Ben, des photos de nuages ou de couchers de soleil, j'en ai plein mes disques durs. Néanmoins, il serait intéressant d'avoir des cumulus ayant des formes oniriques signifiantes, comme des tests de Rorschach. Concours : qui s'y colle ?
Ben, des photos de nuages ou de couchers de soleil, j'en ai plein mes
disques durs. Néanmoins, il serait intéressant d'avoir des cumulus
ayant des formes oniriques signifiantes, comme des tests de Rorschach.
Concours : qui s'y colle ?
Ben, des photos de nuages ou de couchers de soleil, j'en ai plein mes disques durs. Néanmoins, il serait intéressant d'avoir des cumulus ayant des formes oniriques signifiantes, comme des tests de Rorschach. Concours : qui s'y colle ?
Le temps historique des études de nuages est bien passé, mais cette photo a néanmoins un bon intérêt pédagogique. Elle est techniquement bien posée (histogramme bien calé à droite, à la limite de la surexposition), mais, vu la dynamique de la scène, elle donne une impression insupportable de sous-exposition. Je sais bien qu'il y a des masos qui disent que ça correspond à la réalité physique et qu'il serait temps d'apprendre à voir ces réalités en face, mais je n'en suis pas. Bref, comment pallier cette sous-exposition ? Évidemment, sans surexposer quoi que ce soit.
Ceux qui prétendent que la photo s'arrête quand on a appuyé sur le bouton ressortiront les vieux filtres dégradés de la naphtaline. Ça se simule aisément sur l'ordinateur ; effectivement, on peut mettre plus de lumière sur le bas, mais en haut, le fond de ciel bleu-nuit reste bleu-nuit. Et le tout reste plat -- les nuages mis à part, bien sûr, mais ces nuages ne suffisent pas à vendre la photo.
Ne reste plus, donc, qu'à retoucher l'image à l'ordinateur. On aura là deux écoles, ceux qui se contentent de réglages globaux via «quelques clics de souris» sur des boutons ou des curseurs magiques (de Picasa ou de plugins plus prestigieux), ou ceux qui se font une tambouille maison à coup de réglages localisés, un peu plus de lumière ou de contraste ici, un peu moins là -- les uns professant volontiers beaucoup de commisération pour les autres. Il serait amusant de comparer les résultats.
Le temps historique des études de nuages est bien passé, mais cette
photo a néanmoins un bon intérêt pédagogique. Elle est techniquement
bien posée (histogramme bien calé à droite, à la limite de la
surexposition), mais, vu la dynamique de la scène, elle donne une
impression insupportable de sous-exposition. Je sais bien qu'il y a des
masos qui disent que ça correspond à la réalité physique et qu'il serait
temps d'apprendre à voir ces réalités en face, mais je n'en suis pas.
Bref, comment pallier cette sous-exposition ? Évidemment, sans
surexposer quoi que ce soit.
Ceux qui prétendent que la photo s'arrête quand on a appuyé sur le
bouton ressortiront les vieux filtres dégradés de la naphtaline. Ça se
simule aisément sur l'ordinateur ; effectivement, on peut mettre plus de
lumière sur le bas, mais en haut, le fond de ciel bleu-nuit reste
bleu-nuit. Et le tout reste plat -- les nuages mis à part, bien sûr,
mais ces nuages ne suffisent pas à vendre la photo.
Ne reste plus, donc, qu'à retoucher l'image à l'ordinateur. On aura là
deux écoles, ceux qui se contentent de réglages globaux via «quelques
clics de souris» sur des boutons ou des curseurs magiques (de Picasa ou
de plugins plus prestigieux), ou ceux qui se font une tambouille maison
à coup de réglages localisés, un peu plus de lumière ou de contraste
ici, un peu moins là -- les uns professant volontiers beaucoup de
commisération pour les autres. Il serait amusant de comparer les résultats.
Le temps historique des études de nuages est bien passé, mais cette photo a néanmoins un bon intérêt pédagogique. Elle est techniquement bien posée (histogramme bien calé à droite, à la limite de la surexposition), mais, vu la dynamique de la scène, elle donne une impression insupportable de sous-exposition. Je sais bien qu'il y a des masos qui disent que ça correspond à la réalité physique et qu'il serait temps d'apprendre à voir ces réalités en face, mais je n'en suis pas. Bref, comment pallier cette sous-exposition ? Évidemment, sans surexposer quoi que ce soit.
Ceux qui prétendent que la photo s'arrête quand on a appuyé sur le bouton ressortiront les vieux filtres dégradés de la naphtaline. Ça se simule aisément sur l'ordinateur ; effectivement, on peut mettre plus de lumière sur le bas, mais en haut, le fond de ciel bleu-nuit reste bleu-nuit. Et le tout reste plat -- les nuages mis à part, bien sûr, mais ces nuages ne suffisent pas à vendre la photo.
Ne reste plus, donc, qu'à retoucher l'image à l'ordinateur. On aura là deux écoles, ceux qui se contentent de réglages globaux via «quelques clics de souris» sur des boutons ou des curseurs magiques (de Picasa ou de plugins plus prestigieux), ou ceux qui se font une tambouille maison à coup de réglages localisés, un peu plus de lumière ou de contraste ici, un peu moins là -- les uns professant volontiers beaucoup de commisération pour les autres. Il serait amusant de comparer les résultats.
charles
Stephane Legras-Decussy
Le 16/05/2016 11:27, Charles Vassallo a écrit :
Ne reste plus, donc, qu'à retoucher l'image à l'ordinateur.
là une simple courbe gamma ou en S, suffit.
Le 16/05/2016 11:27, Charles Vassallo a écrit :
Ne reste plus, donc, qu'à retoucher l'image à l'ordinateur.
Le temps historique des études de nuages est bien passé, mais cette photo a néanmoins un bon intérêt pédagogique. Elle est techniquement bien posée (histogramme bien calé à droite, à la limite de la surexposition), mais, vu la dynamique de la scène, elle donne une impression insupportable de sous-exposition. Je sais bien qu'il y a des masos qui disent que ça correspond à la réalité physique et qu'il serait temps d'apprendre à voir ces réalités en face, mais je n'en suis pas. Bref, comment pallier cette sous-exposition ? Évidemment, sans surexposer quoi que ce soit.
Ceux qui prétendent que la photo s'arrête quand on a appuyé sur le bouton ressortiront les vieux filtres dégradés de la naphtaline. Ça se simule aisément sur l'ordinateur ; effectivement, on peut mettre plus de lumière sur le bas, mais en haut, le fond de ciel bleu-nuit reste bleu-nuit. Et le tout reste plat -- les nuages mis à part, bien sûr, mais ces nuages ne suffisent pas à vendre la photo.
Ne reste plus, donc, qu'à retoucher l'image à l'ordinateur. On aura là deux écoles, ceux qui se contentent de réglages globaux via «quelques clics de souris» sur des boutons ou des curseurs magiques (de Picasa ou de plugins plus prestigieux), ou ceux qui se font une tambouille maison à coup de réglages localisés, un peu plus de lumière ou de contraste ici, un peu moins là -- les uns professant volontiers beaucoup de commisération pour les autres. Il serait amusant de comparer les résultats.
Il n'y a pas encore beaucoup d'amateurs pour bricoler cette photo qui effectivement, laisse une impression de forte sous-exposition qui lui nuit. Quelques clics dans Picasa permettent une amélioration sensible, évacuant l'excès de sous-exposition apparente et permettant la lecture de la partie droite trop bouchée et du sol, mais sans trop déflorer l'atmosphère : http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqrbVdruEW_FEpiUJSY2KL-DSC-6787-002.JPG Il ne m'a pas été possible d'éviter un cramage très limité de l'extrême nord des nuages.
Méthode : Rotation à 180° et inversion Remontée du sol par le dégradé supérieur, sans toucher au ciel, Remontée du gamma général (méthode Picasa-Ch.Vassalo) Rotation à 90° Remontée de la partie droite par le dégradé supérieur, sans toucher au reste Re-rotation et ré-inversion. Avant-après : http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqrhl6BR6W_Capture-plein-%C3%A9cran-16052016-190519.jpg
Le temps historique des études de nuages est bien passé, mais cette
photo a néanmoins un bon intérêt pédagogique. Elle est techniquement
bien posée (histogramme bien calé à droite, à la limite de la
surexposition), mais, vu la dynamique de la scène, elle donne une
impression insupportable de sous-exposition. Je sais bien qu'il y a des
masos qui disent que ça correspond à la réalité physique et qu'il serait
temps d'apprendre à voir ces réalités en face, mais je n'en suis pas.
Bref, comment pallier cette sous-exposition ? Évidemment, sans
surexposer quoi que ce soit.
Ceux qui prétendent que la photo s'arrête quand on a appuyé sur le
bouton ressortiront les vieux filtres dégradés de la naphtaline. Ça se
simule aisément sur l'ordinateur ; effectivement, on peut mettre plus de
lumière sur le bas, mais en haut, le fond de ciel bleu-nuit reste
bleu-nuit. Et le tout reste plat -- les nuages mis à part, bien sûr,
mais ces nuages ne suffisent pas à vendre la photo.
Ne reste plus, donc, qu'à retoucher l'image à l'ordinateur. On aura là
deux écoles, ceux qui se contentent de réglages globaux via «quelques
clics de souris» sur des boutons ou des curseurs magiques (de Picasa ou
de plugins plus prestigieux), ou ceux qui se font une tambouille maison
à coup de réglages localisés, un peu plus de lumière ou de contraste
ici, un peu moins là -- les uns professant volontiers beaucoup de
commisération pour les autres. Il serait amusant de comparer les résultats.
Il n'y a pas encore beaucoup d'amateurs pour bricoler cette photo qui
effectivement, laisse une impression de forte sous-exposition qui lui nuit.
Quelques clics dans Picasa permettent une amélioration sensible,
évacuant l'excès de sous-exposition apparente et permettant la lecture
de la partie droite trop bouchée et du sol, mais sans trop déflorer
l'atmosphère :
http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqrbVdruEW_FEpiUJSY2KL-DSC-6787-002.JPG
Il ne m'a pas été possible d'éviter un cramage très limité de l'extrême
nord des nuages.
Méthode :
Rotation à 180° et inversion
Remontée du sol par le dégradé supérieur, sans toucher au ciel,
Remontée du gamma général (méthode Picasa-Ch.Vassalo)
Rotation à 90°
Remontée de la partie droite par le dégradé supérieur, sans toucher au reste
Re-rotation et ré-inversion.
Avant-après :
http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqrhl6BR6W_Capture-plein-%C3%A9cran-16052016-190519.jpg
Le temps historique des études de nuages est bien passé, mais cette photo a néanmoins un bon intérêt pédagogique. Elle est techniquement bien posée (histogramme bien calé à droite, à la limite de la surexposition), mais, vu la dynamique de la scène, elle donne une impression insupportable de sous-exposition. Je sais bien qu'il y a des masos qui disent que ça correspond à la réalité physique et qu'il serait temps d'apprendre à voir ces réalités en face, mais je n'en suis pas. Bref, comment pallier cette sous-exposition ? Évidemment, sans surexposer quoi que ce soit.
Ceux qui prétendent que la photo s'arrête quand on a appuyé sur le bouton ressortiront les vieux filtres dégradés de la naphtaline. Ça se simule aisément sur l'ordinateur ; effectivement, on peut mettre plus de lumière sur le bas, mais en haut, le fond de ciel bleu-nuit reste bleu-nuit. Et le tout reste plat -- les nuages mis à part, bien sûr, mais ces nuages ne suffisent pas à vendre la photo.
Ne reste plus, donc, qu'à retoucher l'image à l'ordinateur. On aura là deux écoles, ceux qui se contentent de réglages globaux via «quelques clics de souris» sur des boutons ou des curseurs magiques (de Picasa ou de plugins plus prestigieux), ou ceux qui se font une tambouille maison à coup de réglages localisés, un peu plus de lumière ou de contraste ici, un peu moins là -- les uns professant volontiers beaucoup de commisération pour les autres. Il serait amusant de comparer les résultats.
Il n'y a pas encore beaucoup d'amateurs pour bricoler cette photo qui effectivement, laisse une impression de forte sous-exposition qui lui nuit. Quelques clics dans Picasa permettent une amélioration sensible, évacuant l'excès de sous-exposition apparente et permettant la lecture de la partie droite trop bouchée et du sol, mais sans trop déflorer l'atmosphère : http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqrbVdruEW_FEpiUJSY2KL-DSC-6787-002.JPG Il ne m'a pas été possible d'éviter un cramage très limité de l'extrême nord des nuages.
Méthode : Rotation à 180° et inversion Remontée du sol par le dégradé supérieur, sans toucher au ciel, Remontée du gamma général (méthode Picasa-Ch.Vassalo) Rotation à 90° Remontée de la partie droite par le dégradé supérieur, sans toucher au reste Re-rotation et ré-inversion. Avant-après : http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqrhl6BR6W_Capture-plein-%C3%A9cran-16052016-190519.jpg
Le temps historique des études de nuages est bien passé, mais cette photo a néanmoins un bon intérêt pédagogique. Elle est techniquement bien posée (histogramme bien calé à droite, à la limite de la surexposition), mais, vu la dynamique de la scène, elle donne une impression insupportable de sous-exposition. Je sais bien qu'il y a des masos qui disent que ça correspond à la réalité physique et qu'il serait temps d'apprendre à voir ces réalités en face, mais je n'en suis pas. Bref, comment pallier cette sous-exposition ? Évidemment, sans surexposer quoi que ce soit.
Ceux qui prétendent que la photo s'arrête quand on a appuyé sur le bouton ressortiront les vieux filtres dégradés de la naphtaline. Ça se simule aisément sur l'ordinateur ; effectivement, on peut mettre plus de lumière sur le bas, mais en haut, le fond de ciel bleu-nuit reste bleu-nuit. Et le tout reste plat -- les nuages mis à part, bien sûr, mais ces nuages ne suffisent pas à vendre la photo.
Ne reste plus, donc, qu'à retoucher l'image à l'ordinateur. On aura là deux écoles, ceux qui se contentent de réglages globaux via «quelques clics de souris» sur des boutons ou des curseurs magiques (de Picasa ou de plugins plus prestigieux), ou ceux qui se font une tambouille maison à coup de réglages localisés, un peu plus de lumière ou de contraste ici, un peu moins là -- les uns professant volontiers beaucoup de commisération pour les autres. Il serait amusant de comparer les résultats.
Il n'y a pas encore beaucoup d'amateurs pour bricoler cette photo qui effectivement, laisse une impression de forte sous-exposition qui lui nuit. Quelques clics dans Picasa permettent une amélioration sensible, évacuant l'excès de sous-exposition apparente et permettant la lecture de la partie droite trop bouchée et du sol, mais sans trop déflorer l'atmosphère : http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqrbVdruEW_FEpiUJSY2KL-DSC-6787-002.JPG Il ne m'a pas été possible d'éviter un cramage très limité de l'extrême nord des nuages.
Méthode : Rotation à 180° et inversion Remontée du sol par le dégradé supérieur, sans toucher au ciel, Remontée du gamma général (méthode Picasa-Ch.Vassalo) Rotation à 90° Remontée de la partie droite par le dégradé supérieur, sans toucher au reste Re-rotation et ré-inversion. Avant-après :
Le temps historique des études de nuages est bien passé, mais cette
photo a néanmoins un bon intérêt pédagogique. Elle est techniquement
bien posée (histogramme bien calé à droite, à la limite de la
surexposition), mais, vu la dynamique de la scène, elle donne une
impression insupportable de sous-exposition. Je sais bien qu'il y a des
masos qui disent que ça correspond à la réalité physique et qu'il serait
temps d'apprendre à voir ces réalités en face, mais je n'en suis pas.
Bref, comment pallier cette sous-exposition ? Évidemment, sans
surexposer quoi que ce soit.
Ceux qui prétendent que la photo s'arrête quand on a appuyé sur le
bouton ressortiront les vieux filtres dégradés de la naphtaline. Ça se
simule aisément sur l'ordinateur ; effectivement, on peut mettre plus de
lumière sur le bas, mais en haut, le fond de ciel bleu-nuit reste
bleu-nuit. Et le tout reste plat -- les nuages mis à part, bien sûr,
mais ces nuages ne suffisent pas à vendre la photo.
Ne reste plus, donc, qu'à retoucher l'image à l'ordinateur. On aura là
deux écoles, ceux qui se contentent de réglages globaux via «quelques
clics de souris» sur des boutons ou des curseurs magiques (de Picasa ou
de plugins plus prestigieux), ou ceux qui se font une tambouille maison
à coup de réglages localisés, un peu plus de lumière ou de contraste
ici, un peu moins là -- les uns professant volontiers beaucoup de
commisération pour les autres. Il serait amusant de comparer les résultats.
Il n'y a pas encore beaucoup d'amateurs pour bricoler cette photo qui
effectivement, laisse une impression de forte sous-exposition qui lui nuit.
Quelques clics dans Picasa permettent une amélioration sensible,
évacuant l'excès de sous-exposition apparente et permettant la lecture
de la partie droite trop bouchée et du sol, mais sans trop déflorer
l'atmosphère :
http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqrbVdruEW_FEpiUJSY2KL-DSC-6787-002.JPG
Il ne m'a pas été possible d'éviter un cramage très limité de l'extrême
nord des nuages.
Méthode :
Rotation à 180° et inversion
Remontée du sol par le dégradé supérieur, sans toucher au ciel,
Remontée du gamma général (méthode Picasa-Ch.Vassalo)
Rotation à 90°
Remontée de la partie droite par le dégradé supérieur, sans toucher au reste
Re-rotation et ré-inversion.
Avant-après :
Le temps historique des études de nuages est bien passé, mais cette photo a néanmoins un bon intérêt pédagogique. Elle est techniquement bien posée (histogramme bien calé à droite, à la limite de la surexposition), mais, vu la dynamique de la scène, elle donne une impression insupportable de sous-exposition. Je sais bien qu'il y a des masos qui disent que ça correspond à la réalité physique et qu'il serait temps d'apprendre à voir ces réalités en face, mais je n'en suis pas. Bref, comment pallier cette sous-exposition ? Évidemment, sans surexposer quoi que ce soit.
Ceux qui prétendent que la photo s'arrête quand on a appuyé sur le bouton ressortiront les vieux filtres dégradés de la naphtaline. Ça se simule aisément sur l'ordinateur ; effectivement, on peut mettre plus de lumière sur le bas, mais en haut, le fond de ciel bleu-nuit reste bleu-nuit. Et le tout reste plat -- les nuages mis à part, bien sûr, mais ces nuages ne suffisent pas à vendre la photo.
Ne reste plus, donc, qu'à retoucher l'image à l'ordinateur. On aura là deux écoles, ceux qui se contentent de réglages globaux via «quelques clics de souris» sur des boutons ou des curseurs magiques (de Picasa ou de plugins plus prestigieux), ou ceux qui se font une tambouille maison à coup de réglages localisés, un peu plus de lumière ou de contraste ici, un peu moins là -- les uns professant volontiers beaucoup de commisération pour les autres. Il serait amusant de comparer les résultats.
Il n'y a pas encore beaucoup d'amateurs pour bricoler cette photo qui effectivement, laisse une impression de forte sous-exposition qui lui nuit. Quelques clics dans Picasa permettent une amélioration sensible, évacuant l'excès de sous-exposition apparente et permettant la lecture de la partie droite trop bouchée et du sol, mais sans trop déflorer l'atmosphère : http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqrbVdruEW_FEpiUJSY2KL-DSC-6787-002.JPG Il ne m'a pas été possible d'éviter un cramage très limité de l'extrême nord des nuages.
Méthode : Rotation à 180° et inversion Remontée du sol par le dégradé supérieur, sans toucher au ciel, Remontée du gamma général (méthode Picasa-Ch.Vassalo) Rotation à 90° Remontée de la partie droite par le dégradé supérieur, sans toucher au reste Re-rotation et ré-inversion. Avant-après :
Bon, comme plusieurs s'y sont risqués, à mon tour -- various dodges et burns comme on dit parfois pudiquement (mais à coups de calques de réglage, le tout réajustable à tout moment en cas de remord) http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqsCfadHhr_nuages.jpg
Bien entendu, quand la réalité physique est inacceptable, comme ici, on recrée l'image ; on peut faire ce qu'on veut, le tout étant de se trouver un public.
Charles
GhostRaider a écrit :
Il n'y a pas encore beaucoup d'amateurs pour bricoler cette photo qui
effectivement, laisse une impression de forte sous-exposition qui lui nuit.
Quelques clics dans Picasa permettent une amélioration sensible...
http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqrbVdruEW_FEpiUJSY2KL-DSC-6787-002.JPG
Bon, comme plusieurs s'y sont risqués, à mon tour -- various dodges et
burns comme on dit parfois pudiquement (mais à coups de calques de
réglage, le tout réajustable à tout moment en cas de remord)
http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqsCfadHhr_nuages.jpg
Bien entendu, quand la réalité physique est inacceptable, comme ici, on
recrée l'image ; on peut faire ce qu'on veut, le tout étant de se
trouver un public.
Bon, comme plusieurs s'y sont risqués, à mon tour -- various dodges et burns comme on dit parfois pudiquement (mais à coups de calques de réglage, le tout réajustable à tout moment en cas de remord) http://www.cjoint.com/doc/16_05/FEqsCfadHhr_nuages.jpg
Bien entendu, quand la réalité physique est inacceptable, comme ici, on recrée l'image ; on peut faire ce qu'on veut, le tout étant de se trouver un public.