Le 26/08/12 11:51, Octave a écrit :Le texte devient quand-même autre chose que placé à côté, ainsi que
l'image qui devient autre chose (ou perd quelque chose) avec un texte
dans son sein.
Oui, ça devient un faire part... Voir une carte postale...
Le 26/08/12 11:51, Octave a écrit :
Le texte devient quand-même autre chose que placé à côté, ainsi que
l'image qui devient autre chose (ou perd quelque chose) avec un texte
dans son sein.
Oui, ça devient un faire part... Voir une carte postale...
Le 26/08/12 11:51, Octave a écrit :Le texte devient quand-même autre chose que placé à côté, ainsi que
l'image qui devient autre chose (ou perd quelque chose) avec un texte
dans son sein.
Oui, ça devient un faire part... Voir une carte postale...
Le 25/08/12 19:29, Octave a écrit :http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
J'aime cette série là ; même si le moulinage du texte me semble peu
utile, il laisse subsister la poésie, et ça fait un bel équilibre, la
résonnance texte image fonctionne, la composition est belle et simple.
Le fond couleur, impec. Par contre les photos elles-mêmes ont des
teintes parfois bizarres. Le bleu du ciel un peu trop vert.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04aout12.html
Et, déjà beaucoup moins, parce que les mots imposés sur l'image, en
plein sans respecter une composition, je trouve ça lourd.
Pour les deux suivantes, j'essaye de parler des suites, un chemin
poussiéreux et une route de campagne :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-05/05aout12.html
Ici je vois un effort de composition en rapport à celle de
l'image...Mais quand même, ce texte blanc cru, dans une police bien
moche (Arial ?)
sentir le sens (si sens il y a) du texte.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-06/06aout12.html
Là, c'est déjà beaucoup mieux ! Bon placement des textes, du coup je
peux les lire. Par contre comme les images sont penchées, penchées, ça
fini par une sensation de torticolis.
Et bon, ça ne serai pas plus simple de ne pas mouliner les textes ?
Celle-ci, une série de bouts de plastiques pouvant faire penser à des
silhouettes animales :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-07/07aout12.html
Là, il y a bien quelque chose. Avec le placement serré dans le plastique
noir.
Mais c'est très frustrant, car les textes sont atrocement mutilés ;
encore manque de simplicité. Et le choix de la police, de la teinte du
texte, et de l'intelignage ne sont pas bon, ils se mettent en travers de
ce qui pourrait se passer entre texte et image et sens. (le texte est
d'abord une image avant d'être un sens). Grincement inutile à mon avis.
Et quatre autres :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-08/08aout12.html
La au moins c'est simple, le texte en légende en bas. Mais c'est
typographiquement trop laid pour ces images de charme.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-09/09aout12.html
Ça passe bien en composition globale, peut-être cette fois un peu trop
disjointe...Mais je bloque toujours sur le choix de typo, trop grosse,
trop laide, mal balancée.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-11/11aout12.html
Ici les textes (sens) sont parfois aussi beaux que les images...Tout est
là pour ne pas se divertir de la présence, ça c'est parfait.
Reste que les textes (images) sont encore et toujours obstrusivement
laids, lourds. On bute dessus.http://www.octav.fr/quotidien/12-08-12/12aout12.html
Aah. Il y a de jolies choses dans cette série.
Un peu plus de simplicité des textes. Et puis cette conclusion
magnifique : tout cela est connu.
Je cherche des solutions pour faire des juxtapositions photos-textes,
Des solutions ? Excuses-moi, mais ça c'est idiot, mécanique : si tu n'as
pas défini les paramètres que tu veux, les solutions simplement par
l'effet combinatoire sont en nombre infini.
Des pistes ? Lorem ipsum nom d'un petit bonhomme, le texte est une image
: formes, couleur, composition interne et externe, bien sur le choix de
la police, sa taille, ses interlignages et autres espaces.
Et à mettre en rapport avec l'image photographique, pour laquelle il me
semble que tu sais mieux ce qu'est la composition.
Donc à la fin une composition à 3 : la photo dans ses limites
rectangulaires, le texte dans la page définie ou pas, l'image et le
texte (matière visuelle) dans leurs rapports.
Et le sens ; les rapports du sens du contenu de la photo avec celui du
texte.
Comme dit la reine rouge, occupez vous du sens, les mots s'occuperont
d'eux-même.
Qu'est-ce qui compte ? Pourquoi la démolition des textes ?
Quels sont tes vrais choix ?
Je ne peux répondre que des miens, ça ne le ferait pas.
Le 25/08/12 19:29, Octave a écrit :
http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
J'aime cette série là ; même si le moulinage du texte me semble peu
utile, il laisse subsister la poésie, et ça fait un bel équilibre, la
résonnance texte image fonctionne, la composition est belle et simple.
Le fond couleur, impec. Par contre les photos elles-mêmes ont des
teintes parfois bizarres. Le bleu du ciel un peu trop vert.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04aout12.html
Et, déjà beaucoup moins, parce que les mots imposés sur l'image, en
plein sans respecter une composition, je trouve ça lourd.
Pour les deux suivantes, j'essaye de parler des suites, un chemin
poussiéreux et une route de campagne :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-05/05aout12.html
Ici je vois un effort de composition en rapport à celle de
l'image...Mais quand même, ce texte blanc cru, dans une police bien
moche (Arial ?)
sentir le sens (si sens il y a) du texte.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-06/06aout12.html
Là, c'est déjà beaucoup mieux ! Bon placement des textes, du coup je
peux les lire. Par contre comme les images sont penchées, penchées, ça
fini par une sensation de torticolis.
Et bon, ça ne serai pas plus simple de ne pas mouliner les textes ?
Celle-ci, une série de bouts de plastiques pouvant faire penser à des
silhouettes animales :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-07/07aout12.html
Là, il y a bien quelque chose. Avec le placement serré dans le plastique
noir.
Mais c'est très frustrant, car les textes sont atrocement mutilés ;
encore manque de simplicité. Et le choix de la police, de la teinte du
texte, et de l'intelignage ne sont pas bon, ils se mettent en travers de
ce qui pourrait se passer entre texte et image et sens. (le texte est
d'abord une image avant d'être un sens). Grincement inutile à mon avis.
Et quatre autres :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-08/08aout12.html
La au moins c'est simple, le texte en légende en bas. Mais c'est
typographiquement trop laid pour ces images de charme.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-09/09aout12.html
Ça passe bien en composition globale, peut-être cette fois un peu trop
disjointe...Mais je bloque toujours sur le choix de typo, trop grosse,
trop laide, mal balancée.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-11/11aout12.html
Ici les textes (sens) sont parfois aussi beaux que les images...Tout est
là pour ne pas se divertir de la présence, ça c'est parfait.
Reste que les textes (images) sont encore et toujours obstrusivement
laids, lourds. On bute dessus.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-12/12aout12.html
Aah. Il y a de jolies choses dans cette série.
Un peu plus de simplicité des textes. Et puis cette conclusion
magnifique : tout cela est connu.
Je cherche des solutions pour faire des juxtapositions photos-textes,
Des solutions ? Excuses-moi, mais ça c'est idiot, mécanique : si tu n'as
pas défini les paramètres que tu veux, les solutions simplement par
l'effet combinatoire sont en nombre infini.
Des pistes ? Lorem ipsum nom d'un petit bonhomme, le texte est une image
: formes, couleur, composition interne et externe, bien sur le choix de
la police, sa taille, ses interlignages et autres espaces.
Et à mettre en rapport avec l'image photographique, pour laquelle il me
semble que tu sais mieux ce qu'est la composition.
Donc à la fin une composition à 3 : la photo dans ses limites
rectangulaires, le texte dans la page définie ou pas, l'image et le
texte (matière visuelle) dans leurs rapports.
Et le sens ; les rapports du sens du contenu de la photo avec celui du
texte.
Comme dit la reine rouge, occupez vous du sens, les mots s'occuperont
d'eux-même.
Qu'est-ce qui compte ? Pourquoi la démolition des textes ?
Quels sont tes vrais choix ?
Je ne peux répondre que des miens, ça ne le ferait pas.
Le 25/08/12 19:29, Octave a écrit :http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
J'aime cette série là ; même si le moulinage du texte me semble peu
utile, il laisse subsister la poésie, et ça fait un bel équilibre, la
résonnance texte image fonctionne, la composition est belle et simple.
Le fond couleur, impec. Par contre les photos elles-mêmes ont des
teintes parfois bizarres. Le bleu du ciel un peu trop vert.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04aout12.html
Et, déjà beaucoup moins, parce que les mots imposés sur l'image, en
plein sans respecter une composition, je trouve ça lourd.
Pour les deux suivantes, j'essaye de parler des suites, un chemin
poussiéreux et une route de campagne :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-05/05aout12.html
Ici je vois un effort de composition en rapport à celle de
l'image...Mais quand même, ce texte blanc cru, dans une police bien
moche (Arial ?)
sentir le sens (si sens il y a) du texte.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-06/06aout12.html
Là, c'est déjà beaucoup mieux ! Bon placement des textes, du coup je
peux les lire. Par contre comme les images sont penchées, penchées, ça
fini par une sensation de torticolis.
Et bon, ça ne serai pas plus simple de ne pas mouliner les textes ?
Celle-ci, une série de bouts de plastiques pouvant faire penser à des
silhouettes animales :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-07/07aout12.html
Là, il y a bien quelque chose. Avec le placement serré dans le plastique
noir.
Mais c'est très frustrant, car les textes sont atrocement mutilés ;
encore manque de simplicité. Et le choix de la police, de la teinte du
texte, et de l'intelignage ne sont pas bon, ils se mettent en travers de
ce qui pourrait se passer entre texte et image et sens. (le texte est
d'abord une image avant d'être un sens). Grincement inutile à mon avis.
Et quatre autres :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-08/08aout12.html
La au moins c'est simple, le texte en légende en bas. Mais c'est
typographiquement trop laid pour ces images de charme.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-09/09aout12.html
Ça passe bien en composition globale, peut-être cette fois un peu trop
disjointe...Mais je bloque toujours sur le choix de typo, trop grosse,
trop laide, mal balancée.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-11/11aout12.html
Ici les textes (sens) sont parfois aussi beaux que les images...Tout est
là pour ne pas se divertir de la présence, ça c'est parfait.
Reste que les textes (images) sont encore et toujours obstrusivement
laids, lourds. On bute dessus.http://www.octav.fr/quotidien/12-08-12/12aout12.html
Aah. Il y a de jolies choses dans cette série.
Un peu plus de simplicité des textes. Et puis cette conclusion
magnifique : tout cela est connu.
Je cherche des solutions pour faire des juxtapositions photos-textes,
Des solutions ? Excuses-moi, mais ça c'est idiot, mécanique : si tu n'as
pas défini les paramètres que tu veux, les solutions simplement par
l'effet combinatoire sont en nombre infini.
Des pistes ? Lorem ipsum nom d'un petit bonhomme, le texte est une image
: formes, couleur, composition interne et externe, bien sur le choix de
la police, sa taille, ses interlignages et autres espaces.
Et à mettre en rapport avec l'image photographique, pour laquelle il me
semble que tu sais mieux ce qu'est la composition.
Donc à la fin une composition à 3 : la photo dans ses limites
rectangulaires, le texte dans la page définie ou pas, l'image et le
texte (matière visuelle) dans leurs rapports.
Et le sens ; les rapports du sens du contenu de la photo avec celui du
texte.
Comme dit la reine rouge, occupez vous du sens, les mots s'occuperont
d'eux-même.
Qu'est-ce qui compte ? Pourquoi la démolition des textes ?
Quels sont tes vrais choix ?
Je ne peux répondre que des miens, ça ne le ferait pas.
Noëlle Adam
Noëlle Adam
Noëlle Adam
Cet été, j'ai été obnubilé par les mots (à mettre sur les photos).
Un petit livre de Plossu "Impair et passe", dont chaque photo est
commentée par un court texte de Ricciotti, m'a donné envie de faire des
photos comme dans ce livre, des paysages qui cadrent tout, l'ensemble
d'un espace, et non une partie d'un lieu, comme je fais depuis longtemps
déjà.
Le résultat n'a rien à voir avec Plossu, bien sûr, ces deux suites sont
faites avec des textes, lus ces jours-là :
http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
Cet été, j'ai été obnubilé par les mots (à mettre sur les photos).
Un petit livre de Plossu "Impair et passe", dont chaque photo est
commentée par un court texte de Ricciotti, m'a donné envie de faire des
photos comme dans ce livre, des paysages qui cadrent tout, l'ensemble
d'un espace, et non une partie d'un lieu, comme je fais depuis longtemps
déjà.
Le résultat n'a rien à voir avec Plossu, bien sûr, ces deux suites sont
faites avec des textes, lus ces jours-là :
http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
Cet été, j'ai été obnubilé par les mots (à mettre sur les photos).
Un petit livre de Plossu "Impair et passe", dont chaque photo est
commentée par un court texte de Ricciotti, m'a donné envie de faire des
photos comme dans ce livre, des paysages qui cadrent tout, l'ensemble
d'un espace, et non une partie d'un lieu, comme je fais depuis longtemps
déjà.
Le résultat n'a rien à voir avec Plossu, bien sûr, ces deux suites sont
faites avec des textes, lus ces jours-là :
http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
J'aime bien cette série pour les photos. Ces paires d'arbres sont très
convaincantes.
Mais je ne rentre toujours pas dans les textes. Quel est l'intérêts de
ces textes, tu pars de vrais textes pour en faire des faux textes, avec
une vague teinture surréaliste. Mais à part pour « faire joli » je vois
pas.
http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
J'aime bien cette série pour les photos. Ces paires d'arbres sont très
convaincantes.
Mais je ne rentre toujours pas dans les textes. Quel est l'intérêts de
ces textes, tu pars de vrais textes pour en faire des faux textes, avec
une vague teinture surréaliste. Mais à part pour « faire joli » je vois
pas.
http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
J'aime bien cette série pour les photos. Ces paires d'arbres sont très
convaincantes.
Mais je ne rentre toujours pas dans les textes. Quel est l'intérêts de
ces textes, tu pars de vrais textes pour en faire des faux textes, avec
une vague teinture surréaliste. Mais à part pour « faire joli » je vois
pas.
Je reviendrai plus bas sur le moulinage du texte.
Pour le ciel vert, je ne vois pas, plutôt au début de la série, ou à la
fin ?
La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image. Le meilleur exemple est là :
www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04.html
Le texte flotte devant l'image, il n'est pas accroché.
Ça me fait penser qu'en vrai, dans une salle d'expo, le texte pourrait
être une projection sur l'image vierge.
J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos; ce chemin aride, poussiéreux, avec des piquets en acier en T, en
galvanisé, en bois, des fils tendus ou détendus. Le texte est aussi
arraché, dans les mots, dans la police, dans le positionnement.
Pour le penché, c'est ce que je dis dans le texte, c'est une route
jamais droite, les perspectives sont toujours de traviol, toujours
surprenantes. Fatiguant à conduire.
Pour le texte, je reviens au moulinage parce que ce que j'écris ne
m'intéresse pas beaucoup, j'aimerais y découvrir autre chose, un autre
sens, un autre rapport aux images auquel je n'avais pas pensé.
les surprises du texte ainsi mouliné et les sens (contres sens) qui
arrivent. Tout ce que je pense et que j'écris des photos, en les faisant
ou après coup en les regardant, ne contient jamais ce que je rêve. Je le
cherche autrement, au-delà.
C'est une écriture folle, je ne sais pas dans quelle langue il parle,
dans quelle espèce d'animal il est, comment il se fait comprendre par
ces animaux, faut-il y croire ?!
C'est vrai que le choix de police est restreinte sur mon logiciel de
site puisqu'il doit pouvoir retrouver une police similaire sur l'ordi de
chacun, il ne charge pas à chaque fois la police entière.
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
J'ai l'impression que tu es toujours très concernée par ce rapport
image-texte, tu le commente souvent,
Très joli, je ne sais pas qui est la reine rouge.
Quand je fais des commentaires spectacle, expos, je dis que je ne
m'occupe que de la forme, en opposition à un autre commentateur qui ne
jure que par le sens.
Je reviendrai plus bas sur le moulinage du texte.
Pour le ciel vert, je ne vois pas, plutôt au début de la série, ou à la
fin ?
La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image. Le meilleur exemple est là :
www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04.html
Le texte flotte devant l'image, il n'est pas accroché.
Ça me fait penser qu'en vrai, dans une salle d'expo, le texte pourrait
être une projection sur l'image vierge.
J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos; ce chemin aride, poussiéreux, avec des piquets en acier en T, en
galvanisé, en bois, des fils tendus ou détendus. Le texte est aussi
arraché, dans les mots, dans la police, dans le positionnement.
Pour le penché, c'est ce que je dis dans le texte, c'est une route
jamais droite, les perspectives sont toujours de traviol, toujours
surprenantes. Fatiguant à conduire.
Pour le texte, je reviens au moulinage parce que ce que j'écris ne
m'intéresse pas beaucoup, j'aimerais y découvrir autre chose, un autre
sens, un autre rapport aux images auquel je n'avais pas pensé.
les surprises du texte ainsi mouliné et les sens (contres sens) qui
arrivent. Tout ce que je pense et que j'écris des photos, en les faisant
ou après coup en les regardant, ne contient jamais ce que je rêve. Je le
cherche autrement, au-delà.
C'est une écriture folle, je ne sais pas dans quelle langue il parle,
dans quelle espèce d'animal il est, comment il se fait comprendre par
ces animaux, faut-il y croire ?!
C'est vrai que le choix de police est restreinte sur mon logiciel de
site puisqu'il doit pouvoir retrouver une police similaire sur l'ordi de
chacun, il ne charge pas à chaque fois la police entière.
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
J'ai l'impression que tu es toujours très concernée par ce rapport
image-texte, tu le commente souvent,
Très joli, je ne sais pas qui est la reine rouge.
Quand je fais des commentaires spectacle, expos, je dis que je ne
m'occupe que de la forme, en opposition à un autre commentateur qui ne
jure que par le sens.
Je reviendrai plus bas sur le moulinage du texte.
Pour le ciel vert, je ne vois pas, plutôt au début de la série, ou à la
fin ?
La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image. Le meilleur exemple est là :
www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04.html
Le texte flotte devant l'image, il n'est pas accroché.
Ça me fait penser qu'en vrai, dans une salle d'expo, le texte pourrait
être une projection sur l'image vierge.
J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos; ce chemin aride, poussiéreux, avec des piquets en acier en T, en
galvanisé, en bois, des fils tendus ou détendus. Le texte est aussi
arraché, dans les mots, dans la police, dans le positionnement.
Pour le penché, c'est ce que je dis dans le texte, c'est une route
jamais droite, les perspectives sont toujours de traviol, toujours
surprenantes. Fatiguant à conduire.
Pour le texte, je reviens au moulinage parce que ce que j'écris ne
m'intéresse pas beaucoup, j'aimerais y découvrir autre chose, un autre
sens, un autre rapport aux images auquel je n'avais pas pensé.
les surprises du texte ainsi mouliné et les sens (contres sens) qui
arrivent. Tout ce que je pense et que j'écris des photos, en les faisant
ou après coup en les regardant, ne contient jamais ce que je rêve. Je le
cherche autrement, au-delà.
C'est une écriture folle, je ne sais pas dans quelle langue il parle,
dans quelle espèce d'animal il est, comment il se fait comprendre par
ces animaux, faut-il y croire ?!
C'est vrai que le choix de police est restreinte sur mon logiciel de
site puisqu'il doit pouvoir retrouver une police similaire sur l'ordi de
chacun, il ne charge pas à chaque fois la police entière.
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
J'ai l'impression que tu es toujours très concernée par ce rapport
image-texte, tu le commente souvent,
Très joli, je ne sais pas qui est la reine rouge.
Quand je fais des commentaires spectacle, expos, je dis que je ne
m'occupe que de la forme, en opposition à un autre commentateur qui ne
jure que par le sens.
Pour les textes des autres, c'est une façon d'éviter de me faire traiter
de voleur.
Pour les textes des autres, c'est une façon d'éviter de me faire traiter
de voleur.
Pour les textes des autres, c'est une façon d'éviter de me faire traiter
de voleur.
Le 26/08/12 20:11, Octave a écrit :Pour les textes des autres, c'est une façon d'éviter de me faire traiter
de voleur.
J'aurais tendance à penser qu'il vaut mieux voler que violer.
Est-ce que tu as demandé, en fait, aux auteurs si ils sont vivants ?
(Les ayant-droit, c'est un autre problème, parfois très chiant)
Le 26/08/12 20:11, Octave a écrit :
Pour les textes des autres, c'est une façon d'éviter de me faire traiter
de voleur.
J'aurais tendance à penser qu'il vaut mieux voler que violer.
Est-ce que tu as demandé, en fait, aux auteurs si ils sont vivants ?
(Les ayant-droit, c'est un autre problème, parfois très chiant)
Le 26/08/12 20:11, Octave a écrit :Pour les textes des autres, c'est une façon d'éviter de me faire traiter
de voleur.
J'aurais tendance à penser qu'il vaut mieux voler que violer.
Est-ce que tu as demandé, en fait, aux auteurs si ils sont vivants ?
(Les ayant-droit, c'est un autre problème, parfois très chiant)
Le 26/08/12 13:54, Octave a écrit :Je reviendrai plus bas sur le moulinage du texte.
Pour le ciel vert, je ne vois pas, plutôt au début de la série, ou à la
fin ?
Quand même pas vert, hein, mais une pointe de couleur qui sonne faux
dans le ciel.
La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image. Le meilleur exemple est là :
www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04.html
Le texte flotte devant l'image, il n'est pas accroché.
Ça me fait penser qu'en vrai, dans une salle d'expo, le texte pourrait
être une projection sur l'image vierge.
Oh là là !
J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos; ce chemin aride, poussiéreux, avec des piquets en acier en T, en
galvanisé, en bois, des fils tendus ou détendus. Le texte est aussi
arraché, dans les mots, dans la police, dans le positionnement.
Oui je comprends cette volonté de heurt, tu n'est pas dans l'idée
d'harmonie ; mais ça ne va pas comme réalisation, à mon avis.
Pour le penché, c'est ce que je dis dans le texte, c'est une route
jamais droite, les perspectives sont toujours de traviol, toujours
surprenantes. Fatiguant à conduire.
Ok...Mais c'est penché toujours du même coté ou presque !
Pour le texte, je reviens au moulinage parce que ce que j'écris ne
m'intéresse pas beaucoup, j'aimerais y découvrir autre chose, un autre
sens, un autre rapport aux images auquel je n'avais pas pensé.
Personne ne t'interdit de refaire un passage, d'épurer de nouveau le
sens gagné...
Un exercice d'écriture que j'aimais bien, à plusieurs ; la dilatation
-contraction.
Quelqu'un écrit un court texte ; le suivant l'amplifie, y ajoute des
sens : le suivant encore résume, contracte à l'essentiel.
La différence, c'est qu'au lieu de mécanique de google interviennent des
intelligences diverses. C'est profond.
J'aimeles surprises du texte ainsi mouliné et les sens (contres sens) qui
arrivent. Tout ce que je pense et que j'écris des photos, en les faisant
ou après coup en les regardant, ne contient jamais ce que je rêve. Je le
cherche autrement, au-delà.
Une libération textuelle ?
C'est une écriture folle, je ne sais pas dans quelle langue il parle,
dans quelle espèce d'animal il est, comment il se fait comprendre par
ces animaux, faut-il y croire ?!
C'est effectivement un texte remarquable, je te trouve carrément gonflé
de t'en emparer comme matière première à tes triturages !
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
Bien sûr ; mais efficace en quoi ?
Dans mon idée, quand une police est bien choisie, on ne la vois pas...On
la perçoit comme un élement qui contribue à l'image, c'est comme le
timbre d'un instrument qui permet d'entendre la mélodie.
Si le timbre est faux, tu n'entends que le son, pas la musique.
J'ai l'impression que tu es toujours très concernée par ce rapport
image-texte, tu le commente souvent,
Oui, bien sûr que je me sens concernée : j'aime les images et le texte
en est une, pleine de sens. J'aime les lettres, de temps en temps je
tombe amoureuse d'une belle typo, j'apprécie ça comme une texture dans
la lecture.Très joli, je ne sais pas qui est la reine rouge.
Dans Alice de l'autre coté du miroir, c'est une reine des échecs.
Quand je fais des commentaires spectacle, expos, je dis que je ne
m'occupe que de la forme, en opposition à un autre commentateur qui ne
jure que par le sens.
Je crois que la forme fait sens ; si elle ne fait pas sens, alors c'est
une mauvaise forme, elle est gratuite, agacante.
Le 26/08/12 13:54, Octave a écrit :
Je reviendrai plus bas sur le moulinage du texte.
Pour le ciel vert, je ne vois pas, plutôt au début de la série, ou à la
fin ?
Quand même pas vert, hein, mais une pointe de couleur qui sonne faux
dans le ciel.
La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image. Le meilleur exemple est là :
www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04.html
Le texte flotte devant l'image, il n'est pas accroché.
Ça me fait penser qu'en vrai, dans une salle d'expo, le texte pourrait
être une projection sur l'image vierge.
Oh là là !
J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos; ce chemin aride, poussiéreux, avec des piquets en acier en T, en
galvanisé, en bois, des fils tendus ou détendus. Le texte est aussi
arraché, dans les mots, dans la police, dans le positionnement.
Oui je comprends cette volonté de heurt, tu n'est pas dans l'idée
d'harmonie ; mais ça ne va pas comme réalisation, à mon avis.
Pour le penché, c'est ce que je dis dans le texte, c'est une route
jamais droite, les perspectives sont toujours de traviol, toujours
surprenantes. Fatiguant à conduire.
Ok...Mais c'est penché toujours du même coté ou presque !
Pour le texte, je reviens au moulinage parce que ce que j'écris ne
m'intéresse pas beaucoup, j'aimerais y découvrir autre chose, un autre
sens, un autre rapport aux images auquel je n'avais pas pensé.
Personne ne t'interdit de refaire un passage, d'épurer de nouveau le
sens gagné...
Un exercice d'écriture que j'aimais bien, à plusieurs ; la dilatation
-contraction.
Quelqu'un écrit un court texte ; le suivant l'amplifie, y ajoute des
sens : le suivant encore résume, contracte à l'essentiel.
La différence, c'est qu'au lieu de mécanique de google interviennent des
intelligences diverses. C'est profond.
J'aime
les surprises du texte ainsi mouliné et les sens (contres sens) qui
arrivent. Tout ce que je pense et que j'écris des photos, en les faisant
ou après coup en les regardant, ne contient jamais ce que je rêve. Je le
cherche autrement, au-delà.
Une libération textuelle ?
C'est une écriture folle, je ne sais pas dans quelle langue il parle,
dans quelle espèce d'animal il est, comment il se fait comprendre par
ces animaux, faut-il y croire ?!
C'est effectivement un texte remarquable, je te trouve carrément gonflé
de t'en emparer comme matière première à tes triturages !
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
Bien sûr ; mais efficace en quoi ?
Dans mon idée, quand une police est bien choisie, on ne la vois pas...On
la perçoit comme un élement qui contribue à l'image, c'est comme le
timbre d'un instrument qui permet d'entendre la mélodie.
Si le timbre est faux, tu n'entends que le son, pas la musique.
J'ai l'impression que tu es toujours très concernée par ce rapport
image-texte, tu le commente souvent,
Oui, bien sûr que je me sens concernée : j'aime les images et le texte
en est une, pleine de sens. J'aime les lettres, de temps en temps je
tombe amoureuse d'une belle typo, j'apprécie ça comme une texture dans
la lecture.
Très joli, je ne sais pas qui est la reine rouge.
Dans Alice de l'autre coté du miroir, c'est une reine des échecs.
Quand je fais des commentaires spectacle, expos, je dis que je ne
m'occupe que de la forme, en opposition à un autre commentateur qui ne
jure que par le sens.
Je crois que la forme fait sens ; si elle ne fait pas sens, alors c'est
une mauvaise forme, elle est gratuite, agacante.
Le 26/08/12 13:54, Octave a écrit :Je reviendrai plus bas sur le moulinage du texte.
Pour le ciel vert, je ne vois pas, plutôt au début de la série, ou à la
fin ?
Quand même pas vert, hein, mais une pointe de couleur qui sonne faux
dans le ciel.
La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image. Le meilleur exemple est là :
www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04.html
Le texte flotte devant l'image, il n'est pas accroché.
Ça me fait penser qu'en vrai, dans une salle d'expo, le texte pourrait
être une projection sur l'image vierge.
Oh là là !
J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos; ce chemin aride, poussiéreux, avec des piquets en acier en T, en
galvanisé, en bois, des fils tendus ou détendus. Le texte est aussi
arraché, dans les mots, dans la police, dans le positionnement.
Oui je comprends cette volonté de heurt, tu n'est pas dans l'idée
d'harmonie ; mais ça ne va pas comme réalisation, à mon avis.
Pour le penché, c'est ce que je dis dans le texte, c'est une route
jamais droite, les perspectives sont toujours de traviol, toujours
surprenantes. Fatiguant à conduire.
Ok...Mais c'est penché toujours du même coté ou presque !
Pour le texte, je reviens au moulinage parce que ce que j'écris ne
m'intéresse pas beaucoup, j'aimerais y découvrir autre chose, un autre
sens, un autre rapport aux images auquel je n'avais pas pensé.
Personne ne t'interdit de refaire un passage, d'épurer de nouveau le
sens gagné...
Un exercice d'écriture que j'aimais bien, à plusieurs ; la dilatation
-contraction.
Quelqu'un écrit un court texte ; le suivant l'amplifie, y ajoute des
sens : le suivant encore résume, contracte à l'essentiel.
La différence, c'est qu'au lieu de mécanique de google interviennent des
intelligences diverses. C'est profond.
J'aimeles surprises du texte ainsi mouliné et les sens (contres sens) qui
arrivent. Tout ce que je pense et que j'écris des photos, en les faisant
ou après coup en les regardant, ne contient jamais ce que je rêve. Je le
cherche autrement, au-delà.
Une libération textuelle ?
C'est une écriture folle, je ne sais pas dans quelle langue il parle,
dans quelle espèce d'animal il est, comment il se fait comprendre par
ces animaux, faut-il y croire ?!
C'est effectivement un texte remarquable, je te trouve carrément gonflé
de t'en emparer comme matière première à tes triturages !
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
Bien sûr ; mais efficace en quoi ?
Dans mon idée, quand une police est bien choisie, on ne la vois pas...On
la perçoit comme un élement qui contribue à l'image, c'est comme le
timbre d'un instrument qui permet d'entendre la mélodie.
Si le timbre est faux, tu n'entends que le son, pas la musique.
J'ai l'impression que tu es toujours très concernée par ce rapport
image-texte, tu le commente souvent,
Oui, bien sûr que je me sens concernée : j'aime les images et le texte
en est une, pleine de sens. J'aime les lettres, de temps en temps je
tombe amoureuse d'une belle typo, j'apprécie ça comme une texture dans
la lecture.Très joli, je ne sais pas qui est la reine rouge.
Dans Alice de l'autre coté du miroir, c'est une reine des échecs.
Quand je fais des commentaires spectacle, expos, je dis que je ne
m'occupe que de la forme, en opposition à un autre commentateur qui ne
jure que par le sens.
Je crois que la forme fait sens ; si elle ne fait pas sens, alors c'est
une mauvaise forme, elle est gratuite, agacante.
Le 26/08/2012 20:36, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Le 26/08/12 13:54, Octave a écrit :Je reviendrai plus bas sur le moulinage du texte.
Pour le ciel vert, je ne vois pas, plutôt au début de la série, ou à la
fin ?
Quand même pas vert, hein, mais une pointe de couleur qui sonne faux
dans le ciel.
Mais dans lesquelles, je ne vois pas ?
Que veux-tu dire ?
Moi, ça ne me gêne pas du tout. Enfin, je le vois, mais ça fait partie
du truc.
Je retravaille le texte, après passage dans le traducteur, je fais des
choix. Mais le hasard fait aussi partie du truc.
Je ne me gêne plus, je l'ai fait aussi pour le son en piquant des
musiques. Et, je prends ce qui me touche au moment, ce que j'écoute ou
lis. Je pique un regard, une partie de lieu en faisant une photo, je
pique un morceau de texte que je lis dans un temps proche, et je
rapproche les deux. Voilà tout!
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
Bien sûr ; mais efficace en quoi ?
Efficace, direct. La police n'est pas esthétique, elle doit avoir son
poids en fonction de son rapport au texte.
Je crois que la forme fait sens ; si elle ne fait pas sens, alors c'est
une mauvaise forme, elle est gratuite, agacante.
La forme crée le sens, pour moi, sinon c'est de l'illustration.
au mieux, au plus simple.
Mais bon, je suis loin du compte, ces suites ne sont que des essais,
j'approche de cette juxtaposition photo-texte, mais ce n'est pas encore ça.
Le 26/08/2012 20:36, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 26/08/12 13:54, Octave a écrit :
Je reviendrai plus bas sur le moulinage du texte.
Pour le ciel vert, je ne vois pas, plutôt au début de la série, ou à la
fin ?
Quand même pas vert, hein, mais une pointe de couleur qui sonne faux
dans le ciel.
Mais dans lesquelles, je ne vois pas ?
Que veux-tu dire ?
Moi, ça ne me gêne pas du tout. Enfin, je le vois, mais ça fait partie
du truc.
Je retravaille le texte, après passage dans le traducteur, je fais des
choix. Mais le hasard fait aussi partie du truc.
Je ne me gêne plus, je l'ai fait aussi pour le son en piquant des
musiques. Et, je prends ce qui me touche au moment, ce que j'écoute ou
lis. Je pique un regard, une partie de lieu en faisant une photo, je
pique un morceau de texte que je lis dans un temps proche, et je
rapproche les deux. Voilà tout!
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
Bien sûr ; mais efficace en quoi ?
Efficace, direct. La police n'est pas esthétique, elle doit avoir son
poids en fonction de son rapport au texte.
Je crois que la forme fait sens ; si elle ne fait pas sens, alors c'est
une mauvaise forme, elle est gratuite, agacante.
La forme crée le sens, pour moi, sinon c'est de l'illustration.
au mieux, au plus simple.
Mais bon, je suis loin du compte, ces suites ne sont que des essais,
j'approche de cette juxtaposition photo-texte, mais ce n'est pas encore ça.
Le 26/08/2012 20:36, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Le 26/08/12 13:54, Octave a écrit :Je reviendrai plus bas sur le moulinage du texte.
Pour le ciel vert, je ne vois pas, plutôt au début de la série, ou à la
fin ?
Quand même pas vert, hein, mais une pointe de couleur qui sonne faux
dans le ciel.
Mais dans lesquelles, je ne vois pas ?
Que veux-tu dire ?
Moi, ça ne me gêne pas du tout. Enfin, je le vois, mais ça fait partie
du truc.
Je retravaille le texte, après passage dans le traducteur, je fais des
choix. Mais le hasard fait aussi partie du truc.
Je ne me gêne plus, je l'ai fait aussi pour le son en piquant des
musiques. Et, je prends ce qui me touche au moment, ce que j'écoute ou
lis. Je pique un regard, une partie de lieu en faisant une photo, je
pique un morceau de texte que je lis dans un temps proche, et je
rapproche les deux. Voilà tout!
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
Bien sûr ; mais efficace en quoi ?
Efficace, direct. La police n'est pas esthétique, elle doit avoir son
poids en fonction de son rapport au texte.
Je crois que la forme fait sens ; si elle ne fait pas sens, alors c'est
une mauvaise forme, elle est gratuite, agacante.
La forme crée le sens, pour moi, sinon c'est de l'illustration.
au mieux, au plus simple.
Mais bon, je suis loin du compte, ces suites ne sont que des essais,
j'approche de cette juxtaposition photo-texte, mais ce n'est pas encore ça.