Je reste pour l'instant persuadé que les outils de production musicale
accessibles et utilisables sur des architectures (materiels) identiques
n'existe pas pour linux. Ce que je regrette énormément. Moi qui suis à
75% de linux sur mon LAN, je suis obligé de travailler avec, pèle-mèle,
cubase, samplitude, logic audio, etc... avec w2k, seuls outils gageants
d'une grande stabilité.
davis
ps: les pierres ne sont pas fournies...
--
---
david tourrel
- ingénieur en rien du tout, toute façon j'ai pas les diplômes.-
plutôt que de leurs propres preformances avec le matériel dont ils disposent, qui arrivent au meilleur résultat?
J'en connais même qui ont beaucoup d'argent et des centaines de milliers d'euros de matériel très haut de gamme
Dis donc, ça ne doit pas être du menu fretin, parce que, même si, à regarder la télé. on a souvent l'impression que tous les musiciens sont millionnaires, en général, ils sont plutôt crève-la-faim.
C'est tellement chiant que la radio nous rejoue toujours les mêmes bêtises commerciales. Bah... parfois, ce n'est pas mauvais, mais il y a des choses qui sont tellement différentes mais qui ne jouent que «tard la nuit, quand tout le monde est parti» ou dans les radios communautaires avec des émetteurs de 100 watts.
J'ai chez moi un CD intitulé «4:00 pm Jazz'n'Blues». C'est bluesé, funky, avec de temps à autre un petit solo, un de basse que j'écoute justement actuellement, qui n'est pas piqué des vers du tout. C'est assez sage, ça va off-key juste assez pour mettre un peu de sel. Ça paraît presque pas :) Ça brasse assez gentiment, quoi!
Il y a aussi des moments d'accalmie avec des glissendo sur la basse, le piano qui délie ses notes claires sur la paresse d'un orgue Hammond, comme un rayon de soleil qui taquine le sable chaud. Il me semble que M. Tout-le-Monde apprécierait, quoi!
J'avais entendu ça à la radio communautaire il y a quelques années. Bien, une chance que le gars qui mène le groupe s'appelle DePetrillo, je n'aurais jamais pu mettre la main sur le CD autrement: des DePetrillo, il n'y en a pas des tonnes à Montréal, alors je suis allé chercher deux CD chez lui. Il n'était nulle part dans les magasins.
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur des tracks de percussion.
Il y a des moments où j'ai l'impression qu'on me vole mon monde...
GP
-----= Posted via Newsfeeds.Com, Uncensored Usenet News =----- http://www.newsfeeds.com - The #1 Newsgroup Service in the World! -----== Over 100,000 Newsgroups - 19 Different Servers! =-----
Emmanuel Florac wrote:
Dans article <3fe396f5$1_6@corp.newsgroups.com>,
gilpel@inverse.nretla.org disait...
plutôt que de leurs propres preformances
avec le matériel dont ils disposent, qui arrivent au meilleur résultat?
J'en connais même qui ont beaucoup d'argent et des
centaines de milliers d'euros de matériel très haut de gamme
Dis donc, ça ne doit pas être du menu fretin, parce que, même si, à
regarder la télé. on a souvent l'impression que tous les musiciens
sont millionnaires, en général, ils sont plutôt crève-la-faim.
C'est tellement chiant que la radio nous rejoue toujours les mêmes
bêtises commerciales. Bah... parfois, ce n'est pas mauvais, mais il y
a des choses qui sont tellement différentes mais qui ne jouent que
«tard la nuit, quand tout le monde est parti» ou dans les radios
communautaires avec des émetteurs de 100 watts.
J'ai chez moi un CD intitulé «4:00 pm Jazz'n'Blues». C'est bluesé,
funky, avec de temps à autre un petit solo, un de basse que j'écoute
justement actuellement, qui n'est pas piqué des vers du tout. C'est
assez sage, ça va off-key juste assez pour mettre un peu de sel. Ça
paraît presque pas :) Ça brasse assez gentiment, quoi!
Il y a aussi des moments d'accalmie avec des glissendo sur la basse,
le piano qui délie ses notes claires sur la paresse d'un orgue
Hammond, comme un rayon de soleil qui taquine le sable chaud. Il me
semble que M. Tout-le-Monde apprécierait, quoi!
J'avais entendu ça à la radio communautaire il y a quelques années.
Bien, une chance que le gars qui mène le groupe s'appelle DePetrillo,
je n'aurais jamais pu mettre la main sur le CD autrement: des
DePetrillo, il n'y en a pas des tonnes à Montréal, alors je suis allé
chercher deux CD chez lui. Il n'était nulle part dans les magasins.
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou
quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je
trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales
tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur
des tracks de percussion.
Il y a des moments où j'ai l'impression qu'on me vole mon monde...
GP
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plutôt que de leurs propres preformances avec le matériel dont ils disposent, qui arrivent au meilleur résultat?
J'en connais même qui ont beaucoup d'argent et des centaines de milliers d'euros de matériel très haut de gamme
Dis donc, ça ne doit pas être du menu fretin, parce que, même si, à regarder la télé. on a souvent l'impression que tous les musiciens sont millionnaires, en général, ils sont plutôt crève-la-faim.
C'est tellement chiant que la radio nous rejoue toujours les mêmes bêtises commerciales. Bah... parfois, ce n'est pas mauvais, mais il y a des choses qui sont tellement différentes mais qui ne jouent que «tard la nuit, quand tout le monde est parti» ou dans les radios communautaires avec des émetteurs de 100 watts.
J'ai chez moi un CD intitulé «4:00 pm Jazz'n'Blues». C'est bluesé, funky, avec de temps à autre un petit solo, un de basse que j'écoute justement actuellement, qui n'est pas piqué des vers du tout. C'est assez sage, ça va off-key juste assez pour mettre un peu de sel. Ça paraît presque pas :) Ça brasse assez gentiment, quoi!
Il y a aussi des moments d'accalmie avec des glissendo sur la basse, le piano qui délie ses notes claires sur la paresse d'un orgue Hammond, comme un rayon de soleil qui taquine le sable chaud. Il me semble que M. Tout-le-Monde apprécierait, quoi!
J'avais entendu ça à la radio communautaire il y a quelques années. Bien, une chance que le gars qui mène le groupe s'appelle DePetrillo, je n'aurais jamais pu mettre la main sur le CD autrement: des DePetrillo, il n'y en a pas des tonnes à Montréal, alors je suis allé chercher deux CD chez lui. Il n'était nulle part dans les magasins.
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur des tracks de percussion.
Il y a des moments où j'ai l'impression qu'on me vole mon monde...
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Lea Gris
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur des tracks de percussion.
Il y a des moments où j'ai l'impression qu'on me vole mon monde...
<http://artlibre.org/>
-- Léa Gris () Campagne du ruban texte brut contre les courriels en HTML, / contre les pièces jointes Microsoft.
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou
quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je
trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales
tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur
des tracks de percussion.
Il y a des moments où j'ai l'impression qu'on me vole mon monde...
<http://artlibre.org/>
--
Léa Gris
() Campagne du ruban texte brut contre les courriels en HTML,
/ contre les pièces jointes Microsoft.
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur des tracks de percussion.
Il y a des moments où j'ai l'impression qu'on me vole mon monde...
<http://artlibre.org/>
-- Léa Gris () Campagne du ruban texte brut contre les courriels en HTML, / contre les pièces jointes Microsoft.
Manuel Leclerc
Il y a des moments où j'ai l'impression qu'on me vole mon monde...
Comme des millions de vieux avant toi, pépé.
Il y a des moments où j'ai l'impression
qu'on me vole mon monde...
Il y a des moments où j'ai l'impression qu'on me vole mon monde...
Comme des millions de vieux avant toi, pépé.
Emmanuel Florac
Dans article <3fe4af5a$, disait...
Dis donc, ça ne doit pas être du menu fretin,
C'est Michel Sanchez, de Deep Forest. Un gars super, qui a galéré pas mal et "fait des ménages" pour bouffer. Il a longtemps tenu les claviers de Herbert Léonard (mfffh), par exemple...
parce que, même si, à regarder la télé. on a souvent l'impression que tous les musiciens sont millionnaires, en général, ils sont plutôt crève-la-faim.
En effet. Enfin ceux qui ont vraiment ça dans les tripes font avec et s'en sortent tout de même. Personnellement, j'ai lâché prise...
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur des tracks de percussion.
Tu sais, je crois que tu te laisses illusioner par la furie médiatique. Il y a des tas de musiciens, qui vivotent en faisant des petits concerts et des pianos-bars, et malgré toute la couverture qu'on peut donner à la soupe commerciale les artistes continueront de bosser parce que c'est leur truc, et de créer, et d'être plus nombreux que les vendeurs de soupe. En fait c'est un autre monde, une autre économie. On pourrait tout simplement jeter la musique commerciale et les maisons de disques à la mer... mais quoi qu'il en soit ils ne pourront empêcher les autres d'exister.
-- Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
Dans article <3fe4af5a$1_8@corp.newsgroups.com>,
gilpel@inverse.nretla.org disait...
Dis donc, ça ne doit pas être du menu fretin,
C'est Michel Sanchez, de Deep Forest. Un gars super, qui a galéré pas mal
et "fait des ménages" pour bouffer. Il a longtemps tenu les claviers de
Herbert Léonard (mfffh), par exemple...
parce que, même si, à
regarder la télé. on a souvent l'impression que tous les musiciens
sont millionnaires, en général, ils sont plutôt crève-la-faim.
En effet. Enfin ceux qui ont vraiment ça dans les tripes font avec et
s'en sortent tout de même. Personnellement, j'ai lâché prise...
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou
quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je
trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales
tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur
des tracks de percussion.
Tu sais, je crois que tu te laisses illusioner par la furie médiatique.
Il y a des tas de musiciens, qui vivotent en faisant des petits concerts
et des pianos-bars, et malgré toute la couverture qu'on peut donner à la
soupe commerciale les artistes continueront de bosser parce que c'est
leur truc, et de créer, et d'être plus nombreux que les vendeurs de
soupe. En fait c'est un autre monde, une autre économie. On pourrait tout
simplement jeter la musique commerciale et les maisons de disques à la
mer... mais quoi qu'il en soit ils ne pourront empêcher les autres
d'exister.
--
Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
C'est Michel Sanchez, de Deep Forest. Un gars super, qui a galéré pas mal et "fait des ménages" pour bouffer. Il a longtemps tenu les claviers de Herbert Léonard (mfffh), par exemple...
parce que, même si, à regarder la télé. on a souvent l'impression que tous les musiciens sont millionnaires, en général, ils sont plutôt crève-la-faim.
En effet. Enfin ceux qui ont vraiment ça dans les tripes font avec et s'en sortent tout de même. Personnellement, j'ai lâché prise...
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur des tracks de percussion.
Tu sais, je crois que tu te laisses illusioner par la furie médiatique. Il y a des tas de musiciens, qui vivotent en faisant des petits concerts et des pianos-bars, et malgré toute la couverture qu'on peut donner à la soupe commerciale les artistes continueront de bosser parce que c'est leur truc, et de créer, et d'être plus nombreux que les vendeurs de soupe. En fait c'est un autre monde, une autre économie. On pourrait tout simplement jeter la musique commerciale et les maisons de disques à la mer... mais quoi qu'il en soit ils ne pourront empêcher les autres d'exister.
-- Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
GP
Emmanuel Florac wrote:
Dans article <3fe4af5a$, disait...
Dis donc, ça ne doit pas être du menu fretin,
C'est Michel Sanchez, de Deep Forest.
ai entendu le nom mais, là encore, cMest le genre de chose qu'on n'entend pas beaucoup à la radio.
parce que, même si, à regarder la télé. on a souvent l'impression que tous les musiciens sont millionnaires, en général, ils sont plutôt crève-la-faim.
En effet. Enfin ceux qui ont vraiment ça dans les tripes font avec et s'en sortent tout de même.
«S'en sortent», comme tu dis. Et ce sont rarement ceux qui ont plus de talent qui s'en sortent le mieux.
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur des tracks de percussion.
Tu sais, je crois que tu te laisses illusioner par la furie médiatique. Il y a des tas de musiciens, qui vivotent en faisant des petits concerts et des pianos-bars, et malgré toute la couverture qu'on peut donner à la soupe commerciale les artistes continueront de bosser parce que c'est leur truc, et de créer, et d'être plus nombreux que les vendeurs de soupe. En fait c'est un autre monde, une autre économie. On pourrait tout simplement jeter la musique commerciale et les maisons de disques à la mer... mais quoi qu'il en soit ils ne pourront empêcher les autres d'exister.
Je comprends bien cela. Un bon musicien, il jette son chapeau par terre et il ne crève pas de faim, mais il y en a qui méritent tellement mieux que ça.
GP
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Emmanuel Florac wrote:
Dans article <3fe4af5a$1_8@corp.newsgroups.com>,
gilpel@inverse.nretla.org disait...
Dis donc, ça ne doit pas être du menu fretin,
C'est Michel Sanchez, de Deep Forest.
ai entendu le nom mais, là encore, cMest le genre de chose qu'on
n'entend pas beaucoup à la radio.
parce que, même si, à
regarder la télé. on a souvent l'impression que tous les musiciens
sont millionnaires, en général, ils sont plutôt crève-la-faim.
En effet. Enfin ceux qui ont vraiment ça dans les tripes font avec et
s'en sortent tout de même.
«S'en sortent», comme tu dis. Et ce sont rarement ceux qui ont plus de
talent qui s'en sortent le mieux.
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou
quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je
trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales
tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur
des tracks de percussion.
Tu sais, je crois que tu te laisses illusioner par la furie médiatique.
Il y a des tas de musiciens, qui vivotent en faisant des petits concerts
et des pianos-bars, et malgré toute la couverture qu'on peut donner à la
soupe commerciale les artistes continueront de bosser parce que c'est
leur truc, et de créer, et d'être plus nombreux que les vendeurs de
soupe. En fait c'est un autre monde, une autre économie. On pourrait tout
simplement jeter la musique commerciale et les maisons de disques à la
mer... mais quoi qu'il en soit ils ne pourront empêcher les autres
d'exister.
Je comprends bien cela. Un bon musicien, il jette son chapeau par
terre et il ne crève pas de faim, mais il y en a qui méritent
tellement mieux que ça.
GP
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ai entendu le nom mais, là encore, cMest le genre de chose qu'on n'entend pas beaucoup à la radio.
parce que, même si, à regarder la télé. on a souvent l'impression que tous les musiciens sont millionnaires, en général, ils sont plutôt crève-la-faim.
En effet. Enfin ceux qui ont vraiment ça dans les tripes font avec et s'en sortent tout de même.
«S'en sortent», comme tu dis. Et ce sont rarement ceux qui ont plus de talent qui s'en sortent le mieux.
Le DePetrillo en question, je pense qu'il est vendeur de souliers ou quelque chose comme. Il y en a beaucoup de ces talents oubliés et je trouve que c'est un scandale sans nom alors que les multinationales tentent de mettre en marché des gens qui tapochent n'importe quoi sur des tracks de percussion.
Tu sais, je crois que tu te laisses illusioner par la furie médiatique. Il y a des tas de musiciens, qui vivotent en faisant des petits concerts et des pianos-bars, et malgré toute la couverture qu'on peut donner à la soupe commerciale les artistes continueront de bosser parce que c'est leur truc, et de créer, et d'être plus nombreux que les vendeurs de soupe. En fait c'est un autre monde, une autre économie. On pourrait tout simplement jeter la musique commerciale et les maisons de disques à la mer... mais quoi qu'il en soit ils ne pourront empêcher les autres d'exister.
Je comprends bien cela. Un bon musicien, il jette son chapeau par terre et il ne crève pas de faim, mais il y en a qui méritent tellement mieux que ça.
GP
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Emmanuel Florac
Dans article , disait...
C'est Michel Sanchez, de Deep Forest.
ai entendu le nom mais, là encore, cMest le genre de chose qu'on n'entend pas beaucoup à la radio.
Oui, enfin ils ont vendu une vingtaine de millions de disques quand même ;) Mais quand je l'ai connu c'était avant qu'il ait rencontré le succès.
«S'en sortent», comme tu dis. Et ce sont rarement ceux qui ont plus de talent qui s'en sortent le mieux.
Tu sais, ceux qui font la musique commerciale s'appliquent certainement de leur mieux :)
-- Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
Dans article <3fe61dc8_6@corp.newsgroups.com>, gilpel@inverse.nretla.org
disait...
C'est Michel Sanchez, de Deep Forest.
ai entendu le nom mais, là encore, cMest le genre de chose qu'on
n'entend pas beaucoup à la radio.
Oui, enfin ils ont vendu une vingtaine de millions de disques quand même
;) Mais quand je l'ai connu c'était avant qu'il ait rencontré le succès.
«S'en sortent», comme tu dis. Et ce sont rarement ceux qui ont plus de
talent qui s'en sortent le mieux.
Tu sais, ceux qui font la musique commerciale s'appliquent certainement
de leur mieux :)
--
Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando?
