Dans l'article <409e6f5e$0$17909$, JustMe
a promptement déclamé ...
Brina wrote:Là n'est pas la question : acceptes-tu qu'on te cambriole parce que tu
as ce que d'autres ne peuvent avoir ?
Vous amalgamez très chere, vous amalgamez....
Non, le fait que le piratage entraine ou non une baisse des ventes n'est
pas un argument pour qu'il soit légal
Dans l'article <409e6f5e$0$17909$626a14ce@news.free.fr>, JustMe
<pasdesp@m.merci> a promptement déclamé ...
Brina wrote:
Là n'est pas la question : acceptes-tu qu'on te cambriole parce que tu
as ce que d'autres ne peuvent avoir ?
Vous amalgamez très chere, vous amalgamez....
Non, le fait que le piratage entraine ou non une baisse des ventes n'est
pas un argument pour qu'il soit légal
Dans l'article <409e6f5e$0$17909$, JustMe
a promptement déclamé ...
Brina wrote:Là n'est pas la question : acceptes-tu qu'on te cambriole parce que tu
as ce que d'autres ne peuvent avoir ?
Vous amalgamez très chere, vous amalgamez....
Non, le fait que le piratage entraine ou non une baisse des ventes n'est
pas un argument pour qu'il soit légal
Non, le fait que le piratage entraine ou non une baisse des ventes n'est
pas un argument pour qu'il soit légal
Une question :
Prennez l'industrie de l'édition : un livre est rentable à partir de
1000 ou 2000 exemplaires.
Pour les CDs on nous dit que c'est 100000 minimum alors que les couts de
production et de distribution sont beaucoup plus faibles.
Quant aux prix....
Vous croyez pas qu'il y a du foutage de gueule la dedans ????
Le vol en bande organisée (ie: les majors) est il moins condanable que
l'amateur ?
Non, le fait que le piratage entraine ou non une baisse des ventes n'est
pas un argument pour qu'il soit légal
Une question :
Prennez l'industrie de l'édition : un livre est rentable à partir de
1000 ou 2000 exemplaires.
Pour les CDs on nous dit que c'est 100000 minimum alors que les couts de
production et de distribution sont beaucoup plus faibles.
Quant aux prix....
Vous croyez pas qu'il y a du foutage de gueule la dedans ????
Le vol en bande organisée (ie: les majors) est il moins condanable que
l'amateur ?
Non, le fait que le piratage entraine ou non une baisse des ventes n'est
pas un argument pour qu'il soit légal
Une question :
Prennez l'industrie de l'édition : un livre est rentable à partir de
1000 ou 2000 exemplaires.
Pour les CDs on nous dit que c'est 100000 minimum alors que les couts de
production et de distribution sont beaucoup plus faibles.
Quant aux prix....
Vous croyez pas qu'il y a du foutage de gueule la dedans ????
Le vol en bande organisée (ie: les majors) est il moins condanable que
l'amateur ?
La mutualisation du /risque/ délictuel, voilà bien une idée saugrenue ! A
quand la taxe sur le détournement de fond, le deal, le viol, l'assassinat ?
La /déresponsabilisation/ pénale *massive*, voilà une idée dangereuse et
anti démocratique au possible, il me semble également.
La mutualisation du /risque/ délictuel, voilà bien une idée saugrenue ! A
quand la taxe sur le détournement de fond, le deal, le viol, l'assassinat ?
La /déresponsabilisation/ pénale *massive*, voilà une idée dangereuse et
anti démocratique au possible, il me semble également.
La mutualisation du /risque/ délictuel, voilà bien une idée saugrenue ! A
quand la taxe sur le détournement de fond, le deal, le viol, l'assassinat ?
La /déresponsabilisation/ pénale *massive*, voilà une idée dangereuse et
anti démocratique au possible, il me semble également.
Brina wrote:
>>>Là n'est pas la question : acceptes-tu qu'on te cambriole parce que tu
>>>as ce que d'autres ne peuvent avoir ?
>>
Brina wrote:
>>>Là n'est pas la question : acceptes-tu qu'on te cambriole parce que tu
>>>as ce que d'autres ne peuvent avoir ?
>>
Brina wrote:
>>>Là n'est pas la question : acceptes-tu qu'on te cambriole parce que tu
>>>as ce que d'autres ne peuvent avoir ?
>>
Du coup, face à un prix articiellement gonflé, pour un produit dont la
qualité est très en baisse par ailleurs, ils ne voient pas pourquoi -eux
aussi- ne pas se gaver gratos.
Je comprends parfaitement que les gens loadent gratos un "truc" qui ne
vaut pas plus que l'emballage qui le revêt donc.
Et c'est vraiment dommage car j'étais content d'aller m'acheter le
dernier album de tel ou tel de mes groupes favoris lorsqu'il sortait.
Du coup, face à un prix articiellement gonflé, pour un produit dont la
qualité est très en baisse par ailleurs, ils ne voient pas pourquoi -eux
aussi- ne pas se gaver gratos.
Je comprends parfaitement que les gens loadent gratos un "truc" qui ne
vaut pas plus que l'emballage qui le revêt donc.
Et c'est vraiment dommage car j'étais content d'aller m'acheter le
dernier album de tel ou tel de mes groupes favoris lorsqu'il sortait.
Du coup, face à un prix articiellement gonflé, pour un produit dont la
qualité est très en baisse par ailleurs, ils ne voient pas pourquoi -eux
aussi- ne pas se gaver gratos.
Je comprends parfaitement que les gens loadent gratos un "truc" qui ne
vaut pas plus que l'emballage qui le revêt donc.
Et c'est vraiment dommage car j'étais content d'aller m'acheter le
dernier album de tel ou tel de mes groupes favoris lorsqu'il sortait.
Le vol en bande organisée (ie: les majors) est il moins condanable que
l'amateur ?
Le vol en bande organisée (ie: les majors) est il moins condanable que
l'amateur ?
Le vol en bande organisée (ie: les majors) est il moins condanable que
l'amateur ?
JustMe écrivait :Non, le fait que le piratage entraine ou non une baisse des ventes n'est
pas un argument pour qu'il soit légal
Une question :
Prennez l'industrie de l'édition : un livre est rentable à partir de
1000 ou 2000 exemplaires.
D'où sortent vos chiffres ?
C'était sans-doutes avant la possibilité de faire de la publicité pour
ces oeuvres et sans tenir compte d'une quelconque rémunération de
l'auteur. "Un livre rentable à partir de..." cela veut dire qu'il couvre
avec sa marge juste les frais fixes.
Maintenant qu'il est possible de faire de la publicité pour la presse et
les livres, les maisons d'éditions ne s'en privent pas.
Pour les CDs on nous dit que c'est 100000 minimum alors que les couts de
production et de distribution sont beaucoup plus faibles.
Coût de production d'un disque = création des chansons (corrections,
relectures), création des musiques, heures de studios d'enregistrement
pour plusieurs personnes (chanteur(s), choristes, musiciens,
techniciens...), création de la couverture, pressage...
Coût de production d'un livre = écriture de l'ouvrage (corrections,
relectures), création de la couverture, impression...
Coût de distribution = avec la possiblité de faire de la publicité pour
les livres, les coûts deviennent proches.
Quant aux prix....
Vous croyez pas qu'il y a du foutage de gueule la dedans ????
Quels livres achetez-vous ?
Si vous prenez des livres en première édition brochée, les prix ne sont
pas bien différents des prix des CD (ils sont même plus cher).
Maintenant, si vous achetez des livres en seconde édition (édités des
mois après l'édition brochée), le prix est moins cher (de même que quand
on vous propose des albums au rabais quelques mois après).
Le vol en bande organisée (ie: les majors) est il moins condanable que
l'amateur ?
Et l'aveuglement organisé ne l'est-il pas moins ?
- HMG -
JustMe écrivait :
Non, le fait que le piratage entraine ou non une baisse des ventes n'est
pas un argument pour qu'il soit légal
Une question :
Prennez l'industrie de l'édition : un livre est rentable à partir de
1000 ou 2000 exemplaires.
D'où sortent vos chiffres ?
C'était sans-doutes avant la possibilité de faire de la publicité pour
ces oeuvres et sans tenir compte d'une quelconque rémunération de
l'auteur. "Un livre rentable à partir de..." cela veut dire qu'il couvre
avec sa marge juste les frais fixes.
Maintenant qu'il est possible de faire de la publicité pour la presse et
les livres, les maisons d'éditions ne s'en privent pas.
Pour les CDs on nous dit que c'est 100000 minimum alors que les couts de
production et de distribution sont beaucoup plus faibles.
Coût de production d'un disque = création des chansons (corrections,
relectures), création des musiques, heures de studios d'enregistrement
pour plusieurs personnes (chanteur(s), choristes, musiciens,
techniciens...), création de la couverture, pressage...
Coût de production d'un livre = écriture de l'ouvrage (corrections,
relectures), création de la couverture, impression...
Coût de distribution = avec la possiblité de faire de la publicité pour
les livres, les coûts deviennent proches.
Quant aux prix....
Vous croyez pas qu'il y a du foutage de gueule la dedans ????
Quels livres achetez-vous ?
Si vous prenez des livres en première édition brochée, les prix ne sont
pas bien différents des prix des CD (ils sont même plus cher).
Maintenant, si vous achetez des livres en seconde édition (édités des
mois après l'édition brochée), le prix est moins cher (de même que quand
on vous propose des albums au rabais quelques mois après).
Le vol en bande organisée (ie: les majors) est il moins condanable que
l'amateur ?
Et l'aveuglement organisé ne l'est-il pas moins ?
- HMG -
JustMe écrivait :Non, le fait que le piratage entraine ou non une baisse des ventes n'est
pas un argument pour qu'il soit légal
Une question :
Prennez l'industrie de l'édition : un livre est rentable à partir de
1000 ou 2000 exemplaires.
D'où sortent vos chiffres ?
C'était sans-doutes avant la possibilité de faire de la publicité pour
ces oeuvres et sans tenir compte d'une quelconque rémunération de
l'auteur. "Un livre rentable à partir de..." cela veut dire qu'il couvre
avec sa marge juste les frais fixes.
Maintenant qu'il est possible de faire de la publicité pour la presse et
les livres, les maisons d'éditions ne s'en privent pas.
Pour les CDs on nous dit que c'est 100000 minimum alors que les couts de
production et de distribution sont beaucoup plus faibles.
Coût de production d'un disque = création des chansons (corrections,
relectures), création des musiques, heures de studios d'enregistrement
pour plusieurs personnes (chanteur(s), choristes, musiciens,
techniciens...), création de la couverture, pressage...
Coût de production d'un livre = écriture de l'ouvrage (corrections,
relectures), création de la couverture, impression...
Coût de distribution = avec la possiblité de faire de la publicité pour
les livres, les coûts deviennent proches.
Quant aux prix....
Vous croyez pas qu'il y a du foutage de gueule la dedans ????
Quels livres achetez-vous ?
Si vous prenez des livres en première édition brochée, les prix ne sont
pas bien différents des prix des CD (ils sont même plus cher).
Maintenant, si vous achetez des livres en seconde édition (édités des
mois après l'édition brochée), le prix est moins cher (de même que quand
on vous propose des albums au rabais quelques mois après).
Le vol en bande organisée (ie: les majors) est il moins condanable que
l'amateur ?
Et l'aveuglement organisé ne l'est-il pas moins ?
- HMG -
Dans l'article <1gdkffm.pt2wd01p08ynaN%, JmG
a promptement déclamé ...
> > > > Le piratage est un phénomène nouveau, qui est venu parasiter Internet,
> > > > en court-circuitant un secteur économique. Internet ne peut pas être
> > > > réduit à son parasite.
> > >
> > > Là, je ne suis pas d'accord.
> > >
> > > Le piratage de données informatiques diverses (données ou multi-médias)
> > > a toujours existé, depuis que l'informatique existe.
> >
> > oui, mais pas si massivement, accessible à tous et sans cout
>
> Ben quand même... tout possesseur d'informatique, ayant une connexion
> quelconque, et quelques mots de passe bien choisis, a toujours pu
> accéder, quasiment gratos, à des oeuvres (quelles qu'elles soient)
> intellectuelles.
Depuis quelle date ?
Les connexions haut-débit entrainent ce phénomène.
> > > Internet n'est qu'un outil parmi d'autres pour ce faire.
> > > Le P2P n'est qu'un moyen parmi ceux-ci d'y arriver.
> >
> > Pas vraiment, avant internet/P2P, pour avoir une oeuvre piraté, il
> > fallait quand même savoir où avoir un revendeur et payer la copie
>
> Bien sûr que non.
> Les sites pirates ont toujours existé.
Ah ? Tu m'en donnes un en 1980 ?
> Par contre,ils étaient moins accessibles au grand public, on est
> d'accord.
> Mais est-ce vraiment le grand public qui va pirater en P2P?
oui
> Ou sont-ce toujours les même qui connaissaient les sites plus
> confidentiels et qui sont simplement passés au P2P aujourd'hui?
>
> Par ailleurs, quand j'étais moi-même à l'école, il y a maintenant pas
> mal de temps, ne s'échangeait-on pas telle ou telle cassette audio du
> dernier concert (pirate ou pas) de tel ou tel artiste?
> Ou tel ou tel bouquin?
artisanal
> > > Quand je vois (sur LCI) monsieur Nègre conspuer les petites gens qui
> > > "piratent", je me dis que l'hyppocrisie FR n'est pas une illusion.
> >
> > Là n'est pas la question :
>
> Moi, je pense que si, justement! C'est même *le* coeur du problème.
Non, même sans préjudice, un acte pénalement répréhensible reste
condamnable.
Pour le coté civil, il est assez simple d'argumenter sur "une oeuvre
piratée = une oeuvre non achetée"
Les autres arguties politico-economo-démago n'ont pas leur place ici.
Dans l'article <1gdkffm.pt2wd01p08ynaN%JmG@NOSPAMLaCase.com>, JmG
<JmG@NOSPAMLaCase.com> a promptement déclamé ...
> > > > Le piratage est un phénomène nouveau, qui est venu parasiter Internet,
> > > > en court-circuitant un secteur économique. Internet ne peut pas être
> > > > réduit à son parasite.
> > >
> > > Là, je ne suis pas d'accord.
> > >
> > > Le piratage de données informatiques diverses (données ou multi-médias)
> > > a toujours existé, depuis que l'informatique existe.
> >
> > oui, mais pas si massivement, accessible à tous et sans cout
>
> Ben quand même... tout possesseur d'informatique, ayant une connexion
> quelconque, et quelques mots de passe bien choisis, a toujours pu
> accéder, quasiment gratos, à des oeuvres (quelles qu'elles soient)
> intellectuelles.
Depuis quelle date ?
Les connexions haut-débit entrainent ce phénomène.
> > > Internet n'est qu'un outil parmi d'autres pour ce faire.
> > > Le P2P n'est qu'un moyen parmi ceux-ci d'y arriver.
> >
> > Pas vraiment, avant internet/P2P, pour avoir une oeuvre piraté, il
> > fallait quand même savoir où avoir un revendeur et payer la copie
>
> Bien sûr que non.
> Les sites pirates ont toujours existé.
Ah ? Tu m'en donnes un en 1980 ?
> Par contre,ils étaient moins accessibles au grand public, on est
> d'accord.
> Mais est-ce vraiment le grand public qui va pirater en P2P?
oui
> Ou sont-ce toujours les même qui connaissaient les sites plus
> confidentiels et qui sont simplement passés au P2P aujourd'hui?
>
> Par ailleurs, quand j'étais moi-même à l'école, il y a maintenant pas
> mal de temps, ne s'échangeait-on pas telle ou telle cassette audio du
> dernier concert (pirate ou pas) de tel ou tel artiste?
> Ou tel ou tel bouquin?
artisanal
> > > Quand je vois (sur LCI) monsieur Nègre conspuer les petites gens qui
> > > "piratent", je me dis que l'hyppocrisie FR n'est pas une illusion.
> >
> > Là n'est pas la question :
>
> Moi, je pense que si, justement! C'est même *le* coeur du problème.
Non, même sans préjudice, un acte pénalement répréhensible reste
condamnable.
Pour le coté civil, il est assez simple d'argumenter sur "une oeuvre
piratée = une oeuvre non achetée"
Les autres arguties politico-economo-démago n'ont pas leur place ici.
Dans l'article <1gdkffm.pt2wd01p08ynaN%, JmG
a promptement déclamé ...
> > > > Le piratage est un phénomène nouveau, qui est venu parasiter Internet,
> > > > en court-circuitant un secteur économique. Internet ne peut pas être
> > > > réduit à son parasite.
> > >
> > > Là, je ne suis pas d'accord.
> > >
> > > Le piratage de données informatiques diverses (données ou multi-médias)
> > > a toujours existé, depuis que l'informatique existe.
> >
> > oui, mais pas si massivement, accessible à tous et sans cout
>
> Ben quand même... tout possesseur d'informatique, ayant une connexion
> quelconque, et quelques mots de passe bien choisis, a toujours pu
> accéder, quasiment gratos, à des oeuvres (quelles qu'elles soient)
> intellectuelles.
Depuis quelle date ?
Les connexions haut-débit entrainent ce phénomène.
> > > Internet n'est qu'un outil parmi d'autres pour ce faire.
> > > Le P2P n'est qu'un moyen parmi ceux-ci d'y arriver.
> >
> > Pas vraiment, avant internet/P2P, pour avoir une oeuvre piraté, il
> > fallait quand même savoir où avoir un revendeur et payer la copie
>
> Bien sûr que non.
> Les sites pirates ont toujours existé.
Ah ? Tu m'en donnes un en 1980 ?
> Par contre,ils étaient moins accessibles au grand public, on est
> d'accord.
> Mais est-ce vraiment le grand public qui va pirater en P2P?
oui
> Ou sont-ce toujours les même qui connaissaient les sites plus
> confidentiels et qui sont simplement passés au P2P aujourd'hui?
>
> Par ailleurs, quand j'étais moi-même à l'école, il y a maintenant pas
> mal de temps, ne s'échangeait-on pas telle ou telle cassette audio du
> dernier concert (pirate ou pas) de tel ou tel artiste?
> Ou tel ou tel bouquin?
artisanal
> > > Quand je vois (sur LCI) monsieur Nègre conspuer les petites gens qui
> > > "piratent", je me dis que l'hyppocrisie FR n'est pas une illusion.
> >
> > Là n'est pas la question :
>
> Moi, je pense que si, justement! C'est même *le* coeur du problème.
Non, même sans préjudice, un acte pénalement répréhensible reste
condamnable.
Pour le coté civil, il est assez simple d'argumenter sur "une oeuvre
piratée = une oeuvre non achetée"
Les autres arguties politico-economo-démago n'ont pas leur place ici.
Donc, j'ai remis ici, vu que c'est l'origine du fil et qu'en plus, le
fond du problème "musical" ne peut être dissocié de l'effet de mode du
piratage et donc de cette espèce d'illégalité inique et hyppocrite.
Une tomate, tu peux la voir, la tâter, la goûter même
Un album, non.
Et comme il n'y a plus d'émission de télé musicale
plein de gens ne font pas comme ça et ne loadent que des trucs
qu'ils ne trouvent plus dans le commerce, ou bien qu'ils aimeraient
découvrir aussi.
Le seul truc que je n'ai pas, c'est des marches miltaires: ça, j'ai
vraiment du mal, perso. :)
> L'industrie musicale ignore cette réalité, car cette réalité impose une
> limite au marché. Elle tente, au contraire, de façonner les goûts musi-
> caux pour se garantir des revenus programmés. Comme beaucoup
> d'industries, elle crée une demande artificielle.
Là, je suis absolument d'accord.
Et c'est pour cela que je peux trouver compréhensible le piratage (dans
une certaine mesure évidemment, je ne parle pas des truands qui
compilent et revendent ensuite) car il permet de découvrir d'autres
styles, d'autres groupes, d'autres horizons, parfois au hasard total,
donc, de ne pas entrer facilement dans le moule que voudrait nous
façonner les majors!
Et comme les jeunes n'ont évidemment pas la tune pour s'acheter tous les
albums de la terre, je trouve "salutaire" qu'ils puissent accéder, donc,
à ces morceaux en ligne.
Pour résumer, je vois Internet comme une bibliothèque: tu y vas et tu
peux y lire tout ce qui s'y trouve, pour te cultiver, quelque soit ton
niveau socio-économico-culturel.
Donc, j'ai remis ici, vu que c'est l'origine du fil et qu'en plus, le
fond du problème "musical" ne peut être dissocié de l'effet de mode du
piratage et donc de cette espèce d'illégalité inique et hyppocrite.
Une tomate, tu peux la voir, la tâter, la goûter même
Un album, non.
Et comme il n'y a plus d'émission de télé musicale
plein de gens ne font pas comme ça et ne loadent que des trucs
qu'ils ne trouvent plus dans le commerce, ou bien qu'ils aimeraient
découvrir aussi.
Le seul truc que je n'ai pas, c'est des marches miltaires: ça, j'ai
vraiment du mal, perso. :)
> L'industrie musicale ignore cette réalité, car cette réalité impose une
> limite au marché. Elle tente, au contraire, de façonner les goûts musi-
> caux pour se garantir des revenus programmés. Comme beaucoup
> d'industries, elle crée une demande artificielle.
Là, je suis absolument d'accord.
Et c'est pour cela que je peux trouver compréhensible le piratage (dans
une certaine mesure évidemment, je ne parle pas des truands qui
compilent et revendent ensuite) car il permet de découvrir d'autres
styles, d'autres groupes, d'autres horizons, parfois au hasard total,
donc, de ne pas entrer facilement dans le moule que voudrait nous
façonner les majors!
Et comme les jeunes n'ont évidemment pas la tune pour s'acheter tous les
albums de la terre, je trouve "salutaire" qu'ils puissent accéder, donc,
à ces morceaux en ligne.
Pour résumer, je vois Internet comme une bibliothèque: tu y vas et tu
peux y lire tout ce qui s'y trouve, pour te cultiver, quelque soit ton
niveau socio-économico-culturel.
Donc, j'ai remis ici, vu que c'est l'origine du fil et qu'en plus, le
fond du problème "musical" ne peut être dissocié de l'effet de mode du
piratage et donc de cette espèce d'illégalité inique et hyppocrite.
Une tomate, tu peux la voir, la tâter, la goûter même
Un album, non.
Et comme il n'y a plus d'émission de télé musicale
plein de gens ne font pas comme ça et ne loadent que des trucs
qu'ils ne trouvent plus dans le commerce, ou bien qu'ils aimeraient
découvrir aussi.
Le seul truc que je n'ai pas, c'est des marches miltaires: ça, j'ai
vraiment du mal, perso. :)
> L'industrie musicale ignore cette réalité, car cette réalité impose une
> limite au marché. Elle tente, au contraire, de façonner les goûts musi-
> caux pour se garantir des revenus programmés. Comme beaucoup
> d'industries, elle crée une demande artificielle.
Là, je suis absolument d'accord.
Et c'est pour cela que je peux trouver compréhensible le piratage (dans
une certaine mesure évidemment, je ne parle pas des truands qui
compilent et revendent ensuite) car il permet de découvrir d'autres
styles, d'autres groupes, d'autres horizons, parfois au hasard total,
donc, de ne pas entrer facilement dans le moule que voudrait nous
façonner les majors!
Et comme les jeunes n'ont évidemment pas la tune pour s'acheter tous les
albums de la terre, je trouve "salutaire" qu'ils puissent accéder, donc,
à ces morceaux en ligne.
Pour résumer, je vois Internet comme une bibliothèque: tu y vas et tu
peux y lire tout ce qui s'y trouve, pour te cultiver, quelque soit ton
niveau socio-économico-culturel.
> Une tomate, tu peux la voir, la tâter, la goûter même
> Un album, non.
> Et comme il n'y a plus d'émission de télé musicale
D'où toute l'importance du disquaire disparu, de la radio qui ne fait
plus son boulot de découvreur (car c'est la radio qui jouait ce rôle).
> plein de gens ne font pas comme ça et ne loadent que des trucs
> qu'ils ne trouvent plus dans le commerce, ou bien qu'ils aimeraient
> découvrir aussi.
Qu'attendent les compagnies pour ouvrir des sites d'échantillons de tout
leur catalogue? Peut-être que la notion de "choix" leur a échappé, tant
elles sont déterminées à imposer le leur.
> Le seul truc que je n'ai pas, c'est des marches miltaires: ça, j'ai
> vraiment du mal, perso. :)
Personne n'est parfait (Marylin M.).
> > L'industrie musicale ignore cette réalité, car cette réalité impose une
> > limite au marché. Elle tente, au contraire, de façonner les goûts musi-
> > caux pour se garantir des revenus programmés. Comme beaucoup
> > d'industries, elle crée une demande artificielle.
>
> Là, je suis absolument d'accord.
> Et c'est pour cela que je peux trouver compréhensible le piratage (dans
> une certaine mesure évidemment, je ne parle pas des truands qui
> compilent et revendent ensuite) car il permet de découvrir d'autres
> styles, d'autres groupes, d'autres horizons, parfois au hasard total,
> donc, de ne pas entrer facilement dans le moule que voudrait nous
> façonner les majors!
Je serais d'accord si tu parlais d'échantillons, pas des oeuvres
intégrales. Car une fois engrangées, il faut avoir une sacrée honnêteté
pour aller l'acheter, avouons-le.
Mais si cet usage est responsable du piratage, en toute logique, la mise
en ligne d'échantillons par les éditeurs eux-même devraient le faire
disparaître. En toute logique.
> Et comme les jeunes n'ont évidemment pas la tune pour s'acheter tous les
> albums de la terre, je trouve "salutaire" qu'ils puissent accéder, donc,
> à ces morceaux en ligne.
Certes, mais il faut trouver un autre moyen que la contrefaçon.
> Pour résumer, je vois Internet comme une bibliothèque: tu y vas et tu
> peux y lire tout ce qui s'y trouve, pour te cultiver, quelque soit ton
> niveau socio-économico-culturel.
La bibliothèque paie ses livres et tu payes un abonnement à la
bibliothèque, ou ta municipalité le subventionne. Tu ne dupliques pas le
livre, et on te demande de ne pas dupliquer le disque dans le cas d'une
discothèque.
La bibliothèque favorise l'accès à la culture sans dépouiller les
auteurs. Ce qu'elle offre s'apparente à une exécution (lecture,
audition). Pas la possession de l'oeuvre.
Ce qui change avec le numérique, c'est que exécution vaut possession.
> Une tomate, tu peux la voir, la tâter, la goûter même
> Un album, non.
> Et comme il n'y a plus d'émission de télé musicale
D'où toute l'importance du disquaire disparu, de la radio qui ne fait
plus son boulot de découvreur (car c'est la radio qui jouait ce rôle).
> plein de gens ne font pas comme ça et ne loadent que des trucs
> qu'ils ne trouvent plus dans le commerce, ou bien qu'ils aimeraient
> découvrir aussi.
Qu'attendent les compagnies pour ouvrir des sites d'échantillons de tout
leur catalogue? Peut-être que la notion de "choix" leur a échappé, tant
elles sont déterminées à imposer le leur.
> Le seul truc que je n'ai pas, c'est des marches miltaires: ça, j'ai
> vraiment du mal, perso. :)
Personne n'est parfait (Marylin M.).
> > L'industrie musicale ignore cette réalité, car cette réalité impose une
> > limite au marché. Elle tente, au contraire, de façonner les goûts musi-
> > caux pour se garantir des revenus programmés. Comme beaucoup
> > d'industries, elle crée une demande artificielle.
>
> Là, je suis absolument d'accord.
> Et c'est pour cela que je peux trouver compréhensible le piratage (dans
> une certaine mesure évidemment, je ne parle pas des truands qui
> compilent et revendent ensuite) car il permet de découvrir d'autres
> styles, d'autres groupes, d'autres horizons, parfois au hasard total,
> donc, de ne pas entrer facilement dans le moule que voudrait nous
> façonner les majors!
Je serais d'accord si tu parlais d'échantillons, pas des oeuvres
intégrales. Car une fois engrangées, il faut avoir une sacrée honnêteté
pour aller l'acheter, avouons-le.
Mais si cet usage est responsable du piratage, en toute logique, la mise
en ligne d'échantillons par les éditeurs eux-même devraient le faire
disparaître. En toute logique.
> Et comme les jeunes n'ont évidemment pas la tune pour s'acheter tous les
> albums de la terre, je trouve "salutaire" qu'ils puissent accéder, donc,
> à ces morceaux en ligne.
Certes, mais il faut trouver un autre moyen que la contrefaçon.
> Pour résumer, je vois Internet comme une bibliothèque: tu y vas et tu
> peux y lire tout ce qui s'y trouve, pour te cultiver, quelque soit ton
> niveau socio-économico-culturel.
La bibliothèque paie ses livres et tu payes un abonnement à la
bibliothèque, ou ta municipalité le subventionne. Tu ne dupliques pas le
livre, et on te demande de ne pas dupliquer le disque dans le cas d'une
discothèque.
La bibliothèque favorise l'accès à la culture sans dépouiller les
auteurs. Ce qu'elle offre s'apparente à une exécution (lecture,
audition). Pas la possession de l'oeuvre.
Ce qui change avec le numérique, c'est que exécution vaut possession.
> Une tomate, tu peux la voir, la tâter, la goûter même
> Un album, non.
> Et comme il n'y a plus d'émission de télé musicale
D'où toute l'importance du disquaire disparu, de la radio qui ne fait
plus son boulot de découvreur (car c'est la radio qui jouait ce rôle).
> plein de gens ne font pas comme ça et ne loadent que des trucs
> qu'ils ne trouvent plus dans le commerce, ou bien qu'ils aimeraient
> découvrir aussi.
Qu'attendent les compagnies pour ouvrir des sites d'échantillons de tout
leur catalogue? Peut-être que la notion de "choix" leur a échappé, tant
elles sont déterminées à imposer le leur.
> Le seul truc que je n'ai pas, c'est des marches miltaires: ça, j'ai
> vraiment du mal, perso. :)
Personne n'est parfait (Marylin M.).
> > L'industrie musicale ignore cette réalité, car cette réalité impose une
> > limite au marché. Elle tente, au contraire, de façonner les goûts musi-
> > caux pour se garantir des revenus programmés. Comme beaucoup
> > d'industries, elle crée une demande artificielle.
>
> Là, je suis absolument d'accord.
> Et c'est pour cela que je peux trouver compréhensible le piratage (dans
> une certaine mesure évidemment, je ne parle pas des truands qui
> compilent et revendent ensuite) car il permet de découvrir d'autres
> styles, d'autres groupes, d'autres horizons, parfois au hasard total,
> donc, de ne pas entrer facilement dans le moule que voudrait nous
> façonner les majors!
Je serais d'accord si tu parlais d'échantillons, pas des oeuvres
intégrales. Car une fois engrangées, il faut avoir une sacrée honnêteté
pour aller l'acheter, avouons-le.
Mais si cet usage est responsable du piratage, en toute logique, la mise
en ligne d'échantillons par les éditeurs eux-même devraient le faire
disparaître. En toute logique.
> Et comme les jeunes n'ont évidemment pas la tune pour s'acheter tous les
> albums de la terre, je trouve "salutaire" qu'ils puissent accéder, donc,
> à ces morceaux en ligne.
Certes, mais il faut trouver un autre moyen que la contrefaçon.
> Pour résumer, je vois Internet comme une bibliothèque: tu y vas et tu
> peux y lire tout ce qui s'y trouve, pour te cultiver, quelque soit ton
> niveau socio-économico-culturel.
La bibliothèque paie ses livres et tu payes un abonnement à la
bibliothèque, ou ta municipalité le subventionne. Tu ne dupliques pas le
livre, et on te demande de ne pas dupliquer le disque dans le cas d'une
discothèque.
La bibliothèque favorise l'accès à la culture sans dépouiller les
auteurs. Ce qu'elle offre s'apparente à une exécution (lecture,
audition). Pas la possession de l'oeuvre.
Ce qui change avec le numérique, c'est que exécution vaut possession.