Où l'on parle de Usenet sur Legalis

Wazzzaaaaaaa

08/01/2011 à 10:29

"Robby" a écrit dans le message de news:

Stephane Catteau a émis l'idée suivante :
Wazzzaaaaaaa n'était pas loin de dire :

Alors fait pas chier : Compris là ?

Moi je comprends, toi apparament non.

@ Catteau :

Et si je ne voulais pas comprendre, hein ?

Relis ton post incriminé et tu verras (peut être, hein ? si tu es honnête
avec toi même et avec l'humanité entière) que tu m'attribus des propos que
je n'ai pas écrit, si tu as un peu de courage pour remonter le fil en
question.

De plus, c'est toujours la même chose : Hors charte parce que le sujet est
plus une opposition personnelle contre Dominique qu'une réelle question de
droit avec fu2 sur france.corse (on se demande bien pourquoi) et un nouveau
fu2 furtif non annoncé sur france.corse vers icite.

Et ça se dit un vertueux d'Usenet francophone ! Vous me ferez toujours bien
rire, bande de ploucs.

Nan, pas ploucs ! Au moins, moi, je respecte les paysans bretons. Alors
disons simplement connards de l'Usenet francophone et on n'en parle plus...

C'est marrant ces marins.....

@ l'anonyme courageux qui se planque derrière Giganews...

Faut pas lui en vouloir, c'est juste le simplet de la bande.

lol

T'es qui toi, couillon ?

@ tous les connards de l'Usenet francophone : EOF !

Râ !

08/01/2011 à 10:42

Wazzzaaaaaaa a couché sur son écran :

T'es qui toi, couillon ?

Quand on montre le doigt, l'imbécile regarde la lune ?

@ tous les connards de l'Usenet francophone : EOF !

Mon papy était comme ça.
Quand il était jeune il pissait au plafond,
l'âge venu, il pisse sur ses talons.
Pas pour le critiquer mais il pourrait "la" tenir, non ?

--
rofl
Y'a des aristocrates et des parvenus,
dans la connerie comme dans le reste.

Bapyr Nyoreg

08/01/2011 à 11:09

Wazzzaaaaaaa 08.01 2011

Relis ton post incrimin‚ et tu verras (peut être, hein ? si tu es honnête
avec toi même et avec l'humanité entière)

Attention, si c'est vous qui avez tort, ce sont les feux de l'enfer et les
anges de l'apocalypse qui vous atendent, question d'équité.

que tu m'attribus des propos que
je n'ai pas écrit, si tu as un peu de courage pour remonter le fil en
question.

il est grave, lui :))

inavidid

09/01/2011 à 11:52

Christophe Raverdy wrote:

Je pense que ces écrits de Xxxx Xxxxx remettent quelque peu en
cause la crédibilité de votre déclaration.

Curieux comme vous aimez gloser sur la crédibilité d'une déclaration
non-officielle, non signée, non domiciliée, non prouvée... non
juridique, pour tout dire.

inavidid

09/01/2011 à 11:52

Christophe Raverdy wrote:

Ce serait pour lui une excellente occasion (comme ami) tant de se
démarquer de deux amis encombrants que de suggérer à Xxxx Xxxxxxxx de
prendre elle aussi quelques distances avec deux boulets.

Curieuse conception de l'amitié...

inavidid

09/01/2011 à 11:52

Stephane Catteau wrote:

Wazzzaaaaaaa n'était pas loin de dire :

>>> Source, MID, toussa ???
>> Vu que tu ne sais pas reconnaitre un introducteur de citation, tu ne
>> fois probablement pas non plus savoir reconnaitre un lien donc :
>
> Disons que ce n'est pas moi qui ai écrit quoique ce soit dans ta citation.

Ah, on va la faire simple pour esprit simple alors :

1) Ce n'est pas ma citation, c'est celle de Christophe Raverdy
2) Le message indique clairement que l'auteur cité est Dominique
Gobeaut
3) La citation elle-même indique clairement que ce sont les propos de
Dominique Gobeaut
4) Le lien vers le message originel, source que tu exigeais, démontre
clairement qu'il s'agit bien d'un message de Dominique Gobeaut

Et ceci, c'est quoi ?

============================================================ Treblig Star wrote:

[...]

Je me souviens de messages vaguement menaçants sous couvert d'anonymat
mais aucun rédigé par Thierry.
Et je suis la mieux placée pour savoir quand il poste et ce qu'il poste,
non ?
=============================================================

Nicolas Krebs

09/01/2011 à 13:57

que je sache, vous ne faites pas partie
des juristes qui donnent bénévolement des réponses à ces questions de
droit.

Vous non plus, si j'en crois
| > Vous êtes juriste, non ?
|
| Non.
dans news:1jtpnkv.18cbzbt1v2agmyN%#line,13 .

--
« Il était une bergère [...] »

Raoul Tabille

10/01/2011 à 15:48

Tuber magnatum wrote:

Curieux comme vous aimez gloser sur la crédibilité d'une déclaration
non-officielle, non signée, non domiciliée, non prouvée... non
juridique, pour tout dire.

Cela me rappelle une vielle histoire de jadis que j'ai dénichée dans des
archives poussiéreuses, quelque part en province :

Cher monsieur,

Faisant suite à mon premier courrier.

J'ai relu et fais lire le contrat par ma cousine Bécassine, juriste de
profession. Mon avocat l'a déjà lu, et il connaît parfaitement cette gazette,
L’Echo de Champignac. Je puis donc vous affirmer que rien dans le contrat me
liant à mes électeurs ne me semble avoir été violé.

Mes billets sont de plus conformes à la loi française d'un point de vue
général.

Pour ce qui est de la loi du 29 juillet 1881, qui régit cette gazette, elle
est strictement suivie au pied de la lettre, tant par moi que par les
rédacteurs des billets.

Plusieurs des billets, du même tonneau si vous me passez l'expression, ont
été officiellement et par moi communiqués aux autorités, en la personne de
deux préfets de region, Messieurs Gnafron et Mourguet, qui n'y ont rien
trouvé à redire (ils ont très probablement lu aussi les billets concernant
Messieurs Sournois et Finaud). Enfin l'adresse de cette gazette a été
communiquée à Monsieur le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, qui à ce
jour ne nous a rien reproché et n'a jamais demandé la moindre action pour que
cette gazette soit interdite de publication.

Par conséquent, je maintiens ma décision de publier les billets dénoncés par
Messieurs Sournois et Finaud, si tant est d'ailleurs que vos interlocuteurs
soient bien eux. Rien ne le prouve, si je ne m'abuse.

Je tiens aussi à vous informer que le 3 octobre 1937 un certain Gontrand
Finaud m'a contacté via le courrier des lecteurs pour me dire, je le cite :
"Quel plaisir de faire la Une de cette gazette remarquable ! J'attends la
Deux avec impatience...".

Ceci est, avouons-le, quelque peu contradictoire avec la demande que vous
m'avez transmise de la part de ce personnage. Lequel, le 30 septembre, avait
télégraphié à la rédaction un message insultant.

Bien évidemment, je suis tout disposé à étudier la possibilité de ne pas
publier les articles dont nous parlons... si Messieurs Sournois et Finaud
effacent quant à eux les articles injurieux et diffamatoires qu'ils ont
gribouillé sur moi au cours de ces dernières années sur l'affichage
municipal. Si vous le souhaitez, vous pouvez leur transmettre cette
proposition.

Je précise tout de même que les billets concernent des arcticles ouvertement
xénophobes à l'encontre de la communauté auvergnate, publiés par Messieurs
Sournois et Finaud. Articles que je dénonce publiquement, et c'est mon
devoir. Je ne vais d'ailleurs pas en rester là puisque leur prose va être
communiquée à qui de droit en Auvergne et sur le continent.

Bref, comme je le disais dans ma première réponse, que ces messieurs
demandent à la justice de trancher en leur faveur s'ils estiment être dans
leur droit. Je suis très étonné qu'ils ne l'aient pas fait.

Pour ma part, Maître Chollard sait ce qu'il a à faire.

Je suis actuellement en cure pour ma goutte, pour plusieurs semaines,
probablement jusqu'en début d'année prochaine. Si vous souhaitez me contacter
par voie postale vous pouvez le faire ici :

Firmin Grosmelon
Résidence des Bains
63150 LA BOURBOULE

Merci de ne pas communiquer ces coordonnées à Messieurs Sournois et Finaud.
Je ne souhaite pas en effet être harcelé en villégiature, comme je le suis
déjà au conseil municipal.

Vous avez déjà les coordonnées de mon conseil à Clermont Ferrand, Maître
Chollard.

Cordialement.

Firmin Grosmelon,
Maire de Champignac.

Tuber magnatum <inavidid@inavid.invalid> wrote:

Curieux comme vous aimez gloser sur la crédibilité d'une déclaration
non-officielle, non signée, non domiciliée, non prouvée... non
juridique, pour tout dire.

Cela me rappelle une vielle histoire de jadis que j'ai dénichée dans des
archives poussiéreuses, quelque part en province :

Cher monsieur,

Faisant suite à mon premier courrier.

J'ai relu et fais lire le contrat par ma cousine Bécassine, juriste de
profession. Mon avocat l'a déjà lu, et il connaît parfaitement cette gazette,
L’Echo de Champignac. Je puis donc vous affirmer que rien dans le contrat me
liant à mes électeurs ne me semble avoir été violé.

Mes billets sont de plus conformes à la loi française d'un point de vue
général.

Pour ce qui est de la loi du 29 juillet 1881, qui régit cette gazette, elle
est strictement suivie au pied de la lettre, tant par moi que par les
rédacteurs des billets.

Plusieurs des billets, du même tonneau si vous me passez l'expression, ont
été officiellement et par moi communiqués aux autorités, en la personne de
deux préfets de region, Messieurs Gnafron et Mourguet, qui n'y ont rien
trouvé à redire (ils ont très probablement lu aussi les billets concernant
Messieurs Sournois et Finaud). Enfin l'adresse de cette gazette a été
communiquée à Monsieur le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, qui à ce
jour ne nous a rien reproché et n'a jamais demandé la moindre action pour que
cette gazette soit interdite de publication.

Par conséquent, je maintiens ma décision de publier les billets dénoncés par
Messieurs Sournois et Finaud, si tant est d'ailleurs que vos interlocuteurs
soient bien eux. Rien ne le prouve, si je ne m'abuse.

Je tiens aussi à vous informer que le 3 octobre 1937 un certain Gontrand
Finaud m'a contacté via le courrier des lecteurs pour me dire, je le cite :
"Quel plaisir de faire la Une de cette gazette remarquable ! J'attends la
Deux avec impatience...".

Ceci est, avouons-le, quelque peu contradictoire avec la demande que vous
m'avez transmise de la part de ce personnage. Lequel, le 30 septembre, avait
télégraphié à la rédaction un message insultant.

Bien évidemment, je suis tout disposé à étudier la possibilité de ne pas
publier les articles dont nous parlons... si Messieurs Sournois et Finaud
effacent quant à eux les articles injurieux et diffamatoires qu'ils ont
gribouillé sur moi au cours de ces dernières années sur l'affichage
municipal. Si vous le souhaitez, vous pouvez leur transmettre cette
proposition.

Je précise tout de même que les billets concernent des arcticles ouvertement
xénophobes à l'encontre de la communauté auvergnate, publiés par Messieurs
Sournois et Finaud. Articles que je dénonce publiquement, et c'est mon
devoir. Je ne vais d'ailleurs pas en rester là puisque leur prose va être
communiquée à qui de droit en Auvergne et sur le continent.

Bref, comme je le disais dans ma première réponse, que ces messieurs
demandent à la justice de trancher en leur faveur s'ils estiment être dans
leur droit. Je suis très étonné qu'ils ne l'aient pas fait.

Pour ma part, Maître Chollard sait ce qu'il a à faire.

Je suis actuellement en cure pour ma goutte, pour plusieurs semaines,
probablement jusqu'en début d'année prochaine. Si vous souhaitez me contacter
par voie postale vous pouvez le faire ici :

Firmin Grosmelon
Résidence des Bains
63150 LA BOURBOULE

Merci de ne pas communiquer ces coordonnées à Messieurs Sournois et Finaud.
Je ne souhaite pas en effet être harcelé en villégiature, comme je le suis
déjà au conseil municipal.

Vous avez déjà les coordonnées de mon conseil à Clermont Ferrand, Maître
Chollard.

Cordialement.

Firmin Grosmelon,
Maire de Champignac.

Vous avez filtré cet utilisateur ! Consultez son message

Tuber magnatum wrote:

Curieux comme vous aimez gloser sur la crédibilité d'une déclaration
non-officielle, non signée, non domiciliée, non prouvée... non
juridique, pour tout dire.

Cela me rappelle une vielle histoire de jadis que j'ai dénichée dans des
archives poussiéreuses, quelque part en province :

Cher monsieur,

Faisant suite à mon premier courrier.

J'ai relu et fais lire le contrat par ma cousine Bécassine, juriste de
profession. Mon avocat l'a déjà lu, et il connaît parfaitement cette gazette,
L’Echo de Champignac. Je puis donc vous affirmer que rien dans le contrat me
liant à mes électeurs ne me semble avoir été violé.

Mes billets sont de plus conformes à la loi française d'un point de vue
général.

Pour ce qui est de la loi du 29 juillet 1881, qui régit cette gazette, elle
est strictement suivie au pied de la lettre, tant par moi que par les
rédacteurs des billets.

Plusieurs des billets, du même tonneau si vous me passez l'expression, ont
été officiellement et par moi communiqués aux autorités, en la personne de
deux préfets de region, Messieurs Gnafron et Mourguet, qui n'y ont rien
trouvé à redire (ils ont très probablement lu aussi les billets concernant
Messieurs Sournois et Finaud). Enfin l'adresse de cette gazette a été
communiquée à Monsieur le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, qui à ce
jour ne nous a rien reproché et n'a jamais demandé la moindre action pour que
cette gazette soit interdite de publication.

Par conséquent, je maintiens ma décision de publier les billets dénoncés par
Messieurs Sournois et Finaud, si tant est d'ailleurs que vos interlocuteurs
soient bien eux. Rien ne le prouve, si je ne m'abuse.

Je tiens aussi à vous informer que le 3 octobre 1937 un certain Gontrand
Finaud m'a contacté via le courrier des lecteurs pour me dire, je le cite :
"Quel plaisir de faire la Une de cette gazette remarquable ! J'attends la
Deux avec impatience...".

Ceci est, avouons-le, quelque peu contradictoire avec la demande que vous
m'avez transmise de la part de ce personnage. Lequel, le 30 septembre, avait
télégraphié à la rédaction un message insultant.

Bien évidemment, je suis tout disposé à étudier la possibilité de ne pas
publier les articles dont nous parlons... si Messieurs Sournois et Finaud
effacent quant à eux les articles injurieux et diffamatoires qu'ils ont
gribouillé sur moi au cours de ces dernières années sur l'affichage
municipal. Si vous le souhaitez, vous pouvez leur transmettre cette
proposition.

Je précise tout de même que les billets concernent des arcticles ouvertement
xénophobes à l'encontre de la communauté auvergnate, publiés par Messieurs
Sournois et Finaud. Articles que je dénonce publiquement, et c'est mon
devoir. Je ne vais d'ailleurs pas en rester là puisque leur prose va être
communiquée à qui de droit en Auvergne et sur le continent.

Bref, comme je le disais dans ma première réponse, que ces messieurs
demandent à la justice de trancher en leur faveur s'ils estiment être dans
leur droit. Je suis très étonné qu'ils ne l'aient pas fait.

Pour ma part, Maître Chollard sait ce qu'il a à faire.

Je suis actuellement en cure pour ma goutte, pour plusieurs semaines,
probablement jusqu'en début d'année prochaine. Si vous souhaitez me contacter
par voie postale vous pouvez le faire ici :

Firmin Grosmelon
Résidence des Bains
63150 LA BOURBOULE

Merci de ne pas communiquer ces coordonnées à Messieurs Sournois et Finaud.
Je ne souhaite pas en effet être harcelé en villégiature, comme je le suis
déjà au conseil municipal.

Vous avez déjà les coordonnées de mon conseil à Clermont Ferrand, Maître
Chollard.

Cordialement.

Firmin Grosmelon,
Maire de Champignac.

Raoul Tabille

10/01/2011 à 15:59

Tuber magnatum wrote:

Curieux comme vous aimez gloser sur la crédibilité d'une déclaration
non-officielle, non signée, non domiciliée, non prouvée... non
juridique, pour tout dire.

Cela me rappelle une vielle histoire de jadis que j'ai dénichée dans des
archives poussiéreuses, quelque part en province :

Cher monsieur,

Faisant suite à mon premier courrier.

J'ai relu et fais lire le contrat par ma cousine Bécassine, juriste de
profession. Mon avocat l'a déjà lu, et il connaît parfaitement cette gazette,
L’Echo de Champignac. Je puis donc vous affirmer que rien dans le contrat me
liant à mes électeurs ne me semble avoir été violé.

Mes billets sont de plus conformes à la loi française d'un point de vue
général.

Pour ce qui est de la loi du 29 juillet 1881, qui régit cette gazette, elle
est strictement suivie au pied de la lettre, tant par moi que par les
rédacteurs des billets.

Plusieurs des billets, du même tonneau si vous me passez l'expression, ont
été officiellement et par moi communiqués aux autorités, en la personne de
deux préfets de region, Messieurs Gnafron et Mourguet, qui n'y ont rien
trouvé à redire (ils ont très probablement lu aussi les billets concernant
Messieurs Sournois et Finaud). Enfin l'adresse de cette gazette a été
communiquée à Monsieur le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, qui à ce
jour ne nous a rien reproché et n'a jamais demandé la moindre action pour que
cette gazette soit interdite de publication.

Par conséquent, je maintiens ma décision de publier les billets dénoncés par
Messieurs Sournois et Finaud, si tant est d'ailleurs que vos interlocuteurs
soient bien eux. Rien ne le prouve, si je ne m'abuse.

Je tiens aussi à vous informer que le 3 octobre 1937 un certain Gontrand
Finaud m'a contacté via le courrier des lecteurs pour me dire, je le cite :
"Quel plaisir de faire la Une de cette gazette remarquable ! J'attends la
Deux avec impatience...".

Ceci est, avouons-le, quelque peu contradictoire avec la demande que vous
m'avez transmise de la part de ce personnage. Lequel, le 30 septembre, avait
télégraphié à la rédaction un message insultant.

Bien évidemment, je suis tout disposé à étudier la possibilité de ne pas
publier les articles dont nous parlons... si Messieurs Sournois et Finaud
effacent quant à eux les articles injurieux et diffamatoires qu'ils ont
gribouillé sur moi au cours de ces dernières années sur l'affichage
municipal. Si vous le souhaitez, vous pouvez leur transmettre cette
proposition.

Je précise tout de même que les billets concernent des arcticles ouvertement
xénophobes à l'encontre de la communauté auvergnate, publiés par Messieurs
Sournois et Finaud. Articles que je dénonce publiquement, et c'est mon
devoir. Je ne vais d'ailleurs pas en rester là puisque leur prose va être
communiquée à qui de droit en Auvergne et dans nos colonies.

Bref, comme je le disais dans ma première réponse, que ces messieurs
demandent à la justice de trancher en leur faveur s'ils estiment être dans
leur droit. Je suis très étonné qu'ils ne l'aient pas fait.

Pour ma part, Maître Chollard sait ce qu'il a à faire.

Je suis actuellement en cure pour ma goutte, pour plusieurs semaines,
probablement jusqu'en début d'année prochaine. Si vous souhaitez me contacter
par voie postale vous pouvez le faire ici :

Firmin Grosmelon
Résidence des Bains
63150 LA BOURBOULE

Merci de ne pas communiquer ces coordonnées à Messieurs Sournois et Finaud.
Je ne souhaite pas en effet être harcelé en villégiature, comme je le suis
déjà au conseil municipal.

Vous avez déjà les coordonnées de mon conseil à Clermont Ferrand, Maître
Chollard.

Cordialement.

Firmin Grosmelon,
Maire de Champignac.

Tuber magnatum <inavidid@inavid.invalid> wrote:

Curieux comme vous aimez gloser sur la crédibilité d'une déclaration
non-officielle, non signée, non domiciliée, non prouvée... non
juridique, pour tout dire.

Cela me rappelle une vielle histoire de jadis que j'ai dénichée dans des
archives poussiéreuses, quelque part en province :

Cher monsieur,

Faisant suite à mon premier courrier.

J'ai relu et fais lire le contrat par ma cousine Bécassine, juriste de
profession. Mon avocat l'a déjà lu, et il connaît parfaitement cette gazette,
L’Echo de Champignac. Je puis donc vous affirmer que rien dans le contrat me
liant à mes électeurs ne me semble avoir été violé.

Mes billets sont de plus conformes à la loi française d'un point de vue
général.

Pour ce qui est de la loi du 29 juillet 1881, qui régit cette gazette, elle
est strictement suivie au pied de la lettre, tant par moi que par les
rédacteurs des billets.

Plusieurs des billets, du même tonneau si vous me passez l'expression, ont
été officiellement et par moi communiqués aux autorités, en la personne de
deux préfets de region, Messieurs Gnafron et Mourguet, qui n'y ont rien
trouvé à redire (ils ont très probablement lu aussi les billets concernant
Messieurs Sournois et Finaud). Enfin l'adresse de cette gazette a été
communiquée à Monsieur le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, qui à ce
jour ne nous a rien reproché et n'a jamais demandé la moindre action pour que
cette gazette soit interdite de publication.

Par conséquent, je maintiens ma décision de publier les billets dénoncés par
Messieurs Sournois et Finaud, si tant est d'ailleurs que vos interlocuteurs
soient bien eux. Rien ne le prouve, si je ne m'abuse.

Je tiens aussi à vous informer que le 3 octobre 1937 un certain Gontrand
Finaud m'a contacté via le courrier des lecteurs pour me dire, je le cite :
"Quel plaisir de faire la Une de cette gazette remarquable ! J'attends la
Deux avec impatience...".

Ceci est, avouons-le, quelque peu contradictoire avec la demande que vous
m'avez transmise de la part de ce personnage. Lequel, le 30 septembre, avait
télégraphié à la rédaction un message insultant.

Bien évidemment, je suis tout disposé à étudier la possibilité de ne pas
publier les articles dont nous parlons... si Messieurs Sournois et Finaud
effacent quant à eux les articles injurieux et diffamatoires qu'ils ont
gribouillé sur moi au cours de ces dernières années sur l'affichage
municipal. Si vous le souhaitez, vous pouvez leur transmettre cette
proposition.

Je précise tout de même que les billets concernent des arcticles ouvertement
xénophobes à l'encontre de la communauté auvergnate, publiés par Messieurs
Sournois et Finaud. Articles que je dénonce publiquement, et c'est mon
devoir. Je ne vais d'ailleurs pas en rester là puisque leur prose va être
communiquée à qui de droit en Auvergne et dans nos colonies.

Bref, comme je le disais dans ma première réponse, que ces messieurs
demandent à la justice de trancher en leur faveur s'ils estiment être dans
leur droit. Je suis très étonné qu'ils ne l'aient pas fait.

Pour ma part, Maître Chollard sait ce qu'il a à faire.

Je suis actuellement en cure pour ma goutte, pour plusieurs semaines,
probablement jusqu'en début d'année prochaine. Si vous souhaitez me contacter
par voie postale vous pouvez le faire ici :

Firmin Grosmelon
Résidence des Bains
63150 LA BOURBOULE

Merci de ne pas communiquer ces coordonnées à Messieurs Sournois et Finaud.
Je ne souhaite pas en effet être harcelé en villégiature, comme je le suis
déjà au conseil municipal.

Vous avez déjà les coordonnées de mon conseil à Clermont Ferrand, Maître
Chollard.

Cordialement.

Firmin Grosmelon,
Maire de Champignac.

Vous avez filtré cet utilisateur ! Consultez son message

Tuber magnatum wrote:

Curieux comme vous aimez gloser sur la crédibilité d'une déclaration
non-officielle, non signée, non domiciliée, non prouvée... non
juridique, pour tout dire.

Cela me rappelle une vielle histoire de jadis que j'ai dénichée dans des
archives poussiéreuses, quelque part en province :

Cher monsieur,

Faisant suite à mon premier courrier.

J'ai relu et fais lire le contrat par ma cousine Bécassine, juriste de
profession. Mon avocat l'a déjà lu, et il connaît parfaitement cette gazette,
L’Echo de Champignac. Je puis donc vous affirmer que rien dans le contrat me
liant à mes électeurs ne me semble avoir été violé.

Mes billets sont de plus conformes à la loi française d'un point de vue
général.

Pour ce qui est de la loi du 29 juillet 1881, qui régit cette gazette, elle
est strictement suivie au pied de la lettre, tant par moi que par les
rédacteurs des billets.

Plusieurs des billets, du même tonneau si vous me passez l'expression, ont
été officiellement et par moi communiqués aux autorités, en la personne de
deux préfets de region, Messieurs Gnafron et Mourguet, qui n'y ont rien
trouvé à redire (ils ont très probablement lu aussi les billets concernant
Messieurs Sournois et Finaud). Enfin l'adresse de cette gazette a été
communiquée à Monsieur le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, qui à ce
jour ne nous a rien reproché et n'a jamais demandé la moindre action pour que
cette gazette soit interdite de publication.

Par conséquent, je maintiens ma décision de publier les billets dénoncés par
Messieurs Sournois et Finaud, si tant est d'ailleurs que vos interlocuteurs
soient bien eux. Rien ne le prouve, si je ne m'abuse.

Je tiens aussi à vous informer que le 3 octobre 1937 un certain Gontrand
Finaud m'a contacté via le courrier des lecteurs pour me dire, je le cite :
"Quel plaisir de faire la Une de cette gazette remarquable ! J'attends la
Deux avec impatience...".

Ceci est, avouons-le, quelque peu contradictoire avec la demande que vous
m'avez transmise de la part de ce personnage. Lequel, le 30 septembre, avait
télégraphié à la rédaction un message insultant.

Bien évidemment, je suis tout disposé à étudier la possibilité de ne pas
publier les articles dont nous parlons... si Messieurs Sournois et Finaud
effacent quant à eux les articles injurieux et diffamatoires qu'ils ont
gribouillé sur moi au cours de ces dernières années sur l'affichage
municipal. Si vous le souhaitez, vous pouvez leur transmettre cette
proposition.

Je précise tout de même que les billets concernent des arcticles ouvertement
xénophobes à l'encontre de la communauté auvergnate, publiés par Messieurs
Sournois et Finaud. Articles que je dénonce publiquement, et c'est mon
devoir. Je ne vais d'ailleurs pas en rester là puisque leur prose va être
communiquée à qui de droit en Auvergne et dans nos colonies.

Bref, comme je le disais dans ma première réponse, que ces messieurs
demandent à la justice de trancher en leur faveur s'ils estiment être dans
leur droit. Je suis très étonné qu'ils ne l'aient pas fait.

Pour ma part, Maître Chollard sait ce qu'il a à faire.

Je suis actuellement en cure pour ma goutte, pour plusieurs semaines,
probablement jusqu'en début d'année prochaine. Si vous souhaitez me contacter
par voie postale vous pouvez le faire ici :

Firmin Grosmelon
Résidence des Bains
63150 LA BOURBOULE

Merci de ne pas communiquer ces coordonnées à Messieurs Sournois et Finaud.
Je ne souhaite pas en effet être harcelé en villégiature, comme je le suis
déjà au conseil municipal.

Vous avez déjà les coordonnées de mon conseil à Clermont Ferrand, Maître
Chollard.

Cordialement.

Firmin Grosmelon,
Maire de Champignac.

jr

10/01/2011 à 16:01

Le 10/01/2011 15:48, Raoul Tabille a écrit :

Bien évidemment, je suis tout disposé à étudier la possibilité de ne pas
publier les articles dont nous parlons...

Ah mais là c'est extrêmement très complètement différent: il s'agit de
quelqu'un qui manifestement revendique être le directeur de publication.
Rrrrrien nà voir ravec le cas.

--
jr
http://www.youtube.com/watch?v=y53IXAo9Pq0&NR=1

Où l'on parle de Usenet sur Legalis

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