Article de National hebdo le 28 avril 2005
http://www.national-hebdo.com/
Louis Page
Certaines séries télévisées françaises sont des "leçons de morale",
destinées à imposer aux téléspectateurs ce qu'ils doivent penser sur les
sujets d'actualité. La première à être ouvertement une opération de
propagande de la pensée unique fut l'Instit.
Depuis, d'autres ont emboîté le pas, comme Louis Page. Et ici, c'est un
prêtre catholique qui est chargé de prêcher la morale laïque antiraciste
de la tolérance à sens unique...
L'épisode qu'on a pu voir hier soir était de façon particulièrement
caricaturale antifrançais et antichrétien.
Voici donc un médecin hospitalier marocain qui s'installe avec sa femme
et sa fille dans une petite ville de province. Où vit un professeur de
français, catholique, avec sa femme et son fils.
Le médecin marocain est un homme sympathique, ouvert, et compétent. Sa
femme est une femme diplômée, qui a eu des activités de relations
publiques. Leur fille est jolie, charmante, intelligente, cultivée. Tous
trois sont musulmans pratiquants.
Le professeur catholique est un homme rigide, sévère, froid, très dur
avec sa femme et son fils. Presque inhumain. Sa femme est soumise,
cantonnée aux soins du ménage. Le fils est gentil et intelligent.
Bien entendu, le fils des terrifiants catholiques et la fille des
sympathiques musulmans vont tomber amoureux l'un de l'autre. Et le père
du garçon va s'employer à tenter de détruire cette idylle.
Au départ, il dit que c'est parce que la fille est musulmane: il y a
incompatibilité entre les deux religions. Puis il ajoute
l'incompatibilité entre les cultures. Et finalement il éclate en
imprécations contre les arabes.
Les catholiques sont non seulement bornés et fermés, mais ils sont en
outre affreusement hypocrites: ils prétendent parler selon leur
religion, mais en fait ils sont simplement racistes. Cela dit, ça finit
mal pour eux. La femme du professeur finit par se révolter devant
l'attitude de son mari, et elle le met à la porte.
Il y a aussi les bons catholiques, comme le prêtre Louis Page et son
ami l'aumônier des jeunes de la paroisse. Les bons catholiques sont ceux
qui ne voient aucun problème dans l'amour que se portent un catholique
et une musulmane.
Ce sont deux religions qui prêchent l'amour, disent-ils, et tout le
monde est horrifié quand le professeur ose dire que Mahomet a imposé sa
religion par la terreur. Et le prêtre réplique que Jésus a chassé les
marchands du Temple.
Naturellement, il n'y a personne pour souligner qu'il est
historiquement et tragiquement vrai que Mahomet et ses successeurs ont
imposé l'islam par le sabre.
Il n'y a personne pour faire remarquer qu'il n'y a aucun rapport entre
le geste symbolique du Christ et les carnages de la conquête
arabo-musulmane.
Il n'y a personne non plus pour dire que le mot amour n'existe pas dans
le Coran, qu'il ne fait pas partie des 99 noms de Dieu, alors que le
fondement de la foi chrétienne est que l'essence de Dieu est l'Amour.
Il n'y a personne enfin pour signaler au jeune homme qu'il ne pourra
jamais se marier à l'église avec la jeune musulmane, parce que l'islam
interdit à une femme de se marier avec un non-musulman. Elle-même le dit
pourtant, mais comme une plaisanterie, ou plutôt un défi.
C'est dans l'église même qu'elle dit au garçon qu'il devra devenir
musulman s'il veut l'épouser, et elle part d'un grand éclat de rire qui
résonne de plus en plus fort, alors que la caméra filme l'église en
s'éloignant de plus en plus...
Signalons aussi cette petite touche qui signe la provocation: le seul
problème que rencontre le médecin musulman est qu'une femme française
refuse de se faire examiner par lui.
Les médecins hospitaliers, confrontés au problème que l'on sait avec les
femmes musulmanes, n'ont peut-être pas goûté tout l'humour de cette
inversion de la réalité.
Ce téléfilm français a été réalisé par Badreddine Mokrani. Badreddine
veut dire, en arabe, "pleine lune de la religion", c'est-à-dire
plénitude lumineuse de l'islam.
Article de National hebdo le 28 avril 2005 http://www.national-hebdo.com/
Louis Page
Certaines séries télévisées françaises sont des "leçons de morale",
*toutes* les series francaises. L'instit, Louis la Broquante, etc....
Heureusement il y a les series US & UK :)
destinées à imposer aux téléspectateurs ce qu'ils doivent penser sur les sujets d'actualité. La première à être ouvertement une opération de propagande de la pensée unique fut l'Instit.
CQFD! Cette serie est a vomir.
Depuis, d'autres ont emboîté le pas, comme Louis Page. Et ici, c'est un prêtre catholique qui est chargé de prêcher la morale laïque antiraciste de la tolérance à sens unique...
L'épisode qu'on a pu voir hier soir était de façon particulièrement caricaturale antifrançais et antichrétien.
Voici donc un médecin hospitalier marocain qui s'installe avec sa femme et sa fille dans une petite ville de province. Où vit un professeur de français, catholique, avec sa femme et son fils.
Le médecin marocain est un homme sympathique, ouvert, et compétent. Sa femme est une femme diplômée, qui a eu des activités de relations publiques. Leur fille est jolie, charmante, intelligente, cultivée. Tous trois sont musulmans pratiquants.
Le professeur catholique est un homme rigide, sévère, froid, très dur avec sa femme et son fils. Presque inhumain. Sa femme est soumise, cantonnée aux soins du ménage. Le fils est gentil et intelligent.
Bien entendu, le fils des terrifiants catholiques et la fille des sympathiques musulmans vont tomber amoureux l'un de l'autre.
Mais ou vont ils chercher tous ca! Quel talent :)
Et le père du garçon va s'employer à tenter de détruire cette idylle.
Au départ, il dit que c'est parce que la fille est musulmane: il y a incompatibilité entre les deux religions. Puis il ajoute l'incompatibilité entre les cultures. Et finalement il éclate en imprécations contre les arabes.
Les catholiques sont non seulement bornés et fermés, mais ils sont en outre affreusement hypocrites: ils prétendent parler selon leur religion, mais en fait ils sont simplement racistes. Cela dit, ça finit mal pour eux. La femme du professeur finit par se révolter devant l'attitude de son mari, et elle le met à la porte.
Il y a aussi les bons catholiques, comme le prêtre Louis Page et son ami l'aumônier des jeunes de la paroisse. Les bons catholiques sont ceux qui ne voient aucun problème dans l'amour que se portent un catholique et une musulmane.
Ce sont deux religions qui prêchent l'amour, disent-ils, et tout le monde est horrifié quand le professeur ose dire que Mahomet a imposé sa religion par la terreur. Et le prêtre réplique que Jésus a chassé les marchands du Temple.
Naturellement, il n'y a personne pour souligner qu'il est historiquement et tragiquement vrai que Mahomet et ses successeurs ont imposé l'islam par le sabre.
Il n'y a personne pour faire remarquer qu'il n'y a aucun rapport entre le geste symbolique du Christ et les carnages de la conquête arabo-musulmane.
Il n'y a personne non plus pour dire que le mot amour n'existe pas dans le Coran, qu'il ne fait pas partie des 99 noms de Dieu, alors que le fondement de la foi chrétienne est que l'essence de Dieu est l'Amour.
Il n'y a personne enfin pour signaler au jeune homme qu'il ne pourra jamais se marier à l'église avec la jeune musulmane, parce que l'islam interdit à une femme de se marier avec un non-musulman. Elle-même le dit pourtant, mais comme une plaisanterie, ou plutôt un défi.
C'est dans l'église même qu'elle dit au garçon qu'il devra devenir musulman s'il veut l'épouser, et elle part d'un grand éclat de rire qui résonne de plus en plus fort, alors que la caméra filme l'église en s'éloignant de plus en plus...
Signalons aussi cette petite touche qui signe la provocation: le seul problème que rencontre le médecin musulman est qu'une femme française refuse de se faire examiner par lui.
Les médecins hospitaliers, confrontés au problème que l'on sait avec les femmes musulmanes, n'ont peut-être pas goûté tout l'humour de cette inversion de la réalité.
Ce téléfilm français a été réalisé par Badreddine Mokrani. Badreddine veut dire, en arabe, "pleine lune de la religion", c'est-à-dire plénitude lumineuse de l'islam.
Philippe RAI wrote:
Article de National hebdo le 28 avril 2005
http://www.national-hebdo.com/
Louis Page
Certaines séries télévisées françaises sont des "leçons de morale",
*toutes* les series francaises. L'instit, Louis la Broquante, etc....
Heureusement il y a les series US & UK :)
destinées à imposer aux téléspectateurs ce qu'ils doivent penser sur les
sujets d'actualité. La première à être ouvertement une opération de
propagande de la pensée unique fut l'Instit.
CQFD! Cette serie est a vomir.
Depuis, d'autres ont emboîté le pas, comme Louis Page. Et ici, c'est un
prêtre catholique qui est chargé de prêcher la morale laïque antiraciste
de la tolérance à sens unique...
L'épisode qu'on a pu voir hier soir était de façon particulièrement
caricaturale antifrançais et antichrétien.
Voici donc un médecin hospitalier marocain qui s'installe avec sa femme
et sa fille dans une petite ville de province. Où vit un professeur de
français, catholique, avec sa femme et son fils.
Le médecin marocain est un homme sympathique, ouvert, et compétent. Sa
femme est une femme diplômée, qui a eu des activités de relations
publiques. Leur fille est jolie, charmante, intelligente, cultivée. Tous
trois sont musulmans pratiquants.
Le professeur catholique est un homme rigide, sévère, froid, très dur
avec sa femme et son fils. Presque inhumain. Sa femme est soumise,
cantonnée aux soins du ménage. Le fils est gentil et intelligent.
Bien entendu, le fils des terrifiants catholiques et la fille des
sympathiques musulmans vont tomber amoureux l'un de l'autre.
Mais ou vont ils chercher tous ca! Quel talent :)
Et le père
du garçon va s'employer à tenter de détruire cette idylle.
Au départ, il dit que c'est parce que la fille est musulmane: il y a
incompatibilité entre les deux religions. Puis il ajoute
l'incompatibilité entre les cultures. Et finalement il éclate en
imprécations contre les arabes.
Les catholiques sont non seulement bornés et fermés, mais ils sont en
outre affreusement hypocrites: ils prétendent parler selon leur
religion, mais en fait ils sont simplement racistes. Cela dit, ça finit
mal pour eux. La femme du professeur finit par se révolter devant
l'attitude de son mari, et elle le met à la porte.
Il y a aussi les bons catholiques, comme le prêtre Louis Page et son
ami l'aumônier des jeunes de la paroisse. Les bons catholiques sont ceux
qui ne voient aucun problème dans l'amour que se portent un catholique
et une musulmane.
Ce sont deux religions qui prêchent l'amour, disent-ils, et tout le
monde est horrifié quand le professeur ose dire que Mahomet a imposé sa
religion par la terreur. Et le prêtre réplique que Jésus a chassé les
marchands du Temple.
Naturellement, il n'y a personne pour souligner qu'il est
historiquement et tragiquement vrai que Mahomet et ses successeurs ont
imposé l'islam par le sabre.
Il n'y a personne pour faire remarquer qu'il n'y a aucun rapport entre
le geste symbolique du Christ et les carnages de la conquête
arabo-musulmane.
Il n'y a personne non plus pour dire que le mot amour n'existe pas dans
le Coran, qu'il ne fait pas partie des 99 noms de Dieu, alors que le
fondement de la foi chrétienne est que l'essence de Dieu est l'Amour.
Il n'y a personne enfin pour signaler au jeune homme qu'il ne pourra
jamais se marier à l'église avec la jeune musulmane, parce que l'islam
interdit à une femme de se marier avec un non-musulman. Elle-même le dit
pourtant, mais comme une plaisanterie, ou plutôt un défi.
C'est dans l'église même qu'elle dit au garçon qu'il devra devenir
musulman s'il veut l'épouser, et elle part d'un grand éclat de rire qui
résonne de plus en plus fort, alors que la caméra filme l'église en
s'éloignant de plus en plus...
Signalons aussi cette petite touche qui signe la provocation: le seul
problème que rencontre le médecin musulman est qu'une femme française
refuse de se faire examiner par lui.
Les médecins hospitaliers, confrontés au problème que l'on sait avec les
femmes musulmanes, n'ont peut-être pas goûté tout l'humour de cette
inversion de la réalité.
Ce téléfilm français a été réalisé par Badreddine Mokrani. Badreddine
veut dire, en arabe, "pleine lune de la religion", c'est-à-dire
plénitude lumineuse de l'islam.
Article de National hebdo le 28 avril 2005 http://www.national-hebdo.com/
Louis Page
Certaines séries télévisées françaises sont des "leçons de morale",
*toutes* les series francaises. L'instit, Louis la Broquante, etc....
Heureusement il y a les series US & UK :)
destinées à imposer aux téléspectateurs ce qu'ils doivent penser sur les sujets d'actualité. La première à être ouvertement une opération de propagande de la pensée unique fut l'Instit.
CQFD! Cette serie est a vomir.
Depuis, d'autres ont emboîté le pas, comme Louis Page. Et ici, c'est un prêtre catholique qui est chargé de prêcher la morale laïque antiraciste de la tolérance à sens unique...
L'épisode qu'on a pu voir hier soir était de façon particulièrement caricaturale antifrançais et antichrétien.
Voici donc un médecin hospitalier marocain qui s'installe avec sa femme et sa fille dans une petite ville de province. Où vit un professeur de français, catholique, avec sa femme et son fils.
Le médecin marocain est un homme sympathique, ouvert, et compétent. Sa femme est une femme diplômée, qui a eu des activités de relations publiques. Leur fille est jolie, charmante, intelligente, cultivée. Tous trois sont musulmans pratiquants.
Le professeur catholique est un homme rigide, sévère, froid, très dur avec sa femme et son fils. Presque inhumain. Sa femme est soumise, cantonnée aux soins du ménage. Le fils est gentil et intelligent.
Bien entendu, le fils des terrifiants catholiques et la fille des sympathiques musulmans vont tomber amoureux l'un de l'autre.
Mais ou vont ils chercher tous ca! Quel talent :)
Et le père du garçon va s'employer à tenter de détruire cette idylle.
Au départ, il dit que c'est parce que la fille est musulmane: il y a incompatibilité entre les deux religions. Puis il ajoute l'incompatibilité entre les cultures. Et finalement il éclate en imprécations contre les arabes.
Les catholiques sont non seulement bornés et fermés, mais ils sont en outre affreusement hypocrites: ils prétendent parler selon leur religion, mais en fait ils sont simplement racistes. Cela dit, ça finit mal pour eux. La femme du professeur finit par se révolter devant l'attitude de son mari, et elle le met à la porte.
Il y a aussi les bons catholiques, comme le prêtre Louis Page et son ami l'aumônier des jeunes de la paroisse. Les bons catholiques sont ceux qui ne voient aucun problème dans l'amour que se portent un catholique et une musulmane.
Ce sont deux religions qui prêchent l'amour, disent-ils, et tout le monde est horrifié quand le professeur ose dire que Mahomet a imposé sa religion par la terreur. Et le prêtre réplique que Jésus a chassé les marchands du Temple.
Naturellement, il n'y a personne pour souligner qu'il est historiquement et tragiquement vrai que Mahomet et ses successeurs ont imposé l'islam par le sabre.
Il n'y a personne pour faire remarquer qu'il n'y a aucun rapport entre le geste symbolique du Christ et les carnages de la conquête arabo-musulmane.
Il n'y a personne non plus pour dire que le mot amour n'existe pas dans le Coran, qu'il ne fait pas partie des 99 noms de Dieu, alors que le fondement de la foi chrétienne est que l'essence de Dieu est l'Amour.
Il n'y a personne enfin pour signaler au jeune homme qu'il ne pourra jamais se marier à l'église avec la jeune musulmane, parce que l'islam interdit à une femme de se marier avec un non-musulman. Elle-même le dit pourtant, mais comme une plaisanterie, ou plutôt un défi.
C'est dans l'église même qu'elle dit au garçon qu'il devra devenir musulman s'il veut l'épouser, et elle part d'un grand éclat de rire qui résonne de plus en plus fort, alors que la caméra filme l'église en s'éloignant de plus en plus...
Signalons aussi cette petite touche qui signe la provocation: le seul problème que rencontre le médecin musulman est qu'une femme française refuse de se faire examiner par lui.
Les médecins hospitaliers, confrontés au problème que l'on sait avec les femmes musulmanes, n'ont peut-être pas goûté tout l'humour de cette inversion de la réalité.
Ce téléfilm français a été réalisé par Badreddine Mokrani. Badreddine veut dire, en arabe, "pleine lune de la religion", c'est-à-dire plénitude lumineuse de l'islam.
Nemo
Message distribué sur fr.rec.tv.programmes,fr.rec.tv.series ___________________________________ Philippe RAI a exprimé avec précision :
Article de National hebdo le 28 avril 2005 http://www.national-hebdo.com/
Louis Page
Certaines séries télévisées françaises sont des "leçons de morale",
Et certains propos racistes relèvent du pénal !
Expliques a tout le monde que tu cotises au Fhaine, ton discours n'en seras que plus clair .
-- « Droit devant soi, on peut pas aller bien loin. » - St-exupery
Message distribué sur fr.rec.tv.programmes,fr.rec.tv.series
___________________________________
Philippe RAI a exprimé avec précision :
Article de National hebdo le 28 avril 2005
http://www.national-hebdo.com/
Louis Page
Certaines séries télévisées françaises sont des "leçons de morale",
Et certains propos racistes relèvent du pénal !
Expliques a tout le monde que tu cotises au Fhaine, ton discours n'en
seras que plus clair .
--
« Droit devant soi, on peut pas aller bien loin. » - St-exupery
-- Quiconque prétend s'ériger en juge de la vérité et du savoir s'expose à périr sous les éclats de rire des dieux puisque nous ignorons comment sont réellement les choses et que nous n'en connaissons que la représentation que nous en faisons. [Albert Einstein]
Message distribué sur fr.rec.tv.programmes,fr.rec.tv.series
___________________________________
why a présenté l'énoncé suivant :
Nemo wrote:
Louis Page
Certaines séries télévisées françaises sont des "leçons de morale",
--
Quiconque prétend s'ériger en juge de la vérité et du savoir s'expose à
périr sous les éclats de rire des dieux puisque nous ignorons comment
sont réellement les choses et que nous n'en connaissons que la
représentation que nous en faisons.
[Albert Einstein]
-- Quiconque prétend s'ériger en juge de la vérité et du savoir s'expose à périr sous les éclats de rire des dieux puisque nous ignorons comment sont réellement les choses et que nous n'en connaissons que la représentation que nous en faisons. [Albert Einstein]
Stephane Legras-Decussy
Nemo a écrit dans le message :
Quiconque prétend s'ériger en juge de la vérité et du savoir s'expose à périr sous les éclats de rire des dieux puisque nous ignorons comment sont réellement les choses et que nous n'en connaissons que la représentation que nous en faisons. [Albert Einstein]
comme quoi il pouvait être un peu con Einstein des fois...
Nemo <nemo@nautilus.fr> a écrit dans le message :
mn.e81e7d541a0b6866.28183@nautilus.fr...
Quiconque prétend s'ériger en juge de la vérité et du savoir s'expose à
périr sous les éclats de rire des dieux puisque nous ignorons comment
sont réellement les choses et que nous n'en connaissons que la
représentation que nous en faisons.
[Albert Einstein]
comme quoi il pouvait être un peu con Einstein des fois...
Quiconque prétend s'ériger en juge de la vérité et du savoir s'expose à périr sous les éclats de rire des dieux puisque nous ignorons comment sont réellement les choses et que nous n'en connaissons que la représentation que nous en faisons. [Albert Einstein]
comme quoi il pouvait être un peu con Einstein des fois...
why
Stephane Legras-Decussy wrote:
Nemo a écrit dans le message :
Quiconque prétend s'ériger en juge de la vérité et du savoir s'expose à périr sous les éclats de rire des dieux puisque nous ignorons comment sont réellement les choses et que nous n'en connaissons que la représentation que nous en faisons. [Albert Einstein]
comme quoi il pouvait être un peu con Einstein des fois...
Non c'est toi le con.
Stephane Legras-Decussy wrote:
Nemo <nemo@nautilus.fr> a écrit dans le message :
mn.e81e7d541a0b6866.28183@nautilus.fr...
Quiconque prétend s'ériger en juge de la vérité et du savoir s'expose à
périr sous les éclats de rire des dieux puisque nous ignorons comment
sont réellement les choses et que nous n'en connaissons que la
représentation que nous en faisons.
[Albert Einstein]
comme quoi il pouvait être un peu con Einstein des fois...
Quiconque prétend s'ériger en juge de la vérité et du savoir s'expose à périr sous les éclats de rire des dieux puisque nous ignorons comment sont réellement les choses et que nous n'en connaissons que la représentation que nous en faisons. [Albert Einstein]
comme quoi il pouvait être un peu con Einstein des fois...
Non c'est toi le con.
Stephane Legras-Decussy
why a écrit dans le message :
Non c'est toi le con.
arrgh...je suis trop cassé... t'as gagné j'arrete....
why <because@got-high.com> a écrit dans le message :
3dd7l3F6pjn9tU2@individual.net...
Non c'est toi le con.
arrgh...je suis trop cassé... t'as gagné j'arrete....