons 500 pour les bricoleurs en HF, et je suis généreux, soit un
total de 1000...
------------
Allez, on résume : 15% justifient le radioamateurisme et 85% sèment le
brin dans la salle de jeu. Je savais bien que la règle générale des
20/80 n'était pas loin ! :-))
:Alors ne faisons pas les pucelles effarouchées: on ne peut pas faire du recrutement "de
:masse" dans un vivier qui n'a qu'un lointain rapport avec l'activité radioamateur d'une
:part, et, d'autre part, se plaindre que l'on nous chasse de bandes que nous n'utilisons
:pas, celles qui ne sont pas PPP (Pay, Plug and Play).
En fait, le problème ne se pose plus. Le soi-disant vivier n'existe
plus. Mais le recrutement de ces dernières 20 années a fait - et fait
encore - des dégats, tant dans la pratique du radioamateurisme que
dans la gestion des associations. C'est une époque révolue et les
excès se réguleront progressivement avec le temps.
Le problème actuel, c'est de ne pas faire la même erreur deux fois. La
qualité de l'homme a plus d'importance que son vernis d'utilisateur
immédiatement visible. Etre "passionné par" la radio n'est aucunement
un label de garantie pour la pratique du radioamateurisme.
:Malheureusement, j'ai constaté que certains dirigeants d'association ne sont pas capables
:d'effectuer une telle démarche :-)
Difficile de promouvoir la technique lorsque le seul livre de chevet
est le petit livre rouge de ... Dalloz. ;-)
....une bonne analyse de la situation. ;-)
Félicitations pour le "background" !
:Mais l'état actuel des choses arrange pas mal de monde. Plus de possibilité de sanction,
:on peut faire n'importe quoi sur les bandes sans risque de sanction.
En fait, non. On ne peut pas faire n'importe quoi.
Si l'ART ne peut pas sanctionner "d'elle-même", la justice "ordinaire"
peut agir et se substituer aux lacunes administratives.
pour qu'elle agisse, il faut qu'elle soit saisie et pour cela il faut
qu'une personne physique ou morale (une association, par exemple)
s'adresse à la juridiction compétente, civile ou pénale. Par exemple,
et récemment, un individu a été condamné pour émissions non autorisées
sur la fréquence d'entrée d'un relais amateur, après une plainte d'une
association départementale.
: On aussi faire du
:"third-party" entre le packet et internet sans risque, du moins pour l'instant.
Il y a des degrés dans les excès : l'illégalité devient pénible
lorsqu'elle est manifestement visible, durable et perturbatrice. La
connexion amateur-réseau externe a la plupart du temps été tolérée,
semble-t-il, lorsqu'il s'agissait de permettre d'établir de manière
discrète, exceptionnelle et responsable un lien sans lequel le système
ne marcherait pas, un tuyau quasiment indispensable.
Mais du jour où
cette pratique se généralise et/ou que le système mis en place sert à
tout et n'importe quoi en ce qui concerne le contenu, qui doit
normalement respecter les obligations propres au service amateur,
l'illégalité revient sur le devant de la scène.
Communication au SIRCOM de 1994, Ministère de l'industrie.
«
[...]
Compte tenu de la situation de rareté de la ressource hertzienne [...]
il faut réfléchir à une nouvelle organisation plus moderne, plus
efficace et plus prospective. [...] Enfin se pose le problème
économique du coût d'utilisation des fréquences.
[...]
Introduire une logique économique dans la gestion du spectre :
Les fréquences sont une ressource rare. L'usage de cette ressource,
qui fait partie du domaine public de l'Etat, a un coût pour la
collectivité. Elle devrait donc avoir un prix pour celui qui en
bénéficie.
»
Conclusion :
Lorsqu'une ressource n'est plus inépuisable, la logique (et la
responsabilité ) veut qu'on organise sa gestion.
Les services amateurs se voient concéder des bandes mais il dépend
d'abord des radioamateurs de démontrer qu'ils en ont besoin et en font
bon usage, dans le respect des objectifs et des règles qui sont fixés
pour cette utilisation.
Les bandes amateurs n'ont jamais été attribuées pour jouer au
cibiste, même "à la radioamateur". 40 canaux ont été attibués
officiellement à cette dernière activité et c'est tout.
Comme dans d'autres domaines, un faible pourcentage d'excès ou
dérapages est tolérable, mais évoluer vers une constance de ces excès
ne peut que conduire à une remise en cause du statut.
Comment faire pour que les radioamateurs français actuels ne
confondent pas les genres ?
N'est-ce pas d'abord un problème
d'éducation individuelle ?
Pendant ce temps là, les "amateurs-radio" formés au radioamateurisme
par des stages intensifs de huit jours payants dans les années 80
n'ont retenu qu'un morceau de phrase : "Il faut occuper les bandes
!", mais ils ont oublié l'essentiel : il ne s'agissait pas d'aller
s'agglutiner dans les bandes décamétriques en SSB ou en SSTV, en
diffusant des contenus inappropriés.
:Hormis 400 ou 500 illuminés qui construisent encore pour trafiquer sur ces bandes, la
Tant que çà ? Excellent !
Et suffisant pour transmettre le virus du radioamateurisme.
:-))
Nous disons donc 500 ...
Ajoutons 500 pour les bricoleurs en HF, et je suis généreux, soit un
total de 1000...
------------
Allez, on résume : 15% justifient le radioamateurisme et 85% sèment le
brin dans la salle de jeu. Je savais bien que la règle générale des
20/80 n'était pas loin ! :-))
:Alors ne faisons pas les pucelles effarouchées: on ne peut pas faire du recrutement "de
:masse" dans un vivier qui n'a qu'un lointain rapport avec l'activité radioamateur d'une
:part, et, d'autre part, se plaindre que l'on nous chasse de bandes que nous n'utilisons
:pas, celles qui ne sont pas PPP (Pay, Plug and Play).
En fait, le problème ne se pose plus. Le soi-disant vivier n'existe
plus. Mais le recrutement de ces dernières 20 années a fait - et fait
encore - des dégats, tant dans la pratique du radioamateurisme que
dans la gestion des associations. C'est une époque révolue et les
excès se réguleront progressivement avec le temps.
Le problème actuel, c'est de ne pas faire la même erreur deux fois. La
qualité de l'homme a plus d'importance que son vernis d'utilisateur
immédiatement visible. Etre "passionné par" la radio n'est aucunement
un label de garantie pour la pratique du radioamateurisme.
:Malheureusement, j'ai constaté que certains dirigeants d'association ne sont pas capables
:d'effectuer une telle démarche :-)
Difficile de promouvoir la technique lorsque le seul livre de chevet
est le petit livre rouge de ... Dalloz. ;-)