J'ai encore besoin de vos conseils !
Quel objectifs pourriez me conseiller, pour mon iPhone 5
Je veux faire de la Macro et aussi de la photo animaliére
Et peut-être aussi de la photo sportive !
http://www.zebulon.fr/actualites/9419-iphone-5-pourrait-disposer-objectifs-interchangeables.html
Ecoute, je suis bien contente pour toi de ta liberté de penser, mais je suis surprise que (couic).
Bonjour, Ca me rappelle l'histoire de Littré, auteur d'un dictionnaire et grand coureur de jupons. Un jour, madame découvre son mari au lit avec une autre dame. Mme Littré : "Ca alors, je suis surprise !" M. Littré : "Ah non, vous êtes étonnée. C'est nous qui sommes surpris."
;-) Den
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle wrote:
Ecoute, je suis bien contente pour toi de ta liberté de penser, mais je
suis surprise que (couic).
Bonjour,
Ca me rappelle l'histoire de Littré, auteur d'un dictionnaire et grand
coureur de jupons. Un jour, madame découvre son mari au lit avec une
autre dame.
Mme Littré : "Ca alors, je suis surprise !"
M. Littré : "Ah non, vous êtes étonnée. C'est nous qui sommes surpris."
Ecoute, je suis bien contente pour toi de ta liberté de penser, mais je suis surprise que (couic).
Bonjour, Ca me rappelle l'histoire de Littré, auteur d'un dictionnaire et grand coureur de jupons. Un jour, madame découvre son mari au lit avec une autre dame. Mme Littré : "Ca alors, je suis surprise !" M. Littré : "Ah non, vous êtes étonnée. C'est nous qui sommes surpris."
;-) Den
Ofnuts
On 06/23/2012 05:22 PM, Alf92 wrote:
"Ofnuts" a écrit
mettre plus de 3 euros dans un cable HDMI c'est de la bêtise.
Sans aller jusque là, la qualité des connecteurs joue quand même un peu :)
pas en HDMI. c'est du numérique. c'est simple : ça passe ou ça passe pas. si par hasard une trame venait à manquer elle serait certainement corrigée par un quelconque algo.
le dernier cable HDMI que j'ai acheté c'était sur eBay pour 1,49Euros frais de port inclus et il marche très bien en 1920x1080.
La qualité des connecteurs, ce n'est pas que la résistance et la capacité parasite au moment où tu déballes le truc. C'est aussi comment ça évolue dans le temps, et si au bout de deux ans tu est obligé de régulièrement secouer le connecteur pour rétablir un contact correct parce que tout le truc a pris du jeu.
Par ailleurs, pour le HDMI en HD, les octets qui passent sont chiffrés, et les appareils à chaque bout du câble sont sans doute réglés sur le mode "parano", et en cas d'anomalie on recommence la séquence de connexion.
-- Bertrand
On 06/23/2012 05:22 PM, Alf92 wrote:
"Ofnuts" <o.f.n.u.t.s@la.poste.net> a écrit
mettre plus de 3 euros dans un cable HDMI c'est de la bêtise.
Sans aller jusque là, la qualité des connecteurs joue quand même un peu :)
pas en HDMI.
c'est du numérique. c'est simple : ça passe ou ça passe pas.
si par hasard une trame venait à manquer elle serait certainement corrigée
par un quelconque algo.
le dernier cable HDMI que j'ai acheté c'était sur eBay pour 1,49Euros frais
de port inclus et il marche très bien en 1920x1080.
La qualité des connecteurs, ce n'est pas que la résistance et la
capacité parasite au moment où tu déballes le truc. C'est aussi comment
ça évolue dans le temps, et si au bout de deux ans tu est obligé de
régulièrement secouer le connecteur pour rétablir un contact correct
parce que tout le truc a pris du jeu.
Par ailleurs, pour le HDMI en HD, les octets qui passent sont chiffrés,
et les appareils à chaque bout du câble sont sans doute réglés sur le
mode "parano", et en cas d'anomalie on recommence la séquence de connexion.
mettre plus de 3 euros dans un cable HDMI c'est de la bêtise.
Sans aller jusque là, la qualité des connecteurs joue quand même un peu :)
pas en HDMI. c'est du numérique. c'est simple : ça passe ou ça passe pas. si par hasard une trame venait à manquer elle serait certainement corrigée par un quelconque algo.
le dernier cable HDMI que j'ai acheté c'était sur eBay pour 1,49Euros frais de port inclus et il marche très bien en 1920x1080.
La qualité des connecteurs, ce n'est pas que la résistance et la capacité parasite au moment où tu déballes le truc. C'est aussi comment ça évolue dans le temps, et si au bout de deux ans tu est obligé de régulièrement secouer le connecteur pour rétablir un contact correct parce que tout le truc a pris du jeu.
Par ailleurs, pour le HDMI en HD, les octets qui passent sont chiffrés, et les appareils à chaque bout du câble sont sans doute réglés sur le mode "parano", et en cas d'anomalie on recommence la séquence de connexion.
-- Bertrand
Bour-Brown
albert a écrit ( js4r4g$87f$ )
quand on te pousse dans tes retranchements
Ah bon, j'ai l'air retranché, là ? Cool.
Beurk ! Alors là, cela ne le fait plus du tout.
Normal, puisque c'est la même chose, mais en plus. T'aimais pas l'une, t'allais pas aimer l'autre.
Dommage car l'image est belle et la composition dans le carré est intéressante.
T'inquiète, ce n'est pas un filet noir et un bord blanc qui y change quoi que ce soit. Je pourrais la mettre dans n'importe quel cadre que l'image resterait la même.
albert a écrit
( js4r4g$87f$1@speranza.aioe.org )
quand on te pousse dans tes retranchements
Ah bon, j'ai l'air retranché, là ? Cool.
Beurk ! Alors là, cela ne le fait plus du tout.
Normal, puisque c'est la même chose, mais en plus. T'aimais pas l'une,
t'allais pas aimer l'autre.
Dommage car l'image est belle et la composition dans le carré est
intéressante.
T'inquiète, ce n'est pas un filet noir et un bord blanc qui y change quoi
que ce soit. Je pourrais la mettre dans n'importe quel cadre que l'image
resterait la même.
Normal, puisque c'est la même chose, mais en plus. T'aimais pas l'une, t'allais pas aimer l'autre.
Dommage car l'image est belle et la composition dans le carré est intéressante.
T'inquiète, ce n'est pas un filet noir et un bord blanc qui y change quoi que ce soit. Je pourrais la mettre dans n'importe quel cadre que l'image resterait la même.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 24/06/12 17:28, Den a écrit :
Ca me rappelle l'histoire de Littré, auteur d'un dictionnaire et grand coureur de jupons. Un jour, madame découvre son mari au lit avec une autre dame. Mme Littré : "Ca alors, je suis surprise !" M. Littré : "Ah non, vous êtes étonnée. C'est nous qui sommes surpris."
;-) Den
C'était attribué à Vaugelas.
Noëlle Adam
Le 24/06/12 17:28, Den a écrit :
Ca me rappelle l'histoire de Littré, auteur d'un dictionnaire et grand
coureur de jupons. Un jour, madame découvre son mari au lit avec une
autre dame.
Mme Littré : "Ca alors, je suis surprise !"
M. Littré : "Ah non, vous êtes étonnée. C'est nous qui sommes surpris."
Ca me rappelle l'histoire de Littré, auteur d'un dictionnaire et grand coureur de jupons. Un jour, madame découvre son mari au lit avec une autre dame. Mme Littré : "Ca alors, je suis surprise !" M. Littré : "Ah non, vous êtes étonnée. C'est nous qui sommes surpris."
;-) Den
C'était attribué à Vaugelas.
Noëlle Adam
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 24/06/12 18:06, Bour-Brown a écrit :
T'inquiète, ce n'est pas un filet noir et un bord blanc qui y change quoi que ce soit. Je pourrais la mettre dans n'importe quel cadre que l'image resterait la même.
Le contexte -et le simple cadre, physique ou pas, le moniteur aussi, et tous les contextes avec changent l'image. Parce qu'elle n'existe pas en dehors de la perception globale. Filet noir ou bord grunge, fond gris ou papier peint à fleurs participent.
Noëlle Adam
Le 24/06/12 18:06, Bour-Brown a écrit :
T'inquiète, ce n'est pas un filet noir et un bord blanc qui y change quoi
que ce soit. Je pourrais la mettre dans n'importe quel cadre que l'image
resterait la même.
Le contexte -et le simple cadre, physique ou pas, le moniteur aussi, et
tous les contextes avec changent l'image. Parce qu'elle n'existe pas en
dehors de la perception globale.
Filet noir ou bord grunge, fond gris ou papier peint à fleurs participent.
T'inquiète, ce n'est pas un filet noir et un bord blanc qui y change quoi que ce soit. Je pourrais la mettre dans n'importe quel cadre que l'image resterait la même.
Le contexte -et le simple cadre, physique ou pas, le moniteur aussi, et tous les contextes avec changent l'image. Parce qu'elle n'existe pas en dehors de la perception globale. Filet noir ou bord grunge, fond gris ou papier peint à fleurs participent.
Noëlle Adam
Charles Vassallo
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit à Den :
Ca me rappelle l'histoire de Littré, auteur d'un dictionnaire et grand coureur de jupons. Un jour, madame découvre son mari au lit avec une autre dame. Mme Littré : "Ca alors, je suis surprise !" M. Littré : "Ah non, vous êtes étonnée. C'est nous qui sommes surpris."
C'était attribué à Vaugelas.
Tous les liens que j'ai trouvés sur ce sujet préfèrent créditer Littré. J'ai toutefois trouvé un lien qui met Vaugelas en scène à côté de Littré: http://omarkhayyam.blogsome.com/2010/03/18/
charles
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit à Den :
Ca me rappelle l'histoire de Littré, auteur d'un dictionnaire et grand
coureur de jupons. Un jour, madame découvre son mari au lit avec une
autre dame.
Mme Littré : "Ca alors, je suis surprise !"
M. Littré : "Ah non, vous êtes étonnée. C'est nous qui sommes surpris."
C'était attribué à Vaugelas.
Tous les liens que j'ai trouvés sur ce sujet préfèrent créditer Littré.
J'ai toutefois trouvé un lien qui met Vaugelas en scène à côté de
Littré: http://omarkhayyam.blogsome.com/2010/03/18/
Ca me rappelle l'histoire de Littré, auteur d'un dictionnaire et grand coureur de jupons. Un jour, madame découvre son mari au lit avec une autre dame. Mme Littré : "Ca alors, je suis surprise !" M. Littré : "Ah non, vous êtes étonnée. C'est nous qui sommes surpris."
C'était attribué à Vaugelas.
Tous les liens que j'ai trouvés sur ce sujet préfèrent créditer Littré. J'ai toutefois trouvé un lien qui met Vaugelas en scène à côté de Littré: http://omarkhayyam.blogsome.com/2010/03/18/
charles
albert
Bonjour Noëlle,
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit :
Ecoute, je suis bien contente pour toi de ta liberté de penser, mais je suis surprise que tu t'accroches comme à une branche à la liberté d'exprimer ta pensée en l’obscurcissant par un vocabulaire impropre ; rébarbatif ne signifie pas réticent. Autant dire stroumphf.
J'ai l'impression que tu comprends tout à l'envers. Je ne me suis pas accroché aux branches de la liberté mais raccroché aux branches de la raison, par la nécessité d'éclaircir ma pensée et la rendre compréhensible, obscurcie qu'elle l'était au départ par l'usage d'un vocabulaire impropre. Mais pour moi elle a toujours été claire, c'est la compréhension des autres qui fut obscurcie par cette faute de langage.
Ce qui devient intéressant dans cette histoire c'est de s'apercevoir qu'on peut se considérer comme étant rébarbatif tout autant que réticent. Il faut pour cela se dire, et je m'en suis expliqué déjà longuement plus haut, que notre conscience n'est pas seulement quelque chose d'intérieur en nous même, qui se projetterait vers le monde, mais qu'une part d'elle même est le monde aussi. Dans ce cas la conscience, dans sa part qui est le monde, peut très bien se considérer comme rébarbative par rapport à elle même.
Je sais, ces considérations sont rébarbatives, je ne te le fais pas dire, on se demande d'ailleurs ce que cela vient faire dans un groupe de discussion sur la photographie, mais comme tu le vois, je saute de branches en branches, si tu remontes l'arborescence tu me retrouveras plus haut, quand je dis que cette expérience d'une conscience épanouie en dehors d'elle même me vient de la pratique de la photographie.
Il faut juste sauter le pas. Cela peut paraître insensé, gratuit, comme une pirouette destinée à une logique absurde, mais au fond cela peut changer bien des choses. Par exemple, si on accorde aux choses qui ne sont que des choses mais qui sont aussi une part de nous même, le pouvoir de nous considérer comme rébarbatif, on se rend compte à quel point on est fragile et dépendant par rapport à elles, qu'on en arrive même à se défendre d'elles. Les choses ne sont pas seulement les choses qu'on domine toujours. Il faut savoir faire leur part, en cela leur accorder de l'importance est une bonne démarche. Alors la phrase : "Je suis un peu rébarbatif à tout ce qui sort de l'ordinateur" sonne d'une toute autre manière que : "Je suis un peu réticent à tout ce qui sort de l'ordinateur". Tu vois, cette deuxième phrase n'est même pas correcte. Tu en es déjà presque convaincue.
Au fond, la difficulté première est de sortir de soi même. On se raccroche à soi, on est une muraille, dans la plupart des cas cela nous est nécessaire sinon on perdrait l'autonomie de notre conscience et on deviendrait fou. Sauf dans l'amour, parfois on est l'autre et c'est tellement bon. Et parfois aussi, j'en reviens à mon expérience de la photographie, quand on se projette dans se qu'on voit et qu'on élargit notre point de vue à toute la nature, tout prend une autre dimension, y compris nous même.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
Bonjour Noëlle,
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit :
Ecoute, je suis bien contente pour toi de ta liberté de penser, mais je
suis surprise que tu t'accroches comme à une branche à la liberté
d'exprimer ta pensée en l’obscurcissant par un vocabulaire impropre ;
rébarbatif ne signifie pas réticent. Autant dire stroumphf.
J'ai l'impression que tu comprends tout à l'envers. Je ne me suis pas
accroché aux branches de la liberté mais raccroché aux branches de la
raison, par la nécessité d'éclaircir ma pensée et la rendre compréhensible,
obscurcie qu'elle l'était au départ par l'usage d'un vocabulaire impropre.
Mais pour moi elle a toujours été claire, c'est la compréhension des autres
qui fut obscurcie par cette faute de langage.
Ce qui devient intéressant dans cette histoire c'est de s'apercevoir
qu'on peut se considérer comme étant rébarbatif tout autant que réticent. Il
faut pour cela se dire, et je m'en suis expliqué déjà longuement plus haut,
que notre conscience n'est pas seulement quelque chose d'intérieur en nous
même, qui se projetterait vers le monde, mais qu'une part d'elle même est le
monde aussi. Dans ce cas la conscience, dans sa part qui est le monde, peut
très bien se considérer comme rébarbative par rapport à elle même.
Je sais, ces considérations sont rébarbatives, je ne te le fais pas
dire, on se demande d'ailleurs ce que cela vient faire dans un groupe de
discussion sur la photographie, mais comme tu le vois, je saute de branches
en branches, si tu remontes l'arborescence tu me retrouveras plus haut,
quand je dis que cette expérience d'une conscience épanouie en dehors d'elle
même me vient de la pratique de la photographie.
Il faut juste sauter le pas. Cela peut paraître insensé, gratuit, comme
une pirouette destinée à une logique absurde, mais au fond cela peut changer
bien des choses. Par exemple, si on accorde aux choses qui ne sont que des
choses mais qui sont aussi une part de nous même, le pouvoir de nous
considérer comme rébarbatif, on se rend compte à quel point on est fragile
et dépendant par rapport à elles, qu'on en arrive même à se défendre
d'elles. Les choses ne sont pas seulement les choses qu'on domine toujours.
Il faut savoir faire leur part, en cela leur accorder de l'importance est
une bonne démarche. Alors la phrase : "Je suis un peu rébarbatif à tout ce
qui sort de l'ordinateur" sonne d'une toute autre manière que : "Je suis un
peu réticent à tout ce qui sort de l'ordinateur". Tu vois, cette deuxième
phrase n'est même pas correcte. Tu en es déjà presque convaincue.
Au fond, la difficulté première est de sortir de soi même. On se
raccroche à soi, on est une muraille, dans la plupart des cas cela nous est
nécessaire sinon on perdrait l'autonomie de notre conscience et on
deviendrait fou. Sauf dans l'amour, parfois on est l'autre et c'est
tellement bon. Et parfois aussi, j'en reviens à mon expérience de la
photographie, quand on se projette dans se qu'on voit et qu'on élargit notre
point de vue à toute la nature, tout prend une autre dimension, y compris
nous même.
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
----------------------------------------------------------
Ecoute, je suis bien contente pour toi de ta liberté de penser, mais je suis surprise que tu t'accroches comme à une branche à la liberté d'exprimer ta pensée en l’obscurcissant par un vocabulaire impropre ; rébarbatif ne signifie pas réticent. Autant dire stroumphf.
J'ai l'impression que tu comprends tout à l'envers. Je ne me suis pas accroché aux branches de la liberté mais raccroché aux branches de la raison, par la nécessité d'éclaircir ma pensée et la rendre compréhensible, obscurcie qu'elle l'était au départ par l'usage d'un vocabulaire impropre. Mais pour moi elle a toujours été claire, c'est la compréhension des autres qui fut obscurcie par cette faute de langage.
Ce qui devient intéressant dans cette histoire c'est de s'apercevoir qu'on peut se considérer comme étant rébarbatif tout autant que réticent. Il faut pour cela se dire, et je m'en suis expliqué déjà longuement plus haut, que notre conscience n'est pas seulement quelque chose d'intérieur en nous même, qui se projetterait vers le monde, mais qu'une part d'elle même est le monde aussi. Dans ce cas la conscience, dans sa part qui est le monde, peut très bien se considérer comme rébarbative par rapport à elle même.
Je sais, ces considérations sont rébarbatives, je ne te le fais pas dire, on se demande d'ailleurs ce que cela vient faire dans un groupe de discussion sur la photographie, mais comme tu le vois, je saute de branches en branches, si tu remontes l'arborescence tu me retrouveras plus haut, quand je dis que cette expérience d'une conscience épanouie en dehors d'elle même me vient de la pratique de la photographie.
Il faut juste sauter le pas. Cela peut paraître insensé, gratuit, comme une pirouette destinée à une logique absurde, mais au fond cela peut changer bien des choses. Par exemple, si on accorde aux choses qui ne sont que des choses mais qui sont aussi une part de nous même, le pouvoir de nous considérer comme rébarbatif, on se rend compte à quel point on est fragile et dépendant par rapport à elles, qu'on en arrive même à se défendre d'elles. Les choses ne sont pas seulement les choses qu'on domine toujours. Il faut savoir faire leur part, en cela leur accorder de l'importance est une bonne démarche. Alors la phrase : "Je suis un peu rébarbatif à tout ce qui sort de l'ordinateur" sonne d'une toute autre manière que : "Je suis un peu réticent à tout ce qui sort de l'ordinateur". Tu vois, cette deuxième phrase n'est même pas correcte. Tu en es déjà presque convaincue.
Au fond, la difficulté première est de sortir de soi même. On se raccroche à soi, on est une muraille, dans la plupart des cas cela nous est nécessaire sinon on perdrait l'autonomie de notre conscience et on deviendrait fou. Sauf dans l'amour, parfois on est l'autre et c'est tellement bon. Et parfois aussi, j'en reviens à mon expérience de la photographie, quand on se projette dans se qu'on voit et qu'on élargit notre point de vue à toute la nature, tout prend une autre dimension, y compris nous même.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 24/06/12 23:04, albert a écrit :
Bonjour Noëlle,
Ce qui devient intéressant dans cette histoire c'est de s'apercevoir qu'on peut se considérer comme étant rébarbatif tout autant que réticent.
Pour d'autres êtres pourvus de conscience, certainement...
Il faut pour cela se dire, et je m'en suis expliqué déjà
longuement plus haut, que notre conscience n'est pas seulement quelque chose d'intérieur en nous même, qui se projetterait vers le monde, mais qu'une part d'elle même est le monde aussi. Dans ce cas la conscience, dans sa part qui est le monde, peut très bien se considérer comme rébarbative par rapport à elle même.
J'admet que j'ai du mal avec la philo. Tel l'af d'un vieux boitier, j'ai du mal à faire le point dans la fumée.
Je sais, ces considérations sont rébarbatives, je ne te le fais pas dire, on se demande d'ailleurs ce que cela vient faire dans un groupe de discussion sur la photographie,
La photographie et sa pratique peuvent être discutées sous bien des angles.
mais comme tu le vois, je saute de
branches en branches, si tu remontes l'arborescence tu me retrouveras plus haut, quand je dis que cette expérience d'une conscience épanouie en dehors d'elle même me vient de la pratique de la photographie.
La conscience fait partie du monde, ça j'en conviens facilement puisque rien n'est hors de la nature (prise dans le sens le plus général). Qu'elle puisse aussi se percevoir elle-même oui, c'est pratiquement la définition de la conscience même. Mais se percevoir du dehors ? Ça c'est une sacrée acrobatie, est-ce bien de ton âge de grimper aux arbres pour jouer à cache-cache tout seul en disant je t'ai eu au miroir ?
Il faut juste sauter le pas. Cela peut paraître insensé, gratuit, comme une pirouette destinée à une logique absurde, mais au fond cela peut changer bien des choses. Par exemple, si on accorde aux choses qui ne sont que des choses mais qui sont aussi une part de nous même, le pouvoir de nous considérer comme rébarbatif,
Effectivement ça demande comme prémisse d'accorder de la conscience aux choses...À part l'ouvre-boîte qui se planque dans le fond du tiroir quand il sait qu'on a besoin de lui, je ne vois pas de conscience dans les choses. Dans les êtres vivants, même simples, peut-être bien. Mais elle me reste extérieure, cette conscience là, même si la mienne à parfois la sensation de la toucher.
Au fond, la difficulté première est de sortir de soi même. On se raccroche à soi, on est une muraille, dans la plupart des cas cela nous est nécessaire sinon on perdrait l'autonomie de notre conscience et on deviendrait fou. Sauf dans l'amour, parfois on est l'autre et c'est tellement bon. Et parfois aussi, j'en reviens à mon expérience de la photographie, quand on se projette dans se qu'on voit et qu'on élargit notre point de vue à toute la nature, tout prend une autre dimension, y compris nous même.
J'attend avec curiosité une photographie de ton ordinateur, cette chose étrange dont la conscience peut te trouver rébarbatif ! Je te l'échangerais bien contre une photo d'ouvre-boite.
Noëlle Adam
Le 24/06/12 23:04, albert a écrit :
Bonjour Noëlle,
Ce qui devient intéressant dans cette histoire c'est de s'apercevoir
qu'on peut se considérer comme étant rébarbatif tout autant que
réticent.
Pour d'autres êtres pourvus de conscience, certainement...
Il faut pour cela se dire, et je m'en suis expliqué déjà
longuement plus haut, que notre conscience n'est pas seulement quelque
chose d'intérieur en nous même, qui se projetterait vers le monde, mais
qu'une part d'elle même est le monde aussi. Dans ce cas la conscience,
dans sa part qui est le monde, peut très bien se considérer comme
rébarbative par rapport à elle même.
J'admet que j'ai du mal avec la philo. Tel l'af d'un vieux boitier, j'ai
du mal à faire le point dans la fumée.
Je sais, ces considérations sont rébarbatives, je ne te le fais pas
dire, on se demande d'ailleurs ce que cela vient faire dans un groupe de
discussion sur la photographie,
La photographie et sa pratique peuvent être discutées sous bien des angles.
mais comme tu le vois, je saute de
branches en branches, si tu remontes l'arborescence tu me retrouveras
plus haut, quand je dis que cette expérience d'une conscience épanouie
en dehors d'elle même me vient de la pratique de la photographie.
La conscience fait partie du monde, ça j'en conviens facilement puisque
rien n'est hors de la nature (prise dans le sens le plus général).
Qu'elle puisse aussi se percevoir elle-même oui, c'est pratiquement la
définition de la conscience même. Mais se percevoir du dehors ? Ça c'est
une sacrée acrobatie, est-ce bien de ton âge de grimper aux arbres pour
jouer à cache-cache tout seul en disant je t'ai eu au miroir ?
Il faut juste sauter le pas. Cela peut paraître insensé, gratuit,
comme une pirouette destinée à une logique absurde, mais au fond cela
peut changer bien des choses. Par exemple, si on accorde aux choses qui
ne sont que des choses mais qui sont aussi une part de nous même, le
pouvoir de nous considérer comme rébarbatif,
Effectivement ça demande comme prémisse d'accorder de la conscience aux
choses...À part l'ouvre-boîte qui se planque dans le fond du tiroir
quand il sait qu'on a besoin de lui, je ne vois pas de conscience dans
les choses. Dans les êtres vivants, même simples, peut-être bien.
Mais elle me reste extérieure, cette conscience là, même si la mienne à
parfois la sensation de la toucher.
Au fond, la difficulté première est de sortir de soi même. On se
raccroche à soi, on est une muraille, dans la plupart des cas cela nous
est nécessaire sinon on perdrait l'autonomie de notre conscience et on
deviendrait fou. Sauf dans l'amour, parfois on est l'autre et c'est
tellement bon. Et parfois aussi, j'en reviens à mon expérience de la
photographie, quand on se projette dans se qu'on voit et qu'on élargit
notre point de vue à toute la nature, tout prend une autre dimension, y
compris nous même.
J'attend avec curiosité une photographie de ton ordinateur, cette chose
étrange dont la conscience peut te trouver rébarbatif ! Je te
l'échangerais bien contre une photo d'ouvre-boite.
Ce qui devient intéressant dans cette histoire c'est de s'apercevoir qu'on peut se considérer comme étant rébarbatif tout autant que réticent.
Pour d'autres êtres pourvus de conscience, certainement...
Il faut pour cela se dire, et je m'en suis expliqué déjà
longuement plus haut, que notre conscience n'est pas seulement quelque chose d'intérieur en nous même, qui se projetterait vers le monde, mais qu'une part d'elle même est le monde aussi. Dans ce cas la conscience, dans sa part qui est le monde, peut très bien se considérer comme rébarbative par rapport à elle même.
J'admet que j'ai du mal avec la philo. Tel l'af d'un vieux boitier, j'ai du mal à faire le point dans la fumée.
Je sais, ces considérations sont rébarbatives, je ne te le fais pas dire, on se demande d'ailleurs ce que cela vient faire dans un groupe de discussion sur la photographie,
La photographie et sa pratique peuvent être discutées sous bien des angles.
mais comme tu le vois, je saute de
branches en branches, si tu remontes l'arborescence tu me retrouveras plus haut, quand je dis que cette expérience d'une conscience épanouie en dehors d'elle même me vient de la pratique de la photographie.
La conscience fait partie du monde, ça j'en conviens facilement puisque rien n'est hors de la nature (prise dans le sens le plus général). Qu'elle puisse aussi se percevoir elle-même oui, c'est pratiquement la définition de la conscience même. Mais se percevoir du dehors ? Ça c'est une sacrée acrobatie, est-ce bien de ton âge de grimper aux arbres pour jouer à cache-cache tout seul en disant je t'ai eu au miroir ?
Il faut juste sauter le pas. Cela peut paraître insensé, gratuit, comme une pirouette destinée à une logique absurde, mais au fond cela peut changer bien des choses. Par exemple, si on accorde aux choses qui ne sont que des choses mais qui sont aussi une part de nous même, le pouvoir de nous considérer comme rébarbatif,
Effectivement ça demande comme prémisse d'accorder de la conscience aux choses...À part l'ouvre-boîte qui se planque dans le fond du tiroir quand il sait qu'on a besoin de lui, je ne vois pas de conscience dans les choses. Dans les êtres vivants, même simples, peut-être bien. Mais elle me reste extérieure, cette conscience là, même si la mienne à parfois la sensation de la toucher.
Au fond, la difficulté première est de sortir de soi même. On se raccroche à soi, on est une muraille, dans la plupart des cas cela nous est nécessaire sinon on perdrait l'autonomie de notre conscience et on deviendrait fou. Sauf dans l'amour, parfois on est l'autre et c'est tellement bon. Et parfois aussi, j'en reviens à mon expérience de la photographie, quand on se projette dans se qu'on voit et qu'on élargit notre point de vue à toute la nature, tout prend une autre dimension, y compris nous même.
J'attend avec curiosité une photographie de ton ordinateur, cette chose étrange dont la conscience peut te trouver rébarbatif ! Je te l'échangerais bien contre une photo d'ouvre-boite.
Noëlle Adam
Alf92
"Ofnuts" a écrit
pas en HDMI. c'est du numérique. c'est simple : ça passe ou ça passe pas. si par hasard une trame venait à manquer elle serait certainement corrigée par un quelconque algo.
le dernier cable HDMI que j'ai acheté c'était sur eBay pour 1,49Euros frais de port inclus et il marche très bien en 1920x1080.
La qualité des connecteurs, ce n'est pas que la résistance et la capacité parasite au moment où tu déballes le truc. C'est aussi comment ça évolue dans le temps, et si au bout de deux ans tu est obligé de régulièrement secouer le connecteur pour rétablir un contact correct parce que tout le truc a pris du jeu.
les cables sont tous moulés. c'est indestructible. de plus c'est pas le genre cable que l'on branche/débranche tous les jours.
Par ailleurs, pour le HDMI en HD, les octets qui passent sont chiffrés, et les appareils à chaque bout du câble sont sans doute réglés sur le mode "parano", et en cas d'anomalie on recommence la séquence de connexion.
oui c'est simple : ça passe ou ça passe pas. avec mon cable à 1,49E ça passe.
"Ofnuts" <o.f.n.u.t.s@la.poste.net> a écrit
pas en HDMI.
c'est du numérique. c'est simple : ça passe ou ça passe pas.
si par hasard une trame venait à manquer elle serait certainement corrigée
par un quelconque algo.
le dernier cable HDMI que j'ai acheté c'était sur eBay pour 1,49Euros frais
de port inclus et il marche très bien en 1920x1080.
La qualité des connecteurs, ce n'est pas que la résistance et la capacité
parasite au moment où tu déballes le truc. C'est aussi comment ça évolue dans
le temps, et si au bout de deux ans tu est obligé de régulièrement secouer le
connecteur pour rétablir un contact correct parce que tout le truc a pris du
jeu.
les cables sont tous moulés. c'est indestructible.
de plus c'est pas le genre cable que l'on branche/débranche tous les jours.
Par ailleurs, pour le HDMI en HD, les octets qui passent sont chiffrés, et les
appareils à chaque bout du câble sont sans doute réglés sur le mode "parano",
et en cas d'anomalie on recommence la séquence de connexion.
oui
c'est simple : ça passe ou ça passe pas.
avec mon cable à 1,49E ça passe.
pas en HDMI. c'est du numérique. c'est simple : ça passe ou ça passe pas. si par hasard une trame venait à manquer elle serait certainement corrigée par un quelconque algo.
le dernier cable HDMI que j'ai acheté c'était sur eBay pour 1,49Euros frais de port inclus et il marche très bien en 1920x1080.
La qualité des connecteurs, ce n'est pas que la résistance et la capacité parasite au moment où tu déballes le truc. C'est aussi comment ça évolue dans le temps, et si au bout de deux ans tu est obligé de régulièrement secouer le connecteur pour rétablir un contact correct parce que tout le truc a pris du jeu.
les cables sont tous moulés. c'est indestructible. de plus c'est pas le genre cable que l'on branche/débranche tous les jours.
Par ailleurs, pour le HDMI en HD, les octets qui passent sont chiffrés, et les appareils à chaque bout du câble sont sans doute réglés sur le mode "parano", et en cas d'anomalie on recommence la séquence de connexion.
oui c'est simple : ça passe ou ça passe pas. avec mon cable à 1,49E ça passe.
Ghost-Rider
Le 24/06/2012 23:04, albert a écrit :
Par exemple, si on accorde aux choses qui ne sont que des choses mais qui sont aussi une part de nous même, le pouvoir de nous considérer comme rébarbatif, on se rend compte à quel point on est fragile et dépendant par rapport à elles, qu'on en arrive même à se défendre d'elles. Les choses ne sont pas seulement les choses qu'on domine toujours. Il faut savoir faire leur part, en cela leur accorder de l'importance est une bonne démarche.
"Objets inanimés, avez-vous donc une âme Qui s'attache à notre âme et la force d'aimer ?..." (Alphonse de Lamartine)
-- Ghost Rider
Le 24/06/2012 23:04, albert a écrit :
Par exemple, si on accorde aux choses qui
ne sont que des choses mais qui sont aussi une part de nous même, le
pouvoir de nous considérer comme rébarbatif, on se rend compte à quel
point on est fragile et dépendant par rapport à elles, qu'on en arrive
même à se défendre d'elles. Les choses ne sont pas seulement les choses
qu'on domine toujours. Il faut savoir faire leur part, en cela leur
accorder de l'importance est une bonne démarche.
"Objets inanimés, avez-vous donc une âme
Qui s'attache à notre âme et la force d'aimer ?..."
(Alphonse de Lamartine)
Par exemple, si on accorde aux choses qui ne sont que des choses mais qui sont aussi une part de nous même, le pouvoir de nous considérer comme rébarbatif, on se rend compte à quel point on est fragile et dépendant par rapport à elles, qu'on en arrive même à se défendre d'elles. Les choses ne sont pas seulement les choses qu'on domine toujours. Il faut savoir faire leur part, en cela leur accorder de l'importance est une bonne démarche.
"Objets inanimés, avez-vous donc une âme Qui s'attache à notre âme et la force d'aimer ?..." (Alphonse de Lamartine)
