...et usenet aussi peut-être, d'ailleurs.
[...]
Deux phénomènes sont alors intervenus pour mettre les pendules à
l'heure : le business (essentiellement sous l'angle des profits
financiers espérés/obtenus, avec des effets de bord importants induits
par les *seuils*), et la rupture de transmission des connaissances
(essentiellement sous l'angle de la disparition des espoirs et
aspirations à mieux faire, à découvrir).
Je souhaite seulement témoigner du fait qu'au long de cette histoire il
y a eu des pertes (omme dans de nombreux autres domaines d'ailleurs).
Pour l'instant la MAO a raté sa vocation à s'intégrer aux arts
majeurs.
Il n'y a pas d'initiation. Pas de transmission. Peut-être n'est-ce que
provisoire ? Une renaissance à venir ? Un "revival" ? Faudra-t-il en
passer par un purgatoire de "temps barbares" ? On verra.
...et usenet aussi peut-être, d'ailleurs.
[...]
Deux phénomènes sont alors intervenus pour mettre les pendules à
l'heure : le business (essentiellement sous l'angle des profits
financiers espérés/obtenus, avec des effets de bord importants induits
par les *seuils*), et la rupture de transmission des connaissances
(essentiellement sous l'angle de la disparition des espoirs et
aspirations à mieux faire, à découvrir).
Je souhaite seulement témoigner du fait qu'au long de cette histoire il
y a eu des pertes (omme dans de nombreux autres domaines d'ailleurs).
Pour l'instant la MAO a raté sa vocation à s'intégrer aux arts
majeurs.
Il n'y a pas d'initiation. Pas de transmission. Peut-être n'est-ce que
provisoire ? Une renaissance à venir ? Un "revival" ? Faudra-t-il en
passer par un purgatoire de "temps barbares" ? On verra.
...et usenet aussi peut-être, d'ailleurs.
[...]
Deux phénomènes sont alors intervenus pour mettre les pendules à
l'heure : le business (essentiellement sous l'angle des profits
financiers espérés/obtenus, avec des effets de bord importants induits
par les *seuils*), et la rupture de transmission des connaissances
(essentiellement sous l'angle de la disparition des espoirs et
aspirations à mieux faire, à découvrir).
Je souhaite seulement témoigner du fait qu'au long de cette histoire il
y a eu des pertes (omme dans de nombreux autres domaines d'ailleurs).
Pour l'instant la MAO a raté sa vocation à s'intégrer aux arts
majeurs.
Il n'y a pas d'initiation. Pas de transmission. Peut-être n'est-ce que
provisoire ? Une renaissance à venir ? Un "revival" ? Faudra-t-il en
passer par un purgatoire de "temps barbares" ? On verra.
Heureusement, l'initiation et la transmission de la musique perdure et
perdurera bien plus longtemps que nous !
Heureusement, l'initiation et la transmission de la musique perdure et
perdurera bien plus longtemps que nous !
Heureusement, l'initiation et la transmission de la musique perdure et
perdurera bien plus longtemps que nous !
Bah la MAO n'est qu'un instrument, qu'un moyen de faire de la musique
parmi d'autres...
et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
Bah la MAO n'est qu'un instrument, qu'un moyen de faire de la musique
parmi d'autres...
et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
Bah la MAO n'est qu'un instrument, qu'un moyen de faire de la musique
parmi d'autres...
et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
... dans les années 80-90, une tendance, dont je tentais de faire partie, a
essayé d'amener la musique électronique et l'informatique musicale à la
dignité d'instrument de musique à part entière aussi irremplaçables
qu'ont pu le devenir, avant elle, le Fender Rhodes ou l'orgue Hammond
pour parler d'instruments électrifiés récents.
Cette tentative était multipolaire : contrôleurs MIDI en amont, synthèse
sonore en aval, et commandes informatiques en latéral voire au centre.
Les obstacles ont été nombreux :
- problèmes industriels techniques et commerciaux pour les instruments,
- incluant pérénité nécessaire des *nouveautés* pour laisser le temps à
l'émergence d'une culture associée (+ obsolescence programmée !),
- problèmes d'impossibilité à rémunérer le temps passé à la création ET
absence de protection légale de ces créations,
- perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
subtilité, la finesse, le rêve.
...au profit, effectivement et en gros, de la techno et de la soupe pop.
et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
... dans les années 80-90, une tendance, dont je tentais de faire partie, a
essayé d'amener la musique électronique et l'informatique musicale à la
dignité d'instrument de musique à part entière aussi irremplaçables
qu'ont pu le devenir, avant elle, le Fender Rhodes ou l'orgue Hammond
pour parler d'instruments électrifiés récents.
Cette tentative était multipolaire : contrôleurs MIDI en amont, synthèse
sonore en aval, et commandes informatiques en latéral voire au centre.
Les obstacles ont été nombreux :
- problèmes industriels techniques et commerciaux pour les instruments,
- incluant pérénité nécessaire des *nouveautés* pour laisser le temps à
l'émergence d'une culture associée (+ obsolescence programmée !),
- problèmes d'impossibilité à rémunérer le temps passé à la création ET
absence de protection légale de ces créations,
- perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
subtilité, la finesse, le rêve.
...au profit, effectivement et en gros, de la techno et de la soupe pop.
et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
... dans les années 80-90, une tendance, dont je tentais de faire partie, a
essayé d'amener la musique électronique et l'informatique musicale à la
dignité d'instrument de musique à part entière aussi irremplaçables
qu'ont pu le devenir, avant elle, le Fender Rhodes ou l'orgue Hammond
pour parler d'instruments électrifiés récents.
Cette tentative était multipolaire : contrôleurs MIDI en amont, synthèse
sonore en aval, et commandes informatiques en latéral voire au centre.
Les obstacles ont été nombreux :
- problèmes industriels techniques et commerciaux pour les instruments,
- incluant pérénité nécessaire des *nouveautés* pour laisser le temps à
l'émergence d'une culture associée (+ obsolescence programmée !),
- problèmes d'impossibilité à rémunérer le temps passé à la création ET
absence de protection légale de ces créations,
- perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
subtilité, la finesse, le rêve.
...au profit, effectivement et en gros, de la techno et de la soupe pop.
P.a.S wrote:Bah la MAO n'est qu'un instrument, qu'un moyen de faire de la musique
parmi d'autres...
Oui mais pas plus pas MOINS que les instruments, des origines à nos
jours !
et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
Ah non, ah non ! Pas d'ac' du tout ! Dans le tournant qui s'est amorcé
dans les années 80-90, une tendance, dont je tentais de faire partie, a
essayé d'amener la musique électronique et l'informatique musicale à la
dignité d'instrument de musique à part entière aussi irremplaçables
qu'ont pu le devenir, avant elle, le Fender Rhodes ou l'orgue Hammond
pour parler d'instruments électrifiés récents.
Cette tentative était multipolaire : contrôleurs MIDI en amont, synthèse
sonore en aval, et commandes informatiques en latéral voire au centre.
Les obstacles ont été nombreux :
- problèmes industriels techniques et commerciaux pour les instruments,
- incluant pérénité nécessaire des *nouveautés* pour laisser le temps à
l'émergence d'une culture associée (+ obsolescence programmée !),
- problèmes d'impossibilité à rémunérer le temps passé à la création ET
absence de protection légale de ces créations,
- perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
subtilité, la finesse, le rêve.
...au profit, effectivement et en gros, de la techno et de la soupe pop.
Mais ce constat n'est porteur, en soi, d'aucune prédiction sur ce qui
peut ou pas se passer dans l'avenir, pour l'une ou l'autre tendance.
Juste oblige, provisoirement, à beaucoup de modestie (et de patience !).
P.a.S <soudanpierre@yahoo.f> wrote:
Bah la MAO n'est qu'un instrument, qu'un moyen de faire de la musique
parmi d'autres...
Oui mais pas plus pas MOINS que les instruments, des origines à nos
jours !
et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
Ah non, ah non ! Pas d'ac' du tout ! Dans le tournant qui s'est amorcé
dans les années 80-90, une tendance, dont je tentais de faire partie, a
essayé d'amener la musique électronique et l'informatique musicale à la
dignité d'instrument de musique à part entière aussi irremplaçables
qu'ont pu le devenir, avant elle, le Fender Rhodes ou l'orgue Hammond
pour parler d'instruments électrifiés récents.
Cette tentative était multipolaire : contrôleurs MIDI en amont, synthèse
sonore en aval, et commandes informatiques en latéral voire au centre.
Les obstacles ont été nombreux :
- problèmes industriels techniques et commerciaux pour les instruments,
- incluant pérénité nécessaire des *nouveautés* pour laisser le temps à
l'émergence d'une culture associée (+ obsolescence programmée !),
- problèmes d'impossibilité à rémunérer le temps passé à la création ET
absence de protection légale de ces créations,
- perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
subtilité, la finesse, le rêve.
...au profit, effectivement et en gros, de la techno et de la soupe pop.
Mais ce constat n'est porteur, en soi, d'aucune prédiction sur ce qui
peut ou pas se passer dans l'avenir, pour l'une ou l'autre tendance.
Juste oblige, provisoirement, à beaucoup de modestie (et de patience !).
P.a.S wrote:Bah la MAO n'est qu'un instrument, qu'un moyen de faire de la musique
parmi d'autres...
Oui mais pas plus pas MOINS que les instruments, des origines à nos
jours !
et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
Ah non, ah non ! Pas d'ac' du tout ! Dans le tournant qui s'est amorcé
dans les années 80-90, une tendance, dont je tentais de faire partie, a
essayé d'amener la musique électronique et l'informatique musicale à la
dignité d'instrument de musique à part entière aussi irremplaçables
qu'ont pu le devenir, avant elle, le Fender Rhodes ou l'orgue Hammond
pour parler d'instruments électrifiés récents.
Cette tentative était multipolaire : contrôleurs MIDI en amont, synthèse
sonore en aval, et commandes informatiques en latéral voire au centre.
Les obstacles ont été nombreux :
- problèmes industriels techniques et commerciaux pour les instruments,
- incluant pérénité nécessaire des *nouveautés* pour laisser le temps à
l'émergence d'une culture associée (+ obsolescence programmée !),
- problèmes d'impossibilité à rémunérer le temps passé à la création ET
absence de protection légale de ces créations,
- perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
subtilité, la finesse, le rêve.
...au profit, effectivement et en gros, de la techno et de la soupe pop.
Mais ce constat n'est porteur, en soi, d'aucune prédiction sur ce qui
peut ou pas se passer dans l'avenir, pour l'une ou l'autre tendance.
Juste oblige, provisoirement, à beaucoup de modestie (et de patience !).
et c'est peut-être bien ce qui a le plus desservi notre démarche ! une
trop grande facilité d'utilisation, l'utilisation de boucles en "prêt à
jouer", des sons aseptisés et des synthés qui n'ont plus aucune identité...
et c'est peut-être bien ce qui a le plus desservi notre démarche ! une
trop grande facilité d'utilisation, l'utilisation de boucles en "prêt à
jouer", des sons aseptisés et des synthés qui n'ont plus aucune identité...
et c'est peut-être bien ce qui a le plus desservi notre démarche ! une
trop grande facilité d'utilisation, l'utilisation de boucles en "prêt à
jouer", des sons aseptisés et des synthés qui n'ont plus aucune identité...
À (at) Wed, 9 Jul 2014 12:26:05 +0200,
(Gerald) écrivait (wrote):
> - perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
> de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
> subtilité, la finesse, le rêve.
Ça, c'est entièrement faux : ce ne sont que des clichés et des discours
de comptoir.
À (at) Wed, 9 Jul 2014 12:26:05 +0200,
voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com (Gerald) écrivait (wrote):
> - perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
> de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
> subtilité, la finesse, le rêve.
Ça, c'est entièrement faux : ce ne sont que des clichés et des discours
de comptoir.
À (at) Wed, 9 Jul 2014 12:26:05 +0200,
(Gerald) écrivait (wrote):
> - perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
> de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
> subtilité, la finesse, le rêve.
Ça, c'est entièrement faux : ce ne sont que des clichés et des discours
de comptoir.
Si ! Beaucoup moins ! Car un ordinateur a une durée de vie bien
inférieure à n'importe quel autre instrument de musique.
Dès qu'on réussit à éveiller son envie, son désir, son intérêt, un jeune
d'aujourd'hui est tout autant capable de s'investir qu'un jeune d'il y a
10, 20, 50, 100 ans...
Il y a toujours des "nobles" pour cracher sur le "populaire". De ce côté
là, rien n'a changé (malheureusement).
Qui nous dit que la techno ou la pop d'aujourd'hui ne sera pas la
musique "classique" du futur ? ;-)
Si ! Beaucoup moins ! Car un ordinateur a une durée de vie bien
inférieure à n'importe quel autre instrument de musique.
Dès qu'on réussit à éveiller son envie, son désir, son intérêt, un jeune
d'aujourd'hui est tout autant capable de s'investir qu'un jeune d'il y a
10, 20, 50, 100 ans...
Il y a toujours des "nobles" pour cracher sur le "populaire". De ce côté
là, rien n'a changé (malheureusement).
Qui nous dit que la techno ou la pop d'aujourd'hui ne sera pas la
musique "classique" du futur ? ;-)
Si ! Beaucoup moins ! Car un ordinateur a une durée de vie bien
inférieure à n'importe quel autre instrument de musique.
Dès qu'on réussit à éveiller son envie, son désir, son intérêt, un jeune
d'aujourd'hui est tout autant capable de s'investir qu'un jeune d'il y a
10, 20, 50, 100 ans...
Il y a toujours des "nobles" pour cracher sur le "populaire". De ce côté
là, rien n'a changé (malheureusement).
Qui nous dit que la techno ou la pop d'aujourd'hui ne sera pas la
musique "classique" du futur ? ;-)
P.a.S wrote:Bah la MAO n'est qu'un instrument, qu'un moyen de faire de la musique
parmi d'autres...
Oui mais pas plus pas MOINS que les instruments, des origines à nos
jours !et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
Ah non, ah non ! Pas d'ac' du tout ! Dans le tournant qui s'est amorcé
dans les années 80-90, une tendance, dont je tentais de faire partie, a
essayé d'amener la musique électronique et l'informatique musicale à la
dignité d'instrument de musique à part entière aussi irremplaçables
qu'ont pu le devenir, avant elle, le Fender Rhodes ou l'orgue Hammond
pour parler d'instruments électrifiés récents.
Cette tentative était multipolaire : contrôleurs MIDI en amont, synthèse
sonore en aval, et commandes informatiques en latéral voire au centre.
Les obstacles ont été nombreux :
- problèmes industriels techniques et commerciaux pour les instruments,
- incluant pérénité nécessaire des *nouveautés* pour laisser le temps à
l'émergence d'une culture associée (+ obsolescence programmée !),
- problèmes d'impossibilité à rémunérer le temps passé à la création ET
absence de protection légale de ces créations,
- perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
subtilité, la finesse, le rêve.
...au profit, effectivement et en gros, de la techno et de la soupe pop.
Mais ce constat n'est porteur, en soi, d'aucune prédiction sur ce qui
peut ou pas se passer dans l'avenir, pour l'une ou l'autre tendance.
Juste oblige, provisoirement, à beaucoup de modestie (et de patience !).
P.a.S <soudanpierre@yahoo.f> wrote:
Bah la MAO n'est qu'un instrument, qu'un moyen de faire de la musique
parmi d'autres...
Oui mais pas plus pas MOINS que les instruments, des origines à nos
jours !
et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
Ah non, ah non ! Pas d'ac' du tout ! Dans le tournant qui s'est amorcé
dans les années 80-90, une tendance, dont je tentais de faire partie, a
essayé d'amener la musique électronique et l'informatique musicale à la
dignité d'instrument de musique à part entière aussi irremplaçables
qu'ont pu le devenir, avant elle, le Fender Rhodes ou l'orgue Hammond
pour parler d'instruments électrifiés récents.
Cette tentative était multipolaire : contrôleurs MIDI en amont, synthèse
sonore en aval, et commandes informatiques en latéral voire au centre.
Les obstacles ont été nombreux :
- problèmes industriels techniques et commerciaux pour les instruments,
- incluant pérénité nécessaire des *nouveautés* pour laisser le temps à
l'émergence d'une culture associée (+ obsolescence programmée !),
- problèmes d'impossibilité à rémunérer le temps passé à la création ET
absence de protection légale de ces créations,
- perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
subtilité, la finesse, le rêve.
...au profit, effectivement et en gros, de la techno et de la soupe pop.
Mais ce constat n'est porteur, en soi, d'aucune prédiction sur ce qui
peut ou pas se passer dans l'avenir, pour l'une ou l'autre tendance.
Juste oblige, provisoirement, à beaucoup de modestie (et de patience !).
P.a.S wrote:Bah la MAO n'est qu'un instrument, qu'un moyen de faire de la musique
parmi d'autres...
Oui mais pas plus pas MOINS que les instruments, des origines à nos
jours !et c'est tant mieux, il serait triste qu'elle prenne
toute la place; on aurait plus que de la musique technique (=Techno ?)
Ah non, ah non ! Pas d'ac' du tout ! Dans le tournant qui s'est amorcé
dans les années 80-90, une tendance, dont je tentais de faire partie, a
essayé d'amener la musique électronique et l'informatique musicale à la
dignité d'instrument de musique à part entière aussi irremplaçables
qu'ont pu le devenir, avant elle, le Fender Rhodes ou l'orgue Hammond
pour parler d'instruments électrifiés récents.
Cette tentative était multipolaire : contrôleurs MIDI en amont, synthèse
sonore en aval, et commandes informatiques en latéral voire au centre.
Les obstacles ont été nombreux :
- problèmes industriels techniques et commerciaux pour les instruments,
- incluant pérénité nécessaire des *nouveautés* pour laisser le temps à
l'émergence d'une culture associée (+ obsolescence programmée !),
- problèmes d'impossibilité à rémunérer le temps passé à la création ET
absence de protection légale de ces créations,
- perte du goût pour l'apprentissage des jeunes génération (générations
de l'immédiateté et du bling-bling), perte du goût du public pour la
subtilité, la finesse, le rêve.
...au profit, effectivement et en gros, de la techno et de la soupe pop.
Mais ce constat n'est porteur, en soi, d'aucune prédiction sur ce qui
peut ou pas se passer dans l'avenir, pour l'une ou l'autre tendance.
Juste oblige, provisoirement, à beaucoup de modestie (et de patience !).