Les premiers chevaux shootés avec le FZ50, et les premier tout court
de ma carriere de "photographe" en fait:
http://olivier.2a.free.fr/photo/chevaux/index.htm
petit concours local, j'ai profité de la reconnaissance du parcours
pour voir à peut pres les trajectoires et me placer du mieu que j'ai
pu pour shooter un maximum d'obstacle.
Pour cette premiere experience voici en vrac:
- Un des obstacles etait de face en fait c'est largement moins
spectaculaire que de coté contrairement à ce que je pensais, à
favoriser donc.
- j'ai pas assez revisé mon bouquin, j'etait en autofocus lent,
corrigé en cours de sceance.
- je suis resté à 100iso alors que 200 ou 400 ça l'aurait bien fait
tout en m'assurant un temps de pose plus favorable.
- j'ai viré la visualisation apres photo ce qui permet de "racrocher"
plus vite
- je n'ai fait que du "one shoot" because petite carte, mais la tres
faible latence permet de declancher au bon moment
- j'etais quasiment à fond de zoom sur la pluspart des obstacles, le
stab semble utile meme quand on suit la cible (sans c'est moins bien)
- le plus efficace m'a semble apres chaque cliché faire le point sur
l'obstacle suivant, revenir sur le canasson et le suivre pour shooter
au bon moment en conservant le mouvement pour optimiser la netteté.
En gros voila, j'espere pouvoir renouveller l'experience afin
d'ameliorer, tout conseil bienvenu...
--
http://olivier.2a.free.fr/
pas de turlututu. apres l'@robase
ben la différence c'est que tu vas pas allez à Nice matin proposer tes photo à leur place, moi si j'avais proposé de filer mes photos certains ne seraient peut etre pas allé acheter la leur au stand,
Pour avoir traîné mes guêtres bien longtemps sur des concours, je n'ai jamais réussi à concurrencer la qualité des photos prises par des professionnels. En général, ils ont du bon voire très bon matériel. Ils sont mieux placés
sur le terrain que le vulgum pecus. Et ils sont très spécialisés sur ce type de photos, notamment l'instant du déclenchement, lorsque les postérieurs de l'herbivore sont à la limite de quitter le sol. Il y a là une anticipation de la photo sportive difficile à maîtriser surtout si l'appareil a un temps de latence significatif. Ce qui est acceptable pour des photos de monuments devient rédhibitoire pour des photos sportives. La qualité de l'appareil photo peut faire la différence.
Je ne crois pas qu'un professionnel, qui vend immédiatement ses photos sur place, souvent en A4, puisse voir en un amateur, fut-il éclairé, un réel concurrent commercial.
Si on veut se démarquer de la très classique photo professionnelle dans ce domaine très particulier du CSO (concours de sauts d'obstacles), on peut privilégier des plans très resserrés, des vitesses lentes avec un suivi du cheval au galop (effets garantis http://cjoint.com/?gyjAfvQOaY avec un peu de Soleil, ça aurait été mieux...), des plans très resserrés pleine face, pleine ouverture avec une longue focale qui écrase la PDC, chercher à jouer sur la crinière du cheval et les contres-jours, saisir le regard du cavalier qui regarde le prochain obstacle sur le côté.
On peut aussi faire de très belles images au paddock, juste avant l'entrée sur le terrain (concentration, angoisse, énervement du couple cavalier-cheval...), sur le parking où les chevaux sont préparés, où hommes et montures se relâchent un peu...
Quant au floutage des visages, si les photos sont faites à titre privé, sans commercialisation, je vois mal qui pourrait trouver à critiquer quoi que ce soit, d'autant qu'un CSO est un spectacle public comme toute manifestation sportive.
Bon courage sur ce thème de la photo équestre. L'équitation lato sensu (CSO, course, dressage, élevage...) est un monde d'élégance, de couleurs, de mouvements... les ingrédients idéaux pour se faire plaisir.
Dominique
ben la différence c'est que tu vas pas allez à Nice matin proposer tes
photo à leur place, moi si j'avais proposé de filer mes photos
certains ne seraient peut etre pas allé acheter la leur au stand,
Pour avoir traîné mes guêtres bien longtemps sur des concours, je n'ai
jamais réussi à concurrencer la qualité des photos prises par des
professionnels. En général, ils ont du bon voire très bon matériel. Ils
sont mieux placés
sur le terrain que le vulgum pecus. Et ils sont très spécialisés sur ce
type de photos, notamment l'instant du déclenchement, lorsque les
postérieurs de l'herbivore sont à la limite de quitter le sol. Il y a là
une anticipation de la photo sportive difficile à maîtriser surtout si
l'appareil a un temps de latence significatif. Ce qui est acceptable
pour des photos de monuments devient rédhibitoire pour des photos
sportives. La qualité de l'appareil photo peut faire la différence.
Je ne crois pas qu'un professionnel, qui vend immédiatement ses photos
sur place, souvent en A4, puisse voir en un amateur, fut-il éclairé, un
réel concurrent commercial.
Si on veut se démarquer de la très classique photo professionnelle dans
ce domaine très particulier du CSO (concours de sauts d'obstacles), on
peut privilégier des plans très resserrés, des vitesses lentes avec un
suivi du cheval au galop (effets garantis http://cjoint.com/?gyjAfvQOaY
avec un peu de Soleil, ça aurait été mieux...), des plans très resserrés
pleine face, pleine ouverture avec une longue focale qui écrase la PDC,
chercher à jouer sur la crinière du cheval et les contres-jours, saisir
le regard du cavalier qui regarde le prochain obstacle sur le côté.
On peut aussi faire de très belles images au paddock, juste avant
l'entrée sur le terrain (concentration, angoisse, énervement du couple
cavalier-cheval...), sur le parking où les chevaux sont préparés, où
hommes et montures se relâchent un peu...
Quant au floutage des visages, si les photos sont faites à titre privé,
sans commercialisation, je vois mal qui pourrait trouver à critiquer
quoi que ce soit, d'autant qu'un CSO est un spectacle public comme toute
manifestation sportive.
Bon courage sur ce thème de la photo équestre. L'équitation lato sensu
(CSO, course, dressage, élevage...) est un monde d'élégance, de
couleurs, de mouvements... les ingrédients idéaux pour se faire plaisir.
ben la différence c'est que tu vas pas allez à Nice matin proposer tes photo à leur place, moi si j'avais proposé de filer mes photos certains ne seraient peut etre pas allé acheter la leur au stand,
Pour avoir traîné mes guêtres bien longtemps sur des concours, je n'ai jamais réussi à concurrencer la qualité des photos prises par des professionnels. En général, ils ont du bon voire très bon matériel. Ils sont mieux placés
sur le terrain que le vulgum pecus. Et ils sont très spécialisés sur ce type de photos, notamment l'instant du déclenchement, lorsque les postérieurs de l'herbivore sont à la limite de quitter le sol. Il y a là une anticipation de la photo sportive difficile à maîtriser surtout si l'appareil a un temps de latence significatif. Ce qui est acceptable pour des photos de monuments devient rédhibitoire pour des photos sportives. La qualité de l'appareil photo peut faire la différence.
Je ne crois pas qu'un professionnel, qui vend immédiatement ses photos sur place, souvent en A4, puisse voir en un amateur, fut-il éclairé, un réel concurrent commercial.
Si on veut se démarquer de la très classique photo professionnelle dans ce domaine très particulier du CSO (concours de sauts d'obstacles), on peut privilégier des plans très resserrés, des vitesses lentes avec un suivi du cheval au galop (effets garantis http://cjoint.com/?gyjAfvQOaY avec un peu de Soleil, ça aurait été mieux...), des plans très resserrés pleine face, pleine ouverture avec une longue focale qui écrase la PDC, chercher à jouer sur la crinière du cheval et les contres-jours, saisir le regard du cavalier qui regarde le prochain obstacle sur le côté.
On peut aussi faire de très belles images au paddock, juste avant l'entrée sur le terrain (concentration, angoisse, énervement du couple cavalier-cheval...), sur le parking où les chevaux sont préparés, où hommes et montures se relâchent un peu...
Quant au floutage des visages, si les photos sont faites à titre privé, sans commercialisation, je vois mal qui pourrait trouver à critiquer quoi que ce soit, d'autant qu'un CSO est un spectacle public comme toute manifestation sportive.
Bon courage sur ce thème de la photo équestre. L'équitation lato sensu (CSO, course, dressage, élevage...) est un monde d'élégance, de couleurs, de mouvements... les ingrédients idéaux pour se faire plaisir.
Dominique
dominique
Enfin des photos de chevaux, merci mon Dieu!
Pfff, y'a pas de voiture derrière ;>)
Euh ! en saut d'obstacles, tu crois que ça serait une bonne idée ? :-) Bonne journée, Dominique
Enfin des photos de chevaux, merci mon Dieu!
Pfff, y'a pas de voiture derrière ;>)
Euh ! en saut d'obstacles, tu crois que ça serait une bonne idée ?
:-)
Bonne journée,
Dominique
Refus d'obstacle ! Il va y avoir du steack de cheval à midi ;-)
Oui ! l'herbivore est alors assez souvent l'invité d'honneur au prochain barbecue :-) Dominique
Florent
dominique a formulé ce dimanche :
tiens... ça vient de quoi ça ? c'est le cavalier qui a mal fait les choses ou le canaçon qui a pété un plomb ?
Si l'obstacle n'est pas infranchissable par l'herbivore, un refus est souvent causé par le cavalier. Dominique
et c'est quoi une faute typique du cavalier ? je me doute que le cheval ne fait pas tout tout seul, mais pour un boudin comme moi qui n'y connait absolument rien j'avoue ne pas comprendre... après tout c'est le cheval qui courre, qui porte, qui saute...
dominique a formulé ce dimanche :
tiens... ça vient de quoi ça ? c'est le cavalier qui a mal fait les choses
ou le canaçon qui a pété un plomb ?
Si l'obstacle n'est pas infranchissable par l'herbivore, un refus est souvent
causé par le cavalier.
Dominique
et c'est quoi une faute typique du cavalier ? je me doute que le cheval
ne fait pas tout tout seul, mais pour un boudin comme moi qui n'y
connait absolument rien j'avoue ne pas comprendre... après tout c'est
le cheval qui courre, qui porte, qui saute...
tiens... ça vient de quoi ça ? c'est le cavalier qui a mal fait les choses ou le canaçon qui a pété un plomb ?
Si l'obstacle n'est pas infranchissable par l'herbivore, un refus est souvent causé par le cavalier. Dominique
et c'est quoi une faute typique du cavalier ? je me doute que le cheval ne fait pas tout tout seul, mais pour un boudin comme moi qui n'y connait absolument rien j'avoue ne pas comprendre... après tout c'est le cheval qui courre, qui porte, qui saute...
dominique
dominique a formulé ce dimanche :
Si l'obstacle n'est pas infranchissable par l'herbivore, un refus est souvent causé par le cavalier. Dominique
et c'est quoi une faute typique du cavalier ? je me doute que le cheval ne fait pas tout tout seul, mais pour un boudin comme moi qui n'y connait absolument rien j'avoue ne pas comprendre... après tout c'est le cheval qui courre, qui porte, qui saute...
Exemple de faute typique du cavalier : il tourne trop court pour mettre son cheval face à l'obstacle. L'herbivore n'a pas à assez de distance pour se placer correctement et pour se regrouper avant de sauter. Dit autrement, il lui faut arriver devant l'obstacle à une distance telle qu'il décolle ses antérieurs pile au bon moment. Et seul le cavalier peut placer le cheval face à l'obstacle à la distance idoine en comptant le nombre de foulées qu'il devra faire, tout en gérant sa vitesse. Autre faute : le cheval est, très naturellement, partisan du moindre effort. Il peut tenter de vouloir éviter l'obstacle. Le cavalier doit « lire » les messages du cheval et le canaliser correctement. Autre exemple : le cavalier a peur de l'obstacle. Le cheval refusera très probablement. Les motifs de refus sont très nombreux et sont à peu près toujours causés par le cavalier. Un cheval bien dressé a « plein de boutons ». Il réagit à chaque sollicitation et les « réglages » sont très fins. Bonne journée, Dominique
dominique a formulé ce dimanche :
Si l'obstacle n'est pas infranchissable par l'herbivore, un refus est
souvent causé par le cavalier.
Dominique
et c'est quoi une faute typique du cavalier ? je me doute que le
cheval ne fait pas tout tout seul, mais pour un boudin comme moi qui
n'y connait absolument rien j'avoue ne pas comprendre... après tout
c'est le cheval qui courre, qui porte, qui saute...
Exemple de faute typique du cavalier : il tourne trop court pour mettre
son cheval face à l'obstacle. L'herbivore n'a pas à assez de distance
pour se placer correctement et pour se regrouper avant de sauter. Dit
autrement, il lui faut arriver devant l'obstacle à une distance telle
qu'il décolle ses antérieurs pile au bon moment. Et seul le cavalier
peut placer le cheval face à l'obstacle à la distance idoine en comptant
le nombre de foulées qu'il devra faire, tout en gérant sa vitesse.
Autre faute : le cheval est, très naturellement, partisan du moindre
effort. Il peut tenter de vouloir éviter l'obstacle. Le cavalier doit «
lire » les messages du cheval et le canaliser correctement.
Autre exemple : le cavalier a peur de l'obstacle. Le cheval refusera
très probablement.
Les motifs de refus sont très nombreux et sont à peu près toujours
causés par le cavalier. Un cheval bien dressé a « plein de boutons ». Il
réagit à chaque sollicitation et les « réglages » sont très fins.
Bonne journée,
Dominique
Si l'obstacle n'est pas infranchissable par l'herbivore, un refus est souvent causé par le cavalier. Dominique
et c'est quoi une faute typique du cavalier ? je me doute que le cheval ne fait pas tout tout seul, mais pour un boudin comme moi qui n'y connait absolument rien j'avoue ne pas comprendre... après tout c'est le cheval qui courre, qui porte, qui saute...
Exemple de faute typique du cavalier : il tourne trop court pour mettre son cheval face à l'obstacle. L'herbivore n'a pas à assez de distance pour se placer correctement et pour se regrouper avant de sauter. Dit autrement, il lui faut arriver devant l'obstacle à une distance telle qu'il décolle ses antérieurs pile au bon moment. Et seul le cavalier peut placer le cheval face à l'obstacle à la distance idoine en comptant le nombre de foulées qu'il devra faire, tout en gérant sa vitesse. Autre faute : le cheval est, très naturellement, partisan du moindre effort. Il peut tenter de vouloir éviter l'obstacle. Le cavalier doit « lire » les messages du cheval et le canaliser correctement. Autre exemple : le cavalier a peur de l'obstacle. Le cheval refusera très probablement. Les motifs de refus sont très nombreux et sont à peu près toujours causés par le cavalier. Un cheval bien dressé a « plein de boutons ». Il réagit à chaque sollicitation et les « réglages » sont très fins. Bonne journée, Dominique
Florent
dominique a présenté l'énoncé suivant :
dominique a formulé ce dimanche :
Si l'obstacle n'est pas infranchissable par l'herbivore, un refus est souvent causé par le cavalier. Dominique
et c'est quoi une faute typique du cavalier ? je me doute que le cheval ne fait pas tout tout seul, mais pour un boudin comme moi qui n'y connait absolument rien j'avoue ne pas comprendre... après tout c'est le cheval qui courre, qui porte, qui saute...
Exemple de faute typique du cavalier : il tourne trop court pour mettre son cheval face à l'obstacle. L'herbivore n'a pas à assez de distance pour se placer correctement et pour se regrouper avant de sauter. Dit autrement, il lui faut arriver devant l'obstacle à une distance telle qu'il décolle ses antérieurs pile au bon moment. Et seul le cavalier peut placer le cheval face à l'obstacle à la distance idoine en comptant le nombre de foulées qu'il devra faire, tout en gérant sa vitesse. Autre faute : le cheval est, très naturellement, partisan du moindre effort. Il peut tenter de vouloir éviter l'obstacle. Le cavalier doit « lire » les messages du cheval et le canaliser correctement. Autre exemple : le cavalier a peur de l'obstacle. Le cheval refusera très probablement. Les motifs de refus sont très nombreux et sont à peu près toujours causés par le cavalier. Un cheval bien dressé a « plein de boutons ». Il réagit à chaque sollicitation et les « réglages » sont très fins. Bonne journée, Dominique
merci pour ces explications, je me coucherai un tout petit peu moins bête :)
dominique a présenté l'énoncé suivant :
dominique a formulé ce dimanche :
Si l'obstacle n'est pas infranchissable par l'herbivore, un refus est
souvent causé par le cavalier.
Dominique
et c'est quoi une faute typique du cavalier ? je me doute que le cheval ne
fait pas tout tout seul, mais pour un boudin comme moi qui n'y connait
absolument rien j'avoue ne pas comprendre... après tout c'est le cheval qui
courre, qui porte, qui saute...
Exemple de faute typique du cavalier : il tourne trop court pour mettre son
cheval face à l'obstacle. L'herbivore n'a pas à assez de distance pour se
placer correctement et pour se regrouper avant de sauter. Dit autrement, il
lui faut arriver devant l'obstacle à une distance telle qu'il décolle ses
antérieurs pile au bon moment. Et seul le cavalier peut placer le cheval face
à l'obstacle à la distance idoine en comptant le nombre de foulées qu'il
devra faire, tout en gérant sa vitesse.
Autre faute : le cheval est, très naturellement, partisan du moindre effort.
Il peut tenter de vouloir éviter l'obstacle. Le cavalier doit « lire » les
messages du cheval et le canaliser correctement.
Autre exemple : le cavalier a peur de l'obstacle. Le cheval refusera très
probablement.
Les motifs de refus sont très nombreux et sont à peu près toujours causés par
le cavalier. Un cheval bien dressé a « plein de boutons ». Il réagit à chaque
sollicitation et les « réglages » sont très fins.
Bonne journée,
Dominique
merci pour ces explications, je me coucherai un tout petit peu moins
bête :)
Si l'obstacle n'est pas infranchissable par l'herbivore, un refus est souvent causé par le cavalier. Dominique
et c'est quoi une faute typique du cavalier ? je me doute que le cheval ne fait pas tout tout seul, mais pour un boudin comme moi qui n'y connait absolument rien j'avoue ne pas comprendre... après tout c'est le cheval qui courre, qui porte, qui saute...
Exemple de faute typique du cavalier : il tourne trop court pour mettre son cheval face à l'obstacle. L'herbivore n'a pas à assez de distance pour se placer correctement et pour se regrouper avant de sauter. Dit autrement, il lui faut arriver devant l'obstacle à une distance telle qu'il décolle ses antérieurs pile au bon moment. Et seul le cavalier peut placer le cheval face à l'obstacle à la distance idoine en comptant le nombre de foulées qu'il devra faire, tout en gérant sa vitesse. Autre faute : le cheval est, très naturellement, partisan du moindre effort. Il peut tenter de vouloir éviter l'obstacle. Le cavalier doit « lire » les messages du cheval et le canaliser correctement. Autre exemple : le cavalier a peur de l'obstacle. Le cheval refusera très probablement. Les motifs de refus sont très nombreux et sont à peu près toujours causés par le cavalier. Un cheval bien dressé a « plein de boutons ». Il réagit à chaque sollicitation et les « réglages » sont très fins. Bonne journée, Dominique
merci pour ces explications, je me coucherai un tout petit peu moins bête :)
Des chevaux et des voitures derrière à <http://toilapol.free.fr/galerie/disp_serie.php?id_album0> sous un ciel à éclaircie.
Paul -- http://toilapol.free.fr : cabotage au Spitzberg à la rencontre des ours polaires, phoques & morses - 6 voyages sur l'hurtigruten, en Norvège, Antarctique & Patagonie - généalogie & moulins dans le Finistère - galerie photos...
"JP" <Jp79dsfr nospam @free.fr> wrote:
Pfff, y'a pas de voiture derrière ;>)
Des chevaux et des voitures derrière à
<http://toilapol.free.fr/galerie/disp_serie.php?id_album0> sous un
ciel à éclaircie.
Paul
--
http://toilapol.free.fr : cabotage au Spitzberg à la rencontre des
ours polaires, phoques & morses - 6 voyages sur l'hurtigruten,
en Norvège, Antarctique & Patagonie - généalogie & moulins dans le
Finistère - galerie photos...
Des chevaux et des voitures derrière à <http://toilapol.free.fr/galerie/disp_serie.php?id_album0> sous un ciel à éclaircie.
Paul -- http://toilapol.free.fr : cabotage au Spitzberg à la rencontre des ours polaires, phoques & morses - 6 voyages sur l'hurtigruten, en Norvège, Antarctique & Patagonie - généalogie & moulins dans le Finistère - galerie photos...