La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image.
J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos;
La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image.
J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos;
La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image.
J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos;
Le 26/08/2012 18:21, FiLH a écrit :
>> http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
>
> J'aime bien cette série pour les photos. Ces paires d'arbres sont très
> convaincantes.
Merci.
>
> Mais je ne rentre toujours pas dans les textes. Quel est l'intérêts de
> ces textes, tu pars de vrais textes pour en faire des faux textes, avec
> une vague teinture surréaliste. Mais à part pour « faire joli » je vois
> pas.
>
Ce n'est pas vraiment une volonté d'aller vers du surréalisme, c'est
plutôt une déconstruction.
Après, les textes, d'une façon générale, on y est plus ou moins
sensible. Je n'ai jamais pu me passionner pour la poésie du 19ème
siècle, et c'est sans doute dommage, alors que j'aime beaucoup la poésie
actuelle (pas tout, évidemment, surtout celle qui s'occupe de la forme,
et qui laisse des sens s'échapper).
Le 26/08/2012 18:21, FiLH a écrit :
>> http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
>
> J'aime bien cette série pour les photos. Ces paires d'arbres sont très
> convaincantes.
Merci.
>
> Mais je ne rentre toujours pas dans les textes. Quel est l'intérêts de
> ces textes, tu pars de vrais textes pour en faire des faux textes, avec
> une vague teinture surréaliste. Mais à part pour « faire joli » je vois
> pas.
>
Ce n'est pas vraiment une volonté d'aller vers du surréalisme, c'est
plutôt une déconstruction.
Après, les textes, d'une façon générale, on y est plus ou moins
sensible. Je n'ai jamais pu me passionner pour la poésie du 19ème
siècle, et c'est sans doute dommage, alors que j'aime beaucoup la poésie
actuelle (pas tout, évidemment, surtout celle qui s'occupe de la forme,
et qui laisse des sens s'échapper).
Le 26/08/2012 18:21, FiLH a écrit :
>> http://www.octav.fr/quotidien/12-07-29/29juil12.html
>
> J'aime bien cette série pour les photos. Ces paires d'arbres sont très
> convaincantes.
Merci.
>
> Mais je ne rentre toujours pas dans les textes. Quel est l'intérêts de
> ces textes, tu pars de vrais textes pour en faire des faux textes, avec
> une vague teinture surréaliste. Mais à part pour « faire joli » je vois
> pas.
>
Ce n'est pas vraiment une volonté d'aller vers du surréalisme, c'est
plutôt une déconstruction.
Après, les textes, d'une façon générale, on y est plus ou moins
sensible. Je n'ai jamais pu me passionner pour la poésie du 19ème
siècle, et c'est sans doute dommage, alors que j'aime beaucoup la poésie
actuelle (pas tout, évidemment, surtout celle qui s'occupe de la forme,
et qui laisse des sens s'échapper).
Octave wrote:La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image.
....J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos;
C'est intéressant : c'est une approche que j'aurais tendance à
pratiquer... et que j'ai du mal à apprécier en tant que spectateur.
Octave <octavpas-spam@octav.fr> wrote:
La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image.
....
J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos;
C'est intéressant : c'est une approche que j'aurais tendance à
pratiquer... et que j'ai du mal à apprécier en tant que spectateur.
Octave wrote:La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
entre le texte ou l'image.
....J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
photos;
C'est intéressant : c'est une approche que j'aurais tendance à
pratiquer... et que j'ai du mal à apprécier en tant que spectateur.
Peut-être mais ça reste une sorte d'écriture automatique, même si elle
exploite plus l'inconscient collectif issus des corpus de traduction
plutôt que celui de l'individu...
Après, les textes, d'une façon générale, on y est plus ou moins
sensible. Je n'ai jamais pu me passionner pour la poésie du 19ème
siècle, et c'est sans doute dommage, alors que j'aime beaucoup la poésie
actuelle (pas tout, évidemment, surtout celle qui s'occupe de la forme,
et qui laisse des sens s'échapper).
Alors que moi ça me gonfle terriblement quand la forme l'emporte sur le
sens.
Peut-être mais ça reste une sorte d'écriture automatique, même si elle
exploite plus l'inconscient collectif issus des corpus de traduction
plutôt que celui de l'individu...
Après, les textes, d'une façon générale, on y est plus ou moins
sensible. Je n'ai jamais pu me passionner pour la poésie du 19ème
siècle, et c'est sans doute dommage, alors que j'aime beaucoup la poésie
actuelle (pas tout, évidemment, surtout celle qui s'occupe de la forme,
et qui laisse des sens s'échapper).
Alors que moi ça me gonfle terriblement quand la forme l'emporte sur le
sens.
Peut-être mais ça reste une sorte d'écriture automatique, même si elle
exploite plus l'inconscient collectif issus des corpus de traduction
plutôt que celui de l'individu...
Après, les textes, d'une façon générale, on y est plus ou moins
sensible. Je n'ai jamais pu me passionner pour la poésie du 19ème
siècle, et c'est sans doute dommage, alors que j'aime beaucoup la poésie
actuelle (pas tout, évidemment, surtout celle qui s'occupe de la forme,
et qui laisse des sens s'échapper).
Alors que moi ça me gonfle terriblement quand la forme l'emporte sur le
sens.
Quand même pas vert, hein, mais une pointe de couleur qui sonne faux
dans le ciel.
Mais dans lesquelles, je ne vois pas ?
Toutes celles où le ciel n'est pas blanc ; il y a même une où les nuages
sont bleus, ça fait très faux, mais même quand le ciel est bien pur et
intense il est cyan, pas vrai-bleu, et c'est bizarre.
Que veux-tu dire ?
Que c'est pile le change de truc qui dans une salle d'expo, me ferait
tordre le nez en disant oh là là...Un truc un peu compliqué, et pourquoi
faire ?
Moi, ça ne me gêne pas du tout. Enfin, je le vois, mais ça fait partie
du truc.
Ok, tout est possible quand c'est voulu, y compris le torticolis :).
Je retravaille le texte, après passage dans le traducteur, je fais des
choix. Mais le hasard fait aussi partie du truc.
Un chemin étrange pour dénicher l'insconscient peut-être ? Ton envie
d'écrire qui ne s'ose pas complétement.
Une méthode, après tout.
Je ne me gêne plus, je l'ai fait aussi pour le son en piquant des
musiques. Et, je prends ce qui me touche au moment, ce que j'écoute ou
lis. Je pique un regard, une partie de lieu en faisant une photo, je
pique un morceau de texte que je lis dans un temps proche, et je
rapproche les deux. Voilà tout!
C'est pas un reproche d'être gonflé, hein ! Mais ça serait fort avec le
texte d'origine...Peut-être que tu le trouves trop fort pour jouer avec,
alors tu le hâches.
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
Bien sûr ; mais efficace en quoi ?
Efficace, direct. La police n'est pas esthétique, elle doit avoir son
poids en fonction de son rapport au texte.
Exactement! Et ne pas se mettre en travers donc.
Je trouve qu'ici elle se mets en travers de la lecture, l'aspect image
du texte prends le pas sur le contenu du texte.
Je crois que la forme fait sens ; si elle ne fait pas sens, alors c'est
une mauvaise forme, elle est gratuite, agacante.
La forme crée le sens, pour moi, sinon c'est de l'illustration.
Nous sommes en décalage mais pas en contradiction ici. La forme véhicule
tout, elle n'est jamais innocente. Qu'elle soit en cohérence ou en
contradiction ou en décalage de coté, elle porte une volonté.
Je faisau mieux, au plus simple.
Ah, la simplicité est difficile, ce n'est pas la même chose que la
facilité !
Mais bon, je suis loin du compte, ces suites ne sont que des essais,
Je suis un peu frustrée par le texte mouliné sur les animaux, alors que
l'original est génial...Mais il y a quelque chose de bon dans la
présentation sur ce plastique noir. Où je ne vois d'ailleurs pas de
formes animales, j'ai la façon photographique de voir qui écarte les
projections. Dans des bouts de plastique noir je vois spontanément des
bouts de plastique noir.
j'approche de cette juxtaposition photo-texte, mais ce n'est pas
encore ça.
En tous cas tu expérimentes toujours avec un grand enthousiasme ! C'est
bien ça.
Quand même pas vert, hein, mais une pointe de couleur qui sonne faux
dans le ciel.
Mais dans lesquelles, je ne vois pas ?
Toutes celles où le ciel n'est pas blanc ; il y a même une où les nuages
sont bleus, ça fait très faux, mais même quand le ciel est bien pur et
intense il est cyan, pas vrai-bleu, et c'est bizarre.
Que veux-tu dire ?
Que c'est pile le change de truc qui dans une salle d'expo, me ferait
tordre le nez en disant oh là là...Un truc un peu compliqué, et pourquoi
faire ?
Moi, ça ne me gêne pas du tout. Enfin, je le vois, mais ça fait partie
du truc.
Ok, tout est possible quand c'est voulu, y compris le torticolis :).
Je retravaille le texte, après passage dans le traducteur, je fais des
choix. Mais le hasard fait aussi partie du truc.
Un chemin étrange pour dénicher l'insconscient peut-être ? Ton envie
d'écrire qui ne s'ose pas complétement.
Une méthode, après tout.
Je ne me gêne plus, je l'ai fait aussi pour le son en piquant des
musiques. Et, je prends ce qui me touche au moment, ce que j'écoute ou
lis. Je pique un regard, une partie de lieu en faisant une photo, je
pique un morceau de texte que je lis dans un temps proche, et je
rapproche les deux. Voilà tout!
C'est pas un reproche d'être gonflé, hein ! Mais ça serait fort avec le
texte d'origine...Peut-être que tu le trouves trop fort pour jouer avec,
alors tu le hâches.
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
Bien sûr ; mais efficace en quoi ?
Efficace, direct. La police n'est pas esthétique, elle doit avoir son
poids en fonction de son rapport au texte.
Exactement! Et ne pas se mettre en travers donc.
Je trouve qu'ici elle se mets en travers de la lecture, l'aspect image
du texte prends le pas sur le contenu du texte.
Je crois que la forme fait sens ; si elle ne fait pas sens, alors c'est
une mauvaise forme, elle est gratuite, agacante.
La forme crée le sens, pour moi, sinon c'est de l'illustration.
Nous sommes en décalage mais pas en contradiction ici. La forme véhicule
tout, elle n'est jamais innocente. Qu'elle soit en cohérence ou en
contradiction ou en décalage de coté, elle porte une volonté.
Je fais
au mieux, au plus simple.
Ah, la simplicité est difficile, ce n'est pas la même chose que la
facilité !
Mais bon, je suis loin du compte, ces suites ne sont que des essais,
Je suis un peu frustrée par le texte mouliné sur les animaux, alors que
l'original est génial...Mais il y a quelque chose de bon dans la
présentation sur ce plastique noir. Où je ne vois d'ailleurs pas de
formes animales, j'ai la façon photographique de voir qui écarte les
projections. Dans des bouts de plastique noir je vois spontanément des
bouts de plastique noir.
j'approche de cette juxtaposition photo-texte, mais ce n'est pas
encore ça.
En tous cas tu expérimentes toujours avec un grand enthousiasme ! C'est
bien ça.
Quand même pas vert, hein, mais une pointe de couleur qui sonne faux
dans le ciel.
Mais dans lesquelles, je ne vois pas ?
Toutes celles où le ciel n'est pas blanc ; il y a même une où les nuages
sont bleus, ça fait très faux, mais même quand le ciel est bien pur et
intense il est cyan, pas vrai-bleu, et c'est bizarre.
Que veux-tu dire ?
Que c'est pile le change de truc qui dans une salle d'expo, me ferait
tordre le nez en disant oh là là...Un truc un peu compliqué, et pourquoi
faire ?
Moi, ça ne me gêne pas du tout. Enfin, je le vois, mais ça fait partie
du truc.
Ok, tout est possible quand c'est voulu, y compris le torticolis :).
Je retravaille le texte, après passage dans le traducteur, je fais des
choix. Mais le hasard fait aussi partie du truc.
Un chemin étrange pour dénicher l'insconscient peut-être ? Ton envie
d'écrire qui ne s'ose pas complétement.
Une méthode, après tout.
Je ne me gêne plus, je l'ai fait aussi pour le son en piquant des
musiques. Et, je prends ce qui me touche au moment, ce que j'écoute ou
lis. Je pique un regard, une partie de lieu en faisant une photo, je
pique un morceau de texte que je lis dans un temps proche, et je
rapproche les deux. Voilà tout!
C'est pas un reproche d'être gonflé, hein ! Mais ça serait fort avec le
texte d'origine...Peut-être que tu le trouves trop fort pour jouer avec,
alors tu le hâches.
Oui, tout à fait.
Mais je ne cherche pas à faire quelque chose de beau, je cherche à être
efficace.
Bien sûr ; mais efficace en quoi ?
Efficace, direct. La police n'est pas esthétique, elle doit avoir son
poids en fonction de son rapport au texte.
Exactement! Et ne pas se mettre en travers donc.
Je trouve qu'ici elle se mets en travers de la lecture, l'aspect image
du texte prends le pas sur le contenu du texte.
Je crois que la forme fait sens ; si elle ne fait pas sens, alors c'est
une mauvaise forme, elle est gratuite, agacante.
La forme crée le sens, pour moi, sinon c'est de l'illustration.
Nous sommes en décalage mais pas en contradiction ici. La forme véhicule
tout, elle n'est jamais innocente. Qu'elle soit en cohérence ou en
contradiction ou en décalage de coté, elle porte une volonté.
Je faisau mieux, au plus simple.
Ah, la simplicité est difficile, ce n'est pas la même chose que la
facilité !
Mais bon, je suis loin du compte, ces suites ne sont que des essais,
Je suis un peu frustrée par le texte mouliné sur les animaux, alors que
l'original est génial...Mais il y a quelque chose de bon dans la
présentation sur ce plastique noir. Où je ne vois d'ailleurs pas de
formes animales, j'ai la façon photographique de voir qui écarte les
projections. Dans des bouts de plastique noir je vois spontanément des
bouts de plastique noir.
j'approche de cette juxtaposition photo-texte, mais ce n'est pas
encore ça.
En tous cas tu expérimentes toujours avec un grand enthousiasme ! C'est
bien ça.
Le 27/08/2012 20:11, FiLH a écrit :
> Octave wrote:
>
>> La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
>> entre le texte ou l'image.
> ....
>> J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
>> photos;
>
> C'est intéressant : c'est une approche que j'aurais tendance à
> pratiquer... et que j'ai du mal à apprécier en tant que spectateur.
>
C'est une approche que je défends. C'est vrai que c'est difficile
d'imaginer comment ce sera perçu.
Ici, la perception est plutôt négative, mais ce n'est vraiment pas au
point, pour l'écriture, même si moi j'aime bien quelques phrases dans
ces suites.
Le 27/08/2012 20:11, FiLH a écrit :
> Octave <octavpas-spam@octav.fr> wrote:
>
>> La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
>> entre le texte ou l'image.
> ....
>> J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
>> photos;
>
> C'est intéressant : c'est une approche que j'aurais tendance à
> pratiquer... et que j'ai du mal à apprécier en tant que spectateur.
>
C'est une approche que je défends. C'est vrai que c'est difficile
d'imaginer comment ce sera perçu.
Ici, la perception est plutôt négative, mais ce n'est vraiment pas au
point, pour l'écriture, même si moi j'aime bien quelques phrases dans
ces suites.
Le 27/08/2012 20:11, FiLH a écrit :
> Octave wrote:
>
>> La lourdeur est volontaire, le regard est cassé, il faut qu'il choisisse
>> entre le texte ou l'image.
> ....
>> J'ai bien envie que ça gratte, que ça accroche, tout comme le sujet des
>> photos;
>
> C'est intéressant : c'est une approche que j'aurais tendance à
> pratiquer... et que j'ai du mal à apprécier en tant que spectateur.
>
C'est une approche que je défends. C'est vrai que c'est difficile
d'imaginer comment ce sera perçu.
Ici, la perception est plutôt négative, mais ce n'est vraiment pas au
point, pour l'écriture, même si moi j'aime bien quelques phrases dans
ces suites.
La question est de savoir si une œuvre qui parle de quelque chose
d’aride doit être aride elle même...
La question est de savoir si une œuvre qui parle de quelque chose
d’aride doit être aride elle même...
La question est de savoir si une œuvre qui parle de quelque chose
d’aride doit être aride elle même...
Le fond couleur, impec. Par contre les photos elles-mêmes ont des
teintes parfois bizarres. Le bleu du ciel un peu trop vert.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04aout12.html
Et, déjà beaucoup moins, parce que les mots imposés sur l'image, en
plein sans respecter une composition, je trouve ça lourd.
Pour les deux suivantes, j'essaye de parler des suites, un chemin
poussiéreux et une route de campagne :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-05/05aout12.html
Ici je vois un effort de composition en rapport à celle de
l'image...Mais quand même, ce texte blanc cru, dans une police bien
moche (Arial ?) ça me fait tellement mal aux yeux que je n'arrive pas à
sentir le sens (si sens il y a) du texte.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-06/06aout12.html
Là, c'est déjà beaucoup mieux ! Bon placement des textes, du coup je
peux les lire. Par contre comme les images sont penchées, penchées, ça
fini par une sensation de torticolis.
Et bon, ça ne serai pas plus simple de ne pas mouliner les textes ?
Celle-ci, une série de bouts de plastiques pouvant faire penser à des
silhouettes animales :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-07/07aout12.html
Là, il y a bien quelque chose. Avec le placement serré dans le plastique
noir.
Mais c'est très frustrant, car les textes sont atrocement mutilés ;
encore manque de simplicité. Et le choix de la police, de la teinte du
texte, et de l'intelignage ne sont pas bon, ils se mettent en travers de
ce qui pourrait se passer entre texte et image et sens. (le texte est
d'abord une image avant d'être un sens). Grincement inutile à mon avis.
Le fond couleur, impec. Par contre les photos elles-mêmes ont des
teintes parfois bizarres. Le bleu du ciel un peu trop vert.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04aout12.html
Et, déjà beaucoup moins, parce que les mots imposés sur l'image, en
plein sans respecter une composition, je trouve ça lourd.
Pour les deux suivantes, j'essaye de parler des suites, un chemin
poussiéreux et une route de campagne :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-05/05aout12.html
Ici je vois un effort de composition en rapport à celle de
l'image...Mais quand même, ce texte blanc cru, dans une police bien
moche (Arial ?) ça me fait tellement mal aux yeux que je n'arrive pas à
sentir le sens (si sens il y a) du texte.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-06/06aout12.html
Là, c'est déjà beaucoup mieux ! Bon placement des textes, du coup je
peux les lire. Par contre comme les images sont penchées, penchées, ça
fini par une sensation de torticolis.
Et bon, ça ne serai pas plus simple de ne pas mouliner les textes ?
Celle-ci, une série de bouts de plastiques pouvant faire penser à des
silhouettes animales :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-07/07aout12.html
Là, il y a bien quelque chose. Avec le placement serré dans le plastique
noir.
Mais c'est très frustrant, car les textes sont atrocement mutilés ;
encore manque de simplicité. Et le choix de la police, de la teinte du
texte, et de l'intelignage ne sont pas bon, ils se mettent en travers de
ce qui pourrait se passer entre texte et image et sens. (le texte est
d'abord une image avant d'être un sens). Grincement inutile à mon avis.
Le fond couleur, impec. Par contre les photos elles-mêmes ont des
teintes parfois bizarres. Le bleu du ciel un peu trop vert.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-04/04aout12.html
Et, déjà beaucoup moins, parce que les mots imposés sur l'image, en
plein sans respecter une composition, je trouve ça lourd.
Pour les deux suivantes, j'essaye de parler des suites, un chemin
poussiéreux et une route de campagne :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-05/05aout12.html
Ici je vois un effort de composition en rapport à celle de
l'image...Mais quand même, ce texte blanc cru, dans une police bien
moche (Arial ?) ça me fait tellement mal aux yeux que je n'arrive pas à
sentir le sens (si sens il y a) du texte.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-06/06aout12.html
Là, c'est déjà beaucoup mieux ! Bon placement des textes, du coup je
peux les lire. Par contre comme les images sont penchées, penchées, ça
fini par une sensation de torticolis.
Et bon, ça ne serai pas plus simple de ne pas mouliner les textes ?
Celle-ci, une série de bouts de plastiques pouvant faire penser à des
silhouettes animales :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-07/07aout12.html
Là, il y a bien quelque chose. Avec le placement serré dans le plastique
noir.
Mais c'est très frustrant, car les textes sont atrocement mutilés ;
encore manque de simplicité. Et le choix de la police, de la teinte du
texte, et de l'intelignage ne sont pas bon, ils se mettent en travers de
ce qui pourrait se passer entre texte et image et sens. (le texte est
d'abord une image avant d'être un sens). Grincement inutile à mon avis.
Et quatre autres :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-08/08aout12.html
La au moins c'est simple, le texte en légende en bas. Mais c'est
typographiquement trop laid pour ces images de charme.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-09/09aout12.html
Ça passe bien en composition globale, peut-être cette fois un peu trop
disjointe...Mais je bloque toujours sur le choix de typo, trop grosse,
trop laide, mal balancée.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-11/11aout12.html
Ici les textes (sens) sont parfois aussi beaux que les images...Tout est
là pour ne pas se divertir de la présence, ça c'est parfait.
Reste que les textes (images) sont encore et toujours obstrusivement
laids, lourds. On bute dessus.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-12/12aout12.html
Aah. Il y a de jolies choses dans cette série.
Un peu plus de simplicité des textes. Et puis cette conclusion
magnifique : tout cela est connu.
Et quatre autres :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-08/08aout12.html
La au moins c'est simple, le texte en légende en bas. Mais c'est
typographiquement trop laid pour ces images de charme.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-09/09aout12.html
Ça passe bien en composition globale, peut-être cette fois un peu trop
disjointe...Mais je bloque toujours sur le choix de typo, trop grosse,
trop laide, mal balancée.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-11/11aout12.html
Ici les textes (sens) sont parfois aussi beaux que les images...Tout est
là pour ne pas se divertir de la présence, ça c'est parfait.
Reste que les textes (images) sont encore et toujours obstrusivement
laids, lourds. On bute dessus.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-12/12aout12.html
Aah. Il y a de jolies choses dans cette série.
Un peu plus de simplicité des textes. Et puis cette conclusion
magnifique : tout cela est connu.
Et quatre autres :
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-08/08aout12.html
La au moins c'est simple, le texte en légende en bas. Mais c'est
typographiquement trop laid pour ces images de charme.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-09/09aout12.html
Ça passe bien en composition globale, peut-être cette fois un peu trop
disjointe...Mais je bloque toujours sur le choix de typo, trop grosse,
trop laide, mal balancée.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-11/11aout12.html
Ici les textes (sens) sont parfois aussi beaux que les images...Tout est
là pour ne pas se divertir de la présence, ça c'est parfait.
Reste que les textes (images) sont encore et toujours obstrusivement
laids, lourds. On bute dessus.
http://www.octav.fr/quotidien/12-08-12/12aout12.html
Aah. Il y a de jolies choses dans cette série.
Un peu plus de simplicité des textes. Et puis cette conclusion
magnifique : tout cela est connu.
Le 27/08/2012 22:08, FiLH a écrit :
>
> La question est de savoir si une ½uvre qui parle de quelque chose
> d'aride doit être aride elle même...
On peut discuter de ce genre de choses, mais je ne sais pas si c'est une
volonté de faire aride ou pas. La chose va prendre une forme, on ne sait
pas trop laquelle à l'avance.
Le 27/08/2012 22:08, FiLH a écrit :
>
> La question est de savoir si une ½uvre qui parle de quelque chose
> d'aride doit être aride elle même...
On peut discuter de ce genre de choses, mais je ne sais pas si c'est une
volonté de faire aride ou pas. La chose va prendre une forme, on ne sait
pas trop laquelle à l'avance.
Le 27/08/2012 22:08, FiLH a écrit :
>
> La question est de savoir si une ½uvre qui parle de quelque chose
> d'aride doit être aride elle même...
On peut discuter de ce genre de choses, mais je ne sais pas si c'est une
volonté de faire aride ou pas. La chose va prendre une forme, on ne sait
pas trop laquelle à l'avance.