Parce que trop, c'est trop, je présume. Et puis d'ailleurs là aussi on peut
penser qu'on s'est trompé en l'attribuant.
Parce que trop, c'est trop, je présume. Et puis d'ailleurs là aussi on peut
penser qu'on s'est trompé en l'attribuant.
Parce que trop, c'est trop, je présume. Et puis d'ailleurs là aussi on peut
penser qu'on s'est trompé en l'attribuant.
> Il en va de la liberté d'expression comme de toute autre liberté, elle
> s'arrête là où commence celle des autres.
Cet adage en forme de lieu commun, souvent répété comme un mantra, est...faux.
Par exemple, en France, la liberté d'expression s'exerce en accord avec
l'article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen incluse
dans le Préambule de la Constitution, ce qui lui donne une valeur
constitutionnelle.
Et l'article 11 ne parle pas de la liberté des autres mais dit :
"La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus
précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer
librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté, dans les cas déterminés
par la Loi."
On traduit ça, en droit par "la liberté d'expression s'exerce dans le cadre
des Lois qui la réglementent" et les limites sont déterminées par la Loi du 29
juillet 1881 sur la liberté de la presse :
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000877119>
> Il en va de la liberté d'expression comme de toute autre liberté, elle
> s'arrête là où commence celle des autres.
Cet adage en forme de lieu commun, souvent répété comme un mantra, est...faux.
Par exemple, en France, la liberté d'expression s'exerce en accord avec
l'article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen incluse
dans le Préambule de la Constitution, ce qui lui donne une valeur
constitutionnelle.
Et l'article 11 ne parle pas de la liberté des autres mais dit :
"La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus
précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer
librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté, dans les cas déterminés
par la Loi."
On traduit ça, en droit par "la liberté d'expression s'exerce dans le cadre
des Lois qui la réglementent" et les limites sont déterminées par la Loi du 29
juillet 1881 sur la liberté de la presse :
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000877119>
> Il en va de la liberté d'expression comme de toute autre liberté, elle
> s'arrête là où commence celle des autres.
Cet adage en forme de lieu commun, souvent répété comme un mantra, est...faux.
Par exemple, en France, la liberté d'expression s'exerce en accord avec
l'article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen incluse
dans le Préambule de la Constitution, ce qui lui donne une valeur
constitutionnelle.
Et l'article 11 ne parle pas de la liberté des autres mais dit :
"La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus
précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer
librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté, dans les cas déterminés
par la Loi."
On traduit ça, en droit par "la liberté d'expression s'exerce dans le cadre
des Lois qui la réglementent" et les limites sont déterminées par la Loi du 29
juillet 1881 sur la liberté de la presse :
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000877119>
Liberté d'épicier. La liberté des uns commence /avec/ celle des autres. À
commencer par la liberté d'expression.
Liberté d'épicier. La liberté des uns commence /avec/ celle des autres. À
commencer par la liberté d'expression.
Liberté d'épicier. La liberté des uns commence /avec/ celle des autres. À
commencer par la liberté d'expression.
Les anciennes lois et, encore plus la DDHC étaient faites par des gens qui
avaient "fait leurs humanités" comme on dit, c'est-à-dire étudié les
philosophes et autres juristes ou politiques latins et grecs dans le texte.
La formulation concernant la liberté d'expression est à la fois efficace et
sobre, sans fioritures inutiles et n'a absolument rien à voir avec un lieu
commun.
Les anciennes lois et, encore plus la DDHC étaient faites par des gens qui
avaient "fait leurs humanités" comme on dit, c'est-à-dire étudié les
philosophes et autres juristes ou politiques latins et grecs dans le texte.
La formulation concernant la liberté d'expression est à la fois efficace et
sobre, sans fioritures inutiles et n'a absolument rien à voir avec un lieu
commun.
Les anciennes lois et, encore plus la DDHC étaient faites par des gens qui
avaient "fait leurs humanités" comme on dit, c'est-à-dire étudié les
philosophes et autres juristes ou politiques latins et grecs dans le texte.
La formulation concernant la liberté d'expression est à la fois efficace et
sobre, sans fioritures inutiles et n'a absolument rien à voir avec un lieu
commun.
Stéphane Catteau wrote:
> Dominique de Corse n'était pas loin de dire :
>
> Il en va de la liberté d'expression comme de toute autre libert é, elle
> s'arrête là où commence celle des autres.
Cet adage en forme de lieu commun, souvent répété comme un mantra,
est...faux.
Par exemple, en France, la liberté d'expression s'exerce en accord a vec
l'article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen
incluse dans le Préambule de la Constitution, ce qui lui donne une
valeur constitutionnelle.
Et l'article 11 ne parle pas de la liberté des autres mais dit :
"La libre communication des pensées et des opinions est un des droits
les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, é crire,
imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette libert é, dans les
cas déterminés par la Loi."
On traduit ça, en droit par "la liberté d'expression s'exerce d ans le
cadre des Lois qui la réglementent" et les limites sont détermi nées par
la Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse :
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT00000087 7119>
> Et au final c'est ça qui le
> caractérise le plus :
>
> > "La Société des journalistes de RTL s'était « d ésolidarisée » mercredi
> > des prises de position de l'éditorialiste sur les musulmans de F rance,
> > estimant qu'elles « ternissaient les valeurs défendues  » par la
> > station."
>
> Il n'y a pas à proprement parler atteinte à la liberté d'expression.
> Il reste libre de s'exprimer et il continuera à avoir son auditoir e.
Voilà , c'est exactement ce sur quoi je voulais attirer l'attention.
Il n'y a pas de rapport entre sa liberté et la cessation de son cont rat
de travail.
Stéphane Catteau <steph.nospam@sc4x.net> wrote:
> Dominique de Corse n'était pas loin de dire :
>
> Il en va de la liberté d'expression comme de toute autre libert é, elle
> s'arrête là où commence celle des autres.
Cet adage en forme de lieu commun, souvent répété comme un mantra,
est...faux.
Par exemple, en France, la liberté d'expression s'exerce en accord a vec
l'article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen
incluse dans le Préambule de la Constitution, ce qui lui donne une
valeur constitutionnelle.
Et l'article 11 ne parle pas de la liberté des autres mais dit :
"La libre communication des pensées et des opinions est un des droits
les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, é crire,
imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette libert é, dans les
cas déterminés par la Loi."
On traduit ça, en droit par "la liberté d'expression s'exerce d ans le
cadre des Lois qui la réglementent" et les limites sont détermi nées par
la Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse :
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT00000087 7119>
> Et au final c'est ça qui le
> caractérise le plus :
>
> > "La Société des journalistes de RTL s'était « d ésolidarisée » mercredi
> > des prises de position de l'éditorialiste sur les musulmans de F rance,
> > estimant qu'elles « ternissaient les valeurs défendues  » par la
> > station."
>
> Il n'y a pas à proprement parler atteinte à la liberté d'expression.
> Il reste libre de s'exprimer et il continuera à avoir son auditoir e.
Voilà , c'est exactement ce sur quoi je voulais attirer l'attention.
Il n'y a pas de rapport entre sa liberté et la cessation de son cont rat
de travail.
Stéphane Catteau wrote:
> Dominique de Corse n'était pas loin de dire :
>
> Il en va de la liberté d'expression comme de toute autre libert é, elle
> s'arrête là où commence celle des autres.
Cet adage en forme de lieu commun, souvent répété comme un mantra,
est...faux.
Par exemple, en France, la liberté d'expression s'exerce en accord a vec
l'article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen
incluse dans le Préambule de la Constitution, ce qui lui donne une
valeur constitutionnelle.
Et l'article 11 ne parle pas de la liberté des autres mais dit :
"La libre communication des pensées et des opinions est un des droits
les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, é crire,
imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette libert é, dans les
cas déterminés par la Loi."
On traduit ça, en droit par "la liberté d'expression s'exerce d ans le
cadre des Lois qui la réglementent" et les limites sont détermi nées par
la Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse :
<http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT00000087 7119>
> Et au final c'est ça qui le
> caractérise le plus :
>
> > "La Société des journalistes de RTL s'était « d ésolidarisée » mercredi
> > des prises de position de l'éditorialiste sur les musulmans de F rance,
> > estimant qu'elles « ternissaient les valeurs défendues  » par la
> > station."
>
> Il n'y a pas à proprement parler atteinte à la liberté d'expression.
> Il reste libre de s'exprimer et il continuera à avoir son auditoir e.
Voilà , c'est exactement ce sur quoi je voulais attirer l'attention.
Il n'y a pas de rapport entre sa liberté et la cessation de son cont rat
de travail.
Bonjour Dominique,
Le Sat, 20 Dec 2014 11:29:12 +0100, (Dominique de
Corse) a écrit :
Tout cela est exact, mais n'oublions pas que la liberté d'expression se
place aussi dans le cadre de la liberté en général, laquelle est définie
(d'une façon certes sujette à débat) dans l'article 4 de la DDH de la
façon suivante :
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à
autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme
n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la
Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne
peuvent être déterminées que par la Loi.
À ce titre, la liberté d'expression a bien une limite définie (plus ou
moins clairement) par le point où son exercice nuit à autrui. Certes,
un texte spécifique régit la liberté d'expression, mais il ne saurait
aller contre l'article 4 de la DDH (ou plus exactement, si un article
de la loi de 1881 était contraire à l'article 4 de la DDH, une QPC
aurait de bonnes chances d'obtenir la censure du dit article).
Ce détail posé, pour la suite :
> > Et au final c'est ça qui le
> > caractérise le plus :
> >
> > > "La Société des journalistes de RTL s'était « désolidarisée » mercredi
> > > des prises de position de l'éditorialiste sur les musulmans de France,
> > > estimant qu'elles « ternissaient les valeurs défendues » par la
> > > station."
> >
> > Il n'y a pas à proprement parler atteinte à la liberté d'expression.
> > Il reste libre de s'exprimer et il continuera à avoir son auditoire.
>
> Voilà, c'est exactement ce sur quoi je voulais attirer l'attention.
> Il n'y a pas de rapport entre sa liberté et la cessation de son contrat
> de travail.
Là-dessus, 100% d'accord : beaucoup de gens confondent la liberté
d'expression et un supposé droit de faire publier ce qu'on exprime sur
le média qu'on veut, droit qui lui, n'existe pas ; on peut résumer la
différence à la lumière de l'article 4 de la DDH en disant que si
Zenmour a le droit de s'exprimer, il n'a pas celui d'imposer à quelque
média que ce soit de diffuser cette expression, car cela reviendrait à
priver ledit média de sa propre liberté éditoriale.
Amicalement,
Bonjour Dominique,
Le Sat, 20 Dec 2014 11:29:12 +0100, dmkgbt@free.invalid (Dominique de
Corse) a écrit :
Tout cela est exact, mais n'oublions pas que la liberté d'expression se
place aussi dans le cadre de la liberté en général, laquelle est définie
(d'une façon certes sujette à débat) dans l'article 4 de la DDH de la
façon suivante :
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à
autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme
n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la
Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne
peuvent être déterminées que par la Loi.
À ce titre, la liberté d'expression a bien une limite définie (plus ou
moins clairement) par le point où son exercice nuit à autrui. Certes,
un texte spécifique régit la liberté d'expression, mais il ne saurait
aller contre l'article 4 de la DDH (ou plus exactement, si un article
de la loi de 1881 était contraire à l'article 4 de la DDH, une QPC
aurait de bonnes chances d'obtenir la censure du dit article).
Ce détail posé, pour la suite :
> > Et au final c'est ça qui le
> > caractérise le plus :
> >
> > > "La Société des journalistes de RTL s'était « désolidarisée » mercredi
> > > des prises de position de l'éditorialiste sur les musulmans de France,
> > > estimant qu'elles « ternissaient les valeurs défendues » par la
> > > station."
> >
> > Il n'y a pas à proprement parler atteinte à la liberté d'expression.
> > Il reste libre de s'exprimer et il continuera à avoir son auditoire.
>
> Voilà, c'est exactement ce sur quoi je voulais attirer l'attention.
> Il n'y a pas de rapport entre sa liberté et la cessation de son contrat
> de travail.
Là-dessus, 100% d'accord : beaucoup de gens confondent la liberté
d'expression et un supposé droit de faire publier ce qu'on exprime sur
le média qu'on veut, droit qui lui, n'existe pas ; on peut résumer la
différence à la lumière de l'article 4 de la DDH en disant que si
Zenmour a le droit de s'exprimer, il n'a pas celui d'imposer à quelque
média que ce soit de diffuser cette expression, car cela reviendrait à
priver ledit média de sa propre liberté éditoriale.
Amicalement,
Bonjour Dominique,
Le Sat, 20 Dec 2014 11:29:12 +0100, (Dominique de
Corse) a écrit :
Tout cela est exact, mais n'oublions pas que la liberté d'expression se
place aussi dans le cadre de la liberté en général, laquelle est définie
(d'une façon certes sujette à débat) dans l'article 4 de la DDH de la
façon suivante :
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à
autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme
n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la
Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne
peuvent être déterminées que par la Loi.
À ce titre, la liberté d'expression a bien une limite définie (plus ou
moins clairement) par le point où son exercice nuit à autrui. Certes,
un texte spécifique régit la liberté d'expression, mais il ne saurait
aller contre l'article 4 de la DDH (ou plus exactement, si un article
de la loi de 1881 était contraire à l'article 4 de la DDH, une QPC
aurait de bonnes chances d'obtenir la censure du dit article).
Ce détail posé, pour la suite :
> > Et au final c'est ça qui le
> > caractérise le plus :
> >
> > > "La Société des journalistes de RTL s'était « désolidarisée » mercredi
> > > des prises de position de l'éditorialiste sur les musulmans de France,
> > > estimant qu'elles « ternissaient les valeurs défendues » par la
> > > station."
> >
> > Il n'y a pas à proprement parler atteinte à la liberté d'expression.
> > Il reste libre de s'exprimer et il continuera à avoir son auditoire.
>
> Voilà, c'est exactement ce sur quoi je voulais attirer l'attention.
> Il n'y a pas de rapport entre sa liberté et la cessation de son contrat
> de travail.
Là-dessus, 100% d'accord : beaucoup de gens confondent la liberté
d'expression et un supposé droit de faire publier ce qu'on exprime sur
le média qu'on veut, droit qui lui, n'existe pas ; on peut résumer la
différence à la lumière de l'article 4 de la DDH en disant que si
Zenmour a le droit de s'exprimer, il n'a pas celui d'imposer à quelque
média que ce soit de diffuser cette expression, car cela reviendrait à
priver ledit média de sa propre liberté éditoriale.
Amicalement,
(je coupe un peu pour aérer)
(je coupe un peu pour aérer)
(je coupe un peu pour aérer)
Je suis bien d'accord avec vous, Albert, mais notons la différence entre "la
liberté des uns commence où s'arrête celle des autres" et " la liberté
consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas aux autres" : ce n'est pas
juste une nuance, c'est une différence fondamentale.
C'est ce que je voulais dire à propos de l'adage quand j'écrivais que ça
reviendrait à accepter que la liberté du quidam désarmé s'arrête à celle de
celui qui a une arme en main.
Je suis bien d'accord avec vous, Albert, mais notons la différence entre "la
liberté des uns commence où s'arrête celle des autres" et " la liberté
consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas aux autres" : ce n'est pas
juste une nuance, c'est une différence fondamentale.
C'est ce que je voulais dire à propos de l'adage quand j'écrivais que ça
reviendrait à accepter que la liberté du quidam désarmé s'arrête à celle de
celui qui a une arme en main.
Je suis bien d'accord avec vous, Albert, mais notons la différence entre "la
liberté des uns commence où s'arrête celle des autres" et " la liberté
consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas aux autres" : ce n'est pas
juste une nuance, c'est une différence fondamentale.
C'est ce que je voulais dire à propos de l'adage quand j'écrivais que ça
reviendrait à accepter que la liberté du quidam désarmé s'arrête à celle de
celui qui a une arme en main.
Je suis bien d'accord avec vous, Albert, mais notons la différence entre "la
liberté des uns commence où s'arrête celle des autres" et " la liberté
consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas aux autres" : ce n'est pas
juste une nuance, c'est une différence fondamentale.
C'est ce que je voulais dire à propos de l'adage quand j'écrivais que ça
reviendrait à accepter que la liberté du quidam désarmé s'arrête à celle
de celui qui a une arme en main.
La liberté définie et protégée dans le Préambule de notre Constitution n'est
pas celle du plus fort, au contraire.
Je suis bien d'accord avec vous, Albert, mais notons la différence entre "la
liberté des uns commence où s'arrête celle des autres" et " la liberté
consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas aux autres" : ce n'est pas
juste une nuance, c'est une différence fondamentale.
C'est ce que je voulais dire à propos de l'adage quand j'écrivais que ça
reviendrait à accepter que la liberté du quidam désarmé s'arrête à celle
de celui qui a une arme en main.
La liberté définie et protégée dans le Préambule de notre Constitution n'est
pas celle du plus fort, au contraire.
Je suis bien d'accord avec vous, Albert, mais notons la différence entre "la
liberté des uns commence où s'arrête celle des autres" et " la liberté
consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas aux autres" : ce n'est pas
juste une nuance, c'est une différence fondamentale.
C'est ce que je voulais dire à propos de l'adage quand j'écrivais que ça
reviendrait à accepter que la liberté du quidam désarmé s'arrête à celle
de celui qui a une arme en main.
La liberté définie et protégée dans le Préambule de notre Constitution n'est
pas celle du plus fort, au contraire.
« iTélé a décidé de mettre fin à l'émission Ça se dispute, qui ne
reprendra pas en janvier 2015 »
"la Société des journalistes (SDJ) de la chaîne s'est « félicitée » de
cette « prise de position forte » qu'elle « attendait »."
"SOS Racisme s'est « félicité » de la décision d'iTélé et « attend de
RTL, de Paris Première et du Figaro qu'ils prennent la même décision »."
"La Société des journalistes de RTL s'était « désolidarisée » mercredi
des prises de position de l'éditorialiste sur les musulmans de France,
estimant qu'elles « ternissaient les valeurs défendues » par la
station."
<http://www.ouest-france.fr/eric-zemmour-itele-se-separe-du-polemiste-3067510>
« iTélé a décidé de mettre fin à l'émission Ça se dispute, qui ne
reprendra pas en janvier 2015 »
"la Société des journalistes (SDJ) de la chaîne s'est « félicitée » de
cette « prise de position forte » qu'elle « attendait »."
"SOS Racisme s'est « félicité » de la décision d'iTélé et « attend de
RTL, de Paris Première et du Figaro qu'ils prennent la même décision »."
"La Société des journalistes de RTL s'était « désolidarisée » mercredi
des prises de position de l'éditorialiste sur les musulmans de France,
estimant qu'elles « ternissaient les valeurs défendues » par la
station."
<http://www.ouest-france.fr/eric-zemmour-itele-se-separe-du-polemiste-3067510>
« iTélé a décidé de mettre fin à l'émission Ça se dispute, qui ne
reprendra pas en janvier 2015 »
"la Société des journalistes (SDJ) de la chaîne s'est « félicitée » de
cette « prise de position forte » qu'elle « attendait »."
"SOS Racisme s'est « félicité » de la décision d'iTélé et « attend de
RTL, de Paris Première et du Figaro qu'ils prennent la même décision »."
"La Société des journalistes de RTL s'était « désolidarisée » mercredi
des prises de position de l'éditorialiste sur les musulmans de France,
estimant qu'elles « ternissaient les valeurs défendues » par la
station."
<http://www.ouest-france.fr/eric-zemmour-itele-se-separe-du-polemiste-3067510>