Remarques pertinentes mais notre interlocuteur semble sous-entendre des
langues anciennes. En ces temps là, les techniques de codage étaient
rudimentaires et des études linguistiques doivent pouvoir faire apparaître
des certitudes assez grande quand à la possibilité de codage ou pas d'un
texte. Il est clair que si les siècles passés avaient été au courant des
techniques de compression (par exemple), on ne saurait toujours pas
grand-chose de pas mal de civilisations.
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/
Remarques pertinentes mais notre interlocuteur semble sous-entendre des
langues anciennes. En ces temps là, les techniques de codage étaient
rudimentaires et des études linguistiques doivent pouvoir faire apparaître
des certitudes assez grande quand à la possibilité de codage ou pas d'un
texte. Il est clair que si les siècles passés avaient été au courant des
techniques de compression (par exemple), on ne saurait toujours pas
grand-chose de pas mal de civilisations.
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/
Remarques pertinentes mais notre interlocuteur semble sous-entendre des
langues anciennes. En ces temps là, les techniques de codage étaient
rudimentaires et des études linguistiques doivent pouvoir faire apparaître
des certitudes assez grande quand à la possibilité de codage ou pas d'un
texte. Il est clair que si les siècles passés avaient été au courant des
techniques de compression (par exemple), on ne saurait toujours pas
grand-chose de pas mal de civilisations.
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/
En ces temps là, les techniques de codage étaient
rudimentaires
Faudrait donner des exemples , non , au lieu de faire à
l'emporte-pièce.
mais notre interlocuteur semble sous-entendre des
langues anciennes.
La réponses est du type: "fait attention à ta geule à la
récré"; Note: zéro pointé.
En ces temps là, les techniques de codage étaient
rudimentaires
Faudrait donner des exemples , non , au lieu de faire à
l'emporte-pièce.
mais notre interlocuteur semble sous-entendre des
langues anciennes.
La réponses est du type: "fait attention à ta geule à la
récré"; Note: zéro pointé.
En ces temps là, les techniques de codage étaient
rudimentaires
Faudrait donner des exemples , non , au lieu de faire à
l'emporte-pièce.
mais notre interlocuteur semble sous-entendre des
langues anciennes.
La réponses est du type: "fait attention à ta geule à la
récré"; Note: zéro pointé.
jpm wrote:En ces temps là, les techniques de codage étaient
rudimentaires
Faudrait donner des exemples , non , au lieu de faire à
l'emporte-pièce.
??? Je sais bien que le Vigénère a tenu quelques décennies, mais, tout de
même ! Comment veux-tu que les sumériens, hébreux ou autres babyloniens
aient pu utiliser des méthodes cryptographiques éminement élaborées ? Ils
ne possédaient ni l'outil mathématique ni la puissance de calcul ni les
moyens de l'appliquer ! Plus une technique est complexe est plus elle est
difficile à mettre en oeuvre. Aujourd'hui, nous avons des ordinateurs. Il
y a 3.000 ans, c'était quand même bien moins pratique hein ! Peu
d'instruits, des moyens rudimentaires et peu pratiques. Impossible de
faire du RSA au temps d'Imenhotep IV...
------------------
mais notre interlocuteur semble sous-entendre des
langues anciennes.
La réponses est du type: "fait attention à ta geule à la
récré"; Note: zéro pointé.
Pardon ? J'ai supposé que ta question avait trait aux procédés de
chiffrages utilisés dans l'antiquité, d'où mon avertissement à l'autre
intervenant. Que signifie cette réponse ?
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/
jpm wrote:
En ces temps là, les techniques de codage étaient
rudimentaires
Faudrait donner des exemples , non , au lieu de faire à
l'emporte-pièce.
??? Je sais bien que le Vigénère a tenu quelques décennies, mais, tout de
même ! Comment veux-tu que les sumériens, hébreux ou autres babyloniens
aient pu utiliser des méthodes cryptographiques éminement élaborées ? Ils
ne possédaient ni l'outil mathématique ni la puissance de calcul ni les
moyens de l'appliquer ! Plus une technique est complexe est plus elle est
difficile à mettre en oeuvre. Aujourd'hui, nous avons des ordinateurs. Il
y a 3.000 ans, c'était quand même bien moins pratique hein ! Peu
d'instruits, des moyens rudimentaires et peu pratiques. Impossible de
faire du RSA au temps d'Imenhotep IV...
------------------
mais notre interlocuteur semble sous-entendre des
langues anciennes.
La réponses est du type: "fait attention à ta geule à la
récré"; Note: zéro pointé.
Pardon ? J'ai supposé que ta question avait trait aux procédés de
chiffrages utilisés dans l'antiquité, d'où mon avertissement à l'autre
intervenant. Que signifie cette réponse ?
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/
jpm wrote:En ces temps là, les techniques de codage étaient
rudimentaires
Faudrait donner des exemples , non , au lieu de faire à
l'emporte-pièce.
??? Je sais bien que le Vigénère a tenu quelques décennies, mais, tout de
même ! Comment veux-tu que les sumériens, hébreux ou autres babyloniens
aient pu utiliser des méthodes cryptographiques éminement élaborées ? Ils
ne possédaient ni l'outil mathématique ni la puissance de calcul ni les
moyens de l'appliquer ! Plus une technique est complexe est plus elle est
difficile à mettre en oeuvre. Aujourd'hui, nous avons des ordinateurs. Il
y a 3.000 ans, c'était quand même bien moins pratique hein ! Peu
d'instruits, des moyens rudimentaires et peu pratiques. Impossible de
faire du RSA au temps d'Imenhotep IV...
------------------
mais notre interlocuteur semble sous-entendre des
langues anciennes.
La réponses est du type: "fait attention à ta geule à la
récré"; Note: zéro pointé.
Pardon ? J'ai supposé que ta question avait trait aux procédés de
chiffrages utilisés dans l'antiquité, d'où mon avertissement à l'autre
intervenant. Que signifie cette réponse ?
--
Arnold McDonald (AMcD)
http://arnold.mcdonald.free.fr/
Pouvons-nous définir des critères qui permettent
de dire qu'un message a été codé ?
Pouvons-nous définir des critères qui permettent
de dire qu'un message a été codé ?
Pouvons-nous définir des critères qui permettent
de dire qu'un message a été codé ?
Exemple : les annonces de Radio Londres sous l'Occupation, style : «
La chatte a eu trois petits, je répète, la chatte a eu trois petits. »
Premier critère : quel intérêt, en temps de guerre, d'annoncer à un
pays occupé qu'une chatte a eu trois chatons ? Deuxième critère : on
risquait l'arrestation et la déportation si on était pris à écouter
Radio Londres...
Exemple : les annonces de Radio Londres sous l'Occupation, style : «
La chatte a eu trois petits, je répète, la chatte a eu trois petits. »
Premier critère : quel intérêt, en temps de guerre, d'annoncer à un
pays occupé qu'une chatte a eu trois chatons ? Deuxième critère : on
risquait l'arrestation et la déportation si on était pris à écouter
Radio Londres...
Exemple : les annonces de Radio Londres sous l'Occupation, style : «
La chatte a eu trois petits, je répète, la chatte a eu trois petits. »
Premier critère : quel intérêt, en temps de guerre, d'annoncer à un
pays occupé qu'une chatte a eu trois chatons ? Deuxième critère : on
risquait l'arrestation et la déportation si on était pris à écouter
Radio Londres...
Serge Paccalin wrote:
On en revient donc à mon élément du "contexte" :-). Or, celui-ci, est très
difficile à définir lorsque on s'intéresse à des évènements ayant eu lieu
il y a des milliers d'années. L'absence de certitude sur un contexte est
un inconvénient majeur. Pour simplifier, quand on ne sait rien, on peut
inventer et dire n'importe quoi pour illustrer ou interpréter et ni ceux
qui doutent, ni ceux qui proposent, ne peuvent prouver.
__________
Serge Paccalin wrote:
On en revient donc à mon élément du "contexte" :-). Or, celui-ci, est très
difficile à définir lorsque on s'intéresse à des évènements ayant eu lieu
il y a des milliers d'années. L'absence de certitude sur un contexte est
un inconvénient majeur. Pour simplifier, quand on ne sait rien, on peut
inventer et dire n'importe quoi pour illustrer ou interpréter et ni ceux
qui doutent, ni ceux qui proposent, ne peuvent prouver.
__________
Serge Paccalin wrote:
On en revient donc à mon élément du "contexte" :-). Or, celui-ci, est très
difficile à définir lorsque on s'intéresse à des évènements ayant eu lieu
il y a des milliers d'années. L'absence de certitude sur un contexte est
un inconvénient majeur. Pour simplifier, quand on ne sait rien, on peut
inventer et dire n'importe quoi pour illustrer ou interpréter et ni ceux
qui doutent, ni ceux qui proposent, ne peuvent prouver.
__________
"Arnold McDonald (AMcD)" a écrit dans le message de
news: 450bdf88$0$629$Serge Paccalin wrote:
On en revient donc à mon élément du "contexte" :-). Or, celui-ci, est
très difficile à définir lorsque on s'intéresse à des évènements ayant eu
lieu il y a des milliers d'années. L'absence de certitude sur un contexte
est un inconvénient majeur. Pour simplifier, quand on ne sait rien, on
peut inventer et dire n'importe quoi pour illustrer ou interpréter et ni
ceux qui doutent, ni ceux qui proposent, ne peuvent prouver.
__________
Vos remarques sont pertinentes, néanmoins imaginons un document,
type papyrus de Rhind ( énoncés maths. égyptienne) écrit en écriture
alphabétique, dont les lettres peuvent se coder a=1, b=2 etc... mais
dont la dixième lettre valant 10 *est réduite à 1, de sorte qu'il ne reste
q'une suite de 1 à 9.
Le document commence par une affirmation composée de deux mots,
dont le second n'est que la première partie du premier ( AB, A)
Qu'elles sont les probalités que le rapport entre
1. (A/B) + (2A/B) vaille la racine carrée exacte de 2
2.. Que A soit une constante géométrique de base.
3. Que A et B soient les diagonales de rectangles de nombres entiers .
Peut-on estimer que nous sommes en présence d'un codage ?
* las valeurs 10 , 20, 30, etc... pour les 11èmes, 12 et 13èmes lettres
servant à d'autres calculs
"Arnold McDonald (AMcD)" <killspammers@free.fr> a écrit dans le message de
news: 450bdf88$0$629$636a55ce@news.free.fr...
Serge Paccalin wrote:
On en revient donc à mon élément du "contexte" :-). Or, celui-ci, est
très difficile à définir lorsque on s'intéresse à des évènements ayant eu
lieu il y a des milliers d'années. L'absence de certitude sur un contexte
est un inconvénient majeur. Pour simplifier, quand on ne sait rien, on
peut inventer et dire n'importe quoi pour illustrer ou interpréter et ni
ceux qui doutent, ni ceux qui proposent, ne peuvent prouver.
__________
Vos remarques sont pertinentes, néanmoins imaginons un document,
type papyrus de Rhind ( énoncés maths. égyptienne) écrit en écriture
alphabétique, dont les lettres peuvent se coder a=1, b=2 etc... mais
dont la dixième lettre valant 10 *est réduite à 1, de sorte qu'il ne reste
q'une suite de 1 à 9.
Le document commence par une affirmation composée de deux mots,
dont le second n'est que la première partie du premier ( AB, A)
Qu'elles sont les probalités que le rapport entre
1. (A/B) + (2A/B) vaille la racine carrée exacte de 2
2.. Que A soit une constante géométrique de base.
3. Que A et B soient les diagonales de rectangles de nombres entiers .
Peut-on estimer que nous sommes en présence d'un codage ?
* las valeurs 10 , 20, 30, etc... pour les 11èmes, 12 et 13èmes lettres
servant à d'autres calculs
"Arnold McDonald (AMcD)" a écrit dans le message de
news: 450bdf88$0$629$Serge Paccalin wrote:
On en revient donc à mon élément du "contexte" :-). Or, celui-ci, est
très difficile à définir lorsque on s'intéresse à des évènements ayant eu
lieu il y a des milliers d'années. L'absence de certitude sur un contexte
est un inconvénient majeur. Pour simplifier, quand on ne sait rien, on
peut inventer et dire n'importe quoi pour illustrer ou interpréter et ni
ceux qui doutent, ni ceux qui proposent, ne peuvent prouver.
__________
Vos remarques sont pertinentes, néanmoins imaginons un document,
type papyrus de Rhind ( énoncés maths. égyptienne) écrit en écriture
alphabétique, dont les lettres peuvent se coder a=1, b=2 etc... mais
dont la dixième lettre valant 10 *est réduite à 1, de sorte qu'il ne reste
q'une suite de 1 à 9.
Le document commence par une affirmation composée de deux mots,
dont le second n'est que la première partie du premier ( AB, A)
Qu'elles sont les probalités que le rapport entre
1. (A/B) + (2A/B) vaille la racine carrée exacte de 2
2.. Que A soit une constante géométrique de base.
3. Que A et B soient les diagonales de rectangles de nombres entiers .
Peut-on estimer que nous sommes en présence d'un codage ?
* las valeurs 10 , 20, 30, etc... pour les 11èmes, 12 et 13èmes lettres
servant à d'autres calculs
"jpm" a écrit dans le message de news:
yyrPg.17$
Vos remarques sont pertinentes, néanmoins imaginons un document,
type papyrus de Rhind ( énoncés maths. égyptienne) écrit en é criture
alphabétique, dont les lettres peuvent se coder a=1, b=2 etc... mais
dont la dixième lettre valant 10 *est réduite à 1, de sorte qu'i l ne
reste q'une suite de 1 à 9.
Le document commence par une affirmation composée de deux mots,
dont le second n'est que la première partie du premier ( AB, A)
Qu'elles sont les probalités que le rapport entre
1. (A/B) + (2A/B) vaille la racine carrée exacte de 2
1. (A/B) + (2A/B) /2 =vaille la racine carrée exacte de 2
"jpm" <jpmarlot@tele2.fr> a écrit dans le message de news:
yyrPg.17$gT6.29@nntpserver.swip.net...
Vos remarques sont pertinentes, néanmoins imaginons un document,
type papyrus de Rhind ( énoncés maths. égyptienne) écrit en é criture
alphabétique, dont les lettres peuvent se coder a=1, b=2 etc... mais
dont la dixième lettre valant 10 *est réduite à 1, de sorte qu'i l ne
reste q'une suite de 1 à 9.
Le document commence par une affirmation composée de deux mots,
dont le second n'est que la première partie du premier ( AB, A)
Qu'elles sont les probalités que le rapport entre
1. (A/B) + (2A/B) vaille la racine carrée exacte de 2
1. (A/B) + (2A/B) /2 =vaille la racine carrée exacte de 2
"jpm" a écrit dans le message de news:
yyrPg.17$
Vos remarques sont pertinentes, néanmoins imaginons un document,
type papyrus de Rhind ( énoncés maths. égyptienne) écrit en é criture
alphabétique, dont les lettres peuvent se coder a=1, b=2 etc... mais
dont la dixième lettre valant 10 *est réduite à 1, de sorte qu'i l ne
reste q'une suite de 1 à 9.
Le document commence par une affirmation composée de deux mots,
dont le second n'est que la première partie du premier ( AB, A)
Qu'elles sont les probalités que le rapport entre
1. (A/B) + (2A/B) vaille la racine carrée exacte de 2
1. (A/B) + (2A/B) /2 =vaille la racine carrée exacte de 2
"jpm" a écrit dans le message de news:
yyrPg.17$
Vos remarques sont pertinentes, néanmoins imaginons un document,
type papyrus de Rhind ( énoncés maths. égyptienne) écrit en écriture
alphabétique, dont les lettres peuvent se coder a=1, b=2 etc... mais
dont la dixième lettre valant 10 *est réduite à 1, de sorte qu'il ne
reste q'une suite de 1 à 9.
Le document commence par une affirmation composée de deux mots,
dont le second n'est que la première partie du premier ( AB, A)
Qu'elles sont les probalités que le rapport entre
1. (A/B) + (2A/B) vaille la racine carrée exacte de 2
1. (A/B) + (2A/B) /2 =vaille la racine carrée exacte de 2
"jpm" <jpmarlot@tele2.fr> a écrit dans le message de news:
yyrPg.17$gT6.29@nntpserver.swip.net...
Vos remarques sont pertinentes, néanmoins imaginons un document,
type papyrus de Rhind ( énoncés maths. égyptienne) écrit en écriture
alphabétique, dont les lettres peuvent se coder a=1, b=2 etc... mais
dont la dixième lettre valant 10 *est réduite à 1, de sorte qu'il ne
reste q'une suite de 1 à 9.
Le document commence par une affirmation composée de deux mots,
dont le second n'est que la première partie du premier ( AB, A)
Qu'elles sont les probalités que le rapport entre
1. (A/B) + (2A/B) vaille la racine carrée exacte de 2
1. (A/B) + (2A/B) /2 =vaille la racine carrée exacte de 2
"jpm" a écrit dans le message de news:
yyrPg.17$
Vos remarques sont pertinentes, néanmoins imaginons un document,
type papyrus de Rhind ( énoncés maths. égyptienne) écrit en écriture
alphabétique, dont les lettres peuvent se coder a=1, b=2 etc... mais
dont la dixième lettre valant 10 *est réduite à 1, de sorte qu'il ne
reste q'une suite de 1 à 9.
Le document commence par une affirmation composée de deux mots,
dont le second n'est que la première partie du premier ( AB, A)
Qu'elles sont les probalités que le rapport entre
1. (A/B) + (2A/B) vaille la racine carrée exacte de 2
1. (A/B) + (2A/B) /2 =vaille la racine carrée exacte de 2