« NOUS VOULONS POUVOIR PUNIR AUSSI CEUX QUI CONSULTENT RÉGULIÈREMENT
CES SITES AVEC DE MAUVAISES INTENTIONS »
http://www.numerama.com/politique/157450-le-senat-vote-linterdiction-penale-de-lire-certains-sites-web-sans-bonne-foi.html
" Le principal est la volonté du législateur : condamner un individu
pour ce qu’il lit et non pas pour ce qu’il fait ni même ce qu’il
projette, ou lui demander de prouver sa bonne foi."
Renversement de la charge de la preuve :
aussi stupides et liberticides à droite qu'à gauche.
Nous sommes de moins en moins dans un état de droit.
D'un strict point de vue constitutionnel, c'est comme ça que ça se fait. En pratique, c'est tout l'environnement politique, les relations des uns et des autres, les accords électoraux et programmatiques, les dossiers dans le tiroir secret, les barbichettes par lesquelles ces messieurs se tiennent, la rhubarbe et le séné, qui fontt qu'à moment donnée le PM démissionne.
Mais juridiquement parlant, personne ne peut l'y obliger.
On va peut-être bientôt expérimenter ça.
Nunuche qui pique une nouvelle crise d'adolescence et qui veut se débarrasser de Valls, et celui-ci qui sautille sur place et sort les yeux en disant qu'il n'y a rien à faire, il y est, il y reste, et que d'ailleurs le prochain président n'a qu'à faire avec.
ça serait assez dans la logique des personnages.
Et nous autres de pleurnicher que non, nous n'aurions pas dû.
Le 02/04/2016 19:47, Tardigradus a écrit :
Gloops <gloops@zailes.invalid.org.invalid> wrote:
Oui, en général c'est comme ça que ça se dit.
D'un strict point de vue constitutionnel, c'est comme ça que ça se fait.
En pratique, c'est tout l'environnement politique, les relations des uns
et des autres, les accords électoraux et programmatiques, les dossiers
dans le tiroir secret, les barbichettes par lesquelles ces messieurs se
tiennent, la rhubarbe et le séné, qui fontt qu'à moment donnée le PM
démissionne.
Mais juridiquement parlant, personne ne peut l'y obliger.
On va peut-être bientôt expérimenter ça.
Nunuche qui pique une nouvelle crise d'adolescence et qui veut se
débarrasser de Valls, et celui-ci qui sautille sur place et sort les
yeux en disant qu'il n'y a rien à faire, il y est, il y reste, et que
d'ailleurs le prochain président n'a qu'à faire avec.
ça serait assez dans la logique des personnages.
Et nous autres de pleurnicher que non, nous n'aurions pas dû.
D'un strict point de vue constitutionnel, c'est comme ça que ça se fait. En pratique, c'est tout l'environnement politique, les relations des uns et des autres, les accords électoraux et programmatiques, les dossiers dans le tiroir secret, les barbichettes par lesquelles ces messieurs se tiennent, la rhubarbe et le séné, qui fontt qu'à moment donnée le PM démissionne.
Mais juridiquement parlant, personne ne peut l'y obliger.
On va peut-être bientôt expérimenter ça.
Nunuche qui pique une nouvelle crise d'adolescence et qui veut se débarrasser de Valls, et celui-ci qui sautille sur place et sort les yeux en disant qu'il n'y a rien à faire, il y est, il y reste, et que d'ailleurs le prochain président n'a qu'à faire avec.
ça serait assez dans la logique des personnages.
Et nous autres de pleurnicher que non, nous n'aurions pas dû.
jr
Le 02/04/2016 19:47, Tardigradus a écrit :
Gloops wrote:
Oui, en général c'est comme ça que ça se dit.
D'un strict point de vue constitutionnel, c'est comme ça que ça se fait. En pratique, c'est tout l'environnement politique, les relations des uns et des autres, les accords électoraux et programmatiques, les dossiers dans le tiroir secret, les barbichettes par lesquelles ces messieurs se tiennent, la rhubarbe et le séné, qui fontt qu'à moment donnée le PM démissionne.
Mais juridiquement parlant, personne ne peut l'y obliger.
On le sent bien en période de cohabitation.
À un autre niveau, on a vu une autre bizarrerie avec Carignon en 97, président du conseil général de l'Isère alors qu'il est incarcéré, et qui refuse un temps de démissionner, continuant de toucher le salaire pour cantiner et restant donc le patron, payeur entre autre des assocs qui s'occupent de...sa réinsertion. Cela a demandé une imagination institutionnelle importante pour donner les signatures aux vice-présidents, heureusement avec son aval parce que, s'il avait voulu jouer (encore plus) au con...
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui déraille.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Le 02/04/2016 19:47, Tardigradus a écrit :
Gloops <gloops@zailes.invalid.org.invalid> wrote:
Oui, en général c'est comme ça que ça se dit.
D'un strict point de vue constitutionnel, c'est comme ça que ça se fait.
En pratique, c'est tout l'environnement politique, les relations des uns
et des autres, les accords électoraux et programmatiques, les dossiers
dans le tiroir secret, les barbichettes par lesquelles ces messieurs se
tiennent, la rhubarbe et le séné, qui fontt qu'à moment donnée le PM
démissionne.
Mais juridiquement parlant, personne ne peut l'y obliger.
On le sent bien en période de cohabitation.
À un autre niveau, on a vu une autre bizarrerie avec Carignon en 97,
président du conseil général de l'Isère alors qu'il est incarcéré, et
qui refuse un temps de démissionner, continuant de toucher le salaire
pour cantiner et restant donc le patron, payeur entre autre des assocs
qui s'occupent de...sa réinsertion.
Cela a demandé une imagination institutionnelle importante pour donner
les signatures aux vice-présidents, heureusement avec son aval parce
que, s'il avait voulu jouer (encore plus) au con...
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui
déraille.
D'un strict point de vue constitutionnel, c'est comme ça que ça se fait. En pratique, c'est tout l'environnement politique, les relations des uns et des autres, les accords électoraux et programmatiques, les dossiers dans le tiroir secret, les barbichettes par lesquelles ces messieurs se tiennent, la rhubarbe et le séné, qui fontt qu'à moment donnée le PM démissionne.
Mais juridiquement parlant, personne ne peut l'y obliger.
On le sent bien en période de cohabitation.
À un autre niveau, on a vu une autre bizarrerie avec Carignon en 97, président du conseil général de l'Isère alors qu'il est incarcéré, et qui refuse un temps de démissionner, continuant de toucher le salaire pour cantiner et restant donc le patron, payeur entre autre des assocs qui s'occupent de...sa réinsertion. Cela a demandé une imagination institutionnelle importante pour donner les signatures aux vice-présidents, heureusement avec son aval parce que, s'il avait voulu jouer (encore plus) au con...
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui déraille.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Gloops
Le 04/04/2016 08:47, jr a écrit :
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui déraille.
ça vaudrait le coup de préciser car jusqu'à plus ample informée, le président de la république, c'est, sinon un chef d'exécutif, du moins le chef de l'exécutif.
Le 04/04/2016 08:47, jr a écrit :
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui
déraille.
ça vaudrait le coup de préciser car jusqu'à plus ample informée, le
président de la république, c'est, sinon un chef d'exécutif, du moins le
chef de l'exécutif.
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui déraille.
ça vaudrait le coup de préciser car jusqu'à plus ample informée, le président de la république, c'est, sinon un chef d'exécutif, du moins le chef de l'exécutif.
jr
Le 04/04/2016 13:21, Gloops a écrit :
Le 04/04/2016 08:47, jr a écrit :
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui déraille.
ça vaudrait le coup de préciser car jusqu'à plus ample informée, le président de la république, c'est, sinon un chef d'exécutif, du moins le chef de l'exécutif.
Même pour le chef de l'état, depuis très récemment. Vote à une super-majorité des deux chambres, puis Haute Cour et destitution.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Le 04/04/2016 13:21, Gloops a écrit :
Le 04/04/2016 08:47, jr a écrit :
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui
déraille.
ça vaudrait le coup de préciser car jusqu'à plus ample informée, le
président de la république, c'est, sinon un chef d'exécutif, du moins le
chef de l'exécutif.
Même pour le chef de l'état, depuis très récemment. Vote à une
super-majorité des deux chambres, puis Haute Cour et destitution.
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui déraille.
ça vaudrait le coup de préciser car jusqu'à plus ample informée, le président de la république, c'est, sinon un chef d'exécutif, du moins le chef de l'exécutif.
Même pour le chef de l'état, depuis très récemment. Vote à une super-majorité des deux chambres, puis Haute Cour et destitution.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Gloops
Le 04/04/2016 13:34, jr a écrit :
Le 04/04/2016 13:21, Gloops a écrit :
Le 04/04/2016 08:47, jr a écrit :
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui déraille.
ça vaudrait le coup de préciser car jusqu'à plus ample informée, le président de la république, c'est, sinon un chef d'exécutif, du moins le chef de l'exécutif.
Même pour le chef de l'état, depuis très récemment. Vote à une super-majorité des deux chambres, puis Haute Cour et destitution.
Ah, oui. Ce qui nous plombe est que les deux chambres sont acquises à la même cause.
Le 04/04/2016 13:34, jr a écrit :
Le 04/04/2016 13:21, Gloops a écrit :
Le 04/04/2016 08:47, jr a écrit :
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui
déraille.
ça vaudrait le coup de préciser car jusqu'à plus ample informée, le
président de la république, c'est, sinon un chef d'exécutif, du moins le
chef de l'exécutif.
Même pour le chef de l'état, depuis très récemment. Vote à une
super-majorité des deux chambres, puis Haute Cour et destitution.
Ah, oui. Ce qui nous plombe est que les deux chambres sont acquises à la
même cause.
Depuis je crois qu'il y a moyen de débarquer un chef d'exécutif qui déraille.
ça vaudrait le coup de préciser car jusqu'à plus ample informée, le président de la république, c'est, sinon un chef d'exécutif, du moins le chef de l'exécutif.
Même pour le chef de l'état, depuis très récemment. Vote à une super-majorité des deux chambres, puis Haute Cour et destitution.
Ah, oui. Ce qui nous plombe est que les deux chambres sont acquises à la même cause.