OfficeVista, OfficeGold, OfficeEnterprise et OfficeAdvanced.
Vous constaterez qu'ils ont laissé tomber OfficeME...
-- Non. Un beau jour j'ai trouvé que mon robot posteur marchait aussi bien que l'autre et depuis je m'en sers. Quand je serai mourant je transmettrai tout à fur. --{ Usenet est immortel. }--
--{ Stéphane CARPENTIER a plopé ceci: }--
Pourquoi on fait pas un seul windows qui marche tres bien ?
OfficeVista, OfficeGold, OfficeEnterprise et OfficeAdvanced.
Vous constaterez qu'ils ont laissé tomber OfficeME...
--
Non. Un beau jour j'ai trouvé que mon robot posteur marchait aussi bien que
l'autre et depuis je m'en sers.
Quand je serai mourant je transmettrai tout à fur.
--{ Usenet est immortel. }--
OfficeVista, OfficeGold, OfficeEnterprise et OfficeAdvanced.
Vous constaterez qu'ils ont laissé tomber OfficeME...
-- Non. Un beau jour j'ai trouvé que mon robot posteur marchait aussi bien que l'autre et depuis je m'en sers. Quand je serai mourant je transmettrai tout à fur. --{ Usenet est immortel. }--
Raphaël 'SurcouF' Bordet
Le lundi 21 janvier 2008 à 10:40 +0100, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Ce cher (Michel Talon) a dit :
[...]
Linus Torvalds en personne.
Développe.. Je ne vois toujours pas ce que tu veux dire.
Il a imposé aux dév du noyau d'utiliser un gestionnaire de révision s propriétaire et cela lui a claqué au nez... depuis, il en a réécr it un (git).
En même temps, en ce début de l'année 2005, les alternatives libres à BitKeeper ne formaient pas Légion : - 13 Oct 2004 : Subversion 1.0.8 ; - 11 Mar 2005 : Darcs 6.4 ; - 6 Avr 2005 : Bazaar 0.0.3 ; - 7 Avr 2005 : git 0.01 ; - 2 Mai 2005 : GNU Arch 1.3.2. - 27 Mai 2005 : Mercurial 0.1 ; - 15 Jui 2005 : CVS 1.11.17 (je n'ai pas trouvé plus récent...).
On peut déjà oublier CVS et Subversion pour leur mode centralisé sur un serveur. En effet, les développeurs de Linux apprécient plutôt le développement totalement décentralisé. Cependant, si Bazaar et Mercur ial en sont encore à leurs balbutiements, Darcs et GNU Arch affichent des numéros de versions plutôt encourageants mais Linus a préféré d évelopper son propre outil...
-- Raphaël SurcouF
Le lundi 21 janvier 2008 à 10:40 +0100, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Ce cher talon@lpthe.jussieu.fr (Michel Talon) a dit :
[...]
Linus Torvalds en personne.
Développe..
Je ne vois toujours pas ce que tu veux dire.
Il a imposé aux dév du noyau d'utiliser un gestionnaire de révision s
propriétaire et cela lui a claqué au nez... depuis, il en a réécr it un
(git).
En même temps, en ce début de l'année 2005, les alternatives libres à
BitKeeper ne formaient pas Légion :
- 13 Oct 2004 : Subversion 1.0.8 ;
- 11 Mar 2005 : Darcs 6.4 ;
- 6 Avr 2005 : Bazaar 0.0.3 ;
- 7 Avr 2005 : git 0.01 ;
- 2 Mai 2005 : GNU Arch 1.3.2.
- 27 Mai 2005 : Mercurial 0.1 ;
- 15 Jui 2005 : CVS 1.11.17 (je n'ai pas trouvé plus récent...).
On peut déjà oublier CVS et Subversion pour leur mode centralisé sur un
serveur. En effet, les développeurs de Linux apprécient plutôt le
développement totalement décentralisé. Cependant, si Bazaar et Mercur ial
en sont encore à leurs balbutiements, Darcs et GNU Arch affichent des
numéros de versions plutôt encourageants mais Linus a préféré d évelopper
son propre outil...
Le lundi 21 janvier 2008 à 10:40 +0100, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Ce cher (Michel Talon) a dit :
[...]
Linus Torvalds en personne.
Développe.. Je ne vois toujours pas ce que tu veux dire.
Il a imposé aux dév du noyau d'utiliser un gestionnaire de révision s propriétaire et cela lui a claqué au nez... depuis, il en a réécr it un (git).
En même temps, en ce début de l'année 2005, les alternatives libres à BitKeeper ne formaient pas Légion : - 13 Oct 2004 : Subversion 1.0.8 ; - 11 Mar 2005 : Darcs 6.4 ; - 6 Avr 2005 : Bazaar 0.0.3 ; - 7 Avr 2005 : git 0.01 ; - 2 Mai 2005 : GNU Arch 1.3.2. - 27 Mai 2005 : Mercurial 0.1 ; - 15 Jui 2005 : CVS 1.11.17 (je n'ai pas trouvé plus récent...).
On peut déjà oublier CVS et Subversion pour leur mode centralisé sur un serveur. En effet, les développeurs de Linux apprécient plutôt le développement totalement décentralisé. Cependant, si Bazaar et Mercur ial en sont encore à leurs balbutiements, Darcs et GNU Arch affichent des numéros de versions plutôt encourageants mais Linus a préféré d évelopper son propre outil...
-- Raphaël SurcouF
Patrice Karatchentzeff
Raphaël 'SurcouF' Bordet ,et> a écrit :
[...]
En même temps, en ce début de l'année 2005, les alternatives libres à BitKeeper ne formaient pas Légion : - 13 Oct 2004 : Subversion 1.0.8 ; - 11 Mar 2005 : Darcs 6.4 ; - 6 Avr 2005 : Bazaar 0.0.3 ; - 7 Avr 2005 : git 0.01 ; - 2 Mai 2005 : GNU Arch 1.3.2. - 27 Mai 2005 : Mercurial 0.1 ; - 15 Jui 2005 : CVS 1.11.17 (je n'ai pas trouvé plus récent...).
On peut déjà oublier CVS et Subversion pour leur mode centralisé sur un serveur.
Raphaël 'SurcouF' Bordet <surcouf@debianfr.,et> a écrit :
[...]
En même temps, en ce début de l'année 2005, les alternatives libres à
BitKeeper ne formaient pas Légion :
- 13 Oct 2004 : Subversion 1.0.8 ;
- 11 Mar 2005 : Darcs 6.4 ;
- 6 Avr 2005 : Bazaar 0.0.3 ;
- 7 Avr 2005 : git 0.01 ;
- 2 Mai 2005 : GNU Arch 1.3.2.
- 27 Mai 2005 : Mercurial 0.1 ;
- 15 Jui 2005 : CVS 1.11.17 (je n'ai pas trouvé plus récent...).
On peut déjà oublier CVS et Subversion pour leur mode centralisé sur un
serveur.
En même temps, en ce début de l'année 2005, les alternatives libres à BitKeeper ne formaient pas Légion : - 13 Oct 2004 : Subversion 1.0.8 ; - 11 Mar 2005 : Darcs 6.4 ; - 6 Avr 2005 : Bazaar 0.0.3 ; - 7 Avr 2005 : git 0.01 ; - 2 Mai 2005 : GNU Arch 1.3.2. - 27 Mai 2005 : Mercurial 0.1 ; - 15 Jui 2005 : CVS 1.11.17 (je n'ai pas trouvé plus récent...).
On peut déjà oublier CVS et Subversion pour leur mode centralisé sur un serveur.
Le mercredi 23 janvier 2008 à 09:45 +0100, Patrice Karatchentzeff a
[...]
En même temps, en ce début de l'année 2005, les alternatives libr es à BitKeeper ne formaient pas Légion : - 13 Oct 2004 : Subversion 1.0.8 ; - 11 Mar 2005 : Darcs 6.4 ; - 6 Avr 2005 : Bazaar 0.0.3 ; - 7 Avr 2005 : git 0.01 ; - 2 Mai 2005 : GNU Arch 1.3.2. - 27 Mai 2005 : Mercurial 0.1 ; - 15 Jui 2005 : CVS 1.11.17 (je n'ai pas trouvé plus récent...).
On peut déjà oublier CVS et Subversion pour leur mode centralisé sur un serveur.
svk.
- 9 Mai 2005 : SVK 1.00.
C'est un peu le même constat que pour giT : développer un outil pour pallier à un défaut de certains logiciels (CVS, svn) alors que d'autres logiciels existaient déjà. Cela dit : SVK a un avantage important par rapport à tous ses confrères : bien que la version 2.00 ai ajouté l'option « floating » à la commande « checkout » pour disposer du .svk directement dans le répertoire de la copie de travail, SVK a été justement conçu pour éviter d'avoir ce répertoire à cet endroit. Ce qui fait que SVK s'apprête tr ès bien à la gestion de version de fichiers de configurations sur les serveurs. Je ne l'ai pas cité à cause de cette différence fondamental de conception par rapport aux autres logiciels, CVS et Subversion mis à part. SVK est davantage conçu pour le mode déconnecté que décentral isé.
-- Raphaël SurcouF
Le mercredi 23 janvier 2008 à 09:45 +0100, Patrice Karatchentzeff a
[...]
En même temps, en ce début de l'année 2005, les alternatives libr es à
BitKeeper ne formaient pas Légion :
- 13 Oct 2004 : Subversion 1.0.8 ;
- 11 Mar 2005 : Darcs 6.4 ;
- 6 Avr 2005 : Bazaar 0.0.3 ;
- 7 Avr 2005 : git 0.01 ;
- 2 Mai 2005 : GNU Arch 1.3.2.
- 27 Mai 2005 : Mercurial 0.1 ;
- 15 Jui 2005 : CVS 1.11.17 (je n'ai pas trouvé plus récent...).
On peut déjà oublier CVS et Subversion pour leur mode centralisé sur un
serveur.
svk.
- 9 Mai 2005 : SVK 1.00.
C'est un peu le même constat que pour giT : développer un outil pour
pallier à un défaut de certains logiciels (CVS, svn) alors que d'autres
logiciels existaient déjà.
Cela dit : SVK a un avantage important par rapport à tous ses
confrères : bien que la version 2.00 ai ajouté l'option « floating » à
la commande « checkout » pour disposer du .svk directement dans le
répertoire de la copie de travail, SVK a été justement conçu pour éviter
d'avoir ce répertoire à cet endroit. Ce qui fait que SVK s'apprête tr ès
bien à la gestion de version de fichiers de configurations sur les
serveurs.
Je ne l'ai pas cité à cause de cette différence fondamental de
conception par rapport aux autres logiciels, CVS et Subversion mis à
part. SVK est davantage conçu pour le mode déconnecté que décentral isé.
Le mercredi 23 janvier 2008 à 09:45 +0100, Patrice Karatchentzeff a
[...]
En même temps, en ce début de l'année 2005, les alternatives libr es à BitKeeper ne formaient pas Légion : - 13 Oct 2004 : Subversion 1.0.8 ; - 11 Mar 2005 : Darcs 6.4 ; - 6 Avr 2005 : Bazaar 0.0.3 ; - 7 Avr 2005 : git 0.01 ; - 2 Mai 2005 : GNU Arch 1.3.2. - 27 Mai 2005 : Mercurial 0.1 ; - 15 Jui 2005 : CVS 1.11.17 (je n'ai pas trouvé plus récent...).
On peut déjà oublier CVS et Subversion pour leur mode centralisé sur un serveur.
svk.
- 9 Mai 2005 : SVK 1.00.
C'est un peu le même constat que pour giT : développer un outil pour pallier à un défaut de certains logiciels (CVS, svn) alors que d'autres logiciels existaient déjà. Cela dit : SVK a un avantage important par rapport à tous ses confrères : bien que la version 2.00 ai ajouté l'option « floating » à la commande « checkout » pour disposer du .svk directement dans le répertoire de la copie de travail, SVK a été justement conçu pour éviter d'avoir ce répertoire à cet endroit. Ce qui fait que SVK s'apprête tr ès bien à la gestion de version de fichiers de configurations sur les serveurs. Je ne l'ai pas cité à cause de cette différence fondamental de conception par rapport aux autres logiciels, CVS et Subversion mis à part. SVK est davantage conçu pour le mode déconnecté que décentral isé.
-- Raphaël SurcouF
Simplet né sous X
On Mon, 21 Jan 2008 22:44:15 +0100, Stéphane CARPENTIER wrote:
Pourquoi on fait pas un seul windows qui marche tres bien ?
Ben, comment il gagne de l'argent Microsoft ?
En vendant le windows pour de nouvelles machines Comme a l'heure actuelle....
Pendant 5 ans ils ont vendu XP (microsoft n'a pas fait faillite) -- Un mot mal formé a tout autant le droit de vivre qu'un autre. Il ne vous viendrai jamais a l'idee de dire a quelqu'un en public "Il te manque un bras" ou "tu ressemble a elephant man".
On Mon, 21 Jan 2008 22:44:15 +0100, Stéphane CARPENTIER
<stef.carpentier@gratuit.fr.invalid> wrote:
Pourquoi on fait pas un seul windows qui marche tres bien ?
Ben, comment il gagne de l'argent Microsoft ?
En vendant le windows pour de nouvelles machines
Comme a l'heure actuelle....
Pendant 5 ans ils ont vendu XP (microsoft n'a pas fait faillite)
--
Un mot mal formé a tout autant le droit de vivre qu'un autre.
Il ne vous viendrai jamais a l'idee de dire a quelqu'un en public "Il te manque un bras" ou "tu ressemble a elephant man".
On Mon, 21 Jan 2008 22:44:15 +0100, Stéphane CARPENTIER wrote:
Pourquoi on fait pas un seul windows qui marche tres bien ?
Ben, comment il gagne de l'argent Microsoft ?
En vendant le windows pour de nouvelles machines Comme a l'heure actuelle....
Pendant 5 ans ils ont vendu XP (microsoft n'a pas fait faillite) -- Un mot mal formé a tout autant le droit de vivre qu'un autre. Il ne vous viendrai jamais a l'idee de dire a quelqu'un en public "Il te manque un bras" ou "tu ressemble a elephant man".
Miod Vallat
La notoriété d'un logiciel libre amène à une qualité sans cesse croissante, et réciproquement. Tu trouves ça moins souvent dans le propriétaire.
Pas si sûr. Un facteur clef est la maturité du logiciel au moment où la notoriété arrive. Si le logiciel donne l'impression d'être «complet» ou «achevé», il risque d'être utilisé «clefs en main» sans que personne ne s'intéresse outre mesure à ce qu'il y a sous le capot.
Si, en revanche, la notoriété arrive alors que le logiciel est encore en ébullition, on peut en effet s'attendre à une amélioration de sa qualité.
Il existe des logiciels libres développés dans des tours d'ivoire, tout comme des logiciels propriétaires développés avec des règles strictes de relecture et de contrôle du code.
Bien sûr, je n'ai jamais dit l'inverse, au contraire !
En revanche qualité de code != qualité du logiciel, contrairement à ce que tu sous-entend ci-dessus.
C'est une condition nécessaire, et l'une des plus importantes.
La notoriété d'un logiciel libre amène à une qualité sans cesse croissante, et
réciproquement. Tu trouves ça moins souvent dans le propriétaire.
Pas si sûr. Un facteur clef est la maturité du logiciel au moment où la
notoriété arrive. Si le logiciel donne l'impression d'être «complet» ou
«achevé», il risque d'être utilisé «clefs en main» sans que personne ne
s'intéresse outre mesure à ce qu'il y a sous le capot.
Si, en revanche, la notoriété arrive alors que le logiciel est encore en
ébullition, on peut en effet s'attendre à une amélioration de sa
qualité.
Il existe des logiciels libres développés dans des tours d'ivoire, tout
comme des logiciels propriétaires développés avec des règles strictes de
relecture et de contrôle du code.
Bien sûr, je n'ai jamais dit l'inverse, au contraire !
En revanche qualité de code != qualité du logiciel, contrairement à ce que tu
sous-entend ci-dessus.
C'est une condition nécessaire, et l'une des plus importantes.
La notoriété d'un logiciel libre amène à une qualité sans cesse croissante, et réciproquement. Tu trouves ça moins souvent dans le propriétaire.
Pas si sûr. Un facteur clef est la maturité du logiciel au moment où la notoriété arrive. Si le logiciel donne l'impression d'être «complet» ou «achevé», il risque d'être utilisé «clefs en main» sans que personne ne s'intéresse outre mesure à ce qu'il y a sous le capot.
Si, en revanche, la notoriété arrive alors que le logiciel est encore en ébullition, on peut en effet s'attendre à une amélioration de sa qualité.
Il existe des logiciels libres développés dans des tours d'ivoire, tout comme des logiciels propriétaires développés avec des règles strictes de relecture et de contrôle du code.
Bien sûr, je n'ai jamais dit l'inverse, au contraire !
En revanche qualité de code != qualité du logiciel, contrairement à ce que tu sous-entend ci-dessus.
C'est une condition nécessaire, et l'une des plus importantes.