Quel choix faire ?

dominique

21/01/2007 à 19:02

"idiosyncrazy" a écrit dans le message

==> Une telle oligophrénie me laisse coi.
moi c'est " oligophrènie " qui me gene, pas trouvé dans mon vieux dico, je

suppose que c'est une affaection pour les choses petites

En ce cas, il vaut mieux changer de dictionnaire :
http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;sA27837745;

ce troll deviendrait logorrhéique

À mon humble avis (je me refuse à utiliser l'ignoble AMHA plus proche du
borborygme que de l'humilité !), il ne s'agit pas d'un troll, loin s'en
faut.

Dominique

franeric

21/01/2007 à 19:03

En ce cas, il vaut mieux changer de dictionnaire :
http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;sA27837745;
pas de pot, la page me flanque une erreur " cgi "

mon dico est vieux, j' ai trouvé ce double volume sur une poubelle un soir
en baladant la chienne

ricco

Aigle bavard

21/01/2007 à 19:57

"Aigle bavard" a écrit dans le message de news:
45b33d64$0$21151$

ce troll deviendrait logorrhéique
ricco
Un vent dyslexique dérangeant cette hypothèse

D'un autre conditionnel nous verrait lecteurs
Qui ferait enfin de la signature et son auteur
Une image plus juste et une astuce balèze !

Aigle bavard

je réponds plus, on trolle
ricco

C'est ça, alors je me suis hernisé le neurone pour queud'

logorrhéique = logohérrique (d'où l'allusions à la dyslexie) = logo eric

Aigle bavard

John Kelly

21/01/2007 à 20:03

franeric wrote:

En ce cas, il vaut mieux changer de dictionnaire :
http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;sA27837745;
pas de pot, la page me flanque une erreur " cgi "

mon dico est vieux, j' ai trouvé ce double volume sur une poubelle un
soir en baladant la chienne

ricco

Je croyais que tu plaisantais.
L'oligophrénie est un terme générique qui désigne différentes formes
d'insuffisance mentale. Cela va de la débilité à l'idiotie :-)

franeric

21/01/2007 à 20:24

">

logorrhéique = logohérrique (d'où l'allusions à la dyslexie) = logo eric

je me demande lequel d'entre nous deux il va falloir enfermer

apres periph eric etc, etc
troll drô
non, trop drôle

je sors, ne me cherchez plus pendant un moment,d'ailleurs je n'existe plus

R tout court

franeric

21/01/2007 à 20:25

"John Kelly" a écrit dans le message de news:
45b3b936$0$4408$

franeric wrote:
En ce cas, il vaut mieux changer de dictionnaire :
http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;sA27837745;
pas de pot, la page me flanque une erreur " cgi "

mon dico est vieux, j' ai trouvé ce double volume sur une poubelle un
soir en baladant la chienne

ricco

Je croyais que tu plaisantais.
L'oligophrénie est un terme générique qui désigne différentes formes
d'insuffisance mentale. Cela va de la débilité à l'idiotie :-)

non, c'est pas dans ces vieux dico, mais j'aurai pu faire une recherche
gougle donc de débile profond a idiot léger, somme toutes :=)
ricco

Alf92

22/01/2007 à 09:41

idiosyncrazy () a écrit
dans news:45b2502c$0$3973$ :

C'est un peu de cette façon que se justifient les tenants d'une
prison dure à la limite de l'inhumanité.

Mouiii, bon, la comparaison me paraît quelque peu disproportionnée...
(Pourquoi pas Auschwitz tant qu'on y est ?)

le point Godwin est atteind = fin de la conversation.

--
Cordialement,
Alf92
======> http://frpn.free.fr

idiosyncrazy

22/01/2007 à 16:53

"dominique" a écrit dans le message de news:
45b26949$0$25945$

"dominique" a écrit dans le message de news:
des années 80...)

...
Si on est marquer, ça aide à mémorisé.
C'est un peu de cette façon que se justifient les tenants d'une prison

dure à la limite de l'inhumanité.

Mouiii, bon, la comparaison me paraît quelque peu disproportionnée...
(Pourquoi pas Auschwitz tant qu'on y est ?)

Prenez l'esprit, pas la lettre.

Ne me prenez pas, s'il vous plait, pour une mule : on peut tout justifier
avec telle formule. (C'est pourquoi je me dois de l'adopter d'urgence, parmi
ma panoplie de ready-made sentences ! Ainsi quand je serai mis en
difficulté, je pourrai la brandir et en touche botter...)

Essayait de compté le le nombre de participes passer écrits comme des
infinitifs, et vice versa, sur un forum quelconque, et peut-être que
vous

comprendrai mieux mon agacement.
Je trébuche moi-même sur les fautes. Elles compliquent la lecture.

Elles

obligent le lecteur à un effort d'attention supérieur pour comprendre
le

sens de la phrase. Elles peuvent même mener au non-sens ou au
contre-sens.

Zatsraïte.
Pourquoi alors essayer de me mettre en défaut ?

La seule forme de vos alexandrins m'a mis en boule.

Ah, c'est donc ça ! z'êtes z'alexandrophobe ? ;^p

Pour le fond de

votre remarque, je suis entièrement d'accord avec vous. Ceci étant, quel
est mon poids fasse à l'abandon de la belle orthographe ? Nul
assurément. Il ne me reste que le loisir d'essayer de montrer l'exemple
en limitant au mieux les erreurs de syntaxe, d'orthographe, de grammaire
et de syntaxe.

Justement : l'exemple n'a plus grande valeur aujourd'hui.

« Quand nous serons au bout de notre rhétorique,
Deux enfants nés d'hier en sauront plus que nous. »
(Alfred de Musset -- extrait d'un poème cité dans la série Lost !... Plus
exactement, l'un des héros -- nommé John Locke*... -- griffonne un plan sur
une feuille arrachée où figure, ostensible, ce poème.)

(* Il y a aussi un David Desmond Hume, et une française aux airs de
néo-Amazone -- jamais sans ma mitrailleuse, passeuh jleu vaubien -- vivant
seule dans la jungle depuis 16 ans, nommée Danielle Rousseau... Et ça se
permet même de citer, dans les dialogues cette fois, de manière subtile et
élégante, Les frères Karamazov ou Des souris et des hommes. Rarissime
exemple d'une oeuvre contemporaine qui parvient à concilier succès populaire
et exigence artistique.)

Je n'ai pas toujours le bonheur rechercheR. Eh oui ! il
m'arrive aussi de laisser quelque scorie...

Quand la scorie devient une règle implicite, c'est le Vésuve qui ensevelit
le site !

Pour autant, les vieux cons des neiges d'antan sont-ils plus instruits
que les petits cons des pluies d'aujourd'hui ?
L'antériorité est-elle de facto gage de qualité ?

Non, individuellement non, mais c'est une question de climat global. La
bêtise est aujourd'hui glorifiée, il me semble que c'est relativement
récent, et que ça ne va pas en s'arrangeant.

Je ne pense pas qu'on puisse parler de glorification de la bêtise.
Disons qu'elle est plus facile à vendre qu'un bon livre bien écrit. Et
le profit immédiat prime sur l'enrichissement de l'esprit.

Donc ça revient tout de même à valoriser la facilité, donc la bêtise... Il y
a quelque 150 ans, la culture populaire, c'était Les misérables (certes,
moins de gens savaient lire, peut pas tout avoir !).

(C'est rigolo comme la situation est inversée : le "p'tit con" de 26
balais

qui s'efforce de prouver au "vieux con" quinqua qu'avant c'était mieux !
...)

À chaque époque sa clairvoyance (Certaines variétés qui ont eu du succès
dans ma jeunesse n'ont rien à envier à certaines débilités
d'aujourd'hui.)

Vraiment ? Je serais curieux d'en avoir un aperçu ! ;^p

ou sa nostalgie aveugle (De mon temps, on fabriquait des
hommes pas des tap... des lop... des péd... des garçons sensibles...)

Oui, j'y ai pensé aussi... Chaque époque a ses tares, à croire que l'homme
est viscéralement inapte à tendre vers le "vrai", le "bien", le "beau" (ou
alors seulement en y mettant des guillemets !).

Question subsidiaire : de qui est cette hésitation sur les tap... les
lop etc ?

Ghhh ? Je ne sais... Ma culture cathodique de bric et de broc m'inciterait à
rapprocher ça d'une récente chanson de Didier Bourdon, ex-Inconnus (« On
peut plus rien dire »), mais ce n'est pas la même formulation.

(Puisqu'on en est à traquer les petites bêtes, je doute que « Votre ton
dénonce le mépris » soit correct : ce serait plutôt "dénoter".)

Non, non ! Je maintiens la dénonciation !

Si z'y t'nez... (Mais mon ton dénoncerait le mépris de qui, à qui ? Pas à la
Police, siouplé !)

Effectivement, mais là on dépasse ce qu'il est possible d'obtenir par
une

frappe simple (cinq, ici), ce n'est certes pas de la fioriture mais ça
ralentit considérablement la rédaction. A vrai dire

On écrit : « À vrai dire... » soit alt 0192 sous Windows.

Bouh, méchant !

C'est curieux que ce soit un linuxien qui explique à un windowsien
comment obtenir des caractères majuscules accentués :-)
Pour en terminer avec les codes ASCII, voici alt 0201 qui vous permettra
d'écrire très proprement :
« Être et avoir été »

É
=> Nan, c'est l'accent aigu (le E accent grâve est obtenu simplement en
tapant ^ puis shift+E : Ê).

« alt 0171 et
» alt 0187.

Ça je l'utilise RÉGULIÈREMENT !

Logiquement, avec ces 5 codes, vous respectez la presque totalité des
règles typographiques françaises.
Les autres caractères sont là :
http://www.toutimages.com/codes_caracteres.htm

Voui, m'ci bien mais on les trouve fastoche les tables, ce qu'est fastidieux
c'est de retenir les correspondances.

Bah oui, c'est comme ces *saloperies* de pubs pour les n° 118...., vous
ne

pouvez pas savoir à quel point ça m' *écoeure* ;

Je vais vous faire un aveu : je prends plaisir à regarder une série de
publicités à la télévision.
Non, je n'ai pas pris de coup de Soleil.
Depuis mon premier magnétoscope acheté il y a environ 15 ans jusqu'à mon
Canal Satellite et son décodeur à disque dur, je ne regarde *jamais* une
émission ou un film en direct. Et ce « jamais » n'est pas une figure de
style. Je ne suis donc le jouet d'aucun retard de programmation : je
regarde ce que je veux à l'heure qui me convient. La publicité passe en
avance accélérée. Si je ne regarde pas une émission enregistrée, ma
télévision est éteinte ou je regarde un DVD de musique.
En voiture, je zappe la publicité et le sport.

C'est effectivement la seule chose à faire, mais ça demande beaucoup
d'organisation... (Et le matériel idoine.)
La différence, peut-être, c'est que je suis "né avec", je n'ai donc pas pu
élaborer de stratégies défensives à temps.

Je peux affirmer que je ne sais rien de la coupe du monde de foot.
Alors si, un jour, je suis condamné à m'infuser une série de publicité,
eh bien je les découvre et ça m'amuse.

Il m'est arrivé et m'arrive encore d'en trouver quelques-unes rigolotes,
voire franchement splendides (surtout quand elles sont étrangères et
censurées ! http://minilien.com/?tr3OSlB2YV), et la plupart -- hélas ! -- se
laissent regarder sans qu'on y prenne gare. C'est la globalité qui est
exécrable : les méthodes sournoises de persuasion, les slogans débiles
chantés, hurlés, aboyés, éructés, l'ambiguité des sous-entendus, le
dévoiement de la culture -- et celles que j'ai évoquées sont pour moi un
condensé de cette parade grotesque.

Bref, bonne lutte avec les participes passés mais j'ai un peu peur que
vous attaquiez des moulins à vent :-)

Oh que oui, je sais bien...

« Le progrès naît de l'utopie »

Boarpf, je n'ai pas vraiment d'utopie... ou alors des utopies négatives, ce
qui ne va pas bien loin.
Je prends ça, quoi qu'il en soit, comme un sincère message de sympathie.

[Et tant qu'on parle d'utopie(s) : Salut Monsieur l'Abbé... dis à ton
homonyme de te dédier là-haut notre éloge unanime.]

Bonne soirée,
Dominique

Merci, bon dimanche. [Bon, le prochain alors ! « Il faut aimer le dimanche
prochain comme le soir-même » disent les Écritures, ou à peu près, j'en sais
rien, moi j'étais au catéchisme avec Dragon Ball Z...]

G.

"dominique" <zzz@aol.com> a écrit dans le message de news:
45b26949$0$25945$ba4acef3@news.orange.fr...

"dominique" <zzz@aol.com> a écrit dans le message de news:
des années 80...)

...

Si on est marquer, ça aide à mémorisé.
C'est un peu de cette façon que se justifient les tenants d'une prison

dure à la limite de l'inhumanité.

Mouiii, bon, la comparaison me paraît quelque peu disproportionnée...
(Pourquoi pas Auschwitz tant qu'on y est ?)

Prenez l'esprit, pas la lettre.

Ne me prenez pas, s'il vous plait, pour une mule : on peut tout justifier
avec telle formule. (C'est pourquoi je me dois de l'adopter d'urgence, parmi
ma panoplie de ready-made sentences ! Ainsi quand je serai mis en
difficulté, je pourrai la brandir et en touche botter...)

Essayait de compté le le nombre de participes passer écrits comme des
infinitifs, et vice versa, sur un forum quelconque, et peut-être que
vous

comprendrai mieux mon agacement.
Je trébuche moi-même sur les fautes. Elles compliquent la lecture.

Elles

obligent le lecteur à un effort d'attention supérieur pour comprendre
le

sens de la phrase. Elles peuvent même mener au non-sens ou au
contre-sens.

Zatsraïte.
Pourquoi alors essayer de me mettre en défaut ?

La seule forme de vos alexandrins m'a mis en boule.

Ah, c'est donc ça ! z'êtes z'alexandrophobe ? ;^p

Pour le fond de

votre remarque, je suis entièrement d'accord avec vous. Ceci étant, quel
est mon poids fasse à l'abandon de la belle orthographe ? Nul
assurément. Il ne me reste que le loisir d'essayer de montrer l'exemple
en limitant au mieux les erreurs de syntaxe, d'orthographe, de grammaire
et de syntaxe.

Justement : l'exemple n'a plus grande valeur aujourd'hui.

« Quand nous serons au bout de notre rhétorique,
Deux enfants nés d'hier en sauront plus que nous. »
(Alfred de Musset -- extrait d'un poème cité dans la série Lost !... Plus
exactement, l'un des héros -- nommé John Locke*... -- griffonne un plan sur
une feuille arrachée où figure, ostensible, ce poème.)

(* Il y a aussi un David Desmond Hume, et une française aux airs de
néo-Amazone -- jamais sans ma mitrailleuse, passeuh jleu vaubien -- vivant
seule dans la jungle depuis 16 ans, nommée Danielle Rousseau... Et ça se
permet même de citer, dans les dialogues cette fois, de manière subtile et
élégante, Les frères Karamazov ou Des souris et des hommes. Rarissime
exemple d'une oeuvre contemporaine qui parvient à concilier succès populaire
et exigence artistique.)

Je n'ai pas toujours le bonheur rechercheR. Eh oui ! il
m'arrive aussi de laisser quelque scorie...

Quand la scorie devient une règle implicite, c'est le Vésuve qui ensevelit
le site !

Pour autant, les vieux cons des neiges d'antan sont-ils plus instruits
que les petits cons des pluies d'aujourd'hui ?
L'antériorité est-elle de facto gage de qualité ?

Non, individuellement non, mais c'est une question de climat global. La
bêtise est aujourd'hui glorifiée, il me semble que c'est relativement
récent, et que ça ne va pas en s'arrangeant.

Je ne pense pas qu'on puisse parler de glorification de la bêtise.
Disons qu'elle est plus facile à vendre qu'un bon livre bien écrit. Et
le profit immédiat prime sur l'enrichissement de l'esprit.

Donc ça revient tout de même à valoriser la facilité, donc la bêtise... Il y
a quelque 150 ans, la culture populaire, c'était Les misérables (certes,
moins de gens savaient lire, peut pas tout avoir !).

(C'est rigolo comme la situation est inversée : le "p'tit con" de 26
balais

qui s'efforce de prouver au "vieux con" quinqua qu'avant c'était mieux !
...)

À chaque époque sa clairvoyance (Certaines variétés qui ont eu du succès
dans ma jeunesse n'ont rien à envier à certaines débilités
d'aujourd'hui.)

Vraiment ? Je serais curieux d'en avoir un aperçu ! ;^p

ou sa nostalgie aveugle (De mon temps, on fabriquait des
hommes pas des tap... des lop... des péd... des garçons sensibles...)

Oui, j'y ai pensé aussi... Chaque époque a ses tares, à croire que l'homme
est viscéralement inapte à tendre vers le "vrai", le "bien", le "beau" (ou
alors seulement en y mettant des guillemets !).

Question subsidiaire : de qui est cette hésitation sur les tap... les
lop etc ?

Ghhh ? Je ne sais... Ma culture cathodique de bric et de broc m'inciterait à
rapprocher ça d'une récente chanson de Didier Bourdon, ex-Inconnus (« On
peut plus rien dire »), mais ce n'est pas la même formulation.

(Puisqu'on en est à traquer les petites bêtes, je doute que « Votre ton
dénonce le mépris » soit correct : ce serait plutôt "dénoter".)

Non, non ! Je maintiens la dénonciation !

Si z'y t'nez... (Mais mon ton dénoncerait le mépris de qui, à qui ? Pas à la
Police, siouplé !)

Effectivement, mais là on dépasse ce qu'il est possible d'obtenir par
une

frappe simple (cinq, ici), ce n'est certes pas de la fioriture mais ça
ralentit considérablement la rédaction. A vrai dire

On écrit : « À vrai dire... » soit alt 0192 sous Windows.

Bouh, méchant !

C'est curieux que ce soit un linuxien qui explique à un windowsien
comment obtenir des caractères majuscules accentués :-)
Pour en terminer avec les codes ASCII, voici alt 0201 qui vous permettra
d'écrire très proprement :
« Être et avoir été »

É
=> Nan, c'est l'accent aigu (le E accent grâve est obtenu simplement en
tapant ^ puis shift+E : Ê).

« alt 0171 et
» alt 0187.

Ça je l'utilise RÉGULIÈREMENT !

Logiquement, avec ces 5 codes, vous respectez la presque totalité des
règles typographiques françaises.
Les autres caractères sont là :
http://www.toutimages.com/codes_caracteres.htm

Voui, m'ci bien mais on les trouve fastoche les tables, ce qu'est fastidieux
c'est de retenir les correspondances.

Bah oui, c'est comme ces *saloperies* de pubs pour les n° 118...., vous
ne

pouvez pas savoir à quel point ça m' *écoeure* ;

Je vais vous faire un aveu : je prends plaisir à regarder une série de
publicités à la télévision.
Non, je n'ai pas pris de coup de Soleil.
Depuis mon premier magnétoscope acheté il y a environ 15 ans jusqu'à mon
Canal Satellite et son décodeur à disque dur, je ne regarde *jamais* une
émission ou un film en direct. Et ce « jamais » n'est pas une figure de
style. Je ne suis donc le jouet d'aucun retard de programmation : je
regarde ce que je veux à l'heure qui me convient. La publicité passe en
avance accélérée. Si je ne regarde pas une émission enregistrée, ma
télévision est éteinte ou je regarde un DVD de musique.
En voiture, je zappe la publicité et le sport.

C'est effectivement la seule chose à faire, mais ça demande beaucoup
d'organisation... (Et le matériel idoine.)
La différence, peut-être, c'est que je suis "né avec", je n'ai donc pas pu
élaborer de stratégies défensives à temps.

Je peux affirmer que je ne sais rien de la coupe du monde de foot.
Alors si, un jour, je suis condamné à m'infuser une série de publicité,
eh bien je les découvre et ça m'amuse.

Il m'est arrivé et m'arrive encore d'en trouver quelques-unes rigolotes,
voire franchement splendides (surtout quand elles sont étrangères et
censurées ! http://minilien.com/?tr3OSlB2YV), et la plupart -- hélas ! -- se
laissent regarder sans qu'on y prenne gare. C'est la globalité qui est
exécrable : les méthodes sournoises de persuasion, les slogans débiles
chantés, hurlés, aboyés, éructés, l'ambiguité des sous-entendus, le
dévoiement de la culture -- et celles que j'ai évoquées sont pour moi un
condensé de cette parade grotesque.

Bref, bonne lutte avec les participes passés mais j'ai un peu peur que
vous attaquiez des moulins à vent :-)

Oh que oui, je sais bien...

« Le progrès naît de l'utopie »

Boarpf, je n'ai pas vraiment d'utopie... ou alors des utopies négatives, ce
qui ne va pas bien loin.
Je prends ça, quoi qu'il en soit, comme un sincère message de sympathie.

[Et tant qu'on parle d'utopie(s) : Salut Monsieur l'Abbé... dis à ton
homonyme de te dédier là-haut notre éloge unanime.]

Bonne soirée,
Dominique

Merci, bon dimanche. [Bon, le prochain alors ! « Il faut aimer le dimanche
prochain comme le soir-même » disent les Écritures, ou à peu près, j'en sais
rien, moi j'étais au catéchisme avec Dragon Ball Z...]

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45b26949$0$25945$

"dominique" a écrit dans le message de news:
des années 80...)

...
Si on est marquer, ça aide à mémorisé.
C'est un peu de cette façon que se justifient les tenants d'une prison

dure à la limite de l'inhumanité.

Mouiii, bon, la comparaison me paraît quelque peu disproportionnée...
(Pourquoi pas Auschwitz tant qu'on y est ?)

Prenez l'esprit, pas la lettre.

Ne me prenez pas, s'il vous plait, pour une mule : on peut tout justifier
avec telle formule. (C'est pourquoi je me dois de l'adopter d'urgence, parmi
ma panoplie de ready-made sentences ! Ainsi quand je serai mis en
difficulté, je pourrai la brandir et en touche botter...)

Essayait de compté le le nombre de participes passer écrits comme des
infinitifs, et vice versa, sur un forum quelconque, et peut-être que
vous

comprendrai mieux mon agacement.
Je trébuche moi-même sur les fautes. Elles compliquent la lecture.

Elles

obligent le lecteur à un effort d'attention supérieur pour comprendre
le

sens de la phrase. Elles peuvent même mener au non-sens ou au
contre-sens.

Zatsraïte.
Pourquoi alors essayer de me mettre en défaut ?

La seule forme de vos alexandrins m'a mis en boule.

Ah, c'est donc ça ! z'êtes z'alexandrophobe ? ;^p

Pour le fond de

votre remarque, je suis entièrement d'accord avec vous. Ceci étant, quel
est mon poids fasse à l'abandon de la belle orthographe ? Nul
assurément. Il ne me reste que le loisir d'essayer de montrer l'exemple
en limitant au mieux les erreurs de syntaxe, d'orthographe, de grammaire
et de syntaxe.

Justement : l'exemple n'a plus grande valeur aujourd'hui.

« Quand nous serons au bout de notre rhétorique,
Deux enfants nés d'hier en sauront plus que nous. »
(Alfred de Musset -- extrait d'un poème cité dans la série Lost !... Plus
exactement, l'un des héros -- nommé John Locke*... -- griffonne un plan sur
une feuille arrachée où figure, ostensible, ce poème.)

(* Il y a aussi un David Desmond Hume, et une française aux airs de
néo-Amazone -- jamais sans ma mitrailleuse, passeuh jleu vaubien -- vivant
seule dans la jungle depuis 16 ans, nommée Danielle Rousseau... Et ça se
permet même de citer, dans les dialogues cette fois, de manière subtile et
élégante, Les frères Karamazov ou Des souris et des hommes. Rarissime
exemple d'une oeuvre contemporaine qui parvient à concilier succès populaire
et exigence artistique.)

Je n'ai pas toujours le bonheur rechercheR. Eh oui ! il
m'arrive aussi de laisser quelque scorie...

Quand la scorie devient une règle implicite, c'est le Vésuve qui ensevelit
le site !

Pour autant, les vieux cons des neiges d'antan sont-ils plus instruits
que les petits cons des pluies d'aujourd'hui ?
L'antériorité est-elle de facto gage de qualité ?

Non, individuellement non, mais c'est une question de climat global. La
bêtise est aujourd'hui glorifiée, il me semble que c'est relativement
récent, et que ça ne va pas en s'arrangeant.

Je ne pense pas qu'on puisse parler de glorification de la bêtise.
Disons qu'elle est plus facile à vendre qu'un bon livre bien écrit. Et
le profit immédiat prime sur l'enrichissement de l'esprit.

Donc ça revient tout de même à valoriser la facilité, donc la bêtise... Il y
a quelque 150 ans, la culture populaire, c'était Les misérables (certes,
moins de gens savaient lire, peut pas tout avoir !).

(C'est rigolo comme la situation est inversée : le "p'tit con" de 26
balais

qui s'efforce de prouver au "vieux con" quinqua qu'avant c'était mieux !
...)

À chaque époque sa clairvoyance (Certaines variétés qui ont eu du succès
dans ma jeunesse n'ont rien à envier à certaines débilités
d'aujourd'hui.)

Vraiment ? Je serais curieux d'en avoir un aperçu ! ;^p

ou sa nostalgie aveugle (De mon temps, on fabriquait des
hommes pas des tap... des lop... des péd... des garçons sensibles...)

Oui, j'y ai pensé aussi... Chaque époque a ses tares, à croire que l'homme
est viscéralement inapte à tendre vers le "vrai", le "bien", le "beau" (ou
alors seulement en y mettant des guillemets !).

Question subsidiaire : de qui est cette hésitation sur les tap... les
lop etc ?

Ghhh ? Je ne sais... Ma culture cathodique de bric et de broc m'inciterait à
rapprocher ça d'une récente chanson de Didier Bourdon, ex-Inconnus (« On
peut plus rien dire »), mais ce n'est pas la même formulation.

(Puisqu'on en est à traquer les petites bêtes, je doute que « Votre ton
dénonce le mépris » soit correct : ce serait plutôt "dénoter".)

Non, non ! Je maintiens la dénonciation !

Si z'y t'nez... (Mais mon ton dénoncerait le mépris de qui, à qui ? Pas à la
Police, siouplé !)

Effectivement, mais là on dépasse ce qu'il est possible d'obtenir par
une

frappe simple (cinq, ici), ce n'est certes pas de la fioriture mais ça
ralentit considérablement la rédaction. A vrai dire

On écrit : « À vrai dire... » soit alt 0192 sous Windows.

Bouh, méchant !

C'est curieux que ce soit un linuxien qui explique à un windowsien
comment obtenir des caractères majuscules accentués :-)
Pour en terminer avec les codes ASCII, voici alt 0201 qui vous permettra
d'écrire très proprement :
« Être et avoir été »

É
=> Nan, c'est l'accent aigu (le E accent grâve est obtenu simplement en
tapant ^ puis shift+E : Ê).

« alt 0171 et
» alt 0187.

Ça je l'utilise RÉGULIÈREMENT !

Logiquement, avec ces 5 codes, vous respectez la presque totalité des
règles typographiques françaises.
Les autres caractères sont là :
http://www.toutimages.com/codes_caracteres.htm

Voui, m'ci bien mais on les trouve fastoche les tables, ce qu'est fastidieux
c'est de retenir les correspondances.

Bah oui, c'est comme ces *saloperies* de pubs pour les n° 118...., vous
ne

pouvez pas savoir à quel point ça m' *écoeure* ;

Je vais vous faire un aveu : je prends plaisir à regarder une série de
publicités à la télévision.
Non, je n'ai pas pris de coup de Soleil.
Depuis mon premier magnétoscope acheté il y a environ 15 ans jusqu'à mon
Canal Satellite et son décodeur à disque dur, je ne regarde *jamais* une
émission ou un film en direct. Et ce « jamais » n'est pas une figure de
style. Je ne suis donc le jouet d'aucun retard de programmation : je
regarde ce que je veux à l'heure qui me convient. La publicité passe en
avance accélérée. Si je ne regarde pas une émission enregistrée, ma
télévision est éteinte ou je regarde un DVD de musique.
En voiture, je zappe la publicité et le sport.

C'est effectivement la seule chose à faire, mais ça demande beaucoup
d'organisation... (Et le matériel idoine.)
La différence, peut-être, c'est que je suis "né avec", je n'ai donc pas pu
élaborer de stratégies défensives à temps.

Je peux affirmer que je ne sais rien de la coupe du monde de foot.
Alors si, un jour, je suis condamné à m'infuser une série de publicité,
eh bien je les découvre et ça m'amuse.

Il m'est arrivé et m'arrive encore d'en trouver quelques-unes rigolotes,
voire franchement splendides (surtout quand elles sont étrangères et
censurées ! http://minilien.com/?tr3OSlB2YV), et la plupart -- hélas ! -- se
laissent regarder sans qu'on y prenne gare. C'est la globalité qui est
exécrable : les méthodes sournoises de persuasion, les slogans débiles
chantés, hurlés, aboyés, éructés, l'ambiguité des sous-entendus, le
dévoiement de la culture -- et celles que j'ai évoquées sont pour moi un
condensé de cette parade grotesque.

Bref, bonne lutte avec les participes passés mais j'ai un peu peur que
vous attaquiez des moulins à vent :-)

Oh que oui, je sais bien...

« Le progrès naît de l'utopie »

Boarpf, je n'ai pas vraiment d'utopie... ou alors des utopies négatives, ce
qui ne va pas bien loin.
Je prends ça, quoi qu'il en soit, comme un sincère message de sympathie.

[Et tant qu'on parle d'utopie(s) : Salut Monsieur l'Abbé... dis à ton
homonyme de te dédier là-haut notre éloge unanime.]

Bonne soirée,
Dominique

Merci, bon dimanche. [Bon, le prochain alors ! « Il faut aimer le dimanche
prochain comme le soir-même » disent les Écritures, ou à peu près, j'en sais
rien, moi j'étais au catéchisme avec Dragon Ball Z...]

G.

Quel choix faire ?

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