Je n'y connais rien de rien en vins. Mais RIEN ! Rouge ou blanc, c'est la seule distinction que je sois capable de faire.
Mais tu sais, mon G-R, qu'à ce niveau là : c'est pathologique ! On pourrait presque parler d'infirmité ? Je suis navré pour toi : tu passes tellement largement à coté de l'un des grands plaisirs de l'existance.
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne, devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées, avec une grande concentration. Quelle merveille.
Et cela ne transforme pas un bonhomme en soiffard, pour autant ! Mon verre de bon Cahors ou Buzet (toujours sur le fromage...) suffit à un bonheur journalier bien simple.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Il se trouve que Ghost-Rider a formulé :
Je n'y connais rien de rien en vins. Mais RIEN !
Rouge ou blanc, c'est la seule distinction que je sois capable de faire.
Mais tu sais, mon G-R, qu'à ce niveau là : c'est pathologique !
On pourrait presque parler d'infirmité ?
Je suis navré pour toi : tu passes tellement largement à coté de l'un
des grands plaisirs de l'existance.
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne,
devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands
crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients
étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la
Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se
dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites
gorgées, avec une grande concentration. Quelle merveille.
Et cela ne transforme pas un bonhomme en soiffard, pour autant ! Mon
verre de bon Cahors ou Buzet (toujours sur le fromage...) suffit à un
bonheur journalier bien simple.
Je n'y connais rien de rien en vins. Mais RIEN ! Rouge ou blanc, c'est la seule distinction que je sois capable de faire.
Mais tu sais, mon G-R, qu'à ce niveau là : c'est pathologique ! On pourrait presque parler d'infirmité ? Je suis navré pour toi : tu passes tellement largement à coté de l'un des grands plaisirs de l'existance.
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne, devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées, avec une grande concentration. Quelle merveille.
Et cela ne transforme pas un bonhomme en soiffard, pour autant ! Mon verre de bon Cahors ou Buzet (toujours sur le fromage...) suffit à un bonheur journalier bien simple.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Ghost-Rider
Le 02/06/2013 06:06, Jacques DASSIÉ a écrit :
Il se trouve que Ghost-Rider a formulé :
Je n'y connais rien de rien en vins. Mais RIEN ! Rouge ou blanc, c'est la seule distinction que je sois capable de faire.
Mais tu sais, mon G-R, qu'à ce niveau là : c'est pathologique ! On pourrait presque parler d'infirmité ? Je suis navré pour toi : tu passes tellement largement à coté de l'un des grands plaisirs de l'existance.
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne, devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées, avec une grande concentration. Quelle merveille.
Et cela ne transforme pas un bonhomme en soiffard, pour autant ! Mon verre de bon Cahors ou Buzet (toujours sur le fromage...) suffit à un bonheur journalier bien simple.
Dans une autre vie, j'ai participé à un séminaire de tastevin organisé à Copenhague par la Direction danoise de notre groupe ! Les Danois savaient beaucoup de choses que j'ignorais et leur sommelier parlait français sans accent. Mais quand il s'est agi de distinguer les différents arômes dans les différents vins : cassis, noisette etc.. je les ai battus à plate couture. Bon sang ne peut mentir.
Le 02/06/2013 06:06, Jacques DASSIÉ a écrit :
Il se trouve que Ghost-Rider a formulé :
Je n'y connais rien de rien en vins. Mais RIEN !
Rouge ou blanc, c'est la seule distinction que je sois capable de faire.
Mais tu sais, mon G-R, qu'à ce niveau là : c'est pathologique !
On pourrait presque parler d'infirmité ?
Je suis navré pour toi : tu passes tellement largement à coté de l'un
des grands plaisirs de l'existance.
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne,
devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands
crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients
étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la
Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se
dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées,
avec une grande concentration. Quelle merveille.
Et cela ne transforme pas un bonhomme en soiffard, pour autant ! Mon
verre de bon Cahors ou Buzet (toujours sur le fromage...) suffit à un
bonheur journalier bien simple.
Dans une autre vie, j'ai participé à un séminaire de tastevin organisé à
Copenhague par la Direction danoise de notre groupe !
Les Danois savaient beaucoup de choses que j'ignorais et leur sommelier
parlait français sans accent.
Mais quand il s'est agi de distinguer les différents arômes dans les
différents vins : cassis, noisette etc.. je les ai battus à plate
couture. Bon sang ne peut mentir.
Je n'y connais rien de rien en vins. Mais RIEN ! Rouge ou blanc, c'est la seule distinction que je sois capable de faire.
Mais tu sais, mon G-R, qu'à ce niveau là : c'est pathologique ! On pourrait presque parler d'infirmité ? Je suis navré pour toi : tu passes tellement largement à coté de l'un des grands plaisirs de l'existance.
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne, devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées, avec une grande concentration. Quelle merveille.
Et cela ne transforme pas un bonhomme en soiffard, pour autant ! Mon verre de bon Cahors ou Buzet (toujours sur le fromage...) suffit à un bonheur journalier bien simple.
Dans une autre vie, j'ai participé à un séminaire de tastevin organisé à Copenhague par la Direction danoise de notre groupe ! Les Danois savaient beaucoup de choses que j'ignorais et leur sommelier parlait français sans accent. Mais quand il s'est agi de distinguer les différents arômes dans les différents vins : cassis, noisette etc.. je les ai battus à plate couture. Bon sang ne peut mentir.
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne, devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées, avec une grande concentration. Quelle merveille.
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière, le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
au Japon une barquette de cerise peut couter 100 euro et les melons de Yubari se vendent 10 000 euro pièce ...
(oui dix mille)
On 06/02/2013 06:06 AM, Jacques DASSIÉ wrote:
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne,
devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands
crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients
étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la
Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se
dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées,
avec une grande concentration. Quelle merveille.
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete
d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière,
le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
au Japon une barquette de cerise peut couter 100 euro
et les melons de Yubari se vendent 10 000 euro pièce ...
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne, devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées, avec une grande concentration. Quelle merveille.
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière, le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
au Japon une barquette de cerise peut couter 100 euro et les melons de Yubari se vendent 10 000 euro pièce ...
(oui dix mille)
Stephane Legras-Decussy
On 06/02/2013 06:53 AM, Ghost-Rider wrote:
Mais quand il s'est agi de distinguer les différents arômes dans les différents vins : cassis, noisette etc.. je les ai battus à plate couture. Bon sang ne peut mentir.
un test amusant mais que bien peu osent de peur d'être ridicule, c'est le vrai test en aveugle.
gouteur yeux bandés, et un complice qui sert du rouge ou du blanc, même température, même verre.
le test est simplement de distinguer le rouge du blanc au gout ...
le résultat est stupéfiant ...
On 06/02/2013 06:53 AM, Ghost-Rider wrote:
Mais quand il s'est agi de distinguer les différents arômes dans les
différents vins : cassis, noisette etc.. je les ai battus à plate
couture. Bon sang ne peut mentir.
un test amusant mais que bien peu osent de peur
d'être ridicule, c'est le vrai test en aveugle.
gouteur yeux bandés, et un complice
qui sert du rouge ou du blanc, même température, même verre.
le test est simplement de distinguer le rouge du blanc
au gout ...
Mais quand il s'est agi de distinguer les différents arômes dans les différents vins : cassis, noisette etc.. je les ai battus à plate couture. Bon sang ne peut mentir.
un test amusant mais que bien peu osent de peur d'être ridicule, c'est le vrai test en aveugle.
gouteur yeux bandés, et un complice qui sert du rouge ou du blanc, même température, même verre.
le test est simplement de distinguer le rouge du blanc au gout ...
le résultat est stupéfiant ...
"Stephane Legras-Decussy" a écrit dans le message de news: 51ab5bb9$0$2293$
On 06/02/2013 06:06 AM, Jacques DASSIÉ wrote:
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne, devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées, avec une grande concentration. Quelle merveille.
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière, le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
tu ouble le cognac et d"autre comme, les fraises - tomates - ...
"Stephane Legras-Decussy" <un@reachable.com> a écrit dans le message de
news: 51ab5bb9$0$2293$426a74cc@news.free.fr...
On 06/02/2013 06:06 AM, Jacques DASSIÉ wrote:
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne,
devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands
crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients
étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la
Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se
dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites
gorgées,
avec une grande concentration. Quelle merveille.
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete
d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière,
le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
tu ouble le cognac et d"autre comme, les fraises - tomates - ...
"Stephane Legras-Decussy" a écrit dans le message de news: 51ab5bb9$0$2293$
On 06/02/2013 06:06 AM, Jacques DASSIÉ wrote:
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne, devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées, avec une grande concentration. Quelle merveille.
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière, le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
tu ouble le cognac et d"autre comme, les fraises - tomates - ...
Ghost-Rider
Le 02/06/2013 16:50, Stephane Legras-Decussy a écrit :
On 06/02/2013 06:06 AM, Jacques DASSIÉ wrote:
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne, devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées, avec une grande concentration. Quelle merveille.
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière, le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
au Japon une barquette de cerise peut couter 100 euro et les melons de Yubari se vendent 10 000 euro pièce ...
(oui dix mille)
On a ça aussi avec les fumeurs de cigares, les avaleurs d'huîtres, les mangeurs de caviar, les conducteurs de Ferrari (Ah ! La musique du V12 !) etc... Moi, ça ne me dérange pas. Ça fait marcher le commerce.
Le 02/06/2013 16:50, Stephane Legras-Decussy a écrit :
On 06/02/2013 06:06 AM, Jacques DASSIÉ wrote:
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne,
devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands
crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients
étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la
Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se
dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées,
avec une grande concentration. Quelle merveille.
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete
d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière,
le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
au Japon une barquette de cerise peut couter 100 euro
et les melons de Yubari se vendent 10 000 euro pièce ...
(oui dix mille)
On a ça aussi avec les fumeurs de cigares, les avaleurs d'huîtres, les
mangeurs de caviar, les conducteurs de Ferrari (Ah ! La musique du V12
!) etc...
Moi, ça ne me dérange pas. Ça fait marcher le commerce.
Le 02/06/2013 16:50, Stephane Legras-Decussy a écrit :
On 06/02/2013 06:06 AM, Jacques DASSIÉ wrote:
J'ai plein de souvenirs émus, où, chez une grande table parisienne, devant un somptueux plateau de fromage (là aussi, il y a des grands crus...), en ayant le temps (oui, vers 16 heures, avec des clients étrangers que l'on initiait, il était trop tard pour revenir à la Thomson...) le dernier demi-verre d'un Petrus d'une grande année se dégustait religieusement... silencieusement, par toutes petites gorgées, avec une grande concentration. Quelle merveille.
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière, le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
au Japon une barquette de cerise peut couter 100 euro et les melons de Yubari se vendent 10 000 euro pièce ...
(oui dix mille)
On a ça aussi avec les fumeurs de cigares, les avaleurs d'huîtres, les mangeurs de caviar, les conducteurs de Ferrari (Ah ! La musique du V12 !) etc... Moi, ça ne me dérange pas. Ça fait marcher le commerce.
Alf92
Ghost-Rider a formulé :
Le 02/06/2013 16:50, Stephane Legras-Decussy a écrit :
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière, le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
au Japon une barquette de cerise peut couter 100 euro et les melons de Yubari se vendent 10 000 euro pièce ...
(oui dix mille)
On a ça aussi avec les fumeurs de cigares, les avaleurs d'huîtres, les mangeurs de caviar, les conducteurs de Ferrari (Ah ! La musique du V12 !) etc... Moi, ça ne me dérange pas. Ça fait marcher le commerce.
j'aime pas le commerce
Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> a formulé :
Le 02/06/2013 16:50, Stephane Legras-Decussy a écrit :
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete
d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière,
le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
au Japon une barquette de cerise peut couter 100 euro
et les melons de Yubari se vendent 10 000 euro pièce ...
(oui dix mille)
On a ça aussi avec les fumeurs de cigares, les avaleurs d'huîtres, les
mangeurs de caviar, les conducteurs de Ferrari (Ah ! La musique du V12 !)
etc...
Moi, ça ne me dérange pas. Ça fait marcher le commerce.
Le 02/06/2013 16:50, Stephane Legras-Decussy a écrit :
foutaise de suivisme, pression sociale et d'absence complete d'imagination.
on peut religieusement déguster de la même manière, le chocolat, le café, le thé, l'huile d'olive ...
bref tout et n'importe quoi si on rentre dans le trip.
au Japon une barquette de cerise peut couter 100 euro et les melons de Yubari se vendent 10 000 euro pièce ...
(oui dix mille)
On a ça aussi avec les fumeurs de cigares, les avaleurs d'huîtres, les mangeurs de caviar, les conducteurs de Ferrari (Ah ! La musique du V12 !) etc... Moi, ça ne me dérange pas. Ça fait marcher le commerce.
j'aime pas le commerce
Stephane Legras-Decussy
On 06/02/2013 11:23 PM, Alf92 wrote:
j'aime pas le commerce
dégustons religieusement les petites culottes, c'est gratuit, bio et décroissant :-)
On 06/02/2013 11:23 PM, Alf92 wrote:
j'aime pas le commerce
dégustons religieusement les petites culottes, c'est gratuit, bio et
décroissant :-)
