b1 Outlook est pas mal fait je trouve.
Et puis je prefere en avoir trop que pas assez.
b1 Outlook est pas mal fait je trouve.
Et puis je prefere en avoir trop que pas assez.
b1 Outlook est pas mal fait je trouve.
Et puis je prefere en avoir trop que pas assez.
Khanh-Dang a écrit, le 09/04/2005 17:25 :Justement, tu le dit toi même, avoir les sources, c'est pour les
informaticiens.
Mauvaise lecture : ce que Laurent dit, c'est que c'est une préoccupation
d'informaticien. Ce qui n'empèche pas les non-informaticiens (et certains
informaticiens) de faire mauvais usage du modèle en en abusant.Si tu écris un logiciel libre et que tu veux en faire
une petite source de revenu, il est parfaitement viable pour une
application sur Palm de distribuer les sources et de vendre le binaire.
Comme tu le dis toi même, je ne vois pas pourquoi le non-informaticien
ira aller chercher les sources et les compiler (si jamais il sait ce que
ça veut dire).
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Khanh-Dang a écrit, le 09/04/2005 17:25 :
Justement, tu le dit toi même, avoir les sources, c'est pour les
informaticiens.
Mauvaise lecture : ce que Laurent dit, c'est que c'est une préoccupation
d'informaticien. Ce qui n'empèche pas les non-informaticiens (et certains
informaticiens) de faire mauvais usage du modèle en en abusant.
Si tu écris un logiciel libre et que tu veux en faire
une petite source de revenu, il est parfaitement viable pour une
application sur Palm de distribuer les sources et de vendre le binaire.
Comme tu le dis toi même, je ne vois pas pourquoi le non-informaticien
ira aller chercher les sources et les compiler (si jamais il sait ce que
ça veut dire).
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Khanh-Dang a écrit, le 09/04/2005 17:25 :Justement, tu le dit toi même, avoir les sources, c'est pour les
informaticiens.
Mauvaise lecture : ce que Laurent dit, c'est que c'est une préoccupation
d'informaticien. Ce qui n'empèche pas les non-informaticiens (et certains
informaticiens) de faire mauvais usage du modèle en en abusant.Si tu écris un logiciel libre et que tu veux en faire
une petite source de revenu, il est parfaitement viable pour une
application sur Palm de distribuer les sources et de vendre le binaire.
Comme tu le dis toi même, je ne vois pas pourquoi le non-informaticien
ira aller chercher les sources et les compiler (si jamais il sait ce que
ça veut dire).
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Khanh-Dang a écrit, le 09/04/2005 17:25 :Justement, tu le dit toi même, avoir les sources, c'est pour les
informaticiens.
Mauvaise lecture : ce que Laurent dit, c'est que c'est une préoccupation
d'informaticien. Ce qui n'empèche pas les non-informaticiens (et
certains informaticiens) de faire mauvais usage du modèle en en abusant.
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Justement. Il y a un choix. Mais le programmeur a-t-il souvent ce choix
? Es-tu vraiment sûr que tous les auteurs de sharewares sont au courant
de l'existence du logiciel libre ? Je n'en suis vraiment pas si sûr.
C'est à la mode, en ce moment, de prendre les développeurs pour des cons ?
Khanh-Dang a écrit, le 09/04/2005 17:25 :
Justement, tu le dit toi même, avoir les sources, c'est pour les
informaticiens.
Mauvaise lecture : ce que Laurent dit, c'est que c'est une préoccupation
d'informaticien. Ce qui n'empèche pas les non-informaticiens (et
certains informaticiens) de faire mauvais usage du modèle en en abusant.
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Justement. Il y a un choix. Mais le programmeur a-t-il souvent ce choix
? Es-tu vraiment sûr que tous les auteurs de sharewares sont au courant
de l'existence du logiciel libre ? Je n'en suis vraiment pas si sûr.
C'est à la mode, en ce moment, de prendre les développeurs pour des cons ?
Khanh-Dang a écrit, le 09/04/2005 17:25 :Justement, tu le dit toi même, avoir les sources, c'est pour les
informaticiens.
Mauvaise lecture : ce que Laurent dit, c'est que c'est une préoccupation
d'informaticien. Ce qui n'empèche pas les non-informaticiens (et
certains informaticiens) de faire mauvais usage du modèle en en abusant.
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Justement. Il y a un choix. Mais le programmeur a-t-il souvent ce choix
? Es-tu vraiment sûr que tous les auteurs de sharewares sont au courant
de l'existence du logiciel libre ? Je n'en suis vraiment pas si sûr.
C'est à la mode, en ce moment, de prendre les développeurs pour des cons ?
Mauvaise lecture : ce que Laurent dit, c'est que c'est une préoccupation
d'informaticien. Ce qui n'empèche pas les non-informaticiens (et
certains informaticiens) de faire mauvais usage du modèle en en abusant.
Soit.
Mais qu'est-ce qui empêche à quelqu'un de malveillant de passer outre
les protections de ton shareware ?
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Des preuves ? Je suis prêt à te croire si tu me fournis un minimum de
statistiques interprétables.
Supposons que le marché soit "gangréné par
le warez". Dans ce cas, montre moi qu'il est plus rentable de faire du
shareware que du logiciel libre.
De manière plus ou moins cynique, je pourrais dire qu'en faisant du
logiciel libre, tu ne perds pas moins d'argent que si tu faisais du
shareware qui sera de toute façon cracké
Tu n'auras pas besoin de te prendre la tête à concevoir des protections.
Certaines personnes ne perdront plus du temps à essayer de casser tes
protections.
Tous tes utilisateurs auront la chance d'utiliser du logiciel libre. Les
gens qui auraient payé ton shareware seront encore plus enclin à te
payer par respect. Tu risques même de recevoir des dons.
Les autres n'auraient de toute façon pas payé puisqu'ils disposaient de
la version crackée. Maintenant ils disposent des sources. Que celà
change-t-il pour ces gens ?
Justement. Il y a un choix. Mais le programmeur a-t-il souvent ce choix
? Es-tu vraiment sûr que tous les auteurs de sharewares sont au courant
de l'existence du logiciel libre ? Je n'en suis vraiment pas si sûr.
C'est à la mode, en ce moment, de prendre les développeurs pour des cons ?
C'est à la mode, en ce moment, de prendre un "ignorant" pour un con ?
Mauvaise lecture : ce que Laurent dit, c'est que c'est une préoccupation
d'informaticien. Ce qui n'empèche pas les non-informaticiens (et
certains informaticiens) de faire mauvais usage du modèle en en abusant.
Soit.
Mais qu'est-ce qui empêche à quelqu'un de malveillant de passer outre
les protections de ton shareware ?
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Des preuves ? Je suis prêt à te croire si tu me fournis un minimum de
statistiques interprétables.
Supposons que le marché soit "gangréné par
le warez". Dans ce cas, montre moi qu'il est plus rentable de faire du
shareware que du logiciel libre.
De manière plus ou moins cynique, je pourrais dire qu'en faisant du
logiciel libre, tu ne perds pas moins d'argent que si tu faisais du
shareware qui sera de toute façon cracké
Tu n'auras pas besoin de te prendre la tête à concevoir des protections.
Certaines personnes ne perdront plus du temps à essayer de casser tes
protections.
Tous tes utilisateurs auront la chance d'utiliser du logiciel libre. Les
gens qui auraient payé ton shareware seront encore plus enclin à te
payer par respect. Tu risques même de recevoir des dons.
Les autres n'auraient de toute façon pas payé puisqu'ils disposaient de
la version crackée. Maintenant ils disposent des sources. Que celà
change-t-il pour ces gens ?
Justement. Il y a un choix. Mais le programmeur a-t-il souvent ce choix
? Es-tu vraiment sûr que tous les auteurs de sharewares sont au courant
de l'existence du logiciel libre ? Je n'en suis vraiment pas si sûr.
C'est à la mode, en ce moment, de prendre les développeurs pour des cons ?
C'est à la mode, en ce moment, de prendre un "ignorant" pour un con ?
Mauvaise lecture : ce que Laurent dit, c'est que c'est une préoccupation
d'informaticien. Ce qui n'empèche pas les non-informaticiens (et
certains informaticiens) de faire mauvais usage du modèle en en abusant.
Soit.
Mais qu'est-ce qui empêche à quelqu'un de malveillant de passer outre
les protections de ton shareware ?
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Des preuves ? Je suis prêt à te croire si tu me fournis un minimum de
statistiques interprétables.
Supposons que le marché soit "gangréné par
le warez". Dans ce cas, montre moi qu'il est plus rentable de faire du
shareware que du logiciel libre.
De manière plus ou moins cynique, je pourrais dire qu'en faisant du
logiciel libre, tu ne perds pas moins d'argent que si tu faisais du
shareware qui sera de toute façon cracké
Tu n'auras pas besoin de te prendre la tête à concevoir des protections.
Certaines personnes ne perdront plus du temps à essayer de casser tes
protections.
Tous tes utilisateurs auront la chance d'utiliser du logiciel libre. Les
gens qui auraient payé ton shareware seront encore plus enclin à te
payer par respect. Tu risques même de recevoir des dons.
Les autres n'auraient de toute façon pas payé puisqu'ils disposaient de
la version crackée. Maintenant ils disposent des sources. Que celà
change-t-il pour ces gens ?
Justement. Il y a un choix. Mais le programmeur a-t-il souvent ce choix
? Es-tu vraiment sûr que tous les auteurs de sharewares sont au courant
de l'existence du logiciel libre ? Je n'en suis vraiment pas si sûr.
C'est à la mode, en ce moment, de prendre les développeurs pour des cons ?
C'est à la mode, en ce moment, de prendre un "ignorant" pour un con ?
Laurent Nel a pensé très fort :C'est marrant, pour quelqu'un qui parle de simplicité : une belle
liste de
bidouilles ou programmes payants à installer pour somme toute n'offrir
qu'un
minimum décent de fonctionnalités ! Bon sang, levez de temps en temps
le nez
de votre zone graffiti et regardez les autres plateformes (au pluriel)
toutes capables de faire tout cela sans aucun ajout ni achat
supplémentaire
et revenez nous parler de simplicité !
C'est un troll ?
Laurent Nel a pensé très fort :
C'est marrant, pour quelqu'un qui parle de simplicité : une belle
liste de
bidouilles ou programmes payants à installer pour somme toute n'offrir
qu'un
minimum décent de fonctionnalités ! Bon sang, levez de temps en temps
le nez
de votre zone graffiti et regardez les autres plateformes (au pluriel)
toutes capables de faire tout cela sans aucun ajout ni achat
supplémentaire
et revenez nous parler de simplicité !
C'est un troll ?
Laurent Nel a pensé très fort :C'est marrant, pour quelqu'un qui parle de simplicité : une belle
liste de
bidouilles ou programmes payants à installer pour somme toute n'offrir
qu'un
minimum décent de fonctionnalités ! Bon sang, levez de temps en temps
le nez
de votre zone graffiti et regardez les autres plateformes (au pluriel)
toutes capables de faire tout cela sans aucun ajout ni achat
supplémentaire
et revenez nous parler de simplicité !
C'est un troll ?
Khanh-Dang a écrit, le 11/04/2005 13:50 :Mais qu'est-ce qui empêche à quelqu'un de malveillant de passer outre
les protections de ton shareware ?
L'opacité. Ce n'est pas la meilleure des protections, mais, pour
certains logiciels à la durée de vie réduite, c'est une méthode.
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Des preuves ? Je suis prêt à te croire si tu me fournis un minimum de
statistiques interprétables.
Ben, c'est un peu mon boulot... Je n'ai pas de statistiques à te
fournir, mais mes fréquentes discussions avec les développeurs Palm OS
peignent un tableau très clair.
Supposons que le marché soit "gangréné par
le warez". Dans ce cas, montre moi qu'il est plus rentable de faire du
shareware que du logiciel libre.
Ca, c'est facile : sans les sources, il faut un peu de temps pour
craquer les protections.
De manière plus ou moins cynique, je pourrais dire qu'en faisant du
logiciel libre, tu ne perds pas moins d'argent que si tu faisais du
shareware qui sera de toute façon cracké
Mais pas tout de suite. Et tu pourras changer de méthode à la version
suivante.
[...]
Tous tes utilisateurs auront la chance d'utiliser du logiciel libre. Les
gens qui auraient payé ton shareware seront encore plus enclin à te
payer par respect. Tu risques même de recevoir des dons.
Mouaif. C'était vrai il y a 20 ans. Mais maintenant...
Les autres n'auraient de toute façon pas payé puisqu'ils disposaient de
la version crackée. Maintenant ils disposent des sources. Que celà
change-t-il pour ces gens ?
Ils auront une version fonctionnelle non payée plus vite.
C'est à la mode, en ce moment, de prendre les développeurs pour des cons ?
C'est à la mode, en ce moment, de prendre un "ignorant" pour un con ?
Ben, quand l'ignorance porte sur le métier même de la personne, la
différence est faible. Il y a une quinzaine d'années, le libre était
sans doûte assez peu connu en dehors d'un noyau restreint. Mais
actuellement, je pense que 99% des développeurs sont au courant de son
existence.
Khanh-Dang a écrit, le 11/04/2005 13:50 :
Mais qu'est-ce qui empêche à quelqu'un de malveillant de passer outre
les protections de ton shareware ?
L'opacité. Ce n'est pas la meilleure des protections, mais, pour
certains logiciels à la durée de vie réduite, c'est une méthode.
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Des preuves ? Je suis prêt à te croire si tu me fournis un minimum de
statistiques interprétables.
Ben, c'est un peu mon boulot... Je n'ai pas de statistiques à te
fournir, mais mes fréquentes discussions avec les développeurs Palm OS
peignent un tableau très clair.
Supposons que le marché soit "gangréné par
le warez". Dans ce cas, montre moi qu'il est plus rentable de faire du
shareware que du logiciel libre.
Ca, c'est facile : sans les sources, il faut un peu de temps pour
craquer les protections.
De manière plus ou moins cynique, je pourrais dire qu'en faisant du
logiciel libre, tu ne perds pas moins d'argent que si tu faisais du
shareware qui sera de toute façon cracké
Mais pas tout de suite. Et tu pourras changer de méthode à la version
suivante.
[...]
Tous tes utilisateurs auront la chance d'utiliser du logiciel libre. Les
gens qui auraient payé ton shareware seront encore plus enclin à te
payer par respect. Tu risques même de recevoir des dons.
Mouaif. C'était vrai il y a 20 ans. Mais maintenant...
Les autres n'auraient de toute façon pas payé puisqu'ils disposaient de
la version crackée. Maintenant ils disposent des sources. Que celà
change-t-il pour ces gens ?
Ils auront une version fonctionnelle non payée plus vite.
C'est à la mode, en ce moment, de prendre les développeurs pour des cons ?
C'est à la mode, en ce moment, de prendre un "ignorant" pour un con ?
Ben, quand l'ignorance porte sur le métier même de la personne, la
différence est faible. Il y a une quinzaine d'années, le libre était
sans doûte assez peu connu en dehors d'un noyau restreint. Mais
actuellement, je pense que 99% des développeurs sont au courant de son
existence.
Khanh-Dang a écrit, le 11/04/2005 13:50 :Mais qu'est-ce qui empêche à quelqu'un de malveillant de passer outre
les protections de ton shareware ?
L'opacité. Ce n'est pas la meilleure des protections, mais, pour
certains logiciels à la durée de vie réduite, c'est une méthode.
Essaie déja de vendre une appli sur PDA, pour voir : le marché est
gangréné par le warez et les difficultés de ventes. Alors si en plus tu
fournis le code de tes protections...
Des preuves ? Je suis prêt à te croire si tu me fournis un minimum de
statistiques interprétables.
Ben, c'est un peu mon boulot... Je n'ai pas de statistiques à te
fournir, mais mes fréquentes discussions avec les développeurs Palm OS
peignent un tableau très clair.
Supposons que le marché soit "gangréné par
le warez". Dans ce cas, montre moi qu'il est plus rentable de faire du
shareware que du logiciel libre.
Ca, c'est facile : sans les sources, il faut un peu de temps pour
craquer les protections.
De manière plus ou moins cynique, je pourrais dire qu'en faisant du
logiciel libre, tu ne perds pas moins d'argent que si tu faisais du
shareware qui sera de toute façon cracké
Mais pas tout de suite. Et tu pourras changer de méthode à la version
suivante.
[...]
Tous tes utilisateurs auront la chance d'utiliser du logiciel libre. Les
gens qui auraient payé ton shareware seront encore plus enclin à te
payer par respect. Tu risques même de recevoir des dons.
Mouaif. C'était vrai il y a 20 ans. Mais maintenant...
Les autres n'auraient de toute façon pas payé puisqu'ils disposaient de
la version crackée. Maintenant ils disposent des sources. Que celà
change-t-il pour ces gens ?
Ils auront une version fonctionnelle non payée plus vite.
C'est à la mode, en ce moment, de prendre les développeurs pour des cons ?
C'est à la mode, en ce moment, de prendre un "ignorant" pour un con ?
Ben, quand l'ignorance porte sur le métier même de la personne, la
différence est faible. Il y a une quinzaine d'années, le libre était
sans doûte assez peu connu en dehors d'un noyau restreint. Mais
actuellement, je pense que 99% des développeurs sont au courant de son
existence.
L'opacité. Ce n'est pas la meilleure des protections, mais, pour
certains logiciels à la durée de vie réduite, c'est une méthode.
Si la durée des logiciels que tu développes
est à durée de vie réduite,
pourquoi ne pas diffuser après cette fin de vie le logiciel sous license
libre.
Ca, c'est facile : sans les sources, il faut un peu de temps pour
craquer les protections.
Oui, mais ça ne fait que déplacer le problème.
De manière plus ou moins cynique, je pourrais dire qu'en faisant du
logiciel libre, tu ne perds pas moins d'argent que si tu faisais du
shareware qui sera de toute façon cracké
Mais pas tout de suite. Et tu pourras changer de méthode à la version
suivante.
Oui mais l'ancienne version est encore disponible. Je sais qu'il y a des
gens qui préfère "avoir la version 4.8 plutôt que la 4.7", juste pour
"avoir la plus grosse". Mais tout de même.
Tous tes utilisateurs auront la chance d'utiliser du logiciel libre. Les
gens qui auraient payé ton shareware seront encore plus enclin à te
payer par respect. Tu risques même de recevoir des dons.
Mouaif. C'était vrai il y a 20 ans. Mais maintenant...
Tout fout le camp.
Mais ça reste encore vrai. D'ailleurs, un exemple
récent et connu nous a montré à quelle point il pouvait y avoir un
engouement autour de libre. Je pense notamment à Blender et à sa
"libération", grâce à un total de don s'élevant à la centaine de
kiloeuro.
Les autres n'auraient de toute façon pas payé puisqu'ils disposaient de
la version crackée. Maintenant ils disposent des sources. Que celà
change-t-il pour ces gens ?
Ils auront une version fonctionnelle non payée plus vite.
En fait, je voulais demander ce que celà change pour toi par rapport à
ces gens. De toute façon, ils ont en quelque sorte décidé de ne pas
payer.
Je suis d'accord. Mais cette majorité de développeur s'est-elle vraiment
interressé au libre ? S'est-elle vraiment essayée à ce modèle de
développement ?
L'opacité. Ce n'est pas la meilleure des protections, mais, pour
certains logiciels à la durée de vie réduite, c'est une méthode.
Si la durée des logiciels que tu développes
est à durée de vie réduite,
pourquoi ne pas diffuser après cette fin de vie le logiciel sous license
libre.
Ca, c'est facile : sans les sources, il faut un peu de temps pour
craquer les protections.
Oui, mais ça ne fait que déplacer le problème.
De manière plus ou moins cynique, je pourrais dire qu'en faisant du
logiciel libre, tu ne perds pas moins d'argent que si tu faisais du
shareware qui sera de toute façon cracké
Mais pas tout de suite. Et tu pourras changer de méthode à la version
suivante.
Oui mais l'ancienne version est encore disponible. Je sais qu'il y a des
gens qui préfère "avoir la version 4.8 plutôt que la 4.7", juste pour
"avoir la plus grosse". Mais tout de même.
Tous tes utilisateurs auront la chance d'utiliser du logiciel libre. Les
gens qui auraient payé ton shareware seront encore plus enclin à te
payer par respect. Tu risques même de recevoir des dons.
Mouaif. C'était vrai il y a 20 ans. Mais maintenant...
Tout fout le camp.
Mais ça reste encore vrai. D'ailleurs, un exemple
récent et connu nous a montré à quelle point il pouvait y avoir un
engouement autour de libre. Je pense notamment à Blender et à sa
"libération", grâce à un total de don s'élevant à la centaine de
kiloeuro.
Les autres n'auraient de toute façon pas payé puisqu'ils disposaient de
la version crackée. Maintenant ils disposent des sources. Que celà
change-t-il pour ces gens ?
Ils auront une version fonctionnelle non payée plus vite.
En fait, je voulais demander ce que celà change pour toi par rapport à
ces gens. De toute façon, ils ont en quelque sorte décidé de ne pas
payer.
Je suis d'accord. Mais cette majorité de développeur s'est-elle vraiment
interressé au libre ? S'est-elle vraiment essayée à ce modèle de
développement ?
L'opacité. Ce n'est pas la meilleure des protections, mais, pour
certains logiciels à la durée de vie réduite, c'est une méthode.
Si la durée des logiciels que tu développes
est à durée de vie réduite,
pourquoi ne pas diffuser après cette fin de vie le logiciel sous license
libre.
Ca, c'est facile : sans les sources, il faut un peu de temps pour
craquer les protections.
Oui, mais ça ne fait que déplacer le problème.
De manière plus ou moins cynique, je pourrais dire qu'en faisant du
logiciel libre, tu ne perds pas moins d'argent que si tu faisais du
shareware qui sera de toute façon cracké
Mais pas tout de suite. Et tu pourras changer de méthode à la version
suivante.
Oui mais l'ancienne version est encore disponible. Je sais qu'il y a des
gens qui préfère "avoir la version 4.8 plutôt que la 4.7", juste pour
"avoir la plus grosse". Mais tout de même.
Tous tes utilisateurs auront la chance d'utiliser du logiciel libre. Les
gens qui auraient payé ton shareware seront encore plus enclin à te
payer par respect. Tu risques même de recevoir des dons.
Mouaif. C'était vrai il y a 20 ans. Mais maintenant...
Tout fout le camp.
Mais ça reste encore vrai. D'ailleurs, un exemple
récent et connu nous a montré à quelle point il pouvait y avoir un
engouement autour de libre. Je pense notamment à Blender et à sa
"libération", grâce à un total de don s'élevant à la centaine de
kiloeuro.
Les autres n'auraient de toute façon pas payé puisqu'ils disposaient de
la version crackée. Maintenant ils disposent des sources. Que celà
change-t-il pour ces gens ?
Ils auront une version fonctionnelle non payée plus vite.
En fait, je voulais demander ce que celà change pour toi par rapport à
ces gens. De toute façon, ils ont en quelque sorte décidé de ne pas
payer.
Je suis d'accord. Mais cette majorité de développeur s'est-elle vraiment
interressé au libre ? S'est-elle vraiment essayée à ce modèle de
développement ?