Nestor le pingouin fabriqué en France a écrit :Hein ? Mais si ce n'est pas crypté, c'est public.
Erreur !
Le corollaire impliquerait que tout ce qui est privé devrait être crypté.Vous êtes en train de dire que si on affiche "Merde à celui qui le lira"
sur une feuille A4 collée sur un platane, ceux qui le lisent n'ont pas
le droit de répéter ce qu'ils ont lu, c'est ça ?
Exactement, car le platane est situé sur une parcelle de terrain dont l'usage
est privé et/ou réglementé.
Nestor le pingouin fabriqué en France a écrit :
Hein ? Mais si ce n'est pas crypté, c'est public.
Erreur !
Le corollaire impliquerait que tout ce qui est privé devrait être crypté.
Vous êtes en train de dire que si on affiche "Merde à celui qui le lira"
sur une feuille A4 collée sur un platane, ceux qui le lisent n'ont pas
le droit de répéter ce qu'ils ont lu, c'est ça ?
Exactement, car le platane est situé sur une parcelle de terrain dont l'usage
est privé et/ou réglementé.
Nestor le pingouin fabriqué en France a écrit :Hein ? Mais si ce n'est pas crypté, c'est public.
Erreur !
Le corollaire impliquerait que tout ce qui est privé devrait être crypté.Vous êtes en train de dire que si on affiche "Merde à celui qui le lira"
sur une feuille A4 collée sur un platane, ceux qui le lisent n'ont pas
le droit de répéter ce qu'ils ont lu, c'est ça ?
Exactement, car le platane est situé sur une parcelle de terrain dont l'usage
est privé et/ou réglementé.
même sur les bandes radio-amateur, il y a des licences "écouteur".
même sur les bandes radio-amateur, il y a des licences "écouteur".
même sur les bandes radio-amateur, il y a des licences "écouteur".
Exactement, car le platane est situé sur une parcelle de terrain dont
l'usage est privé et/ou réglementé.
De sorte que si j'écris sur le portail de mon jardin sur une affiche A1
"MERDE A PIERRE PAUL", celui-ci n'a pas le droit de m'attraire devant le
TGI pour insulte publique
Exactement, car le platane est situé sur une parcelle de terrain dont
l'usage est privé et/ou réglementé.
De sorte que si j'écris sur le portail de mon jardin sur une affiche A1
"MERDE A PIERRE PAUL", celui-ci n'a pas le droit de m'attraire devant le
TGI pour insulte publique
Exactement, car le platane est situé sur une parcelle de terrain dont
l'usage est privé et/ou réglementé.
De sorte que si j'écris sur le portail de mon jardin sur une affiche A1
"MERDE A PIERRE PAUL", celui-ci n'a pas le droit de m'attraire devant le
TGI pour insulte publique
moisse a écrit :Exactement, car le platane est situé sur une parcelle de terrain dont
l'usage est privé et/ou réglementé.De sorte que si j'écris sur le portail de mon jardin sur une affiche A1
"MERDE A PIERRE PAUL", celui-ci n'a pas le droit de m'attraire devant le
TGI pour insulte publique
Pas sur le portail de votre jardin mais plutôt dans vos toilettes, en
supposant que la dite affiche est visible de loin par le vasistas et en
utilisant une longue vue. ;)
Veuillez aussi considérer que si dans le cas de la CB le contenu des
communications est libre, il ne l'est pas dans le cas des radioamateurs ce
qui exclus les informations privées.
Les motifs pour poursuivre les premiers ne doivent pas manquer, exactement
comme au sein d'un bistrot plus ou moins bien fréquenté selon les heures mais
cela risque d'être difficile puisqu'ils agissent de manière totalement
anonyme.
Les motifs pour poursuivre les seconds sont rares voire inexistants et pour
deux raisons : le contenu des échanges par radio d'amateur est strictement
réglementé et ceux-ci s'effectuent sous la surveillance de l'administration
qui peut sanctionner et retirer les licences tout comme elle les attribue.
Quant à la radiodiffusion, j'ai comme l'impression que c'est du même ordre
que pour la presse écrite.
Dans tous les autres cas, il s'agit de communications *privées* et je suppose
que, dans ce cadre, j'ai la possibilité de dire à mon correspondant que
'moise' est un 'enfoiré de poildecuteur' puisque de toute façon il n'en saura
rien ou ne pourra en faire état puisqu'ayant appris cela de manière illégale.
moisse a écrit :
Exactement, car le platane est situé sur une parcelle de terrain dont
l'usage est privé et/ou réglementé.
De sorte que si j'écris sur le portail de mon jardin sur une affiche A1
"MERDE A PIERRE PAUL", celui-ci n'a pas le droit de m'attraire devant le
TGI pour insulte publique
Pas sur le portail de votre jardin mais plutôt dans vos toilettes, en
supposant que la dite affiche est visible de loin par le vasistas et en
utilisant une longue vue. ;)
Veuillez aussi considérer que si dans le cas de la CB le contenu des
communications est libre, il ne l'est pas dans le cas des radioamateurs ce
qui exclus les informations privées.
Les motifs pour poursuivre les premiers ne doivent pas manquer, exactement
comme au sein d'un bistrot plus ou moins bien fréquenté selon les heures mais
cela risque d'être difficile puisqu'ils agissent de manière totalement
anonyme.
Les motifs pour poursuivre les seconds sont rares voire inexistants et pour
deux raisons : le contenu des échanges par radio d'amateur est strictement
réglementé et ceux-ci s'effectuent sous la surveillance de l'administration
qui peut sanctionner et retirer les licences tout comme elle les attribue.
Quant à la radiodiffusion, j'ai comme l'impression que c'est du même ordre
que pour la presse écrite.
Dans tous les autres cas, il s'agit de communications *privées* et je suppose
que, dans ce cadre, j'ai la possibilité de dire à mon correspondant que
'moise' est un 'enfoiré de poildecuteur' puisque de toute façon il n'en saura
rien ou ne pourra en faire état puisqu'ayant appris cela de manière illégale.
moisse a écrit :Exactement, car le platane est situé sur une parcelle de terrain dont
l'usage est privé et/ou réglementé.De sorte que si j'écris sur le portail de mon jardin sur une affiche A1
"MERDE A PIERRE PAUL", celui-ci n'a pas le droit de m'attraire devant le
TGI pour insulte publique
Pas sur le portail de votre jardin mais plutôt dans vos toilettes, en
supposant que la dite affiche est visible de loin par le vasistas et en
utilisant une longue vue. ;)
Veuillez aussi considérer que si dans le cas de la CB le contenu des
communications est libre, il ne l'est pas dans le cas des radioamateurs ce
qui exclus les informations privées.
Les motifs pour poursuivre les premiers ne doivent pas manquer, exactement
comme au sein d'un bistrot plus ou moins bien fréquenté selon les heures mais
cela risque d'être difficile puisqu'ils agissent de manière totalement
anonyme.
Les motifs pour poursuivre les seconds sont rares voire inexistants et pour
deux raisons : le contenu des échanges par radio d'amateur est strictement
réglementé et ceux-ci s'effectuent sous la surveillance de l'administration
qui peut sanctionner et retirer les licences tout comme elle les attribue.
Quant à la radiodiffusion, j'ai comme l'impression que c'est du même ordre
que pour la presse écrite.
Dans tous les autres cas, il s'agit de communications *privées* et je suppose
que, dans ce cadre, j'ai la possibilité de dire à mon correspondant que
'moise' est un 'enfoiré de poildecuteur' puisque de toute façon il n'en saura
rien ou ne pourra en faire état puisqu'ayant appris cela de manière illégale.
Nestor le pingouin fabriqué en France a écrit :Ben oui, j'ai même donné l'article du CP.Non, l'article que vous avez cité concerne :
1/ des lignes téléphoniques
2/ des réseaux informatiques
Pas des réseaux *informatiques* mais des *réseaux* tout court.
Donc, cela comprend aussi les réseaux de (télé)communications, qu'ils
soient analogiques ou numériques, établis par radio ou par fil, et
quel que soit le contenu (voix, données).Dans les deux cas, c'est comme ouvrir une lettre, pas comme lire ce
qui est écrit sur un papier affiché en pleine rue.
Il n'y a que très peu de "rues" non privées sur le terrain du spectre
radioélectrique, seulement 3 :
- Radio(tv)diffusion
- CB
- Radioamateurs
Seule la CB est une rue que tout citoyen peut utiliser dans les deux
sens de circulation sans autre autorisation que celle attachée au
matériel utilisable.
Il n'y a pas non plus de passerelle entre ces 3 voies de
communication, donc aucun mélange des genres : la radiodiffusion est
une voie à sens unique, la CB et les Radioamateurs ne peuvent pas
faire de radiodiffusion, un radioamateur qui utilise une CB ou un
matériel d'un réseau privé n'est plus radioamateur dans ce cadre, un
cibiste n'est en aucun cas un radioamateur ou un utilisateur de réseau
privé, etc.
Seules ces 3 catégories peuvent être librement reçues et écoutées.
Pour tout le reste, s'agissant de réseaux *privés*, le Code Pénal
s'applique.
Ce n'est pas parce qu'une émission radio est librement écoutable qu'il
faut en déduire qu'il est autorisé de la copier pour un usage autre
que personnel.
Quant au sujet initial de ce fil, le communicateur en question est
présenté comme ayant deux casquettes : radioamateur ET ambulancier. Il
faut donc savoir dans quel cadre la communication enregistrée a été
établie.
S'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire du
matériel de l'ambulance, donc un réseau privé impliquant que les
autres qualités de l'opérateur sont sans rapport ni intérêt
(radioamateur, dans le cas présent) ?
Ou s'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire d'une
station radioamateur en dehors de son usage habituel mais dans le
cadre strict d'une mission liée à la sécurité civile et sous la
responsabilité du préfet, activité prévue par les textes ?
Dans le premier cas, l'écoute et à plus forte raison l'enregistrement
et la diffusion n'est pas autorisée.
Dans le deuxième cas, même si l'écoute est libre puisque les messages
sont échangés sur des fréquences réservées à des stations
radioamateur, je doute fort qu'il soit légalement possible de les
reproduire sans l'autorisation des personnes concernées ou de leurs
ayant-droits.
Nestor le pingouin fabriqué en France a écrit :
Ben oui, j'ai même donné l'article du CP.
Non, l'article que vous avez cité concerne :
1/ des lignes téléphoniques
2/ des réseaux informatiques
Pas des réseaux *informatiques* mais des *réseaux* tout court.
Donc, cela comprend aussi les réseaux de (télé)communications, qu'ils
soient analogiques ou numériques, établis par radio ou par fil, et
quel que soit le contenu (voix, données).
Dans les deux cas, c'est comme ouvrir une lettre, pas comme lire ce
qui est écrit sur un papier affiché en pleine rue.
Il n'y a que très peu de "rues" non privées sur le terrain du spectre
radioélectrique, seulement 3 :
- Radio(tv)diffusion
- CB
- Radioamateurs
Seule la CB est une rue que tout citoyen peut utiliser dans les deux
sens de circulation sans autre autorisation que celle attachée au
matériel utilisable.
Il n'y a pas non plus de passerelle entre ces 3 voies de
communication, donc aucun mélange des genres : la radiodiffusion est
une voie à sens unique, la CB et les Radioamateurs ne peuvent pas
faire de radiodiffusion, un radioamateur qui utilise une CB ou un
matériel d'un réseau privé n'est plus radioamateur dans ce cadre, un
cibiste n'est en aucun cas un radioamateur ou un utilisateur de réseau
privé, etc.
Seules ces 3 catégories peuvent être librement reçues et écoutées.
Pour tout le reste, s'agissant de réseaux *privés*, le Code Pénal
s'applique.
Ce n'est pas parce qu'une émission radio est librement écoutable qu'il
faut en déduire qu'il est autorisé de la copier pour un usage autre
que personnel.
Quant au sujet initial de ce fil, le communicateur en question est
présenté comme ayant deux casquettes : radioamateur ET ambulancier. Il
faut donc savoir dans quel cadre la communication enregistrée a été
établie.
S'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire du
matériel de l'ambulance, donc un réseau privé impliquant que les
autres qualités de l'opérateur sont sans rapport ni intérêt
(radioamateur, dans le cas présent) ?
Ou s'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire d'une
station radioamateur en dehors de son usage habituel mais dans le
cadre strict d'une mission liée à la sécurité civile et sous la
responsabilité du préfet, activité prévue par les textes ?
Dans le premier cas, l'écoute et à plus forte raison l'enregistrement
et la diffusion n'est pas autorisée.
Dans le deuxième cas, même si l'écoute est libre puisque les messages
sont échangés sur des fréquences réservées à des stations
radioamateur, je doute fort qu'il soit légalement possible de les
reproduire sans l'autorisation des personnes concernées ou de leurs
ayant-droits.
Nestor le pingouin fabriqué en France a écrit :Ben oui, j'ai même donné l'article du CP.Non, l'article que vous avez cité concerne :
1/ des lignes téléphoniques
2/ des réseaux informatiques
Pas des réseaux *informatiques* mais des *réseaux* tout court.
Donc, cela comprend aussi les réseaux de (télé)communications, qu'ils
soient analogiques ou numériques, établis par radio ou par fil, et
quel que soit le contenu (voix, données).Dans les deux cas, c'est comme ouvrir une lettre, pas comme lire ce
qui est écrit sur un papier affiché en pleine rue.
Il n'y a que très peu de "rues" non privées sur le terrain du spectre
radioélectrique, seulement 3 :
- Radio(tv)diffusion
- CB
- Radioamateurs
Seule la CB est une rue que tout citoyen peut utiliser dans les deux
sens de circulation sans autre autorisation que celle attachée au
matériel utilisable.
Il n'y a pas non plus de passerelle entre ces 3 voies de
communication, donc aucun mélange des genres : la radiodiffusion est
une voie à sens unique, la CB et les Radioamateurs ne peuvent pas
faire de radiodiffusion, un radioamateur qui utilise une CB ou un
matériel d'un réseau privé n'est plus radioamateur dans ce cadre, un
cibiste n'est en aucun cas un radioamateur ou un utilisateur de réseau
privé, etc.
Seules ces 3 catégories peuvent être librement reçues et écoutées.
Pour tout le reste, s'agissant de réseaux *privés*, le Code Pénal
s'applique.
Ce n'est pas parce qu'une émission radio est librement écoutable qu'il
faut en déduire qu'il est autorisé de la copier pour un usage autre
que personnel.
Quant au sujet initial de ce fil, le communicateur en question est
présenté comme ayant deux casquettes : radioamateur ET ambulancier. Il
faut donc savoir dans quel cadre la communication enregistrée a été
établie.
S'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire du
matériel de l'ambulance, donc un réseau privé impliquant que les
autres qualités de l'opérateur sont sans rapport ni intérêt
(radioamateur, dans le cas présent) ?
Ou s'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire d'une
station radioamateur en dehors de son usage habituel mais dans le
cadre strict d'une mission liée à la sécurité civile et sous la
responsabilité du préfet, activité prévue par les textes ?
Dans le premier cas, l'écoute et à plus forte raison l'enregistrement
et la diffusion n'est pas autorisée.
Dans le deuxième cas, même si l'écoute est libre puisque les messages
sont échangés sur des fréquences réservées à des stations
radioamateur, je doute fort qu'il soit légalement possible de les
reproduire sans l'autorisation des personnes concernées ou de leurs
ayant-droits.
"Pierre Paul" a écrit dans le message de
news: 50ffb324$0$1932$S'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire du
matériel de l'ambulance, donc un réseau privé impliquant que les
autres qualités de l'opérateur sont sans rapport ni intérêt
(radioamateur, dans le cas présent) ?
Ou s'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire d'une
station radioamateur en dehors de son usage habituel mais dans le
cadre strict d'une mission liée à la sécurité civile et sous la
responsabilité du préfet, activité prévue par les textes ?
Dans le premier cas, l'écoute et à plus forte raison l'enregistrement
et la diffusion n'est pas autorisée.
Dans le deuxième cas, même si l'écoute est libre puisque les messages
sont échangés sur des fréquences réservées à des stations
radioamateur, je doute fort qu'il soit légalement possible de les
reproduire sans l'autorisation des personnes concernées ou de leurs
ayant-droits.
Bonsoir,
Il s'agit d'enregistrements entre le lieu du sinistre et une station RA
sise en préfecture, donnés par celui qui les a réalisés dans le cadre
d'une mission de sauvetage, et décédé depuis qu'il me les a passés....
C'était il y a plus de 40 ans ! 27 octobre 1972
Existe t-il un délai permettant de communiquer ce type de document ????
L'INA en a ressorti en septembre 2012 sur le même sujet !!!
Et je n'ai pas donné suite à mon idée de transmettre ce fichier son aux
descendants du commandant de bord de ce vol....
Simplement sa fille sait que je le possède !
Serge
"Pierre Paul" <pierre-paul_nospam@yahoo.fr> a écrit dans le message de
news: 50ffb324$0$1932$426a34cc@news.free.fr...
S'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire du
matériel de l'ambulance, donc un réseau privé impliquant que les
autres qualités de l'opérateur sont sans rapport ni intérêt
(radioamateur, dans le cas présent) ?
Ou s'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire d'une
station radioamateur en dehors de son usage habituel mais dans le
cadre strict d'une mission liée à la sécurité civile et sous la
responsabilité du préfet, activité prévue par les textes ?
Dans le premier cas, l'écoute et à plus forte raison l'enregistrement
et la diffusion n'est pas autorisée.
Dans le deuxième cas, même si l'écoute est libre puisque les messages
sont échangés sur des fréquences réservées à des stations
radioamateur, je doute fort qu'il soit légalement possible de les
reproduire sans l'autorisation des personnes concernées ou de leurs
ayant-droits.
Bonsoir,
Il s'agit d'enregistrements entre le lieu du sinistre et une station RA
sise en préfecture, donnés par celui qui les a réalisés dans le cadre
d'une mission de sauvetage, et décédé depuis qu'il me les a passés....
C'était il y a plus de 40 ans ! 27 octobre 1972
Existe t-il un délai permettant de communiquer ce type de document ????
L'INA en a ressorti en septembre 2012 sur le même sujet !!!
Et je n'ai pas donné suite à mon idée de transmettre ce fichier son aux
descendants du commandant de bord de ce vol....
Simplement sa fille sait que je le possède !
Serge
"Pierre Paul" a écrit dans le message de
news: 50ffb324$0$1932$S'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire du
matériel de l'ambulance, donc un réseau privé impliquant que les
autres qualités de l'opérateur sont sans rapport ni intérêt
(radioamateur, dans le cas présent) ?
Ou s'agissait-il de messages radio échangés par l'intermédiaire d'une
station radioamateur en dehors de son usage habituel mais dans le
cadre strict d'une mission liée à la sécurité civile et sous la
responsabilité du préfet, activité prévue par les textes ?
Dans le premier cas, l'écoute et à plus forte raison l'enregistrement
et la diffusion n'est pas autorisée.
Dans le deuxième cas, même si l'écoute est libre puisque les messages
sont échangés sur des fréquences réservées à des stations
radioamateur, je doute fort qu'il soit légalement possible de les
reproduire sans l'autorisation des personnes concernées ou de leurs
ayant-droits.
Bonsoir,
Il s'agit d'enregistrements entre le lieu du sinistre et une station RA
sise en préfecture, donnés par celui qui les a réalisés dans le cadre
d'une mission de sauvetage, et décédé depuis qu'il me les a passés....
C'était il y a plus de 40 ans ! 27 octobre 1972
Existe t-il un délai permettant de communiquer ce type de document ????
L'INA en a ressorti en septembre 2012 sur le même sujet !!!
Et je n'ai pas donné suite à mon idée de transmettre ce fichier son aux
descendants du commandant de bord de ce vol....
Simplement sa fille sait que je le possède !
Serge
Dans tous les autres cas, il s'agit de communications *privées* et je
suppose que, dans ce cadre, j'ai la possibilité de dire à mon
correspondant que 'moise' est un 'enfoiré de poildecuteur' puisque de
toute façon il n'en saura rien ou ne pourra en faire état puisqu'ayant
appris cela de manière illégale.
C'est ce que vous croyez, c'est aussi ceux que croyaient les salariés
poursuivis ou licenciés par leur entreprise pour avoir communiqué en
termes choisis sur leur page facebook
UN excellent article de Me Cahen qui s'interesse depuis longtemps au
droit sur la toile :
www.murielle-cahen.com/publications/facebook-salarie.asp
Et l'injure non publique est constitutive d'une infraction code pénal
R621-2
Dans tous les autres cas, il s'agit de communications *privées* et je
suppose que, dans ce cadre, j'ai la possibilité de dire à mon
correspondant que 'moise' est un 'enfoiré de poildecuteur' puisque de
toute façon il n'en saura rien ou ne pourra en faire état puisqu'ayant
appris cela de manière illégale.
C'est ce que vous croyez, c'est aussi ceux que croyaient les salariés
poursuivis ou licenciés par leur entreprise pour avoir communiqué en
termes choisis sur leur page facebook
UN excellent article de Me Cahen qui s'interesse depuis longtemps au
droit sur la toile :
www.murielle-cahen.com/publications/facebook-salarie.asp
Et l'injure non publique est constitutive d'une infraction code pénal
R621-2
Dans tous les autres cas, il s'agit de communications *privées* et je
suppose que, dans ce cadre, j'ai la possibilité de dire à mon
correspondant que 'moise' est un 'enfoiré de poildecuteur' puisque de
toute façon il n'en saura rien ou ne pourra en faire état puisqu'ayant
appris cela de manière illégale.
C'est ce que vous croyez, c'est aussi ceux que croyaient les salariés
poursuivis ou licenciés par leur entreprise pour avoir communiqué en
termes choisis sur leur page facebook
UN excellent article de Me Cahen qui s'interesse depuis longtemps au
droit sur la toile :
www.murielle-cahen.com/publications/facebook-salarie.asp
Et l'injure non publique est constitutive d'une infraction code pénal
R621-2
moisse a écrit :Dans tous les autres cas, il s'agit de communications *privées* et je
suppose que, dans ce cadre, j'ai la possibilité de dire à mon
correspondant que 'moise' est un 'enfoiré de poildecuteur' puisque de
toute façon il n'en saura rien ou ne pourra en faire état puisqu'ayant
appris cela de manière illégale.C'est ce que vous croyez, c'est aussi ceux que croyaient les salariés
poursuivis ou licenciés par leur entreprise pour avoir communiqué en termes
choisis sur leur page facebook
UN excellent article de Me Cahen qui s'interesse depuis longtemps au droit
sur la toile :
www.murielle-cahen.com/publications/facebook-salarie.asp
Et l'injure non publique est constitutive d'une infraction code pénal
R621-2
Je ne suis pas sûr de bien comprendre votre exemple...
sur une feuille A4 collée sur un platane, ceux qui le lisent n'ont pas
le droit de répéter ce qu'ils ont lu, c'est ça ?
Votre comparaison avec des insultes ou dénigrements circulant sur un réseau
informatique d'entreprise ne tient par analogie que dans le cas où on serait
en présence d'une personne non autorisée à utiliser un réseau professionnel
pour des besoins personnels et qui insulterait de cette manière. Cela a par
exemple existé sous la forme d'émissions radio non autorisées effectuées sur
les fréquences aéronautiques. Mais cela reste une exception.
moisse a écrit :
Dans tous les autres cas, il s'agit de communications *privées* et je
suppose que, dans ce cadre, j'ai la possibilité de dire à mon
correspondant que 'moise' est un 'enfoiré de poildecuteur' puisque de
toute façon il n'en saura rien ou ne pourra en faire état puisqu'ayant
appris cela de manière illégale.
C'est ce que vous croyez, c'est aussi ceux que croyaient les salariés
poursuivis ou licenciés par leur entreprise pour avoir communiqué en termes
choisis sur leur page facebook
UN excellent article de Me Cahen qui s'interesse depuis longtemps au droit
sur la toile :
www.murielle-cahen.com/publications/facebook-salarie.asp
Et l'injure non publique est constitutive d'une infraction code pénal
R621-2
Je ne suis pas sûr de bien comprendre votre exemple...
sur une feuille A4 collée sur un platane, ceux qui le lisent n'ont pas
le droit de répéter ce qu'ils ont lu, c'est ça ?
Votre comparaison avec des insultes ou dénigrements circulant sur un réseau
informatique d'entreprise ne tient par analogie que dans le cas où on serait
en présence d'une personne non autorisée à utiliser un réseau professionnel
pour des besoins personnels et qui insulterait de cette manière. Cela a par
exemple existé sous la forme d'émissions radio non autorisées effectuées sur
les fréquences aéronautiques. Mais cela reste une exception.
moisse a écrit :Dans tous les autres cas, il s'agit de communications *privées* et je
suppose que, dans ce cadre, j'ai la possibilité de dire à mon
correspondant que 'moise' est un 'enfoiré de poildecuteur' puisque de
toute façon il n'en saura rien ou ne pourra en faire état puisqu'ayant
appris cela de manière illégale.C'est ce que vous croyez, c'est aussi ceux que croyaient les salariés
poursuivis ou licenciés par leur entreprise pour avoir communiqué en termes
choisis sur leur page facebook
UN excellent article de Me Cahen qui s'interesse depuis longtemps au droit
sur la toile :
www.murielle-cahen.com/publications/facebook-salarie.asp
Et l'injure non publique est constitutive d'une infraction code pénal
R621-2
Je ne suis pas sûr de bien comprendre votre exemple...
sur une feuille A4 collée sur un platane, ceux qui le lisent n'ont pas
le droit de répéter ce qu'ils ont lu, c'est ça ?
Votre comparaison avec des insultes ou dénigrements circulant sur un réseau
informatique d'entreprise ne tient par analogie que dans le cas où on serait
en présence d'une personne non autorisée à utiliser un réseau professionnel
pour des besoins personnels et qui insulterait de cette manière. Cela a par
exemple existé sous la forme d'émissions radio non autorisées effectuées sur
les fréquences aéronautiques. Mais cela reste une exception.