Depuis deux ou trois jours, on ne reconnait plus ce forum !
Il y est question de photographies (oui !), récentes ou très anciennes,
toujours très belles. Les commentaires relatifs sont sans
compromission, précis, techniques, mais surtout sans aucune acrimonie.
Des "merci" fleurissent parfois. Le climat est très sain et l'on se
croirait volontiers revenu aux meilleurs moments de fr.rec.photo !
Pas le moindre propos grossier, calomniateur, voire insultant...
Et mieux, on n'y relève pas la présence de ces éternels trublions...
Y aurait-il corrélation ?
C'était à souligner, mais : "pourvou qué ça doure", aurait dit
Laetitia.
En tous cas, j'ai retrouvé aujourd'hui un intérêt et un grand plaisir à
le fréquenter. Merci à vous, les solides piliers...
Et pour rester dans la tonalité, une vieille photo jaunie, sur carton :
le mariage de mes grands-parents, en 1899.
Tiens, pour ne pas être en reste, je vous présente mon grand-père, pharmacien au Havre mais je doute que SL-D l'ait connu. http://cjoint.com/?3CFun1dtLLf
j'adore la pose la main élégamment glissée dans la poche
O tempora, o mores ;-)) http://cjoint.com/?3DbberNQ3wP
--
"Ricco" <ricco@fring.fr> a écrit :
Tiens, pour ne pas être en reste, je vous présente mon grand-père,
pharmacien au Havre mais je doute que SL-D l'ait connu.
http://cjoint.com/?3CFun1dtLLf
j'adore la pose la main élégamment glissée dans la poche
O tempora, o mores ;-))
http://cjoint.com/?3DbberNQ3wP
Tiens, pour ne pas être en reste, je vous présente mon grand-père, pharmacien au Havre mais je doute que SL-D l'ait connu. http://cjoint.com/?3CFun1dtLLf
j'adore la pose la main élégamment glissée dans la poche
O tempora, o mores ;-)) http://cjoint.com/?3DbberNQ3wP
--
Pierre Maurette
Jac :
"Pierre Maurette" a écrit :
J'ai été étonné par la référence à l'homéopathie. Je ne pensais pas que la distribution ressemblait autant à ce qu'elle est actuellement.
Nous sommes des générations d'épiciers dans la famille depuis les petits-enfants de mon grand-père. Au moins, nos parents faisaient leurs préparations, maintenant, c'est bel et bien de l'épicerie. Comme je disais à mon fils, fais attention, un jour, il te remplaceront par un drive qui délivrera les médocs avec les codes que le toubib aura rentrés sur la carte vitale.
Comparer la pharmacie d'officine à de l'épicerie est-il si nouveau ? Dans l'expression "compte d'apothicaire", est-il fait référence à la comptabilité du commerçant ou aux formulations compliquées des préparations ? La pharmacie évolue, bénéficie de l'automatisation, le chiffre d'affaire permettant en général d'investir, mais le geste final reste la délivrance par un humain habilité. A la vérification des incohérences et incompatibilités, relecture de l'ordonnance, report sur la boite de la posologie éventuellement, s'est ajoutée la gestion des génériques.
-- Pierre Maurette
Jac :
"Pierre Maurette" <maurette.pierre@free.fr> a écrit :
J'ai été étonné par la référence à l'homéopathie. Je ne pensais pas que la
distribution ressemblait autant à ce qu'elle est actuellement.
Nous sommes des générations d'épiciers dans la famille depuis les
petits-enfants de mon grand-père. Au moins, nos parents faisaient leurs
préparations, maintenant, c'est bel et bien de l'épicerie. Comme je disais à
mon fils, fais attention, un jour, il te remplaceront par un drive qui
délivrera les médocs avec les codes que le toubib aura rentrés sur la carte
vitale.
Comparer la pharmacie d'officine à de l'épicerie est-il si nouveau ?
Dans l'expression "compte d'apothicaire", est-il fait référence à la
comptabilité du commerçant ou aux formulations compliquées des
préparations ?
La pharmacie évolue, bénéficie de l'automatisation, le chiffre
d'affaire permettant en général d'investir, mais le geste final reste
la délivrance par un humain habilité. A la vérification des
incohérences et incompatibilités, relecture de l'ordonnance, report sur
la boite de la posologie éventuellement, s'est ajoutée la gestion des
génériques.
J'ai été étonné par la référence à l'homéopathie. Je ne pensais pas que la distribution ressemblait autant à ce qu'elle est actuellement.
Nous sommes des générations d'épiciers dans la famille depuis les petits-enfants de mon grand-père. Au moins, nos parents faisaient leurs préparations, maintenant, c'est bel et bien de l'épicerie. Comme je disais à mon fils, fais attention, un jour, il te remplaceront par un drive qui délivrera les médocs avec les codes que le toubib aura rentrés sur la carte vitale.
Comparer la pharmacie d'officine à de l'épicerie est-il si nouveau ? Dans l'expression "compte d'apothicaire", est-il fait référence à la comptabilité du commerçant ou aux formulations compliquées des préparations ? La pharmacie évolue, bénéficie de l'automatisation, le chiffre d'affaire permettant en général d'investir, mais le geste final reste la délivrance par un humain habilité. A la vérification des incohérences et incompatibilités, relecture de l'ordonnance, report sur la boite de la posologie éventuellement, s'est ajoutée la gestion des génériques.
-- Pierre Maurette
Pleinair
Le 30/03/14 10:14, Ricco a écrit :
j'ai cessé de venir depuis bien longtemps à cause de deux débiles qui se sont acharnés sur moi pendant un temps fou
Coucou... :-))
-- François.
Le 30/03/14 10:14, Ricco a écrit :
j'ai cessé de venir depuis bien longtemps à cause de deux débiles qui se
sont acharnés sur moi pendant un temps fou
j'ai cessé de venir depuis bien longtemps à cause de deux débiles qui se sont acharnés sur moi pendant un temps fou
Coucou... :-))
-- François.
Jacques DASSI
Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 31/03/2014 06:15, Jacques DASSIÉ a écrit :
Te rends-tu compte de l’impact formidable qu’aurait une publication en ligne des actes te concernant depuis l’an 850… Sans trous, sans filiations hasardeuses, supposées ou non démontrées…
Ce serait un évènement et cela crèverait tout le monde ! l-)
en quoi c'est un evenement ? il suffit de consulter le nobiliaire de Normandie ... c'est pas dur de connaitre ses ancètres quand on a un blason et des chevaliers partout :-)
Sois un peu plus modéré dans tes affirmations non démontrées. Tout le monde peut se targuer d’avoir quelque similitude phonétique avec des noms illustres. Démontrer une filiation réelle est un tout autre problème, généralement bien traité par les généalogistes professionnels.
Seules, les preuves écrites de généalogie ascendante (actes d’état-civil, actes religieux, militaires, notariaux ou paroissiaux, documents familiaux confirmés par les juges d’armes, d’Hoziers , au XVIIe siècle), sans trous ni lacunes, permettent de certifier une hypothèse d’appartenance à une grande famille. Qui se doit par ailleurs d’avoir conservé une assiette suffisante pour étayer ses prétentions …
Tes affirmations sont intéressantes ! Mais jusqu’où es-tu réellement remonté ? Attention, il doit bien s’agir de toi, S. L-D, sur fr.rec.photo et non de quelque De Cussy d’une famille illustre, découvert dans les livres et confirmé bien naturellement en son temps. As-tu vérifié dans les jugements d’armes des d’Hoziers ?
Ma question est bien simple et innocente : quelle est la date du dernier document ascendant, sans trous ni lacunes, dont tu possèdes copie effective ? Nous n’évoquerons pas la date de 850, dont tu te prévaux, car elle prête unanimement à sourire.
Moi c’était au 17e siècle, dans un obscur village des Landes, où le brave curé témoignait : http://archaero.com/D'Asser-Peyroton.jpg Bien entendu, je possède toutes les évolutions du nom, y compris la dizaine de formes, écrites par un même curé, concernant un même couple, pour les baptêmes de leurs enfants ! Et cela va de d’Asser à Dasset en passant par Dassier, Daxyer et bien d’autres ! L’orthographe variait en fonction de l’acuité auditive du prêtre (variable avec l’âge) et de l’état de délabrement de la dentition du déclarant… (itou)
Mon arbre généalogique (Excel) est actuellement imprimé sous forme d’un rouleau de 1,20 m de hauteur sur 6 mètres de longueur. L’édition suivante sera beaucoup plus grande et posera des problèmes concrets de présentation et de visualisation pratique ! C’est très amusant, la généalogie pour un amateur.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 31/03/2014 06:15, Jacques DASSIÉ a écrit :
Te rends-tu compte de l’impact formidable qu’aurait une publication en
ligne des actes te concernant depuis l’an 850…
Sans trous, sans filiations hasardeuses, supposées ou non démontrées…
Ce serait un évènement et cela crèverait tout le monde ! l-)
en quoi c'est un evenement ? il suffit de consulter le nobiliaire
de Normandie ... c'est pas dur de connaitre ses ancètres quand on a
un blason et des chevaliers partout :-)
Sois un peu plus modéré dans tes affirmations non démontrées.
Tout le monde peut se targuer d’avoir quelque similitude phonétique
avec des noms illustres. Démontrer une filiation réelle est un tout
autre problème, généralement bien traité par les généalogistes
professionnels.
Seules, les preuves écrites de généalogie ascendante (actes
d’état-civil, actes religieux, militaires, notariaux ou paroissiaux,
documents familiaux confirmés par les juges d’armes, d’Hoziers , au
XVIIe siècle), sans trous ni lacunes, permettent de certifier une
hypothèse d’appartenance à une grande famille. Qui se doit par ailleurs
d’avoir conservé une assiette suffisante pour étayer ses prétentions …
Tes affirmations sont intéressantes ! Mais jusqu’où es-tu réellement
remonté ? Attention, il doit bien s’agir de toi, S. L-D, sur
fr.rec.photo et non de quelque De Cussy d’une famille illustre,
découvert dans les livres et confirmé bien naturellement en son temps.
As-tu vérifié dans les jugements d’armes des d’Hoziers ?
Ma question est bien simple et innocente : quelle est la date du
dernier document ascendant, sans trous ni lacunes, dont tu possèdes
copie effective ? Nous n’évoquerons pas la date de 850, dont tu te
prévaux, car elle prête unanimement à sourire.
Moi c’était au 17e siècle, dans un obscur village des Landes, où le
brave curé témoignait :
http://archaero.com/D'Asser-Peyroton.jpg
Bien entendu, je possède toutes les évolutions du nom, y compris la
dizaine de formes, écrites par un même curé, concernant un même couple,
pour les baptêmes de leurs enfants ! Et cela va de d’Asser à Dasset en
passant par Dassier, Daxyer et bien d’autres !
L’orthographe variait en fonction de l’acuité auditive du prêtre
(variable avec l’âge) et de l’état de délabrement de la dentition du
déclarant… (itou)
Mon arbre généalogique (Excel) est actuellement imprimé sous forme d’un
rouleau de 1,20 m de hauteur sur 6 mètres de longueur. L’édition
suivante sera beaucoup plus grande et posera des problèmes concrets de
présentation et de visualisation pratique !
C’est très amusant, la généalogie pour un amateur.
Te rends-tu compte de l’impact formidable qu’aurait une publication en ligne des actes te concernant depuis l’an 850… Sans trous, sans filiations hasardeuses, supposées ou non démontrées…
Ce serait un évènement et cela crèverait tout le monde ! l-)
en quoi c'est un evenement ? il suffit de consulter le nobiliaire de Normandie ... c'est pas dur de connaitre ses ancètres quand on a un blason et des chevaliers partout :-)
Sois un peu plus modéré dans tes affirmations non démontrées. Tout le monde peut se targuer d’avoir quelque similitude phonétique avec des noms illustres. Démontrer une filiation réelle est un tout autre problème, généralement bien traité par les généalogistes professionnels.
Seules, les preuves écrites de généalogie ascendante (actes d’état-civil, actes religieux, militaires, notariaux ou paroissiaux, documents familiaux confirmés par les juges d’armes, d’Hoziers , au XVIIe siècle), sans trous ni lacunes, permettent de certifier une hypothèse d’appartenance à une grande famille. Qui se doit par ailleurs d’avoir conservé une assiette suffisante pour étayer ses prétentions …
Tes affirmations sont intéressantes ! Mais jusqu’où es-tu réellement remonté ? Attention, il doit bien s’agir de toi, S. L-D, sur fr.rec.photo et non de quelque De Cussy d’une famille illustre, découvert dans les livres et confirmé bien naturellement en son temps. As-tu vérifié dans les jugements d’armes des d’Hoziers ?
Ma question est bien simple et innocente : quelle est la date du dernier document ascendant, sans trous ni lacunes, dont tu possèdes copie effective ? Nous n’évoquerons pas la date de 850, dont tu te prévaux, car elle prête unanimement à sourire.
Moi c’était au 17e siècle, dans un obscur village des Landes, où le brave curé témoignait : http://archaero.com/D'Asser-Peyroton.jpg Bien entendu, je possède toutes les évolutions du nom, y compris la dizaine de formes, écrites par un même curé, concernant un même couple, pour les baptêmes de leurs enfants ! Et cela va de d’Asser à Dasset en passant par Dassier, Daxyer et bien d’autres ! L’orthographe variait en fonction de l’acuité auditive du prêtre (variable avec l’âge) et de l’état de délabrement de la dentition du déclarant… (itou)
Mon arbre généalogique (Excel) est actuellement imprimé sous forme d’un rouleau de 1,20 m de hauteur sur 6 mètres de longueur. L’édition suivante sera beaucoup plus grande et posera des problèmes concrets de présentation et de visualisation pratique ! C’est très amusant, la généalogie pour un amateur.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
jdd
Le 01/04/2014 00:45, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 01/04/2014 00:17, Ghost-Raider a écrit :
Je ne connais pas. Je n'ai jamais vu.
chef d'oeuvre absolu disponible en 15Go ...
tu ne peux plus aborder le médiéval de la même façon ensuite ...
et par certains aspects c'est sans doute plus réaliste que les romans historiques :-)
jdd
-- http://www.dodin.org
Le 01/04/2014 00:45, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 01/04/2014 00:17, Ghost-Raider a écrit :
Je ne connais pas. Je n'ai jamais vu.
chef d'oeuvre absolu disponible en 15Go ...
tu ne peux plus aborder le médiéval de la même façon ensuite ...
et par certains aspects c'est sans doute plus réaliste que les romans
historiques :-)
délivrera les médocs avec les codes que le toubib aura rentrés sur la carte vitale.
très bonne idée, au demeurant
jdd
-- http://www.dodin.org
Ricco
Après mûre réflexion, Jac a écrit :
"Ricco" a écrit :
Tiens, pour ne pas être en reste, je vous présente mon grand-père, pharmacien au Havre mais je doute que SL-D l'ait connu. http://cjoint.com/?3CFun1dtLLf
j'adore la pose la main élégamment glissée dans la poche
O tempora, o mores ;-)) http://cjoint.com/?3DbberNQ3wP
hum, pose " classique " à l'époque, là, tête haute, de mieux en mieux, et c'était l'époque des chapeaux haut de forme, un melon, déjà tu faisais un peu " peuple " !
Après mûre réflexion, Jac a écrit :
"Ricco" <ricco@fring.fr> a écrit :
Tiens, pour ne pas être en reste, je vous présente mon grand-père,
pharmacien au Havre mais je doute que SL-D l'ait connu.
http://cjoint.com/?3CFun1dtLLf
j'adore la pose la main élégamment glissée dans la poche
O tempora, o mores ;-))
http://cjoint.com/?3DbberNQ3wP
hum, pose " classique " à l'époque, là, tête haute, de mieux en mieux,
et c'était l'époque des chapeaux haut de forme, un melon, déjà tu
faisais un peu " peuple " !
Tiens, pour ne pas être en reste, je vous présente mon grand-père, pharmacien au Havre mais je doute que SL-D l'ait connu. http://cjoint.com/?3CFun1dtLLf
j'adore la pose la main élégamment glissée dans la poche
O tempora, o mores ;-)) http://cjoint.com/?3DbberNQ3wP
hum, pose " classique " à l'époque, là, tête haute, de mieux en mieux, et c'était l'époque des chapeaux haut de forme, un melon, déjà tu faisais un peu " peuple " !
jdd
Le 01/04/2014 06:44, Pierre Maurette a écrit :
Comparer la pharmacie d'officine à de l'épicerie est-il si nouveau ? Dans l'expression "compte d'apothicaire", est-il fait référence à la comptabilité du commerçant ou aux formulations compliquées des préparations ? La pharmacie évolue, bénéficie de l'automatisation, le chiffre d'affaire permettant en général d'investir, mais le geste final reste la délivrance par un humain habilité. A la vérification des incohérences et incompatibilités, relecture de l'ordonnance, report sur la boite de la posologie éventuellement, s'est ajoutée la gestion des génériques.
le pharmacien utile est celui qui *fabrique* lui-même les potions et médicaments, au moins de temps en temps. Ca fait bien longtemps que je n'ai pas vu de "préparation pharmaceutique" sur mes ordonnances.
Pour le reste c'est moins que de l'épicerie. Depuis l'informatisation des ordonnances, les incompatibilités sont inexistantes.
Leur seul intérêt reste la délivrance en urgence sans ordonnance...
avec l'arrivée des achats sur le net, les pharmaciens ont du mouron à se faire. Bientôt il ne restera plus que des équipes d'inspecteurs chargés de contrôler l'origine des medocs pour éviter la contrefaçon
jdd
-- http://www.dodin.org
Le 01/04/2014 06:44, Pierre Maurette a écrit :
Comparer la pharmacie d'officine à de l'épicerie est-il si nouveau ? Dans
l'expression "compte d'apothicaire", est-il fait référence à la comptabilité
du commerçant ou aux formulations compliquées des préparations ?
La pharmacie évolue, bénéficie de l'automatisation, le chiffre d'affaire
permettant en général d'investir, mais le geste final reste la délivrance par
un humain habilité. A la vérification des incohérences et incompatibilités,
relecture de l'ordonnance, report sur la boite de la posologie éventuellement,
s'est ajoutée la gestion des génériques.
le pharmacien utile est celui qui *fabrique* lui-même les potions et
médicaments, au moins de temps en temps. Ca fait bien longtemps que je n'ai
pas vu de "préparation pharmaceutique" sur mes ordonnances.
Pour le reste c'est moins que de l'épicerie. Depuis l'informatisation des
ordonnances, les incompatibilités sont inexistantes.
Leur seul intérêt reste la délivrance en urgence sans ordonnance...
avec l'arrivée des achats sur le net, les pharmaciens ont du mouron à se
faire. Bientôt il ne restera plus que des équipes d'inspecteurs chargés de
contrôler l'origine des medocs pour éviter la contrefaçon
Comparer la pharmacie d'officine à de l'épicerie est-il si nouveau ? Dans l'expression "compte d'apothicaire", est-il fait référence à la comptabilité du commerçant ou aux formulations compliquées des préparations ? La pharmacie évolue, bénéficie de l'automatisation, le chiffre d'affaire permettant en général d'investir, mais le geste final reste la délivrance par un humain habilité. A la vérification des incohérences et incompatibilités, relecture de l'ordonnance, report sur la boite de la posologie éventuellement, s'est ajoutée la gestion des génériques.
le pharmacien utile est celui qui *fabrique* lui-même les potions et médicaments, au moins de temps en temps. Ca fait bien longtemps que je n'ai pas vu de "préparation pharmaceutique" sur mes ordonnances.
Pour le reste c'est moins que de l'épicerie. Depuis l'informatisation des ordonnances, les incompatibilités sont inexistantes.
Leur seul intérêt reste la délivrance en urgence sans ordonnance...
avec l'arrivée des achats sur le net, les pharmaciens ont du mouron à se faire. Bientôt il ne restera plus que des équipes d'inspecteurs chargés de contrôler l'origine des medocs pour éviter la contrefaçon
jdd
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Ricco
Après mûre réflexion, Jacques DASSIÉ a écrit :
Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 31/03/2014 06:15, Jacques DASSIÉ a écrit :
Te rends-tu compte de l’impact formidable qu’aurait une publication en ligne des actes te concernant depuis l’an 850… Sans trous, sans filiations hasardeuses, supposées ou non démontrées…
Ce serait un évènement et cela crèverait tout le monde ! l-)
en quoi c'est un evenement ? il suffit de consulter le nobiliaire de Normandie ... c'est pas dur de connaitre ses ancètres quand on a un blason et des chevaliers partout :-)
Sois un peu plus modéré dans tes affirmations non démontrées. Tout le monde peut se targuer d’avoir quelque similitude phonétique avec des noms illustres. Démontrer une filiation réelle est un tout autre problème, généralement bien traité par les généalogistes professionnels.
Seules, les preuves écrites de généalogie ascendante (actes d’état-civil, actes religieux, militaires, notariaux ou paroissiaux, documents familiaux confirmés par les juges d’armes, d’Hoziers , au XVIIe siècle), sans trous ni lacunes, permettent de certifier une hypothèse d’appartenance à une grande famille. Qui se doit par ailleurs d’avoir conservé une assiette suffisante pour étayer ses prétentions …
Tes affirmations sont intéressantes ! Mais jusqu’où es-tu réellement remonté ? Attention, il doit bien s’agir de toi, S. L-D, sur fr.rec.photo et non de quelque De Cussy d’une famille illustre, découvert dans les livres et confirmé bien naturellement en son temps. As-tu vérifié dans les jugements d’armes des d’Hoziers ?
Ma question est bien simple et innocente : quelle est la date du dernier document ascendant, sans trous ni lacunes, dont tu possèdes copie effective ? Nous n’évoquerons pas la date de 850, dont tu te prévaux, car elle prête unanimement à sourire.
Moi c’était au 17e siècle, dans un obscur village des Landes, où le brave curé témoignait : http://archaero.com/D'Asser-Peyroton.jpg Bien entendu, je possède toutes les évolutions du nom, y compris la dizaine de formes, écrites par un même curé, concernant un même couple, pour les baptêmes de leurs enfants ! Et cela va de d’Asser à Dasset en passant par Dassier, Daxyer et bien d’autres ! L’orthographe variait en fonction de l’acuité auditive du prêtre (variable avec l’âge) et de l’état de délabrement de la dentition du déclarant… (itou)
Mon arbre généalogique (Excel) est actuellement imprimé sous forme d’un rouleau de 1,20 m de hauteur sur 6 mètres de longueur. L’édition suivante sera beaucoup plus grande et posera des problèmes concrets de présentation et de visualisation pratique ! C’est très amusant, la généalogie pour un amateur.
moi qui suis de Touraine, tant mieux si je suis de descendance bien roturière, le seul que ça avait ennuyé c'est mon père qui s'était fait fabriquer un blason, il y a des spécialistes, se fabricant un passé de noble pour moi ce qui est noble, c'est de ne pas l'être vive la Réolution
Après mûre réflexion, Jacques DASSIÉ a écrit :
Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 31/03/2014 06:15, Jacques DASSIÉ a écrit :
Te rends-tu compte de l’impact formidable qu’aurait une publication en
ligne des actes te concernant depuis l’an 850…
Sans trous, sans filiations hasardeuses, supposées ou non démontrées…
Ce serait un évènement et cela crèverait tout le monde ! l-)
en quoi c'est un evenement ? il suffit de consulter le nobiliaire
de Normandie ... c'est pas dur de connaitre ses ancètres quand on a
un blason et des chevaliers partout :-)
Sois un peu plus modéré dans tes affirmations non démontrées.
Tout le monde peut se targuer d’avoir quelque similitude phonétique avec des
noms illustres. Démontrer une filiation réelle est un tout autre problème,
généralement bien traité par les généalogistes professionnels.
Seules, les preuves écrites de généalogie ascendante (actes d’état-civil,
actes religieux, militaires, notariaux ou paroissiaux, documents familiaux
confirmés par les juges d’armes, d’Hoziers , au XVIIe siècle), sans trous ni
lacunes, permettent de certifier une hypothèse d’appartenance à une grande
famille. Qui se doit par ailleurs d’avoir conservé une assiette suffisante
pour étayer ses prétentions …
Tes affirmations sont intéressantes ! Mais jusqu’où es-tu réellement remonté
? Attention, il doit bien s’agir de toi, S. L-D, sur fr.rec.photo et non de
quelque De Cussy d’une famille illustre, découvert dans les livres et
confirmé bien naturellement en son temps. As-tu vérifié dans les jugements
d’armes des d’Hoziers ?
Ma question est bien simple et innocente : quelle est la date du dernier
document ascendant, sans trous ni lacunes, dont tu possèdes copie effective ?
Nous n’évoquerons pas la date de 850, dont tu te prévaux, car elle prête
unanimement à sourire.
Moi c’était au 17e siècle, dans un obscur village des Landes, où le brave
curé témoignait :
http://archaero.com/D'Asser-Peyroton.jpg
Bien entendu, je possède toutes les évolutions du nom, y compris la dizaine
de formes, écrites par un même curé, concernant un même couple, pour les
baptêmes de leurs enfants ! Et cela va de d’Asser à Dasset en passant par
Dassier, Daxyer et bien d’autres !
L’orthographe variait en fonction de l’acuité auditive du prêtre (variable
avec l’âge) et de l’état de délabrement de la dentition du déclarant… (itou)
Mon arbre généalogique (Excel) est actuellement imprimé sous forme d’un
rouleau de 1,20 m de hauteur sur 6 mètres de longueur. L’édition suivante
sera beaucoup plus grande et posera des problèmes concrets de présentation et
de visualisation pratique !
C’est très amusant, la généalogie pour un amateur.
moi qui suis de Touraine, tant mieux si je suis de descendance bien
roturière, le seul que ça avait ennuyé c'est mon père qui s'était fait
fabriquer un blason, il y a des spécialistes, se fabricant un passé de
noble
pour moi ce qui est noble, c'est de ne pas l'être
vive la Réolution
Te rends-tu compte de l’impact formidable qu’aurait une publication en ligne des actes te concernant depuis l’an 850… Sans trous, sans filiations hasardeuses, supposées ou non démontrées…
Ce serait un évènement et cela crèverait tout le monde ! l-)
en quoi c'est un evenement ? il suffit de consulter le nobiliaire de Normandie ... c'est pas dur de connaitre ses ancètres quand on a un blason et des chevaliers partout :-)
Sois un peu plus modéré dans tes affirmations non démontrées. Tout le monde peut se targuer d’avoir quelque similitude phonétique avec des noms illustres. Démontrer une filiation réelle est un tout autre problème, généralement bien traité par les généalogistes professionnels.
Seules, les preuves écrites de généalogie ascendante (actes d’état-civil, actes religieux, militaires, notariaux ou paroissiaux, documents familiaux confirmés par les juges d’armes, d’Hoziers , au XVIIe siècle), sans trous ni lacunes, permettent de certifier une hypothèse d’appartenance à une grande famille. Qui se doit par ailleurs d’avoir conservé une assiette suffisante pour étayer ses prétentions …
Tes affirmations sont intéressantes ! Mais jusqu’où es-tu réellement remonté ? Attention, il doit bien s’agir de toi, S. L-D, sur fr.rec.photo et non de quelque De Cussy d’une famille illustre, découvert dans les livres et confirmé bien naturellement en son temps. As-tu vérifié dans les jugements d’armes des d’Hoziers ?
Ma question est bien simple et innocente : quelle est la date du dernier document ascendant, sans trous ni lacunes, dont tu possèdes copie effective ? Nous n’évoquerons pas la date de 850, dont tu te prévaux, car elle prête unanimement à sourire.
Moi c’était au 17e siècle, dans un obscur village des Landes, où le brave curé témoignait : http://archaero.com/D'Asser-Peyroton.jpg Bien entendu, je possède toutes les évolutions du nom, y compris la dizaine de formes, écrites par un même curé, concernant un même couple, pour les baptêmes de leurs enfants ! Et cela va de d’Asser à Dasset en passant par Dassier, Daxyer et bien d’autres ! L’orthographe variait en fonction de l’acuité auditive du prêtre (variable avec l’âge) et de l’état de délabrement de la dentition du déclarant… (itou)
Mon arbre généalogique (Excel) est actuellement imprimé sous forme d’un rouleau de 1,20 m de hauteur sur 6 mètres de longueur. L’édition suivante sera beaucoup plus grande et posera des problèmes concrets de présentation et de visualisation pratique ! C’est très amusant, la généalogie pour un amateur.
moi qui suis de Touraine, tant mieux si je suis de descendance bien roturière, le seul que ça avait ennuyé c'est mon père qui s'était fait fabriquer un blason, il y a des spécialistes, se fabricant un passé de noble pour moi ce qui est noble, c'est de ne pas l'être vive la Réolution
Pierre Maurette
jdd :
[...]
le pharmacien utile est celui qui *fabrique* lui-même les potions et médicaments, au moins de temps en temps. Ca fait bien longtemps que je n'ai pas vu de "préparation pharmaceutique" sur mes ordonnances.
Pourtant ça se fait toujours.
-- Pierre Maurette
jdd :
[...]
le pharmacien utile est celui qui *fabrique* lui-même les potions et
médicaments, au moins de temps en temps. Ca fait bien longtemps que je n'ai
pas vu de "préparation pharmaceutique" sur mes ordonnances.
le pharmacien utile est celui qui *fabrique* lui-même les potions et médicaments, au moins de temps en temps. Ca fait bien longtemps que je n'ai pas vu de "préparation pharmaceutique" sur mes ordonnances.