Sauf que tu a beau avoir appris tes bouquins par c½ur, il y a des moments où ce sont tes connaissances terrain (aériennes) qui prédominent. Tout ceux que j'ai eu à mes côtés qui avaient de superbes diplômes, ne savaient pas faire grand chose hors réciter. Quand tu apprends, tu répètes, quand tu sais faire, tu agis.
justement non, à n'importe quel niveau d'avion, c'est que du par coeur. ce ne sont que des check list et elles sont différentes pour chaque avion. et idem chaque instrument, c'est mode d'emploi par coeur, on n'essaye pas de comprendre comment marche le Garmin en plein brouillard. et idem en cas de problème, que des check list à appliquer... et idem en entretien de l'avion, que des check list, on n'essaye pas un type d'huile pour voir si ça va le faire...
Maintenant il est vrai qu'un A380 nécessite la connaissance d'un certain mode d'emploi. Cependant, un vieux de la vieille qui a volé avec des A320, ou des Super Constellation aura des réflexes probablement plus appropriés en cas de soucis.
reflexes à avoir qui sont notés depuis longtemps dans les procédures à suivre en cas de chaque problème... l'expérience c'est tous les pilotes morts depuis 100 ans et tout ça est théorisé largement dans les bouquins. tu décolles, ton moteur s'arrête, tout être humain a le reflexe de virer pour rentrer en planant... si tu n'as pas *lu 100 fois* qu'il faut PAS le faire et qu'il faut foncer tout droit pour avoir une chance, tu es mort. tu n'auras pas 2 occasions d'essayer et constater que ça ne marche pas.
Allons ! Tu rabaches ce que l'on apprend à tous les petits élèves-pilotaillons... Dans les Centres de Formation d'instructeurs, on t'apprend à piloter ta machine dans toutes les circonstances, y compris celles que tu évoques. Et pour que ça rentre, on t'en fait bouffer, de la panne au décollage... Pour ma part, 60 ans de pilotage, 4 ou 5 pannes de moteur, dont deux au décollage. L'une, droit devant, glissade pour me raccourcir et immobilisation juste avant la voie ferrée. (St Cyr l'Ecole) La seconde, une splendide PTU, glissée pour perdre quelques mètres trop haut et pile posé (à contre-sens) sur la piste parallèle. Il n'y avait pas de vent. (Toussus-le-Noble) Jamais une casse et j'ai toujours ramené la barquasse sur un terrain. Une fois, j'ai même réussi à m'arrêter au parking de la station de réparation ! (La Rochelle-Laleu) Une autre fois, à l'arrivée de l'étranger, l'hiver, il pleuvait fort et la piste était recouverte par une fine pellicule d'eau : très long hydroplanage ??? et arrêt rapide, embourbé dans le champ en bout de piste ! Ça m'a coûté de payer le champagne aux pompiers qui ont sorti le Navion, remorqué par un gros engin, (Toussus-le-Noble). Tous les aviateurs ont de bonnes histoires, mais elles se racontent tellement mieux au bar de l'Aéro-club... -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Stephane Legras-Decussy vient de nous annoncer :
Le 28/08/2018 00:34, Benoit a écrit :
Sauf que tu a beau avoir appris tes bouquins par c½ur, il y a des
moments où ce sont tes connaissances terrain (aériennes) qui
prédominent. Tout ceux que j'ai eu à mes côtés qui avaient de superbes
diplômes, ne savaient pas faire grand chose hors réciter. Quand tu
apprends, tu répètes, quand tu sais faire, tu agis.
justement non, à n'importe quel niveau d'avion, c'est que du par coeur.
ce ne sont que des check list et elles sont différentes pour chaque avion.
et idem chaque instrument, c'est mode d'emploi par coeur, on n'essaye
pas de comprendre comment marche le Garmin en plein brouillard.
et idem en cas de problème, que des check list à appliquer...
et idem en entretien de l'avion, que des check list, on n'essaye pas
un type d'huile pour voir si ça va le faire...
Maintenant il est vrai qu'un A380 nécessite la connaissance d'un certain
mode d'emploi. Cependant, un vieux de la vieille qui a volé avec des
A320, ou des Super Constellation aura des réflexes probablement plus
appropriés en cas de soucis.
reflexes à avoir qui sont notés depuis longtemps dans les procédures à suivre
en cas de chaque problème...
l'expérience c'est tous les pilotes morts
depuis 100 ans et tout ça est théorisé largement dans les bouquins.
tu décolles, ton moteur s'arrête, tout être humain a le reflexe
de virer pour rentrer en planant... si tu n'as pas *lu 100 fois* qu'il
faut PAS le faire et qu'il faut foncer tout droit pour avoir une chance, tu
es mort.
tu n'auras pas 2 occasions d'essayer et constater que ça ne marche pas.
Allons ! Tu rabaches ce que l'on apprend à tous les petits
élèves-pilotaillons...
Dans les Centres de Formation d'instructeurs, on t'apprend à piloter ta
machine dans toutes les circonstances, y compris celles que tu évoques.
Et pour que ça rentre, on t'en fait bouffer, de la panne au
décollage...
Pour ma part, 60 ans de pilotage, 4 ou 5 pannes de moteur, dont deux au
décollage. L'une, droit devant, glissade pour me raccourcir et
immobilisation juste avant la voie ferrée. (St Cyr l'Ecole)
La seconde, une splendide PTU, glissée pour perdre quelques mètres trop
haut et pile posé (à contre-sens) sur la piste parallèle. Il n'y avait
pas de vent. (Toussus-le-Noble)
Jamais une casse et j'ai toujours ramené la barquasse sur un terrain.
Une fois, j'ai même réussi à m'arrêter au parking de la station de
réparation ! (La Rochelle-Laleu)
Une autre fois, à l'arrivée de l'étranger, l'hiver, il pleuvait fort et
la piste était recouverte par une fine pellicule d'eau : très long
hydroplanage ??? et arrêt rapide, embourbé dans le champ en bout de
piste ! Ça m'a coûté de payer le champagne aux pompiers qui ont sorti
le Navion, remorqué par un gros engin, (Toussus-le-Noble).
Tous les aviateurs ont de bonnes histoires, mais elles se racontent
tellement mieux au bar de l'Aéro-club...
--
Jacques DASSIÉ
Toujours sçavoir plus
http://archaero.com/
Sauf que tu a beau avoir appris tes bouquins par c½ur, il y a des moments où ce sont tes connaissances terrain (aériennes) qui prédominent. Tout ceux que j'ai eu à mes côtés qui avaient de superbes diplômes, ne savaient pas faire grand chose hors réciter. Quand tu apprends, tu répètes, quand tu sais faire, tu agis.
justement non, à n'importe quel niveau d'avion, c'est que du par coeur. ce ne sont que des check list et elles sont différentes pour chaque avion. et idem chaque instrument, c'est mode d'emploi par coeur, on n'essaye pas de comprendre comment marche le Garmin en plein brouillard. et idem en cas de problème, que des check list à appliquer... et idem en entretien de l'avion, que des check list, on n'essaye pas un type d'huile pour voir si ça va le faire...
Maintenant il est vrai qu'un A380 nécessite la connaissance d'un certain mode d'emploi. Cependant, un vieux de la vieille qui a volé avec des A320, ou des Super Constellation aura des réflexes probablement plus appropriés en cas de soucis.
reflexes à avoir qui sont notés depuis longtemps dans les procédures à suivre en cas de chaque problème... l'expérience c'est tous les pilotes morts depuis 100 ans et tout ça est théorisé largement dans les bouquins. tu décolles, ton moteur s'arrête, tout être humain a le reflexe de virer pour rentrer en planant... si tu n'as pas *lu 100 fois* qu'il faut PAS le faire et qu'il faut foncer tout droit pour avoir une chance, tu es mort. tu n'auras pas 2 occasions d'essayer et constater que ça ne marche pas.
Allons ! Tu rabaches ce que l'on apprend à tous les petits élèves-pilotaillons... Dans les Centres de Formation d'instructeurs, on t'apprend à piloter ta machine dans toutes les circonstances, y compris celles que tu évoques. Et pour que ça rentre, on t'en fait bouffer, de la panne au décollage... Pour ma part, 60 ans de pilotage, 4 ou 5 pannes de moteur, dont deux au décollage. L'une, droit devant, glissade pour me raccourcir et immobilisation juste avant la voie ferrée. (St Cyr l'Ecole) La seconde, une splendide PTU, glissée pour perdre quelques mètres trop haut et pile posé (à contre-sens) sur la piste parallèle. Il n'y avait pas de vent. (Toussus-le-Noble) Jamais une casse et j'ai toujours ramené la barquasse sur un terrain. Une fois, j'ai même réussi à m'arrêter au parking de la station de réparation ! (La Rochelle-Laleu) Une autre fois, à l'arrivée de l'étranger, l'hiver, il pleuvait fort et la piste était recouverte par une fine pellicule d'eau : très long hydroplanage ??? et arrêt rapide, embourbé dans le champ en bout de piste ! Ça m'a coûté de payer le champagne aux pompiers qui ont sorti le Navion, remorqué par un gros engin, (Toussus-le-Noble). Tous les aviateurs ont de bonnes histoires, mais elles se racontent tellement mieux au bar de l'Aéro-club... -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Jacques DASSIÉ
efji a présenté l'énoncé suivant :
Le 28/08/2018 à 12:45, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 28/08/2018 12:08, Nul a écrit :
Possibilités de désigner un point de mise au point après la prise de vue, sur l'écran de l'APN ou d'ordinateur. Possibilité de multiplier les points de map. Donc le flou peut se mettre là où on désir.
ce ne sont que objets d'etude de labo...
Non non : https://www.panasonic.com/fr/consumer/appareils-photo-et-camescopes-savoir/hybrides-lumix-g--dslm-/fonctionnalite-post-focus.html
Même mon minuscule compact TZ 200 possède les fonctions Post Focus et même Focus Staching ! (P118 de la doc). -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
efji a présenté l'énoncé suivant :
Le 28/08/2018 à 12:45, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 28/08/2018 12:08, Nul a écrit :
Possibilités de désigner un point de mise au point après la prise de vue,
sur l'écran de l'APN ou d'ordinateur.
Possibilité de multiplier les points de map.
Donc le flou peut se mettre là où on désir.
ce ne sont que objets d'etude de labo...
Non non :
https://www.panasonic.com/fr/consumer/appareils-photo-et-camescopes-savoir/hybrides-lumix-g--dslm-/fonctionnalite-post-focus.html
Même mon minuscule compact TZ 200 possède les fonctions Post Focus et
même Focus Staching ! (P118 de la doc).
--
Jacques DASSIÉ
Toujours sçavoir plus
http://archaero.com/
Le 28/08/2018 à 12:45, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 28/08/2018 12:08, Nul a écrit :
Possibilités de désigner un point de mise au point après la prise de vue, sur l'écran de l'APN ou d'ordinateur. Possibilité de multiplier les points de map. Donc le flou peut se mettre là où on désir.
ce ne sont que objets d'etude de labo...
Non non : https://www.panasonic.com/fr/consumer/appareils-photo-et-camescopes-savoir/hybrides-lumix-g--dslm-/fonctionnalite-post-focus.html
Même mon minuscule compact TZ 200 possède les fonctions Post Focus et même Focus Staching ! (P118 de la doc). -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
jdd
Le 28/08/2018 à 17:37, GhostRaider a écrit :
sur 10 secondes dans lesquelles on ira choisir la bonne.
idéalement ce n'est pas tout à fait ça. l'appareil te propose une image qu'il considère comme la meilleure, mais si tu demande une correction il te propose l'image correspondante qu'il a faite aussi. c'est comme aujourd'hui, mais sans la perte due aux corrections jdd -- http://dodin.org
Le 28/08/2018 à 17:37, GhostRaider a écrit :
sur 10 secondes dans lesquelles on ira choisir la bonne.
idéalement ce n'est pas tout à fait ça.
l'appareil te propose une image qu'il considère comme la meilleure, mais
si tu demande une correction il te propose l'image correspondante qu'il
a faite aussi.
c'est comme aujourd'hui, mais sans la perte due aux corrections
sur 10 secondes dans lesquelles on ira choisir la bonne.
idéalement ce n'est pas tout à fait ça. l'appareil te propose une image qu'il considère comme la meilleure, mais si tu demande une correction il te propose l'image correspondante qu'il a faite aussi. c'est comme aujourd'hui, mais sans la perte due aux corrections jdd -- http://dodin.org
Stephane Legras-Decussy
Le 28/08/2018 17:32, GhostRaider a écrit :
Je crois que la perte totale de moteurs n'était pas vraiment prévue.
c'est statistiquement presque impossible. mais statistiquement se poser sur l'eau sans casse est aussi impossible. c'est un accident avec 2 événements impossibles à la suite...
Le 28/08/2018 17:32, GhostRaider a écrit :
Je crois que la perte totale de moteurs n'était pas vraiment prévue.
c'est statistiquement presque impossible.
mais statistiquement se poser sur l'eau sans casse est aussi impossible.
c'est un accident avec 2 événements impossibles à la suite...
Je crois que la perte totale de moteurs n'était pas vraiment prévue.
c'est statistiquement presque impossible. mais statistiquement se poser sur l'eau sans casse est aussi impossible. c'est un accident avec 2 événements impossibles à la suite...
GhostRaider
Le 28/08/2018 à 22:03, jdd a écrit :
Le 28/08/2018 à 17:37, GhostRaider a écrit :
sur 10 secondes dans lesquelles on ira choisir la bonne.
idéalement ce n'est pas tout à fait ça. l'appareil te propose une image qu'il considère comme la meilleure, mais si tu demande une correction il te propose l'image correspondante qu'il a faite aussi. c'est comme aujourd'hui, mais sans la perte due aux corrections
Oui, oui, bien sûr. Et comme il est dopé à l'IA, il choisit la meilleure selon mon goût. D'ailleurs, y'a même plus besoin d'appuyer sur le bouton. Il explore l'espace et se déclenche tout seul. Enfin, la "vraie" photographie !
Le 28/08/2018 à 22:03, jdd a écrit :
Le 28/08/2018 à 17:37, GhostRaider a écrit :
sur 10 secondes dans lesquelles on ira choisir la bonne.
idéalement ce n'est pas tout à fait ça.
l'appareil te propose une image qu'il considère comme la meilleure, mais
si tu demande une correction il te propose l'image correspondante qu'il
a faite aussi.
c'est comme aujourd'hui, mais sans la perte due aux corrections
Oui, oui, bien sûr. Et comme il est dopé à l'IA, il choisit la meilleure
selon mon goût.
D'ailleurs, y'a même plus besoin d'appuyer sur le bouton. Il explore
l'espace et se déclenche tout seul. Enfin, la "vraie" photographie !
sur 10 secondes dans lesquelles on ira choisir la bonne.
idéalement ce n'est pas tout à fait ça. l'appareil te propose une image qu'il considère comme la meilleure, mais si tu demande une correction il te propose l'image correspondante qu'il a faite aussi. c'est comme aujourd'hui, mais sans la perte due aux corrections
Oui, oui, bien sûr. Et comme il est dopé à l'IA, il choisit la meilleure selon mon goût. D'ailleurs, y'a même plus besoin d'appuyer sur le bouton. Il explore l'espace et se déclenche tout seul. Enfin, la "vraie" photographie !
GhostRaider
Le 28/08/2018 à 22:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 28/08/2018 17:32, GhostRaider a écrit :
Je crois que la perte totale de moteurs n'était pas vraiment prévue.
c'est statistiquement presque impossible.
Mais c'est arrivé, hors procédures, avec ce vol de bernaches qui sont passées à la rôtissoire dans les réacteurs. https://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_1549_US_Airways D'ailleurs, j'y étais, j'ai tout vu. La preuve : https://www.cjoint.com/doc/18_08/HHCuWBhWtrY_D7000-26539-002.JPG
mais statistiquement se poser sur l'eau sans casse est aussi impossible. c'est un accident avec 2 événements impossibles à la suite...
L'impossible n'est jamais impossible, la preuve est là..
Le 28/08/2018 à 22:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 28/08/2018 17:32, GhostRaider a écrit :
Je crois que la perte totale de moteurs n'était pas vraiment prévue.
c'est statistiquement presque impossible.
Mais c'est arrivé, hors procédures, avec ce vol de bernaches qui sont
passées à la rôtissoire dans les réacteurs.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_1549_US_Airways
D'ailleurs, j'y étais, j'ai tout vu.
La preuve :
https://www.cjoint.com/doc/18_08/HHCuWBhWtrY_D7000-26539-002.JPG
mais statistiquement se poser sur l'eau sans casse est aussi impossible.
c'est un accident avec 2 événements impossibles à la suite...
L'impossible n'est jamais impossible, la preuve est là..
Le 28/08/2018 à 22:31, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 28/08/2018 17:32, GhostRaider a écrit :
Je crois que la perte totale de moteurs n'était pas vraiment prévue.
c'est statistiquement presque impossible.
Mais c'est arrivé, hors procédures, avec ce vol de bernaches qui sont passées à la rôtissoire dans les réacteurs. https://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_1549_US_Airways D'ailleurs, j'y étais, j'ai tout vu. La preuve : https://www.cjoint.com/doc/18_08/HHCuWBhWtrY_D7000-26539-002.JPG
mais statistiquement se poser sur l'eau sans casse est aussi impossible. c'est un accident avec 2 événements impossibles à la suite...
L'impossible n'est jamais impossible, la preuve est là..
Stephane Legras-Decussy
Le 28/08/2018 19:49, Jacques DASSIÉ a écrit :
Allons ! Tu rabaches ce que l'on apprend à tous les petits élèves-pilotaillons...
et qui reste valable à 60 ans avec 6000 heures.
Dans les Centres de Formation d'instructeurs, on t'apprend à piloter ta machine dans toutes les circonstances, y compris celles que tu évoques. Et pour que ça rentre, on t'en fait bouffer, de la panne au décollage...
bien sur, il y a même des cascadeurs sur avions... ça c'est impressionnant, je ne sais comment on se forme en restant vivant.
Pour ma part, 60 ans de pilotage, 4 ou 5 pannes de moteur, dont deux au décollage. L'une, droit devant, glissade pour me raccourcir et immobilisation juste avant la voie ferrée. (St Cyr l'Ecole) La seconde, une splendide PTU, glissée pour perdre quelques mètres trop haut et pile posé (à contre-sens) sur la piste parallèle. Il n'y avait pas de vent. (Toussus-le-Noble) Jamais une casse et j'ai toujours ramené la barquasse sur un terrain. Une fois, j'ai même réussi à m'arrêter au parking de la station de réparation ! (La Rochelle-Laleu) Une autre fois, à l'arrivée de l'étranger, l'hiver, il pleuvait fort et la piste était recouverte par une fine pellicule d'eau : très long hydroplanage ??? et arrêt rapide, embourbé dans le champ en bout de piste ! Ça m'a coûté de payer le champagne aux pompiers qui ont sorti le Navion, remorqué par un gros engin, (Toussus-le-Noble). Tous les aviateurs ont de bonnes histoires, mais elles se racontent tellement mieux au bar de l'Aéro-club...
visiblement à chaque fois tu fais ce qu'il faut faire sans paniquer.
Le 28/08/2018 19:49, Jacques DASSIÉ a écrit :
Allons ! Tu rabaches ce que l'on apprend à tous les petits
élèves-pilotaillons...
et qui reste valable à 60 ans avec 6000 heures.
Dans les Centres de Formation d'instructeurs, on t'apprend à piloter ta
machine dans toutes les circonstances, y compris celles que tu évoques.
Et pour que ça rentre, on t'en fait bouffer, de la panne au décollage...
bien sur, il y a même des cascadeurs sur avions... ça c'est
impressionnant, je ne sais comment on se forme en restant vivant.
Pour ma part, 60 ans de pilotage, 4 ou 5 pannes de moteur, dont deux au
décollage. L'une, droit devant, glissade pour me raccourcir et
immobilisation juste avant la voie ferrée. (St Cyr l'Ecole)
La seconde, une splendide PTU, glissée pour perdre quelques mètres trop
haut et pile posé (à contre-sens) sur la piste parallèle. Il n'y avait
pas de vent. (Toussus-le-Noble)
Jamais une casse et j'ai toujours ramené la barquasse sur un terrain.
Une fois, j'ai même réussi à m'arrêter au parking de la station de
réparation ! (La Rochelle-Laleu)
Une autre fois, à l'arrivée de l'étranger, l'hiver, il pleuvait fort et
la piste était recouverte par une fine pellicule d'eau : très long
hydroplanage ??? et arrêt rapide, embourbé dans le champ en bout de
piste ! Ça m'a coûté de payer le champagne aux pompiers qui ont sorti le
Navion, remorqué par un gros engin, (Toussus-le-Noble).
Tous les aviateurs ont de bonnes histoires, mais elles se racontent
tellement mieux au bar de l'Aéro-club...
visiblement à chaque fois tu fais ce qu'il faut faire sans paniquer.
Allons ! Tu rabaches ce que l'on apprend à tous les petits élèves-pilotaillons...
et qui reste valable à 60 ans avec 6000 heures.
Dans les Centres de Formation d'instructeurs, on t'apprend à piloter ta machine dans toutes les circonstances, y compris celles que tu évoques. Et pour que ça rentre, on t'en fait bouffer, de la panne au décollage...
bien sur, il y a même des cascadeurs sur avions... ça c'est impressionnant, je ne sais comment on se forme en restant vivant.
Pour ma part, 60 ans de pilotage, 4 ou 5 pannes de moteur, dont deux au décollage. L'une, droit devant, glissade pour me raccourcir et immobilisation juste avant la voie ferrée. (St Cyr l'Ecole) La seconde, une splendide PTU, glissée pour perdre quelques mètres trop haut et pile posé (à contre-sens) sur la piste parallèle. Il n'y avait pas de vent. (Toussus-le-Noble) Jamais une casse et j'ai toujours ramené la barquasse sur un terrain. Une fois, j'ai même réussi à m'arrêter au parking de la station de réparation ! (La Rochelle-Laleu) Une autre fois, à l'arrivée de l'étranger, l'hiver, il pleuvait fort et la piste était recouverte par une fine pellicule d'eau : très long hydroplanage ??? et arrêt rapide, embourbé dans le champ en bout de piste ! Ça m'a coûté de payer le champagne aux pompiers qui ont sorti le Navion, remorqué par un gros engin, (Toussus-le-Noble). Tous les aviateurs ont de bonnes histoires, mais elles se racontent tellement mieux au bar de l'Aéro-club...
visiblement à chaque fois tu fais ce qu'il faut faire sans paniquer.
Stephane Legras-Decussy
Le 28/08/2018 23:02, GhostRaider a écrit :
L'impossible n'est jamais impossible, la preuve est là..
on est dans l'ordre de grandeur de gagner 2 fois le gros lot au loto... ! déja un arrêt moteur simple en vol, ça arrive une fois toutes les 7 carrières de pilote... alors arrêt des 2...
Le 28/08/2018 23:02, GhostRaider a écrit :
L'impossible n'est jamais impossible, la preuve est là..
on est dans l'ordre de grandeur de gagner 2 fois le gros lot
au loto... !
déja un arrêt moteur simple en vol, ça arrive une fois toutes les 7
carrières de pilote... alors arrêt des 2...
L'impossible n'est jamais impossible, la preuve est là..
on est dans l'ordre de grandeur de gagner 2 fois le gros lot au loto... ! déja un arrêt moteur simple en vol, ça arrive une fois toutes les 7 carrières de pilote... alors arrêt des 2...
efji
Le 29/08/2018 à 00:03, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 28/08/2018 23:02, GhostRaider a écrit :
L'impossible n'est jamais impossible, la preuve est là..
on est dans l'ordre de grandeur de gagner 2 fois le gros lot au loto... ! déja un arrêt moteur simple en vol, ça arrive une fois toutes les 7 carrières de pilote... alors arrêt des 2...
Si la carrière de pilote dure 30 ans, ça fait une fois tous les 44000 ans, soit une fois toutes les 1500 carrières de pilote environ. Il y a combien de pilotes en activité ? Pas si rare en fait ! -- F.J.
Le 29/08/2018 à 00:03, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 28/08/2018 23:02, GhostRaider a écrit :
L'impossible n'est jamais impossible, la preuve est là..
on est dans l'ordre de grandeur de gagner 2 fois le gros lot
au loto... !
déja un arrêt moteur simple en vol, ça arrive une fois toutes les 7
carrières de pilote... alors arrêt des 2...
Si la carrière de pilote dure 30 ans, ça fait une fois tous les 44000
ans, soit une fois toutes les 1500 carrières de pilote environ. Il y a
combien de pilotes en activité ?
Pas si rare en fait !
Le 29/08/2018 à 00:03, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 28/08/2018 23:02, GhostRaider a écrit :
L'impossible n'est jamais impossible, la preuve est là..
on est dans l'ordre de grandeur de gagner 2 fois le gros lot au loto... ! déja un arrêt moteur simple en vol, ça arrive une fois toutes les 7 carrières de pilote... alors arrêt des 2...
Si la carrière de pilote dure 30 ans, ça fait une fois tous les 44000 ans, soit une fois toutes les 1500 carrières de pilote environ. Il y a combien de pilotes en activité ? Pas si rare en fait ! -- F.J.
Stephane Legras-Decussy
Le 29/08/2018 00:08, efji a écrit :
Si la carrière de pilote dure 30 ans, ça fait une fois tous les 44000 ans, soit une fois toutes les 1500 carrières de pilote environ. Il y a combien de pilotes en activité ? Pas si rare en fait !
je comprends pas comment tu comptes... je vais le dire autrement : 1 pilote sur 7 aura dans sa carrière une panne moteur en vol.
Le 29/08/2018 00:08, efji a écrit :
Si la carrière de pilote dure 30 ans, ça fait une fois tous les 44000
ans, soit une fois toutes les 1500 carrières de pilote environ. Il y a
combien de pilotes en activité ?
Pas si rare en fait !
je comprends pas comment tu comptes... je vais le dire autrement :
1 pilote sur 7 aura dans sa carrière une panne moteur en vol.
Si la carrière de pilote dure 30 ans, ça fait une fois tous les 44000 ans, soit une fois toutes les 1500 carrières de pilote environ. Il y a combien de pilotes en activité ? Pas si rare en fait !
je comprends pas comment tu comptes... je vais le dire autrement : 1 pilote sur 7 aura dans sa carrière une panne moteur en vol.