Richard Delorme wrote:Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble assez à
une PME, non ?
Oui, et c'est un des trés rares exemples siginificatifs.
Je ne pense pas que ce soit si rare. En dehors des trois distributions
commerciales majeures (Redhat, Mandriva, Suse Novell), la plupart des
autres sont de taille modeste. Progeny, par exemple, emploie une
vingtaine de personnes et produit du code (anaconda, etc.). Pas mal
d'entreprises comme Trolltech, avec des logiciels à double license
commerciale/libre, sont aussi des PME.
Richard Delorme <abulmo@nospam.fr> wrote:
Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble assez à
une PME, non ?
Oui, et c'est un des trés rares exemples siginificatifs.
Je ne pense pas que ce soit si rare. En dehors des trois distributions
commerciales majeures (Redhat, Mandriva, Suse Novell), la plupart des
autres sont de taille modeste. Progeny, par exemple, emploie une
vingtaine de personnes et produit du code (anaconda, etc.). Pas mal
d'entreprises comme Trolltech, avec des logiciels à double license
commerciale/libre, sont aussi des PME.
Richard Delorme wrote:Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble assez à
une PME, non ?
Oui, et c'est un des trés rares exemples siginificatifs.
Je ne pense pas que ce soit si rare. En dehors des trois distributions
commerciales majeures (Redhat, Mandriva, Suse Novell), la plupart des
autres sont de taille modeste. Progeny, par exemple, emploie une
vingtaine de personnes et produit du code (anaconda, etc.). Pas mal
d'entreprises comme Trolltech, avec des logiciels à double license
commerciale/libre, sont aussi des PME.
Les distributions, par contre, c'est une chose qui ne m'intéresse pas.
Je ne crois pas que ce qu'elle font soit trés utile, et je crois aussi
que c'est une trés grande faiblesse de Linux de laisser trop de place aux
distributions.
En particulier je trouve que les dernières propositions de
Linus et Andrew Morton qui considèrent qu'il appartient aux distributions
de stabiliser le noyau sont totalement hérétiques.
Les distributions, par contre, c'est une chose qui ne m'intéresse pas.
Je ne crois pas que ce qu'elle font soit trés utile, et je crois aussi
que c'est une trés grande faiblesse de Linux de laisser trop de place aux
distributions.
En particulier je trouve que les dernières propositions de
Linus et Andrew Morton qui considèrent qu'il appartient aux distributions
de stabiliser le noyau sont totalement hérétiques.
Les distributions, par contre, c'est une chose qui ne m'intéresse pas.
Je ne crois pas que ce qu'elle font soit trés utile, et je crois aussi
que c'est une trés grande faiblesse de Linux de laisser trop de place aux
distributions.
En particulier je trouve que les dernières propositions de
Linus et Andrew Morton qui considèrent qu'il appartient aux distributions
de stabiliser le noyau sont totalement hérétiques.
Hub wrote:Je vis en partie grace a des services d'infogerances pour une societe
Francaise qui paye des charges et des impots comme une entreprise. Qd
une asso, parce qu'elle n'a pas les memes frais, propose les memes
services pour moins chers et qu'on peut pas s'aligner. C'est de la
concurrence deloyale.
Existe-il réellement une concurrence loyale ?
Philosophiquement, je ne crois pas. Mais economiquement, il faut vivre
et manger tous les jours. Et pour ca, il y a rien a faire, on est dans
un monde de concurrence et la concurrence deloyale est une plaie
lorsqu'une PME paye des impots pour nourrir ses propres adversaires.
Hub wrote:
Je vis en partie grace a des services d'infogerances pour une societe
Francaise qui paye des charges et des impots comme une entreprise. Qd
une asso, parce qu'elle n'a pas les memes frais, propose les memes
services pour moins chers et qu'on peut pas s'aligner. C'est de la
concurrence deloyale.
Existe-il réellement une concurrence loyale ?
Philosophiquement, je ne crois pas. Mais economiquement, il faut vivre
et manger tous les jours. Et pour ca, il y a rien a faire, on est dans
un monde de concurrence et la concurrence deloyale est une plaie
lorsqu'une PME paye des impots pour nourrir ses propres adversaires.
Hub wrote:Je vis en partie grace a des services d'infogerances pour une societe
Francaise qui paye des charges et des impots comme une entreprise. Qd
une asso, parce qu'elle n'a pas les memes frais, propose les memes
services pour moins chers et qu'on peut pas s'aligner. C'est de la
concurrence deloyale.
Existe-il réellement une concurrence loyale ?
Philosophiquement, je ne crois pas. Mais economiquement, il faut vivre
et manger tous les jours. Et pour ca, il y a rien a faire, on est dans
un monde de concurrence et la concurrence deloyale est une plaie
lorsqu'une PME paye des impots pour nourrir ses propres adversaires.
Si la concurrence loyale n'existe pas, alors la concurrence déloyale
n'exsite pas non plus. Donc, c'est la concurrence elle-même qui est une
plaie.
Faut-il supprimer la concurrence ?
Si la concurrence loyale n'existe pas, alors la concurrence déloyale
n'exsite pas non plus. Donc, c'est la concurrence elle-même qui est une
plaie.
Faut-il supprimer la concurrence ?
Si la concurrence loyale n'existe pas, alors la concurrence déloyale
n'exsite pas non plus. Donc, c'est la concurrence elle-même qui est une
plaie.
Faut-il supprimer la concurrence ?
Ainsi Parlait HubSi la concurrence loyale n'existe pas, alors la concurrence déloyale
n'exsite pas non plus. Donc, c'est la concurrence elle-même qui est une
plaie.
Faut-il supprimer la concurrence ?
Quand je vois où nous mene la concourence mondiale, je me dis en effet
que ce serait une bonne idée.
Ainsi Parlait Hub <hub@nospam.com>
Si la concurrence loyale n'existe pas, alors la concurrence déloyale
n'exsite pas non plus. Donc, c'est la concurrence elle-même qui est une
plaie.
Faut-il supprimer la concurrence ?
Quand je vois où nous mene la concourence mondiale, je me dis en effet
que ce serait une bonne idée.
Ainsi Parlait HubSi la concurrence loyale n'existe pas, alors la concurrence déloyale
n'exsite pas non plus. Donc, c'est la concurrence elle-même qui est une
plaie.
Faut-il supprimer la concurrence ?
Quand je vois où nous mene la concourence mondiale, je me dis en effet
que ce serait une bonne idée.
"" writes:Pourrions nous aller jusqua dire que le fait de distribuer les
sources
engendrent un cout de dev très bas
C'est le coût des intermédiaires qui est très bas.
mais encourage à delocaliser ?
C'est le contraire. La fourniture de logiciels par une société
devient
un service de proximité, puisqu'il faut être au contact du client
pour
lui construire la solution -c'est là que réside la valeur ajoutée-
qui
lui va bien à partir d'une base en LL.
Ca rapportera beaucoup plus que de payer des armées de singes
concurrentes ici ou là pour développer N versions propriétaires
d'un
logiciel censé convenir à tous les clients, et que les clients ne
peuvent pas adapter (ou faire adapter) facilement. C'est le logiciel
"prêt à porter" propriétaire qui va délocaliser, pas la
couturière du
coin qui refait les bas de pantalon, rajoute des poches et remplace
les boutons par une fermeture éclair.
"ptilou@gmail.com" <ptilou@gmail.com> writes:
Pourrions nous aller jusqua dire que le fait de distribuer les
sources
engendrent un cout de dev très bas
C'est le coût des intermédiaires qui est très bas.
mais encourage à delocaliser ?
C'est le contraire. La fourniture de logiciels par une société
devient
un service de proximité, puisqu'il faut être au contact du client
pour
lui construire la solution -c'est là que réside la valeur ajoutée-
qui
lui va bien à partir d'une base en LL.
Ca rapportera beaucoup plus que de payer des armées de singes
concurrentes ici ou là pour développer N versions propriétaires
d'un
logiciel censé convenir à tous les clients, et que les clients ne
peuvent pas adapter (ou faire adapter) facilement. C'est le logiciel
"prêt à porter" propriétaire qui va délocaliser, pas la
couturière du
coin qui refait les bas de pantalon, rajoute des poches et remplace
les boutons par une fermeture éclair.
"" writes:Pourrions nous aller jusqua dire que le fait de distribuer les
sources
engendrent un cout de dev très bas
C'est le coût des intermédiaires qui est très bas.
mais encourage à delocaliser ?
C'est le contraire. La fourniture de logiciels par une société
devient
un service de proximité, puisqu'il faut être au contact du client
pour
lui construire la solution -c'est là que réside la valeur ajoutée-
qui
lui va bien à partir d'une base en LL.
Ca rapportera beaucoup plus que de payer des armées de singes
concurrentes ici ou là pour développer N versions propriétaires
d'un
logiciel censé convenir à tous les clients, et que les clients ne
peuvent pas adapter (ou faire adapter) facilement. C'est le logiciel
"prêt à porter" propriétaire qui va délocaliser, pas la
couturière du
coin qui refait les bas de pantalon, rajoute des poches et remplace
les boutons par une fermeture éclair.
Michel Billaud wrote:Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec des flux
entrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces apports
sont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel, soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Michel Billaud <billaud@labri.u-bordeaux.fr> wrote:
Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec des flux
entrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces apports
sont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel, soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Michel Billaud wrote:Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec des flux
entrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces apports
sont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel, soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Michel Billaud wrote:Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec des
flux
entrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces
apports
sont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel, soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble
assez à
une PME, non ?
Michel Billaud <billaud@labri.u-bordeaux.fr> wrote:
Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec des
flux
entrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces
apports
sont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel, soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble
assez à
une PME, non ?
Michel Billaud wrote:Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec des
flux
entrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces
apports
sont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel, soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble
assez à
une PME, non ?
Bonjour,
Richard Delorme wrote:Michel Billaud wrote:Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec des
fluxentrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces
apportssont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel, soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble
assez àune PME, non ?
PME = Petit Moyen Entreprise, autant dire que la détermination est
plus que approximative !
Et puis, faut pas oublier que les moteur du LL sont principalement des
grands groupes et que sans eux ces petits structures seraient au
abonné absent, ce sont en quelque sorte des filliales ...
Bonjour,
Richard Delorme wrote:
Michel Billaud <billaud@labri.u-bordeaux.fr> wrote:
Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec des
flux
entrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces
apports
sont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel, soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble
assez à
une PME, non ?
PME = Petit Moyen Entreprise, autant dire que la détermination est
plus que approximative !
Et puis, faut pas oublier que les moteur du LL sont principalement des
grands groupes et que sans eux ces petits structures seraient au
abonné absent, ce sont en quelque sorte des filliales ...
Bonjour,
Richard Delorme wrote:Michel Billaud wrote:Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec des
fluxentrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces
apportssont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel, soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble
assez àune PME, non ?
PME = Petit Moyen Entreprise, autant dire que la détermination est
plus que approximative !
Et puis, faut pas oublier que les moteur du LL sont principalement des
grands groupes et que sans eux ces petits structures seraient au
abonné absent, ce sont en quelque sorte des filliales ...
Bonjour,
Richard Delorme wrote:Michel Billaud wrote:Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec
des
fluxentrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour
faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces
apportssont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel,
soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble
assez àune PME, non ?
PME = Petit Moyen Entreprise, autant dire que la détermination est
plus que approximative !
Non, c'est très précis :
« * les petites et moyennes entreprises emploient moins de 250
salariés. Leur chiffre d'affaire doit être inférieur à 40
millions
d'euros ou leur bilan annuel inférieur à 27 millions d'euros.
* les petites entreprises emploient entre 10 et 49 salariés.
Elles
doivent avoir un chiffre d'affaire annuel inférieur à 7 millions
d'euros
ou un bilan ne dépassant pas les 5 millions d'euros.
* les micro entreprises sont des entreprises qui emploient moins
de
10 salariés.»
http://europa.eu.int/scadplus/leg/fr/lvb/n26001.htm
Et puis, faut pas oublier que les moteur du LL sont principalement
des
grands groupes et que sans eux ces petits structures seraient au
abonné absent, ce sont en quelque sorte des filliales ...
Je n'ai pas l'impression que les grands groupes aient ce côté
indispensable à la survie du LL, ils ont plutôt pris le train en
marche
pour voir ce qu'il pouvait tirer du LL.
Bonjour,
Richard Delorme wrote:
Michel Billaud <billaud@labri.u-bordeaux.fr> wrote:
Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec
des
flux
entrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour
faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces
apports
sont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel,
soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble
assez à
une PME, non ?
PME = Petit Moyen Entreprise, autant dire que la détermination est
plus que approximative !
Non, c'est très précis :
« * les petites et moyennes entreprises emploient moins de 250
salariés. Leur chiffre d'affaire doit être inférieur à 40
millions
d'euros ou leur bilan annuel inférieur à 27 millions d'euros.
* les petites entreprises emploient entre 10 et 49 salariés.
Elles
doivent avoir un chiffre d'affaire annuel inférieur à 7 millions
d'euros
ou un bilan ne dépassant pas les 5 millions d'euros.
* les micro entreprises sont des entreprises qui emploient moins
de
10 salariés.»
http://europa.eu.int/scadplus/leg/fr/lvb/n26001.htm
Et puis, faut pas oublier que les moteur du LL sont principalement
des
grands groupes et que sans eux ces petits structures seraient au
abonné absent, ce sont en quelque sorte des filliales ...
Je n'ai pas l'impression que les grands groupes aient ce côté
indispensable à la survie du LL, ils ont plutôt pris le train en
marche
pour voir ce qu'il pouvait tirer du LL.
Bonjour,
Richard Delorme wrote:Michel Billaud wrote:Le libre n'étant pas une entité clairement délimitée, avec
des
fluxentrants et sortants de pépètes, et de la trésorerie pour
faire
tampon, la question n'a de toutes façons aucun sens.
Il s'agissait d'apports de programmation exclusivement dans ce que
je disais, il me semble que ça a un sens. Il me semble que ces
apportssont le fait, soit d'individus qui le font à titre personnel,
soit
d'universitaires, soit de grosses boites, mais pas de PME.
Namesys, la boîte à l'origine de Reiserfs et Reiser4, ressemble
assez àune PME, non ?
PME = Petit Moyen Entreprise, autant dire que la détermination est
plus que approximative !
Non, c'est très précis :
« * les petites et moyennes entreprises emploient moins de 250
salariés. Leur chiffre d'affaire doit être inférieur à 40
millions
d'euros ou leur bilan annuel inférieur à 27 millions d'euros.
* les petites entreprises emploient entre 10 et 49 salariés.
Elles
doivent avoir un chiffre d'affaire annuel inférieur à 7 millions
d'euros
ou un bilan ne dépassant pas les 5 millions d'euros.
* les micro entreprises sont des entreprises qui emploient moins
de
10 salariés.»
http://europa.eu.int/scadplus/leg/fr/lvb/n26001.htm
Et puis, faut pas oublier que les moteur du LL sont principalement
des
grands groupes et que sans eux ces petits structures seraient au
abonné absent, ce sont en quelque sorte des filliales ...
Je n'ai pas l'impression que les grands groupes aient ce côté
indispensable à la survie du LL, ils ont plutôt pris le train en
marche
pour voir ce qu'il pouvait tirer du LL.