Puis-je dire moi-aussi ?
Une association de 10 000 individus c'est donc une machine infernale
qui ne dispose absolument pas des ressourcesnécessaires, humaines et
financières, pour satisfaire au moins 9000 clients exigeants et qui ne
s'associent à rien.
Quand aux 10 derniers, ils s'habituent à gérer plus ou moins
bien une "petite entreprise" avec les moyens du bord, le nez
dans le guidon.
Une solution à cela ? Au moins une : n'accepter que des membres qui
sont "en phase" avec les termes du contrat. Mais pour cela, il faut un
contrat auquel on puisse adhérer raisonnablement, un sens de la
responsabilité qui permette de faire la différence entre "une
adhésion" et un "billet d'entrée", et surtout de ne pas avoir besoin
de l'argent de cotisants pour survivre mais de leur participation
*permanente* (et positive !).
Le problème est là : une *association* doit-elle être pluraliste ?
Qu'il y ait des courants d'opinion, soit. Mais l'essentiel n'est-il
pas de viser en *permanence* le ou les objectifs pour lesquels on
s'est *associé*, et pour lesquels on apporte de manière *permanente*
ses *connaissances* ou son *activité* ?
Que faire (que doit faire le REF .. ou tt autre assoc qui en a
l'énergie et la volonté) pour arriver à fédérer tant de diversité.
Ne faudrait-il pas commencer par faire le point sur cette "diversité
d'individus" et recencer leurs similitudes d'intérêts J'insiste,
mais faut-il, dans une *association*, fédérer une diversité telle que
les points d'accroche sont à la limite de l'inexistant et donc à
l'origine d'un éclatement potentiel ? Cette recherche de "l'union" à
tout prix ne serait-elle pas plutôt motivée par "la chasse à
l'adhérent" pour cause de représentativité et de ressources
financières, donc parfois de survie ? Lorsque le contrat est caduque,
pourquoi vouloir survivre ? Ne serais-ce pas simplement le fait de
l'orgueil d'une poignée d'individus ?
J'ai lu dans un autre message "on n'attire pas les mouches avec du
vinaigre", il me semble. J'aurais préféré "on n'attire pas les
abeilles ..." car c'est bien d'abeilles dont une association a besoin,
pour leurs qualités, et non de mouches agitées et inconstantes,
attirées par on ne sait quoi et aussi vite parties qu'elles sont
arrivées, facilement déçues par les obstacles.
Mais dans une vraie *association*, la base est normalement quasiment
unanimement *adhérente* à la pensée contractuelle qui lui a été
proposée et qu'elle est libre de refuser en n'adhérant pas ou ensuite
en n'adhérant plus. Une association réelle vit et meure du flux de ses
"adhérents" et non de ses ressources en cotisations.
Dans certaines associations, il y a un principe différent : puisque
chaque membre *adhère* au contrat, il est à juste titre présent pour
travailler dans le sens de l'association en participant, et son
activité est mise à profit par une distribution cyclique des postes à
pourvoir. Personne ou presque n'échappe alors aux travaux à effectuer.
Quant aux compétences nécessaires, c'est comme pour le
radioamateurisme : il faut un minimum pour entrer dans le groupe et
ensuite on écoute, on apprend, on se fait aider et on avance, le
groupe avançant aussi dans le même temps.
D'ou la grande importance de la rigueur absolu dans une gestion
transparente .. seule voie de "survie" des associations.
Bien entendu. Mais transparente pour les personnes concernées c'est à
dire les *adhérents* et accessoirement les organismes dont la loi
leur reconnaît un droit d'ingérence.
Puis-je dire moi-aussi ?
Une association de 10 000 individus c'est donc une machine infernale
qui ne dispose absolument pas des ressourcesnécessaires, humaines et
financières, pour satisfaire au moins 9000 clients exigeants et qui ne
s'associent à rien.
Quand aux 10 derniers, ils s'habituent à gérer plus ou moins
bien une "petite entreprise" avec les moyens du bord, le nez
dans le guidon.
Une solution à cela ? Au moins une : n'accepter que des membres qui
sont "en phase" avec les termes du contrat. Mais pour cela, il faut un
contrat auquel on puisse adhérer raisonnablement, un sens de la
responsabilité qui permette de faire la différence entre "une
adhésion" et un "billet d'entrée", et surtout de ne pas avoir besoin
de l'argent de cotisants pour survivre mais de leur participation
*permanente* (et positive !).
Le problème est là : une *association* doit-elle être pluraliste ?
Qu'il y ait des courants d'opinion, soit. Mais l'essentiel n'est-il
pas de viser en *permanence* le ou les objectifs pour lesquels on
s'est *associé*, et pour lesquels on apporte de manière *permanente*
ses *connaissances* ou son *activité* ?
Que faire (que doit faire le REF .. ou tt autre assoc qui en a
l'énergie et la volonté) pour arriver à fédérer tant de diversité.
Ne faudrait-il pas commencer par faire le point sur cette "diversité
d'individus" et recencer leurs similitudes d'intérêts J'insiste,
mais faut-il, dans une *association*, fédérer une diversité telle que
les points d'accroche sont à la limite de l'inexistant et donc à
l'origine d'un éclatement potentiel ? Cette recherche de "l'union" à
tout prix ne serait-elle pas plutôt motivée par "la chasse à
l'adhérent" pour cause de représentativité et de ressources
financières, donc parfois de survie ? Lorsque le contrat est caduque,
pourquoi vouloir survivre ? Ne serais-ce pas simplement le fait de
l'orgueil d'une poignée d'individus ?
J'ai lu dans un autre message "on n'attire pas les mouches avec du
vinaigre", il me semble. J'aurais préféré "on n'attire pas les
abeilles ..." car c'est bien d'abeilles dont une association a besoin,
pour leurs qualités, et non de mouches agitées et inconstantes,
attirées par on ne sait quoi et aussi vite parties qu'elles sont
arrivées, facilement déçues par les obstacles.
Mais dans une vraie *association*, la base est normalement quasiment
unanimement *adhérente* à la pensée contractuelle qui lui a été
proposée et qu'elle est libre de refuser en n'adhérant pas ou ensuite
en n'adhérant plus. Une association réelle vit et meure du flux de ses
"adhérents" et non de ses ressources en cotisations.
Dans certaines associations, il y a un principe différent : puisque
chaque membre *adhère* au contrat, il est à juste titre présent pour
travailler dans le sens de l'association en participant, et son
activité est mise à profit par une distribution cyclique des postes à
pourvoir. Personne ou presque n'échappe alors aux travaux à effectuer.
Quant aux compétences nécessaires, c'est comme pour le
radioamateurisme : il faut un minimum pour entrer dans le groupe et
ensuite on écoute, on apprend, on se fait aider et on avance, le
groupe avançant aussi dans le même temps.
D'ou la grande importance de la rigueur absolu dans une gestion
transparente .. seule voie de "survie" des associations.
Bien entendu. Mais transparente pour les personnes concernées c'est à
dire les *adhérents* et accessoirement les organismes dont la loi
leur reconnaît un droit d'ingérence.
Puis-je dire moi-aussi ?
Une association de 10 000 individus c'est donc une machine infernale
qui ne dispose absolument pas des ressourcesnécessaires, humaines et
financières, pour satisfaire au moins 9000 clients exigeants et qui ne
s'associent à rien.
Quand aux 10 derniers, ils s'habituent à gérer plus ou moins
bien une "petite entreprise" avec les moyens du bord, le nez
dans le guidon.
Une solution à cela ? Au moins une : n'accepter que des membres qui
sont "en phase" avec les termes du contrat. Mais pour cela, il faut un
contrat auquel on puisse adhérer raisonnablement, un sens de la
responsabilité qui permette de faire la différence entre "une
adhésion" et un "billet d'entrée", et surtout de ne pas avoir besoin
de l'argent de cotisants pour survivre mais de leur participation
*permanente* (et positive !).
Le problème est là : une *association* doit-elle être pluraliste ?
Qu'il y ait des courants d'opinion, soit. Mais l'essentiel n'est-il
pas de viser en *permanence* le ou les objectifs pour lesquels on
s'est *associé*, et pour lesquels on apporte de manière *permanente*
ses *connaissances* ou son *activité* ?
Que faire (que doit faire le REF .. ou tt autre assoc qui en a
l'énergie et la volonté) pour arriver à fédérer tant de diversité.
Ne faudrait-il pas commencer par faire le point sur cette "diversité
d'individus" et recencer leurs similitudes d'intérêts J'insiste,
mais faut-il, dans une *association*, fédérer une diversité telle que
les points d'accroche sont à la limite de l'inexistant et donc à
l'origine d'un éclatement potentiel ? Cette recherche de "l'union" à
tout prix ne serait-elle pas plutôt motivée par "la chasse à
l'adhérent" pour cause de représentativité et de ressources
financières, donc parfois de survie ? Lorsque le contrat est caduque,
pourquoi vouloir survivre ? Ne serais-ce pas simplement le fait de
l'orgueil d'une poignée d'individus ?
J'ai lu dans un autre message "on n'attire pas les mouches avec du
vinaigre", il me semble. J'aurais préféré "on n'attire pas les
abeilles ..." car c'est bien d'abeilles dont une association a besoin,
pour leurs qualités, et non de mouches agitées et inconstantes,
attirées par on ne sait quoi et aussi vite parties qu'elles sont
arrivées, facilement déçues par les obstacles.
Mais dans une vraie *association*, la base est normalement quasiment
unanimement *adhérente* à la pensée contractuelle qui lui a été
proposée et qu'elle est libre de refuser en n'adhérant pas ou ensuite
en n'adhérant plus. Une association réelle vit et meure du flux de ses
"adhérents" et non de ses ressources en cotisations.
Dans certaines associations, il y a un principe différent : puisque
chaque membre *adhère* au contrat, il est à juste titre présent pour
travailler dans le sens de l'association en participant, et son
activité est mise à profit par une distribution cyclique des postes à
pourvoir. Personne ou presque n'échappe alors aux travaux à effectuer.
Quant aux compétences nécessaires, c'est comme pour le
radioamateurisme : il faut un minimum pour entrer dans le groupe et
ensuite on écoute, on apprend, on se fait aider et on avance, le
groupe avançant aussi dans le même temps.
D'ou la grande importance de la rigueur absolu dans une gestion
transparente .. seule voie de "survie" des associations.
Bien entendu. Mais transparente pour les personnes concernées c'est à
dire les *adhérents* et accessoirement les organismes dont la loi
leur reconnaît un droit d'ingérence.
Si vous comptez faire bcp de tfc HF, soit vous dites " no qsl " soit vous
prenez la cotise a 29.50? et vous beneficirez du service qsl du ref.
il ne faut pas oublier, que cela a un cout, et ppour vous et pour le ref.
Maintenant, si vous pensez en avoir pour - de 30? d'envoi, il ne faut pas
vous abonnez, mais par la poste, les euros defiles vites........
Si vous comptez faire bcp de tfc HF, soit vous dites " no qsl " soit vous
prenez la cotise a 29.50? et vous beneficirez du service qsl du ref.
il ne faut pas oublier, que cela a un cout, et ppour vous et pour le ref.
Maintenant, si vous pensez en avoir pour - de 30? d'envoi, il ne faut pas
vous abonnez, mais par la poste, les euros defiles vites........
Si vous comptez faire bcp de tfc HF, soit vous dites " no qsl " soit vous
prenez la cotise a 29.50? et vous beneficirez du service qsl du ref.
il ne faut pas oublier, que cela a un cout, et ppour vous et pour le ref.
Maintenant, si vous pensez en avoir pour - de 30? d'envoi, il ne faut pas
vous abonnez, mais par la poste, les euros defiles vites........
: Il y aura bien, ici, un amateur de drosophiles pour, éventuellement,
:vouloir briller en démontrant l'indémontrable.
:> Une association de 10 000 individus c'est donc une machine infernale
:> qui ne dispose absolument pas des ressourcesnécessaires, humaines et
:> financières, pour satisfaire au moins 9000 clients exigeants et qui ne
:> s'associent à rien.
:
:Absolument d'accord. C'est pour cela que ça doit se mener, se gérer comme
:une entreprise commerciale.
: A titre d'exemple, durant mon implication,
:j'avais fait augmenter les recettes (départementales) de 450 % la 1ere année
:et des 175 % de plus la seconde. Je dois dire, cependant, que ce ne fût pas
:bien difficile; avant mon élection, les seuls revenus étaient les
:cotisations et elles ne servaient à rien d'autres qu'a payer un verre aux
:OM's à l'épiphanie .. et encore, un prix de "participation" était toujours
:demandé à ces petites réunions ! (le récit de l'anecdote n'est pas innocent)
:A plus de x milliers d'adhérents, ce n'est plus une "petite" entreprise.
:Si je partage totalement l'analyse qui conduit à ce constat, il reste que
:"le nez dans le guidon" .. ça peut conduire dans un mur ! C'est donc
:une solution inadéquate (ou intenable ... au choix).
:> Une solution à cela ? Au moins une : n'accepter que des membres qui
:> sont "en phase" avec les termes du contrat. Mais pour cela, il faut un
:> contrat auquel on puisse adhérer raisonnablement, un sens de la
:> responsabilité qui permette de faire la différence entre "une
:> adhésion" et un "billet d'entrée", et surtout de ne pas avoir besoin
:> de l'argent de cotisants pour survivre mais de leur participation
:> *permanente* (et positive !).
:Les statuts ! J'y ai travaillé (avant qu'on me court-circuite .. Hi).
:> Le problème est là : une *association* doit-elle être pluraliste ?
:> Qu'il y ait des courants d'opinion, soit. Mais l'essentiel n'est-il
:> pas de viser en *permanence* le ou les objectifs pour lesquels on
:> s'est *associé*, et pour lesquels on apporte de manière *permanente*
:> ses *connaissances* ou son *activité* ?
:
:Là, j'aimerais que vous précisiez un peu votre pensée. Qu'entendez
:vous par "pluraliste" (quel sens) dans votre phrase : "doit-elle être
:pluraliste" ? C'est d'autant plus important que la bonne interprétation
:de la suite de votre discours en dépend .. en bonne partie.
:>> Que faire (que doit faire le REF .. ou tt autre assoc qui en a
:>> l'énergie et la volonté) pour arriver à fédérer tant de diversité.
:
:> Ne faudrait-il pas commencer par faire le point sur cette "diversité
:> d'individus" et recencer leurs similitudes d'intérêts J'insiste,
:> mais faut-il, dans une *association*, fédérer une diversité telle que
:> les points d'accroche sont à la limite de l'inexistant et donc à
:> l'origine d'un éclatement potentiel ? Cette recherche de "l'union" à
:> tout prix ne serait-elle pas plutôt motivée par "la chasse à
:> l'adhérent" pour cause de représentativité et de ressources
:> financières, donc parfois de survie ? Lorsque le contrat est caduque,
:> pourquoi vouloir survivre ? Ne serais-ce pas simplement le fait de
:> l'orgueil d'une poignée d'individus ?
:
:Ce propos, justement, m'amène à penser que les choses ont quasiment
:"muté" depuis la création de REF-Union (donc depuis peu ou prou mon
:départ), ce qui revient à dire que je ne vois peut-être pas tant que ça, la
:même chose que vous .. Hi (MA vision étant erronée, car ancienne).
:
:Voila pourquoi il faut que vous me parliez de ce "pluralisme" !
:> J'ai lu dans un autre message "on n'attire pas les mouches avec du
:> vinaigre", il me semble. J'aurais préféré "on n'attire pas les
:> abeilles ..." car c'est bien d'abeilles dont une association a besoin,
:> pour leurs qualités, et non de mouches agitées et inconstantes,
:> attirées par on ne sait quoi et aussi vite parties qu'elles sont
:> arrivées, facilement déçues par les obstacles.
:
:Je vous accorde que votre image est très "parlante". Dommage que je
:sois amené vous renvoyer au pragmatisme de votre analyse. Nous
:savons, qu'en gros, à peine 10 % sont des actifs et sur ces 10 %, il n'y
:a guère 1 % d'élites. Pour avoir 10 abeilles, il faut 90 mouches .. et
:avec un peu de chance on a même parfois une reine ! :) (mais j'aime
:bcp votre image tt de même même si par trop "optimiste" ... pas
:osé dire utopique Hi)
:> Dans certaines associations, il y a un principe différent : puisque
:> chaque membre *adhère* au contrat, il est à juste titre présent pour
:> travailler dans le sens de l'association en participant, et son
:> activité est mise à profit par une distribution cyclique des postes à
:> pourvoir. Personne ou presque n'échappe alors aux travaux à effectuer.
:> Quant aux compétences nécessaires, c'est comme pour le
:> radioamateurisme : il faut un minimum pour entrer dans le groupe et
:> ensuite on écoute, on apprend, on se fait aider et on avance, le
:> groupe avançant aussi dans le même temps.
:
:Voulez-vous dire, qu'il ne devrait pas y avoir le moindre poste rémunéré,
:que tout devrait être géré en "communauté bénévole absolue" ?
:>> D'ou la grande importance de la rigueur absolu dans une gestion
:>> transparente .. seule voie de "survie" des associations.
:
:> Bien entendu. Mais transparente pour les personnes concernées c'est à
:> dire les *adhérents* et accessoirement les organismes dont la loi
:> leur reconnaît un droit d'ingérence.
:
:Pourquoi ? Non non .. je pensais vraiment pour "tous les citoyens". Etre
:"transparent" ne signifiant pas et pour autant accepter quelque droit
:d'ingérence que ce soit. La comparaison est certes grosse, mais je vous
:citerais facilement l'exemple de l'ARC pour imager (grossièrement) mon
:idée. Au delà .. c'est parfaitement applicable (je l'ai fait .. je le fais
:tous les jours ... hi)
:Au grand plaisir, Francis. Ainsi, d'ailleurs, que Philippe, Christian et
:d'autres. (interlocuteurs de qualité qu'il convient de ne pas oublier)
:Cela en est vraiment un, dans la droite ligne de conduite de l'existence
:même de ce forum. Je n'ai qu'un regret, c'est que certains (sans leur lancer
:la pierre pour autant .. c'est pas mon genre) refusent de débattre de leurs
:idées, se contentant de les "balancer" à la face des autres, alors qu'elles
:concernent (comme toutes celles de tous les OM) la communauté. C'est bien
:dommage. Ca bousille toute crédibilité.
:
:A suivre ....... V.A.
: Il y aura bien, ici, un amateur de drosophiles pour, éventuellement,
:vouloir briller en démontrant l'indémontrable.
:> Une association de 10 000 individus c'est donc une machine infernale
:> qui ne dispose absolument pas des ressourcesnécessaires, humaines et
:> financières, pour satisfaire au moins 9000 clients exigeants et qui ne
:> s'associent à rien.
:
:Absolument d'accord. C'est pour cela que ça doit se mener, se gérer comme
:une entreprise commerciale.
: A titre d'exemple, durant mon implication,
:j'avais fait augmenter les recettes (départementales) de 450 % la 1ere année
:et des 175 % de plus la seconde. Je dois dire, cependant, que ce ne fût pas
:bien difficile; avant mon élection, les seuls revenus étaient les
:cotisations et elles ne servaient à rien d'autres qu'a payer un verre aux
:OM's à l'épiphanie .. et encore, un prix de "participation" était toujours
:demandé à ces petites réunions ! (le récit de l'anecdote n'est pas innocent)
:A plus de x milliers d'adhérents, ce n'est plus une "petite" entreprise.
:Si je partage totalement l'analyse qui conduit à ce constat, il reste que
:"le nez dans le guidon" .. ça peut conduire dans un mur ! C'est donc
:une solution inadéquate (ou intenable ... au choix).
:> Une solution à cela ? Au moins une : n'accepter que des membres qui
:> sont "en phase" avec les termes du contrat. Mais pour cela, il faut un
:> contrat auquel on puisse adhérer raisonnablement, un sens de la
:> responsabilité qui permette de faire la différence entre "une
:> adhésion" et un "billet d'entrée", et surtout de ne pas avoir besoin
:> de l'argent de cotisants pour survivre mais de leur participation
:> *permanente* (et positive !).
:Les statuts ! J'y ai travaillé (avant qu'on me court-circuite .. Hi).
:> Le problème est là : une *association* doit-elle être pluraliste ?
:> Qu'il y ait des courants d'opinion, soit. Mais l'essentiel n'est-il
:> pas de viser en *permanence* le ou les objectifs pour lesquels on
:> s'est *associé*, et pour lesquels on apporte de manière *permanente*
:> ses *connaissances* ou son *activité* ?
:
:Là, j'aimerais que vous précisiez un peu votre pensée. Qu'entendez
:vous par "pluraliste" (quel sens) dans votre phrase : "doit-elle être
:pluraliste" ? C'est d'autant plus important que la bonne interprétation
:de la suite de votre discours en dépend .. en bonne partie.
:>> Que faire (que doit faire le REF .. ou tt autre assoc qui en a
:>> l'énergie et la volonté) pour arriver à fédérer tant de diversité.
:
:> Ne faudrait-il pas commencer par faire le point sur cette "diversité
:> d'individus" et recencer leurs similitudes d'intérêts J'insiste,
:> mais faut-il, dans une *association*, fédérer une diversité telle que
:> les points d'accroche sont à la limite de l'inexistant et donc à
:> l'origine d'un éclatement potentiel ? Cette recherche de "l'union" à
:> tout prix ne serait-elle pas plutôt motivée par "la chasse à
:> l'adhérent" pour cause de représentativité et de ressources
:> financières, donc parfois de survie ? Lorsque le contrat est caduque,
:> pourquoi vouloir survivre ? Ne serais-ce pas simplement le fait de
:> l'orgueil d'une poignée d'individus ?
:
:Ce propos, justement, m'amène à penser que les choses ont quasiment
:"muté" depuis la création de REF-Union (donc depuis peu ou prou mon
:départ), ce qui revient à dire que je ne vois peut-être pas tant que ça, la
:même chose que vous .. Hi (MA vision étant erronée, car ancienne).
:
:Voila pourquoi il faut que vous me parliez de ce "pluralisme" !
:> J'ai lu dans un autre message "on n'attire pas les mouches avec du
:> vinaigre", il me semble. J'aurais préféré "on n'attire pas les
:> abeilles ..." car c'est bien d'abeilles dont une association a besoin,
:> pour leurs qualités, et non de mouches agitées et inconstantes,
:> attirées par on ne sait quoi et aussi vite parties qu'elles sont
:> arrivées, facilement déçues par les obstacles.
:
:Je vous accorde que votre image est très "parlante". Dommage que je
:sois amené vous renvoyer au pragmatisme de votre analyse. Nous
:savons, qu'en gros, à peine 10 % sont des actifs et sur ces 10 %, il n'y
:a guère 1 % d'élites. Pour avoir 10 abeilles, il faut 90 mouches .. et
:avec un peu de chance on a même parfois une reine ! :) (mais j'aime
:bcp votre image tt de même même si par trop "optimiste" ... pas
:osé dire utopique Hi)
:> Dans certaines associations, il y a un principe différent : puisque
:> chaque membre *adhère* au contrat, il est à juste titre présent pour
:> travailler dans le sens de l'association en participant, et son
:> activité est mise à profit par une distribution cyclique des postes à
:> pourvoir. Personne ou presque n'échappe alors aux travaux à effectuer.
:> Quant aux compétences nécessaires, c'est comme pour le
:> radioamateurisme : il faut un minimum pour entrer dans le groupe et
:> ensuite on écoute, on apprend, on se fait aider et on avance, le
:> groupe avançant aussi dans le même temps.
:
:Voulez-vous dire, qu'il ne devrait pas y avoir le moindre poste rémunéré,
:que tout devrait être géré en "communauté bénévole absolue" ?
:>> D'ou la grande importance de la rigueur absolu dans une gestion
:>> transparente .. seule voie de "survie" des associations.
:
:> Bien entendu. Mais transparente pour les personnes concernées c'est à
:> dire les *adhérents* et accessoirement les organismes dont la loi
:> leur reconnaît un droit d'ingérence.
:
:Pourquoi ? Non non .. je pensais vraiment pour "tous les citoyens". Etre
:"transparent" ne signifiant pas et pour autant accepter quelque droit
:d'ingérence que ce soit. La comparaison est certes grosse, mais je vous
:citerais facilement l'exemple de l'ARC pour imager (grossièrement) mon
:idée. Au delà .. c'est parfaitement applicable (je l'ai fait .. je le fais
:tous les jours ... hi)
:Au grand plaisir, Francis. Ainsi, d'ailleurs, que Philippe, Christian et
:d'autres. (interlocuteurs de qualité qu'il convient de ne pas oublier)
:Cela en est vraiment un, dans la droite ligne de conduite de l'existence
:même de ce forum. Je n'ai qu'un regret, c'est que certains (sans leur lancer
:la pierre pour autant .. c'est pas mon genre) refusent de débattre de leurs
:idées, se contentant de les "balancer" à la face des autres, alors qu'elles
:concernent (comme toutes celles de tous les OM) la communauté. C'est bien
:dommage. Ca bousille toute crédibilité.
:
:A suivre ....... V.A.
: Il y aura bien, ici, un amateur de drosophiles pour, éventuellement,
:vouloir briller en démontrant l'indémontrable.
:> Une association de 10 000 individus c'est donc une machine infernale
:> qui ne dispose absolument pas des ressourcesnécessaires, humaines et
:> financières, pour satisfaire au moins 9000 clients exigeants et qui ne
:> s'associent à rien.
:
:Absolument d'accord. C'est pour cela que ça doit se mener, se gérer comme
:une entreprise commerciale.
: A titre d'exemple, durant mon implication,
:j'avais fait augmenter les recettes (départementales) de 450 % la 1ere année
:et des 175 % de plus la seconde. Je dois dire, cependant, que ce ne fût pas
:bien difficile; avant mon élection, les seuls revenus étaient les
:cotisations et elles ne servaient à rien d'autres qu'a payer un verre aux
:OM's à l'épiphanie .. et encore, un prix de "participation" était toujours
:demandé à ces petites réunions ! (le récit de l'anecdote n'est pas innocent)
:A plus de x milliers d'adhérents, ce n'est plus une "petite" entreprise.
:Si je partage totalement l'analyse qui conduit à ce constat, il reste que
:"le nez dans le guidon" .. ça peut conduire dans un mur ! C'est donc
:une solution inadéquate (ou intenable ... au choix).
:> Une solution à cela ? Au moins une : n'accepter que des membres qui
:> sont "en phase" avec les termes du contrat. Mais pour cela, il faut un
:> contrat auquel on puisse adhérer raisonnablement, un sens de la
:> responsabilité qui permette de faire la différence entre "une
:> adhésion" et un "billet d'entrée", et surtout de ne pas avoir besoin
:> de l'argent de cotisants pour survivre mais de leur participation
:> *permanente* (et positive !).
:Les statuts ! J'y ai travaillé (avant qu'on me court-circuite .. Hi).
:> Le problème est là : une *association* doit-elle être pluraliste ?
:> Qu'il y ait des courants d'opinion, soit. Mais l'essentiel n'est-il
:> pas de viser en *permanence* le ou les objectifs pour lesquels on
:> s'est *associé*, et pour lesquels on apporte de manière *permanente*
:> ses *connaissances* ou son *activité* ?
:
:Là, j'aimerais que vous précisiez un peu votre pensée. Qu'entendez
:vous par "pluraliste" (quel sens) dans votre phrase : "doit-elle être
:pluraliste" ? C'est d'autant plus important que la bonne interprétation
:de la suite de votre discours en dépend .. en bonne partie.
:>> Que faire (que doit faire le REF .. ou tt autre assoc qui en a
:>> l'énergie et la volonté) pour arriver à fédérer tant de diversité.
:
:> Ne faudrait-il pas commencer par faire le point sur cette "diversité
:> d'individus" et recencer leurs similitudes d'intérêts J'insiste,
:> mais faut-il, dans une *association*, fédérer une diversité telle que
:> les points d'accroche sont à la limite de l'inexistant et donc à
:> l'origine d'un éclatement potentiel ? Cette recherche de "l'union" à
:> tout prix ne serait-elle pas plutôt motivée par "la chasse à
:> l'adhérent" pour cause de représentativité et de ressources
:> financières, donc parfois de survie ? Lorsque le contrat est caduque,
:> pourquoi vouloir survivre ? Ne serais-ce pas simplement le fait de
:> l'orgueil d'une poignée d'individus ?
:
:Ce propos, justement, m'amène à penser que les choses ont quasiment
:"muté" depuis la création de REF-Union (donc depuis peu ou prou mon
:départ), ce qui revient à dire que je ne vois peut-être pas tant que ça, la
:même chose que vous .. Hi (MA vision étant erronée, car ancienne).
:
:Voila pourquoi il faut que vous me parliez de ce "pluralisme" !
:> J'ai lu dans un autre message "on n'attire pas les mouches avec du
:> vinaigre", il me semble. J'aurais préféré "on n'attire pas les
:> abeilles ..." car c'est bien d'abeilles dont une association a besoin,
:> pour leurs qualités, et non de mouches agitées et inconstantes,
:> attirées par on ne sait quoi et aussi vite parties qu'elles sont
:> arrivées, facilement déçues par les obstacles.
:
:Je vous accorde que votre image est très "parlante". Dommage que je
:sois amené vous renvoyer au pragmatisme de votre analyse. Nous
:savons, qu'en gros, à peine 10 % sont des actifs et sur ces 10 %, il n'y
:a guère 1 % d'élites. Pour avoir 10 abeilles, il faut 90 mouches .. et
:avec un peu de chance on a même parfois une reine ! :) (mais j'aime
:bcp votre image tt de même même si par trop "optimiste" ... pas
:osé dire utopique Hi)
:> Dans certaines associations, il y a un principe différent : puisque
:> chaque membre *adhère* au contrat, il est à juste titre présent pour
:> travailler dans le sens de l'association en participant, et son
:> activité est mise à profit par une distribution cyclique des postes à
:> pourvoir. Personne ou presque n'échappe alors aux travaux à effectuer.
:> Quant aux compétences nécessaires, c'est comme pour le
:> radioamateurisme : il faut un minimum pour entrer dans le groupe et
:> ensuite on écoute, on apprend, on se fait aider et on avance, le
:> groupe avançant aussi dans le même temps.
:
:Voulez-vous dire, qu'il ne devrait pas y avoir le moindre poste rémunéré,
:que tout devrait être géré en "communauté bénévole absolue" ?
:>> D'ou la grande importance de la rigueur absolu dans une gestion
:>> transparente .. seule voie de "survie" des associations.
:
:> Bien entendu. Mais transparente pour les personnes concernées c'est à
:> dire les *adhérents* et accessoirement les organismes dont la loi
:> leur reconnaît un droit d'ingérence.
:
:Pourquoi ? Non non .. je pensais vraiment pour "tous les citoyens". Etre
:"transparent" ne signifiant pas et pour autant accepter quelque droit
:d'ingérence que ce soit. La comparaison est certes grosse, mais je vous
:citerais facilement l'exemple de l'ARC pour imager (grossièrement) mon
:idée. Au delà .. c'est parfaitement applicable (je l'ai fait .. je le fais
:tous les jours ... hi)
:Au grand plaisir, Francis. Ainsi, d'ailleurs, que Philippe, Christian et
:d'autres. (interlocuteurs de qualité qu'il convient de ne pas oublier)
:Cela en est vraiment un, dans la droite ligne de conduite de l'existence
:même de ce forum. Je n'ai qu'un regret, c'est que certains (sans leur lancer
:la pierre pour autant .. c'est pas mon genre) refusent de débattre de leurs
:idées, se contentant de les "balancer" à la face des autres, alors qu'elles
:concernent (comme toutes celles de tous les OM) la communauté. C'est bien
:dommage. Ca bousille toute crédibilité.
:
:A suivre ....... V.A.
>"aWn"
Hello !
Fiat Pacem"
wrote:
: Il y aura bien, ici, un amateur de drosophiles pour, éventuellement,
:vouloir briller en démontrant l'indémontrable.
Peut-être avons ici des généticiens ... La drosphile est leur
passion! ;-)
>"aWn"
Hello !
Fiat Pacem"
<torapa@monadresse.com> wrote:
: Il y aura bien, ici, un amateur de drosophiles pour, éventuellement,
:vouloir briller en démontrant l'indémontrable.
Peut-être avons ici des généticiens ... La drosphile est leur
passion! ;-)
>"aWn"
Hello !
Fiat Pacem"
wrote:
: Il y aura bien, ici, un amateur de drosophiles pour, éventuellement,
:vouloir briller en démontrant l'indémontrable.
Peut-être avons ici des généticiens ... La drosphile est leur
passion! ;-)
PS : Otez moi d'un doute .. le AR n'est-il pas la fin des transmissions (le
QRT en qq sorte) alors que le VA est la fin d'une transmission avec
invitation à transmettre (donc sans utilité d'envoyer le K) ??? C'est bien
possible que je m'équivoque aujourd'hui, n'ayant plus trafiqué en CW
depuis ... pffff ??? Et plus que ça même !!! :-)))
PS : Otez moi d'un doute .. le AR n'est-il pas la fin des transmissions (le
QRT en qq sorte) alors que le VA est la fin d'une transmission avec
invitation à transmettre (donc sans utilité d'envoyer le K) ??? C'est bien
possible que je m'équivoque aujourd'hui, n'ayant plus trafiqué en CW
depuis ... pffff ??? Et plus que ça même !!! :-)))
PS : Otez moi d'un doute .. le AR n'est-il pas la fin des transmissions (le
QRT en qq sorte) alors que le VA est la fin d'une transmission avec
invitation à transmettre (donc sans utilité d'envoyer le K) ??? C'est bien
possible que je m'équivoque aujourd'hui, n'ayant plus trafiqué en CW
depuis ... pffff ??? Et plus que ça même !!! :-)))